Etre conforme aux normes bien-être : bilan positif?

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1 Introduction Diapo 5 : Introduction Aujourd hui, le bien-être animal en élevage fait partie des nouvelles attentes sociétales. Des directives bien-être ont donc été mis en place en élevage pour respecter des normes minimales de bien-être des animaux. Cependant peu d études ont montré l impact que ces directives pouvaient avoir sur l éleveur. Se préoccupe-t-on vraiment de l éleveur? Une étude a montré que l on pouvait classer les éleveurs en quatre catégories, en fonction de leur proximité à l animal. Pour les éleveurs «pour l animal» et «avec l animal», le bien-être animal est une priorité. Ils veulent garantir le bien-être de leurs animaux, alors que pour les éleveurs «malgré l animal» et «sans l animal», le bien-être animal est souvent pris en compte indirectement pour exprimer le maximum du potentiel zootechnique de leurs animaux. Tous les éleveurs semblent donc concernés par le bien-être animal mais pas pour les mêmes finalités. Diapo 6 : Normes Bien-être animal : Quels impacts pour l éleveur? Cependant, l application de ces nouvelles normes implique de nombreux changements dans l élevage : des adaptations structurelles (mise aux normes des bâtiments) mais aussi dans la conduite de l atelier et du travail de l exploitant. Ces modifications peuvent avoir un impact sur les performances des animaux, qui auront des impacts directs sur l économie de l exploitation. Par conséquent, quels sont, pour l éleveur, les opportunités et les contraintes de la mise en place de directives bien-être au sein des élevages? Diapo 7 : Etant donné que peu d études ont été faites sur le sujet, nous avons décidé de traiter quelques exemples précis pris dans les filières bovines et porcines. Dans un premier temps, nous allons étudier les impacts d une directive, effective en ferme depuis 2003, dans un second temps, les conséquences actuelles en élevage d une directive qui doit être appliquée en 2013 et dans un dernier point, comment peut-on anticiper d éventuelles nouvelles directives? Etre conforme aux normes bien-être : bilan positif? Diapo 9 : Directive de 1997 (97/2/CE) La filière «Veau de boucherie» a été la première concernée par les directives «bien-être», en Cette directive impose notamment l obligation de loger les veaux en cases collectives dès l âge de 8 semaines. Elle s accompagne de plus d une augmentation de la

2 surface allouée à chaque animal, cette surface étant déterminée par le poids des animaux. De cette directive ont découlé 2 systèmes de logement et de distribution de l aliment. A savoir que le logement se fait sur paille ou sur caillebotis. Pour la distribution de l aliment, les veaux peuvent être nourris au seau ou au DAL (Distributeur Automatique de Lait). Diapo 10 : Quelles conséquences pour les éleveurs? On a voulu connaître les conséquences de la mise en place de la directive pour l éleveur. Premièrement, concernant les performances zootechniques. Une étude sur des veaux Prim Holstein a montré que la plupart des performances de croissance (durée d élevage, poids carcasse, GMQ) sont équivalentes entre les veaux soumis aux conditions imposées par la directive et ceux logés en cases individuelles. En revanche, cette étude a montré que les nouveaux systèmes de logement et d alimentation induisent une hausse de la mortalité, surtout pour le système DAL. Ceci est sans doute du à une plus grande difficulté de surveillance pour l éleveur, mais aussi à une pression d infection plus importante et une transmission plus rapide des pathogènes. La variation des résultats zootechniques s explique par le choix du système de logement, de distribution de l aliment, mais aussi en grande partie du savoir-faire de l éleveur. Diapo 11 : Ensuite, pour ce qui est des incidences sur le temps de travail, cette étude montre qu il n y a globalement pas de différence de temps selon les systèmes. Il est toutefois important de préciser que le système «seau-caillebotis» est contraignant pour l organisation du travail dans le sens où l éleveur doit nourrir ces animaux plusieurs fois par jour et à heures fixes. Sur ce point, le système DAL est avantageux puisque la distribution de l aliment se fait de façon automatique. En revanche, ce système demande beaucoup de temps eau début de la phase d élevage parce qu il faut un temps d adaptation pour que les veaux s habituent au DAL. Pour les incidences sur les résultats économiques, notons qu il est difficile d évaluer les impacts financiers directement liés à la mise en place des normes «bien-être» puisqu il y a beaucoup d interférences avec les effets dus à la conjoncture des marchés. Cependant, quelques chiffres à titre d indication : il faut compter de 183 à 244 par place pour se mettre aux normes, sur la base d un bâtiment déjà existant. La mise aux normes «bien-être» a donc un coût important pour les éleveurs. Mais il existe des aides financières accordées à hauteur de 40% des investissements avec un plafond de 230 /place et /élevage.

3 Diapo 12 : Directive 97/2/CE : Opportunités ou contraintes? Cette directive a-t-elle été une contrainte ou une opportunité pour les éleveurs? Tout d abord, on a vu que les différents systèmes ont induit une modification des pratiques d élevage mais tout en maintenant les performances zootechniques. Ils ont aussi permis une meilleure organisation du temps de travail et une revalorisation de l image de la filière. Cette directive a été une opportunité pour les éleveurs innovants et techniques. Au contraire elle a été une contrainte pour les éleveurs réticents dès le départ à une modification de leurs pratiques d élevage ou pour les éleveurs moins techniques qui ont plus de difficultés à gérer les problèmes de mortalité. Se convertir aux normes bien-être : à quel prix? Diapo 14 : Directive de 2001 (01/88/CE) La conduite des truies gestantes est soumise à la directive de 2001 qui oblige la mise en groupe des truies au plus tard 4 semaines après saillie et jusqu à 1 semaine avant mise-bas. Ceci s accompagne également d une augmentation de la surface par animal (en fonction du type de l animal et en fonction de la taille du groupe dans lequel il s intègre). Diapo 15 : Quelles conséquences pour les éleveurs? Comme pour la filière veau de boucherie, intéressons-nous aux conséquences de la mise en place de la directive sur les performances zootechniques. Pour plusieurs critères, comme le nombre de porcelets par portée, le nombre de porcelets vivants, la mortalité à 7 jours, le poids à 7 jours, GMQ au cours de la 1 ère semaine ; les résultats zootechniques sont équivalents à ceux obtenus pour les truies conduites en cases individuelles. Cependant, on note une dégradation de l état corporel des truies conduites en groupe à leur entrée en maternité. Ceci se traduit par une épaisseur de lard dorsal plus faible. Ce résultat se retrouve à la sortie de la maternité, mais cet écart est plus faible et n est pas significative sur le plan zootechnique (notamment les performances de reproduction). Diapo 16 : Pour ce qui est des résultats économiques, une étude a été réalisée sur l ensemble des élevages porcins français pour mesurer l ensemble des investissements de mise aux normes. Il ressort de cette étude que 94% des élevages ne répondent pas aux exigences de la directive puisque 79% n ont que des places individuelles et que 15% n ont pas suffisamment de places en groupe. Finalement, ce sont 94% des éleveurs qui vont devoir se mettre aux normes, dont la moitié d entre eux qui auront de lourds investissements. Mais pour pallier en partie à ces investissements, les éleveurs bénéficient d aides plafonnées à hauteur de

4 200 /place et /élevage pour la plupart des exploitations et un plafond légèrement supérieur pour les exploitations en zone montagne ou pour les jeunes agriculteurs, soit 300 /place et /élevage. Diapo 17 : Directive 01/88/CE : Opportunités ou contraintes? Pour faire un bilan de cette directive, sa mise en place n aura pas d incidences sur les résultats zootechniques, elle permettra de revaloriser l image de la filière mais elle nécessitera des coûts élevés. La question est donc de savoir si ces coûts vont être une perte financière pure pour l éleveur ou si celui-ci va avoir un retour sur investissements en valorisant mieux ces produits. Anticiper les normes bien-être : quel avenir? Diapo 19 : Directive de 2001 (2001/93/CE) Au cours de son développement sexuel, le mâle sécrète de l androsténone et du scatol. Ces substances donnent une odeur forte à la viande, qui n est pas désirée par le consommateur. Pour satisfaire ses attentes, la castration est réalisée obligatoirement en France : par l éleveur sans traitement de la douleur avant 7 jours d âge, par le vétérinaire avec traitement de la douleur pour un porcelet de plus de 7 jours. Cependant, une Déclaration Européenne volontaire a été signée le 16 décembre dernier par des acteurs européens de la filière. Elle évoque l obligation, dès le 1 er Janvier 2012, de traiter la douleur pour pratiquer la castration chirurgicale, ainsi que d interdire la castration chirurgicale dès le 1 er Janvier Diapo 20 : Quelles conséquences pour les éleveurs? A l heure actuelle, c est la castration chirurgicale qui est pratiquée en France. Pour l éleveur, qu il traite la douleur de l animal ou non, cette activité est pénible : à vif, les porcelets crient, bougent énormément ; avec anesthésie, qu elle soit locale ou générale, la castration dure plus longtemps et coûte plus cher (coût du produit et intervention obligatoire du vétérinaire). De plus, ces solutions n améliorent que le bien-être des animaux à court-terme, puisque la castration est tout de même réalisée (pas d amélioration du bien-être à moyen et long terme). Diapo 21 : Quelles alternatives? L immunocastration : il s agit d un vaccin qui entraîne la multiplication d anticorps anti-gnrh chez le mâle qui vont empêcher le développement des hormones responsables de l odeur forte. Pour l éleveur, le travail consiste à faire deux injections, donc relativement moins pénible que la castration

5 chirurgicale. Cependant, l injection coûte 3,65 / porcelet et il y a un risque pour l éleveur qui se piquerait accidentellement. La meilleure solution pour garantir le bien-être des animaux est de supprimer la castration, et d élever des mâles entiers, même s il y a plus d affrontements entre les animaux. Points positifs pour l éleveur : les animaux ont de meilleures performances, pas de castration à réaliser, cependant arrivera-t-il à vendre son produit puisque les consommateurs ne veulent pas de l odeur des verrats dans la viande? Difficile à dire. Une solution serait d abattre les animaux plus jeunes, comme c est pratiqué actuellement en Irlande. Une autre solution serait de limiter cette odeur par la génétique et l alimentation des animaux, qui sont des sujets de recherche actuels, ou alors de valoriser systématiquement la viande mâle en produits de 2 ème et 3 ème transformation. La meilleure solution pour garantir le bien-être animal, en évitant le combat entre mâles, serait l élevage exclusif de femelles : pour l éleveur, pas de castration, mais problème du coût du sexage de la semence, qui en plus n est pas une technique totalement au point actuellement. Quoi qu il en soit, si l interdiction de la castration chirurgicale devenait effective, le choix de l alternative de remplacement dépendra avant tout de l avancée de la recherche dans chacun de ces domaines. Conclusion Diapo 21 : Conclusion- Bien-être : opportunités ou contraintes pour l éleveur? Les principales opportunités offertes par les directives «bien-être» sont une valorisation de l image des filières et par conséquent une revalorisation du métier d éleveur. Les directives «bien-être» peuvent aussi être à l origine de la modernisation des élevages, ce qui passe par de meilleures conditions de sécurité et de travail ou encore une meilleure organisation du temps de travail. Mais ces directives sont souvent perçues comme des contraintes supplémentaires pour l éleveur, et sont donc mal vécues. La principale contrainte porte sur les aspects financiers de l exploitation avec la crainte d une baisse importante des revenus et un retour sur investissements incertain. Enfin, certains éleveurs perçoivent ces directives comme une remise en cause de leurs pratiques d élevage et donc comme une dénonciation de leurs pratiques, de leur activité. L enjeu principal aujourd hui est donc de transformer ces contraintes réglementaires en véritables opportunités. Ceci est bien sûr possible mais à un prix élevé. La question est donc de savoir qui est prêt à payer le prix du bien-être animal. Est-ce aux éleveurs, aux consommateurs de plus en plus demandeurs de garantie de bien-être animal ou est-ce plutôt aux finances publiques d assumer la mise en place des directives?

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