Restitution des Ateliers. Dr Christophe SCHMITT médecin DIM CH de Jury METZ
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- Marguerite Grenier
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1 Restitution des Ateliers Dr Christophe SCHMITT médecin DIM CH de Jury METZ
2 Atelier Médecins DIM
3 Contribution des DIM à l analyse des parcours des patients en psychiatrie: exemple des patients au long cours F. CHAPIREAU-F. JOUBERT
4 Définition Définition SAE: Patients ayant cumulés 292 journées d hospitalisation en mode 01 dans l année (notion d hospitalisation l année précédente) Définition ATIH différente Estimations en France en 2012: ATIH patients SAE 9639 patients
5 Méthodologie de l étude Patients adultes à l exclusion des patients UHSA et UMD Utilisation de la définition de la SAE en partie Sur une période de 4 ans période Etude concernant 22 établissements en Aquitaine, Paris et Rhône Alpes Hétérogénéité des établissements
6 Caractéristiques des patients Proportion d homme plus importante, et cela augmente avec le temps de séjour Age entre 45 et 54 ans Diagnostic F2 (schizophrénie) prépondérant, mais aussi F7 et F8 ( retard mental et troubles du développement) Soins sans consentement: part importante dans le groupe un an, diminution ensuite Les patients au long cours ne sont pas homogènes: ils ne sont pas les mêmes en fonction du nombre d années passées au long cours
7 Quatre résultats 1. L ampleur de la population est stable sur les quatre années dans l échantillon 2. Le renouvellement de la population répondant à la définition varie beaucoup d un établissement à un autre 3. L ampleur de la population répondant à la définition varie beaucoup d un établissement à un autre 4. Plus la population est élevée, plus son renouvellement est faible.
8 Discussion Analyser par individu ou par établissements? Analyser les facteurs prédictifs de sortie d hospitalisation au long cours ALD troubles psychiatriques en 3 ème position et en 2 ème position sur le plan financier Inadéquations n intéressent pas uniquement la psychiatrie Patients longs séjours ne signifie pas patients inadéquats: question de l inadéquation? Quelle définition?
9 Remarques Filières d aval pas assez développées Fédérer les recherches sur la question Intégrer les Caractéristiques Socio Démographiques à la réflexion Nécessité d une expertise locale Travailler sur les itinéraires des patients Savons nous ce que nous cherchons? L état du système autour du patient
10 Procédure dégradée concernant le dossier patient R. BOUET- J-N. AUBIN
11 La procédure dégradée est indispensable Si on veut un DPI «sans papier» c est une étape incontournable Certification HAS Indicateurs «Hôpital Numérique» En pratique: il s agit d éviter la rupture de la continuité des soins
12 Commission de crise Directeur déclenche la mise en œuvre de la procédure Les mieux placés pour produire la procédure sont les professionnels de terrain eux-mêmes: Ceux qui font savent de quoi ils ont besoin Ils ont les solutions et un langage adapté à leur profession Ils possèdent toute l information Importance de l information concernant la procédure dégradée: si personne ne la connaît elle ne sert à rien
13 Comment ça marche Déclenchement, prévenir les professionnels par tous les moyens Outils Dossiers des Patients Outils agendas Outil Kit de survie
14 Comment la mettre en oeuvre Un responsable Mise en place d un comité de pioltage Organiser des réunions régulières pluriprofessionnelles Prévoir un temps suffisant (un an)
15 Atelier Contrôleurs de Gestion
16 Restitution du groupe de travail sur les indicateurs G. LELOUP
17 Les indicateurs retenus Taux d équipement Taux de recours Composition type de la masse salariale d un établissement spécialisé en psychiatrie
18 Taux d équipement (CAP/ POP-001) 18 ADESM - indicateurs en pscyhiatrie - 18 septembre POITIERS
19 Taux d équipement 2012 : Hospitalisation à temps plein Adultes La moyenne France métropolitaine est de 121 lits pour habitants
20 Taux d équipement 2012 : Hôpital de jour Adultes 20 La moyenne France métropolitaine est de 39 places pour habitants ADESM - indicateurs en pscyhiatrie - 18 septembre POITIERS
21 21 Taux d équipement 2012 : Ambulatoire Adultes (CMP 5 jours ou + /semaine) La moyenne France métropolitaine est de 3,5 CMP ouverts 5 jours ou + pour habitants ADESM - indicateurs en pscyhiatrie - 18 septembre POITIERS
22 Taux de recours pour habitants (ACT/POP-001) 22 ADESM - indicateurs en pscyhiatrie - 18 septembre POITIERS
23 Taux de recours pour habitants (ACT/POP-001) 23 File active (toute forme d activité confondues) pour habitants. La moyenne France métropolitaine est de 31 patients pour habitants. ADESM - indicateurs en pscyhiatrie - 18 septembre POITIERS
24 24 Composition type de la masse salariale d un établissement spécialisé en psychiatrie ADESM - indicateurs en pscyhiatrie - 18 septembre POITIERS
25 Synthèse de l ANAP sur le profil des contrôleurs de gestion C. BEAL
26 PROFIL D UN CONTRÔLEUR DE GESTION EN PSYCHIATRIE q L idée d un métier récent à l hôpital conforté par le statut des contrôleurs de gestion, mais moins qu en MCO 48 % de contractuels en psychiatrie contre 63% en MCO q La diversité des profils exerçant une activité de contrôle de gestion montre que la fonction doit encore trouver sa place dans les organisations Quel est l in2tulé de votre poste? 2% 4% 32% 2% 8% 12% 12% 44% 46% 16% 6% 8% 8% Contrôleur de ges2on Titulaire de la fonc2on publique catégorie A Titulaire de la fonc2on publique catégorie B Contractuel en CDI Contractuel en CDD Autre Sur 50 réponses Analyste de ges2on Adjoint aux finances Autre adjoint des cadres Directeur des finances Directeur du contrôle de ges2on AGaché d'administra2on Sur 50 réponses Autre
27 PROFIL D UN CONTRÔLEUR DE GESTION EN PSYCHIATRIE q Parité respectée??? Parité des répondants (67 réponses) 26,87% 37,31% 35,82% Femme Homme Sans réponse q Des professionnels jeunes 68% ont entre 18 et 45 ans C est un peu moins que dans le secteur MCO (77%) q et diplômés : Tranche d âge (50 réponses) 25,00% Forma2on ini2ale (57 réponses) 4% 2% 20,00% 15,00% 26% 26% 42% ans ans ans ans 56 ans et plus 10,00% 5,00% 0,00% Evolu2on interne à la FPH Ecole de Commerce Diplôme Universitaire en CDG Diplôme Universitaire autre Spécialisa2on en Ges2on Hospitalière Ecole d Ingénieur EHESP Autre
28 LES PRINCIPALES MISSIONS DU CONTRÔLE DE GESTION Des missions principales qui restent majoritairement très techniques 70,00% 60,00% 50,00% 40,00% 30,00% 20,00% 10,00% 0,00%
29 QUELS LIENS AVEC LE DIM? Quels liens avez- vous avec le DIM? L'établissement a- t- il au moins un DIM? 2% 29% 10% 8% 40% Très bonne collabora2on Bonne collabora2on 69% 42% Rela2on conflictuelle Pas de rela2on Oui, à temps plein Oui, à temps par2el (sur plusieurs sites ou partagé avec des fonc2ons cliniques par exemple) Non A quelle fréquence rencontrez- vous le DIM? 6% 25% 52% 17% Une collaboration avec les DIM très correcte, meilleure que dans le secteur MCO, mais qui peut s améliorer en termes de qualité et de formalisation Au moins une fois par mois Au moins une fois par trimestre Ponctuellement ou en cas de besoin Jamais
30 Atelier Commun Collaboration médecin DIM et Contrôle de gestion
31 Discussion Contenu du dialogue entre DIM / Contrôle de gestion Réfléchir à la formation des coûts, indicateurs pertinents, la moyenne n est pas forcément un bon indicateur La présence du DIM dans les analyses permet d élever le niveau du contrôle de gestion et de leur donner plus de valeur vis-à-vis des équipes médicales
32 Discussion Le niveau des DAF actuellement ne permet pas de reconduire le «niveau de vie» des établissements à l identique Doit éclairer les choix stratégiques Inclure dans le dialogue de gestion les Ressources Humaines
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