Immunopathologie et immunointervention : Allergies Hypersensibilité de type I. Allergies Hypersensibilité de type I
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- Vincent Lesage
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1 28/10/2013 MAIROT Kévin D1 Immunopathologie et immunointervention Professeur J. Vitte 8 pages Plan: Allergies Hypersensibilité de type I A. Physiopathologie de l'allergie : I. Schéma global de la réaction immunitaire amenant à une allergie II. Les immunoglobulines E B. Les allergènes : I. Définition II. Les allergènes saisonniers III. Allergènes pérannuels aéroportés IV. Les trophallergènes C. Épidémiologie : D. Tableaux cliniques : E. Exploration, suivi, diagnostique : La prof conseille de lire «immunologie fondamentale et immunopathologie», téléchargeable gratuitement sur le site de l'assim sous forme de chapitres ( ). Il existe 4 grands mécanismes qui définissent l hypersensibilité en immunologie. D'après classification de Gell & Coombs : Type I : médiée par les IgE, les effets sont immédiats. Type II : à IgG ou IgM, les effets sont semi-retardés (4 à 8 heures). Type III : à complexes immuns (= complexes antigène-anticorps), les effets sont semiretardés (4 à 8 heures). Type IV : à lymphocyte T, les effets sont retardés (1 à 3 jours). Ce cours va présenter l'hypersensibilité de type I. 1/8
2 A. Physiopathologie de l'allergie : I. Schéma global de la réaction immunitaire amenant à une allergie : A connaître 1. Des allergènes pénètrent l'organisme (suite au traumatisme de la peau ou autre épithélium servant de barrière entre le milieu intérieur et extérieur). 2. Ils arrivent alors au contact des cellules dendritiques qui vont les présenter aux LT naïfs dans les ganglions. 3. Le LT naïf correspondant au peptide présenté va se multiplier s'activer. 4. Le LT activé va à son tour activer les LB qui se différencient en plasmocytes, qui produiront des IgE (par la commutation isotypique :C'est sous l'effet des cytokines sécrétées par les lymphocytes Th que la cellule B entreprend la commutation isotypique, c'est-à-dire le passage de la sécrétion d'un anticorps d'isotype IgM à un autre isotype (IgG, A, E)). 5. Les IgE vont se fixer sur leurs récepteurs de forte affinité à la surface des mastocytes = cellule effectrice, souvent nichés près des barrières de l'organisme. 6. Lorsque le même allergène entre une seconde fois dans le milieu intérieur, il active les mastocytes portant les IgE spécifiques à leur surface et déclenche donc immédiatement les symptômes (rougeur, prurit, œdème, éternuements, bronchospasme, hypotension etc.. ) dus à l'exocytose des granules pré-formés contenant des amines vasoactives (histamine, sérotonine...). 2/8
3 Pas à connaître, juste comprendre 'l'idée générale' : Lors de son activation, en fonction des cytokines environnantes, le lymphocyte T devient un LT «helper» différent : S'il y a du TGF-β et de l'il-6, le lymphocyte deviendra un Th17, qui induira une réponse à neutrophile, via l'il-17. S'il y a INF-γ et de l'il-12 le lymphocyte deviendra un Th1 qui induira une activation des macrophages, via l'inf-γ. S'il y a de l'il-4, on aura des Th2 qui produiront de l'il 5, 13, 4 avec entre autre des réponses de type IgE. en présence de TGF β et d'il-2, on a les T reg qui participent à la terminaison de la réponse immune, inhibent les autres voies lymphocytaires. II. Les immunoglobulines E : Ce sont des immunoglobulines présentes en quantité infime par rapport aux autres dans le sang. Dosage sérique des immunoglobulines : IgG : 10aine g/l (7-15 g/l) IgA et IgM de l'ordre du g/l (1-4 g/l et 0,5-3 g/l) Les IgE ne sont même pas détectées par cet examen : elles représentent moins de 0, g/l En pathologie on peut en avoir 1000 fois plus. Le temps de demie vie : 2,5 jours pour les IgE, contre 21 jours pour les IgG. Ce sont les dernières Ig découvertes. Les IgE et IgG sont spécifiques des mammifères, mais alors que l'on sait tout (ou presque) du rôle physiologique des IgG, on ne sait presque rien sur celui des IgE : Elles ont un rôle dans la réponse immune contre certains parasites (trichinella, schistosoma, et toxoplasma gondii). Les helminthes induisent une grosse production d'ige mais non spécifique : si on est infesté par ces vers on n'y sera pas pour autant allergique. Une autre piste est encore expérimentale : la réponse anti tumorale. Dès 1935, des études épidémiologiques ont examiné la relation existant entre les allergies(hypersensibilité immédiate) et les tumeurs malignes et ont trouvé une association inverse. La structure des IgE :Pas de questions dessus Comme les autres immunoglobulines, elles sont formées de chaînes lourdes et légères, et ont une forme soluble et membranaire (sur les LB). Dans la forme soluble, on trouve la chaîne lourde avec 4 domaines constants, et les chaînes légères ayant un domaine variable et un constant. Dans la forme membranaire (BCR) même organisation que pour les autres avec en plus : deux chaînes complémentaires Ig-α et Ig-β (deux isoformes de CD79)!! Ne pas confondre les IgE portées par la membrane du LB et les Ig portées par leur récepteur (FcεR) à la surface des autres cellules!! 3/8
4 Récepteurs aux IgE : Les récepteurs aux Ig reconnaissent la partie constante des Ig et sont spécifiques des isotypes (A, M, G, E). Les récepteurs à la fraction constante des IgE (FcεR) peuvent être de faible ou de forte affinité aux IgE : Pour les récepteurs de forte affinité (FcεRI) : ils sont capables de fixer l'ac seul, sans l'antigène, ce qui veut dire que les cellules l'exprimant se promènent avec des IgE à leur surface et dès que l'ag correspondant arrive, il y a signalisation. Seuls les basophiles,les mastocytes et les cellules de langherans (dendritiques sous cutanées) expriment ces récepteurs. L'activation et les effets sont donc immédiats. rôle effecteur : symptomes expression constitutive Pour les récepteurs de faible affinité FcεRII=CD23) : il faut un complexe Ag-Ac pour qu'il y ait fixation. Ils ont un effet régulateur : induction de la transcription de certains gènes. On les trouve sur les lymphocytes B, T, éosinophiles, monocytes, cellules de Langherans, cellules dendritiques folliculaires, plaquettes sanguines. rôle régulateur expression inductible (sauf sur les LB) A bien comprendre : Le fait d'avoir des IgE spécifiques d'un allergène donné n'est pas suffisant pour être allergique. On est dit «sensibilisé» à cet allergène et ont a plus de risques que la population générale de devenir allergique, mais on ne le sera pas nécessairement. Pour être déclaré allergique, il faut les IgE, mais aussi les symptômes de l'allergie. Par exemple : Lors des anesthésies, il y a parfois des chocs anaphylactiques en réponse aux médicaments utilisés. Pourquoi ne pas faire de dépistage alors que c'est grave? Si on faisait le dépistage, 10% de la population serait positive, pourtant beaucoup moins (~1/10 000) auront un choc anaphylactique, car la majorité des personnes n'est que sensibilisée. B. Les allergènes : I. Définition : On utilise le mot allergène lorsqu'on parle d'un Ag qui induit une réponse à IgE. Une source allergénique concerne le produit initial : pollen, fruit, venin, poussière sous le lit. Un extrait allergénique est une fraction préparée pour des tests cutanés, dosages, désensibilisation (immunothérapie spécifique) ; c'est donc une protéine retirée de la source allergénique puis utilisée par la médecine. L'allergène : protéine purifiée ou recombinante : on l'utilise pour le dosage des IgE. Une protéine donnée ne sera pas allergénique pour l'homme si celui-ci possède un homologue à 70% ou plus. Par exemple dans les allergies à la crevette, escargots, c'est la tropomyosine qui est en cause. Elle existe aussi dans le poisson, cependant elle n'est jamais à l'origine d'allergie chez l'homme parce que notre tropomyosine est très proche de celle du poisson. 4/8
5 Autre raison : parmi les familles protéiques les plus fréquentes, on ne trouve aucun allergène : le fait qu'une protéine soit allergène ne tient pas qu'à sa fréquence, mais à d'autres propriétés, probablement sa structure, et ses interactions avec le SI. Ce sont souvent des protéines ayant une activité enzymatique leur permettant de passer les membranes, d'autres sont des protéines globulaire très stables non détruites par la cuisson et très fortement allergéniques. II. Les allergènes saisonniers = pollens Ils sont anémophiles : transportés par le vent. Sont spécifiques des régions selon la végétation. Il existe 3 grands saisons polliniques : Fin de l'hiver : pollens des arbres Passage du printemps à l'été : graminés Passage de l'été à l'automne : herbacés. En méditerranée, on a les cyprès, les genévrier, des platanes, des bouleaux. Le pollen de bouleau est un gros problème : il contient des protéines appartenant à la famille PR- 10 présentant des homologues très proches dans pratiquement tous les fruits de la terre. Cette protéine est extrêmement allergisante, amenant à une reconnaissance croisée des protéines homologues présentes dans l'alimentation (fruits). De nombreuses allergies alimentaires sont dues à ce pollen. Le temps sec et le vent favorisent la dissémination des pollens accentuant ainsi les symptômes. La pluie par contre améliore les symptômes. Mais une tempête peut faire gonfler et éclater des particules de pollen qui vont alors libérer des particules de plus petite taille. Il y a alors pénétration plus profonde dans les voies aériennes et donc aggravation. III. Allergènes pérannuels aéroportés : On vit avec eux dans notre maison. Ce sont les acariens, les moisissures, les animaux de compagnie, le latex, les blattes... Des réactions croisées peuvent survenir : acariens ou poils d'animaux avec des allergènes alimentaires. Les poils de certains animaux de compagnie possèdent une albumine identique à celle présente dans la viande : il y a donc apparition d'une allergie aux animaux et des symptômes alimentaires si consommation de viande peu cuite. IV. Les trophallergènes (= allergènes ingérés) : Ils ne sont pas identiques dans tous les pays, chaque pays ayant ses spécificités culinaires. Le mode de vie joue dans l'apparition des allergies. (La nourriture des fast-food favoriserai les allergies au sésame. C'est ainsi qu'en mangeant des bigmac on se retrouve allergique à je ne sais quelle crème cosmétique contenant du sésame..!). L'age joue aussi : les allergies sont plutôt d'origine animale chez les enfants (alimentation plus animale : lait/oeufs) alors qu'elles sont plutôt végétales chez l'adulte. 5/8
6 C. Épidémiologie : Les allergies sont de plus en plus fréquentes dans les pays industrialisés. Les raisons : le mode de vie serait incriminé avec principalement le fait que l'on soit trop propres( hypothèse hygiéniste : vaccin, hygiène plus de réponse Th1, et donc beaucoup plus de Th2, responsable des allergies). Un régime alimentaire très varié (plus de risques de tomber sur un allergène auquel on est sensible). La pollution atmosphérique abime les barrières naturelles, les allergènes passent donc plus facilement et le risque d'allergie augmente. La modification de la pollinisation par les changements climatiques : les cyprès produisent maintenant en ville des pollens plus riches en protéines allergisantes que les cyprès de montagne. Le caractère héréditaire des maladies allergiques est à retenir c'est-à-dire que si l'on suspecte une pathologie allergique et qu'il y a un cas dans la famille (quelles qu'en soient les manifestations) c'est un argument fort en faveur du diagnostic positif. D. Tableaux cliniques : Ils dépendent de la voie de pénétration de l allergène et de la localisation des symptômes. On distingue : les symptômes systémiques = anaphylaxie :les + sévères Ils apparaissent pour toutes les voies d'introduction. Exemples : anesthésie préopératoire, fruits à coques, produits laitiers, latex, venin d hyménoptères les allergies respiratoires, ORL, oculaires : Elles sont causées par des antigènes aéroportés (pollens, micro-organisme, animaux domestiques ). les allergies digestives : Elles sont causées par des antigènes alimentaires (aliments de consommation courante). les allergies cutanées : Elles sont causées par des antigènes environnementaux, alimentaires et iatrogènes (lait et eczéma atopique, antibiotiques et urticaire, cosmétiques ). les allergies croisées : Elles ont une identité/parenté antigénique. Introduction du même allergène par des voies différentes : alimentaire/transcutané, inhalé/ingéré Le raisonnement probabiliste est utile. 6/8
7 E. Exploration, diagnostic, suivi : Il existe des : test cutanés : en premier lieu. Les antigènes sont appliqués ou injectés. Le test revient positif si l'on observe une papule urticarienne, un érythème et un prurit. Ces tests peuvent soit être à lecture immédiate (allergies respiratoires, ORL, digestives ; médiée par les mastocytes) ou à lecture retardée (allergies cutanées ; médiée par les LT mémoires) en fonction du type d'allergie. Tests biologie : recherche et dosage des IgE spécifiques de l'ag incriminé Activation ex vivo des basophiles par l'ag incriminé Diagnostic différentiel des allergies croisées Test de provocation : on reproduit les événements rapportés par le patient (effectué à l hôpital car c est dangereux : le patient peut faire un choc anaphylactique..). Marine va chez le médecin pour savoir ce qui lui arrive : - Bonjour Docteur, en ce moment je me sens pas très bien, savez-vous ce que j'ai? - Hum...oui, vous êtes allergique au bouleau! - Ah?! Hé bien il faut que j'arrête de travailler! - Mais non Madame! Je parlais de l'arbre! Ok c'est nul... 7/8
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