RAPPORT ANNUEL Quest for Growth

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1 RAPPORT ANNUEL Quest for Growth

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3 [ 3 ] Lettre du Président aux actionnaires 4 Profil, objectif, politique 6 Corporate Governance 7 Le Conseil d Administration 8 Chiffres-Clés 13 Rapport d Investissement 15 Rapport du gestionnaire des investissements 15 Développements sectoriels 18 Portefeuille 35 Composition du portefeuille: par pays 35 par secteur 35 par marché 35 Participations au 30 juin Profils d entreprises: Sociétés non-cotées 37 TABLE DES MATIÈRES RAPPORT ANNUEL QUEST FOR GROWTH 2003/2004 Fonds de capital-risque 38 Sociétés cotées 39 États financiers 55 Bilan 55 Compte de résultats 55 Affectation du résultat 56 Positions hors bilan 56 Événements survenus après la clôture du bilan 56 Annexe aux comptes annuels 57 Règles d évaluation 59 Rapport du Conseil d Administration 61 Rapport du Conseil 61 Rapport du Comité d audit 63 Rapport du Commissaire 64 Glossaire 66 Informations générales 69 Calendrier Financier 74 Informations-clés 75

4 [ 4 ] Chers actionnaires, Après trois années nettement déficitaires dues à la morosité des marchés boursiers, Quest for Growth a tiré parti de l'amélioration des conditions de marché pour réaliser un résultat positif des plus encourageants. Le renversement de tendance dont ont bénéficié les actions technologiques à partir de la fin 2002 s'est poursuivi tout au long de l'année 2003, avant d'atteindre un sommet dans les premières semaines de Depuis, le marché a connu une évolution latérale toujours en cours à la fin de notre 6e exercice comptable, soit au 30 juin LETTRE DU PRÉSIDENT AUX ACTIONNAIRES Si les marchés se sont certes redressés grâce à une amélioration de l'économie, à un environnement monétaire longtemps marqué par de faibles taux et à une amélioration sensible des résultats d'entreprises, le marché des valeurs non cotées est resté quant à lui en veilleuse et n'a donné de signes d'un regain d'activité qu'au second semestre, en particulier dans le domaine des sciences de la vie. Logiquement, cette évolution a coïncidé avec une timide réouverture du marché des introductions, qui semblait devoir se concentrer sur le secteur biotechnologique et fournit une bouffée d'oxygène à l'activité de capitalrisque. De fait, les investisseurs en valeurs non cotées, qui y virent l'occasion de se dégager de certaines participations en portefeuille, se sont alors mis en quête de nouveaux investissements, encourageant dès lors les sociétés technologiques à annoncer de nouveaux tours de financement. Reste à voir si ce redressement toujours fragile et de surcroît réparti de manière inégale entre les marchés nationaux européens pourra se poursuivre si l'activité perd progressivement le soutien de la faiblesse historique des taux d'intérêt et l'impulsion de nouveaux avantages fiscaux substantiels.

5 [ 5 ] Au cours de l'exercice écoulé, Quest for Growth a réussi à intensifier son activité tant dans le segment des actions cotées que dans celui des valeurs non cotées. Le volet des valeurs cotées affiche un joli résultat, tant en termes absolus que relatifs. Sur la même période, l'activité dans le segment des valeurs non cotées a repris puisque trois nouveaux investissements ont été faits après trois années marquées par l'absence de tout nouvel investissement. Tous trois concernent des participations prises dans le domaine des sciences de la vie. Deux entreprises dans lesquelles Quest for Growth détenait une participation ont été introduites en Bourse. Cela prouve que la stratégie consistant à se concentrer sur des entreprises à un stade de développement avancé et qui permettent d'entrevoir une sortie dans les 3 ans, est payante si l'on a procédé à une sélection minutieuse des entreprises et si les conditions de marché sont favorables. Quest for Growth a continué d'accorder une attention toute particulière au corporate governance et à la transparence de la communication. Le marché a reconnu ces efforts en la désignant une fois de plus parmi les lauréats des deux prix de la meilleure information financière remis en Belgique. Par ailleurs, l'exercice a été marqué par des modifications au contrat conclu avec notre gestionnaire de fonds, Quest Management. Dans le cadre d'un accord général, les deux parties ont signé un amendement au contrat existant, visant à réduire sensiblement la commission annuelle accordée au gestionnaire. Une autre étape a été franchie lors de l'assemblée Générale Extraordinaire réunie en janvier 2004, laquelle a approuvé l adaptation des rétributions liées au résultat. De manière générale, on s attend à ce qu après un certain temps, la commission fixe payée à Quest Management, déjà réduite, soit remplacée par une rémunération liée à la performance si et lorsqu un dividende est payé aux actionnaires. Toutefois, en raison du solde des pertes reportées des exercices précédents, il ne sera payé aucun dividende ni rétribution liée au résultat pour l'exercice Quest for Growth a également salué l'arrivée d'un nouveau CEO à la tête de Quest Management. M. René Avonts a accepté la fonction d'administrateur délégué de Quest Management et sera à ce titre le représentant permanent de Quest Management au Conseil d'administration de Quest for Growth. René a siégé durant plusieurs années au comité exécutif de l'une des plus grandes banques belges, assumant diverses responsabilités dans des domaines tels que les marchés financiers, le corporate finance et les participations non cotées. A ce titre, il a siégé au Conseil d'administration de Quest for Growth depuis l'entrée en Bourse de cette dernière. Tant son expérience acquise que sa connaissance de Quest for Growth lui ont permis d'assurer une transition tout en douceur et efficacité à la barre de Quest Management. A maints égards, Quest for Growth semble avoir abordé au cours de l'exercice un tournant décisif qui ouvre la perspective d'une croissance significative dans ses différents domaines d'activité. Pour ma part, je suis convaincu que Quest for Growth n'a jamais été aussi bien placée pour réaliser ses missions stratégiques au bénéfice de ses actionnaires. Dr. Jos B. Peeters Président

6 PROFIL, OBJECTIF, POLITIQUE [ 6 ] Quest for Growth se concentre sur des entreprises technologiques européennes de croissance dans des secteurs tels que la biotechnologie, la médecine, les soins de santé, la technologie de l'information, les logiciels, l'électronique, les nouveaux matériaux, et saisit les opportunités spécifiques qui se présentent dans d'autres secteurs de croissance. Les fonds gérés s'élèvent à 59 millions d'euros au 30 juin Quest of Growth est cotée à Euronext Bruxelles depuis le 23 septembre La Pricaf, créée en vertu de l'arrêté royal du 18 avril 1997, est un organisme de placement créé tout particulièrement dans le but de fournir un cadre approprié aux investissements en capital-risque et dans des sociétés en croissance. La Pricaf est un fonds de type "closed-end" (fermé) régi par les règlements de la Commission Bancaire et Financière belge et soumise à des règles spécifiques en matière d'investissement et de distribution des dividendes: RÈGLES D'INVESTISSEMENT - 50% du portefeuille, au moins, doit être investi en actions; - 70% du portefeuille au moins (investissements autorisés) doit être investi dans: > des sociétés non cotées; > des sociétés cotées sur un marché de croissance et 1 ou > des fonds de capital-risque poursuivant une politique d'investissement analogue à celle de la Pricaf Toutefois, les investissements dans les sociétés cotées sur un marché de croissance ne peut jamais excéder 50% des investissements autorisés. La société ne peut pas investir plus de 20% du portefeuille dans une seule entreprise, ni investir plus de 6,2 millions d'euros dans une seule entreprise au cours du même exercice. AVANTAGES FISCAUX La Pricaf bénéficie d'importants avantages fiscaux, lesquels ne s'appliquent que pour autant que les règles d'investissement sont respectées et que: - tous les investissements sont faits dans des entreprises soumises à un régime fiscal normal; - au moins 80% des bénéfices réalisés au cours de l'exercice fiscal sont distribués à titre de dividendes. (Quest for Growth prévoit dans ses statuts qu'au moins 90% du bénéfice réalisé doit être distribué.) Dividendes: La partie du dividende issue des plus-values sera exempte de précompte mobilier. Le solde sera soumis à un précompte mobilier de 15%. Particuliers: Le précompte mobilier prélevé est considéré comme impôt libératoire; Sociétés: 95% des revenus dividendaires bruts issus des plus-values sont déductibles du bénéfice imposable (Revenus Définitivement Taxés); le précompte mobilier peut être déduit de l'impôt des sociétés. Plus-values: Particuliers: Exonérées d impôts; Sociétés: Soumises aux impôts des sociétés ordinaires. POLITIQUE D'INVESTISSEMENT Quest for Growth investit dans des entreprises de croissance en vue de convertir les plus-values en revenus exonérés d'impôts par le biais de la structure de la Pricaf. La plus grande partie du portefeuille est investie dans des entreprises en croissance cotées sur des Bourses d actions européennes (Euronext, London Stock Exchange, Deutsche Börse, etc.) et sur d'autres marchés réglementés. En vertu des règles régissant la Pricaf, cette partie ne peut pas dépasser 65% des actifs à partir du 30 juin 2003, période ayant été étendue pour Quest for Growth au 30 juin 2005 par deux décisions successives de la CBFA. Le solde sera investi dans des sociétés non cotées dont l'intention est d'entrer en Bourse dans un délai de 36 mois. Les investissements dans des start-ups ou des sociétés à un stade précoce de développement sont admis mais resteront l'exception. 15% maximum des actifs peuvent être investis dans des fonds de capital-risque ou de sociétés non cotées poursuivant une politique d'investissement compatible avec celle de Quest for Growth. 1 Sont définis comme tels par la Commission Bancaire et Financière belge: NASDAQ Europe, NASDAQ, Le Nouveau Marché (Belgique), Le Nouveau Marché (France), Neuer Markt (Allemagne), Nuovo Mercato (Italy), NMAX-New Market (Pays-Bas) et Alternative Investment Market (R.U.).

7 CORPORATE GOVERNANCE Quest for Growth est régie par une série de règles imposées par le droit des sociétés, par l'arrêté Pricaf en particulier, ainsi que par des règles figurant dans le code éthique qui s'applique aux administrateurs de la Pricaf, de Quest Management S.A. et de son personnel, à la banque dépositaire et aux conseillers en investissements. Quest Management S.A. est le gestionnaire des investissements de Quest for Growth S.A. Le Conseil d'administration de Quest for Growth compte 11 membres. Quatre administrateurs sont désignés par les détenteurs d'actions de type A, quatre autres par les détenteurs des actions de type B. Le Conseil d'administration a également créé un comité d'audit. Ce comité audit a ensuite été institué statutairement par décision de l'assemblée Générale Extraordinaire de février Il est composé de quatre administrateurs, dont trois sont indépendants, parmi lesquels son Président. La fonction première du comité d'audit est d'assister le Conseil d'administration dans l'exercice de ses responsabilités de surveillance en vérifiant: - la qualité et l'intégrité des processus d'audit, comptables et financiers de la société; - les rapports financiers et les autres informations financières fournies par la société aux actionnaires, aux autorités et au public; - le système de contrôle interne de la société et relatif aux finances, à la comptabilité, à la conformité aux lois et à l'éthique, établi par la direction et le Conseil d'administration. Désormais, la surveillance de la gestion journalière de la société par son administrateur délégué, qui était assumée auparavant par deux administrateurs indépendants désignés à cette fin par le Conseil d'administration, est assurée de la même manière par le comité d'audit. Celui-ci est notamment chargé de contrôler toute transaction ou situation dans lesquelles une des personnes suivantes a un intérêt direct ou indirect dans une transaction de la société: - la société de gestion ou la banque dépositaire; - les personnes liées à la société de gestion ou à la banque dépositaire; - les membres du conseil, les administrateurs et les personnes responsables de la gestion journalière de la Pricaf, de la société de gestion ou de la banque dépositaire. Le Commissaire-réviseur statutaire, responsable du contrôle des comptes, est également tenu de faire rapport spécial sur ces situations dans son rapport annuel. Le comité d'audit dispose d'un accès direct et illimité à toutes informations et à tout membre du personnel détenteur d'informations utiles à l'accomplissement de ses devoirs et peut disposer de toutes les ressources nécessaires à l'accomplissement de ses tâches. Le comité entretiendra une communication libre et ouverte avec les auditeurs et la direction de la société. La gestion journalière de la société doit se conformer au principe général de la législation relative à la Pricaf, selon laquelle la société doit être gérée dans le seul intérêt des actionnaires (art. 24 de l'arrêté royal du 18 avril 1997). De plus, la société est tenue d'agir en vertu des articles 523, 524 et 529 du Code des sociétés belge. Ces articles contiennent des dispositions spéciales qui sont d'application dans le cas où une société représentée par un administrateur a un intérêt commercial dans la décision relevant du Conseil d'administration. [ 7 ] CONSEIL D'ADMINISTRATION Dr. Jos B. Peeters Président Quest Management SA Administrateur Délégué, représentée par M. René Avonts, Administrateur Délégué Quest Management SA Bergendal & CO SPRL Vice-Président, Administrateur Indépendant représentée par Comte Diego du Monceau de Bergendal Tacan SPRL Vice-président, représentée par M. Johan Tack Euro Invest Management SA Administrateur, représentée par Prof. Philippe Haspeslagh De Meiboom SA Administrateur, représentée par M. Leo Claeys M. Patrick Millecam Administrateur Auxilium Keerbergen SPRL Administrateur Indépendant, représentée par M. Frans Theeuwes Gengest SPRL Administrateur Indépendant, représentée par M. Rudi Mariën Prof. Koen Debackere Administrateur Indépendant M. John Boeckmann Administrateur Indépendant

8 LE CONSEIL D'ADMINISTRATION [ 8 ] Le Conseil d'administration de Quest for Growth compte 11 membres. Quatre administrateurs sont désignés par les détenteurs d'actions de type A, quatre autres par les détenteurs des actions de type B. Le critère d'indépendance est basé sur des évolutions récentes en matière de corporate governance, notamment sur la définition qu'en a donnée la loi belge du 2 août 2002 relative à la bonne gestion des sociétés. Les administrateurs suivants ont déclaré se conformer à ces critères: Bergendal & CO SPRL, représentée par Comte Diego du Monceau de Bergendal Auxilium Keerbergen SPRL, représentée par M. Frans Theeuwes Gengest SPRL, représentée par M. Rudi Mariën Prof. Koen Debackere M. John Boeckmann DR. JOS B. PEETERS PRÉSIDENT Jos B. Peeters est fondateur et administrateur délégué de Capricorn Venture Partners SA. Pendant sept ans, il a occupé le poste d'administrateur délégué de BeneVent Management, une société belge de capital-risque liée au Groupe Kredietbank-Almanij. Auparavant, J.B. Peeters avait travaillé pour PA-Technology, groupe international de conseillers dans le secteur technologique, ainsi que pour Bell Telephone Manufacturing Company, qui fait aujourd'hui partie d'alcatel. Le Dr Peeters est belge. Il a obtenu le grade de docteur en sciences physiques à l'université de Louvain. Il a également été président de l'european Venture Capital Association (EVCA) et a dirigé le groupe de travail qui a créé l'european Association of Securities Dealers (EASD). Cofondateur de l'easdaq, il est aujourd'hui administrateur de EASDAQ (antérieurement NASDAQ Europe). BERGENDAL & CO SPRL VICE-PRÉSIDENT, ADMINISTRATEUR INDÉPENDANT REPRÉSENTÉE PAR COMTE DIEGO DU MONCEAU DE BERGENDAL Comte Diego du Monceau de Bergendal apporte à la société une riche expérience du management au plus haut niveau. Après une brillante carrière dans le corporate finance chez Merrill Lynch et la Swiss Bank International Corporation, il rejoignit le groupe GIB où il se hissa au poste d'administrateur délégué avant de devenir Chief Executive Officer. Aujourd'hui, Diego du Monceau occupe la vice-présidence de Continental Bakeries (Pays-Bas) et la présidence du Comité exécutif d'e-capital, tout en assurant la fonction d'administrateur indépendant chez ING Belgium, IBA (Ion Beam Applications) et WE International, et en siégeant au conseil d'administration de plusieurs organisations sans but lucratif.

9 [ 9 ] TACAN BVBA VICE-PRÉSIDENT REPRÉSENTÉE PAR M. JOHAN TACK Johan Tack est licencié en science économiques et titulaire d'une licence spéciale en Management de l'université de Gand. Depuis 1976, il a exercé plusieurs fonctions commerciales et de gestion à la Générale de Banque (aujourd'hui Fortis Banque). En tant que membre du Comité Exécutif de Fortis Banque, il a été responsable des départements Marketing, Finances et Contrôle ( ), Asset Management ( ) et Crédits ( ). M. Tack a également fondé la Vlaamse Investeringsvennootschap (aujourd'hui Fortis Private Equity) en 1981 dont il a été Managing Director jusqu'en 1983 et Administrateur jusqu'en Aujourd'hui, il siège en tant qu'administrateur indépendant au sein de différents conseils d'administration, parmi lesquels ceux de Samsonite Corp. et de City Hotels. Il assiste également différentes sociétés en sa qualité de partenaire d'oc&c Strategy Consultants, un groupe international de conseils en gestion. QUEST MANAGEMENT SA ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ REPR. PAR M. RENÉ AVONTS ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ QUEST MANAGEMENT SA Quest Management, chargée de la gestion du portefeuille de Quest for Growth, exécute les études de due diligence, recommande les décisions d'investissement et de désinvestissement, contrôle et évalue le portefeuille. Ingénieur commercial issu de l'université de Louvain (K.U. Leuven) en 1970, René Avonts a entamé sa carrière au département IT de Paribas Belgique avant de rejoindre en 1972 le département International dont il assuma la responsabilité à partir de En 1995, il fut élu membre du Comité exécutif et Administrateur chargé des départements Capital Markets et Corporate Banking. Depuis 1998, il siège au Comité exécutif d'artesia Banque et de la BACOB, responsable des Marchés Financiers et de l'investment Banking ainsi que d'artesia Securities, la filiale boursière rebaptisée Dexia Securities après la reprise d'artesia par Dexia en Il quitta la banque en mars 2002, lors de la fusion juridique entre Dexia et Artesia. Il fut ensuite nommé Administrateur et CFO d'elex SA, l'actionnaire de référence de sociétés comme Melexis, Xfabs et EPIQ. Il rejoignit également Unit International, un investisseur en projets énergétiques en Turquie et au Proche-Orient, au titre de Company Director et CFO. EURO INVEST MANAGEMENT SA ADMINISTRATEUR REPR. PAR PROF. PHILIPPE HASPESLAGH Philippe Haspeslagh est professeur à l'insead, l'école de commerce international dont les campus sont situés à Fontainebleau et à Singapour. Il y occupe la Chaire Paul Desmarais de Partnership and Active Ownership. Il est également professeur à la Vlerick School for Management de Gand. Auparavant, il a enseigné, en tant que "Visiting Faculty member", à la Business School de Harvard ainsi qu'à la Stanford Business School. Il a également occupé le poste de Chef de Cabinet du Ministre belge de l'agriculture et des PME. Ses recherches portent sur les matières des Fusions et Acquisitions, de la Corporate Strategy, du Managing for Value et de la Corporate Governance. Philippe Haspeslagh est directeur académique de la Conference Board's European Council on Corporate Strategy, ainsi que le directeur de la ABN-AMRO Research Initiative in Managing for Value à l'insead. Il siège en outre aux Conseils d'administration de Vandemoortele SA, de Dujardin Foods SA, de Capricorn Venture Partners SA et de Kinepolis. Il est également partenaire non exécutif de Procuritas, une entreprise de buy-out scandinave.

10 LE CONSEIL D'ADMINISTRATION [ 10 ] DE MEIBOOM SA ADMINISTRATEUR REPRÉSENTÉE PAR M. LEO CLAEYS Depuis 1972, M. Claeys est actionnaire de Roularta Media Group. Il a élaboré la structure interne du groupe de presse et est Vice-président du Conseil Administration de Roularta. M. Claeys siège également aux Conseils Administration de SDE Software Solutions, Accentis, Vincent Sheppard Company ainsi que de plusieurs partenariats familiaux. Il assure en outre la Présidence de Cennini Investment Holding. M. PATRICK MILLECAM ADMINISTRATEUR Patrick Millecam est licencié en sciences économiques de l'université de Gand (RUG) et licencié en informatique de l'université de Bruxelles (VUB). Début 1993, P. Millecam entra chez Corluy en tant qu'analyste financier. En tant que gestionnaire de portefeuille, il remporta de nombreux prix pour la Banque Corluy : le Tijd Award pour le return le plus élevé en 1 an dans la catégorie fonds de pension en 1996 et 1997, le Tijd Award pour le return le plus élevé en 1 an dans la catégorie actions belges en 1997, le Tijd Award pour le return le plus élevé en 3 ans dans la catégorie des fonds de pension en 1997 et 1998 et la Sicav de Cristal pour le return le plus élevé en 1 an dans la catégorie des actions belges en P. Millecam est responsable des investissements en actions flamandes (VLAM21), en actions belges (Top Global Belgian Shares) ainsi que du fonds de pension (Top Global Pension) de la Banque Corluy. AUXILIUM KEERBERGEN SPRL REPR. PAR M. FRANS THEEUWES ADMINISTRATEUR INDÉPENDANT Frans Theeuwes est licencié en sciences commerciales et financières de l'université UFSIA à Anvers. Il a exercé la fonction d'account audit partner chez KPMG et de professeur à AHH (aujourd'hui Lessius Hogeschool). Il était chargé de l'audit des banques, compagnies d'assurances et entreprises de haute technologie cotées aux Bourses belge et française, ainsi que de filiales de multinationales américaines, britanniques et nippones. Il avait donc affaire aux normes comptables U.S. SAAP, IAS, U.K. et locales. M. Theeuwes siège comme administrateur indépendant au sein de conseils d'administration locaux et exerce un rôle de consultant pour des sociétés du secteur non marchant en Belgique et à l'étranger. GENGEST SPRL ADMINISTRATEUR INDÉPENDANT REPR. PAR M. RUDI MARIEN Rudi M. Mariën, né en 1945, est cofondateur d'innogenetics, dont il assure la présidence du Conseil d Administration et dont il est actionnaire de référence depuis sa création. Il est également fondateur, actionnaire et Administrateur délégué de plusieurs laboratoires médicaux. En outre, il assume la présidence de BARC SA, un laboratoire clinique central international accrédité et de premier plan spécialisé dans les études pharmaceutiques et dans la réalisation d'analyses dans le cadre de la médecine du travail. Il est titulaire d'une licence en pharmacie de l'université de Gand et d'une spécialisation en biologie clinique.

11 [ 11 ] PROF. KOEN DEBACKERE ADMINISTRATEUR INDÉPENDANT Koenraad Debackere a obtenu un M.Sc. et un Ph.D. en Electrical Engineering and Management au terme de ses études à l'université de Gand et à la MIT à Cambridge aux États-Unis. Il est professeur à temps plein en Technology and Innovation Management à l'université de Louvain (K.U. Leuven). Il a été professeur détaché à l'école Administration de Nimègue et est membre de faculté à la Vlerick Leuven Gent Management School. Il a également été conférencier dans différentes hautes écoles de gestion européennes (Manchester, Kiel, Tilburg, Insead). Il dirige le département de recherches INCENTIM de l'université de Louvain. Ce département a développé une riche expérience dans la recherche fondamentale et appliquée en Technology and Innovation Management. Koenraad Debackere s'est vu attribuer de nombreux prix et nominations internationaux pour ses activités de recherche en matière de technology and innovation management. Il a remporté plusieurs Best Research Paper Awards de l'american Academy of Management et de la Decisions Sciences Institute. Il a signé plus de 70 articles et chapitres d'ouvrages consacrés à cette matière. Il a également été impliqué dans des projets pour la Commission européenne, les gouvernements belge et néerlandais, ainsi que pour plusieurs multinationales. Koenraad Debackere est Administrateur délégué de K.U.Leuven Research & Development et Président du Gemma Frisius-Fonds K.U.Leuven nv, le fonds de capitalrisque de l'université de Louvain. En novembre 1999, il a été nommé à la présidence de Leuven.Inc (Leuven Innovation Networking Circle). M. JOHN BOECKMANN ADMINISTRATEUR INDÉPENDANT Après sa formation d'agent de change, John Boeckmann entra en 1967 chez M&G pour y occuper le poste de Gestionnaire des Investissements pour les actifs britanniques. De 1971 à 1978, il fut administrateur de deux entreprises cotées spécialisées en asset realignment, qui furent toutes deux vendues avec succès. Jusqu'à son départ de M&G en 1997, il géra une vaste gamme de fonds M&G spécialisés en actions, en obligations, en comptes particuliers et caritatifs, en fonds de placement britanniques, en fonds de pension ainsi qu'en comptes spéciaux y compris des comptes américains. A partir de 1985, il a ouvert M&G aux spécialistes, aux fonds de pension et de placement d'europe continentale. En 1997 il rejoignit la Compagnie Monégasque de Banque en tant qu'administrateur responsable de la Compagnie Monégasque de Gestion. Il assiste toujours plusieurs banques portugaises et suisses en sa qualité de consultant.

12 CHIFFRES CLÉS

13 CHIFFRES CLÉS 1/7/ /06/2004 1/7/ /6/2003 1/7/ /6/2002 1/7/ /6/2001 1/7/ /6/2000 Bénéfice net / Perte nette: ( ) ( ) ( ) Bénéfice net / Perte nette /action: 2,36 (2,62) (9,10) (3,60) 20,83 Dividende ordinaire: Dividende aux actions A et B: Bénéfice reporté / Perte reportée: ( ) ( ) ( ) ( ) Dividende ordinaire par action (avant impôts): Dividende ordinaire par action (avant impôts): [ 13 ] 30 juin juin juin juin juin 2000 V.N.I.: V.N.I./ action: 10,89 8,53 11,16 20,26 45,63 Cours de l'action: 7,40 5,30 6,90 15,65 34,89 Cours du warrant: 0,65 0,41 Nombre d'actions: Nombre de warrants: COURS DE L ACTION VOLUME COURS DU WARRANT VOLUME

14 RAPPORT D INVESTISSEMENT

15 RAPPORT D INVESTISSEMENT Rapport du gestionnaire des investissements [ 15 ] INDICATEUR OCDE IFO BUSINESS-CYCLE CLOCK ALLEMAGNE Assesment of Current Business Situation vs. Business Expectations Source: Ifo Business Survey Le rallye des actions technologiques qui a pris cours fin 2002 s est terminé en janvier Après cela, les marchés sont restés compris dans d étroits canaux et ont affiché une volatilité moins grande que nous l avions prévu, sauf les marchés asiatiques. Le premier semestre a été marqué par une hausse des résultats des entreprises, ce qui a permis aux valorisations de rattraper les cours, tandis que la perspective de hausses des taux empêchaient les cours des actions de grimper. Au second semestre, les perspectives des marchés boursiers sont plus floues. Les résultats des entreprises continueront d augmenter dans le sillage de l expansion économique globale, bien à qu un rythme moins soutenu, mais les comparaisons d une année à l autre seront plus difficiles et des déceptions menacent pour les investisseurs si les résultats ne répondent pas aux espoirs tendus, comme ce fut le cas récemment pour les entreprises technologiques. En l absence de moteurs de croissance technologique, et face à la divergence croissante entre les entreprises qui répondent aux attentes et celles qui n y parviennent pas, il s agira avant tout de procéder à la sélection individuelle des actions et donc de rechercher les entreprises dont la demande s annonce stable et soutenue. Selon le dernier rapport de l OCDE, daté du 9 juillet 2004, les principaux indicateurs composés signalaient pour mai 2004 un affaiblissement des performances dans l ensemble du Groupe des Sept plus grandes économies du monde, hormis au Canada. Pour les États-Unis, l indicateur principal de l OCDE a culminé au début de l année. En outre, le ralentissement pressenti au cours des mois précédents, s est accéléré, notamment au Japon et aux États-Unis. Notons toutefois qu il s agit toujours d un ralentissement du rythme de la croissance, et non d une contraction de l activité économique. Les principales raisons qui expliquent ce repli sont le ralentissement de la croissance chinoise, la hausse des taux d intérêt, la baisse des refinancements hypothécaires et la diminution des stimulants fiscaux dans le monde. Le bureau allemand d études économiques Ifo révèle une évolution analogue: en Allemagne, après avoir atteint des niveaux élevés en début d année, les prévisions relatives aux activités économiques ont baissé au cours des derniers mois suite à une concrétisation plus lente que prévu des améliorations des conditions actuelles.

16 RAPPORT D INVESTISSEMENT Rapport du gestionnaire des investissements [ 16 ] INDICES D ACTIVITÉS Cette analyse est confirmée par les données d ISM qui révèlent une baisse d activité et de prix depuis des niveaux très élevés. Source: ISM, Federal Reserve INDICES PRIX PAYÉS Comment expliquer la différence entre l indice des prix à la consommation (qui, dans l ensemble, a fluctué entre 1,5 et 3% au cours des 12 dernières années) et le Prices Paid index de l Institute of Supply Management, qui mesure les prix payés par les entreprises et qui affiche une hausse vigoureuse au cours des deux dernières années et révèle à présent une pression plus élevée sur les prix que les niveaux qu on a connus à la fin des années 90? Le Goldman Sachs Commodity Index (GTX) apporte une partie de la réponse en révélant une forte hausse des prix des matières premières sur les dix dernières années, y compris pendant la période baissière des marchés boursiers sur la période Source: ISM, Federal Reserve US CONSUMER PRICE INDEX Cette hausse est liée à la croissance des économies asiatiques en général, et de l économie chinoise en particulier. Les matières premières représentent une partie importante du coût de production industrielle. Les prix pétroliers (l un des composants du GTX) affichent une hausse similaire et affectent directement les services et les consommateurs (surtout via les prix des carburants). Les hausses à doubles chiffres des bénéfices des entreprises au cours de l année écoulée indiquent que les entreprises n ont pas absorbé les hausses de coûts. Les entreprises américaines ont sensiblement amélioré leur productivité, surtout au niveau de la productivité du travail, en supprimant de nombreux emplois pendant la période de repli de et en attendant ensuite une hausse des commandes avant de rengager une partie de cet effectif. Cette évolution apparaît dans les données hebdomadaires relatives aux demandes d allocations de chômage du ministère américain du travail. Ces rapports révèlent que si les premières demandes sont revenus aux mêmes niveaux qu à la moitié des années 90, les demandes continuelles sont toujours aux niveaux qui étaient les leurs à la fin de la récession de Source: Bureau of Labour Statistics Le renversement du cycle général des taux d intérêt affaiblira toutes les parties fortement endettées et maîtrisant mal leur dette. En Russie et en Chine la banque centrale chinoise tente de ramener la croissance économique à moins de 10% - des problèmes ont surgi récemment dans le secteur bancaire, et

17 [ 17 ] GTX US JOBLESS CLAIMS Source: Dept of Labour CRUDE OIL PRICE Source: Energy Information Agency rien ne permet de penser qu ils seront résolus rapidement, la gestion des banques laissant nettement à désirer dans ces deux pays. Toutefois, les conditions d un effondrement comme celui qu a connu la Russie en 1998 ne semblent pas réunies: la faiblesse du dollar empêche le gonflement excessif de la dette en devises étrangères pour les emprunteurs non américains. Au niveau des prix immobiliers dans des régions aussi diverses que la Chine, l Australie, les États-Unis et le Royaume-Uni, des hausses intenables à doubles chiffres, observées au cours des dernières années, ont été alimentés par la faiblesse des taux d intérêt et par l aversion des investisseurs pour les investissements basés sur les actions après le marché baissier de Ces éléments créent un environnement propice aux accidents financiers majeurs. Si les banques centrales et les gouvernements en sont conscients, les outils dont ils disposent pour gérer les prix des actifs sans stimuler l inflation générale sont limités. Le budget américain reste une source de préoccupation également. Le déficit, qui atteint 4,5% du PIB, est financé presque entièrement par le Japon, la Chine et Taiwan, qui amassent des dollars américains pour éviter toute pression haussière sur leur propre devise. Si l un de ces pays décidait de réduire ses engagements sur le marché obligataire américain, les taux longs partiraient à la hausse de manière rapide et inattendue, accélérant encore les problèmes évoqués ci-dessus pourrait être l année de tous les dangers pour l économie globale. Après les élections présidentielles américaines en novembre 2004, le nouveau locataire de la Maison Blanche sera mis sous forte pression politique afin de s attaquer au dossier du déficit budgétaire dès le début de son investiture. Tant l économie américaine que l économie mondiale pourraient s en trouver ralenties. Mais si rien n est fait pour réduire le déficit, le marché obligataire américain pourrait perdre du terrain, ce qui stimulerait les taux d intérêt et affaiblirait également l économie mondiale. Des évolutions comme celles évoquées ci-dessous sont difficiles à prédire. Elles mettent du temps à se mettre en place mais se développent ensuite avec une grande rapidité et prennent alors généralement la forme de crises. Le mieux est de rester vigilant face aux risques et de se tenir prêt à réagir à tout changement soudain du sentiment. S il se produit, le renversement de la tendance boursière sera dû non pas à une évolution de type fondamentale mais à un changement dans la perception du marché.

18 RAPPORT D INVESTISSEMENT Développements sectoriels [ 18 ] Survol des investissements dans des sociétés non cotées et dans des fonds de capital-risque INTRODUCTION De l avis général, l industrie technologique est en meilleure forme aujourd hui qu elle ne l a été au cours des deux dernières années. La confiance se rétablit, les investissements en capitalrisque se stabilisent et les budgets IT sont revus à la hausse. La technologie va jouer un rôle de plus en plus important dans les activités opérationnelles des entreprises et l innovation permettra de garantir une plus grande utilité au bénéfice de la clientèle, de la productivité et de la croissance. La quête de solutions meilleures, moins chères et plus rapides se poursuit. La mondialisation, l individualisation et la mobilité sont quelques-uns des moteurs du secteur ICT. La technologie aura un impact toujours plus grand ét sur notre manière de traiter en affaires, ét sur notre vie quotidienne. Les processus d affaires actuels requièrent une disponibilité en temps réel de l information, liée à une sécurité de bout en bout. L usine du futur sera basée sur des systèmes intégrés, sur l automatisation, et sur des réseaux, des capteurs et des robots intelligents. Fournisseurs et clients seront intégrés au processus par voie numérique. Des étiquettes intelligentes et le positionnement par satellite permettront de suivre à la trace les mouvements de tous types de biens FIGURE 1 Source: Venture One/Ernst & Young Underlying data avalable in Venture Source

19 [ 19 ] Les objets de la vie courante seront de plus en plus nombreux à pouvoir communiquer et augmenter ainsi le confort des utilisateurs. Des applications seront accessibles de partout et à tout moment grâce à des interfaces mobiles conçus comme des interfaces utilisateurs intuitifs. Au cours des 15 dernières années, la capacité mémoire et le pouvoir informatique des micropuces ont été multipliés par mille grâce aux progrès de la nanotechnologie et des systèmes optiques de traitement des données. Tout indique que ces tendances vont se poursuivre dans les prochaines années. De plus, le nombre d abonnés à la téléphonie mobile dans le monde dépasse aujourd hui le nombre de connexions aux réseaux fixes, et la nouvelle génération de téléphones mobiles peut transmettre environ 50 fois plus d informations que celles d il y a quelques années seulement. Au cours des dernières décennies, la science des matériaux s est révélée l un des piliers principaux de la société industrielle. Les scientifiques, chimistes, physiciens et informaticiens créent sans cesse de nouveaux matériaux sur mesure. Les forces motrices derrière la science des matériaux sont l énorme pression des coûts et les cycles d innovation sans cesse plus courts. De plus, de nouvelles lois environnementales stimulent le développement de nouveaux matériaux plus écologiques. Ainsi, en recourant à la nanotechnologie, un matériau peut revêtir de nouvelles caractéristiques en utilisant des nanoparticules intégrées mesurant entre 0,1 et un 100 millionième de mm. Le capital-risque et les investissements dans les actions non cotées jouent un rôle important dans le processus novateur en fournissant aux entreprises les moyens qui leur permettent d évoluer vers des entités viables en lançant de nouveaux produits sur le marché. SURVOL DES INVESTISSEMENTS EN ACTIONS PRIVÉES ET DE CAPITAL-RISQUE L année 2003 a marqué un tournant important pour les activités d investissement en actions non cotées et pour le capitalrisque. A la fin de l année, la morosité qui prévalait dans les milieux du capital-risque s est dissipée grâce au redressement sensible de plusieurs indices technologiques. On assistait enfin à une augmentation progressive des dépenses IT, une évolution nécessaire au redressement du secteur technologique. Les investissements de capital risque commençaient à se stabiliser et un optimisme prudent faisait état d une hausse future. Tous les signaux anticipent le début d un nouveau cycle de capitalrisque, impliquant des entreprises très intéressantes sorties grandies de la phase de déclin. Une nouvelle énergie a donné un 2003 GLOBAL ACTIVITY BY INDUSTRY (No. OF IPOs) NUMBER OF DEALS BY ROUND CLASS Source: Venture One/Ernst & Young Underlying data avalable in Venture Source

20 RAPPORT D INVESTISSEMENT Développements sectoriels [ 20 ] European Venture Capital Investment by Geography 2003 nouvel élan tant aux investisseurs qu aux entrepreneurs au cours des six derniers mois. MEDIAN PRE-MONEY VALUATION, 1Q01-1Q04 M LE MARCHÉ EUROPÉEN DES ACTIONS NON COTÉES ET DU CAPITAL-RISQUE Au 1er trimestre 2004, 0,6 milliard d euros ont été investis dans les entreprises européennes soutenues par le capitalrisque, via 172 transactions. Le niveau d investissement actuel est inférieur au niveau de la moitié des années 90, lorsque le montant des investissements avoisinait le milliard d euros. Parmi ces investissements, la part des investissements technologiques s est bien maintenue quoique les buy-outs soient davantage favorisés. Les investissements dans les entreprises technologiques en phase précoce de développement font l objet d une plus grande prudence. Source: Venture One Underlying data avalable in Venture Source Le Royaume-Uni reste le plus grand marché de capital-risque d Europe avec quelque 40% des capitaux récoltés et 33% de tous les transactions enregistrées au 1er trimestre Viennent ensuite l Allemagne, la France et la Suède avec chacune quelque 15% des montants investis en Europe. Les entreprises européennes, qui représentent 37% des transactions américaines mais 15% seulement des montants investis, bénéficient d investissements en moyenne bien plus modestes que leurs homologues américains. En 2003 toutefois, les investisseurs américains ont augmenté leurs investissements dans les nouvelles entreprises européennes pour la première fois depuis 2000, malgré l effritement du dollar. Le secteur des soins de santé commence à représenter une plus grande part des portefeuilles de sociétés non cotées européennes, tant en nombre qu en montant investi. Au cours des derniers trimestres, la valorisation préfinancement moyenne des entreprises soutenues par le capital-risque s est hissée à 4,1 millions d euros. D une part, les valorisations sont toujours affectées par le manque d intérêt pour les investissements à risque et par la morosité qui règne dans l environnement du financement. D autre part, les valorisations sont soutenues par l intensification de la lutte pour des investissements de qualité. Il manque des sociétés européennes entreprenantes qui recherchent du capital-risque et dont le modèle d entreprise soit suffisamment attrayant pour justifier un investissements significatif. Comme les investisseurs se tournent

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