28/04/2009. Scanner 5 urinaire : Phases d acquisition après injection du produit de contraste iode. Quel examen?

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1 1 2 Sémiologie Radiologie urinaire VIDEO QCM Elisabeth SCHOUMAN-CLAEYS Service de Radiologie Hôpital Bichat Paris Quel examen? Quelle technique? (± injection ) Quelle région? Répérer les éléments anatomiques Quelle anomalie (s)? La (les) décrire. Quelle(s) hypohtèse(s)? 3 4 Scanner 5 urinaire : Phases d acquisition après injection du produit de contraste iode 6 A 0 s Sans injection Arbre urinaire B s Néphrographie corticale (cortico-médullaire i + Vx) Rein C 100s Néphrographie tubulaire Rein D 12 mn Temps Excréteur Arbre urinaire Scanner multiphases sauf protocole colique néphrétique ou injection en 2 temps 1

2 7 C C 11 Sonde JJ 12 JJ 2

3 13 Secondes restantes : 10 Identifier les images anormales. Les décrire. Evoquer un diagnostic. 14 Qu entend-on par le signe de l anneau? A. Hyperdentité de la graisse rétropéritonéale autour d un calcul enclavé? B. Œdème urétéral formant une collerette autour d un calcul? Que veut-dire l expression radio-opaque pour décrire un calcul? Visible spontanément sur A. un ASP? B. une échographie C. un scanner? Un calcul radiotransparent non spontanément visible sur un ASP, n est pas plus systématiquement visible sur un scanner. Quelles en sont les raisons? A. Calcul très petit B. Certaines compositions (crixivan) C. Collimation non adaptée 3

4 19 20 Décrire la sémiologie radiologique. Evoquer un diagnostic 21 Secondes restantes : 10 Qualifier ces dilatations de la voie excrétrice. 22 Niveau de l obstacle = limite inférieure de la dilatation tige calicielle jonction pyélourétérale croisement avec les vx iliaques uretère intramural tige calicielle hydrocalice jonction pyélourétérale hydronéphrose croisement avec uretère les vx iliaques intramural urétérohydronéphrose 23 Secondes restantes : 10 Analyser les densités anormales. 24 Secondes restantes : 10 Décrire les phases de ce scanner 4

5 25 Cancer du rein 3 phases Sans injection 26 Secondes restantes : 10 Cortico-médullaire Néphrographique p 27 Hématurie. Analyser les densités anormales Secondes restantes : 10 Décrire ces images. 5

6 31 32 Décrire ces images. Evoquer un diagnostic Syndrome de la jonction. Expliquez l image de niveau. 33 Décrire cette image. Identifier 2 anomalies 34 Secondes restantes : 10 Décrire ces images. Identifier 3 anomalies Qu entend-on par uroscanner? Un scanner pour étudier A. le parenchyme rénal? B. Les vaisseaux du rein C. La voie excrétrice Etude de la voie excrétrice multiples injections Hyperdiurèse Indication : Tumeur uroéphithéliale Recherche de x localisations 6

7 37 38 Une hypothèse diagnostique 39 IRM in and out 40 Adénome A. / Métastase A. Lipides intracellulaires seuls 30% pauvres en lipides B. Forte hypervascularisation B. Graisse A. Scanner sans injection Hypodensité : < 10UH B. IRM T1 in/out phase Baisse de signal > 20% C. Lavage précoce A. Scanner injecté puis 15mn post B. lavage absolu > 60% 41 Hématurie. Analyser les densités anormales. 42 7

8 43 44 Décrire ces images. Evoquer un diagnostic Secondes restantes : Décrire les composantes de cette image A B C Et l hypodensité? D 8

9 Dimensions de la prostate Poids < 20g! Méthode de mesure du diamètre ant-post Dia L Lemaitre 53 Secondes restantes : Cancer de la prostate Quelle technique? Quelles anomalies? IRM : - Bilan d extension : - capsule, vésicules séminales - ganglions - Recherche de zones sur suspectes sur séries de biopsies négatives 9

10 55 Quelle est la différence entre ces deux examens? 56 Uréthrographie Rétrograde (segments pénien et bulbaire larges) Objectif : urèthre antérieur Antérograde (segments pénien et bulbaire fins) Objectif : urèthre postérieur 57 Décrire les segments de l urèthre. 58 Les segments de l urèthre masculin A B C D A : prostatique B : membraneux C : bulbaire D : pénien post ant Secondes restantes : 60 Sténose urèthre bulbaire 10

11 61 62 Secondes restantes : Décrire ces images. Evoquer un diagnostic Secondes restantes : Quelle technique? Quelles anomalies? 11

12 67 Cancer de l endomètre / myomètre Iso T1 Hyper T2 (9 cas sur 10) Hypovascularisation après injection! zone jonctionnelle parfois peu visible surtout en post menopause (intérêt de l injection +++) 68 Secondes restantes : 10 Quelle technique? Quelles anomalies? 69 Secondes restantes : 10 Quelle technique? Quelles anomalies? 70 Kyste endométriosique A. Echo : kyste unique ou multiple à paroi épaisse avec de fins échos internes de faible intensité (sang). Doppler - B. IRM A. Capsule fibreuse de faible intensité en T1 et T2 B. Contenu : Hypersignal T1 graisse sous-cutanée ne disparaissant pas en Fatsat et Hyposignal T2 C. Adhérence aux organes de voisinqge Tsatoumas, RSNA 06,Catégorial course Secondes restantes : 72 Cystadénome mucineux volumineux +++, «nid d abeille» Multiloculaire, loci d échostructure différente Parois, cloisons fines, parfois vascularisées PAS DE VEGETATIONS Dg diff : Pseudokyste péritonéal 12

13 73 74 Gros ovaire A. Taille seuil A. Préménaupause > 18cc B. Postménaupause > 8 cc B. Kyste de l ovaire Normal (follicule) sauf prépuberté, p postménaupause, p ou > 20-25mm A. Kyste folliculaire B. Kyste ducorps jaune C. Kyste luteal (mole, choriocarcinime, syndrome d hyperstimulation D. Kyste paraembryonnaire E. Maladie polykystique (Stein Leventhal) F. Endométriose G. Tumeur de l ovaire A. Tumeurs A. Épithéliales (70%) A. Cystadénome (/carcinome)séreux et mucineux B. Germinales (15%) A. Tératomes, dysgerminomes C. Mésenchyme (5%) A. Granulosa, fibrome, cellules de Sertoli D. Métastase (10%) Cystadénome bilatéralité séreux mucineux Bénin 20% 5% malin 50% 25% 75 A. Signes de malignité A. Taille > 4 cm B. Masse solide ou à large composante solide C. Paroi épaisse > 3 mm D. Septa épais > 3mm, végétation, nodules B. Signes complémentaires A. Atteinte pariétale ou autres organes pelviens B. Atteinte péritonéale, mésentérique ou ommentale, Méta C. Ascite D. Adénopathies 13

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