Prise en charge des conduites addictives

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1 Prise en charge des conduites addictives Intérêt de l hypnose médicale 6 ème Journées Nationales de la Fédération Addiction Marseille le 10/06/2016 Dr Elisabeth Lafont-Battesti

2 Définitions de l hypnose Etat modifié de conscience Capacité d un individu à se représenter des événements et des états suggérés dans son imagination et à les expérimenter comme s ils étaient réels (Auke Tellegen 1979) L hypnose est un état de veille paradoxal (F. Roustang) L hypnose est un état de focalisation de l attention associée à une suspension de l attention périphérique (Spiegel et Spiegel 2004) État de confusion amenant une disparition des limites entre réalité et illusion, entre le conscient et le non-conscient

3 Intérêt de l hypnose en addictologie Prévention / intervention précoce: éducation thérapeutique, rechute Soins: Réponse thérapeutique supplémentaire Technique non allopathique, alternative ou adjuvante, non iatrogène en complément ou pas des autres techniques, pour une prise en charge globale du patient et en lien avec les autres professionnels de santé

4 Les bénéfices de la thérapie Remettre en mouvement quelque chose de figé, de cristallisé Redonner de l énergie Favoriser la neuroplasticité cérébrale Faciliter les décisions et résolutions du patient; le thérapeute étant un guide, un catalyseur, un potentialisateur des ressources du patient Le patient: acteur de sa guérison Travailler sur les émotions, les sensations, les symptômes Faire émerger le cerveau limbique, les affects, «l enfant qui est en soi» par rapport au «censeur intérieur» Apprentissage de l autohypnose; de la boîte à outil au patient afin que la patient l utilise quand nécessaire (douleur, gestion du stress, phobie )

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6 Résumé: Intérêt de l hypnose en addictologie Remettre du mouvement Recréer au niveau neurobiologique la création de neurones, favoriser la neuroplastie Stimuler le circuit de la récompense Faciliter l intention du patient à son sevrage L aider à aller mieux en analysant, si cela est sa demande, les mécanismes de sa dépendance (vide, désir, immédiateté, intolérance à la frustration,,,) Trouver avec lui ses stratégies personnelles et ses motivations pour l aide au sevrage Déconditionner des habitus pour reconditionner à une bonne hygiène de vie et remplacer la béquille du produit ou du comportement avec d autres ressources du patient L accompagner, le soutenir, l encourager dans sa démarche Lui apprendre l autohypnose pour gérer ses manques

7 Difficultés rencontrées Introduire et développer cette culture à l hôpital et dans les structures de soins et de prévention Peu de formations disponibles et difficultés d accès : DU Résistance parmi le corps médical et les professionnels de santé car : non reconnaissance officielle totale avérée (scientifique et par les instances) peur de l inconnu et de ce que l on ne maitrise pas peur de la concurrence, position dogmatique

8 Moyens pour résoudre les difficultés Communiquer (en interne et en externe) Publications Reconnaissance officielle institutionnelle (OMS, académie de médecine, CNOM, rapport AP-HP, rapport Inserm: indication syndrome de stress post traumatique, douleur chez l enfant cancéreux Formations: augmenter l offre de formation (DU, supervisions, DPC ) Diffusion informations (support média): anesthésie sous hypnose Relation de confiance (dans les équipes, avec les partenaires) qui demande du temps: bouche à oreille, adressage, rétro-information aux professionnels de santé

9 Evaluation de l action Certains patients sont en cours de traitement, d autres sont perdus de vue. Pas de relance possible sur les effets de la thérapie car la consultation d hypnose médicale est basée sur un acte volontaire du patient et où les consultations se font à sa convenance et selon ses besoins. Les critères de satisfaction relèvent d avantage du qualitatif que du quantitatif. Importance de réévaluer à chaque consultation l indication de la thérapie qui peut évoluer au fil du temps. Toujours considérer la séance comme pouvant être unique ou la dernière, chaque séance est spécifique et personnalisée. Consultations d hypnothérapie au : Expérience personnelle CHU Conception Marseille service de psychiatrie, en tant que vacataire (janvier 2014 août 2015) Centre Hospitalier d Allauch, service d addictologie de niveau 2 (sevrages complexes) en tant que PHC (depuis octobre 2015)

10 Rapport d activité Au CH d Allauch Octobre 2015 à mai Soit 7 mois d activité: le mardi après-midi, de 13H30 à 17H30 Durée de consultation d 1H en moyenne. Il est donc possible au maximum de proposer une séance à 4 patients

11 Le cadrage des séances d hypnose En préambule aux séances sont annoncées aux patients les indications de l hypnose médicale et ses modalités. L hypnose médicale est une thérapie brève (de 4 à 10 séances en moyenne, à l instar des TCC), une technique thérapeutique complémentaire, non allopathique, qui ne relève pas du miracle ou de la magie, qui ne dispense pas des autres thérapies et traitements institués. Elle nécessite une participation active de la personne dans le processus de sa guérison et/ou de son mieux-être, le patient conserve à tout moment son libre arbitre. L idée principale développée est que chacun porte en soi, les prémices de sa prise en charge et de son auto-guérison, le thérapeute est là pour accompagner le changement. A chaque séance sont reconsidérés le motif de consultation, les motivations, les objectifs, les évolutions avec ratification des points positifs, le diagnostic, les ressources et résiliences personnelles. Sont également notifiés les rêves, les associations d idées, les loisirs, les phobies, les habitus, les résistances.

12 Evaluation de l action au CH d Allauch Le nombre de consultations réalisées sur 7 mois (octobre 2015 à mai 2016) : 88 consultations Soit 53 patients : 49 ont consulté pendant cette période + 4 patients (non demandeurs). Moyenne d âge 48 ans (min: 18 ans; max: 69). Sexe: 20 H, 33 F Le nombre de séances varient de 1 à 6 (1.67 en moyenne) pendant cette période. Le recrutement s est fait pour: - 39 patients à partir de consultations externes - 14 patients en hospitalisation: 4 en MCO, 3 patient en SSR, 7 patients par l HDJ. En consultation externe, les motifs de thérapie ne se limitent pas uniquement aux pratiques addictives. 33 patients pris en charge en Addiction : pour sevrage tabac (12), alcool (12), jeu (1), achat compulsif (1), TCA (trouble du comportement alimentaire : 3), opiacés (2), cocaïne (2)

13 1 er motif de consultation: - addiction tabac : 12 - addiction OH : 12 - TCA : 3 - addiction cocaïne : 2 - addiction opiacés : 2 - addiction jeu : 1 - addiction achat compulsif : 1 2 ème motif de consultation: Motifs de consultations - addiction tabac: addiction OH : TCA : 2 - poly addiction: OH, cannabis, tabac: 1 Diagnostics et/ou comorbidités: dépression, SSPT, névrose (anxiété, phobie, TOC), trouble bipolaire

14 Rapport d activité (suite): motifs de consultation 1er motif de consultation ème motif de consultation

15 25 20 Rapport d activité (suite): diagnostics 1er diagnostic ème diagnostic (Psycho)pathologies duelles voire triples,,, Trouble de la personnalité, traumatisme(s), trouble psychiatrique avec addiction automédication? addiction OH anxiété Dépression SSPT TDAH Trouble de l'humeur douleur maladie de Crohn

16 Evaluation de l action (suite) Sur les usagers: Nombre de consultations réalisées Sur l équipe et la conception de travail: Bénéfices de cette thérapie adjuvante Le moment opportun de la thérapie au cours de la prise en charge Les indications Douleur Gestion de l anxiété Aide au sevrage, aide à la consolidation du sevrage Les non-indications, les contre-indications Sur la structure et la vie associative: Nouvelle approche relationnelle soignant-soigné Prise en charge des soins douloureux Sur l environnement et les partenaires CSAPA, ELSA,,, Professionnels libéraux Autres hôpitaux, cliniques, structures

17 Evaluation sur la conception du travail A quel moment proposer l indication? Court séjour Moyen séjour HDJ Consultation externe Pour quelles indications? Urgences: crise d angoisse, attaque de panique, douleur Entretien motivationnel Théorie du changement Aide au sevrage (total ou partiel) Prise en charge des comorbidités Consolidation du sevrage

18 Crise d angoisse, attaque de panique : Indication _ Urgences M. JLC, 52 ans, sevrage éthylique en service court séjour (MCO) : agression violente par voisin de chambre. Reviviscence d actes de violence dans l enfance, peur de sa propre violence. 1 séance Crise d angoisse, gestion du craving Mme NR, 41 ans, sevrage éthylique. ATCD de SSPT 2 séances : 1 en MCO, 1 en HDJ (à sa demande). Apprentissage de l autohypnose Douleur, anxiété Mme CG, 48 ans, patiente en sevrage morphinique, instauré pour multiples douleurs ( END: 8/10) 2 séances : 1 en MCO, 1 en HDJ (à sa demande). Apprentissage de l autohypnose

19 Indication en moyen séjour (SSR) M. CM, 69 ans, sevrage éthylique, phobie de chute, 1 séance Mme NS, 47 ans, sevrage OH, ATCD TS, SSPT, crise de spamophilie, 1 séance Mme MM, 48 ans, sevrage Bzd, crise d angoisse, craving, 1 séance Indication en HDJ A LA DEMANDE DU PATIENT Mme CJ, 36 ans, sevrage opiacés, est sous TSO, fibromyalgie, dépression, motif de consultation: TCA (grignotage) et achats compulsifs. 3 séances M. AM, consolidation sevrage éthylique et cannabis, motif de consultation: pour cauchemars et troubles du sommeil, puis sevrage tabac. 5 séances M. LT, sevrage éthylique, motif de consultation: sevrage tabagique. 2 séances

20 Conditions de réussite de l action, de poursuite et de pérennisation au sein de la structure Partager le rapport d activité de la discipline et évaluation des pratiques au sein de l hôpital : Evaluation des bénéfices de la thérapie pour les patients Le nombre de consultations réalisées dans la discipline Reconnaissance comme une technique supplémentaire dans l aide au sevrage, total ou partiel (maitrise des consommations ou du comportement): Adressage par les PS de patients pour une prise en charge Adressage par d autres patients pour une prise en charge (bouche à oreille) Transmettre un savoir, une expérience, partager avec les autres soignants, voire les former

21 Reconnaissance de la pratique par les instances Références OMS En 2002, on note le lancement par l'oms de la première stratégie mondiale pour les médecines traditionnelles ou parallèles En 2013, L EMDR, une thérapie préconisée par l OMS pour le traitement des chocs posttraumatiques. Rapport médecines complémentaires à l Assistance Publique - Hôpitaux de Paris. Recommandations du Comité d orientation en matière de Médecines complémentaires à l AP-HP. Rédacteurs : Pr Jean-Yves Fagon, Dr Catherine Viens-Bitker. Mai Rapport de l académie de médecine en 2013 (gestion de la douleur lors de gestes invasifs chez l enfant et l adolescent et les effets secondaires des chimiothérapies anticancéreuses, EMDR pour SSPT) Rapport de l Inserm à la demande de la DGS: «Evaluation de l efficacité de la pratique de l'hypnose» ( ) Une quinzaine de DU d hypnose médicale en France

22 Publications Les publications relatives aux essais cliniques dans l hypnose sont nombreuses : La base PubMed recense depuis janvier 2007 environ 250 articles pour hypnosis clinical trials, dont plus de 60 essais contrôlés ou revues d essais contrôlés concernant les applications de l hypnose. Contributions personnelles: Article addiction et pec par l hypnose, revue «hypnose et thérapie brève» n 38 (2015) Mémoire DU hypnose médicale: «L hypnose médicale, une approche en santé publique» ( ) Mémoire DIU addictologie : «Apport de l'hypnose médicale dans la prise en charge des conduites addictives» ( )

23 Conclusion L intérêt de l hypnose médicale dans la prise en charge des conduites addictives Hypnose médicale : mettre en mouvement, recherche équilibre, homéostasie, potentialise ressources personnelles La preuve de l efficacité de la thérapie? Traitement médicamenteux «miracle» en addictologie? Communiquer, convaincre de la complétude des prises en charge / complexité de l addiction (recherches génétiques, anatomiques, neurobiologiques, comportementales, environnementales) et de ses comorbidités

24 Merci pour votre attention

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