SERVICE DES URGENCES UPATOU - SMUR

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1 SERVICE DES URGENCES UPATOU - SMUR

2 MEOPA Historique, mode d action et AMM Utilisation pratique L expérience de Montbard Limites et avenir (Dr J-P. RIFLER) Grenoble 1 er et 2 octobre 2004

3 MEOPA Le protoxyde d azote (N2O) est un gaz : - incolore - inodore - comburant - diffusible dans les cavités -peu soluble - non métabolisé par voie pulmonaire - éliminé en 3 après l arrêt de l administration

4 MEOPA PROTOXYDE D AZOTE D = ANESTHESIE Utilisé depuis 150 ans en mélange 60/70% N2O associé à O : découverte du N2O par Priestley 1800 : mise en évidence de l activité euphorisante et analgésiante par Allen Davy 1844 : Wells l utilise en dentisterie 1881 : analgésie obstétricale

5 MEOPA MEOPA = ANALGESIE PURE Mélange Equimolaire d O2 et de N2O 1961: utilisation courante en salle d accouchement (Tunstall) ENTONOX : mélange 50/50 prêt à l emploi (British- Company-Oxygen) NITRONOX : aux USA les paramedics utilisent un mélange qu ils fabriquent à partir de 2 bouteilles distinctes

6 MEOPA EN FRANCE : Utilisation marginale depuis 1980 (pas de statut légal) 1985 : utilisé en salle d accouchement et au SAMU de PARIS 1990 : utilisé en pédiatrie 30 mars 1998 : ATU 15 novembre 2001 : AMM : KALINOX

7 Mode d action : - effet agoniste directe du N2O sur les récepteurs opiacés - effet indirect sur les récepteurs opiacés (par libération de peptides endogènes) - action antalgique antagonisée par la naloxone

8 Utilisation : - prescription médicalem - surveillance paramédicale - fiche d éd évaluation L utilisation est beaucoup plus aisée e depuis l AMMl : ATU AMM Durée e maxi d inhalationd Surveillance à l arrêt 30 3 Monitorage PNI clinique pouls SpO2

9 Rôle de l infirmière : - information au patient KALINOX adulte : expliquer l auto inhalation, rassurer le patient enfant : apprivoiser, jouer, prendre son temps, faire participer les parents - mise en œuvre pratique locaux bien aérés, ambiance calme pas de corps gras sur le visage fiche d évaluation

10 Matériel nécessaire : - bouteille de Kalinox sur chariot roulant - manodétendeur, débimètre - valve auto déclenchante, ballon plat - filtre antibactérien - jeu de masques (différentes tailles, couleurs et odeurs) - tuyau d évacuation

11 Bouteille (blanche à raies bleues) : - non périmée (18 mois) - stockée à l abri du froid (mélange instable à moins 5 C) en position horizontale durant 48 h avant son utilisation -en position verticale lors de son utilisation - P > 50 bars, manodétenteur et débit-litre adapté (1 à 15 l/mn)

12 Indications = actes douloureux de courte durée Contre-indications : HTIC, Troubles conscience, PNO, Emphysème, Embolie gazeuse, Accident de plongée, Distension gazeuse abdominale, Fracture des os de la face, (découlent des propriétés du N2O) Précautions : Psychotropes, Enfant < 4ans, perméabilité trompe d Eustache Déconseillé : 1 er Trimestre de grossesse

13 Effets secondaires positifs : - Euphorie, rêve, sédation consciente - Anxiolyse, analgésie de surface - Amnésie de l acte douloureux Effets secondaires négatifs : - Angoisse, agitation - Modifications des perceptions sensorielle - Troubles neurologiques (neuropathie) si exposition chronique (toxicomanie au N2O) - Nausées, vômissements

14 Etude rétrospective : (5 mois) 45 patients : Indications : - 27 Hommes, 18 Femmes - Age moyen = 27 ans (16 mois 85 ans) Petite Chirurgie superficielle 82% Ponction lombaire 0 Réduction luxation / fracture 9% Ponction veineuse 2% Pansements brûlures 7% Myélogramme 0

15 Durée moyenne inhalation : 9 minutes Association médicamenteuse : Xylocaïne = 26 % Peu de patients inclus car était encore en ATU et la procédure était très lourde en temps (surveillance et administratif) Effets indésirables : 2 cas (angoisse, tétanie) mauvaise compliance dès le départ nouveau critère d exclusion

16 - expérience convaincante : satisfaction des patients et confort de l acte pour le praticien - Optimisation de la procédure pour l association Kalinox -Xylocaïne - Car : le Kalinox coûte cher, est peu efficace seul pour les sutures de plaies profondes et ne semble plus utile lorsque l effet propre de la Xylocaïne est installé - Le Kalinox reste utilisé comme précédemment pour les autres indications

17 Etude Kalinox-Xylocaïne : résultats préliminaires - But de l étude : comparer les effets de 3 d inhalation de Kalinox sur la douleur induite par l injection de Xylocaïne en sous cutané dans le cadre d une anesthésie locale - Type d étude : - étude prospective - randomisée en double aveugle

18 Patients et méthode : - tirage au sort des patients devant bénéficier d une anesthésie locale (AL) pour explorationsuture d une plaie aux urgences : -soit 3 de Kalinox et injection de Xylocaïne -soit 3 d 02 et injection de Xylocaïne - évaluation de l EVA à l arrivée, au moment de l injection de Xylocaïne et à la fin de l acte

19 - critères d inclusion : - Age supérieur à 10 ans (pour une bonne évaluation de l EVA) - EVA à l arrivée inférieure à 1 ( ainsi l EVA au moment de l injection reflète la douleur due àl AL) - EVA à la fin de l acte égale 0 - Pas de contre indication, ni au Kalinox, ni à la Xylocaïne

20 Analyse à 34 patients inclus : - Comparaison par un test de Student des moyennes des EVA des deux groupes au moment de l injection de Xylocaïne : Groupe Kalinox -Xylocaïne (n = 17) m = 1.20 Groupe Xylocaïne seule (n= 17) m = 4.80 Soit une différence significative avec p < 10-5

21 Conclusions : KALINOX - L utilisation du Kalinox est simple - L efficacité est montrée pour tous les actes douloureux effectués aux urgences -Associéàla Xylocaïne selon le protocole décrit auparavant, l efficacité et le confort du patient sont optimum et le coût minime - On commence à l utiliser à Montbard en gériatrie pour les pansements d escarres - L utilisation en pré-hospitalier semble difficile au regard des contres indications et des précautions d emploi

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