UNIVERSITE D ANTANANARIVO FACULTE DE DROIT, D ECONOMIE, DE GESTION ET DE SOCIOLOGIE MEMOIRE DE MAITRISE EN GESTION.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "UNIVERSITE D ANTANANARIVO FACULTE DE DROIT, D ECONOMIE, DE GESTION ET DE SOCIOLOGIE MEMOIRE DE MAITRISE EN GESTION."

Transcription

1 UNIVERSITE D ANTANANARIVO FACULTE DE DROIT, D ECONOMIE, DE GESTION ET DE SOCIOLOGIE MEMOIRE DE MAITRISE EN GESTION Option: MARKETING ENTREPRISE MEDIA, PUBLICITE ET EFFICACITE DE L ENTREPRISE Cas d une campagne publicitaire ARO Présenté par : RAFAMANTANANTSOA Tokiniaina Zo Arnaud Sous l encadrement de : RANDRIAMBOLOLONDRABARY Corinne Maître de conférences Session : 2 septembre 2013 Année Universitaire :

2 i REMERCIEMENTS Notre étude universitaire touche à sa fin. Ces années d études passées dans cette honorable Université ont permis d acquérir des savoirs, connaissances, éducations et expériences nécessaires pour faire face à l avenir. La rédaction de ce manuscrit finale a demandé de longues et éprouvante efforts, mais toujours satisfaisantes et qui nous a permis d aboutir à cette présentation finale. Aussi, nous tenons tout d abord à remercier DIEU tout puissant qui nous a donné la santé, force, et le temps pour réaliser ce mémoire. Nous adressons nos hommages et remerciements aux responsables de l Université : A Monsieur RAMANOELINA Panja Armand René, Professeur Titulaire, Président de l Université d Antananarivo. A Monsieur RAKOTO David, Maitre de Conférences, Doyen de la Faculté de Droit d Economie, de Gestion et de Sociologie ; A Monsieur ANDRIAMASIMANANA Origène Olivier, Maître de Conférences, Chef de Département Gestion ; A Madame ANDRIANALY Saholiarimanana, Professeur d Université, Directeur du Centre d Etudes de Recherche en Gestion. A Madame RANDRIAMBOLOLONDRABARY Corinne, Maître de Conférences, notre Encadreur Pédagogique, qui nous a encadrer et conseiller pour l élaboration du présent mémoire. Nous portons également à lui prouver toute notre profonde gratitude et notre entière reconnaissance pour le temps qu elle a bien voulu nous consacrer tout au long de la réalisation de ce mémoire. A Monsieur RANDRIANANTENAINA Bien Aimé, Attaché de Direction Chargé de la Communication à la compagnie ARO, que nous tenons à remercier pour son soutien et son aide précieux. A tous le corps enseignants et les personnels administratifs du Département Gestion. Je tiens également à remercier spécialement mes parents et à toute ma famille pour leur soutien moral et financier qu ils m ont attribué depuis toujours. Enfin, mes remerciements les plus sincères à toutes les personnes qui auront contribué direct ou indirectement à l élaboration de ce mémoire.

3 ii SOMMAIRE REMERCIEMENTS LISTE DES ABREVIATIONS LISTE DES TABLEAUX. LISTE DES FIGURES INTRODUCTION. PARTIE I : METHODOLOGIE... CHAPITRE I : PRESENTATION ET CADRE THEORIQUE DE L ETUDE... Section 1 : Présentation de l entreprise ARO... Section 2 : Approche théorique de l étude... CHAPITRE II : MATERIELS ET METHODOLOGIES D APPROCHE.. Section 1 : Matériels utilisés... Section 2 : La méthodologie d approche... PARTIE II : RESULTATS. CHAPITRE I : RESULTAT sur la CLIENTELE et PRODUITS ARO... Section 1 : Les résultats de l étude de marché de ARO.... Section 2 : Place du produit «Assurance Retraite» parmi les produits ARO... Section 3 : Résultat sur l évolution du produit «assurance retraite».. CHAPITRE II : LA CAMPAGNE PUBLICITAIRE DE LA COMPAGNIE ARO... Section 1 : Stratégie de communication de ARO... Section 2 : Le déroulement de la campagne publicitaire... Section 3 : Impact de la publicité. PARTIE III : DISCUSSION ET PROPOSITION DE SOLUTIONS. CHAPITRE I : ANALYSE SWOT DES RESULTATS DE ARO... Section 1 : Analyse interne... Section 2 : Analyse externe. CHAPITRE II : PROPOSITION DE SOLUTIONS... Section1 : Proposition de solutions... Section2 : Perspectives de l étude... Section 3 : Validation des hypothèses... CONCLUSION... i iv v vi

4 iii LISTE DES ABREVIATIONS AGF ARO BCG CA CEAM CMAR CSP DAS DSI FANAF FFOM INSTAT IRD MAMA MGA PESTEL PIB SONAPAR SWOT TVM Assurance Générale de France Assurance Réassurance Omni branche Boston Consulting Group Chiffre d Affaire Comité des Entreprises d Assurance de Madagascar Compagnie Malgache d Assurance et de Réassurance Catégories Socio Professionnelles Domaine d Activité Stratégique Département de Système d Information Fédération des sociétés d Assurances de droit National Africaines. Force, Faiblesse, Opportunité, Menace Institut National de la Statistique Incendie et Risque Divers Mutuelle d Assurance Malagasy Malagasy Ariary Politique, Economique, Social, Technologique, Ecologique, Légale Produit Intérieur Brut SOciété Nationale de PARticipation Strength Weakness Opportunity Threat Televisiona Malagasy

5 iv LISTE DES TABLEAUX 1 Les trois composantes d une démarche Marketing Variables des 4P Différentes formes de publicité Chronogramme des activités Score de performance des critères de satisfaction (en pourcentage) Classification des produits ARO Rendement par âge de versement CA assurance retraite en MGA Conception publicité assurance retraite.. 35, Nombre de clientèles retraite ARO CA retraite par rapport aux autres branches en MGA.. 39

6 v LISTE DES FIGURES Logo ARO..... Organigramme ARO Les éléments clés du Marketing... Matrice BCG. Démarche de la réalisation à la distribution..... Analyse PESTEL

7 1 INTRODUCTION La crise financière mondiale ne cesse de peser sur l économie de tous les pays. Elle a mis l économie mondiale en veilleuse. Les pays avancés connaissent leur pire récession depuis la Deuxième Guerre mondiale. Un ralentissement de la croissance est également prévu dans l ensemble des pays émergents. Dans les pays financièrement moins développés comme Madagascar, les effets de la baisse de la croissance économique et du commerce ont dominé. Les effets de cette crise mondiale se sont accentués avec la crise politico-économique qui sévit dans la grande ile depuis Cela s est manifesté par l augmentation du taux de chômage, l inflation exorbitante et la baisse du pouvoir d achat. Selon l INSTAT, le taux de chômage atteint les 5.8% en Quant au taux d inflation en 2012, il a été de 9.8% et la variation du prix à la consommation de cette même année a été de 9.3%. La pauvreté touche de plus en plus la population malgache. En 2005, 68% de la population vivent en dessous de 1.25 dollars par jour mais à présent, elle atteint les barres des 72%. La persistance de l instabilité politique interne de notre nation a eu des répercussions négatives sur la situation économique durant l année 2011 et Le taux de croissance économique réalisé en 2012 était de 0.9% contre une prévision initiale de 2.6%. Selon l INSTAT en 2005, 73% de la population Malgache sont des ruraux. Etant donné que l assurance est un service, elle se situe dans secteur tertiaire de l économie et pèse un poids important vue que c est le secteur clé représentant 63,7% du PIB national. Le vent de la globalisation souffle actuellement à Madagascar. Cette globalisation n est plus un choix à faire ou à ne pas faire, elle est une réalité et s impose aux frontières des pays industrialisés comme celles des pays pauvres. Elle repose, entre autres, sur le décloisonnement des marchés c'est-à-dire que les marchés nationaux voient leurs frontières devenir de plus en plus perméables aux activités économiques étrangères. Concrètement la barrière tarifaire, réglementaire et culturelle s estompe progressivement. La globalisation implique donc une vive concurrence. Pour le cas du secteur d assurances à Madagascar, la situation de duopole était observée jusqu à la fin de l année Les deux sociétés d Etat, à savoir la compagnie ARO et la CMAR HAVANA étaient les seules sociétés d assurances présentes sur le marché. Mais la mutuelle MAMA existe aussi ; elle n opère que dans la branche automobile. Les deux sociétés d ETAT pratiquaient des ententes tarifaires et le pouvoir de négociation des clients était faible. Toutefois, depuis

8 2 l année 2006, la libéralisation du secteur des assurances est effective avec l arrivée sur le marché malagasy des assurances de deux sociétés étrangères de renommée internationale, en l occurrence de l AGF et la COLINA. La situation du marché est donc bouleversée. Ce bouleversement se traduit par une intensification de la concurrence, un pouvoir de négociation élevé des clients et une baisse des parts de marché des deux sociétés d Etat. La mutation du marché exige une remise en cause des méthodes de travail : l organisation, la qualité de service offert, les relations avec les clients, A cet effet, pour pouvoir rester leader dans le secteur des assurances la compagnie ARO devrait faire appel aux techniques moderne du marketing. Le marketing n est pas une science exacte mais elle repose sur des principes conventionnels, divers techniques marketings sont utilisés face à un marché mais ici, le marketing opérationnel est mis en avant en l occurrence les éléments qui composent le marketing mix. Par ailleurs la communication constitue un pilier de cette étude dont découle la publicité media permettant une campagne publicitaire. Le contexte ci-dessus nous amène à poser la problématique suivante : En quel sens la publicité media est-il un élément clé dans une promotion de produit «l assurance retraite»? Une telle question se pose car ces derniers temps, la tendance des entreprises s oriente vers la publicité, concurrence oblige. L entreprise STAR qui effectue de la publicité media malgré qu elle soit leader dans son domaine. C est une sorte de catalyseur pour rendre les activités de l entreprise efficaces et concrètes. La campagne publicitaire du produit «assurance retraite» est à l origine, de l initiative des membres de la Direction Général de la compagnie qui sont conscient des enjeux actuels. Elle est financée par une partie insignifiante du chiffre d affaires d ARO. Pour le cas de notre étude, il s agit d une campagne à l échelle nationale vue que l entreprise couvre presque toute la grande île. Toutefois, pour assurer l efficacité de la campagne publicitaire, le plan publicitaire sera doré avant défini par le département communication ainsi que l entreprise qui sera en charge de la conception et réalisation. L objectif global de ce mémoire est donc de réussir à vendre le produit «assurance retraite» dans le but de faire comprendre aux gens l opportunité de ce produit. Cet objectif global reflète 2 objectifs spécifiques : en premier lieu, celui d amener le produit vers le client dans un but cognitif, affectif, conatif, 3 éléments différents contribuant chacun au même objectif. En second lieu, c est d améliorer l image et la notoriété de l entreprise. Il est évident que dans une situation concurrentielle pareille, une

9 3 campagne publicitaire bien préparé et bien réaliser différencierai des autres. Cependant, la situation réelle oblige à intervenir. En plus, pour réussir, il faut faire preuve de réaction face à l environnement donc rappelé aux gens l existence d ARO. Fort de ce qui précède, le mémoire étant un travail scientifique, nous allons tenter de répondre théoriquement à la problématique. Pour ce faire, nous allons tester deux hypothèses sur terrain et qui fera l objet de repère tout au long de l étude. La première stipule que le produit assurance profite tant à l entreprise qu aux clients. Cette hypothèse repose sur le fait que les intervenants trouvent un intérêt sur le produit. L entente entre tous les acteurs serait un plus pour chacun d eux et la relation sera gagnant-gagnant. La seconde hypothèse affirme qu un bon choix de stratégie de communication garantit l efficacité de la campagne. Notre étude veillera à des résultats attendus. Ils sont au nombre de deux et sont reliés chacun par les hypothèses ci-dessus. Les impacts directs de la campagne seront ressentis sur le chiffre d affaires de la branche VIE. Le travail va se diviser en trois parties : Dans la première partie, nous allons nous baser sur une étude théorique suivie de la description du mémoire. La compréhension du thème et sa mise en situation y seront présentées. En plus, une présentation succincte de la compagnie ARO. En outre, pour mener à bien cette étude, nous avons utilisé des moyens matériels et informationnels. Cette partie évoque aussi la méthode de recherche utilisée durant l étude. La deuxième partie concernera les résultats obtenus au cours des entretiens réalisés auprès des responsables. La présentation de ces résultats sur ARO et ses collaborateurs externe sera étaler à l état brute, sans analyse, ni critique. Les remarques venant des divers acteurs y seront également présentées. La troisième partie sera consacrée à l analyse et apport de l étudiant dans ses recherches. Les interprétations et analyses seront basées sur les résultats obtenus tout en faisant également un diagnostic de ARO pour en dégager les plans d action et son amélioration. Les discussions et propositions de solutions seront articulées suivant les hypothèses de départ. Enfin, l infirmation ou la confirmation des hypothèses de départ suivant nos analyses fera l objet de la conclusion.

10 4 PARTIE I : MATERIELS ET METHODOLOGIES DE RECHERCHE

11 5 Cette première partie concerne la description des méthodes employées ainsi que les matériels mis en œuvre tout au long de l étude. Toute recherche scientifique ou travail de recherche est basée sur le choix de la méthodologie et du matériel que le chercheur privilégie. La méthodologie regroupe les différentes démarches de la recherche et les aspects scientifiques de celles-ci. En premier lieu, le secteur d activités sera mis en exergue. La description de la zone d étude et les acteurs en relation avec celle-ci seront aussi développés. Il est nécessaire de présenter le contenu général du sujet pour un survol théorique dans le domaine de l étude. Dans cette cadre théorique, l explication de certaines théories sur le marketing, le marketing mix, et la publicité media s avère primordiale en se basant bien évidemment sur les auteurs d ouvrage. En second lieu, l étude sera complétée par une collecte d information, à partir d entretiens menés auprès des personnes clé, s en suivent la description des méthodes d approche utilisées, ainsi que les limites de l étude.

12 6 CHAPITRE I : PRESENTATION ET CADRE THEORIQUE DE L ETUDE Dans ce chapitre, nous allons aborder par la suite deux sections distinctes, à savoir en première section la présentation de l entreprise ARO et ensuite en deuxième section une approche concernant les aspects théoriques. Section 1 : Présentation de l entreprise ARO Vu que la compagnie ARO fait l objet de notre étude, il s avère nécessaire de savoir de ce qui concerne cette personne morale leader et l une des plus rentables dans son domaine. 1.1 Identité et historique aperçu de la compagnie ARO La compagnie dispose actions ordinaires de MGA (Malagasy Ariary) chacune. La répartition du capital est fixée comme suit : Etat malagasy : 73,35% Personnel : 16.83%( en activité et retraités) SOciété Nationale de PARticipation (SONAPAR) : 6,59% Petits porteurs : 3.23% Ainsi, l entreprise appartient à l Etat malagasy comme il est actionnaire majoritaire. Par contre, la gestion de la compagnie est totalement privatisée mais elle demeure sous la tutelle du ministère des finances. Aperçu historique Entreprise de prestation de service créée en 1935, la compagnie ARO a pris son origine dans la transformation de l Agence Générale «LA PRESERVATRICE», société anonyme française. Suivant les reformes qui se sont opérées dans le pays en 1974 par l avènement de la malgachisation, elle est devenue «PRESERVATRICE MADAGASCAR» ; une société anonyme de droit malagasy. En 1975, par l ordonnance n du 16 juin 1975, le monopole des opérations d assurances et des réassurances sur le territoire national fut attribué à l Etat malagasy. «PRESERVATRICE MADAGASCAR» devient ainsi une société d Etat à gestion privatisée. La dénomination «PRESERVATRICE MADAGASCAR» fut modifié en 1976 par ARO : Assurances Réassurances Omni branches». Ce sigle définit par excellence la mission que la compagnie se propose de mettre au service de sa clientèle. En effet, ARO signifie littéralement «protection», «défense». Protection des biens et patrimoine de ses assurés, défense par la répartition des préjudices causés au tiers. La compagnie ARO est membre du Réseau GLOBUS à partir de 2008.

13 7 Figure 1 : Logo Source : ARO Antsahavola Ce nom est en lui seul : un symbole, un message, une stratégie 1. Un symbole : parce que son avènement dans l histoire de la compagnie marque la réalisation ou le triomphe des deux idées forces les plus mobilisatrices et sans doute les plus fondamentales de toute l histoire de Madagascar depuis plus de 70ans, à savoir l indépendance et la malgachisation. Un message : parce qu à l égard de la clientèle, nœud central de toutes les réflexions et les actions de la compagnie, ce substantif à la fois significatif en extension et en profondeur (ARO, signifie PROTECTION, DEFENSE, tout ce qui sert à protéger), fonctionnel et mémoriel affirme la mission spécifique de la compagnie et label de qualité qu elle se proposait d imposer et de véhiculer. Une stratégie : parce que le nom ARO, fruit de recherche collective du personnel(les ressources humaines) considéré et se considérant à travers cette démarche et cet acte exemplaire collectif de gestation(ou d enfantement) nominale comme le moteur essentiel de cette nouvelle naissance, devenait désormais responsable de la survie et de la vitalité futures de la compagnie. Slogan-signature : La solidité financière d ARO, d une part, et ses partenariats d autre part, lui permettent d honorer ses engagements envers ses clients et de signer : «Vivre et entreprendre en toute sérénité» «Miaina sy mihary mandry ivohan nyvato» 1 Manuel de procédure ARO ; juillet 2012

14 8 1.2 La structure organisationnelle «La structure met en évidence les lignes d autorité, de communication, les responsabilités. Elle sert à allouer les tâches et à permettre une coordination entre les différents services» 2. La compagnie ARO applique la structure fonctionnelle. Cette structure est fondée sur la séparation des différentes fonctions : commercial, technique, inspection, finance et personnel. La structure fonctionnelle a l avantage de regrouper ensemble tous les spécialistes d une même fonction. Une bonne coordination entre tous ces spécialistes est, toutefois, indispensable pour la bonne marche de chaque fonction et de l entreprise en général. (Cf Figure 2, p8) 1.3 Domaines d activités stratégiques(das) Nous distinguons 03 Domaines d Activités Stratégiques de la compagnie ARO : Assurance, réassurance, placement financier L assurance Le rôle de l assurance ARO est d indemniser ses clients en cas de réalisation d un risque préalablement défini. A cet effet, la compagnie ARO propose une large gamme des produits d assurances pour répondre aux besoins de la clientèle (particulier, entreprise) La réassurance L activité de réassurance permet à ARO de ne pas se contenter de subir les effets de la concurrence à l échelle nationale. La réassurance contribue au développement de la compagnie à l échelle internationale surtout l Afrique Le placement financier L assureur est un gestionnaire de la masse des primes de la mutualité. Le placement des provisions de ARO revêt protéiformes : Bon de Trésor, Dépôt à Termes, titre de participation, placement immobilier, Prêts hypothécaires, Chaque DAS (Domaine d Activité Stratégique) a ses propre concurrents et fait l objet d une gestion à part au sien de la compagnie. Concurrents du DAS «assurance» La compagnie a actuellement 04 concurrents : AGF, COLINA, MAMA, NY HAVANA Concurrents du DAS «réassurance» Les concurrents sur le domaine de la «réassurance» sont aussi nombreux tels que : 2 «Stratégie Organisationnelle»Dubois, Jolibert.1998, p260

15 NY HAVANA, ZepRé, Concurrents du DAS «Placement Financier» Côté placement financier, les concurrents ci-après peuvent être énumérés : Business Parteners et SONAPAR. 9 Dans la présente étude, nous nous concentrerons sur le premier DAS (Domaine d Activité Stratégique) : l activité d assurance compte tenu de son poids dans le portefeuille de la compagnie Figure2 : Source : ARO Antsahavola

16 10 Section 2 : Approche théorique de l étude Pour bien entamer cette approche théorique, il serait intéressant tout d abord d aborder le marketing, ensuite d investir le cadre du marketing mix, et enfin de conclure par la publicité media. Ainsi nous allons constater une suite chronologique. 2.1 Le Marketing Contrairement aux représentations habituellement données dans les manuels de marketing, les travaux d historiens menés depuis près de trente ans montrent clairement que l origine du marketing n est pas exclusivement américaine, mais également anglaise et que cette origine ne date assurément pas des années 1950, mais du 19ième siècle. L histoire officielle du marketing telle que présentée dans la plupart des manuels universitaires, y compris les plus récents, est donc fortement remise en cause. Ces disciplines ont commencé à enseigner à l université au cours des années 60. Depuis le concept de marketing a vu son champ d application, s élargir et de nouvelles orientations sont apparues Qu est-ce que le marketing? Il existe plusieurs définitions du terme "marketing". En voici quelques-unes des plus courantes. «Fonction reliant une entreprise aux besoins et désirs de ses clients afin d'obtenir le bon produit, au bon endroit et au bon moment. Accomplissement des objectifs d'une entreprise au travers d'une meilleure rencontre des besoins du client que celle de la concurrence» 4. Processus de gestion qui identifie, anticipe et fourni efficacement et profitablement les exigences du client. Laquelle de ces définitions est la bonne? Toutes! Elles essaient toutes de définir l'essence du marketing : le marketing concerne la rencontre des besoins et désirs des clients, le marketing est une fonction qui se réparti au sein de toute l'entreprise. Il ne peut agir seul, sans les autres activités de l'entreprise. le marketing doit déterminer les besoins et désirs du marché et, trouver une manière de lui fournir les satisfactions désirées de façon rentable car plus efficaces que la concurrence. 3 Cours «Politique Marketing» 4éme année département gestion, UNIVERSITE D ANTANANARIVO Marketing Gagnant : les grandes théories 2013, Patrice Decoeur, p 5

17 11 Le diagramme suivant récapitule les éléments clés du marketing. Il nous aidera à replacer les différentes fonctions marketing dans leur contexte. Figure 3 : les éléments clés du marketing Source : Marketing stratégique et opérationnel, Jean-Jacques Lambin, 7éme édition, 2010 Le marketing est une discipline de gestion qui comprend un système de pensée, d analyse et d action. L objectif est de décrire le système de pensée, de préciser les fondements idéologiques du concept marketing. En tant que système d action, le marketing remplit un certain nombre de tâches nécessaires au bon fonctionnement d une entreprise opérant dans une économie de marché basée sur l échange volontaire et concurrentiel Les fondements idéologiques du marketing. Entré dans le vocabulaire courant de la langue française, le terme marketing est un mot chargé, et souvent mal compris, non seulement par ses détracteurs, mais également par certains de ses adeptes 5. Trois acceptions populaires se retrouvent habituellement. 1. Le marketing, c est la publicité, la promotion et la vente sous pression, c est-à-dire un ensemble de moyens de vente particulièrement agressifs, utilisés pour conquérir des marchés existants. Dans ce premier sens, très mercantiliste, le marketing s appliquerait principalement dans 5 Marketing stratégique et opérationnel, du marketing à l orientation du marché, Dunod Jean-Jacques Lambin, Chantal de Moerloose, 7éme édition, p.8

18 12 les marchés de grande consommation et beaucoup moins dans les secteurs plus nobles des produits de haute technologie, de l administration publique, des services sociaux et culturels. 2. Le marketing, c est un ensemble d outils d analyse, de méthodes de prévision et d études de marché mis en œuvre afin de développer une approche prospective des besoins et de la demande. Ces méthodes, souvent complexes, seraient réservées aux grandes entreprises mais inaccessibles aux petites et moyennes entreprises. Il s agirait là souvent d un discours hermétique fait de mots américains, dont le coût est élevé et la valeur pratique peu évidente. 3. Le marketing, c est le grand corrupteur, l architecte de la société de consommation, c est-à-dire 9+.d un système marchand dans lequel les individus font l objet d une exploitation commerciale par le vendeur. Pour vendre toujours plus, il faudrait fabriquer continuellement de nouveaux besoins. À l aliénation des individus en tant que travailleurs du fait de l employeur s ajouterait l aliénation des individus en tant que consommateurs, du fait du vendeur. Le langage courant trahit fréquemment cette dévalorisation implicite. «C est un coup marketing» pour signifier une tromperie. «C est du pur marketing» lorsque deux produits identiques sont vendus à des prix différents. «pour des raisons (bassement) marketing» qui sont, en fait, bien plus souvent financières «Il va falloir (se résoudre à) faire du marketing» pour rattraper un lancement raté de nouveau produit, mal conçu à l origine. «C est une bonne opération marketing» pour une action ponctuelle rentable. Il faut voir la démarche marketing complète en trois facettes (voir tableau 2). Une composante action (la conquête des marchés), une composante analyse (la compréhension des marchés) et une composante culture (une philosophie de gestion). Tableau 1 : les trois composantes d une démarche marketing Composantes Orientation Activités Lieu d organisation Action La conquête des marchés Méthodes des ventes Départements des ventes Analyse Compréhension des marchés Les méthodes d analyse et de décision Département marketing ou stratégique Culture Une philosophie de gestion Les orientations de la pensée Direction générale Source : Marketing stratégique et opérationnel, Dunod Jean-Jacques Lambin, Chantal de Moerloose, 7ème édition, 2010.

19 13 La tendance la plus fréquemment rencontrée est de réduire la démarche marketing à la composante action, c est-à-dire à un ensemble de méthodes de vente (le marketing opérationnel), de sous-estimer la dimension analyse (le marketing stratégique) et d oublier la culture marketing sousjacente (l orientation-marché). Est implicite dans cette vision du rôle du marketing l idée de l omnipotence du marketing et de la publicité qui seraient capables de faire tout accepter par le marché, grâce à des actions puissantes de communication qui se résument au faire savoir et au faire valoir, et qui seraient conçues indépendamment de tout souci de satisfaction des besoins réels des acheteurs. 2.2 Le marketing mix «4P» Lorsqu on parle de marketing opérationnel, il nous vient à l idée le marketing mix. Etant donné qu une option de ce dernier nous intéresse et qui est le thème même du sujet, il sera donné cidessous tout l éclaircissement nécessaire pour le concept et l explication de ces grandes lignes Concept du marketing mix L'expression Mix Marketing' est l'une des plus employée en marketing. Le marketing mix est également connu sous le nom des 4 P' : Produit, Prix, Place (distribution) et Promotion (communication) 6. Marketing Mix : ensemble des outils dont l'entreprise dispose pour atteindre ses objectifs auprès du marché-cible. Kotler & Dubois 7. Ce concept est simple. Pensez à un autre célèbre mix (composition), la composition d'un gâteau. Tous les gâteaux sont composés d'œufs, de lait, de farine et de sucre. Vous pouvez cependant modifier le résultat de votre gâteau en changeant les quantités des composants s'y trouvant. Vous ajouterez ainsi plus de sucre pour obtenir un gâteau plus sucré. Il en est de même pour le mix marketing. L'offre faite à votre client peut être modifiée en changeant le contenu des 4 P. Pour une marque de qualité', vous vous concentrerez sur la communication (promotion) et désensibiliserez le poids qu'il pourrait accorder au prix Formulation des grandes lignes de marketing La dernière rubrique de la formulation d un service global de marketing est la définition de ces grandes lignes du marketing mix 8. Cette définition qui n est autre que la traduction concrète de 6 Stratégie de communication Yvan Valssechi, p70, Marketing Gagnant : les grandes théories 2013, Patrice Decoeur, p15 8 Cours Marketing Approfondi 4éme année UNIVERSITE D ANTANANARIVO session 2012

20 14 l ensemble du service adopté (c est-à-dire du dis positionnement et des éléments moteurs retenus) consiste à formuler les options de base relative ou composante du marketing mix : Politique de produit : structure général de la gamme et caractéristique principale de chacun des produits, politique de marque de packaging. Politique de prix : zone ou fourchette de prix retenu pour chaque article, politique tarifaire Politique de définition et de vente : choix des canaux de distributions, politique de marque et d exclusivité, taille et organisation de la force de vente Politique de communication et de promotion : (mottant approximatif, répartition générale, du budget de communication et de promotion, choix de media) Les principales variables d'action marketing sont réparties dans les 4 P : Tableau 2 : variables des «4P» Source : Stratégie de communication Yvan Valssechi, 1ère édition, p70, Evaluation du marketing mix Evaluer le marketing mix, c est se demander si et dans quelle mesure il permettra d atteindre les objectifs généraux qui ont été fixé au service marketing. Ainsi cette évaluation peut et doit se faire d une manière qualitative et d aitre d une manière qualitative. 2.3 Publicité media Pour donner un ordre à ce travail de recherche, il est nécessaire de commencer par la définition de la publicité. Quant à ce terme présent, notre esprit nous ouvre la porte à un large éventail d idées en

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler

Plus en détail

DEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing

DEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing 2012/2013 Démarche Marketing MODULE : BTS : DEMARCHE MARKETING Aouichaoui Moez Conseiller d apprentissage moez.aouichaoui@atfp.tn - Janvier 2014 www.logistiquetn.me.ma, Tunis Aouichaoui Moez 1 Plan N.B

Plus en détail

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées

Plus en détail

LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel

LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel Sommaire PRESENTATION GENERALE DU MARKETING: Qu est-ce que le Marketing? Introduction et définition

Plus en détail

ECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES CORRIGÉ TYPE DE L EXAMEN

ECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES CORRIGÉ TYPE DE L EXAMEN ECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES Module : Marketing Fondamental Niveau : 1 ère Année Master Enseignant : KHERRI Abdenacer Date : 13/04/2015 Site web : www.mf-ehec.jimdo.com Durée : 1 heure 30 minutes

Plus en détail

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise

Plus en détail

L évaluation de la performance de la communication media

L évaluation de la performance de la communication media L évaluation de la performance de la communication media Pascal ROOS Enseignant en BTS Management des Unités Commerciales Lycée Edmond Rostand, Saint Ouen l Aumône (95) «Je sais qu un dollar de publicité

Plus en détail

De ces définitions qui précèdent, Quels liens pouvons nous relever entre ces deux notions? La force de vente et la communication

De ces définitions qui précèdent, Quels liens pouvons nous relever entre ces deux notions? La force de vente et la communication De nos jours, la force de vente et la communication apparaissent comme des fers de lance de toute entreprise. En effet leur prise en compte engendre des chiffres d affaires notoires. La force de vente

Plus en détail

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou

Plus en détail

LE MARKETING DIRECT, SUPPORT DU MARKETING CLIENT

LE MARKETING DIRECT, SUPPORT DU MARKETING CLIENT 11 CHAPITRE PREMIER LE MARKETING DIRECT, SUPPORT DU MARKETING CLIENT En moins d un siècle, le marketing direct a profondément évolué. Passant de la commande traditionnelle par courrier à la multiplication

Plus en détail

LE DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL

LE DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère du Développement Industriel et de la Promotion de l Investissement LE DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL PROGRAMME NATIONAL DE MISE A NIVEAU DES PME Édition

Plus en détail

Principe et règles d audit

Principe et règles d audit CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l

Plus en détail

Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance

Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance pour Note méthodologique Etude réalisée pour:

Plus en détail

Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème

Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème Année scolaire 2014 2015 Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème STAGE 3 ème Du 02/02/2015 au 06/02/2015 Nom et prénom de l élève : Classe de : Projet d orientation : Nom

Plus en détail

1. Les types d enquêtes

1. Les types d enquêtes La conduite d une enquête par questionnaire La conception d un questionnaire ne doit pas être réalisée de façon hasardeuse. Elle suit une méthodologie stricte qui permet d atteindre des résultats utilisables

Plus en détail

8 formations. carrément commerciales. Catalogue 2015

8 formations. carrément commerciales. Catalogue 2015 8 formations carrément commerciales Catalogue 2015 8 formations pour : vendre plus et mieux Vendre ses prestations intellectuelles page 4 La relation client dans la gestion de projet page 5 Apprendre à

Plus en détail

MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE

MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede.org - BAC+5 Présentation

Plus en détail

Performance 2010. Eléments clés de l étude

Performance 2010. Eléments clés de l étude Advisory, le conseil durable Consulting / Operations Performance 2010 Eléments clés de l étude Ces entreprises qui réalisent deux fois plus de croissance. Une enquête sur les fonctions ventes et marketing.

Plus en détail

MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE MSE. Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede.

MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE MSE. Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede. MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE MSE Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede.org - BAC+5 Présentation Ce programme de formation interdisciplinaire

Plus en détail

Veille Opérationnelle Chapitre 5 Mesure de l efficacité des moyens de communication

Veille Opérationnelle Chapitre 5 Mesure de l efficacité des moyens de communication Annonce presse, spot télé, affichage Évalue ensemble de la campagne I) Définitions Pré-tests : ce sont des études qualitatives portant sur des projets et soumises à un public limité représentatif de la

Plus en détail

Master international de Management des Médias à distance. Organisation pédagogique de la formation

Master international de Management des Médias à distance. Organisation pédagogique de la formation Master international de Management des Médias à distance Organisation pédagogique de la formation Session 2014/2015 Table des matières Organisation pédagogique... 1 UE 1 : Histoire, économie et mondialisation

Plus en détail

Chapitre I : Introduction

Chapitre I : Introduction Chapitre I : Introduction 1.1) Problématique A partir des années soixante, l environnement des entreprises a connu une mutation capitale, sans précédant historique dans le climat des affaires. Ces changements

Plus en détail

UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE

UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE 2 SOMMAIRE I. LES FAMILLES PROFESSIONNELLES... 5 II. LES FONCTIONS GENERIQUES... 12 FAMILLE ETUDES ET CONCEPTION......... 15 ASSISTANT D ETUDES ET CONCEPTION...16

Plus en détail

AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS :

AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : ÉLÉVATION DES PLAFONDS À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2002

Plus en détail

Clément ALBRIEUX (69)

Clément ALBRIEUX (69) Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

Les outils classiques de diagnostic stratégique

Les outils classiques de diagnostic stratégique Chapitre I Les outils classiques de diagnostic stratégique Ce chapitre présentera les principaux outils de diagnostic stratégique dans l optique d aider le lecteur à la compréhension et à la manipulation

Plus en détail

Programme détaillé MASTER DE MANAGEMENT ET DE STRATEGIE D ENTREPRISE. Objectifs de la formation. Les métiers. Niveau et durée de la formation

Programme détaillé MASTER DE MANAGEMENT ET DE STRATEGIE D ENTREPRISE. Objectifs de la formation. Les métiers. Niveau et durée de la formation Objectifs de la formation Les métiers Ce Master valide votre qualification professionnelle et votre aptitude à tenir les emplois de cadres et futurs cadres supérieurs dans les professions industrielles

Plus en détail

Direction des bibliothèques. Sondage Ithaka S+R. Questionnaire français Université de Montréal

Direction des bibliothèques. Sondage Ithaka S+R. Questionnaire français Université de Montréal Direction des bibliothèques Sondage Ithaka S+R Questionnaire français Université de Montréal Décembre 2014 Modules retenus Découverte Activités de recherche numérique Compétences informationnelles des

Plus en détail

Table des matières. Comment utiliser efficacement cet ouvrage pour en obtenir les meilleurs résultats?... 5

Table des matières. Comment utiliser efficacement cet ouvrage pour en obtenir les meilleurs résultats?... 5 Table des matières Sommaire.................................................................. v Avant-propos et remerciements............................................. 1 Note du traducteur.....................................................

Plus en détail

Tirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur

Tirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur La force de l engagement MD ÉTUDE TECHNIQUE Tirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur Les entreprises de commerce

Plus en détail

Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay

Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay Edition 2012 Toute publication, même partielle de cette étude, est soumise à autorisation de la part d APRIL Courtage Contactez Nathalie RAVET nravet@april.fr

Plus en détail

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

«Identifier et définir le besoin en recrutement» «Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité

Plus en détail

Comment développer vos missions paie?

Comment développer vos missions paie? Comment développer vos missions paie? La performance des cabinets ne repose pas seulement sur une course à la productivité mais sur une stratégie de croissance fondée sur : Le savoir La qualité du service

Plus en détail

Digital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014

Digital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Sommaire 04 Objectifs de la démarche 07 Méthodologie 05 Parties prenantes 09 Résultats de l étude 06 Objectifs de l étude 37 Conclusion 02 Contexte

Plus en détail

Plan de la présentation

Plan de la présentation Évaluation de la Grille d identification des risques psychosociaux en entreprise : l importance des déterminants individuels et organisationnelles. Michel Vézina Carole Chénard JASP 27 novembre 2013 Plan

Plus en détail

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière

Plus en détail

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations

Plus en détail

Démarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension

Démarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension Université ParisDauphine Démarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension L Observatoire des Métiers de la Publicité a confié à Luc Boyer et Aline Scouarnec, dans le cadre d une étude prospective,

Plus en détail

R e l a t i o n s h i p m a n a g e r

R e l a t i o n s h i p m a n a g e r R e l a t i o n s h i p m a n a g e r r é f é r e n t i e l d e c o m p é t e n c e s j a n v i e r 2 0 0 8 F o n d a t i o n G e n è v e P l a c e F i n a n c i è r e P r é f a c e Le Relationship manager

Plus en détail

Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing

Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Ce que vous allez apprendre Définir le marketing et comprendre son rôle Comprendre les différentes évolutions du marketing Comprendre les nouveaux enjeux

Plus en détail

Circulaire du 7 juillet 2009

Circulaire du 7 juillet 2009 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l économie, de l industrie et de l emploi NOR : ECEC0907743C Circulaire du 7 juillet 2009 concernant les conditions d application de l arrêté du 31 décembre 2008 relatif

Plus en détail

Consumer. Fiche Synthètique. Journey. Enquête sur les parcours d achat Secteur Fournisseurs d accès à internet (FAI)

Consumer. Fiche Synthètique. Journey. Enquête sur les parcours d achat Secteur Fournisseurs d accès à internet (FAI) Fiche Synthètique Consumer Journey Enquête sur les parcours d achat Secteur Fournisseurs d accès à internet (FAI) Juillet 2013 1 Le secteur des télécommunications a subi des modifications qui ont permis

Plus en détail

Gestion de la Relation Client (GRC)

Gestion de la Relation Client (GRC) Techniques de DM pour la GRC dans les banques Page 2 I.1 Introduction La gestion de la relation client est devenue un processus essentiel dans les institutions bancaires. Ils essaient toujours d améliorer

Plus en détail

«COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?»

«COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?» «COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?» Sommaire 1. Introduction : les clients, les Médias et la Publicité 2. Construire une Stratégie de Communication

Plus en détail

Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation

Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage Organisation de la formation Ce document a pour objet de présenter le contenu des cours des deux années du Master Audit Contrôle Finance d entreprise

Plus en détail

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE

Plus en détail

UNIVERSITÉ LAVAL. PLAN DE COURS PROGRAMME en GESTION du DÉVELOPPEMENT TOURISTIQUE. Titre et sigle du cours : Marketing touristique, MRK 20578

UNIVERSITÉ LAVAL. PLAN DE COURS PROGRAMME en GESTION du DÉVELOPPEMENT TOURISTIQUE. Titre et sigle du cours : Marketing touristique, MRK 20578 1 UNIVERSITÉ LAVAL FACULTÉ DES SCIENCES DE L'ADMINISTRATION Certificat en gestion du développement touristique PLAN DE COURS PROGRAMME en GESTION du DÉVELOPPEMENT TOURISTIQUE IDENTIFICATION Titre et sigle

Plus en détail

PLAN DE COURS TYPE COMMUNICATION MARKETING UNE PERSPECTIVE INTÉGRÉE

PLAN DE COURS TYPE COMMUNICATION MARKETING UNE PERSPECTIVE INTÉGRÉE 1. OBJECTIFS DU COURS PLAN DE COURS TYPE COMMUNICATION MARKETING UNE PERSPECTIVE INTÉGRÉE Objectif général Développer des habiletés dans le domaine de la gestion des communications intégrées en marketing,

Plus en détail

I) Le diagnostic externe

I) Le diagnostic externe Le diagnostic stratégique est la première étape de la démarche stratégique et consiste à analyser le diagnostic externe et interne de l entreprise. L analyse FFOM (SWOT) résume les conclusions de ces deux

Plus en détail

La diplomatie économique et la promotion économique du Maroc à l étranger

La diplomatie économique et la promotion économique du Maroc à l étranger Conseil National du Commerce Extérieur La diplomatie économique et la promotion économique du Maroc à l étranger Anticiper Partager Agir 2000 www.cnce.org.ma Sommaire INTRODUCTION 1. LE NOUVEAU CONTEXTE

Plus en détail

UE Marketing Stratégique

UE Marketing Stratégique UE Marketing Stratégique Modèles et Méthodes du Marketing Stratégique Les différents modèles et méthodes en Marketing Stratégique Introduction Analyse des besoins (du marché de référence) Analyse d attractivité

Plus en détail

EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS

EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS Ce document présente la procédure d évaluation des services centraux de l UNIL

Plus en détail

Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014

Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Madame, Monsieur Le Programme «Dépenses publiques et Responsabilité financière» (PEFA), lancé en 2001, a mis en place un cadre

Plus en détail

Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie

Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie Partie I : Séries statistiques descriptives univariées (SSDU) A Introduction Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie et tous sont organisés selon le même

Plus en détail

Une stratégie d enseignement de la pensée critique

Une stratégie d enseignement de la pensée critique Une stratégie d enseignement de la pensée critique Jacques Boisvert Professeur de psychologie Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu La pensée critique fait partie des capacités à développer dans la formation

Plus en détail

Centre d Analyse Stratégique

Centre d Analyse Stratégique Centre d Analyse Stratégique Choix d une complémentaire santé Le regard des Assurés et des Entreprises 7 juillet 2009 Centre d Analyse Stratégique Tristan KLEIN Perrine FREHAUT Contacts TNS Sofres Emmanuel

Plus en détail

BTS Management des Unités Commerciales MERCATIQUE GRC-DUC. Prép a rat io n au x épre u ve s ora le s d ACRC e t de P DUC.

BTS Management des Unités Commerciales MERCATIQUE GRC-DUC. Prép a rat io n au x épre u ve s ora le s d ACRC e t de P DUC. BTS Management des Unités Commerciales MERCATIQUE GRC-DUC Prép a rat io n au x épre u ve s ora le s d ACRC e t de P DUC Nathalie HOUVER Sommaire GRC - DUC 1 re PARTIE : Les savoirs associés - Référentiel

Plus en détail

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d admini istration Mai 2012 1 Le programme de maîtrise en administration des affaires, cheminement coopératif (MBA Coop) de la Faculté d administration

Plus en détail

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience «Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés

Plus en détail

CONTRAT DE CONSEILLER MAESTRIA, un concept d IBS Europe s.a.

CONTRAT DE CONSEILLER MAESTRIA, un concept d IBS Europe s.a. CONTRAT DE CONSEILLER MAESTRIA, un concept d IBS Europe s.a. ENTRE : IBS Europe s.a., ayant son siège social au N 68 de la Route de Luxembourg à L-4972 Dippach, au Grand Duché de Luxembourg, ci-après désigné

Plus en détail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013 La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés aux différents stades d élaboration et de contrôle des sujets. Pour autant, ce document

Plus en détail

Le rôle du courtier principal

Le rôle du courtier principal AIMA CANADA SÉRIE DE DOCUMENTS STRATÉGIQUES Le rôle du courtier principal Le courtier principal (ou courtier de premier ordre) offre aux gestionnaires de fonds de couverture des services de base qui donnent

Plus en détail

Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011

Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011 Résultats du premier Observatoire des femmes et l assurance Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011 Fiche méthodologique Cible : Hommes et femmes âgés

Plus en détail

RESPONSABLE DU DEVELOPPEMENT COMMERCIAL IMPORT EXPORT

RESPONSABLE DU DEVELOPPEMENT COMMERCIAL IMPORT EXPORT RESPONSABLE DU DEVELOPPEMENT COMMERCIAL IMPORT EXPORT Titre enregistré au Répertoire National des Certifications Professionnelles de niveau II délivré par Université Catholique de l Ouest IPLV (J.O du

Plus en détail

INTRODUCTION AU MARKETING

INTRODUCTION AU MARKETING INTRODUCTION AU MARKETING L avènement du marketing Le marketing est une fonction dont l aboutissement est le résultat d un long processus de développement de l entreprise. Phases principales identifient

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3054 Convention collective nationale IDCC : 925. DISTRIBUTION ET COMMERCE

Plus en détail

Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines

Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière

Plus en détail

CHARTE DE L E-MAILING. Code relatif à l utilisation de coordonnées électroniques à des fins de prospection directe

CHARTE DE L E-MAILING. Code relatif à l utilisation de coordonnées électroniques à des fins de prospection directe Déclaré conforme à la loi Informatique et Libertés par la CNIL, le 30 mars 2005, suivant procédure prévue par l article 11-3 de la loi du 6 janvier 1978. CHARTE DE L E-MAILING Code relatif à l utilisation

Plus en détail

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles

Plus en détail

L évaluation des résultats

L évaluation des résultats L évaluation des résultats Process 14 «Aide-toi, le tableau de bord t aidera!» Chapitre 23 Analyse et réactivité P. 227 Certains dirigeants suivent la marche de leurs affaires avec un simple tableur. Les

Plus en détail

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation

Plus en détail

Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions

Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions TABLE DES MATIERES... 1 INTRODUCTION... 2 1 FINANCEMENT ET FINANCEMENT MINIMUM... 3 1.1 FINANCEMENT... 3 1.2 FINANCEMENT DE PLAN... 3 1.3 FINANCEMENT MÉTHODE

Plus en détail

Synthèse du questionnaire en ligne

Synthèse du questionnaire en ligne èmes Rencontres Régionales pour la Biodiversité VENDREDI SEPTEMBRE 0 Université de Caen Basse-Normandie Amphithéâtre Oresme Vers un observatoire régional de la biodiversité en Basse-Normandie Synthèse

Plus en détail

Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014

Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014 Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014 Diffusion Destinataires : Président et chef de la direction Premier vice-président et chef de la direction financière

Plus en détail

LE DISPLAY RÉVOLUTION. De l achat d espace publicitaire classique à la gestion d audience ciblée. Janvier 2012 LIVRE BLANC ACXIOM.

LE DISPLAY RÉVOLUTION. De l achat d espace publicitaire classique à la gestion d audience ciblée. Janvier 2012 LIVRE BLANC ACXIOM. LIVRE BLANC ACXIOM LE DISPLAY EN PLEINE RÉVOLUTION De l achat d espace publicitaire classique à la gestion d audience ciblée Janvier 2012 Frédéric GRELIER Directeur Europe développement produits Acxiom

Plus en détail

Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé

Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé en vue de l obtention du titre de "Conseiller ère diplômé e en orientation professionnelle, universitaire et de carrière" par la validation

Plus en détail

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation Guide sur les mutuelles de formation Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION AVRIL 2008 Dans le cadre d une entente de délégation prévue par la Loi sur le ministère de l Emploi et de la Solidarité

Plus en détail

DOSSIER D ENTREPRISE ENTREPRENEURIAT TRANSFORMATION CROISSANCE

DOSSIER D ENTREPRISE ENTREPRENEURIAT TRANSFORMATION CROISSANCE DOSSIER D ENTREPRISE ENTREPRENEURIAT TRANSFORMATION CROISSANCE MOT DE BIENVENUE Le temps des défis est aussi celui des opportunités Madame, Monsieur, J ai le plaisir de partager avec vous le lancement

Plus en détail

CADRE OPÉRATIONNEL ET PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE POUR LE MASSIF INC. Par. Marie-Michèle Couture-Morissette

CADRE OPÉRATIONNEL ET PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE POUR LE MASSIF INC. Par. Marie-Michèle Couture-Morissette CADRE OPÉRATIONNEL ET PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE POUR LE MASSIF INC. Par Marie-Michèle Couture-Morissette Essai présenté au centre universitaire de formation en environnement en vue de l obtention

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

La relation bancaire avec la clientèle des particuliers : revue de la littérature

La relation bancaire avec la clientèle des particuliers : revue de la littérature Direction de la stratégie Service de Veille et d Intelligence économiques et stratégiques du Groupe Mission de la Recherche @res @rgos Note de synthèse La relation bancaire avec la clientèle des particuliers

Plus en détail

DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER

DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER CHAPITRE 2 DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER Ce chapitre s adresse aux directeurs de programme, à leurs partenaires nationaux, aux coordinateurs d enquête et au personnel technique. Il vous aidera

Plus en détail

les travailleurs non-salari

les travailleurs non-salari Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salari salariés, s, la crise et l assurancel pour Note méthodologique Etude réalisée

Plus en détail

ANALYSE DE L UNITE COMMERCIALE

ANALYSE DE L UNITE COMMERCIALE ANALYSE DE L UNITE COMMERCIALE Afin de caractériser au mieux l évolution de la BRED au sein de son environnement, nous allons tout d abord présenter l ensemble du réseau de la BRED, puis de son positionnement

Plus en détail

Enseignement au cycle primaire (première partie)

Enseignement au cycle primaire (première partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de

Plus en détail

GESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002

GESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002 GESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002 CONSULTING KPMG Consulting SA La «gestion de la relation client» (ou, en anglais, Customer Relationship Management,

Plus en détail

Baccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION

Baccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 16 I. COMPÉTENCES C1. PROSPECTER C11. Élaborer un projet de prospection C12. Organiser une opération de prospection C13. Réaliser une opération de prospection C14. Analyser

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

Business & High Technology

Business & High Technology UNIVERSITE DE TUNIS INSTITUT SUPERIEUR DE GESTION DE TUNIS Département : Informatique Business & High Technology Chapitre 6 : Customer Relationship Management (CRM) Sommaire Introduction... 1 Les enjeux

Plus en détail

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

Mobile & achats à la demande. Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat. tradedoubler.

Mobile & achats à la demande. Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat. tradedoubler. Mobile & achats à la demande Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat tradedoubler.com En Europe, les canaux mobiles de marketing à la performance transforment

Plus en détail

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales. Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte

Plus en détail

,,ÉTUDES ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS LE MUNICIPE DE CONSTANŢA

,,ÉTUDES ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS LE MUNICIPE DE CONSTANŢA RESUMÉ Mots clés : marketing, produits alimentaires, stratégies La thèse de doctorat intitulée,,études ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS

Plus en détail

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR

BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR Vous êtes tuteur d un étudiant en BTS management des unités commerciales. Ce guide vous est destiné : il facilite votre préparation de l arrivée du

Plus en détail