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1 Bull. Tech. Apic., 34 (2), 2007, Sanitaire Suivi de l efficacité des traitements contre Varroa destructor bénéficiant d une AMM au cours de l automne et de l hiver 2006/2007 J. Vallon, F. Savary, P. Jourdan ADAPI, Maison des Agriculteurs, 22 avenue Henri-Pontier, AIX-EN-PROVENCE CEDEX 1. S eules trois préparations vétérinaires disposent actuellement d une autorisation de mise sur le marché (AMM) pour lutter contre varroa dans les ruches : Apistan, Apivar et Apiguard. À partir de 1994, sont apparus progressivement des phénomènes de résistance avérés ou de baisse d efficacité avec Apistan d abord et Apivar ensuite. Depuis 2006, Apistan peut de nouveau être utilisé dans le sud-est de la France. L ADAPI, qui réalise, depuis de nombreuses années, des expérimentations de produits de traitement contre varroa a fait des suivis d efficacité et des comptages de varroas résiduels dans des colonies traitées avec ces deux produits pendant l hiver 2006/2007. Les efficacités obtenues sont satisfaisantes même si des cas d échec demeurent avec Apistan. Depuis plusieurs années, l ADAPI (Association de développement de l apiculture provençale) réalise des suivis de colonies pour mesurer l efficacité des traitements antivarroa et obtenir des références sur la cinétique d action, les conditions d utilisation et la pertinence d emploi pour les produits vétérinaires utilisés. Elle procède également à des comptages de varroas résiduels dans des ruches appartenant à des apiculteurs professionnels de la région. L efficacité est calculée en divisant le nombre de varroas tombés au cours du traitement par le nombre total d acariens comptabilisés pendant le traitement et après le traitement de contrôle. Les comptages sont effectués pendant toute la durée du traitement ainsi qu à la suite du traitement de contrôle, en plaçant sous le corps de la ruche, un lange graissé, protégé par un grillage qui empêche son nettoyage par les abeilles. Ces suivis exhaustifs sont réalisés sur peu de sites mais permettent néanmoins un calcul rigoureux de l efficacité. Ils sont complétés dans d autres ruchers par des contrôles posttraitement sur un échantillon de colonies. Le seuil de 50 varroas résiduels par colonie est alors utilisé pour estimer si le traitement a été suffisant ou pas. Le traitement de contrôle Il doit être réalisé avec un acaricide différent de celui utilisé lors du traitement et dont l efficacité est au moins de 90 à 95 %. Dans la mesure du possible, les traitements de contrôle sont réalisés par instillation (dégouttement) d acide oxalique en période hors couvain. L emploi du coumaphos en traitement de contrôle peut être remis en question du fait de phénomènes de résistance des varroas mis en évidence ces dernières années (en 2001, dans le nord de l Italie ; depuis plusieurs années, dans certaines expérimentations de l ADAPI, ce traitement s est avéré inefficace). Les «directives techniques pour l évaluation des traitements visant à contrôler le varroa dans les colonies d abeilles domestiques» [1] indiquent que la période pendant laquelle le comptage des acariens tombés est nécessaire dépend de la substance active utilisée pour le traitement de contrôle : une semaine pour le Perizin (coumaphos sous forme liquide) et entre deux et trois semaines pour les instillations d acide oxalique. Le traitement de contrôle doit être réalisé en absence de couvain. 7

2 Sanitaire Les médicaments vétérinaires suivis Les médicaments disposant d une AMM pour lutter contre Varroa destructor sont au nombre de trois : Apivar (amitraze), Apistan (fluvalinate) et Apiguard (thymol). Il est aussi possible d utiliser l acide oxalique dans le cadre de l agriculture biologique. Depuis 1994, en région PACA, la mise en évidence de foyers d acariens résistants au fluvalinate a incité les groupements de défense sanitaire apicole (GDSA) à retirer l Apistan des médicaments proposés aux apiculteurs. À partir de 1997, des témoignages ont fait état d échecs de traitement avec Apivar. En 2002, Milani et Della Vedova [2] concluaient à un retour de la sensibilité au fluvalinate des populations d acariens du nord de l Italie. En 2004 et 2005, une campagne de détection des populations d acariens résistants a été réalisée par Vita- Swarm (société détenant l Apistan ) en association avec différents GDSA, dans le sud-est et le nord-ouest de la France. Les résultats (disponibles sur le site internet de la société concluent à une régression des populations d acariens résistants au fluvalinate dans le sud-est et à une situation plus variable dans le nord-ouest. L intérêt de l utilisation de l Apistan, en alternance avec les autres médicaments vétérinaires, était relancé dans le sud-est. Ainsi, en 2006, le GDSA des Bouches-du-Rhône a proposé aux apiculteurs les traitements Apiguard et Apistan. Comparaison de l efficacité des traitements avec Apivar et Apistan Les efficacités d Apivar et d Apistan ont été évaluées dans un même rucher situé près d Aix-en-Provence (13), sur respectivement 20 ruches Langstroth. Les résultats ont donc été obtenus dans les mêmes conditions mais ne concernent que la population de varroas de ce rucher (colonies avec reines de 2005 et 2006). Traitement Apistan Apivar Date du traitement (durée) 12//06 (8 semaines) 12//06 ( semaines) Nombre et type de ruches 20 Langstroth 20 Langstroth Traitement de contrôle 2 applications de Taktic 2 applications de Klartan (cartons) puis 1 d acide oxalique (cartons) puis 1 d acide oxalique Dates des contrôles 21/12/06-28/12/06-25/01/07 21/12/06-28/12/06-25/01/07 (durée du suivi) (36 jours) (36 jours) Infestation moyenne en varroas (min max) ( ) ( ) Efficacité moyenne 98,5 % 98,4 % (min max) (91,7-99,9) (88,8 99,9) Nombre moyen de varroas résiduels (min max) (1 217) (2 2) Colonies avec plus de 50 varroas résiduels 2/20 3/20 Tableau 1. Efficacité comparée des traitements avec Apivar et Apistan en 2006 dans la région d Aix-en-Provence (13). Le niveau d infestation, l efficacité moyenne des traitements Apivar et Apistan, les nombres moyen, minimum et maximum de varroas résiduels dans une colonie et la fréquence des colonies ayant plus de 50 individus résiduels sont identiques dans ce 8 rucher (tableau 1). Il n y a donc pas eu de différence entre les deux traitements réalisés. Pour la population de varroas présente dans ces ruches, les deux traitements ont montré un excellent niveau d efficacité (supérieur à 98 %) même si quelques colonies ont encore un niveau d infestation trop élevé. L apparition de populations d acariens résistants au fluvalinate s est faite par foyers. La dissémination de la résis-

3 tance a pris quelques années. Nous pouvons cependant supposer que dans les populations de varroas issues de ces foyers sommeillent les gènes de résistance. Il est donc très risqué d extrapoler le résultat obtenu à l ensemble de la région bien que les résultas d efficacité du fluvalinate au laboratoire (tests coordonnés par Vita- Swarm) laissent entrevoir une régression des populations résistantes sur l ensemble du grand sud-est de la France. L emploi d Apistan n est encore uniquement envisagé qu en traitement d alternance dans les préconisations de Vita-Swarm. De plus, selon les cas, le niveau de régression des populations résistantes est sans doute très différent d un rucher à l autre (à cause, peut-être, de l exposition des populations de varroas au fluvalinate dans certains ruchers malgré l arrêt de l emploi de l Apistan ). En effet, un apiculteur a mis en évidence des populations résiduelles de varroas très importantes (moyenne = 400 varroas résiduels pour 6 ruches) lors de contrôles après emploi d Apistan lorsque les colonies traitées avec Apivar avaient une infestation résiduelle moindre (moyenne = 54 varroas résiduels pour 4 ruches). Remarque : les consignes d emploi de l Apistan recommandent de laisser les lanières dans les colonies pendant 8 semaines. Pour Apivar, le délai préconisé par le fabricant est de 6 semaines, mais suite à la perte d efficacité, il a été recommandé officieusement d augmenter le délai à Photo 1. Présentation des lanières d Apivar semaines. Nous avons maintenu les lanières Apivar dans les colonies pendant semaines de façon à quantifier le gain apporté par cette pratique. ADAPI % efficacité j+1 j+5 j+9 j+13 j+17 j+21 j+25 j+29 6 semaines j+33 j+37 Apivar 8 semaines j+41 j+45 j+49 j+53 j+57 Apistan j+61 j+65 j+69 j+73 j+77 semaines contrôle j+81 j+85 j+89 j+93 Figure 1. Comparaison des cinétiques d efficacité d Apivar et Apistan. Les cinétiques sont relativement différentes bien qu au bout d un certain temps, les efficacité soient identiques (fig.1). En ce qui concerne Apivar, on remarque que l efficacité moyenne obtenue après 6 semaines est de 93,4 % (avec Apistan, elle est de 96,9 %) et qu elle continue d augmenter jusqu à 98,6 % au bout de semaines (délai de retrait des lanières et du traitement de contrôle) pour égaler alors l efficacité moyenne d Apistan. Bien que n émanant pas du fournisseur, la recommandation d augmenter la période de présence des lanières Apivar dans les colonies apporte une amélioration nette de l efficacité d après nos observations. Mesure de l efficacité d un traitement avec Apivar Cette autre expérimentation, réalisée vers le Cannet-des-Maures (83) à la fin août 2006, comprenait onze colonies traitées avec Apivar. Les résultats obtenus sont donnés dans le tableau 2 (page 52). Les colonies sont très peu infestées et les résultats sont très satisfaisants. En fin d expérimentation, on obtient 95 % d efficacité en moyenne (du fait des faibles infestations, le poids pris par les quelques varroas résiduels devient très important et handicape fortement l efficacité obtenue) avec un maximum de 8 acariens résiduels! 9

4 Sanitaire Traitement Date du traitement (durée) Nombre et type de ruches Traitement de contrôle Apivar 30/08/06 ( semaines) 11 Langstroth Deux applications de Klartan (cartons) Dates du contrôle 7 novembre 2006 (durée du suivi) (21 jours) Infestation moyenne en varroas 239 (min max) ( - 875) Efficacité moyenne 95 % (min max) (80 0) Nombre moyen de varroas résiduels 3 (min max) (0 8) Colonies avec plus de 50 varroas résiduels 0/11 Tableau 2. Efficacité d un traitement avec Apivar au Cannet-des-Maures (83) en Sur les deux expérimentations, l efficacité moyenne pour les 31 colonies suivies de façon exhaustive (20 ruches Langstroth d Aix-en-Provence et 11 au Cannet-des-Maures) est donc de 97,4 %. Suivi du nombre de varroas résiduels après un traitement avec Apivar Le traitement avec Apivar est celui pour lequel nous avons le plus d observations. C est aussi le traitement bénéficiant d une AMM le plus employé. Les observations d acariens résiduels réalisées chez différents apiculteurs donnent les résultats rassemblés dans le tableau 3. Il faut y ajouter les données des tableaux 1 et 2. Sur les 59 ruches suivies et pour lesquelles un traitement de contrôle a été réalisé, il reste en moyenne 32 varroas résiduels suite à un traitement avec Apivar. Mais 11 colonies sur les 59 ont un niveau en varroas résiduels trop élevé, soit 19 % environ des ruches. Lieu Le-Thor (84) Cavaillon (84) Aix-en-Provence (13) Date du traitement mi-septembre /09/06 15/09/06 Nombre et Langstroth Dadant 8 Langstroth type de ruches Traitement de contrôle 2 applications 2 applications 2 applications d acide oxalique d acide oxalique d acide oxalique Dates du contrôle 22/12/06-04/01/07 22/12/06-04/01/07 21/12/06-04/01/07 Nombre moyen de varroas résiduels (min max) (6 183) (0 87) (3 206) Colonies avec plus de 3/ 3/ 2/8 50 varroas résiduels (30 %) (30 %) (25 %) Tableau 3. Suivi du nombre de varroas résiduels après un traitement avec Apivar dans trois ruchers en 2006.

5 Comparaison avec les résultats des traitements avec Apivar obtenus les années précédentes % des colonies avec plus de 50 varroas résiduels n = n = n = % d'efficacité du traitement colonies > 50 varroas résiduels (%) efficacité (%) Figure 2. Efficacité de d Apivar et fréquence des colonies non protégées par le traitement. D après les résultats obtenus cette année, Apivar reste encore très efficace avec un taux d efficacité de 97,4 %. En 2005, l efficacité calculée sur 60 colonies était de 95,4 % alors que celle obtenue en 2004 était supérieure à 98 %. Nous pouvons donc estimer qu Apivar a une efficacité légèrement variable d une année à l autre (du fait de phénomènes mal maîtrisés lors du traitement comme la propolisation des inserts ou le déplacement de la grappe d abeilles au cours du traitement), mais que cette efficacité reste très satisfaisante concernant les ruchers observés. Concernant le nombre de varroas résiduels, pour les 59 colonies suivies, environ 19 % dépassent le seuil de 50 acariens à l issue du traitement Apivar. En 2005, 13 % des colonies dépassaient ce seuil (sur 60 colonies suivies) alors qu en 2004, seuls 7 % le dépassaient (sur 43 colonies suivies). Ainsi, d après la figure 1, la part des colonies non protégées par le traitement Apivar augmente d une année à l autre alors que l efficacité moyenne est stable. Seule une partie des ruches observées d une année à l autre appartient aux mêmes apiculteurs. Il est donc difficile, à partir de l évolution du pourcentage de ruches ayant plus de 50 varroas résiduels, d extrapoler quant à l apparition de populations résistantes à Apivar car on ne sait rien des populations initialement présentes dans les colonies pour chaque année. Pourtant, vu le nombre total de ruches suivies et vu l évolution du nombre de varroas résiduels comptabilisés, il est inquiétant de voir augmenter ainsi d une année à l autre la part des colonies qui ne sont pas protégées par un seul traitement Apivar (figure 2). varroas résiduels seuil de 50 varroas résiduels Figure 3. Détail des varroas résiduels après traitement avec Apivar sur un échantillon de ruches et de ruchers de 2004 à

6 Sanitaire Utilisation d Apiguard Apiguard, produit vétérinaire à base de thymol, nécessite des conditions d utilisation particulières, en cas de températures à l extérieur de la colonie supérieures à 15 C. Employé de façon trop tardive en automne ou à des moments peu favorables, son efficacité peut être réduite du fait de périodes trop froides. Les colonies recevant du thy- mol sont relativement perturbées (surtout les plus faibles) et réagissent souvent en augmentant la consommation de leurs réserves de miel. L apiculteur doit donc considérer le délai de traitement (renouvellement des barquettes après 15 jours soit un peu moins de 30 jours de traitement) et veiller à ce que ses colonies puissent ensuite préparer convenablement l hivernage (réorganisation, reprise de ponte et reconstitution des réserves nécessaires). Il n y a pas eu de suivi de colonies traitées avec Apiguard en Aussi les résultats suivants (tableau 4) sont les références obtenues les années antérieures. Année Nombre de Infestation moyenne % d efficacité Moyenne de % de colonies ruches suivies (en varroas) moyenne varroas résiduels avec plus de 50 varroas résiduels Tableau 4. Efficacité des traitements avec Apiguard et nombre de varroas résiduels de 1997 à Les efficacités moyennes sont très variables d une année à l autre mais il en est de même des efficacités individuelles au sein d un même rucher la même année. Plus l efficacité moyenne est élevée, moins fréquentes sont les colonies au sein du rucher qui dépassent le seuil de 50 varroas Conclusion Pour la première année de reprise de l utilisation d Apistan dans les Bouches-du-Rhône, les résultats de notre essai (réalisé sur un rucher seulement) sont très satisfaisants (similaires à ceux obtenus avec Apivar en comparaison). Cependant, des échecs de traitement ont aussi été observés. En l absence d un suivi associé de l efficacité, la cause est pour le moment difficile à identifier : populations d acariens résistants dans certains ruchers? infestations initiales trop importantes? autre raison?.. En ce qui concerne Apivar, les résultats obtenus cette année (97,4 % d efficacité en ) permettent de dire que ce médicament reste encore très efficace. Cependant, la résiduels. Cependant l emploi d Apiguard comme unique traitement est insuffisant pour protéger l ensemble des ruchers. Les résultats d efficacité et les conditions d utilisation désignent Apiguard comme un traitement de fin part des colonies non protégées augmente depuis le début des observations en Une partie seulement des ruches suivies d une année à l autre appartenait aux mêmes apiculteurs ; on ne peut donc pas, à partir de l évolution du pourcentage de ruches ayant plus de 50 acariens résiduels, extrapoler quant à l apparition de populations résistantes à Apivar car on ne sait rien des infestations initiales des colonies. Pour Apiguard, nous n avons pas effectué de suivi cette année. Les résultats accumulés les années précédentes soulignent la nécessité d associer un traitement hivernal hors couvain à l emploi d Apiguard en fin d été ainsi que de prendre quelques d été qui doit être complété par un traitement hivernal hors couvain. Le traitement hivernal sera réalisé avec un produit pourvu d une AMM dont les conditions d emploi, le niveau d efficacité et les risques de résidus dans le miel seront compatibles avec la période d application. précautions (délai post-traitement pour une reprise de la ponte et nourrissement éventuel) afin de limiter les pertes d hivernage. Le nombre de médicaments vétérinaires pour traiter la varroase reste limité et leurs efficacités ne permettent pas d envisager sereinement l avenir concernant le traitement de cette maladie. Du fait du peu d alternatives disponibles, l accent doit être mis sur la compréhension des échecs de traitement ainsi que sur la connaissance des conditions optimales d emploi de ces médicaments ainsi que les méthodes prophylactiques pour limiter le développement de la maladie dans les ruchers ainsi que dans les colonies. LES RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES SONT DISPONIBLES AUPRÈS DE L ADAPI. 12

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