Alimentation et inégalités sociales de santé

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Alimentation et inégalités sociales de santé"

Transcription

1 Colloque Santé et Société - Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute la population? Toulouse, Mai 2015 Alimentation et inégalités sociales de santé Quels déterminants? Quelles politiques publiques? L.G. Soler (INRA Aliss)

2 Introduction générale Des relations établies entre consommations alimentaires, manque d activité physique et certaines pathologies (MCV, certains cancers, diabète 2, obésité ) Mortalité associée aux consommations alimentaires et au manque d activité physique (OMS, 2009)

3 En santé publique, 3 sujets de préoccupation en lien avec alimentation et activité physique : Progression du surpoids et de l obésité Qualité de vie des années de vie gagnées (prévention et vieillissement de la population) Inégalités sociales de santé

4 Répartition de la population en fonction de son niveau d IMC depuis 1997 (Source: enquête ObEpi)

5 Prévalence de l obésité : de fortes différences selon les classes de revenus

6 1. Quels déterminants économiques? Des dynamiques de long terme tant au niveau de l offre alimentaire que des consommations Des consommations alimentaires différenciées socialement Prix des aliments, coût et qualité des régimes alimentaires 2. Quelles politiques publiques? Favoriser des choix mieux informés des consommateurs et /ou modifier leur environnement alimentaire? Des politiques ciblées et/ou en population générale?

7 Des dynamiques de long terme En quelques décennies, une évolution considérable des consommations alimentaires Transition nutritionnelle = modification de la structure du régime alimentaire : plus de lipides, plus de glucides simples, moins de glucides complexes, plus de produits transformés De nombreux déterminants : culturels, sociaux, technologiques, modes de vie L impact des gains de productivité o Baisse du coût relatif de l alimentation au cours des 40 dernières années (abondance alimentaire) o Hausse du coût de la dépense énergétique o Modification des prix relatifs des aliments

8 Structure de la ration alimentaire en fonction du PIB du pays (2009) PROTIDES LIPIDES GLUCIDES

9 Le poids des facteurs économiques dans le développement de l'obésité

10 Prix des légumes et des corps gras en France Indice des prix relatifs Indice de consommation par tête 140 Légumes 220 Corps gras Corps gras Légumes

11 Prix relatifs des fruits et légumes frais vs transformés = prix alimentaires Légumes frais 60 Fruits frais Fruits transformés (yc jus) 40 Légumes transformés Source : INSEE Comptabilité Nationale

12 Médiane du coût de l'énergie, /100 kcal Coût de 100 kcal, par groupe d aliments Source : Darmon, Expertise Collective INSERM ,9 0,8 0,7 0,6 0,82 Viande, poisson, fruits & légumes sont les sources de calories les plus chères (et ce sont aussi les plus riches en nutriments essentiels) 0, , ,4 0,3 0,2 0,38 0,32 Pdts sucrés/salés, féculents et mat. grasses sont les sources de calories les moins chères 0, , ,1 0 Fruits Légumes (203) Fruits Légumes Viandes Œufs Poissons (234) Viande Poisson Plats composés (157) Plats préparés Snacks Produits Laitiers (172) Produits laitiers Produits Gras/Sucrés Produits (203) sucrés/salés Féculents (81) Féculents 0, Matiéres Grasses (67) Mat. grasses ajoutées

13 Qualité nutritionnelle : SAIN/LIM Coût de l énergie ( /100kcal) (Darmon, Expertise Collective INSERM 2013)

14 Coût et qualité nutritionnelle des régimes alimentaires

15 Consommations alimentaires selon les niveaux de revenus (Darmon et al. 2009, Enquête INCA 2) g.jour.personne Fruits & Légumes Féculents Produits Laitiers Plats préparés Produits Sucrés Viande/Poisson/œufs IA SA1 SA2 SA3 SA4 Insécurité Alimentaire (12%) quartiles de revenus (Sécurité Alimentaire) Moyennes ajustées sur l âge, le sexe et les apports énergétiques

16 Chez les adultes : Variations observées en France avec éducation Apports plus élevés en : fruits et légumes, poisson, huiles monoinsaturées, produits complets, riz, céréales petit déjeuner, fromages Apports plus faibles en : matières grasses animales, aliments grassucrés, pommes de terre, crèmes desserts, viandes/volaille Chez les enfants : Variations observées en France selon la position socioéconomique (PSE) Apports en fruits et légumes augmentent lorsque la PSE augmente Profils denses en énergie («fast-food»/«snacking») et absence de petit déjeuner plus fréquents chez les enfants de PSE basse

17 Coût journalier ration (Eurocents) Consommation de fruits & légumes et coût de l alimentation en France (Drewnowski, Am J Pub Health, 2004) E5 E4 E3 E2 E Consommation de Fruits et Légumes (g/jour) Le coût journalier de l alimentation est positivement corrélé à la quantité de fruits et légumes consommés

18 Densité énergétique (MJ/kg) Impact d'une contrainte de coût sur la qualité nutritionnelle du régime 9 8,5 8 7,5 7 6,5 6 5,5 Vitamine C % Lipides Densité énergétique 5 2 2,5 3 3,5 4 4,5 5 5,5 (Rations Homme) Contrainte de coût ( /j) Source : Enquête Val-de-Marne ; Darmon, Briend, Ferguson, J Nutr, 2002; Darmon Briend, Ferguson, Appetite, 2003

19 Coût de paniers équilibrés vs budget alimentaire (Royaume-UNI) (Nelson, Proc Nutr Soc 2002) Coût d une alimentation LCA «Low Cost but Acceptable» Quartiles des dépenses alimentaires ( /personne.semaine) Les dépenses alimentaires des plus pauvres sont inférieures au seuil nécessaire pour avoir une alimentation équilibrée

20 Pour les ménages en situation précaire et défavorisés, les contraintes budgétaires sont trop fortes pour permettre d adopter un régime alimentaire équilibré La contrainte économique suffit-elle pour autant à expliquer le gradient social de consommations alimentaires et de santé sur l ensemble de la population? o Le niveau d éducation semble souvent plus explicatif que le revenu o Hors situations économiques très contraintes, il est possible d adopter un régime alimentaire équilibré o Mais suppose des changements importants de répertoire alimentaire = coûts d adaptation élevés o Suggère d autres déterminants forts : préférences sensorielles, normes sociales, arbitrages court terme / long terme

21 1. Quels déterminants économiques? Des dynamiques de long terme tant au niveau de l offre alimentaire que des consommations Des consommations alimentaires différenciées socialement Prix des aliments, coût et qualité des régimes alimentaires 2. Quelles politiques publiques? Favoriser des choix mieux informés des consommateurs et /ou modifier leur environnement alimentaire? Des politiques ciblées et/ou en population générale?

22 Enjeux de santé au cœur des préoccupations des pouvoirs publics - En France : PNNS1, PNNS2, PNN3 - Dans de nombreux pays : campagnes d information, débats sur réglementation de l étiquetage, régulation de la publicité, taxes & subventions Des objectifs ambitieux d inflexion des consommations alimentaires : En France, PNNS : - Atteindre 5 fruits et légumes par jour - Réduire de 20% la consommation de sel - Réduire de 25 % de la consommation de glucides simples et glucides ajoutés -

23 Deux grandes stratégies plus ou moins «intrusives» - Informer les consommateurs, en postulant qu ils adaptent leurs comportements quand ils connaissent les liens alimentation-santé Stratégie majoritairement mise en place dans de nombreux pays - Agir sur l environnement des consommateurs de façon à améliorer l impact santé des consommations alimentaires, y compris pour ceux qui ne sont pas sensibles aux enjeux de santé Stratégie plus récemment envisagée par les pouvoirs publics

24 Politiques et interventions nutritionnelles Actions ciblées Actions en population générale Actions visant à favoriser des choix mieux informés Actions éducatives auprès de populations-cibles (familles défavorisées, personnes à risques de santé, milieu scolaire ) Campagnes d information Etiquetage des produits alimentaires Actions visant à modifier «l environnement» des consommateurs Repas en cantines scolaires et sur lieu de travail Suppression distributeurs de boissons dans les écoles Politiques fiscales (taxes, subventions ) Régulation de la publicité Modification de l offre alimentaire

25 Campagnes d information - Effets significatifs sur les connaissances nutritionnelles, mais modestes sur les consommations Meta-analyse Fruits et Légume : 0.2 à 0.5 portion/j - Effets très variés selon les catégories de consommateurs : - Renforcent les préoccupations de santé chez des catégories déjà réceptives - Effets plus forts sur femmes, sur personnes confrontées à des risques de santé, sur catégories à niveau d éducation plus élevé - Impacts différenciés selon les catégories sociales - Risques d accroissement des inégalités sociales de santé liés: - Capacités/motivations - Mécanismes de marché

26 Effets des campagnes «5 Fruits et Légumes» au Royaume-Uni en fonction des niveaux de revenus des ménages (en portions de F&L par jour) Consommation intiale Variation Premier quartile 3,30 (0,09) 0,44 (0,12) Deuxième quartile 3,91 (0,10) 0,41 (0,15) Troisième quartile 4,58 (0,13) 0,70 (0,23) Quatrième quartile 5,49 (0,15) 0,25 (0,26) Total 4,26 (0,06) 0,31 (0,07) Source: Cappacci et Mazzocchi, 2011.

27 Politiques fiscales Objectifs : - baisser les prix des aliments recommandés sur le plan nutritionnel (subventions) - accroître les prix des aliments à limiter (taxes) Politiques fiscales utilisées dans quelques pays Taxe sodas 2012 en France Fat tax au Danemark

28 Taxe sodas de 2012 en France (Berardi et al., 2013) Accroissement des prix des boissons ciblées, mais réponses différentes des entreprises selon les produits (un peu plus forte pour sodas que pour autres boissons sucrées) En moyenne, distributeurs ont moins transmis la taxe = ont préféré rogner leurs marges sur ces produits o Effets consommateurs : 3 à 6 litres / personne /an selon hypothèses (Bonnet et Réquillart, 2013) Taxe sur acides gras saturés au Danemark Réduction de la consommation d environ 10% Déplacement vers marques 1er prix (hard discount) qui en ont profité pour augmenter les prix (plus fortement que la taxe)

29 De façon générale : - Elasticités-prix de la demande sont faibles : effets globaux modestes sur les consommations et surpoids, mais plutôt dans le bon sens (bénéfices de santé) - Elasticités-prix sont variées selon les types de consommateurs : réponses différenciées selon les catégories sociales Elasticités-prix plus fortes chez les plus pauvres Effets régressifs sur le plan budgétaire : en proportion, budget des plus pauvres plus fortement impacté par la taxe mais effet potentiel plus fort sur le plan de la santé (car plus fortement confrontés aux maladies chroniques associées à l alimentation)

30 On peut compenser l aspect régressif de la taxe par un autre levier d action (subventions ciblées, coupons fruits et légumes ) Taxe = collecte fiscale qui peut être utilisée pour financer des actions ciblées sur les populations plus défavorisées ou financer des actions de santé publique Si un produit ou un nutriment cible est taxé, comment les entreprises répercutent-elles la taxe sur les prix de vente? Possibles effets non souhaités

31 Actions sur l offre alimentaire Données USA (Basu et Lewis, 2014) : Réduction de 20% de la teneur en sucres ajoutés à consommations constantes se traduit par : Obésité : -4.6% ; Diabète de type 2 : -4.2% Effets > à taxe sur les sucres ajoutés Démarches réglementaires (seuils minimum ou maximum, interdiction de certains ingrédients, etc.). Limitation des acides gras trans (AGT) au Danemark en 2004 = seuil maximum de 2% de teneur en AGT dans les produits vendus aux consommateurs ou dans les ingrédients des produits préparés. Engagements volontaires «Accords» d amélioration de la qualité de l offre négociés entre l industrie et les pouvoirs publics

32 Interventions sur l offre alimentaire Au Royaume-Uni : - Priorité à la baisse du sel dans les aliments - Cibles de reformulation des produits négociées - Engagements signés par les entreprises et leurs associations représentatives (75 en 2010) Réduction des teneurs en sel opérée entre 2006 et 2010 = 5,3% en moyenne (tout en atteignant des valeurs plus élevées dans des secteurs critiques). L apport en sel au niveau de la population y est ainsi passé de 9,5 g/j en 2000 à 8,6 g/j en 2008 mais reste toutefois au-dessus du seuil visé de 6 g/j.

33 Actions sur l offre alimentaire En France : Programme National Nutrition Santé : chartes d engagement de progrès nutritionnel 35 entreprises ou groupes d entreprises se sont engagés Engagements significatifs (en niveau) de la part des entreprises signataires, mais parts de marché concernées variables selon les secteurs Entreprises signataires = - 7% en moyenne en sel ; + 20% en fibres Entreprises signataires = de 0.5 à 70% des volumes écoulés selon les secteurs

34 Sodium (g/100g) 0,9 0,8 0,7 0,6 0,5 0,4 0,3 0,2 0,1 0 Evolution de la teneur en sodium des céréales équilibre (références appariées) Couples N=49 références (Oqali, 2012) sodium 2008 sodium 2011 => Alignement des références autour de 0,4 g/100g

35 Impacts des chartes d engagements sur les consommateurs Impacts significatifs mais qui restent encore modestes sur les consommations Variations d apports énergétiques : -11,4 kcal/jour pour les hommes -10,6 kcal/jour pour les femmes Effets positifs sur le plan des inégalités sociales de santé : variations équivalentes selon les classes de revenus, voire supérieures parmi familles plus modestes Des impacts potentiellement importants si extension des démarches Difficultés principales : tension goût / santé ; faibles incitations du marché

36 Décomposition de la dynamique de la reformulation en sel au R.U. (Griffith et al., 2014) Variation de l intensité en sel du panier moyen Effet Effet reformulation = des produits + entrée / + sortie de toujours produits présents Effet «Déplacement» des consommateurs -5.3% -7.2% +0,7% +1,2% MAIS : Effet déplacement des consommateurs plus fort chez catégories à plus faibles revenus!

37 Conclusion 01/06/

38 Comportements alimentaires sont déterminés par un grand nombre de facteurs (goûts, culturels, économiques, sociaux, psychologiques, physiologiques ) Les dimensions de santé ne sont pas nécessairement prioritaires pour tous les consommateurs L hypothèse «connaissance implique changement» pas toujours vérifiée La plupart des interventions considérées séparément ont des effets de santé modestes suggérant l existence de facteurs lourds, multiples et difficilement réversibles déterminant les pratiques de consommation alimentaire et d activité physique

39 Dès lors qu on cherche à modifier des équilibres offre / demande, mécanismes de marché à prendre en compte Réactions des entreprises peuvent amoindrir ou amplifier, selon les cas, les impacts des politiques publiques Enjeu : combinaison de politiques, conduite de façon pérenne sur le long terme, pour atteindre des améliorations sensibles de l état nutritionnel des populations. Malgré des impacts modestes, les interventions nutritionnelles sont généralement jugées coût-efficaces mais elles se distinguent selon qu elles jouent sur le niveau individuel des impacts ou le pourcentage de la population touchée 01/06/

40 Interventions en population générale effets faibles sur la santé de chaque individu, mais extension large peu (ou pas) coûteuses pour les pouvoirs publics effets possibles sur normes sociales Actions ciblées sur des catégories de la population à risques de santé ou défavorisées Effets individuels plus élevés mais extension faible Supposent des moyens importants, maintenus sur la durée 01/06/

41 Quel bilan sur les inégalités sociales de santé? Beaucoup d incertitudes car encore trop peu d études Une hypothèse Deux «modèles» du consommateur o Acteur autonome, délibérant de façon individuelle ses choix alimentaires, arbitrant de façon consciente entre les diverses options et mettant la santé en priorité dès lors qu il est informé o Politiques centrées sur l information o Acteur dont les actes de consommation ne sont pas soumis à une délibération systématique ; confronté à des biais de perception ; pour qui les enjeux de santé ne sont qu une des dimensions à prendre en compte 01/06/ o Politiques centrées sur l environnement

42 Actions sur «environnement» permettent plus probablement une réduction des inégalités sociales de santé que des actions centrées sur «information» des individus Prévention «passive» (mais plus intrusive) versus prévention «active» (mais moins intrusive)

43 Merci pour votre attention

44 Engagement charte collective - jambon supérieur ( ) Limite max 4g/100g Limite max 830 mg/100g

45 Pourcentage de références Reformulation des produits Céréales pour le petit-déjeuner (219 références appariées entre 2008 et en 2011 Evolution des références appariées par nutriment 100% 90% > -1 g/100g >-0,06 g/100g (sodium) 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 41% 45% 80% 87% 78% 58% 33% teneur identique [évolutions comprises entre -0,9 à +0,9 g/100g -0,05 et +0,05 g/100g (sodium)] > +1 g/100g >+0,06 g/100g (sodium) 10% 0% 13% 13% 7% 9% 9% 13% 9% 4% Sucres Lipides AGS Fibres Sodium

46 Evolution de la prévalence de l'obésité (IMC > 30) selon le niveau d éducation 20 % 20 ObEpi ,8 ObEpi % 14,1 11,5 11,3 10 % 9,6 10,1 8,3 8,6 8 5 % 6,7 6,1 6,8 5,7 5,7 5,1 0 % Primaire Technique court Niveau 3ème Niveau Bac Technique supérieur Supérieur 1ercycle Supérieur2ème cycle Supérieur3ème cycle

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs

Plus en détail

Développement d une application pilote

Développement d une application pilote Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc

Plus en détail

La Vache qui rit. CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats -

La Vache qui rit. CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats - La Vache qui rit CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats - Le Groupe Bel, conscient du rôle à jouer par l industrie agroalimentaire dans la lutte contre les problèmes de santé

Plus en détail

Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires

Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline

Plus en détail

Charte PNNS Groupe CASINO Résultats

Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10

Plus en détail

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive. 13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser

Plus en détail

L équilibre alimentaire.

L équilibre alimentaire. L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter

Plus en détail

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets

Plus en détail

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

GT lipides CHOCOLAT. 19 février 2008

GT lipides CHOCOLAT. 19 février 2008 1 GT lipides CHOCOLAT 19 février 2008 2 Sommaire Marché français du chocolat Consommation de chocolat en France Fabrication et ingrédients du chocolat Les matières grasses utilisées Compositions lipidiques

Plus en détail

Allégations relatives à la teneur nutritive

Allégations relatives à la teneur nutritive Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante

Plus en détail

Nutrition et santé : suivez le guide

Nutrition et santé : suivez le guide Prévention ALIMENTATION PLAISIR ET ÉQUILIBRE ALIMENTAIRE Nutrition et santé : suivez le guide Nous savons tous que l alimentation joue un rôle essentiel pour conserver une bonne santé. En voici quelques

Plus en détail

COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE

COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE 1/8 COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE AVIS 36-2006 Concerne : Contrôle de la composition des denrées alimentaires (dossier Sci Com 2005/25) Le Comité scientifique

Plus en détail

CARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ

CARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ CARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ Etude des produits transformés disponibles sur le marché français entre 2008 et 2011 ÉDITION 2015 2015 Etude du secteur des glaces

Plus en détail

Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES

Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440 Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d ouvrage

Plus en détail

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département

Plus en détail

L information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments

L information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments L information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments Présenté par Micheline Séguin Bernier Le 19 mars 2007 Tiré et adapté du document de Santé Canada Le tableau de la valeur nutritive : plus facile

Plus en détail

MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES

MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES Par Marie-Christine Parent, stagiaire en diététique AU MENU Retour sur le sondage Vision de la saine alimentation Qu est-ce que l étiquetage nutritionnel?

Plus en détail

Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne

Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité

Plus en détail

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité. Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes

Plus en détail

Définition de profils nutritionnels pour l accès aux allégations nutritionnelles et de santé : propositions et arguments Juin 2008

Définition de profils nutritionnels pour l accès aux allégations nutritionnelles et de santé : propositions et arguments Juin 2008 Définition de profils nutritionnels pour l accès aux allégations nutritionnelles et de santé : propositions et arguments Juin 2008 1/85 Coordination scientifique Monsieur Jean-Christophe Boclé, Mademoiselle

Plus en détail

Charte nutritionnelle

Charte nutritionnelle Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer

Plus en détail

Comment bien s hydrater pendant l été?

Comment bien s hydrater pendant l été? Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température

Plus en détail

Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique

Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique (comparaison entre athlètes et non-athlètes; nouvelles tendances comme le jus de betteraves) Comme vous le savez, l'alimentation de l'athlète

Plus en détail

2.1. L'évolution de l alimentation en France

2.1. L'évolution de l alimentation en France 2. CONSOMMATION ALIMENTAIRE ET ETAT NUTRITIONNEL DE LA POPULATION VIVANT EN FRANCE 2.1. L'évolution de l alimentation en France En France, comme dans l ensemble des pays industrialisés, les habitudes alimentaires

Plus en détail

RECOMMANDATION NUTRITION

RECOMMANDATION NUTRITION RECOMMANDATION NUTRITION GROUPE D ETUDE DES MARCHES DE RESTAURATION COLLECTIVE ET NUTRITION GEM-RCN Version 1.3 - Août 2013 1 LE PILOTAGE DES GROUPES D ÉTUDE DES MARCHÉS EST ASSURÉ PAR LE SERVICE DES ACHATS

Plus en détail

Teneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011

Teneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011 Teneur en glucides 15 décembre 2011 Objectif Avoir des éléments de comparaison de l offre sur : - les produits laitiers frais (PLF) - les boissons rafraichissantes sans alcool (BRSA) entre la Réunion et

Plus en détail

lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés

lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne

Plus en détail

Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)?

Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)? Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)? La veille au soir Les buts de l alimentation sont de maintenir les réserves en glycogène (réserve de sucre pour l effort) tant au niveau du

Plus en détail

LES POPULATIONS MODESTES ONT-ELLES UNE ALIMENTATION DESEQUILIBREE?

LES POPULATIONS MODESTES ONT-ELLES UNE ALIMENTATION DESEQUILIBREE? Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES POPULATIO MODESTES ONT-ELLES UNE ALIMENTATION DESEQUILIBREE? Fanette RECOURS Pascale HEBEL Avec la collaboration de Cécile CHAMARET

Plus en détail

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l

Plus en détail

Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca

Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction

Plus en détail

Liste des auteurs et remerciements

Liste des auteurs et remerciements Comparaison de deux enquêtes nationales de consommation alimentaire auprès des adolescents et des adultes Baromètre santé nutrition (22) et INCA (1998-99) : éléments de méthode et résultats - Juin 24 -

Plus en détail

Sport et alpha ANNEXES

Sport et alpha ANNEXES Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant

Plus en détail

Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché

Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la

Plus en détail

JUIN 2012 DÉCEMBRE 2008. L étiquetage des denrées alimentaires. L information des consommateurs,

JUIN 2012 DÉCEMBRE 2008. L étiquetage des denrées alimentaires. L information des consommateurs, JUIN 2012 DÉCEMBRE 2008 INFO RÉGLEMENTATION info L étiquetage des denrées alimentaires L information des consommateurs, focus sur le règlement européen INCO L e règlement européen n 1169/2011 (ci-après

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

Les aliments de l intelligence

Les aliments de l intelligence www.swissmilk.ch NEWS ER Conseils alimentation: L alimentation saine à l adolescence, 3 e partie Octobre 2010 Les aliments de l intelligence Des performances intellectuelles au top Des repas intelligents

Plus en détail

Réseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents

Réseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents Obésité Sévère de l Enfant et de l Adulte en Nord/Pas-de-Calais Réseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents Les services de médecine scolaire ou votre médecin traitant

Plus en détail

Bien produire pour bien manger

Bien produire pour bien manger Bien produire pour bien manger Projet co-réalisé par Avec le soutien financier de Bien produire pour bien manger La thématique permet de recréer du lien entre le champ et l assiette en abordant les bases

Plus en détail

Auriol : le service public de la Restauration scolaire

Auriol : le service public de la Restauration scolaire Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des

Plus en détail

Bien manger pour mieux vieillir. Aline Pageau Lauzière Dt.P., M.A. diététiste-nutritionniste

Bien manger pour mieux vieillir. Aline Pageau Lauzière Dt.P., M.A. diététiste-nutritionniste Bien manger pour mieux vieillir Dt.P., M.A. diététiste-nutritionniste Manger «Manger c est l acte social par excellence» «Non seulement nous sommes ce que nous mangeons, mais ce que nous avons mangé» (Richard

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES FOURNITURE ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE DESTINES AU SERVICE DE LA RESTAURATION SCOLAIRE DE LA COMMUNE DE SEMBLANÇAY N MARCHE : CANT.2009 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Personne

Plus en détail

ENQUETE DE SATISFACTION

ENQUETE DE SATISFACTION ENQUETE DE SATISFACTION RESTAURATION SCOLAIRE Chers parents, Nous souhaitons connaître votre avis sur la restauration scolaire de vos enfants. Cette enquête a pour but d évaluer votre degré de satisfaction

Plus en détail

Hygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM)

Hygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE, ET DES AFFAIRES RURALES Hygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM) Document aimab Document aimablement

Plus en détail

FONC N T C IONN N E N L E S

FONC N T C IONN N E N L E S BONBONS FONCTIONNELS SOLPIDIS est une entreprise espagnole située en Valence. Elle née avec l objectif d offrir a ses clients des produits innovants et fonctionnels. On est constamment en mouvement pour

Plus en détail

la Contribution Climat Energie

la Contribution Climat Energie Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble

Plus en détail

Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils?

Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils? Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils? Les glucides sont des éléments nutritifs indispensables au bon fonctionnement de l organisme. Ils sont présents dans les aliments aux côtés des protéines (viande,

Plus en détail

Les graisses dans l alimentation infantile

Les graisses dans l alimentation infantile FAMIPED Familias, Pediatras y Adolescentes en la Red. Mejores padres, mejores hijos. Les graisses dans l alimentation infantile Autor/es: Ana Martínez Rubio. Pediatra de Atención Primaria. Centro de Salud

Plus en détail

DIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ

DIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ 1 CAC/GL 23-1997 DIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ CAC/GL 23-1997 Les allégations relatives à la nutrition devraient être compatibles avec la politique nationale

Plus en détail

Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011

Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments

Plus en détail

RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT

RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente

Plus en détail

Protéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin?

Protéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin? Protéines Pour des Canadiens actifs De quelle quantité avez-vous besoin? 1 Protéines 101 Les protéines sont les principaux éléments fonctionnels et structuraux de toutes les cellules du corps. Chaque protéine

Plus en détail

Influence de l alimentation-santé sur les tendances de marché. Paul Paquin, Ph.D. INAF, Université Laval, Québec

Influence de l alimentation-santé sur les tendances de marché. Paul Paquin, Ph.D. INAF, Université Laval, Québec Influence de l alimentation-santé sur les tendances de marché Paul Paquin, Ph.D. INAF, Université Laval, Québec «Les tendances clés» «TENDANCE» Une tendance qui démontre une véritable opportunité de croissance;

Plus en détail

«Bien manger» et «bouger», c est important pour les ados

«Bien manger» et «bouger», c est important pour les ados Dossier de presse 9 mai 2006 «Bien manger» et «bouger», c est important pour les ados Adultes de demain, les adolescents sont également concernés, à court, moyen ou long terme, par les maladies cardiovasculaires,

Plus en détail

Factsheet Qu est-ce que le yogourt?

Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Description du produit: Le yogourt est un produit laitier acidulé de consistance plus ou moins épaisse. Le yogourt est fabriqué grâce à la fermentation du lait par les

Plus en détail

Le VIH et votre cœur

Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,

Plus en détail

Débat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»

Débat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français

Plus en détail

Composition du groupe de travail

Composition du groupe de travail - Membres du Comité d'experts spécialisé Nutrition Humaine Composition du groupe de travail Mme Martine CHAMP (INRA, CRNH, Nantes) M. Christian DEMIGNÉ (INRA, Saint Genes Champanelle) M. Marc FANTINO (CHU,

Plus en détail

60 produits solidaires pour les familles

60 produits solidaires pour les familles 60 produits solidaires pour les familles Une mobilisation de tous les acteurs Éleveurs Maraîchers Produits frais Produits secs GMS Conseil Général agriculteurs Droguerie Enseignes Transformateurs Manufacturiers

Plus en détail

SPECIALITE : RESTAURATION À LIRE ATTENTIVEMENT AVANT DE TRAITER LE SUJET

SPECIALITE : RESTAURATION À LIRE ATTENTIVEMENT AVANT DE TRAITER LE SUJET AGENT DE MAÎTRISE TERRITORIAL Concours interne et de 3 ème voie Centre Interdépartemental de Gestion de la Grande Couronne de la Région d Île-de-France SESSION 2015 Epreuve écrite d admissibilité Vérification

Plus en détail

L influence des politiques agroalimentaires à caractère économique sur l alimentation et le poids : synthèse. Contexte.

L influence des politiques agroalimentaires à caractère économique sur l alimentation et le poids : synthèse. Contexte. L influence des politiques agroalimentaires à caractère économique sur l alimentation et le poids : synthèse Contexte Ce document est la synthèse d un avis réalisé par Catherine Gervais de l Institut national

Plus en détail

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire

Plus en détail

Le restaurant scolaire est ouvert le lundi, mardi, jeudi et vendredi de 12H05 à 13 H30 : Article 2 : ACCES AU RESTAURANT

Le restaurant scolaire est ouvert le lundi, mardi, jeudi et vendredi de 12H05 à 13 H30 : Article 2 : ACCES AU RESTAURANT COMMUNE DE NIVILLAC REGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE ANNEE 2014-2015 ECOLE PRIMAIRE PUBLIQUE «LES PETITS MURINS» La cantine scolaire a pour objectif d assurer, dans les meilleures conditions

Plus en détail

Restauration Scolaire Lycée Français Josué-Hoffet. Cahier des Charges et Contrat 2014

Restauration Scolaire Lycée Français Josué-Hoffet. Cahier des Charges et Contrat 2014 Restauration Scolaire Lycée Français Josué-Hoffet Cahier des Charges et Contrat 2014 Siglaisons et troncation : APE : Association des Parents d Élèves COGES : Comité de Gestion CHSCT : Commission Hygiène

Plus en détail

ANNEE SCOLAIRE EN COURS

ANNEE SCOLAIRE EN COURS La rédaction de cette circulaire de Rentrée relative au service de Restauration a été assurée par l Association des Parents d Élèves, section française (APE). Elle a été val idée par la direction du Lycée

Plus en détail

Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre!

Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Juin 2012 Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Contexte et historique de la démarche La Réunion a connu au mois de février des tensions sociales dont la cause la plus immédiate résultait

Plus en détail

MARCHE DE RESTAURATION COLLECTIVE CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES APPEL D OFFRES OUVERT

MARCHE DE RESTAURATION COLLECTIVE CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES APPEL D OFFRES OUVERT MARCHE DE RESTAURATION COLLECTIVE CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES APPEL D OFFRES OUVERT Identification du pouvoir adjudicateur Identification du service en charge de l exécution du marché Lycée français

Plus en détail

Quel impact du vieillissement de la population sur l'innovation technologique dans le domaine de l'agro-alimentaire?

Quel impact du vieillissement de la population sur l'innovation technologique dans le domaine de l'agro-alimentaire? Quel impact du vieillissement de la population sur l'innovation technologique dans le domaine de l'agro-alimentaire? Sophie Reboud (Ceren, Groupe ESC Dijon Bourgogne) Corinne Tanguy (Cesaer, UMR INRA-Agrosup

Plus en détail

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF Organisation Tunisienne pour L Éducation et de la Famille Elaboré par Diabète infantile Boughanmi Hajer Encadré par : Licence appliquée en Biotechnologie JAOUA Noureddine Membre du bureau exécutif de l

Plus en détail

1777473 - EnergyOatSnack barre Banana Bread

1777473 - EnergyOatSnack barre Banana Bread 777473 - EnergyOatSnack barre Banana Bread Une barre de flocons d avoine avec des bananes sèches. Flocons d avoine (38%), sucre inverti liquide, bananes sèches (8%), margarine (huile de palme, huile de

Plus en détail

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Plus en détail

En savoir plus sur le diabète

En savoir plus sur le diabète En savoir plus sur le diabète 2 Qu est-ce que le diabète? Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang, on appelle cela l hyperglycémie. Le diabète est une maladie chronique qui survient

Plus en détail

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Panorama élaboré à partir d une étude Ernst & Young pour la MDER mai 2004 Sommaire Organisation de la filière en PACA p. 3 Chiffres clés p. 4 Productions

Plus en détail

Actions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée

Actions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée Actions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée Fiche à envoyer pour le 31 décembre de chaque année à l Agence Régionale de Santé (ARS), à l attention du correspondant

Plus en détail

BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre.

BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. Besoin alimentaire Allaitement maternelle : 1er jour=colostrum riche en protéines et en glucides Contient des AC Laxatif

Plus en détail

Le Régime Alimentaire. LR Health & Beauty Systems

Le Régime Alimentaire. LR Health & Beauty Systems Le Régime Alimentaire LR Health & Beauty Systems Les accessoires Le mètre La balance LR géniale LR a créé pour vous un mètre qui calcule votre indice de masse corporelle (IMC) achetez le ref Ruban BMI

Plus en détail

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus

Plus en détail

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005. Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs

Plus en détail

deux années en raison d un manque d efficacité. A contrario, de véritables innovations

deux années en raison d un manque d efficacité. A contrario, de véritables innovations 68 Bananastock Nutrition : les nouvelles tendances Le marché de la nutrition ne cesse d innover. 2010 a été marquée par le succès des probiotiques et de la stevia qui devraient continuer à se développer.

Plus en détail

Apport hydrique et boissons

Apport hydrique et boissons Besoin hydrique de l organisme L eau représente chez l homme adulte 60% de la masse corporelle, 50% chez la femme adulte et jusqu à 80% chez le nouveau-né. Par exemple un homme qui pèse 80 kilos est constitué

Plus en détail

Rôle et place du diététicien

Rôle et place du diététicien Rôle et place du diététicien 1. La diététique aujourd hui 2. Le diététicien aujourd hui 3. La consultation 4. Et si on «jouait»? 1. La diététique aujourd hui 2. Le diététicien aujourd hui 3. La consultation

Plus en détail

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du

Plus en détail

epm > nutrition Formation & Conseil

epm > nutrition Formation & Conseil CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»

Plus en détail

MANGEZ SAINEMENT VIVEZ PLUS LONGTEMPS. Des étapes simples pour faire des choix santé

MANGEZ SAINEMENT VIVEZ PLUS LONGTEMPS. Des étapes simples pour faire des choix santé MANGEZ SAINEMENT VIVEZ PLUS LONGTEMPS Des étapes simples pour faire des choix santé MANGEZ SAINEMENT VIVEZ PLUS LONGTEMPS Des étapes simples pour faire des choix santé Table des matières : Bien manger

Plus en détail

Notre engagement : une vie saine et active

Notre engagement : une vie saine et active L INDUSTRIE DES PRODUITS ALIMENTAIRES ET DE CONSOMMATION DU CANADA Notre engagement : une vie saine et active PRODUITS ALIMENTAIRES ET DE CONSOMMATION DU 2006 CANADA L INDUSTRIE DES PRODUITS ALIMENTAIRES

Plus en détail

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient

Plus en détail

LE CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE présente. Trucs et astuces. Bien-être et consommation

LE CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE présente. Trucs et astuces. Bien-être et consommation LE CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE présente Trucs et astuces Bien-être et consommation Groupe BIEN-ÊTRE et CONSOMMATION du canton de CHARLIEU Années 2008/2010 Éditorial Bien faire ses courses, limiter sa consommation

Plus en détail

Pour une meilleure santé

Pour une meilleure santé Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES

Plus en détail

Indications pédagogiques B2 / 32

Indications pédagogiques B2 / 32 à la Communication Objectif général Indications pédagogiques B2 / 32 B : S INFORMER / SE DOCUMENTER Degré de difficulté 2 Objectif intermédiaire Objectif opérationnel Pré-requis Nombre d exercices proposés

Plus en détail

NORHUIL. Un circuit court pour un produit de qualité. Les Hamards 61350 PASSAIS LA CONCEPTION

NORHUIL. Un circuit court pour un produit de qualité. Les Hamards 61350 PASSAIS LA CONCEPTION NORHUIL Les Hamards 61350 PASSAIS LA CONCEPTION Un circuit court pour un produit de qualité Tél : 09 61 05 21 96 / 06 83 40 95 38 Fax : 02 33 64 33 95 Email : sarl.norhuil@orange.fr 0 PRESENTATION Triturateur

Plus en détail

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION

Plus en détail

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques

Plus en détail

Manger et bouger entre 12 et 36 mois

Manger et bouger entre 12 et 36 mois Manger et bouger entre 12 et 36 mois Introduction C est au cours de la petite enfance que les habitudes alimentaires se développent. Outre de promouvoir de bonnes habitudes alimentaires, l alimentation

Plus en détail

Choix d aliments pour perdre du poids.

Choix d aliments pour perdre du poids. Choix d aliments pour perdre du poids. Objectifs : se sentir bien ne pas avoir faim Ce document fait partie que d une expérience pour perdre du poids et n est approuvé par aucune diététiste ou nutritionniste,

Plus en détail

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à

Plus en détail

Un avenir sain commence par une alimentation saine

Un avenir sain commence par une alimentation saine Un avenir sain commence par une alimentation saine 1 FFL_Algemeen_v2_FR.indd 1 18-02-2009 14:03:46 SOMMAIRE 3 L alimentation saine chez l enfant Michèle Masereel 4 Un bon schéma alimentaire acquis très

Plus en détail

«Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments»

«Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments» 1 «Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments» Magali Marchand, Chef de service Diététique RHMS Diététicienne agréée ABD 12.01.2012 - Maison du

Plus en détail