LES DIFFÉRENCES DANS LES DÉPENSES CULTURELLES EN FRANCE

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1 LES DIFFÉRENCES DANS LES DÉPENSES CULTURELLES EN FRANCE par Laura Oksanen (printemps 2007) L introduction Étant donné que la culture joue un très grand rôle dans la société française, aussi les chiffres des dépenses culturelles sont intéressants à étudier. Les gens croient en général que la consommation culturelle des Français a augmenté et que cela comprend tous les Français quelle que soit leur appartenance sociale. Contrairement à cette illusion, les statistiques prouvent que les pratiques culturelles des Français sont encore liées aux catégories sociales. Par conséquent, les loisirs peuvent être des indicateurs sociaux. L objectif de ce texte est de donner une idée un peu plus profonde des différences de la consommation culturelle des Français. Le sujet est donc traité avec un point de vue sociologique. Il y a plusieurs questions très intéressantes comme : Quels sont les points les plus remarquables concernant la consommation culturelle en France? La situation, a- t-elle changé? Pourquoi y a-t-il des différences entre les classes sociales en ce qui concerne la consommation culturelle? En plus, on comparera la situation de la France un peu avec celle de la Finlande. Dans la conclusion, on examinera la probabilité d un futur changement dans l importance des classes sociales. Les classes sociales en consommation En étudiant les chiffres des dépenses culturelles on peut voir qu ils semblent très différenciés selon les catégories sociales. On peut étudier ce sujet en classant les gens en 10 catégories sociales : les agriculteurs, les indépendants, les cadres et ceux qui ont une profession libérale, ceux qui ont une profession intermédiaire, les employés, les ouvriers, les chômeurs, les étudiants & les élèves, les retraités, les inactifs ou femmes au foyer. 1

2 Les pratiques culturelles par CSP* à l'âge adulte (plus de 15 ans) au cours des douze derniers mois en %. Lecture de livres Cinéma Musée, exposition, monument Théâtre Concert Agriculteur Indépendant Cadre et profession libérale Profession intermédiaire Employé Ouvrier Chômeur Etudiant, élève Retraité Inactif ou femme au foyer Ensemble *Les catégories socioprofessionnelles En examinant les pourcentages des différents loisirs culturels on peut voir qu il y a des différences entre les catégories sociales mentionnées. C est étonnant parce qu il y a plus de 40 ans qu on a crée le Ministère de la Culture en France dont l objectif était de surmonter ces différences par l accès à la culture de tous ( ). Les cadres, les professions intermédiaires ont toujours des taux de pratique supérieurs à la moyenne. Les cadres ont les pourcentages les plus hauts pour chaque pratique culturelle. Quelque chose qui est très intéressant est que les chômeurs ne se distinguent pas nettement de la moyenne de la population. On pourrait demander de quoi cela est un indice. C est un peu étonnant parce que les catégories sociales sont en général aussi des 2

3 indicateurs des niveaux des revenus. On peut demander si les revenus sont plus hauts pour les chômeurs que pour les agriculteurs et les ouvriers qui consomment le moins pour la culture. Aussi les taux des étudiants sont à remarquer : ils ont toujours des pratiques culturelles beaucoup plus fréquentes que les retraités ou les femmes au foyer, plus fréquentes que les employés et même souvent plus fréquentes que les indépendants! Il peut être une conséquence du fait que les étudiants profitent des tarifs réduits. On pourrait aussi peutêtre prendre cela comme un indice d augmentation contemporaine dans la consommation culturelle. Avec les tarifs réduits, les étudiants sont encouragés d avoir plus d activités culturelles. Par conséquent, les étudiants, même s ils ne sont pas très bien payés, consomment beaucoup plus les activités culturelles que les étudiants des générations passées. En comparant avec la Finlande on peut remarquer la même chose : les dépenses culturelles en Finlande ont augmenté pendant ces dernières décennies de sorte qu aujourd hui elles couvrent environ 10 % des toutes les dépenses des ménages. En examinant l augmentation des dépenses culturelles on doit prendre en considération le fait que la notion de culture s est aussi transformée. Une autre chose qu on peut distinguer en étudiant les chiffres de la consommation est que la hiérarchie des taux de pratique selon les catégories est pratiquement la même, en dépit de différences de niveau. Cela veut dire qu on retrouve toujours les mêmes catégories en haut de la hiérarchie et les mêmes en bas. Cela est vrai aussi bien en Finlande mais les pratiques les plus favorisées en Finlande sont différentes qu en France. On pourrait demander si cela est vrai pour chaque pays : que les gens favorisent toujours les pratiques culturelles dans le même ordre quelque soit leur classe sociale. Une explication sociologique pour les classes sociales Si l on prête attention aux facteurs différents qui illustrent les différences sociales dans la consommation culturelle, il faut les envisager sous un angle différent, un angle sociologique, celui de Pierre Bourdieu. Bourdieu est devenu très célèbre en France aussi bien qu ailleurs. D après Bourdieu, tout le monde a un habitus, c est-à-dire une culture qu on a assimilé et qui nous rend possible de développer nos aptitudes dans un certain milieu. Chacun vit dans son propre milieu social qui est constitué des règles, des bonnes 3

4 manières, du capital culturel, et des codes internes à cause de tout cela, il est presque impossible de changer son milieu. Il semble que ces champs sont encore très forts en France et qu ils définissent grandement la vie des gens. C est un peu étonnant qu on a encore ce système des champs en France bien que le France ait vécu la Révolution, qui revendiquait les même droits pour tout le monde ( liberté, égalité, fraternité ). Il serait une autre étude fascinante d examiner comment ces deux grandes idéologies peuvent exister parallèlement. En ce qui concerne les pratiques culturelles, il est très intéressant de remarquer que la façon de vivre est souvent acquise déjà en enfance. Cela veut dire que les enfants maintiennent leur niveau de pratiques culturelles à l âge adulte notamment s ils ont été fait aimer les activités culturelles par leurs parents. Par exemple, les enfants d'ouvriers ayant eu une activité culturelle pendant leur enfance, sont deux fois plus nombreux à avoir une pratique culturelle lorsqu'ils sont adultes (60 % au lieu de 29 %). D entre les enfants d ouvriers sans activité culturelle pendant l enfance moins de 30 % ont lu au moins un livre pendant 12 mois qui précédaient l enquête (Insee). On peut donc peut-être constater que l augmentation du niveau de vie pendant ces dernières décennies peut être un facteur explicatif pour l essor de la culture. La comparaison avec la situation en Finlande Il est extrêmement difficile de trouver des statistiques qui montreraient des différences entre les classes sociales en Finlande en ce qui concerne les pratiques culturelles. Peutêtre en Finlande l idéologie des classes sociales n existe plus ou on ne veut pas la renforcer. On part de l idée que tout le monde soit égal et s il y a des différences entre les classes sociales on essaye, soit de les cacher soit de faire quelque chose pour changer la situation (supprimer l inégalité observée). En Finlande, la consommation culturelle a augmenté dans chaque secteur de la culture. Les Finlandais lisent le plus de toutes les nationalités européennes. C est grâce à notre système des bibliothèques qui rend possible à tous l accès aux livres. Les bibliothèques sont aussi les plus sponsorisées de tous les centres culturels par les communes. En 2005, on a utilisé 242 millions d euros pour les bibliothèques. 4

5 Les bibliothèques en Finlande unité bibliothèques recueils ) ) prêts emprunteurs ) seulement les livres, Aussi le nombre des visites dans le cinéma par habitant a augmenté même s il n est pas encore aussi haut qu en Europe continentale. En Finlande, les enfants sont habitués à toutes les pratiques culturelles depuis leur petite enfance. Les écoles organisent beaucoup de visites et de voyages pour eux. Sans doute, y-a-t-il de problèmes dans cela quand même : actuellement il y a eu une discussion sur cela parce que les visites et les voyages sont souvent payés par les parents. On pense que cela souligne l inégalité parce que tous les parents ne peuvent pas payer. Il est évident qu on doit chercher de meilleures solutions mais il est extrêmement important qu on n arrête pas cette pratique. En France, il est possible qu il y ait des jeunes qui n ont jamais visité Paris. En Finlande, à mon avis, quelque chose comme cela ne pourrait pas se passer grâce aux voyages des écoles. La conclusion L appréciation de la culture a augmenté probablement partout dans le monde. La notion de la culture s est aussi agrandie et comprend beaucoup de nouvelles orientations. Elle continuera sûrement à changer dans l avenir. Il dépend beaucoup de pratiques futures de la France, comment les différences entre les classes sociales se conserveront en ce qui concerne les activités culturelles. Si l on faisait quelque chose pour mieux habituer tous les enfants à la culture, il y aurait un changement crucial. En fin de compte, les enfants sont ceux qui représentent la nouvelle génération et qui peuvent changer des pratiques des vieilles générations. C est une autre affaire si l on veut que les différences entre les classes sociales dans la consommation culturelle réduisent. Il est évident, à mon point de vue, quand même, qu en France la culture est quelque chose de saint et qu elle joue un grand rôle dans l identité nationale des Français. 5

6 Les sources

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