Météo 2014 à Manosque (04) Bulletin n 5 31 décembre Bilan de l année 2014 sur les plantes à parfum

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1 Bilan de l année 2014 sur les plantes à parfum Bilan climatique : une année pluvieuse et globalement douce Bulletin n 5 31 décembre 2014 L année 2014 a été marquée par des épisodes pluvieux relativement fréquents, qui ont conduit à des cumuls annuels de pluviométrie supérieurs aux normales sur la plupart des secteurs. Les périodes les plus touchées par ces pluies ont été les mois de janvier, de juilletaoût, puis de novembre. Le printemps et le début d automne ont été plus secs que le reste de l année. Au niveau des températures, l année a été en moyenne assez douce, avec des températures plus élevées que la moyenne en hiver, au printemps et en automne. L été a quant à lui été plus frais que la normale. Les conditions climatiques hivernales ont probablement perturbé la cécidomyie dans la réalisation de son cycle ; les piégeages ont été plutôt faibles et concentrés sur des périodes courtes. Au printemps, les attaques de ravageurs ont également été modérées. Enfin, les pluies régulières de l été ont gêné les sorties de Hyalesthes obsoletus et les effectifs piégés ont été en baisse par rapport à C 25 précip. Météo 2014 à Manosque (04) 240 mm T moyenne REPRODUCTION DE CE BULLETIN AUTORISEE SEULEMENT DANS SON INTEGRALITE REPRODUCTION PARTIELLE INTERDITE page 1/10

2 Cécidomyie Présentation du ravageur : Resseliella lavandulae, cécidomyie de la lavande et du lavandin, est un insecte inféodé aux lavanderaies. L adulte, forme ailée, émerge du sol en hiver. Le vol a lieu entre janvier et avril selon les années et les zones, sa durée peut atteindre 50 jours. Ces adultes, dont la vie n excède pas quelques jours, se reproduisent dans les heures qui suivent leur émergence. Les femelles pondent alors leurs œufs dans les infractuosités des écorces des rameaux. Ils évoluent en larves d abord de couleur blanche puis rose orangée. Logées sous l écorce, elles se nourrissent de sève ponctionnée dans les rameaux. Ces larves sont à l origine des dégâts dont l expression symptomatique est le dessèchement des rameaux attaqués (aspect argenté voir photo). L observation des symptômes débute en mai. A partir de cette date et jusqu au mois de juin, les larves se laissent peu à peu tomber au sol, à la base des plants, où elles s enfouissent sous quelques centimètres de terre. Elles se transforment alors en pupes, et passeront le reste du cycle sous terre jusqu à l hiver prochain. Pièges utilisés : Les pièges utilisés sont des pièges à émergence qui permettent de capturer les adultes dès leur sortie de terre. Les pièges sont constitués de fûts opaques avec 2 tubes en plexigas (au sud et à l ouest du fût). Lorsqu un adulte sort de terre, il est attiré par la lumière et piégé dans l un des tubes. La technique de piégeage a tendance à avancer légèrement les dates de sortie des insectes par rapport aux conditions réelles, car les pièges sont de couleur foncée et provoquent une augmentation de température à l origine de l accélération du cycle biologique de la cécidomyie. REPRODUCTION DE CE BULLETIN AUTORISEE SEULEMENT DANS SON INTEGRALITE REPRODUCTION PARTIELLE INTERDITE page 2/10

3 Les parcelles suivies : Les sites qui ont été suivis en 2014 et dont les données sont exploitables, sont les suivants : - Pour les Alpes de Haute Provence : Valensole, Ste Croix du Verdon, Banon (2 parcelles), St Etienne les Orgues, Revest du Bion. - Pour le Vaucluse : 2 parcelles à Sault. - Pour la Drôme : Montboucher s/ Jabron, Colonzelle, Mirabel aux Baronnies, Mévouillon, Piegros La Clastre. Les résultats de piégeage 2014 sont indiqués dans le tableau 1 sur la page 4. Les effectifs piégés sont les résultats obtenus sur 2 pièges (1 piège / plante). Les effectifs piégés : Des adultes de cécidomyie ont été capturés dans toutes les parcelles citées ci-dessus, sauf dans la parcelle de Revest du Bion (malgré la présence de symptômes de l année précédente sur la plante). Les effectifs capturés restent cependant très faibles : dans 7 parcelles /13, il y a eu moins de 10 insectes capturés sur 2 plantes et dans 3 parcelles / 13, il y en a eu plus de 20 sur 2 plantes. Les périodes de piégeage : Les captures ont principalement eu lieu entre la mi-février et la mi-mars, avec des sorties très groupées, au moment du redoux des températures constaté dans toute la zone de production. Quelques captures ont été signalées dans deux sites de la Drôme de façon plus précoce : à Mirabel aux Baronnies et à Piegros La Clastre. A Piegros La Clastre et à Mévouillon, le vol s est poursuivi plus tard que sur les autres sites. C est aussi sur ces 2 sites que les effectifs ont été les plus élevés. Bilan : Les conditions météo ont été particulièrement douces et pluvieuses au cours des mois de janvier et février. L insecte a probablement été perturbé dans la réalisation de son cycle biologique, ce qui explique les faibles effectifs piégés par rapport aux années antérieures. Le redoux généralisé de la fin du mois de février a entrainé une sortie presque simultanée dans toutes les zones de production de tous les adultes, sur une courte période. REPRODUCTION DE CE BULLETIN AUTORISEE SEULEMENT DANS SON INTEGRALITE REPRODUCTION PARTIELLE INTERDITE page 3/10

4 Zone de production Plateau de Valensole Contreforts de Lure - Plateau d'albion Vallée du Rhône Baronnies - Diois janvier février mars avril Nombre total Parcelle insectes capturés S1 S2 S3 S4 S5 S6 S7 S8 S9 S10 S11 S12 S13 S14 S15 S16 S17 Valensole 2 Ste Croix du Verdon 2 Banon (Moutte) 3 Banon (Borel) 24 St Etienne les Orgues 7 Revest du Bion 0 Sault (Barjot) 17 Sault (Onic) 14 Montboucher / Jabron 6 Colonzelle 4 Mévouillon 74 Mirabel aux Baronnies 9 Piegros La Clastre 43 présence de cécidomyie absence de cécidomyie pas de piégeage Tableau 1 : piégeage 2014 des cécidomyies (par semaine) REPRODUCTION DE CE BULLETIN AUTORISEE SEULEMENT DANS SON INTEGRALITE REPRODUCTION PARTIELLE INTERDITE page 4/10

5 Arima marginata Présentation du ravageur : Arima marginata est un coléoptère. Le stade larvaire est le plus nuisible. Les larves noires attaquent un très grand nombre de labiées et quelques composées. En migrant, elles mangent toutes les parties aériennes les plus appétentes. Elles peuvent parcourir jusqu à 40 mètres par jour à la recherche de nourriture. Au stade adulte, Arima marginata est noir bleuté brillant, bien reconnaissable à ses bandes oranges de part et d autre de son corps. Il mesure 1 à 1,5 cm et vit environ 2 mois, de mai à juin. Etat des observations : Le 10 mars, les premières larves noires ont été observées sur plantes aromatiques à la station du CRIEPPAM à Manosque sur thym, origan et sauge officinale. Les effectifs observés étaient de 5 larves / plante, avec des larves de premiers stades (L1 et L2). Sur lavandin, elles ont été observées à partir du 20 avril sur le Plateau de Valensole et dans le secteur d Apt. Le seuil de nuisibilité de 3 larves par plant a été atteint sur plusieurs parcelles (Puimoisson, Goult). Puis en avril- mai l insecte a été repéré dans des parcelles dans la Drôme, d abord des larves puis des adultes. Le niveau de présence a été globalement important dans tout le département de la Drôme. Les conditions climatiques printanières ont été particulièrement favorables à la présence d Arima marginata. Il a été observé dans de nombreux secteurs au stade larvaire, avec des effectifs importants. Des adultes ont parfois pu se développer également. Normalement, ce ravageur ne fait qu une seule génération par an. Mais en 2014, étrangement, nous avons observé des très jeunes larves tard en saison, à la fin du mois de mai. Il faudra être très vigilant au moment du redémarrage de la végétation en 2015, dans les parcelles où ce ravageur a été observé cette année. En effet, la voracité de cet insecte au stade larvaire peut compromettre le redémarrage d une parcelle entière en quelques jours seulement. REPRODUCTION DE CE BULLETIN AUTORISEE SEULEMENT DANS SON INTEGRALITE REPRODUCTION PARTIELLE INTERDITE page 5/10

6 Cochenille du lavandin (Trionymus multivorus) Présentation du ravageur : Cette cochenille est présente dans toute la zone de production, et ne provoque des dégâts que sur lavandin. Elle se dissémine principalement par les plants et par le vent. Les larves, couleur lie de vin, passent l hiver, au stade L1, dans les tiges coupées des années passées. Dès le début avril, elles commencent leur migration vers les jeunes feuilles de lavandin. La sortie des larves commence si la température est de l ordre de C au soleil. Les naissances sont élevées dès que cette température atteint C. Les sorties s échelonnent selon le climat local approximativement entre la mi-février et la mi-mars. En s alimentant, les larves injectent une toxine qui provoque des crispations de feuillage et des déformations de hampes florales, allant dans les cas les plus graves jusqu à l arrêt de croissance de l épi, voire la mort de la plante. Cette cochenille n a qu une génération par an. Au moment de la floraison, les adultes sont présents sur les épis et s accouplent. Etat des observations : Ce ravageur était en forte régression dans les parcelles protégées au chlorpyriphos contre la cécidomyie. Toutefois, en 2014, certaines parcelles, protégées très tôt du fait des conditions climatiques spécifiques, présentent des foyers d infection de cochenille, audelà du seuil de risque. Avec le redémarrage de la végétation sur le Plateau de Valensole, des larves de cochenilles ont été observées, avec une intensité d attaque moyenne à forte (10 à 30% d attaque par plante). Sur Valensole et Puimoisson, sur certaines parcelles, les seuils ont été dépassés. REPRODUCTION DE CE BULLETIN AUTORISEE SEULEMENT DANS SON INTEGRALITE REPRODUCTION PARTIELLE INTERDITE page 6/10

7 Hyalesthes obsoletus Présentation du ravageur : Hyalesthes obsoletus (cixiide) est l insecte vecteur du phytoplasme du Stolbur, responsable du dépérissement de la lavande et du lavandin. Depuis 2010, un réseau de piégeage est mis en place. Ce réseau permet de connaître la période de vol des adultes et d estimer l importance des populations. 5 pièges jaunes englués sont installés par parcelle. Bilan des piégeages 2014 : Travail réalisé dans le cadre d un programme financé par le Casdar, FranceAgriMer, la Région PACA, le Fonds de dotation SPLP et piloté par l iteipmai. Cette année, 36 parcelles étaient suivies sur toute la zone de production par le CRIEPPAM, l iteipmai, la FREDON PACA et les Chambres d Agriculture de la Drôme et du Vaucluse. Le graphique 1 (page 9) présente les captures effectuées cette année. Les résultats indiqués sont ramenés au nombre d insectes capturés par piège. Il est intéressant de voir que cette année, tout comme l année dernière, les parcelles présentant les captures les plus importantes (supérieures à 50 individus), sont des parcelles implantées avec des variétés sensibles (lavandes, lavandin Abrial). Et comme l an dernier, ces parcelles sont situées partout, c est-à-dire à la fois dans des zones connues pour être touchées par le dépérissement (Redortiers, Ferrassières), mais aussi et surtout dans des zones où celui-ci est peu ou pas présent (Ardèche, Vallée du Rhône). Une autre interprétation des résultats obtenus cette année nous permet d avoir une vision pluriannuelle des effectifs capturés. En comparant ces données avec celles obtenues lors des précédentes saisons de piégeage, nous nous rendons compte que la grande majorité des parcelles suivies présente des effectifs capturés en diminution par rapport à l année dernière. Plusieurs scénarios et hypothèses peuvent être avancés afin d expliquer ces variations brutales d effectifs piégés d une année sur l autre : - Le printemps a été relativement chaud dans la région, et l été a été beaucoup plus frais et humide que ce qu indiquent les normales saisonnières. Ce que nous avions observé ces dernières années parait se confirmer : un été frais et humide semble troubler la dynamique d émergence et de vol de l insecte, et diminuer le nombre d insectes capturés sur les pièges. Cependant, il est impossible de dire si ces conditions climatiques tuent l insecte en l empêchant de passer du stade larvaire au stade adulte, ou bien si cette diminution des captures est seulement un artefact lié à l impossibilité pour l insecte de se déplacer de façon optimale, et donc de se coller sur les pièges. - Les populations d insectes sont susceptibles de varier énormément d une année sur l autre. Si une population d insectes prolifère de façon excessive au point d atteindre le seuil de saturation, la compétition entre les individus sera trop forte, et les insectes ne seront plus capables de se nourrir et de se reproduire correctement. C est l effet de masse. Cela mènera à un effondrement de la population d insectes, ainsi qu à des migrations, qui permettront à la population initiale de revenir à son état d équilibre. Si on applique ce principe d écologie à H. obsoletus, on peut imaginer un agrosystème cultivé, ainsi que des conditions climatiques très favorables à l insecte (les lavanderaies en période de sécheresse par exemple), tellement favorables que la population va exploser, et saturer. La compétition entre les individus sera telle (nourriture, reproduction, espace REPRODUCTION DE CE BULLETIN AUTORISEE SEULEMENT DANS SON INTEGRALITE REPRODUCTION PARTIELLE INTERDITE page 7/10

8 disponible, ), qu une partie de la population va disparaitre par manque de ressource, et certains individus seront amenés à migrer afin de trouver un habitat plus propice à leur développement. L utilisation de variétés tolérantes et peu attractives, de plants sains, l utilisation d argile kaolinite et la mise en place d une couverture végétale ont leur place dans ce cycle en créant des conditions défavorables au développement de l insecte, participant ainsi à la baisse des effectifs présents. Une étude plus approfondie de l insecte au stade larvaire devrait apporter des éléments de réponse, et nous permettre d affiner nos connaissances relatives au comportement et la dynamique de développement de H. obsoletus. C est pourquoi le réseau de piégeage sera de nouveau mis en place au cours de l été Il parait en effet nécessaire d étudier cet insecte à la fois au cours de sa période de vol adulte, mais aussi durant sa période larvaire, souterraine, qui dure bien plus longtemps (10 mois). REPRODUCTION DE CE BULLETIN AUTORISEE SEULEMENT DANS SON INTEGRALITE REPRODUCTION PARTIELLE INTERDITE page 8/10

9 Graphique 1 : Bilan des captures de H. obsoletus en 2014 REPRODUCTION DE CE BULLETIN AUTORISEE SEULEMENT DANS SON INTEGRALITE REPRODUCTION PARTIELLE INTERDITE page 9/10

10 Autres ravageurs D autres ravageurs sont habituellement présents de manière sporadique sur les cultures de lavande et lavandin : tordeuses, crachats de coucou, noctuelles, etc Ils n ont pas été observés en 2014, ou alors à des niveaux très faibles. LES OBSERVATIONS CONTENUES DANS CE BULLETIN ONT ETE REALISEES PAR LES PARTENAIRES SUIVANTS : CRIEPPAM, ITEIPMAI, CA 84, CA 26, RaisonAlpes et France Lavande. COMITE DE REDACTION DE CE BULLETIN : CRIEPPAM, ITEIPMAI, CA 84, CA 26 et RaisonAlpes. N.B. Ce Bulletin est produit à partir d observations ponctuelles réalisées sur un réseau de parcelles. S il donne une tendance de la situation sanitaire, celle-ci ne peut pas être transposée telle quelle à chacune des parcelles. La Chambre régionale d Agriculture et l ensemble des partenaires du BSV dégagent toute responsabilité quant aux décisions prises pour la protection des cultures. La protection des cultures se décide sur la base des observations que chacun réalise sur ses parcelles et s appuie, le cas échéant, sur les préconisations issues de bulletins techniques. Action pilotée par le ministère chargé de l agriculture, avec l appui financier de l Office national de l eau et des milieux aquatiques, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto REPRODUCTION DE CE BULLETIN AUTORISEE SEULEMENT DANS SON INTEGRALITE REPRODUCTION PARTIELLE INTERDITE page 10/10

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