Étude exploratoire des phases de transformation organisationnelle dans un contexte de mise en oeuvre de solutions ERP

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Étude exploratoire des phases de transformation organisationnelle dans un contexte de mise en oeuvre de solutions ERP"

Transcription

1 Étude exploratoire des phases de transformation organisationnelle dans un contexte de mise en oeuvre de solutions ERP Extrait du mémoire de maîtrise co-dirigé par Alain Rondeau et Carmen Bernier Par Caroline Ménard Finissante à la MSc Management et membre de l équipe du CETO Décembre 2002

2 Plan de la présentation! Objet d étude! Revue critique des écrits! Modèle d analyse! Méthodologie! Présentation des cas! Résultats! Conclusions

3 Objet d étude! L objet d étude ne réside pas dans l installation de la solution technologique et les activités qui permettent de la rendre opérationnelle, mais vise plutôt à observer systématiquement une démarche de transformation dans une situation spécifique, soit la mise en place d un ERP.! Cette démarche de transformation est constituée à partir des données théoriques d auteurs s intéressant aux activités et phases menant à la mise en œuvre d un changement.! En somme, on tente de vérifier si ce que prescrit la théorie est observable dans la réalité.

4 Qu est-ce qu un système intégré de gestion? «Un ERP s avère une immense base de données commune et unique qui permet à tous les membres d une organisation de coordonner leurs actions en temps réel» (Bernier, Bareil et Rondeau, à paraître dans Gestion, décembre 2002).

5 La mise en place d un système intégré de gestion: principales caractéristiques et impacts organisationnels! Faible marge d adaptation! L ERP ne modifie pas seulement le système, il modifie l organisation! Changement de type «Réaménagement». On vise donc à «faire autrement»en mettant l accent sur une reconception des processus et des façons de faire.! La nature des changements organisationnels nécessaires pour implanter les ERP font d eux des projets risqués et complexes.! Une considération exclusive aux aspects techniques, au détriment de la gestion du changement, s avère une des principales causes d échec de tel projet.

6 La démarche de transformation organisationnelle! Exploration de modèles s intéressant au phénomène de transformation organisationnelle.! Ces modèles mettent de l avant l hypothèse que le changement organisationnel progresse selon diverses étapes définies lors desquelles un groupe d acteurs, pose des gestes significatifs menant à la mise en œuvre du changement.! Ces activités sont intégrées au fonctionnement de l organisation et installent ainsi une dynamique particulière permettant de s approprier le changement.

7 Comparaison des différentes activités de changement selon divers modèles! Définitions:! Activités de changement: Méthodes ou activités permettant de passer d une phase à l autre de façon à construire la capacité à changer de l organisation.! Phases: États séquentiels d une organisation.! Démarche de transformation: Conduite d un ensemble d activités, se référant à une phase particulière, au sein d une démarche globale de changement.

8 Modèle d analyse! Le modèle de Rondeau (1999) sert de modèle intégrateur.! Les modèles de Lewin (1952), Beckhard et Harris (1987), Beer, Eisenstat et Spector (1990) et Kotter (1995) enrichissent ce modèle.! Cette recherche poursuit donc les deux objectifs suivants:! Vérifier si chacun des indicateurs se retrouve au sein de la démarche de transformation observée;! Documenter comment s articule chacun de ces indicateurs à travers la mise en place d un ERP.

9 Illustration du modèle d analyse Orientation Sensibilisation Habilitation Intégration Regénération Mise en place de l'erp

10 Méthodologie! Deux études de cas! Les cas témoignent de la mise en place d un ERP au sein du services des finances de deux centres hospitaliers québécois.! Les données proviennent de deux sources distinctes:! Entrevues semi-dirigées avec acteurs clés au sein de la démarche! Rédaction d une étude de cas et validation de celle-ci auprès des répondants.! Questionnaire de rappel suite à chacune des entrevues

11 Méthodologie (Échantillon)! Identification des personnes clés en mesure de fournir une appréciation de la démarche de mise en œuvre.! Dans le cas A, la taille de l échantillon est de cinq personnes.! Dans le cas B, la taille de l échantillon est de six personnes.! Les acteurs visées sont les suivants:! le porteur du projet! le chef de projet! un membre de l équipe de projet! un utilisateur du processus! la personne en charge de la gestion du changement

12 Présentation des deux cas à l étude Contexte de la transformation Taille de l établissement Niveau de maîtrise de l informatique des futurs utilisateurs Intégrateur Caractéristiques générales de la transformation Cas A Nécessité d améliorer et moderniser les systèmes en place. Centre hospitalier universitaire. 200 utilisateurs dont 80 sont internes au service des finances et 120 sont externes. Assez élevé Intégrateur a développé une paramétrisation personnalisée de SAP pour le milieu de la santé. Il s agit donc de sa troisième implantation dans ce milieu. En cours de projet, on assiste à plusieurs perturbations au sein de l équipe de projet. Tente d adapter le système aux façons de faire actuelles. Cas B Contexte de défusion de deux établissements crée des pressions sur la volonté de changer de système. Centre hospitalier de petite taille. 150 utilisateurs répartis sur deux sites différents. Faible Première expérience d implantation d un ERP dans le milieu de la santé. Tente d adapter les façons de faire au système (Vanille).

13 Phase d orientation! En terme d orientation, le modèle d analyse présente trois grandes activités réparties en sept indicateurs:! Clarification de l insatisfaction! Diagnostic ou analyse démontre en quoi le modèle actuel est insatisfaisant.! Acteurs sont insatisfaits de la situation actuelle! Exercice de réflexion où l on évalue les diverses options possibles! Élaboration d un nouveau modèle pour l organisation! Vision claire! Soutien de la haute direction! Objectifs de la transformation et nouveau modèle souhaité bien compris! Acteurs saisissent ce qu ils ont à faire pour que les objectifs soient atteints.

14 Résultats au questionnaire pour la phase d orientation 4,5 4 3,5 3 2,5 2 1,5 1 0, , Médiane des résultats au questionnaire pour chacun des énoncés relatifs au processus d'orientation , Cas A Cas B Indicateur 1 Indicateur 2 Indicateur 3 Indicateur 4 Indicateur 5 Indicateur 6 Indicateur 7 Insatisfaction Analyse Vision

15 Résultats - Phase d orientation! De façon générale, la démarche de transformation observée lors de la mise en place d un ERP dans ces deux centres hospitaliers reproduit les activités que les auteurs en changement organisationnel, attribuent et définissent comme la phase d orientation.

16 Phase de sensibilisation! Au total, douze indicateurs caractérisent la phase de sensibilisation.! La phase de sensibilisation s illustre par :! Diverses activités de communication! Communication des enjeux, impacts, avantages et inconvénients du modèle souhaité! Dans le cadre de séances d information, les personnes touchées ont l opportunité d exprimer leurs opinions et craintes! Lors de rapports informels, les personnes touchées ont l opportunité de faire valoir leur point de vue à l équipe de projet! La direction considère les commentaires des personnes touchées! La direction supporte et communique clairement la vision du projet! Distribution de documentation afin de promouvoir le projet et informer sur sa progression! Processus formel de consultation et d information

17 Phase de sensibilisation! Activités visant l implication du personnel! Activités démontrant l irréversibilité du projet de transformation! Activités confirmant l urgence de changer! Activités visant l atteinte d une masse critique d acteurs concernés par le changement! Activités assurant une contamination des agents de changement à travers les différents groupes et niveaux d employés.

18 Résultats - Phase de sensibilisation! Malgré quelques indicateurs qui mériteraient d être raffinés ou même ajoutés au modèle, la démarche de transformation observée dans les deux cas s articule au travers des mêmes activités que les auteurs attribuent à la phase de sensibilisation.

19 Phase de sensibilisation Comment s articule ces indicateurs au sein de la démarche de transformation?! Ajout d un indicateur misant sur l importance de favoriser un climat organisationnel propice au changement! Ajout d un indicateur misant sur l importance de gérer les inquiétudes générées par la mise en place d une nouvelle technologie.

20 Phase de sensibilisation Comment s articule cet indicateur au sein de la démarche de transformation?! Activités visant l implication du personnel! Activités démontrant l irréversibilité du projet de transformation! Activités confirmant l urgence de changer! Activités visant l atteinte d une masse critique d acteurs concernés par le changement! Activités assurant une contamination des agents de changement à travers les différents groupes et niveaux d employés.

21 Phase de sensibilisation Comment s articule cet indicateur au sein de la démarche de transformation?! Activités visant l implication du personnel! Activités démontrant l irréversibilité du projet de transformation! Activités confirmant l urgence de changer! Activités visant l atteinte d une masse critique d acteurs concernés par le changement! Activités assurant une contamination des agents de changement à travers les différents groupes et niveaux d employés.

22 Phase de sensibilisation Comment s articule cet indicateur au sein de la démarche de transformation?! Activités visant l implication du personnel! Activités démontrant l irréversibilité du projet de transformation! Activités confirmant l urgence de changer! Activités visant l atteinte d une masse critique d acteurs concernés par le changement! Activités assurant une contamination des agents de changement à travers les différents groupes et niveaux d employés.

23 Phase d habilitation! Au total, onze indicateurs caractérisent la phase d habilitation.! L habilitation s avère un processus complexe composé des activités et conditions suivantes:! Établir un climat de confiance! Recueillir du feedback et procéder à des ajustements continus! Supporter les gens et leur fournir l encadrement, les ressources et le pouvoir nécessaires pour y parvenir! Former les futurs utilisateurs et développer des compétences nouvelles! Souligner les gains et résultats à court terme! Définir un plan et une stratégie détaillés! Rendre l information disponible permettant de faire fonctionner le système! Accorder du pouvoir et de l autonomie aux acteurs! Établir des indicateurs clairs pour vérifier dans quelle mesure progresse la mise en œuvre du changement

24 Résultats au questionnaire pour la phase d habilitation Processus d'habilitation: Médiane des résultats au questionnaire pour chacun des énoncés 4,5 4 3,5 3 2,5 2 1,5 1 0, , Cas A CAS B Indicateur 20 Indicateur 21 Indicateur 22 Indicateur 23 Indicateur 24 Indicateur Indicateur Indicateur Indicateur Indicateur Indicateur Climat Plan Information Marge de manœuvre Pouvoir Formation Indicateurs Résultats/Feedback

25 Résultats Phase d habilitation! La conception des auteurs face aux activités d habilitation ne s intègre pas parfaitement à la réalité observée dans chacun des cas.! Ce constat laisse supposer que le processus d habilitation est davantage assujetti aux variables contextuelles que les deux phases précédentes.

26 Phase d habilitation Comment s articule cet indicateur au sein de la démarche de transformation? L habilitation s avère un processus complexe composé des activités et conditions suivantes:! Établir un climat de confiance! Recueillir du feedback et procéder à des ajustements continus! Supporter les gens et leur fournir l encadrement, les ressources et le pouvoir nécessaires pour y parvenir! Former les futurs utilisateurs et développer des compétences nouvelles! Souligner les gains et résultats à court terme! Définir un plan et une stratégie détaillés! Rendre l information disponible permettant de faire fonctionner le système! Accorder du pouvoir et de l autonomie aux acteurs! Établir des indicateurs clairs pour vérifier dans quelle mesure progresse la mise en œuvre du changement

27 Phase d habilitation Comment s articule cet indicateur au sein de la démarche de transformation? L habilitation s avère un processus complexe composé des activités et conditions suivantes:! Établir un climat de confiance! Recueillir du feedback et procéder à des ajustements continus! Supporter les gens et leur fournir l encadrement, les ressources et le pouvoir nécessaires pour y parvenir! Former les futurs utilisateurs et développer des compétences nouvelles! Souligner les gains et résultats à court terme! Définir un plan et une stratégie détaillés! Rendre l information disponible permettant de faire fonctionner le système! Accorder du pouvoir et de l autonomie aux acteurs! Établir des indicateurs clairs pour vérifier dans quelle mesure progresse la mise en œuvre du changement

28 Phase d intégration! Trois activités caractérisent la phase d intégration:! Définir les nouveaux rôles et responsabilités des acteurs! Ajuster les règles organisationnelles! Intégrer les changements engendrés par l ERP aux pratiques courantes de l organisation

29 Résultats au questionnaire pour la phase d intégration Processus d'intégration: Médiane des résultats au questionnaire pour chacun des énoncés 4,5 4 3,5 3 2,5 2 1,5 Cas A Cas B 1 0, Indicateur 31 Indicateur 32 Indicateur 33 Rôles/ responsabilités Règles organisationnelles Changements

30 Résultats Phase d intégration! L intégration s articule d abord par les individus, puis par les systèmes.! Comme l installation des ERP pour les deux centres hospitaliers date respectivement de l an 2000 et 2001, il est encore un peu tôt pour observer une véritable préoccupation d intégration.

31 Phase de régénération! Trois activités caractérisent la phase de régénération:! Mise en place de moyens assurant la révision constante des pratiques! Mise en place des mécanismes d amélioration continue! Mise en place d un mécanisme formel de réflexion et d évaluation de la transformation

32 Résultats Phase de régénération! Nos données sont peu explicites sur l articulation de la démarche de transformation lors de la phase de régénération.! Les données ne permettent donc pas de déterminer si les préoccupations des auteurs théoriques concernant les activités liées à la phase de régénération sont réelles.

33 Conclusions! Une synthèse de quelques modèles s intéressant au phénomène de transformation mène au raffinement du modèle de Rondeau (1999).! Les explications normatives gagnent à être mis en contexte.

34 Limites de la recherche! Étude exploratoire: un premier pas permettant «d opérationnaliser» les activités constituant chacune des phases du modèles de Rondeau.! Basée uniquement sur deux études de cas! Critique du questionnaire: un instrument de mesure efficace qui mérite d être raffiné.

35 Suggestions de recherches futures! Des recherches futures pourraient s attarder à la nécessité de chacun des indicateurs et ainsi, établir un lien de causalité entre la présence de chacun des indicateurs et leur impact sur un critère ou une finalité quelconque, par exemple le succès de la transformation.! Ce mémoire s avère donc un prélude à des recherches futures plus documentées sur les activités observées au sein d une démarche de transformation.

36 Merci de votre attention! Des questions???

Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.

Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English. Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie

Plus en détail

Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique

Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique.i. Les enjeux et domaines de la veille.ii. La mise en place d un processus de veille.iii. Illustration d une démarche

Plus en détail

DOCUMENTS DE DECOUVERTE CHAPITRE 1 L ORGANISATION DE LA COMPTABILITE DANS L ENTREPRISE

DOCUMENTS DE DECOUVERTE CHAPITRE 1 L ORGANISATION DE LA COMPTABILITE DANS L ENTREPRISE DOCUMENTS DE DECOUVERTE CHAPITRE 1 L ORGANISATION DE LA COMPTABILITE DANS L ENTREPRISE I. LA FONCTION COMPTABLE DANS L ENTREPRISE 1. Définir la comptabilité. A quoi sert la comptabilité? 2. Quelles sont

Plus en détail

Le Cadre Européen des Certifications: les principaux défis. Manuela Bonacci Roma, le 9 juin 2010

Le Cadre Européen des Certifications: les principaux défis. Manuela Bonacci Roma, le 9 juin 2010 Le Cadre Européen des Certifications: les principaux défis Manuela Bonacci Roma, le 9 juin 2010 1 Intégrations Europass ECTS ECVET CEC (EQF) Validation Système des crédits Cadre National des Certifications

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Format de l avis d efficience

Format de l avis d efficience AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii

Plus en détail

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT»

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT» ATELIER UNION AFRICAINE / COMMUNAUTÉS ECONOMIQUE RÉGIONALES SUR LE COMMERCE DES SERVICES EN COLLABORATION AVEC JEICP ET LA BAD 29-30 MARS 2012, LUSAKA (ZAMBIE) THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES

Plus en détail

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE

Plus en détail

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2 Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines

Plus en détail

Cohésion d Equipe - Team Building

Cohésion d Equipe - Team Building Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.

Plus en détail

La transformation du travail au quotidien suite à l implantation d un nouveau logiciel de gestion

La transformation du travail au quotidien suite à l implantation d un nouveau logiciel de gestion La transformation du travail au quotidien suite à l implantation d un nouveau logiciel de gestion Pierre-Sébastien Fournier Sylvie Montreuil Maude Villeneuve Jean-Pierre Brun Un facteur de risque Intensification

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

Le WACC est-il le coût du capital?

Le WACC est-il le coût du capital? Echanges d'expériences Comptabilité et communication financière Dans une évaluation fondée sur la méthode DCF, l objectif premier du WACC est d intégrer l impact positif de la dette sur la valeur des actifs.

Plus en détail

Comment valoriser une entreprise et sur quels critères? ISEC 22 novembre 2011 Evaluation d entreprises

Comment valoriser une entreprise et sur quels critères? ISEC 22 novembre 2011 Evaluation d entreprises 1 Comment valoriser une entreprise et sur quels critères? ISEC 22 novembre 2011 Evaluation d entreprises Sommaire Préambule Comment bien évaluer une entreprise? Le diagnostic Le business plan L approche

Plus en détail

CARSAT Club RPS. Mardi 18 octobre 2011. Risques psycho-sociaux : prise en compte dans les documents uniques des entreprises du Languedoc-Roussillon

CARSAT Club RPS. Mardi 18 octobre 2011. Risques psycho-sociaux : prise en compte dans les documents uniques des entreprises du Languedoc-Roussillon CARSAT Club RPS Risques psycho-sociaux : prise en compte dans les documents uniques des entreprises du Languedoc-Roussillon Mardi 18 Nombre de contrôles et d'interventions en entreprise sur l'évaluation

Plus en détail

RAPPORT EXÉCUTIF DE LA FIRME DE CONSULTANTS GARTNER

RAPPORT EXÉCUTIF DE LA FIRME DE CONSULTANTS GARTNER A Demande R-3491-2002 RAPPORT EXÉCUTIF DE LA FIRME DE CONSULTANTS GARTNER HYDRO-QUÉBEC ÉVALUATION DU PROJET SIC ET RECOMMANDATIONS, 7 AOÛT 2002 Original : 2002-09-20 HQD-2, Document 1 (En liasse) Rapport

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

Les Fonctions SI et Organisation au service des Métiers. Optimiser la création de valeur pour l entreprise

Les Fonctions SI et Organisation au service des Métiers. Optimiser la création de valeur pour l entreprise Les Fonctions SI et Organisation au service des Métiers Synthèse Dans un contexte de forte transformation de l entreprise, le Système d information (SI) prend une place de plus en plus stratégique dans

Plus en détail

Introduction à la méthodologie de la recherche

Introduction à la méthodologie de la recherche MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape

Plus en détail

GUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME

GUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME GUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME CONSIGNES DE LECTURE Ce tableau comporte de gauche à droite 4 colonnes: Colonne activités: Colonne tâches: il s'agit des activités professionnelles de référence que

Plus en détail

RPS QVT. risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL. l expertise obea

RPS QVT. risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL. l expertise obea RPS QVT risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL l expertise obea RPS QVT l expertise obea Spécialiste des projets de transformations RH et Managériaux, Obea travaille à vos côtés autour des différentes

Plus en détail

Contexte organisationnel des ERP Séance 1 : Changements sur les tâches

Contexte organisationnel des ERP Séance 1 : Changements sur les tâches Contexte organisationnel des ERP Séance 1 : Changements sur les tâches Régis Meissonier Maître de Conférences École Polytechnique Université Montpellier II regis.meissonier@univ-montp2.fr Cas introductif

Plus en détail

Étude : Les PME à l heure du travail collaboratif et du nomadisme

Étude : Les PME à l heure du travail collaboratif et du nomadisme Étude : Les PME à l heure du travail collaboratif et du nomadisme Synthèse des principaux enseignements Octobre 2012 sfrbusinessteam.fr FICHE TECHNIQUE DE L ETUDE Echantillon : 300 entreprises de 20 à

Plus en détail

Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP.

Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Les progiciels ERP (Entreprise Ressource Planning) proposent l ensemble des modules permettant de gérer une entreprise. Mais le module Maintenance est souvent

Plus en détail

Règlement du jeu Concours Photo #cvchatel

Règlement du jeu Concours Photo #cvchatel Règlement du jeu Concours Photo #cvchatel Article 1 - Présentation de l organisateur La Mairie de châtelaillon-plage, située 20 Boulevard de la Libération 17340 Châtelaillon-Plage ciaprès dénommée «Organisateur»,

Plus en détail

RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES

RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE MIDI-PYRENEES --- N/Réf. : GO10 329 01 RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES Exercices 2003 à 2009 22 5.3 Les renégociations

Plus en détail

L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement

L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement Johann Jacob, M.A.P. et Richard Marceau, Ph. D. Centre de recherche et d expertise en évaluation (CREXE) Colloque annuel

Plus en détail

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre

Plus en détail

BTS Assistant de gestion de PME-PMI à référentiel commun européen

BTS Assistant de gestion de PME-PMI à référentiel commun européen Impression à partir du site https://offredeformation.picardie.fr le 03/09/2015. Fiche formation BTS Assistant de gestion de PME-PMI à référentiel commun européen - N : 16012 - Mise à jour : 24/07/2015

Plus en détail

Montée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH

Montée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH février 2010 Montée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH Orientations de l ARCEP - 1 - Introduction Bénéficier d une montée

Plus en détail

Le retour au travail après une absence prolongée en

Le retour au travail après une absence prolongée en Le retour au travail après une absence prolongée en raison de trouble mental transitoire: des pistes d'encadrement de la démarche. Marie-José Durand, PhD, Professeure titulaire, Directrice du CAPRIT Les

Plus en détail

Techniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques

Techniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques Plan de cours Techniques de l informatique 420.AC DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques 420-691-MA Stage en entreprise Site du stage en entreprise : http://stages.cmaisonneuve.qc.ca/evaluation/1748/

Plus en détail

Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH

Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH 20 Décembre 2005 Evaluation de la mise en œuvre CRM & FH Objectif des travaux Evaluer la mise en œuvre de la formation de type CRM pour PNT, PNC,

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

La rémunération des concepteurs. en théâtre au Québec. de 2004 à 2006

La rémunération des concepteurs. en théâtre au Québec. de 2004 à 2006 La rémunération des concepteurs en théâtre au Québec de 2004 à 2006 Conseil québécois du théâtre - novembre 2007 Dans le cadre des travaux préparatoires des SECONDS ÉTATS GÉNÉRAUX DU THÉÂTRE PROFESSIONNEL

Plus en détail

Annonces internes SONATRACH RECHERCHE POUR SON ACTIVITE COMMERCIALISATION :

Annonces internes SONATRACH RECHERCHE POUR SON ACTIVITE COMMERCIALISATION : Bourse de l emploi Annonces internes : Direction Administration et Moyens Un Technicien Electricien Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé de la Maintenance en pompes) Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé

Plus en détail

KnowledgeManagement : Repartir de l individu.

KnowledgeManagement : Repartir de l individu. KnowledgeManagement : Repartir de l individu. Olivier Le Deuff Ater. Université de Lyon 3 www.guidedesegares.info Le knowledge management (KM ) est un domaine souvent considéré comme récent et dont certains

Plus en détail

LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE

LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE CETTE RECHERCHE A ETE FINANCEE PAR Le Ministère des Affaires Sociales et de l'emploi, Direction Générale de la Santé,Sous- Direction

Plus en détail

OBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE

OBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.

Plus en détail

Elaboration participative des programmes communaux

Elaboration participative des programmes communaux Séminaire Elaboration participative des programmes communaux 29-29 Mars 2014 à Ain Draham Hôtel «Nour El Ain» Première journée : Vendredi 28 Mars Ain Draham Contexte général et objectifs : L Association

Plus en détail

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S P r é a m b u l e Proximité Singularité de la personne Universalité du service De nombreux territoires ruraux et urbains se situent en

Plus en détail

ACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING

ACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION ACTIVITES

Plus en détail

RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL

RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL Project type: Secondary project type: Geographical coverage: Executing

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes

PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes But Les professionnels de la santé publique suivent de plus en plus une approche fondée sur des données probantes lorsqu il s agit de planifier,

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de

Plus en détail

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative BULLETINS DU PIRAP Volume 1, numéro 11 : Février 2013 Programme d'aide et d'accompagnement social : Le PIRAP comme PAAS-

Plus en détail

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Chapitre 9 Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Savoir utiliser son argent est un art et un art qui paie. Comme toutes les ressources, l argent peut être utilisé à bon ou

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur

Plus en détail

Séminaire des chefs de centre

Séminaire des chefs de centre Hammamet Juin 2014 www.cnam.nat.tn Séminaire des chefs de centre Tableau de bord de gestion à mettre à la disposition d un chef de centre Achref GHORBEL Direction de Coordination Régionale Email: achref.ghorbel@cnam.nat.tn

Plus en détail

Synthèse Mon projet d emploi

Synthèse Mon projet d emploi Synthèse Mon projet d emploi Nom : Date : Complété par : TÉVA Estrie 2012 La synthèse permet de recueillir les informations notées dans les questionnaires et de constater les ressemblances et les différences

Plus en détail

Note de service À : De :

Note de service À : De : Note de service À : De : Tous les Fellows, affiliés, associés et correspondants de l Institut canadien des actuaires et autres parties intéressées Jim Christie, président Conseil des normes actuarielles

Plus en détail

UPK : Outil de mise en œuvre de votre projet de formation des utilisateurs finaux. Date : 23/03/2010 1

UPK : Outil de mise en œuvre de votre projet de formation des utilisateurs finaux. Date : 23/03/2010 1 UPK : Outil de mise en œuvre de votre projet de formation des utilisateurs finaux Date : 23/03/2010 1 Agenda 1. Présentation de Noveum 2. Présentation UPK 3. Exemples de projets de formation des utilisateurs

Plus en détail

Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé

Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé en vue de l obtention du titre de "Conseiller ère diplômé e en orientation professionnelle, universitaire et de carrière" par la validation

Plus en détail

Phase ERP : Usages et effets. Problématiques technique et organisationnelle de la phase d'exploitation de l'erp

Phase ERP : Usages et effets. Problématiques technique et organisationnelle de la phase d'exploitation de l'erp Phase ERP : Usages et effets Problématiques technique et organisationnelle de la phase d'exploitation de l'erp Dominique Chabord Ingénieur Directeur de SISalp Conseil sur le logiciel libre OpenERP dominique.chabord@sisalp.org

Plus en détail

Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale

Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte : vers la relocalisation des activités et des biens Ministère de l'écologie, du développement

Plus en détail

Manuel de recherche en sciences sociales

Manuel de recherche en sciences sociales Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales

Plus en détail

Cinq stratégies pour faire face aux marchés difficiles

Cinq stratégies pour faire face aux marchés difficiles Quand les marchés sont volatils, il est tout à fait normal de s inquiéter de l incidence sur votre portefeuille. Et quand vous vous inquiétez, vous voulez agir. Cinq stratégies pour faire face aux marchés

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile

CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS

Plus en détail

Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique

Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,

Plus en détail

Rédiger et administrer un questionnaire

Rédiger et administrer un questionnaire Rédiger et administrer un questionnaire Ce document constitue une adaptation, en traduction libre, de deux brochures distinctes : l une produite par l American Statistical Association (Designing a Questionnaire),

Plus en détail

Plan de cours. Comportement organisationnel

Plan de cours. Comportement organisationnel ÉCOLE NATIONALE D ADMINISTRATION PUBLIQUE Plan de cours ENP 7106 Comportement organisationnel Hanoi Avril 2011 Joanne Greene, M. Ps. joanne.greene@enap.ca Ce cours permet à l étudiant d approfondir sa

Plus en détail

d évaluation de la toux chez l enfant

d évaluation de la toux chez l enfant Validation d un questionnaire d évaluation de la toux chez l enfant Mémoire présenté par Caroline TROCCY Pour l obtention du diplôme de master(e) en kinésithérapie Promoteur: Monsieur G. Reychler Année

Plus en détail

Guide d auto-évaluation

Guide d auto-évaluation REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ----------- Autorité nationale d Assurance Qualité de l Enseignement supérieur ANAQ-Sup Guide d auto-évaluation

Plus en détail

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont

Plus en détail

Définir et consolider son projet associatif

Définir et consolider son projet associatif FICHE PRATI QUE Définir et consolider son projet associatif L association se place sous le signe de la liberté : celle de se regrouper pour prendre collectivement une initiative. De l idée à la conception,

Plus en détail

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999) Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION

Plus en détail

REFERENTIEL DE CERTIFICATION

REFERENTIEL DE CERTIFICATION REFERENTIEL DE CERTIFICATION DU TITRE PROFESSIONNEL Technicien(ne) Médiation Services Niveau IV Site : http://www.emploi.gouv.fr REFERENTIEL DE CERTIFICATION D'UNE SPECIALITE DU TITRE PROFESSIONNEL DU

Plus en détail

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5)

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5) ANNEXE 4 Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information (Module 3, partie I, section 2.5) Dans les pages qui suivent, nous présentons neuf méthodes de collecte d information.

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

L ACCESSIBILITÉ DU CADRE BÂTI

L ACCESSIBILITÉ DU CADRE BÂTI L ACCESSIBILITÉ DU CADRE BÂTI Les ERP «ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC» Le nouveau dispositif réglementaire L ESPRIT DE LA LOI Nouvelle définition de la personne en situation de handicap Accessibilité

Plus en détail

Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine

Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine 14. La collecte de données sur la violence envers les enfants Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine Introduction

Plus en détail

Le Projet InCaS (2006-2009) Consortium

Le Projet InCaS (2006-2009) Consortium Le Projet InCaS (2006-2009) Consortium Le consortium du projet comprend: Des associations de PME dans 5 pays pilotes Un groupe de base de 25 PME dans ces pays Coordinateur du Projet : Confédération Européenne

Plus en détail

Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie

Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie Partie I : Séries statistiques descriptives univariées (SSDU) A Introduction Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie et tous sont organisés selon le même

Plus en détail

SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL

SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL Avertissement : LE PRÉSENT DOCUMENT CONSTITUE UN CONDENSÉ DU RAPPORT ANNUEL DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL. VOUS ÊTES INVITÉ À CONSULTER LA VERSION INTÉGRALE

Plus en détail

Interdiction des taux d intérêt fixes au Cambodge

Interdiction des taux d intérêt fixes au Cambodge Interdiction des taux d intérêt fixes au Cambodge Le recours a la méthode de calcul des taux fixes pour les produits de microcrédit a été proscrit depuis 2001 au Cambodge. Conformément à l application

Plus en détail

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009 REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.

Plus en détail

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain»

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain» CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain» ALLOCUTION INAUGURALE DE MONSIEUR ABDELLATIF JOUAHRI GOUVERNEUR

Plus en détail

Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences

Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Réunion 3 11 décembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse Réunion 3 Emploi, formation, compétences Groupe animé par Patrick Loire, directeur des relations

Plus en détail

COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS

COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS 1 sur 9 COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS (L'article intégral est paru dans Gestions Hospitalières n 357 de juin-juillet 1996) Pour plus d'informations concernant

Plus en détail

Pratiques et besoins de financement des entreprises artisanales

Pratiques et besoins de financement des entreprises artisanales ÉTUDES et Recherches de l Institut Supérieur des Métiers Pratiques et besoins de financement des entreprises artisanales FÉVRIER 2014 Présentation des résultats Pratiques et besoins de financement des

Plus en détail

Les organismes notifiés et les dispositifs médicaux : du constat aux perspectives

Les organismes notifiés et les dispositifs médicaux : du constat aux perspectives Les organismes notifiés et les dispositifs médicaux : du constat aux perspectives Fabien Roy 1 Dans l Union européenne, les dispositifs médicaux sont gouvernés par trois directives qui sont destinées à

Plus en détail

SGE-auto. synchronisation physique de la Supply-Chain. Une innovation mondiale, labellisée EUREKA. Application Automobile

SGE-auto. synchronisation physique de la Supply-Chain. Une innovation mondiale, labellisée EUREKA. Application Automobile Fiche-offre inis SGE-auto synchronisation physique de la Supply-Chain avec un partenaire d Une innovation mondiale, labellisée EUREKA Justif Application Automobile Supprime les manquants Réduit les coûts

Plus en détail

La crise économique vue par les salariés français

La crise économique vue par les salariés français La crise économique vue par les salariés français Étude du lien entre la performance sociale et le contexte socioéconomique Baggio, S. et Sutter, P.-E. La présente étude s intéresse au lien entre cette

Plus en détail

Qu est-ce qu une problématique?

Qu est-ce qu une problématique? Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?

Plus en détail

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables Cycle de Conférence à la Cour de Cassation 21 février 2005 Alain Duchâteau Directeur de la Surveillance Générale

Plus en détail

Règlement jeu concours gratuit sans obligation d achat «Opération VIP Partouche Poker tour»

Règlement jeu concours gratuit sans obligation d achat «Opération VIP Partouche Poker tour» Règlement jeu concours gratuit sans obligation d achat «Opération VIP Partouche Poker tour» Toute personne qui participe au jeu accepte sans réserve l intégralité des clauses contenues au présent règlement.

Plus en détail

La Commission des Titres d ingénieur a adopté le présent avis

La Commission des Titres d ingénieur a adopté le présent avis Avis n 2010/05-10 relatif à l habilitation de l École polytechnique fédérale de Lausanne (Suisse) à délivrer des titres d ingénieur diplômé admis par l état Objet : G : accréditation et admission par l'état

Plus en détail

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de

Plus en détail

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice. Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale

Plus en détail

Distribution d électricité et réseaux souterrains

Distribution d électricité et réseaux souterrains Distribution d électricité et réseaux souterrains Cabos 09-2 - 3 octobre 2009 Maceió, Alagoas, Brésil Les réseaux de distribution : un enjeu essentiel Les réseaux de distribution constituent une infrastructure

Plus en détail

En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013

En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013 En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013 MARS 2013 INTRODUCTION, METHODOLOGIE Primo France, association dédiée à la gouvernance et à la gestion du risque public,

Plus en détail

Synthèse «Le Plus Grand Produit»

Synthèse «Le Plus Grand Produit» Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique

Plus en détail

Département de l Hérault

Département de l Hérault Du diagnostic à l opérationnel, quelles priorités? Le cas des collèges de l Hérault Jean-Pierre Quentin, directeur d exploitation du pôle éducation Patrimoine Conseil général de l Hérault mai 2009 AUDIT

Plus en détail

Mobilité bancaire : des mythes à la réalité 2 milliards d euros de pouvoir d achat économisables. UFC-Que Choisir, 9 décembre 2014

Mobilité bancaire : des mythes à la réalité 2 milliards d euros de pouvoir d achat économisables. UFC-Que Choisir, 9 décembre 2014 Mobilité bancaire : des mythes à la réalité 2 milliards d euros de pouvoir d achat économisables UFC-Que Choisir, 9 décembre 2014 1 La mobilité bancaire au croisement de plusieurs actualités Une actualité

Plus en détail

C. Cohen, Inf. M.Sc. Professeure HEdS La Source & Intervenante à l IUFRS

C. Cohen, Inf. M.Sc. Professeure HEdS La Source & Intervenante à l IUFRS 3ème Séminaire européen du SIDIIEF «Les maladies chroniques : Formation, recherche et leadership clinique en soins infirmiers» 26 mars 2015 Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), Lausanne, Suisse

Plus en détail

ir value.com Le Fundamental Value Indicator

ir value.com Le Fundamental Value Indicator éducatif Le Fundamental Value Indicator Le Fundamental Value Indicator (voir image en page 6) brosse en un tableau la valeur d une entreprise et de son équipe dirigeante. Il illustre en une seule image

Plus en détail

Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185

Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 RESUMÉ ANONYMISÉ DE LA DÉCISION Décision relative à une Recommandation Domaines de compétence de l Institution : Défense des droits de l'enfant, Droits

Plus en détail