FOIE ET GROSSESSE. Actualités. Jean-Marie Péron Service d Hépato-Gastro-Entérologie Hôpital Purpan et INSERM U-531
|
|
- Raphael Cantin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 FOIE ET GROSSESSE Actualités Jean-Marie Péron Service d Hépato-Gastro-Entérologie Hôpital Purpan et INSERM U-531
2 Le foie au cours de la grossesse normale Vomissements «physiologiques» Pas d altération de l état général Pas d anomalie biologique Vomissements pathologiques Début après le 1er trimestre Angiomes stellaires et érythrose palmaire : pas liés à l insuffisance hépatique
3 Tests non modifiés Tests hépatiques au cours de la grossesse Transaminases (ALAT, ASAT) Taux de prothrombine Acides biliaires (à jeun)
4 Tests non modifiés Tests hépatiques au cours de la grossesse Transaminases (ALAT, ASAT) Taux de prothrombine Acides biliaires (à jeun) Tests modifiés Phosphatases alcalines (>N) 3ème trimestre Isoenzyme d origine placentaire Albumine (<N) Hémodilution Bilirubine (<N) 1er trimestre Gamma-GT (<N)
5 MALADIES DU FOIE ET GROSSESSE classification Hépatopathies chroniques Préexistantes à la grossesse Peuvent être diagnostiquées durant la grossesse Hépatopathies intercurrentes Hépatites virales (hépatite E, herpes), hépatites médicamenteuses Cholestase d origine infectieuse : infection urinaire +++ Hépatopathies gravidiques (spécifiques)
6 Hépatopathies intercurrentes : hépatite herpétique Herpes Simplex Virus Rare mais sévère Diagnostic : Fièvre Hypertransaminasémie importante : > 1000 Leucopénie ASAT/ALAT > 1 Présence de vésicules sur la peau ou les muqueuse Sérologie, PCR Traitement : Aciclovir IV
7 Hépatopathies intercurrentes : hépatite E
8 VHE : Caractéristiques virologiques Virus à ARN monocaténaire Non enveloppé Transmission : Féco-orale Verticale Zoonose
9 Epidémiologie : distribution géographique Cas sporadiques
10 Adolescents et adultes jeunes Incubation de 40 jours Asymptomatique : 50% Manifestations cliniques : 50% Phase prodromique de 3 à 7 jours Phase ictérique de 1 à 2 semaines Pas de formes chroniques Hépatites sévères et fulminantes Mortalité de 0,5 à 4% pop générale 10 à 42% femmes enceintes
11 VHE dans les selles VHE dans le foie ALAT VHE dans le sang IgG anti-vhe semaines contamination
12 Expérience Toulousaine 23 patients sur une période de 13 mois (août 2001-sept 2002) 6 femmes 17 hommes 15 cas par an depuis Hépatite aiguë cytolytique Diagnostic : Présence d IgG anti-vhe (technique immunoenzymatique) Mise en évidence du virus dans le sang ou les selles par PCR
13 Comparaison à l hépatite A 23 patients avec une hépatite E comparés à 23 patients avec une hépatite A Age des patients (54.4 ± 16.6 x N pour le VHE vs 24.5 ± 16.6 pour le VHA, p < 0.05) ALAT (55.4 ± 48.6 pour le VHE vs ± 82.8 pour le VHA, p< 0.05) Origine ethnique (100% d européens pour le VHE vs 38% d Afrique du Nord pour le VHA) Récent voyage en dehors de l Europe (13% dans le groupe VHE vs 55% dans le groupe VHA, p< 0.05). Mansuy JM, Péron JM, J Med Virol 2004 Péron JM, Mansuy JM, GCB 2005
14 HEPATOPATHIES GRAVIDIQUES 1. Hyperemesis gravidarum 2. Stéatose Hépatique Aiguë Gravidique (SHAG) 3. Lésions hépatiques de la pré-éclampsie 4. Cholestase Intrahépatique Gravidique (CIG)
15 Hyperemesis gravidarum Rare (0,3 % des femmes) Vomissements incoercibles de la grossesse 1er trimestre Motivent l hospitalisation Absence de prise de poids Troubles ioniques et carence en vitamine B1 Anomalies des tests hépatiques ALAT 50 N (1500 UI) Ictère Diagnostic différentiel : hépatites virales
16 Psychothérapie Isolement Hyperemesis gravidarum : traitement Correction des troubles ioniques Vitaminothérapie B1 Anti-émétiques Corticothérapie Nutrition parentérale prolongée
17 HEPATOPATHIES GRAVIDIQUES 1. Hyperemesis gravidarum 2. Stéatose Hépatique Aiguë Gravidique (SHAG) 3. Lésions hépatiques de la pré-éclampsie 4. Cholestase Intrahépatique Gravidique (CIG)
18 Stéatose aiguë gravidique : CLINIQUE 3ème trimestre +++ Nausées et vomissements Douleurs abdominales Polydipsie et polyurie sans diabète sucré HTA et/ou protéinurie : 50% Ictère (le plus souvent sans prurit) Encéphalopathie hépatique
19 Stéatose aiguë gravidique : BIOLOGIE Hypertransaminasémie modérée : < 10N Thrombopénie (avec ou sans CIVD) Fréquente, peut révéler la maladie Hyponatrémie Hyperuricémie Insuffisance rénale (d origine fonctionnelle) Insuffisance hépatocellulaire, hypoglycémie
20 Stéatose aiguë gravidique : DIAGNOSTIC Echographie : foie hyperéchogène TDM abdo : densité hépatique égale ou inférieure à celle de la rate Amélioration rapide des symptômes et de la biologie après l accouchement +++ Biopsie hépatique : par voie transjugulaire Rarement indiquée
21 observation (1) 24 ans, I-pare, grossesse normale 39 SA : Vomissements et douleurs abdominales Echographie abdominale normale Plaquettes = /mm3, TP = 100%
22 observation (1) 24 ans, I-pare, grossesse normale 39 SA : Vomissements et douleurs abdominales Echographie abdominale normale Plaquettes = /mm3, TP = 100% ALAT = 350 UI/l (N<40)
23 observation (1) 24 ans, I-pare, grossesse normale 39 SA : Vomissements et douleurs abdominales TA normale Echographie abdominale normale Plaquettes = /mm3, TP = 100% ALAT = 350 UI/l (N<40) Césarienne transfusions de plaquettes
24 observation (2) JO césarienne J1 J3 J9 J ALAT (XN) 10N 3,5 <N <N Plaq. (G/L) TP (%)
25 Stéatose aiguë gravidique : PRONOSTIC Le pronostic est lié à la précocité de l accouchement La récidive est possible
26 Stéatose aiguë gravidique : ETIOLOGIE La cause est inconnue Groupe des stéatoses microvacuolaires Association à des déficits héréditaires de la bétaoxydation des acides gras Long-Chain 3-Hydroxyacyl-CoA Dehydrogenase Mutation sur le gène codant pour la LCHAD (G1528C) Parents hétérozygotes et enfant homozygote Association non retrouvée en France
27 Stéatose aiguë gravidique : TRAITEMENT Interruption de la grossesse en urgence Mesures de réanimation Correction de l hypovolémie et des troubles ioniques Correction des troubles de l hémostase Prévention de l hypoglycémie Traitement des infections bactériennes
28 HEPATOPATHIES GRAVIDIQUES 1. Hyperemesis gravidarum 2. Stéatose Hépatique Aiguë Gravidique (SHAG) 3. Lésions hépatiques de la pré-éclampsie 4. Cholestase Intrahépatique Gravidique (CIG)
29 Pré-éclampsie (Toxémie gravidique) 1 à 10% des femmes Maladie systémique de la fin de la grossesse SNC Rein Foie Lésions hépatiques dans 2 à 5 % des cas Plus fréquente chez la nullipare Peut récidiver
30 Pré-éclampsie (Toxémie gravidique) HTA et protéinurie Douleurs épigastriques en barre Ictère rare contrairement à la stéatose aiguë gravidique Complications neurologiques (convulsions) Souffrance fœtale aiguë ou chronique Insuffisance rénale et hyperuricémie Syndrome HELLP
31 Syndrome HELLP Hémolyse Hypertransaminasémie Thrombopénie Syndrome of Hemolysis, Elevated Liver enzymes, and Low Platelets count Weinstein L et al. Am J Obstet Gynecol 1982;142:159
32 Lésions hépatiques de la pré-éclampsie Dépots intravasculaires de fibrine Nécroses hépatocytaires Infarctus hépatiques Hémorragies intrahépatiques Hématomes sous capsulaires Rupture spontanée du foie
33 Observation (1) 24 ans, I geste, I pare 18 avril (29 SA) : albuminurie 25 avril : PA =180/110 mm Hg, OMI 28 avril : Douleurs de l hypochondre droit ALAT = 629 UI/l, ASAT = 415 UI/l Plaquettes = , TP = 100% Uricémie = 458 µmol/l
34 Observation (2) 29 avril : Césarienne (EVSF, 965g) transfert en réanimation Epanchement pleural et hypoxémie Insuffisance rénale (albuminurie>3g/l) Douleurs abdominales (Cholécystite?)
35 PRE-ECLAMPSIE : TDM
36 HEPATOPATHIES GRAVIDIQUES 1. Hyperemesis gravidarum 2. Stéatose Hépatique Aiguë Gravidique (SHAG) 3. Lésions hépatiques de la pré-éclampsie 4. Cholestase Intrahépatique Gravidique (CIG)
37 Cholestase Intrahépatique Gravidique : CLINIQUE Antécédent de CIG, entre 2 et 7 /1000 accouchements Prurit (2ème ou 3ème trimestre) Lésions de grattage Ictère (10-20% des cas), apparition après le prurit Examen clinique normal par ailleurs Amélioration après l accouchement : amélioration du prurit dans les heures qui suivent
38 Cholestase Intrahépatique Gravidique : BIOLOGIE ALAT : 10 à 30 N (90% des cas) Acides biliaires totaux sériques : > N (90%) Utile que si les transas sont normales en présence d un prurit GGT : < N ou modérément augmentée Bilirubinémie : < N ou > N (10%) TP : rarement diminué (Facteur V = 100%) Hémogramme avec plaquettes : normal Créatininémie : normale
39 PRURIT ALAT < N ALAT ALAT > N dermatose ou CIG débutante CIG Avis du dermatologue Dosage des acides biliaires sériques Contrôle ultérieure de l ALAT
40 Cholestase Intrahépatique Gravidique : PRONOSTIC MATERNEL Pas de risque vital (si TP normal) Risque de récidive lors des grossesses ultérieures Risque de récidive au cours d une contraception orale
41 Cholestase Intrahépatique Gravidique : PRONOSTIC FOETAL Prématurité Mortalité péri-natale Mortalité post-natale précoce Mort in utero brutale
42 Cholestase Intrahépatique Gravidique : TRAITEMENT MEDICAL Hydroxyzine (Atarax ) Vitamine K par voie parentérale Cholestyramine (Questran ) S-adénosyl-L-méthionine (SAMe)? Dexaméthasone? Acide ursodéoxycholique (AUDC) Kondrackiene J et al Gastroenterology 2005
43 Cholestase Intrahépatique Gravidique : SURVEILLANCE Surveillance maternelle : Taux de prothrombine Tests hépatiques de routine (ALAT, bilirubine) acides biliaires sériques Hors nomenclature Laboratoire spécialisé Prélèvement avant la prise de l'acide ursodésoxycholique Surveillance fœtale : Mouvements actifs fœtaux rythme cardiaque fœtal Indications de l hospitalisation pour la surveillance?
44 Cholestase Intrahépatique Gravidique : CONDUITE À TENIR OBSTETRICALE Déclenchement systématique ou césarienne A 38 SA en l absence d ictère A 36 SA en cas d ictère (BT>30µmol/L) si la maturation pulmonaire est atteinte Selon Rioseco et al, Am J Obstet Gynecol 1994;170:890-5 (Etude cas-témoins incluant 320 patientes avec CIG).
45 Prurit CONCLUSION
46 CONCLUSION Prurit ALAT
47 CONCLUSION Prurit ALAT Cholestase intrahépatique gravidique
48 CONCLUSION Prurit ALAT Cholestase intrahépatique gravidique Douleurs abdominales 3ème trimestre
49 CONCLUSION Prurit ALAT Cholestase intrahépatique gravidique Douleurs abdominales 3ème trimestre ALAT TA Protéinurie
50 CONCLUSION Prurit ALAT Cholestase intrahépatique gravidique Douleurs abdominales 3ème trimestre ALAT TA Protéinurie Stéatose aiguë gravidique Toxémie gravidique
51 CONCLUSION Prurit ALAT Cholestase intrahépatique gravidique Douleurs abdominales 3ème trimestre ALAT TA Protéinurie Stéatose aiguë gravidique Toxémie gravidique Cytolyse > 1000 UI
52 CONCLUSION Prurit ALAT Cholestase intrahépatique gravidique Douleurs abdominales 3ème trimestre Cytolyse > 1000 UI ALAT TA Protéinurie Hépatite E Herpes Stéatose aiguë gravidique Toxémie gravidique PCR VHE sang, selles Aciclovir
53 CONCLUSION Prurit ALAT Cholestase intrahépatique gravidique Douleurs abdominales 3ème trimestre Cytolyse > 1000 UI ALAT TA Protéinurie Hépatite E Herpes Stéatose aiguë gravidique Toxémie gravidique PCR VHE sang, selles Aciclovir
HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailCirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Pré-Requis : Cirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005) Clinique : o Diagnostic d'une ascite PCEM2 o Insuffisance hépatocellulaire PCEM2
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Octobre 2006 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France F 93218
Plus en détailGROSSESSE et lupus/sapl
GROSSESSE et lupus/sapl Nathalie Costedoat-Chalumeau Centre de référence maladies autoimmunes et systémiques rares Service Médecine Interne Hôpital Cochin Paris Rappels et définitions Critères cliniques
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailFemmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre les établissements de santé
RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Femmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre Méthode «Recommandations pour la pratique clinique» RECOMMANDATIONS Novembre
Plus en détailAugmentations des transaminases 1. Circonstances d'un premier dosage
e n P a t h o l o g i e Di ge st iv e Augmentations des transaminases 1. Circonstances d'un premier dosage PARCOURS Cet homme de 50 ans consulte pour une fatigue (1) durable et sans explication qui, à
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailHépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques
Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailANDRIANASOLO Andomalala Ravonirina
ANDRIANASOLO Andomalala Ravonirina ASPECTS EPIDEMIO-CLINIQUES DES PREECLAMPSIES SEVERES A L HOPITAL UNIVERSITAIRE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE DE BEFELATANANA EN 2009 Thèse de Doctorat en Médecine UNIVERSITE
Plus en détailPLACE DES MARQUEURS NON INVASIFS DE FIBROSE ET DE L ELASTOMETRIE
PLACE DES MARQUEURS NON INVASIFS DE FIBROSE ET DE L ELASTOMETRIE DANS LA PRISE EN CHARGE DES HEPATITES DOCTEUR LAURENT CASTERA SERVICES D HEPATO-GASTROENTEROLOGIE, C.H.U. BORDEAUX Introduction La quantification
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailConférence de consensus THROMBOPHILIE ET GROSSESSE PRÉVENTION DES RISQUES THROMBOTIQUES MATERNELS ET PLACENTAIRES
Avec la participation de : Conférence de consensus THROMBOPHILIE ET GROSSESSE PRÉVENTION DES RISQUES THROMBOTIQUES MATERNELS ET PLACENTAIRES Vendredi 14 mars 2003 - Institut Pasteur Paris TEXTE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailHépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006
Hépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006 1. Hépatites virales : étude clinique 1.1. Hépatite aiguë 1.1.1. Forme typique C est la forme clinique
Plus en détailL hépatite C. 50 questions et réponses. Dr. med. Daniel Lavanchy, PD Dr. med. Andrea De Gottardi, Prof. Dr. med. Andreas Cerny
L hépatite C 50 questions et réponses Dr. med. Daniel Lavanchy, PD Dr. med. Andrea De Gottardi, Prof. Dr. med. Andreas Cerny A qui s adresse cette brochure? Cette brochure est destinée aux personnes souffrant
Plus en détailHEPATITES VIRALES CHRONIQUES ET AIGUES
HEPATITES VIRALES CHRONIQUES ET AIGUES INFORMATIONS Pré-requis : Durée de l'item : Auteur(s) : Professeur Louis Buscail (mail : ) Objectifs : RAPPEL : LE DIAGNOSTIC D HEPATITE CHRONIQUE La fréquence de
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailL alpha-thalassémie. La maladie. l Qu est-ce que l alpha-thalassémie? l Qui peut en être atteint? Est-elle présente partout dans le monde?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur l alphathalassémie.
Plus en détailAltération des tests hépatiques: attitude diagnostique et prise en charge
Altération des tests hépatiques: attitude diagnostique et prise en charge Prof Christophe Moreno Service de Gastroentérologie et Hépatopancréatologie Hôpital Erasme Contacts: Christophe.moreno@erasme.ulb.ac.be
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailSuivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées
Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailMAT et Grossesse. CJN MARSEILLE Mars 2010 Yahsou DELMAS Service de Néphrologie CHU Bordeaux
MAT et Grossesse CJN MARSEILLE Mars 2010 Yahsou DELMAS Service de Néphrologie CHU Bordeaux Définitions Définition : microangiopathie thrombotique Anémie Hémolytique Mécanique Thrombopénie Périphérique
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailPrise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil
Prise en charge du nouveau-né de mère m HIV Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil GROSSESSE Chez une femme infecté par le VIH,la grossesse est a risque = prise en charge multidisciplinaire
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailJOURNÉE DE FORMATION. 75èmes JOURNÉES SCIENTIFIQUES DE LʼAFEF MÉDICALE CONTINUE EN HÉPATOLOGIE. ème PARIS LA DÉFENSE - CNIT - 27 SEPTEMBRE 2014
5 ème JOURNÉE DE FORMATION MÉDICALE CONTINUE EN HÉPATOLOGIE PARIS LA DÉFENSE - CNIT - 27 SEPTEMBRE 204 75èmes JOURNÉES SCIENTIFIQUES DE LʼAFEF Actualités hépato-biliaires - Cas cliniques interactifs Cas
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLe déficit en MCAD. La maladie. Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD. Qu est-ce que le déficit en MCAD?
Le déficit en MCAD Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec
Plus en détailItem 196 : Douleur abdominale aiguë chez la femme enceinte
Item 196 : Douleur abdominale aiguë chez la femme enceinte Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) Date de création du document 2010-2011 Table des matières Pré-Requis... 3
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailFoie et pathologie broncho-pulmonaire. Nathalie GANNE-CARRIÉ. Service d'hépato-gastroentérologie, Hôpital Jean Verdier, Bondy.
Foie et pathologie broncho-pulmonaire Foie et pathologie broncho-pulmonaire Nathalie GANNE-CARRIÉ Service d'hépato-gastroentérologie, Hôpital Jean Verdier, Bondy. Points clés Les pathologies de l appareil
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailUpdate. Diagnostic. Un cas de pancréatite aiguë chez un chat Notre cas clinique. Examen clinique. Hypothèses diagnostiques
Diagnostic Update janvier 09 Un cas de pancréatite aiguë chez un chat Notre cas clinique Dr vét. Patrick Lecoindre 69800 St Priest Signalement et motif de consultation Rasta est un chat de race Charteux
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailLITHIASE URINAIRE USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091. Uroscan. Rx abdominal
USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091 Catégorie de personnes visées : usager pour lequel un diagnostic clinique de lithiase urinaire a été évoqué par son médecin traitant Indication : répondre
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailTraitement des Hépatites Chroniques Virales B et C
Réunion Tunisienne de Consensus Organisée par La Société Tunisienne de Gastro-entérologie Sous l égide de La Société Tunisienne des Sciences Médicales Traitement des Hépatites Chroniques Virales B et C
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailF.C.O.P. Formation Continue des Ostéopathes Professionnels BILAN BIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE. (examens de laboratoire) Dr Rodrigue PIGNEL Alain BEDOUET
Formation Continue des Ostéopathes Professionnels BILAN BIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE (examens de laboratoire) Dr Rodrigue PIGNEL Alain BEDOUET Février 2008 Les examens de laboratoires sont multiples et souvent
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détail