Plan du cours G) La création monétaire H) L inflation et les prix I) Salaires et emploi J) Emploi & chômage Initiation à l'économie générale Cours de

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Plan du cours G) La création monétaire H) L inflation et les prix I) Salaires et emploi J) Emploi & chômage Initiation à l'économie générale Cours de"

Transcription

1 ECONOMIE GENERALE IUT CHIMIE Rennes Octobre 2013 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

2 Plan du cours G) La création monétaire H) L inflation et les prix I) Salaires et emploi J) Emploi & chômage Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

3 G) La création monétaire Les acteurs Les mécanismes Les conséquences Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

4 LE ROLE DES BANQUES DANS LA CREATION MONETAIRE Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

5 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

6 Qu est ce que la masse monétaire? La masse monétaire, c est l ensemble des moyens de paiement en circulation à un moment donné dans une économie détenue par des agents non financiers (ménages, reste du monde, État, entreprises.) Qu est ce qu un agrégat monétaire? Un agrégat monétaire c est une catégorie de monnaie et d actifs liquides. Les agrégats classent, mesurent et servent à administrer la masse monétaire. Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

7 Quels sont les trois agrégats monétaires? Les trois agrégats monétaires (donc les trois masses monétaires) sont M1, M2, et M3. Ils sont classés en fonction du degré de liquidité, c est à dire que dans M1, on classe les actifs les plus liquides. Qu est ce que la liquidité? La liquidité c est la propriété d'un actif financier qui peut être facilement converti en moyen de paiement. Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

8 M1 : c est la conception étroite de la monnaie. C est la masse monétaire au sens strict, ce sont les pièces, les billets, les comptes courants (ce sont des actifs financiers liquides), c'est à dire l'ensemble des moyens de paiement. Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

9 M2 : M1+ quasi-monnaie (livrets de caisse d épargne, comptes épargne logement, Codevi et dépôts à terme inférieurs à deux ans) Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

10 M3 : M2+ OPCVM (Sicav et FCP) ou M1+quasi monnaie+opcvm. Les actifs financiers concernés par les OPCVM sont convertissables en moyen de paiement mais il y a un risque de perte d'argent lié aux coûts de transaction et aux variations des cours des valeurs mobilières. OPCVM : organismes de placement collectifs en valeurs mobilières Sicav : société d investissement à capital variable FCP : fonds communs de placement Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

11 H) l inflation et le niveau des prix Définition Causes: la hausse des MP une demande > à l offre une augmentation de la masse monétaire en circulation Conséquences négatives sur la consommation (prix) et la monnaie (change) Effets favorables sur l emprunt Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

12 EVOLUTION HISTORIQUE DE l INFLATION Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

13 LA BAISSE CONTINUE DE L INFLATION Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

14 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

15 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

16 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

17 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

18 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

19 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

20 I) Salaires 2,01 millions de smicards en France, représentant 12,9 % des salariés (hors secteur agricole et intérim) 9,0 % des emplois et 8,1 % de la population active. 30,5 % des personnes payées au SMIC horaire travaillent à temps partiel. Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

21 Le SMIC est revalorisé au minimum une fois par an en juillet pour compenser l inflation Ne pas oublier qu une hausse du SMIC se répercute sur l ensemble des salaires car il faut aussi les augmenter Penser qu une petite hausse des salaires donne peu de pouvoir d achat aux salariés mais coûte cher à l Etat et aux entreprises en termes de masse salariale du fait des charges sociales Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

22 Tableau récapitulatif de la valeur du SMIC en 2012 Montant au 1er Janvier 2012 Montant a partir du 1er Juillet 2012 SMIC 2012 Brut (pour 35h) SMIC 2012 Net (pour 35h) 1398,37 euros 1425,67 euros 1098,28 euros 1 118,36 euros* SMIC Horaire Brut 9,22 euros 9,40 euros SMIC Horaire Net 7,23 euros 7,37 euros* Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

23 Année Smic horaire brut en euros Smic mensuel brut en euros pour 151,67h de travail , , , , , , , , , , , , , , , , , ,61 // ,19 // ,83 // ,67 // 23

24 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

25 Coût salarial mensuel d un salarié payé au SMIC Au , le SMIC horaire brut = 9,43 Le SMIC mensuel brut (base 35 heures) s élève à euros. Le SMIC mensuel net (base 35 heures) est de euros. Les charges patronales après abattement s élèvent à 13%, soit 185 euros. Le SMIC mensuel chargé (base 35 heures) coûte donc au total 1616 euros à l entreprise. Plafond de la SS = mensuels en janvier annuels en janvier 2013 Gestion d'entreprise Cours Bernard BRUEL pour IUT Chimie

26 Gestion d'entreprise Cours Bernard BRUEL pour IUT Chimie

27 Réduction FILLON et TVA sociale Gestion d'entreprise Cours Bernard BRUEL pour IUT Chimie

28 J ) Emploi et chômage Population active = ceux qui ont un emploi et ceux qui en cherchent un Chômeurs = personnes n ayant pas d emploi, qui en cherchent un, disponibles pour l occuper et inscrites au Pole Emploi. Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

29 Taux de chômage Nombre de chômeurs / population active * 100 Ne tient pas compte des personnes non inscrites (au foyer) et de ceux qui travaillent à temps partiel Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

30 Les 5 catégories du Pôle Emploi A : demandeurs d'emploi disponibles, n'ayant exercé aucune activité dans le mois et tenus de faire des actes positifs de recherche, peu importe le type d'emploi demandé (CDI, CDD, intérim, temps plein ou temps partiel...). B : demandeurs d'emploi tenus de faire des actes positifs de recherche, ayant exercé une activité réduite courte (moins de 78 heures) au cours du mois. C : demandeurs d'emploi ayant exercé une activité réduite longue (plus de 78 heures) au cours du mois, non tenus de faire des actes positifs de recherche. D : demandeurs d'emploi non immédiatement disponibles en arrêt maladie, en stage ou en formation, donc non tenus de faire des actes positifs de recherche. E : personnes non immédiatement disponibles, déjà pourvues d'un emploi et à la recherche d'un autre emploi (ex: bénéficiaires de contrats aidés...). Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

31 Taux de chômage et nombre de chômeurs par CSP Catégorie socioprofessionnelle Taux de chômage (en %) 2008 Femmes Hommes Ensemble Agriculteurs exploitants 0,7 0,2 0,4 Artisan, commerçant et chef d'entreprise 4,7 3,0 3,5 Cadre 3,2 2,9 3,0 Profession intermédiaire 4,1 3,8 4,0 Employé 7,6 6,7 7,4 Ouvrier 14,4 9,2 10,2 Ensemble 7,9 6,9 7,4 Nombre de chômeurs (en milliers) Agriculteurs exploitants Artisan, commerçant et chef d'entreprise Cadre Profession intermédiaire Employé Ouvrier Ensemble Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

32 Taux de chômage par classes d âge Taux de chômage BIT (%) Variation en points sur Milliers 2009 T T4 (p)* un trimestre un an 2009 T4 (p)* Ensemble 9,1 9,6 0,5 1, ans 23,7 24,0 0,3 3, ans 8,2 8,7 0,5 1, ans ou plus 6,2 6,7 0,5 1,6 486 Hommes 8,8 9,6 0,8 2, à 24 ans 23,9 25,3 1,4 3, à 49 ans 7,5 8,4 0,9 2, ans ou plus 6,2 6,6 0,4 1,7 249 Femmes 9,6 9,6 0,0 1, à 24 ans 23,5 22,3-1,2 2, à 49 ans 8,9 9,0 0,1 1, ans ou plus 6,1 6,7 0,6 1,4 237 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

33 Le chômage en France par catégorie En décembre 2009,, pour la France métropolitaine, il y avait 2 645,1 milliers de demandeurs d emploi de catégorie A inscrits à Pôle emploi et 3 849,2 milliers de demandeurs d emploi de catégorie A, B et C inscrits à Pôle emploi. Au total, le nombre de demandeurs d emploi inscrits à Pôle emploi de catégories A, B, C s établit à en France métropolitaine fin janvier 2010 ( en France y compris Dom). Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

34 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

35 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

36 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

37 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

38 Différence entre calculs du BIT et ceux du Pôle Emploi L INSEE mesure les chômeurs au sens du Bureau international du travail (BIT). Un chômeur au sens du Bureau international du travail (BIT) est une personne en âge de travailler (conventionnellement 15 ans ou plus) qui 1 ) n a pas travaillé, ne serait-ce qu une heure, au cours de la semaine de référence, 2 ) est disponible pour travailler dans les deux semaines 3 ) a entrepris des démarches actives de recherche d emploi dans le mois précédent, ou a trouvé un emploi qui commence dans les 3 mois. Cela donne pour décembre 2009,, en France métropolitaine, milliers de chômeurs Insee-BIT.. A comparer avec les 2645,1 milliers demandeurs d emploi de catégorie A inscrits à Pôle emploi à la même période. Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

39 Nombre de chômeurs en France en août 2011 : hausse du chômage mais aussi des offres d'emploi En août 2011, les chiffres du chômage en France sont encore mauvais pour les catégories ABC. Le chômage de longue durée progresse. Point positif, les offres d emploi rebondissent. La situation se dégrade à nouveau sur le front du chômage en France en août 2011,, le nombre de chômeurs* progressant de personne sur le mois (+0,5 % sur le mois), après en juillet. En revanche, pour la catégorie A, soit le cœur du chômage, le nombre de personne sans aucune activité baisse de 0,1 % sur le mois ( personnes). Depuis le mois de mai dernier, la situation a rapidement empiré, avec une hausse de près de chômeurs sur les 4 derniers mois. La France métropolitaine compte fin ,148 millions de chômeurs et 4,413 millions en incluant les DOM. Il s agit d un nouveau record historique, après les pics de 2005 et de mi En variation sur un an, la hausse du nombre de chômeur est de +4,3 % en août Depuis le point bas de mai 2008, on compte chômeurs supplémentaires pour l ensemble du territoire. Toutefois, pour la catégorie A seule, le niveau (2,75 millions) reste inférieur aux pics des cycles précédents et sa progression sur un an est plus modérée (+2,3 %). Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

40 Au niveau du chômage de longue voire très longue durée en France pas d amélioration de fond visible. 38,1 % des chômeurs sont inscrits depuis plus d un an à Pôle Emploi (cat. ABC), situation inédite depuis le début des années On observe déjà dans les minima sociaux la conséquence des sorties pour cause de fin de droits. Si la situation reste très mauvaise pour le chômage, du côté des offres d emploi déposées à Pôle Emploi en France le mois d août est plus positif.. Après un passage à vide au printemps (dont on voit les conséquences actuellement sur le chômage), les offres d emploi, totales et durables, progressent vivement. Sur un an, la hausse atteint 14,1 % pour les emplois durables (contrats de plus d un mois), après plusieurs mois de passages à vide. L augmentation toujours importante du nombre de personne astreintes à la recherche de travail, donc en concurrence pour un emploi, montre que le marché du travail patine actuellement et crée peu d emploi pérenne. De plus, ceci favorise la modération salariale. Même si l on dit souvent que le marché du travail et surtout le chômage est un indicateur retardé de l activité, on peut raisonnablement penser qu actuellement c est moins vrai. En effet, c est la faiblesse de la demande interne surtout de la consommation qui a provoqué la stagnation du PIB de la France au T De ce point de vue, le risque de voir l économie française traverser une récession d ici à la fin de l année est renforcé. * On se réfère ici au nombre des chômeurs catégories A, B et C qui sont astreints à recherche active d emploi. Cette définition est préférée à celle comptant uniquement la catégorie A car elle permet de mesurer le nombre de personne en concurrence sur le marché du travail. Equipe GECODIA Mardi 27 Septembre 2011 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

41 Le chômage frappe durement l'union européenne C'est un triste record. Avec plus de 23 millions de personnes sans emploi, le taux de chômage dans la zone euro a atteint 9,9 % en janvier 2011, son plus haut niveau depuis dix ans, selon des chiffres publiés en mars 2011 par l'office européen de statistiques Eurostat. En décembre 2010, le taux de chômage de la zone monétaire s'était établi à 10 %. En un mois, le nombre de chômeurs a diminué de pour arriver à un total à millions de personnes. Dans l'ensemble de l'union européenne,, le taux de chômage a atteint 9,5 % en juillet, son plus haut niveau depuis mai En juin, il avait été de 8,9 %. La carte européenne du chômage est marquée par les contrastes. Alors que des pays comme les Pays-Bas ou l'autriche maintiennent une situation exceptionnelle de plein emploi (avec un taux de chômage de 4,3 %), d'autres pays comme l'espagne (20,4% 20,4%) ) ou les pays baltes - Estonie (14,3% 14,3%), Lettonie (18,3% 18,3%), Lituanie (17,4% 17,4%) ) explosent les compteurs. En janvier 2011, le taux de chômage était de 9,0% aux Etats-Unis et de 4,9% au Japon. En France, le taux de chômage est passé à 9,6 %, contre 9,9 % en janvier 2010, tandis qu'en Allemagne, il est est passé de 7,3 à 6,5 %. Derrière la dure réalité statistique de ces chiffres, les gouvernements commencent à s'inquiéter de la violence du chômage touchant les jeunes. 20,5 % des moins de 25 ans sont ainsi à la recherche d'un emploi dans l'union européenne.. Ce qui laisse présager une génération perdue. Là encore, l Espagne est l exemple le plus frappant, enregistrant un taux catastrophique de 43,2 %.. En Italie,, il est de 26,2 % et en France de 25 %. Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

42 Comparaison du chômage en Europe Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

43 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

44 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

45 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

46 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

47 Initiation à l'économie générale Cours de Bernard BRUEL pour IUT Chimie

48 Le contrat de génération 48

49 Le crédit d impôt 49

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011 BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats

Plus en détail

Partie 2 : Qui crée la monnaie?

Partie 2 : Qui crée la monnaie? Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n

Plus en détail

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des

Plus en détail

Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011

Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011 Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011 Les bénéficiaires de retraites Nombre de retraités, selon les différents régimes (COR janvier 2010) : 16 millions dont : 11,3 millions :

Plus en détail

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012 Dares Analyses juin 2013 N 037 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Emploi, chômage, population active : bilan de l année Avec la contraction de l

Plus en détail

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION

Plus en détail

LIVRET D ÉPARGNE SALARIALE

LIVRET D ÉPARGNE SALARIALE LIVRET D ÉPARGNE SALARIALE Tout ce que vous devez savoir sur les dispositifs d épargne salariale 2 - Tout ce que vous devez savoir sur les dispositifs d épargne salariale Sommaire Les dispositifs de participation

Plus en détail

Sommaire. L entrée en vigueur de l avenant n 21 sur les salaires minima au 1 er novembre 2013

Sommaire. L entrée en vigueur de l avenant n 21 sur les salaires minima au 1 er novembre 2013 informations sociales octobre novembre décembre 2013 Dans le cadre du mandat qu elle reçoit du FNCIP-HT, la Fédération Nationale de l Habillement informe chaque trimestre les entreprises à jour de paiement

Plus en détail

ACCORD RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS

ACCORD RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS ACCORD RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS Entre la Direction Générale de la société Herakles, représentée par Philippe BOULAN, en sa qualité de Directeur des Ressources Humaines, D une part, Et les organisations

Plus en détail

Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé

Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique

Plus en détail

AVANTAGES EN NATURE 4 AVANTAGE EN NATURE REPAS 4 TITRES - RESTAURANT 4 AVANTAGE EN NATURE LOGEMENT (EVALUE FORFAITAIREMENT) 4

AVANTAGES EN NATURE 4 AVANTAGE EN NATURE REPAS 4 TITRES - RESTAURANT 4 AVANTAGE EN NATURE LOGEMENT (EVALUE FORFAITAIREMENT) 4 LETTRE D ACTUALITE SOCIALE GROUP S MANAGEMENT SERVICES DONNEES ET CHIFFRES CLES POUR 2015 SOCIAL : GENERALITES ET ELEMENTS DE COTISATIONS 2 SMIC ET MINIMUM GARANTI 2 PLAFOND DE LA SECURITE SOCIALE 2 FORFAIT

Plus en détail

EPARGNE SALARIALE : PEE PERCO

EPARGNE SALARIALE : PEE PERCO EPARGNE SALARIALE : FICHE CONSEIL Nom du Document : EPARGNE SALARIALE Page : 1/7 EPARGNE SALARIALE : Le plan d épargne salariale est un système d'épargne collectif ouvrant au personnel de l'entreprise

Plus en détail

COMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE

COMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE COMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE SOYEZ PRO ACTIF! Anticipez et transformez cette contrainte en opportunité SALON DES ENTREPRENEURS 2015 5 février 2015 LA GENERALISATION DE LA COMPLEMENTAIRE SANTE DANS

Plus en détail

L INSEE EN BREF. L Insee en bref. La mesure du chômage par l Insee. N 4 Septembre 2012. Combien y a t il de chômeurs en France?

L INSEE EN BREF. L Insee en bref. La mesure du chômage par l Insee. N 4 Septembre 2012. Combien y a t il de chômeurs en France? L INSEE EN BREF L Insee en bref N 4 Septembre 2012 La mesure du chômage par l Insee Combien y a t il de chômeurs en France? Quelle définition des chômeurs retient l Insee? Comment l Insee mesure t il le

Plus en détail

Étude Patrimoniale Document de collecte d informations. Votre conjoint. Vous. Vos proches. Date de l entretien... DOSSIER

Étude Patrimoniale Document de collecte d informations. Votre conjoint. Vous. Vos proches. Date de l entretien... DOSSIER Date de l entretien.... DOSSIER Vous Votre conjoint Prénom.... Prénom.... Nom.... Nom.... Date de naissance... Date de naissance.... Situation familiale marié(e) célibataire divorcé(e) veuf(ve) union libre

Plus en détail

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu

Plus en détail

EPARGNE SALARIALE : PEE PERCO FICHE CONSEIL

EPARGNE SALARIALE : PEE PERCO FICHE CONSEIL EPARGNE SALARIALE : FICHE CONSEIL EPARGNE SALARIALE : Le plan d épargne salariale est un système d'épargne collectif ouvrant au personnel de l'entreprise la faculté de participer, avec l'aide de celle-ci,

Plus en détail

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,

Plus en détail

Les outils de simulation pour chaque type de structure permettent d estimer l impact de la réforme sur la période 2013-2015

Les outils de simulation pour chaque type de structure permettent d estimer l impact de la réforme sur la période 2013-2015 1 Les outils de simulation pour chaque type de structure permettent d estimer l impact de la réforme sur la période 2013-2015 4 types d outils de simulation ont été développés pour que les structures puissent

Plus en détail

TESA Notice additive générale

TESA Notice additive générale TESA Notice additive générale EMPLOYEUR Recto TAUX GLOBAUX DE PART SALARIALE UTILISÉS DANS LE TESA MONTANT DU SMIC OU DU SALAIRE CONVENTIONNEL Verso TAUX DÉTAILLÉS DES PARTS SALARIALE ET PATRONALE (EXEMPLE)

Plus en détail

RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415

RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge

Plus en détail

Livret d epargne SaLariaLe

Livret d epargne SaLariaLe Livret d Epargne Salariale Chère collaboratrice, Cher collaborateur, En tant que salarié(e) de PAGE PERSONNEL, vous bénéficiez de l accord de participation en vigueur dans l entreprise. En complément de

Plus en détail

Présentation des résultats 2006. 15 mars 2007

Présentation des résultats 2006. 15 mars 2007 Présentation des résultats 2006 15 mars 2007 Préambule Le intègre dans son périmètre la création de Natixis intervenue le 17 novembre. Les données financières présentées sont issues des comptes pro forma

Plus en détail

PRESENTATION DU LOGICIEL

PRESENTATION DU LOGICIEL PRESENTATION DU LOGICIEL Le logiciel permet de réaliser des études précises, claires, accompagnées d un rapport détaillé à remettre à votre client dans les domaines suivants : Choix du statut social du

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier Pacte de responsabilité et de solidarité Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier 1 2 INTERVENTION DE MONSIEUR MICHEL JOUVENOT DIRECTEUR DE LA BANQUE

Plus en détail

Les caractéristiques du secteur bancaire français

Les caractéristiques du secteur bancaire français Les caractéristiques du secteur bancaire français Fiche 1 Objectifs Découvrir le poids du secteur bancaire en France et ses intervenants Prérequis Aucun Mots-clefs Produit intérieur brut (PIB), organismes

Plus en détail

Veufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations

Veufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations Veufs MARS 2015 Veuvage, vos droits B Retraite de réversion B Allocation de veuvage B Autres prestations Veuvage, vos droits À la perte de votre conjoint, de nombreuses démarches sont à accomplir. L Assurance

Plus en détail

L assurance française : le bilan de l année 2012

L assurance française : le bilan de l année 2012 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance

Plus en détail

Dossier d information. DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application

Dossier d information. DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application MARS 2015 DROITS RECHARGEABLES Mars 2015 SOMMAIRE Une application problématique dans

Plus en détail

PREAMBULE. Les 3 statuts possibles de l entrepreneur :

PREAMBULE. Les 3 statuts possibles de l entrepreneur : 1 PREAMBULE Les 3 statuts possibles de l entrepreneur : 1. Le «quasi salarié» : Le dirigeant de SA et de SAS ou le gérant minoritaire de SARL. Sa rémunération relève des traitements et salaires. Il peut

Plus en détail

Livret d Epargne Salariale

Livret d Epargne Salariale Livret d Epargne Salariale Octobre 2012 BANQUE DE GRANDE CLIENTÈLE / épargne / services financiers spécialisés Livret d Épargne Salariale Pour savoir l essentiel sur l épargne salariale Il existe différents

Plus en détail

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations

Plus en détail

fiche pratique Les salaires de votre salarié à domicile

fiche pratique Les salaires de votre salarié à domicile fiche pratique Les salaires de votre salarié à domicile (Hors assistant maternel agréé) Vous recrutez un(e) salarié(e) pour vous aider à entretenir votre domicile et repasser votre linge. Vous souhaitez

Plus en détail

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération

Plus en détail

LIVRET D EPARGNE SALARIALE, Livret individuel à l entrée dans l entreprise

LIVRET D EPARGNE SALARIALE, Livret individuel à l entrée dans l entreprise LIVRET D EPARGNE SALARIALE, Livret individuel à l entrée dans l entreprise ARTICLE L.3341-6 DU CODE DU TRAVAIL Conformément à l'article L. 3341-6 du Code du travail «Tout salarié d'une entreprise proposant

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 6 juin 2014 AGEN 5 années de croissance perdues 1 850 Volume de la production nationale en milliard d'euros constants (valeur 2005) 1 800 1 750 1 700

Plus en détail

LES FICHES PRATIQUES DE FINANCES & PÉDAGOGIE

LES FICHES PRATIQUES DE FINANCES & PÉDAGOGIE LES FICHES PRATIQUES DE FINANCES & PÉDAGOGIE Préparer sa retraite MA RET RAITE Sommaire Le système de retraite en France, deux grands principes...2 Pour les régimes du privé, du salariat agricole, de l

Plus en détail

L évolution des formes

L évolution des formes L évolution des formes d emploi 5 décembre 2014 Conseil d orientation pour l emploi Plan de la présenta-on I. Les formes d emploi: un paysage en évolution et de plus en plus complexe II. Les causes de

Plus en détail

TOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS

TOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS CET épargne salariale TOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS Sommaire Compte épargne temps 3 Historique 4 Mise en place 6 Alimentation 8 Utilisation 10 Optimiser le CET 14 COMPTE ÉPAR- GNE TEMPS Le Compte

Plus en détail

LES PREMIÈRES ÉTAPES DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ EN SEINE-SAINT-DENIS

LES PREMIÈRES ÉTAPES DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ EN SEINE-SAINT-DENIS LES PREMIÈRES ÉTAPES DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ EN SEINE-SAINT-DENIS Edition 2014 SOMMAIRE Editorial de Monsieur le préfet. 1 Le pacte est au service des entreprises et des ménages 2-3

Plus en détail

PACTE DE RESPONSABILITÉ

PACTE DE RESPONSABILITÉ PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ Loi de finances rectificative pour 2014 Loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 10 septembre 2014 1 LES PRINCIPALES MESURES SOCIALES DU

Plus en détail

Études. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages

Études. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor

Plus en détail

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%

Plus en détail

I. Entrée en vigueur de l avenant salaires n 21 à compter du 1 er novembre 2013

I. Entrée en vigueur de l avenant salaires n 21 à compter du 1 er novembre 2013 Les salaires minima applicables à compter du 1 er janvier 2015 CCN n 3241 En résumé : I. Entrée en vigueur de l avenant salaires n 21 à compter du 1 er novembre 2013 L avenant n 21 sur les salaires minima

Plus en détail

Compte Courant Rémunéré

Compte Courant Rémunéré - 1 - Compte Courant Rémunéré Mots clés : Sommaire :! Compte rémunéré! Epargne! Versements! Rémunération! Livret 1. Définition du compte courant rémunéré 1.1 Historique 1.2 Description 1.3 Différences

Plus en détail

La Lettre de l IMSEPP

La Lettre de l IMSEPP La Lettre de l IMSEPP N 46 27 janvier 2015 Marché du travail 2014 en Martinique : Bilan d une année de demandes d emploi Page 1 16 Synthèse : Au mois de décembre 2014, la baisse tendancielle du nombre

Plus en détail

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/11/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/11/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Cegid Business Paie Mise à jour plan de paie 01/11/2014 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Mise à jour plan de paie Novembre 2014 Sommaire 1. MISE A JOUR NOVEMBRE 2014... 4 Eléments nationaux...

Plus en détail

la fiscalité des valeurs mobilières en 2015

la fiscalité des valeurs mobilières en 2015 la fiscalité des valeurs mobilières en 2015 loi de finances 2015 loi n 2014-1654 du 29 décembre 2014 web conference - 10-02-2015 1 les lois de finances 2013 et 2014 régime des plus values simplification

Plus en détail

RISK INDEX 2014 SUISSE

RISK INDEX 2014 SUISSE RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur

Plus en détail

GUIDE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE AGIRC ET ARRCO LE LIVRET DU RETRAITÉ. n o 2. Le livret du retraité

GUIDE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE AGIRC ET ARRCO LE LIVRET DU RETRAITÉ. n o 2. Le livret du retraité GUIDE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE AGIRC ET ARRCO LE LIVRET DU RETRAITÉ Guide salariés n o 2 MARS 2015 Le livret du retraité Sommaire La retraite, en bref... 3 Points clés... 4 Points de repères... 8 Points

Plus en détail

BREF Thématique L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE

BREF Thématique L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE BREF Thématique N 25 mai 2011 Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l emploi d Ile de France L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE LES PRINCIPAUX

Plus en détail

Principaux résultats de l enquête BMO 2011 dans les TPE Jeudi 12 mai 2011 Paris

Principaux résultats de l enquête BMO 2011 dans les TPE Jeudi 12 mai 2011 Paris Principaux résultats de l enquête BMO 2011 dans les TPE Jeudi 12 mai 2011 Paris Document pouvant être diffusé BMO 2011 : Deuxième année de l enquête rénovée Elargissement du champ Nomenclature des métiers

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014

Pacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014 Pacte de responsabilité et de solidarité Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014 1 2 Le Pacte : quels bénéficiaires? Les entreprises Toutes les entreprises, quelle que soit

Plus en détail

APS 4 : CREATION D'ENTREPRISE

APS 4 : CREATION D'ENTREPRISE APS 4 : CREATION D'ENTREPRISE ETABLISSEMENT LIMAYRAC DESCRIPTION Création d'une entreprise de service LOGICIELS NECESSAES Bureautique Internet NIVEAU Début 1 ère année pour des classes mixtes Bac généraux

Plus en détail

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/01/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/01/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Cegid Business Paie Mise à jour plan de paie 01/01/2014 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Mise à jour plan de paie Janvier 2014 Sommaire 1. NOUVELLES VALEURS... 4 Eléments nationaux... 4

Plus en détail

Gestion & Actualité. La note d information du CGL SOMMAIRE. Plus-values immobilières 2012 Une déclaration unique Un timbre de 35 euros

Gestion & Actualité. La note d information du CGL SOMMAIRE. Plus-values immobilières 2012 Une déclaration unique Un timbre de 35 euros EXTRAITS DU N 47 NOVEMBRE 2011 Gestion & Actualité La note d information du CGL SOMMAIRE Page 2 Page 3 Page 4 A apprécier Plus-values immobilières 2012 Une déclaration unique Un timbre de 35 euros Vers

Plus en détail

Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie

Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie

Plus en détail

Votre banque au quotidien

Votre banque au quotidien Votre banque au quotidien Conditions Tarifaires Janvier 2009 C O N D I T I O N S T A R I F A I R E S Les présentes Conditions Tarifaires sont applicables aux particuliers exclusivement. Elles annulent

Plus en détail

LES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010

LES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 Contact presse Éva Quickert-Menzel 01 44 38 22 03 Sommaire Chiffres-clés des retraites...

Plus en détail

ALLOCATIONS CHOMAGE. Effet au 01/07/2014

ALLOCATIONS CHOMAGE. Effet au 01/07/2014 Questions sociales Note d information n 14-15 du 6 août 2014 ALLOCATIONS CHOMAGE Effet au 01/07/2014 Références Arrêté du 25 juin 2014 portant agrément de la convention du 14 mai 2014 relative à l indemnisation

Plus en détail

Pouvoir d achat - 124. Revenu mensuel en Autriche. Tableau: Revenu mensuel en Autriche Valide au 31 mars 2009

Pouvoir d achat - 124. Revenu mensuel en Autriche. Tableau: Revenu mensuel en Autriche Valide au 31 mars 2009 Revenu mensuel en Autriche ans d expérience, a) célibataire et b) marié et père de 2 enfants c) et d) sans revenir chaque jour à la maison et preste 5 heures supplémentaires Tableau: Revenu mensuel en

Plus en détail

Demande d allocation de solidarité aux personnes âgées

Demande d allocation de solidarité aux personnes âgées Nous sommes là pour vous aider Demande d allocation de solidarité aux personnes âgées Cette notice a été réalisée pour vous aider à établir vos demande et déclaration de ressources. Pour nous contacter

Plus en détail

Licence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité développement d'applications Internet/Intranet

Licence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité développement d'applications Internet/Intranet IUT - Institut Universitaire de Technologie Licence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité développement d'applications Internet/Intranet / Objectifs de cette licence professionnelle

Plus en détail

INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES

INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS

Plus en détail

LES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :

LES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques : LES BANQUES I. Les différents services proposés par les banques : Les services bancaires représentent l ensemble des produits proposés par une banque. Les services bancaires les plus connus sont : Epargne

Plus en détail

Fiches thématiques. Revenus

Fiches thématiques. Revenus Fiches thématiques Revenus Avertissement Les sites internet www.insee.fr et http://epp.eurostat.ec.europa.eu pour les données internationales mettent en ligne des actualisations pour les chiffres essentiels.

Plus en détail

Modules de formation H R S E R V I C E S

Modules de formation H R S E R V I C E S Modules de formation H R S E R V I C E S C est en s inspirant de la collaboration avec ses partenaires professionnels que Securex a conçu ce catalogue de formations dédié aux différents aspects de la gestion

Plus en détail

La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux

La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

Dépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3

Dépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3 Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs

Plus en détail

DEMANDE 2015 DE PRISE EN CHARGE AU PREALABLE PLAN DE FORMATION PERIODE DE PROFESSIONNALISATION FORMATION TUTEUR COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (CPF)

DEMANDE 2015 DE PRISE EN CHARGE AU PREALABLE PLAN DE FORMATION PERIODE DE PROFESSIONNALISATION FORMATION TUTEUR COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (CPF) >DPC Unique DEMANDE 2015 DE PRISE EN CHARGE AU PREALABLE PLAN DE FORMATION PERIODE DE PROFESSIONNALISATION FORMATION TUTEUR COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (CPF) A RETOURNER A L ADRESSE DE VOTRE CENTRE DE

Plus en détail

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité

Plus en détail

Adapter la gestion de son patrimoine en temps de crise

Adapter la gestion de son patrimoine en temps de crise Adapter la gestion de son patrimoine en temps de crise Mercredi 14 mars 2012 Adapter la gestion de son patrimoine en temps de crise Synthèse conférence du 29 Février La crise est autant financière qu économique.

Plus en détail

Population active et pauvreté en région Centre

Population active et pauvreté en région Centre Population active et pauvreté en région Centre Conseil Economique et Social Régional du Centre Janvier 2010 Partie I. Périmètre de l étude quatre ménages touchant le SMIC ou le RSA Nombre potentiel de

Plus en détail

ESSEC Cours Wealth management

ESSEC Cours Wealth management ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique

Plus en détail

Plafonnement fiscal des investissements et bouclier fiscal. Du constat au conseil

Plafonnement fiscal des investissements et bouclier fiscal. Du constat au conseil Plafonnement fiscal des investissements et bouclier fiscal Du constat au conseil Intervenants Félix CICERON, Directeur de l ingénierie patrimoniale, Expert& Finance José SOTO, Directeur des partenariats

Plus en détail

Les comptes nationaux et le SEC 2010

Les comptes nationaux et le SEC 2010 Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction

Plus en détail

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014 Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression

Plus en détail

Lettre d'information des porteurs de parts

Lettre d'information des porteurs de parts Lettre d'information des porteurs de parts du FCPE CREDIT AGRICOLE MULTIPLE 2007 [CIVILITE] [PRENOM] [NOM] [ADRESSE 1] [ADRESSE 2] [CODE POSTAL] [VILLE] [PAYS] Paris, le.. Numéro de compte AMUNDI Tenue

Plus en détail

SOMMAIRE. Comment suis-je informé(e) de mes droits? Quel sera le montant net de ma retraite? Comment ma retraite est-elle versée?

SOMMAIRE. Comment suis-je informé(e) de mes droits? Quel sera le montant net de ma retraite? Comment ma retraite est-elle versée? SOMMAIRE Comment suis-je informé(e) de mes droits? Quel sera le montant net de ma retraite? Comment ma retraite est-elle versée? Que dois-je déclarer aux impôts? Est-il possible de reprendre une activité?

Plus en détail

PREPARATION AUX CONCOURS ENA/INET

PREPARATION AUX CONCOURS ENA/INET INSTITUT D ETUDES POLITIQUES DE STRASBOURG LE DEVENIR DES DIPLOMÉS 2012 PREPARATION AUX CONCOURS ENA/INET Les caractéristiques de la population ayant répondu à l enquête, un an après leur sortie de l IEP

Plus en détail

Que couvre la protection sociale obligatoire?

Que couvre la protection sociale obligatoire? Que désigne le terme «Prévoyance»? Que couvre la protection sociale obligatoire? A savoir Les assurances de personnes couvrant les risques : De maladie et d accidents corporels ; De maternité ; D incapacité

Plus en détail

Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008

Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008 Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008 Les organisations syndicales signataires : CFDT, SNECA-CGC, SUD AtlantiCA TABLE DES MATIERES L ACCORD INDEX TABLE DES MATIERES

Plus en détail

Dares Analyses. Les bas salaires en France entre 1995 et 2011

Dares Analyses. Les bas salaires en France entre 1995 et 2011 Dares Analyses OCTObre 2012 N 068 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Les bas salaires en France entre 1995 et 2011 En 2011, sur 22,3 millions de

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME

COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS

Plus en détail

Plan de soutien à l élevage français

Plan de soutien à l élevage français Plan de soutien à l élevage français MEMENTO Entreprises fragilisées dans le secteur agricole : quels outils pour quelles problématiques? Ce mémento récapitule de façon synthétique les outils existants

Plus en détail

PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES

PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

Groupe Crédit-Mutuel CIC

Groupe Crédit-Mutuel CIC ATELIER SOLUTION L ingénierie sociale au service des entreprises de leurs dirigeants de l expert- comptable Groupe Crédit-Mutuel CIC P.1 L ingénierie sociale au service des entreprises, de leurs dirigeants,

Plus en détail

Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation

Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation Attention : Ce document a été établit en juin 2015. Les informations qu il contient peuvent avoir évoluées en fonction des lois

Plus en détail

I. Compte courants d associés : taux maximal d intérêts déductibles

I. Compte courants d associés : taux maximal d intérêts déductibles NOTE D INFORMATION 2014/01 du 02 janvier 2014 Charges sociales 2014 SMIC 2014 - intérêts comptes courants 2013 I. Compte courants d associés : taux maximal d intérêts déductibles Le taux maximal d'intérêts

Plus en détail

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Dares Analyses FÉVRIER 2014 N 016 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L EMPLOI DANS LES TRÈS PETITES ENTREPRISES EN DÉCEMBRE 2012 Les entreprises

Plus en détail

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/03/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/03/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Cegid Business Paie Mise à jour plan de paie 01/03/2014 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Mise à jour plan de paie Mars 2014 Sommaire 1. MISE A JOUR DE MARS 2014... 4 Eléments nationaux...

Plus en détail

DEVOIR N 1 économie générale

DEVOIR N 1 économie générale PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le

Plus en détail

Diane Patrimoine. L épargne salariale : outil d optimisation et de défiscalisation de la rémunération. Diane Patrimoine 1

Diane Patrimoine. L épargne salariale : outil d optimisation et de défiscalisation de la rémunération. Diane Patrimoine 1 Diane Patrimoine L épargne salariale : outil d optimisation et de défiscalisation de la rémunération Diane Patrimoine 1 Sommaire : Les dispositifs d épargne salariale et leurs principaux avantages Une

Plus en détail