Pourquoi promouvoir les infrastructures en Afrique?

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1 RÉUNION D'EXPERTS : PROMOUVOIR ET FINANCER LE DÉVELOPPEMENT DES INFRASTRUCTURES DE TRANSPORT EN AFRIQUE Pourquoi promouvoir les infrastructures en Afrique? Le défi majeur du développement en Afrique est l accélération de la croissance et la réduction de la pauvreté. L importance des infrastructures de transport dans ce processus pour les pays les plus pauvres est reconnue depuis longtemps. Les infrastructures sont à la fois un produit fini offrant directement des services aux consommateurs et un produit intermédiaire participant à la productivité des secteurs de production. Un réseau d infrastructures de qualité et peu coûteux pour les usagers est un facteur décisif de l amélioration de la communication entre les producteurs et les consommateurs, entre les exportateurs et les importateurs, et constitue un déterminant essentiel de la compétitivité prix et hors prix sur les marchés internationaux en permettant la livraison des biens et services en temps et en toute sécurité. Le développement de projets d infrastructure régionaux concourt à l élargissement des marchés, permettant ainsi la création d économies d échelle. En conséquence, les investissements privés sont favorisés et permettent à leur tour le développement des transports, des télécommunications, de l offre d énergie et des marchés susceptibles de soutenir un secteur privé en expansion. Finalement, le développement des infrastructures contribue à la réduction de la pauvreté en améliorant les perspectives de commerce et d emploi. Durant la décennie qui a suivi les indépendances, le secteur public a contribué de façon substantielle au développement des infrastructures en Afrique. Cependant, la majorité des monopoles publics se sont caractérisés par un sous-investissement systématique, les tarifs étant fixés sous le seuil de couverture des coûts, tandis qu une bureaucratie pesante et lente se mettait en place. En conséquence, le développement des services publics n a pas suivi l augmentation de la demande, tandis que le déficit accumulé par les monopoles publics mettait en danger l équilibre des budgets des Etats. Au début des années 80, ces difficultés contribuèrent à l adoption quasi généralisée des programmes d ajustement structurel en 1

2 Afrique, avec pour objectif d accroître la participation du secteur privé aussi bien local qu étranger. Malgré ces efforts pour améliorer la gestion budgétaire, favoriser la concurrence dans la gestion des services et attirer les investisseurs privés, le développement des infrastructures en Afrique s est maintenu largement en retard par rapport au reste du monde aussi bien en qualité qu en quantité de services disponibles. Les politiques mises en œuvre se sont heurtées aux contraintes existantes au développement des infrastructures, notamment financières. En effet, si les ressources financières nécessaires pour moderniser le réseau d infrastructure du continent dépassent de loin ce que les gouvernements locaux et la communauté des bailleurs de fonds peuvent rassembler, nécessitant la mobilisation de ressources privées, les risques inhérents à ces investissements constituent des désincitations majeures pour les investisseurs privés étrangers, surtout au regard de l étroitesse des marchés intérieurs africains. De leur côté, les investisseurs nationaux sont trop peu nombreux, trop démunis et insuffisamment qualifiés pour suppléer à la carence d investissements dans les infrastructures. En l absence de marchés de capitaux de long terme fonctionnels, la levée des fonds s avère une entreprise impossible, d autant que les montages financiers proposés sont souvent inadéquats. C est dans ce contexte que la Banque Africaine de Développement et le Centre de Développement de l OCDE ont entrepris de faire de la promotion et du financement des infrastructures de transport le thème spécifique de la cinquième édition des Perspectives Economiques en Afrique (PEA 2005/2006). Les infrastructures de transport en Afrique : quelques orientations générales pour les PEA 2005/2006 Les PEA 2005/2006 porteront sur les infrastructures de transport dans les quatre secteurs de la route, du chemin de fer, des transports maritime et aérien. L analyse privilégiera les trois dimensions clé que sont le développement du transport rural en vue de rallier l arrière-pays ; le développement des réseaux régionaux et continentaux afin 2

3 d améliorer la communication entre les pays africains et leur rattachement au reste du monde ; et le développement des transports urbains visant à décongestionner les villes. L état des infrastructures et les besoins variant largement d un pays à l autre, le rapport sera l occasion d un examen du réseau existant au regard des besoins, de sa qualité et des obstacles à son extension. La synthèse du rapport s attachera spécifiquement au rôle des infrastructures de transport dans la croissance et le développement, ainsi qu aux stratégies de promotion à mettre en œuvre. L analyse se fondera sur les bonnes pratiques et les lignes directrices partagées par les pays de l OCDE, notamment dans le domaine de la régulation, tout en spécifiant les conditions d adaptation de ces politiques au contexte africain. Dans ce domaine, l étude des cas de succès en provenance des autres régions en développement de l Asie et de l Amérique latine constituera un apport essentiel. L analyse mettra aussi en exergue les façons dont les bailleurs de fonds peuvent contribuer à la promotion des infrastructures de transport en Afrique, se référant pour cela au travail déjà effectué au sein de l OCDE dans ce domaine (notamment par le DAC), mettant en avant les cas de partenariats réussis entre bailleurs et autorités locales et se basant sur les informations collectées dans les pays. Le problème des infrastructures en Afrique est autant une question politique et de capacité qu un enjeu de financement, puisqu il relève du manque de capacités et de compétence organisationnelle des bureaucraties étatiques dans le processus de prise de décision. Le rapport se doit donc d adresser les questions de stratégie et de régulation sectorielles en s attachant à une revue des institutions en charge de la promotion des infrastructures de transport et à leur coordination, au cadre régulateur des différents secteurs, à la politique du gouvernement en termes de priorité entre les différents modes de transport, de modes d intervention et d harmonisation avec les objectifs de réduction de la pauvreté. Compte tenu du dénuement des infrastructures en Afrique, l effort de financement nécessaire à leur réhabilitation et à leur développement s avère largement trop lourd pour un seul acteur qu il soit public ou privé -, ce qui milite en faveur d une forme de partenariat impliquant le secteur privé, un rôle redéfini du secteur public, la participation des communautés locales et le recours à l aide internationale. Ainsi, l analyse des contraintes 3

4 financières doit refléter les priorités des différents acteurs en jeu et s attacher à la question des critères de sélection des projets dans le contexte de rareté des ressources (entre les modes de transport et les projets mais aussi dans le choix entre extension et maintenance). Le rapport discutera le rôle des principaux acteurs en charge du financement des infrastructures, les partenariats en place, ainsi que les stratégies et outils de financement disponibles. Contexte et calendrier de l étude : Les Perspectives Économiques en Afrique Né de la collaboration entre le Centre de Développement de l'ocde et la Banque Africaine de Développement grâce au soutien financier de la Commission Européenne, les Perspectives Économiques en Afrique sont un rapport annuel sur la situation économique, sociale et politique récente et les évolutions probables à court terme de 30 économies africaines. La quatrième édition du rapport est sortie en mai 2005, à l occasion de la réunion annuelle de la BAfD à Abuja. La cinquième édition, dont le cycle de production vient d être amorcée, sera disponible à partir de mi-mai Depuis la seconde édition du rapport, les PEA se sont attachées, en plus de leur suivi conjoncturel des pays, à approfondir les thèmes spécifiques, clé pour le développement des pays africains, de la privatisation (PEA2), de l énergie et la pauvreté (PEA3) et du financement des petites et moyennes entreprises (PEA4). De nouveau cette année, les PEA s attacheront à fournir une analyse détaillée du thème spécifique dans la synthèse du rapport, ainsi qu un développement sur le sujet au sein de chaque note pays. La section sur les infrastructures de transport dans les notes pays sera rédigée par les économistes en charge de ces chapitres selon une structure commune afin d offrir un panorama comparable entre les économies du continent. Elle bénéficiera des informations collectées lors des missions pays. La synthèse constituera non seulement un résumé de cette information pays, mais se fondera aussi sur un travail analytique mené au Centre de Développement et à la BAfD. Dans cette perspective, le Centre a pour objectif : 4

5 De coopérer avec les autres directions de l OCDE travaillant sur des sujets similaires De s adjoindre l expertise existante dans ce domaine en organisant un séminaire d experts sur le sujet début janvier Le travail sur ce thème suivra le processus de réalisation des PEA 2005/2006 : Sept-Déc 2005: Collecte d information dans les pays Fin Déc 2005: Première version finalisée des notes pays 9 Jan 2006: Réunion d experts sur les infrastructures de transport 19/20 Jan 2006: Réunion DEV/BAfD : discussion de la structure de la section de la synthèse sur infrastructures de transport 3 Mars 2006: Première version finalisée de la synthèse du rapport, y compris la section sur les infrastructures de transport 15 Mars 2006: Version finale de la synthèse Mars-Mai 2006: Edition et impression du rapport 17/18 Mai 2006: Lancement des PEA 2005/2006 à la réunion annuelle de la BAfD à Ouagadougou, Burkina Faso 5

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