Pourquoi pathologies «chirurgicales»? CANCERS (1) Urgence?
|
|
- Paulette Langevin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Pourquoi pathologies «chirurgicales»? Traitement médical m inefficace ou insuffisant Traitement chirurgical adapté et curatif Indication chirurgicale = faisceau d argumentsd Cliniques Biologiques Radiologiques CHIRURGIE DIGESTIVE Dr Guillaume BOZIO 1 2 Dr Guillaume BOZIO 2/7 Urgence? Mise en jeu du pronostic vital à court terme Délai d interventiond Etiologies : Infectieuse : appendicite, cholecystite,, péritonite p Occlusive : hernie étranglée, cancer colique en occlusion Traum : rupture de rate, plaie par arme blanche Toute pathologie de chirurgie programmée, peut, par ses complications, devenir une urgence. Urgence vitale immédiate Urgence Semi-urgence Connaitre-maladie/toutes-les-maladies.asp Urgence différée 3 3/7 4 4/7 Urgence diff CANCERS (1) Maladie générale g à point de départ d local Classification TNM : Tumor Node Metastasis Nécessité d une surveillance rapprochée e après s le traitement : Récidive Extension à distance
2 CANCERS (2) PLAN Traitement curatif : But : guérison Chirurgie +/- Traitement adjuvant : Radiothérapie néoadjuvante (rectum) Chimiothérapie (néo)adjuvante Traitement palliatif : But : traitement des symptômes, prévention des complications Pas de guérison mais meilleures conditions de vie RadioChimiothérapies Chirurgie palliative (résection, stomie d amont) Endo-proth prothèses (colorectales, bilaires,, pancrés) s) 5 Cancer de l estomacl Côlon Rectum Foie Pancréas as 5/7 6 7/7 I - Épidémiologie Cancer de l oesophagel 10-15% 15% des cancers digestifs 5000 cas/an en France 10 hommes/1 femme Âge moyen : 65 ans Certaines régions r + touchées (Normandie, Bretagne) 2 types histologiques : Cancers épidermoïdesdes : 90 % Adénocarcinomes 10 % (incidence ds pays industrialisés) s) : bas oeso 7 8 2/18
3 II - Etiologie III - Diagnostic Cancers épidermoïdesdes : Alcool et tabac +++ : responsable de 90% des Kc épidermoïdesdes Achalasie (méga ga-œsophage idiopathique) Lésions caustiques Diverticules oesophagiens Boissons brulantes, carence vitamines ACE, taux élevé de nitrates dans l alimentation, opium, carence en protéines animales Adénocarcinomes : EBO : risque de dégénérescence=10 d % (reflux biliaire et acide) Primitifs : + rare Signes fonctionnels : Dysphagie : liquides solides AEG : amaigrissement +++, asthénie, anoréxie Douleurs thoraciques post Hypersialorrhées es, éructations, régurgitationsr Toux, dyspnée à l ingestion d aliments d (fistule oesotrachéale ale) Examen clinique : RAS sauf si extension tumorale (Troisier( Troisier,, métastase m hép) h 9 3/ /18 III - Diagnostic Examens complémentaires mentaires Dg : Fibroscopie oesophagienne : Dg Distance / arcades dentaires Biopsies Echo endoscopie : extension profondeur TDM TOGD +/- III - Diagnostic Bilan : 3 objectifs Bilan d extensiond : métastases, m ADP Clinique : foie, Troiser RP, echo abdo TDM TAP Fibroscopie bronchique (envahissement) +/- scinti os Bilan d associationd : Kc ORL dans 10-15% 15% des cas Examen ORL Panendoscopie Bilan du terrain : bilan d opd opérabilité Fonction respiratoire : GDS, EFR,RP Fonctions cardiaque, héph Bilan nutritionnel 11 5/ /18
4 Très s mauvais IV - Pronostic Tous stades confondus : 10-15% 15% à 5 ans Selon TNM : 70 % pour Tis ( 5 % des Kc) 30 % T1 5 % T3 < 10 % N+ 0 % M+ Chirurgie : Reste le ttt de référencer rence Plusieurs conditions : malade opérable + pas de dissémination + tumeur extirpable Interventions lourdes Réa a post-op op Hospitalisation longue semaines Mortalité op < 5% Morbidité 30 % : fistule, sténose, complications respiratoires, reflux, DONC dépistage d précoce +++ et prévention / /18 2 interventions les pratiquées : Lewis-Santy : 1/3 inf : 2 voies Oesophagectomie totale : 1/3 moyen-1/3 sup : 3 voies Intervention de Lewis-Santy : 1er temps abdominal gastrolyse gastroplastie 15 9/ /18
5 Intervention de Lewis-Santy : 2ème 2 temps thoracique oesophagectomie 2 interventions les pratiquées : Lewis-Santy : 1/3 inf : 2 voies Oesophagectomie totale : 1/3 moyen-1/3 sup : 3 voies Anastomose oesogastrique 17 11/ /18 Oesophagectomie totale : 1er temps thoracique Oesophagectomie totale : 2ème 2 et 3ème 3 temps simultanés Voie abdominale : - Gastrolyse oesophagectomie - Gastroplastie Voie cervicale : Anastomose oesogastrique 19 13/ /18
6 Suites post-op op : Alimentation J7 Drains thoraciques, lames, Redons,, SNG Jéjunostomie +/- Autres techniques : Voies d abordd Plasties : type, trajet Fistules Complications respiratoires Complications nerveuses (récurent) 21 15/ /18 Radiothérapie et chimiothérapie: Radio chimiothérapie (5FU-Cisplatine) Néo-adjuvante ou seule Traitement palliatifs : Prothèse Destruction laser ou électrocoagulation Curithérapie rapie Indications : T1 N0-1 1 M0 Xie=standard +/- radiochimio dans essais T2 N0-1 1 M0 T3 N0-1 1 M0 : pas de standard : radiochimio puis X ie ou radiochimio seule T4, M1 : pas de X ie T1 très superficiel : résection endoscopique possible (risque N+ faible) 23 17/ /18 2/11
7 Cancer de l estomacl I - Généralités Cancer de l estomacl 5 % de tous les cancers cas/an en France (Japon +++) Rare avant 50 ans, pic autour de 60 ans Sex-ration (H/F) : 2/1 Pronostic sombre : 15 % à 5 ans tout stade confondu 35 % à 5 ans chez les malades opérés s (70% pour N0, 15% pour N+) 0% si M+ Adénocarcinome le + souvent /9 Cancer de l estomac l II- Diagnostic Cancer de l estomac l II- Diagnostic Clinique : Paraclinique : Signes révélateurs : BEG : amaigrissement, asthénie, anorexie Douleur épigastrique Vomissements, dysphagie Anémie, hémorragie Gastroscopie : Dg, localisation, biopsies +++ Bilan d extension : TDM TAP Echographie abdominale Echo-endoscopie +/- Examen physique : Le + souvent normal PET-Scan +/- Marqueurs tumoraux : ACE (surveillance) Masse épigastrique, ascite, hépatomégalie, gg de Troisier 27 3/9 28 4/9
8 Cancer de l estomac l III- Traitement Cancer de l estomacl III- Traitement Chirurgie = seul ttt à but curatif Pronostic est dépendant de la qualité de la chirurgie (résidu tumoral, curage ggr) Radiothérapie et chimiothérapie pré ou post opératoire en cours d évaluation Conditions : Patient opérable Tumeur extirpable (carcinose, méta, ) 29 5/9 30 6/9 Cancer de l estomacl III- Traitement Cancer de l estomacl III- Traitement Complications post-op opératoires : Syndrome du petit estomac : ballonnements précoces après s repas (fractionnement +++) Dumping syndrome : malaise, sueurs, tachycardie, polyurie, diarrhées 15 min après s les repas (réaction hormonale) à l arrivée brutale d aliments d dans le jéjunumj junum Diarrhées Malabsorption Anémie : carence en Vit B12 Amaigrissement systém au moins 10 kg Lésions muqueuse gastrique restante (gastite( et Kc) Gastrectomie totale : anse en Y Gastrectomie partielle : anse en oméga 31 7/9 32 8/9
9 Cancer de l estomacl Soins post-op opératoires : III- Traitement Soins locaux HBPM Drains de Redon souvent SNG seulement si gastrectomie partielle Jéjunostomie +/- Réalimentation progressive souvent après s TOGD de contrôle (fistule, sténose) Fractionnement des repas et alimentation mixée e au débutd Si splénectomie : vaccination et antibioprophylaxie Supplémentation Vit B12 à vie (inj( IM mensuelle) Chirurgie colique 33 9/9 34 Chirurgie colique I- Rappels anatomiques Chirurgie colique II- Indications 2 interventions principales : Colectomie droite (A. mésentérique supérieure) A froid : Tumeurs +++ (ADK) Maladie inflammatoire Diverticulose Polypose En urgence : Occlusion Perforation Diverticulite compliquée Colite compliquée Hémorragie Colectomie gauche (A. mésentérique inférieure) 35 2/7 36 3/7
10 Chirurgie colique III- Technique Colectomie droite : Coelioscopie ou laparotomie (médiane, transverse droite) Anastomose iléo-colique Curage AMS si Kc Colectomie gauche : Chirurgie colique Coelioscopie ou Laparotomie III- Technique Nécessité de mobiliser l angle colique G Anastomose colo-colique ou colorectale (par voie abdominale ou par voie trans-anale) Curage AMI si Kc Intervention + longue, + difficile 37 4/7 38 5/7 Chirurgie colique III- Technique Chirurgie colique IV- Suites En urgence : Si les conditions ne permettent pas de réaliser l anastomose sans risque, on réalise une stomie (iléostomie ou colostomie) : Dilatation colique importante (occlusion) Péritonite Préparation digestive? Réhabilitation précoce SNG, drains Lever Réalimentation Antalgiques (morphiniques, péridurale) Sortie J4-J5 Ischémie Risque = fistule digestive (gauche++) 39 6/7 40 3/14 7/7
11 Chirurgie rectale I- Rappels anatomiques Chirurgie rectale /7 Indications : Cancer +++ ADK Maladie inflammatoire Chirurgie rectale II- Généralités Principal problème = sphincter anal Si envahissement nécessitn cessité de résection r du sphincter Chirurgie rectale III- Technique Résection antérieure : Coelioscopie ou Laparotomie Tumeur haut rectum Laisse un moignon rectal Anastomose colorectale Abaissement colon G 3 interventions principales avec conservation ou non 43 3/7 44 4/7
12 Chirurgie rectale III- Technique Protectomie totale avec TME : Coelioscopie ou Laparotomie Exérèse totale du rectum et de son méso Tumeur bas rectum Anastomose colo-anale Réservoir colique Abaissement colon G Stomie de protection souvent Chirurgie rectale III- Technique Amputation Abdomino-Périnéale : Résection rectum et sphincter anal En cas d envahissement du sphincter Colostomie iliaque G définitive 45 5/7 46 6/7 Chirurgie rectale IV- Suites En cas de conservation sphinctérienne : (colo-anales surtout) Pb de continence Pb fréquence des selles (réservoir) En cas d amputation : stomie définitive Chirurgie héph Pb psychologique (schéma corporel, social, sexuel, ) Pb d appareillage, d autonomie (personne âgée) Pb de cicatrisation périnéale Dans tous les cas : Risque nerveux (vessie, érection, éjaculation rétrograde, secheresse vaginale) Risque de fistule (stomie de protection +/-) 47 3/14 7/7 48
13 Chirurgie héph I- Rappels anatomiques Chirurgie héph II- Indications Tumeurs : Malignes : +++ Cholangiocarcinome périphérique ou de la VBP (T. de Klatskin) Carcinome hépatocellulaire ou hépatocarcinome Métastases héps Bénignes : Adénome Angiome +/- (Hyperplasie nodulaire et focale HNF = surveillance simple) 49 2/ /13 Chirurgie héph II- Indications Transplantation hép : Cirrhose : Ethylique ++ Virale B ou C Auto-immune (rare) Hépatite fulminante Virale Intoxication au paracétamol (10g) Autres indications rares : Maladie de Caroli Lithiases intrahéps 51 Chirurgie héph III- Bilan pré-op opératoire Les enjeux de la chirurgie hép Chirurgie d exérèse Extirpabilité de la lésion Parenchyme hép résiduel suffisant et fonctionnel Patient opérable Bilan morphologique : Echo abdo TDM abdo et thoracique IRM hép et bili-irm PET-Scan +/- Ponction biopsie hép Diagnostic Rapport anatomique (vasculaire +++) Volumétrie 4/ /13
14 Chirurgie héph III- Bilan pré-op opératoire Biologique : évaluation fonctionnelle hép Bilan de coagulation : TP, fibrinogène, facteur V Albumine Bilan hép : transaminases, γgt, PAL, bilirubine Test au vert d indocyanine (injection IV, prélèvement à 15min, N<10%) Fonction hép normale ou subnormale Volumétrie : 30% de foie résiduel sain minimum (+ si cirrhose) Chirurgie héph 3 types d interventions : Résections anatomiques : lobectomie D/G, hépatectomie D/G, segmentectomie(s) Résections atypiques Résection voies biliaires +/- hépatectomie : nécessité d une reconstruction : anastomose biliodigestive Possibilité d embolisation portale 53 6/ /13 Chirurgie héph Résections anatomiques : Chirurgie héph Résections atypiques et chirurgie complexe en 2 temps : Chirurgie en 1 tps Métastases bilatérales Chirurgie en 2 tps : -Métastasectomies + embolisation port -Hépatectomie D 55 8/ /13
15 Chirurgie héph Résections voie biliaires : Chirurgie héph Transplantation hép : 57 10/ /13 Chirurgie héph V- Suites post-op op Chirurgie complexe, longue (coelioscopie ) Hospitalisation prolongée Réa ou soins intensifs premiers jours Complications : Insuffisance hép ( décès) Troubles de coagulation (TP) Fistule biliaire : biliome (drainage radio) Hémorragie Surveillance : Chirurgie héph V- Suites post-op op Habituelle : pouls, TA, T, diurèse, cicatrice, drains Spécifique : Bile, ascite /drains Poids/PO Diurèse ++ Bio : coag, BH, iono, albumine, plaquettes 59 12/ /13 3/9
16 Chirurgie pancré I- Rappels anatomiques Chirurgie pancré /15 Chirurgie pancré II- Indications Chirurgie pancré III- Généralités s ADK pancréas as Tumeurs +++ : Épidémiologie : Adénocarcinome (90 % des tumeurs) Environ 3000 cas/an en France Tumeur endocrine : insulinome, glucagonome, gastrinome, Rare avant 50 ans, max >75 ans Ampulome Facteurs de risques : TIPMP : Tumeur Intracanalaire Papillaire et Mucineuse du Pancréas Génétique : ATCD familiaux Tumeur duodénale Diabète Pancréatite chronique (alcool indirectement) Pancréatite chronique (éthylique ++) : Dérivations kysto-digestives Résections pancrés Tabac Pronostic effroyable : 10 % à 1 an, et 1 % à 5 ans toutes tumeurs confondues 5 à 25 % à 5 ans si Xie 63 3/15 0% à 5 ans en l absence de Xie 64 4/15
17 Chirurgie pancré III- Généralités s ADK pancréas as Diagnostic : Chirurgie pancré III- Généralités s ADK pancréas as Histoire naturelle : Localisés dans % an niveau de la tête 50 % métasts au moment du Dg 80 % non opérables pour raisons carcinologiques : Envahissement vasculaire Envahissement ganglionnaire à distance Métastases Carcinose péritonéale ttt palliatif Clinique : AEG : amaigrissement Ictère +++, Grosse vésicule (néo de la tête) Douleurs abdo Bio : Cholestase : bilirubine conj (tête) ACE, CA 19-9 Glycémie : diabète parfois mode de révélation Imagerie : TDM (+/- ponction) IRM 65 5/15 Echo-endoscopie (+/- ponction) 66 6/15 Chirurgie pancré 2 interventions les plus fréquentes : DPC : Duodéno Pancéatectomie atectomie Céphalique DPC : Chirurgie pancré Tumeur tête pancréas Exérèse : tête pancréas Duodénum +/- antre gastrique Cholédoque intrapancré et vésicule Splénopancr nopancréatectomieatectomie G Tumeur à G de l isthme pancré Exérèse : Queue du pancréas 67 7/15 Rate (conservation possible) 68 8/15
18 Chirurgie pancré DPC : détails techniques ttt palliatif chirurgical : Chirurgie pancré Double Dérivation D Biliaire et Digestive Drain dans le canal de Wirsung Traite la cholestase Prévient l occlusion digestive haute par envahissement du duodénum Anastomose pancréatico-gastrique 69 9/ /15 Chirurgie pancré Chirurgie pancré V- Suites opératoires Splénopancréatectomie G : Généralités : Chirurgie longue et complexe (DPC = 4-5 h) Pancréas organe friable, fragile Nécessité d une structure adaptée (radiologie, réa, ) Hospitalisation prolongée (2-3 semaines sans complication) Morbidité élevée = 30 % (fistule +++) Mortalité non négligeable = 3% 71 11/ /15
19 Chirurgie pancré Complications : V- Suites opératoires Fistule +++ (pancré > biliaire) Faux anévrysme (angiotdm +++ au moindre doute) Pancréatite Complications non spécifiques : hématome, abcès de paroi, phlébite, Séquelles : Insuffisance pancré exocrine : stéatorrhée Insuffisance pancré endocrine : diabète Relatives à une splénectomie : thrombocytose, risques infectieux 73 13/15 Chirurgie pancré V- Suites opératoires Surveillance : Clinique : Habituelle : T, pouls, TA, diurèse Drains : aspect, quantité Reprise du transit Paroi Biologique : Radiologique : Habituelle : NFP, Iono, CRP Spécifique : plaquettes, glycémie (dextro), amylasémie, lipasémie, BH, dosage amylase et lipase dans les drains Contrôle de drain biliaire ou pancré TDM avec inj au moindre doute 74 14/15 Chirurgie pancré V- Suites opératoires Traitements spécifiques : Somatostatine PSE : sécrétion (en prophylaxie ou si fistule) Insuline : protocole insuline avec dextro rapprochés initialement CREON (gélules à ouvrir) Anti-agrégants plaquettaires si thrombocytose Vaccination + antibioprophylaxie si splénectomie 75 15/15 3/9
IRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie
TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailCirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Pré-Requis : Cirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005) Clinique : o Diagnostic d'une ascite PCEM2 o Insuffisance hépatocellulaire PCEM2
Plus en détailQu est-ce que le cancer du pancréas?
Cancer du pancréas Qu est-ce que le cancer du pancréas? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailLe cancer du foie. Carcinome hépatocellulaire. Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches
Le cancer du foie Carcinome hépatocellulaire Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailItem 308 : Dysphagie
Item 308 : Dysphagie Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Définition...1 2 Deux types de dysphagie...2 3 Démarche diagnostique en cas de dysphagie oesophagienne... 3 3. 1 Étape 1
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson
Chapitre 36 : Item 308 Dysphagie I. Définition II. Deux types de dysphagie III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne IV. Dysphagies lésionnelles V. Dysphagies fonctionnelles OBJECTIF
Plus en détailGastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy
Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte
Plus en détailQue savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?
Que savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE DE LA LIGNE
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailImagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire
4ème Journée inter-régionale RENATEN Centre / Poitou-Charente Imagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire Maria João Santiago-Ribeiro CHRU Tours Université François Rabelais
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailLes céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie
Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détail«J ai mal au ventre» :
«J ai mal au ventre» : La douleur abdominale chronique Georges Ghattas, MD Présenté à la Journée d éducation médicale continue de l Université de Montréal, le 10 octobre 2003. Il n existe pas d algorithme
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailLA CHIRURGIE BARIATRIQUE Aspects techniques
LA CHIRURGIE BARIATRIQUE Aspects techniques Dr D.Nocca, Dr C. de Seguin de Hons,Dr V.Salsano, Dr PM.Blanc, Dr E.Deneve, Dr S.Faure, Dr R.Altwegg, Dr M.Veyrac, Dr P.Bauret, Dr JC Valats, Pr D.Larrey, V.Harivel,
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailRégimes pathologies de l œsophage
Régimes pathologies de l œsophage I) Le reflux gastro-oesophagien (RGO) Définition On appelle RGO la remontée anormale et répétée du contenu gastrique dans l œsophage en dehors des efforts de vomissements
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailVers une approche managériale des tarifs T2A
Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailChirurgie de l obésité. Ce qu il faut savoir avant de se décider!
Chirurgie de l obésité Ce qu il faut savoir avant de se décider! Consultez le site Internet de la HAS : www.has-sante.fr Vous y trouverez des informations complémentaires et des outils pour bien préparer
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailDéclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur.
Déclaration médicale Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Les données communiquées ci-après seront nécessaires pour pouvoir formuler une offre d assurance. Important Le candidat
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailMI1:Métabolisme et Nutrition Séméiologie des troubles du transit Année universitaire 2007-2008
Introduction Séméiologie des troubles du transit Dans sociétés occidentales, où la quantité de fibres alimentaires est faible, le transit digestif normal se manifeste par : émission de selle de consistance
Plus en détailLes formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.
1 FM4 PAGE 1/4 Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.747 si : L âge de l emprunteur est < 50 ans & le capital assuré*
Plus en détailCancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic
Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Lorsqu on lui annonce qu elle a un cancer, une personne peut se sentir seule, avoir peur et être dépassée par
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailLes marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives
Les marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives Michèle d Herbomez DIU de Chirurgie Endocrinienne Lille 2009 Bilan biologique participe au Diagnostic Pronostic Suivi Trois types de marqueurs:
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détail