La santé mentale: un facteur essentiel à la sécurité publique

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1 La santé mentale: un facteur essentiel à la sécurité publique Société de criminologie du Québec Mai 2009, Saint-Sauveur Christine Perreault, Psychologue, Coordonnatrice régionale, Initiative en santé mentale en établissement Service correctionnel du Canada

2 Prévalence des besoins en santé mentale au SCC Avons-nous un portrait précis de notre population carcérale présentant des besoins en santé mentale? Avons-nous un portrait précis des différents besoins en place? Dx à l admission (hommes): 7 % (1997); 12 % (2007); une augmentation de 71 % en dix (10) ans. Dx à l admission (femmes): 21 % (2006). Prévalence actuelle à l admission: environ 13 %. Problèmes de santé mentale au SCC: trois fois plus répandus que dans la population générale.

3 Prévalence des besoins en santé mentale au SCC Plusieurs délinquants/délinquantes souffrent de TM avant leur admission dans un établissement correctionnel; l acte criminel devient une sorte de manifestation indéniable de la maladie, survient lors d un premier épisode franc de la maladie. Chez d autres délinquants/délinquantes les manifestations de la maladie apparaissent durant l incarcération; les symptômes de certains TM apparaissent au début de l âge adulte et une partie de la population carcérale correspond à ce groupe d âge. Pour ces deux groupes, le stress de l incarcération peut aggraver les problèmes de santé mentale.

4 Prévalence des besoins en santé mentale au SCC Comment expliquer cette augmentation des besoins en santé mentale au sein de la population délinquante? Augmentation dans la population générale canadienne; augmentation des stresseurs de vie, des conditions d adversité rencontrées, etc. Et les substances psychoactives dans tout ça?

5 Stratégie globale en matière de santé mentale Système de justice pénale est devenu un système de soins de santé; Obligations légales (LSCMLSC); Financement précaire mis en lumière par: rapport de l Association canadienne de santé publique (2004), rapports de Bureau de l Enquêteur correctionnel (2004, 2005, 2006 ), rapport sénatorial Kirby (2006); Besoin d une approche complète et structurée en santé mentale; Stratégie globale en santé mentale (2004); Stratégie en santé mentale pour les délinquantes (2002); Initiative en santé mentale dans la collectivité (2005); Initiative en santé mentale en établissement (2007).

6 Stratégie globale en matière de santé mentale Dépistage au moment de l évaluation initiale; Soins primaires; Soins intermédiaires; Soins intensifs: Centre régional de traitement; Soins transitoires: Retour dans la collectivité; Formation du personnel.

7 ISME: Objectifs Dépistage et évaluation des besoins en santé mentale à l admission (Centre régional de réception et Établissement Joliette); Soins primaires en établissement (incluant l Unité spéciale de détention); Soins psychiatriques ambulatoires; Formation du personnel; Promotion de la santé mentale; Prévention et intervention précoce; Traitement et soutien; Continuum de soins; Rôle conseil.

8 ISME: Identification de notre population Identification des besoins en santé mentale de la population carcérale de la Région du Québec; Identification des personnes présentant des besoins en santé mentale au sein de la population carcérale; Suivi des cas et des services offerts durant la période de privation de liberté; Évaluation continue des besoins ainsi que des services offerts.

9 ISME: Dépistage et évaluation à l admission Tests de dépistage administrés à l ensemble des délinquants et délinquantes nouvellement placé(e)s sous la responsabilité du SCC (SIDTMEI); Entretiens cliniques: approfondissement du processus de dépistage; Évaluations approfondies des besoins en santé mentale;

10 ISME: Dépistage et évaluation à l admission Informations collatérales; Références; Établissement d un premier plan thérapeutique, plan individuel de cheminement clinique interdisciplinaire; Discussions de cas avec l équipe de l ISME de l établissement d accueil.

11 ISME: Soins primaires en établissement Bonification des soins ambulatoires psychiatriques en établissement; Équipes ISME: psychologues et infirmiers/infirmières; CRISME; Formation du personnel (correctionnel, de la gestion des cas, professionnels de la santé mentale ); Unité spéciale de détention; Établissement Joliette;

12 ISME: Soins primaires en établissement Plan individuel de cheminement clinique interdisciplinaire (élaboration, mise en application, évaluations répétées); Suivi au chapitre de l adhérence au traitement; Soutien au chapitre des activités de vie quotidienne; Gestion des symptômes négatifs de la maladie et des effets négatifs de la médication;

13 ISME: Soins primaires en établissement Compétences de base dans la résolution de problèmes, dans le contrôle des impulsions et dans le soin de soi; Suivi post-cure; Gestion des situations de crise; Références.

14 ISME: Populations visées Axe I: Troubles mentaux graves (troubles psychotiques; troubles délirants; troubles anxieux; troubles de l humeur); Axe II: Troubles sévères de la personnalité, «agissants», symptomatiques (auto et hétéro-agressifs; irritables; impulsifs; imprévisibles; etc.) avec problèmes d adaptation à la situation immédiate, déficits significatifs au chapitre du niveau de fonctionnement; Atteintes cognitives, déficience intellectuelle, hyperactivité avec ou sans déficit de l attention; Conditions médicales qui entraînent des déficits cognitifs et/ou des symptômes psychiatriques.

15 Défis Complexité des besoins; Complexité de la prise en charge (troubles concomitants, comorbidité); Liens complexes avec le risque criminel; Multidisciplinarité/interdisciplinarité; Volonté/motivation; Manipulation; Imprévisibilité, irritabilité, impulsivité; Durée de vie des interventions; Manque de formation, de connaissances, d expérience

16 L interdisciplinarité: une partie importante de la solution Une équipe multidisciplinaire, une approche interdisciplinaire; Augmentation de la qualité des services; Complémentarité des compétences; poursuite de buts communs; d indices de rendement préétablis (attentes); responsabilité professionnelle partagée; partage du pouvoir et de l autorité mais autour d un intervenantpivot; Continuité dans les services donnés à une personne dont la trajectoire de rétablissement peut être longue et ponctuée de moment de recul (tenir le coup, à long terme, comme intervenant); Partage continu et efficace de l information.

17 L interdisciplinarité: une partie importante de la solution «Seul, on va plus vite; ensemble, on va plus loin.» La gestion en interdisciplinarité est exigeante: multiples consultations; partage du leadership; gestion des divergences de vue; élaboration de plans interdisciplinaires de gestion clinique; évaluation régulière de l atteinte des objectifs fixés; partage des réussites; gestion des conflits au sein de l équipe interdisciplinaire; gestion du clivage et autres processus parallèles en relation d aide; nécessité de se réunir; nécessité d utiliser une approche reposant sur des données empiriques et cliniques solides. Formation et préparation au travail en interdisciplinarité.

18 L interdisciplinarité: Rôles de l infirmier/infirmière de l ISME Évaluer les besoins et les cibles d intervention en santé mentale ainsi que les stratégies à mettre en place; Évaluer l urgence suicidaire et parasuicidaire; Intervenir en situation de crise suicidaire, parasuicidaire et psychopathologique; Intervenir individuellement et/ou en groupe auprès de délinquants présentant des besoins en santé mentale afin de faire la promotion de saines stratégies au niveau des activités de vie quotidienne, de l adhérence au traitement, de l acceptation de la maladie, de la gestion des symptômes résiduels de la maladie et des effets indésirables de la médication Élaborer et assurer le suivi des plans de gestion clinique interdisciplinaire; Assurer la planification et les suivis à la suite des cliniques psychiatriques ambulatoires; Transmettre l information pertinente aux intervenants ayant besoin de savoir.

19 L interdisciplinarité: Rôles du psychologue de l ISME Évaluer les besoins et les cibles d intervention en santé mentale ainsi que les stratégies à mettre en place; Évaluer le risque et l urgence suicidaires et parasuicidaires; Intervenir en situation de crise suicidaire, parasuicidaire et psychoapathologique; Intervenir individuellement et/ou en groupe auprès de délinquants présentant des besoins en santé mentale afin de faire la promotion d un meilleur ajustement émotionnel et comportement (acquisition d habiletés de base dans la résolution de problèmes, d habiletés relationnelles de base, d habiletés de base en gestion de soi (régulation émotionnelle, contrôle des impulsions), d habiletés de base de soin de soi, etc); Élaborer et assurer le suivi des plans de gestion clinique interdisciplinaire; Transmettre l information pertinente aux intervenants ayant besoin de savoir; Assurer un rôle conseil, offrir leadership, soutien et formation au personnel impliqué auprès des délinquants et des délinquantes présentant des besoins en santé mentale.

20 L interdisciplinarité: Rôles de l ALC La prise en charge optimale des personnes incarcérées présentant des besoins en santé mentale implique l apport d informations collatérales; Toutes les conduites problématiques identifiées dans les plans interdisciplinaires devront faire l objet d un suivi au niveau du fonctionnement quotidien de la personne (observations structurées de la part de plusieurs membres du personnel et partage de l information entre ceux-ci et les intervenants de l ISME); L ALC est un intervenant pivot dans la cueillette et la pondération des informations collatérales essentielles à l élaboration, à la mise en application, au suivi et à la réévaluation des plans interdisciplinaires; L ALC est l interface entre le risque criminel et les interventions faites au chapitre des besoins en santé mentale;

21 L interdisciplinarité: Rôles de l ALC Observations au quotidien, à l extérieur du cadre d un contexte de soin (environnement protégé), de la mise en application des stratégies apprises et des moments de faillite de ces dernières; Travail au niveau des autres sous facteurs en lien avec le risque criminel et pouvant être modifiés avec suivi de l impact de ce travail clinique sur la stabilité au niveau de la santé mentale;

22 Besoins en santé mentale et risques Gestion des risques: risque de s engager dans des conduites auto et hétéro-dirigées (agression, suicide, parasuicide); risque d abandonner les traitements pharmacologique et/ou le soutien psychosocial; risque de se placer en situation de victimisation; risque de quitter l environnement de soins; risque de désintéressement face à sa condition, son avenir; risque d automédication; Besoins en santé mentale et risque criminel: adhérence au traitement pharmacologique; collaboration dans le cadre de la surveillance; symptomatologie.

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