Bulletin du GTS N 19 : Janvier 1968

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1 Bulletin du GTS N 19 : Janvier 1968 DIFFUSION... 4 Appareil de diffusion continue... 4 Recommandations concernant l'utilisation de radicelles et brisures de betteraves... 4 EPURATION... 6 Du rôle des réducteurs en technologie sucrière... 6 Influence du sucre inverti sur l'accumulation des acides organiques dans le jus épuré... 6 Détermination polarographique des colloïdes du jus de diffusion... 6 Introduction d'un chaulage synchrone à bas ph, dans le schéma habituel d'épuration... 7 Procédé et équipement pour former et traiter des précipités de carbonate de calcium... 8 Chaulage avant 2ème carbonatation... 8 Filtre presse... 8 Décoloration très poussée des solutions de sucre brut... 9 Désorption des colorants du précipité obtenu après épuration des sirops par chaulage carbonatation synchrones lors du recyclage à l'épuration de ce précipité... 9 Epuration de sirops de sucre... 9 L'élimination des thermophiles du sucre... 9 Procédé de régénération de résines échangeuses d'ions utilisées pour l'épuration du sucre...10 Epuration des solutions et jus sucrés...10 Purification du jus brut de sucrerie à l'aide d'un échangeur de cations Quelques considérations sur le procédé"quentin" Amélioration de l'épuration à l'aide de floculants...12 Procédé perfectionné pour la clarification des jus sucrés et des matières du même genre...12 EVAPORATION

2 De l'influence des régimes thermique et hydrodynamique d'une évaporation sur la qualité du jus en cours de concentration...12 Diminution du ph à l'évaporation...13 CRISTALLISATION...13 Vitesses de cristallisation et dissolution du saccharose en solutions pure et impure...13 Formation de germes cristallins dans la région métastable des solutions sucrées...14 Influence de la température sur la cristallisation des masses-cuites pures...14 Influence de l'agitation à l'aide de bulles de vapeur sur la vitesse de cristallisation du saccharose...15 Procédé et dispositif de concentration cristallisation en continu des solutions liquides telles que les sirops sucrés...16 Utilisation optimale de l'eau de clairçage dans les centrifugeuses automatiques pour sucre blanc...16 Calculs relatifs au refroidissement optimal des masses-cuites de 3ème jet (2ème partie)...17 Fabrication du sucre...18 Méthode et appareil pour préparer les masses-cuites au turbinage...19 Etude comparative entre la teneur en saccharose réelle des mélasses de sucraterie (Steffen) et celle des mêlasses de sucrerie, par dilution isotopique...19 Silo à sucré horizontal pour «Michigan Sugar Co" Explosivité de la poussière de sucre Préparation de tablettes de sucre pressé DIVERS Evolution et perspectives de la consommation sucrière mondiale Visite à l 'Institut Technologique du sucre à Berlin...21 Digestion aqueuse à froid - Noircissement de la solution filtrée - Remèdes...21 Etude du ph en sucreries 1ère partie - Influence de la température / 2ème partie - Influence de la dilution et de la concentration sur le ph Détermination micro-colorimétrique du calcium dans les produits de sucrerie Utilisation en sucrerie de matériaux inoxydables et résistant à l'action des acides

3 Nouveautés de l'exposition ACHEMA Lutte contre la poussière en sucrerie Influence des huiles anti-moussantes sur la qualité du jus épuré Produits chimiques utilisés dans la fabrication du sucre Produit sucré et méthode de fabrication de ce produit Méthode de fabrication du sucre La chloration des protéines - 2ème partie : action insecticide st microbicide des protéines chlorées ARTICLES IN EXTENSO PERFECTIONNEMENT ET FONCTIONNEMENT DES FOURS A CHAUX INFLUENCE DE LA SURCHARGE SUR LES RESULTATS D'EXPLOITATION DES DIFFUSIONS HT TEMPERATURES DE SATURATION DES SOLUTIONS SUCREES, EN FONCTION DU BRIX ET DE LA. PURETE

4 DIFFUSION Appareil de diffusion continue Auteur : "Praedsiebiorstwo Projectowania i Dostaw Aparatury Chemicznej" (inventeur M. WIEKLUS) Extrait de : Brevet polonais ( ) Classement : Diffusions continues - Brevets divers L'appareil se compose d'un échaudoir vertical et d'une série de tambours (par ex. 8) dont les axes sont horizontaux, dans un plan vertical. Les tambours communiquent entre eux, et contiennent des transporteurs de cossettes. La cossette circule de bas en haut et suit un chemin proche d'une sinusoïde sur l'axe vertical, le jus circule de haut en bas, par gravité. Recommandations concernant l'utilisation de radicelles et brisures de betteraves Auteur : R. WASMUND Extrait de : "Zeitschrift Zuckeriad." 3/1967, (en allemand) Classement : Radicelles Quelle que soit l'utilisation des radicelles et brisures de bs, il faut pouvoir avant tout les séparer et en enlever les pierres, herbes et feuilles. (Cet aspect du problème n'est pas traité dans l'article). En ce qui concerne la quantité de radicelles, il y a plusieurs appréciations : la plupart des auteurs les estiment à 3 % Bs, d'autres à plus, jusqu'à 6 %. Leur teneur en sucre varie de 10 à M± % et dépend de la nature de la betterave; habituellement on considère 12 fo dont seulement 75 % peuvent donner du sucre marchand. En considérant 3 radicelles % Bs et sucre extractible 9 % radicelles, on peut donc en obtenir 0,27 sucre supplémentaire % Bs. L'auteur considère trois utilisations possibles : - aliment pour bétail; - diffusion commune avec les betteraves proprement dites; - extraction séparée du sucre dans des diffusions ad hoc. La première solution est de moins en moins utilisée. En effet, la tendance d'extraire le maximum de sucre prévaut de plus en plus et il [ne semble pas logique de lutter en 4

5 fabrication contre chaque centième de pourcentage de pertes et d'accepter par ailleurs des pertes de l'ordre de 0,3 % par les radicelles. On a aussi démontré ces derniers temps la fausseté de la crainte de diminuer la qualité du jus vert du fait d'addition d'un jus de diffusion provenant de radicelle de qualité "plus mauvaise". D'abord, étant donné le faible pourcentage de radicelles, l'effet de leur jus est imperceptible. Ensuite les recherches ont montré que les radicelles contiennent plus d'inverti et K, mais moins de Ha et N nuisible que les racines proprement dites. Certains auteurs communiquent que leurs recherches ne confirment aucunement l'opinion de diminution de la qualité du jus lors d'une diffusion commune ou séparée. Le traitement commun des racines et radicelles étant le plus simple, il est souvent utilisé. Les radicelles sont ajoutées avant ou après découpage. Dans ce dernier cas on les distribue régulièrement sur les cossettes, par exemple sur toute la longueur du tapis transporteur. Certains auteurs reprochent à ce procédé l'émiettage insuffisant des radicelles qui conduit à une extraction insuffisante de sucre : 75 %, mais qui peut descendre jusqu'à 33 %. Ceci est vrai même si les radicelles passent au coupe-racine. L'explication est que la betterave n'est pas une masse homogène. Lorsqu'on découpe les racines entières les cossettes contiennent plus de vacuoles ouvertes, on a plus de vaisseaux ouverts que si l'on découpe les radicelles; et l'extraction du sucre des cossettes de racines est meilleure qu'à partir des cossettes de radicelles. D'eu la nécessité d'endetter séparément et plus efficacement les radicelles, sur des broyeurs spéciaux, et de les ajouter ensuite aux cossettes. Le défaut de ce procédé est que ces petites particules de radicelles arrivant dans l'appareil de diffusion ou bien bouchaient les surfaces filtrantes, ou encore étaient rapidement entraînées par le liquide d'extraction. Donc, si on diffuse en commun les racines et les radicelles, ces dernières doivent être moyennement émiettées. La pratique a montré qu'il ne faut pas descendre au-dessous de 5 mm. Il ne faut pas oublier que la reprise de radicelles s'accompagne d'une augmentation de sable, d'où danger d'usure de l'appareillage. La quantité de sable entraîné par 3 % radicelles est de % de la quantité de sable introduit par les vraies cossettes. D'où la préférence de l'auteur pour extraction séparée. On recommande de râper les radicelles en bouillie, par exemple sur un appareil à scies qui déchire i des cellules, ce qui permet d'extraire facilement le jus, même à froid. On a pu utiliser des filtres Nutsch. L'effet d'extraction croît avec la durée et on recommande l'échaudage préalable de la râpure. On peut aussi centrifuger le jus de la râpure, comme on le fait pour le procédé "Steckel". 5

6 EPURATION Du rôle des réducteurs en technologie sucrière Auteurs : V.P. PAIACH et S.Z. IVANOV Extrait de ; "Sakham. Prom." 9/t967, (russe) Classement : Réducteurs Les auteurs passent en revue le rôle négatif joué par les réducteurs en sucrerie et raffinerie et insistent particulièremient sur leur pouvoir viscosant, ainsi que sur le pouvoir viscosant des PDAH (surtout des PDAH formés en milieu calcique). Cette propriété s'explique par le fait que ces produits sont des colloïdes hydrophiles. Influence du sucre inverti sur l'accumulation des acides organiques dans le jus épuré Auteurs : M.I. DAICHCT, G.T. DSMIDENKO, V.P. GONTCHAHOVA Extrait de ; "Trudy Krasnodar. NIIPP" 1967, 1, Classement : Réducteurs; Epuration Etude sur l'influence de la teneur du jus de diffusion en sucre inverti sur l'alcalinité naturelle et l'accumulation d'acides organiques. On montre que un équivalent d'inverti, qui se décompose dans les conditions habituelles d'un chaulage à chaud, donne en moyenne un équivalent d'acides organiques, que l'on retrouve dans le jus surtout sous forme de sels de Ça solubles. Lorsque le jus vert contient 0,2 à 0,3 % inverti, sa dégradation au chaulage peut annuler complètement l'alcalinité naturelle du jus épuré; et une teneur encore plus grande peut amener des alcalinités naturelles négatives. Si le jus vert contient 0,2 % inverti, il faut épurer de manière à le ménager (schémas sans chaulage, à basses températures). Détermination polarographique des colloïdes du jus de diffusion Auteurs : J. STUDNICKY et A. DARDAR Entrait de : "Chem. Zvesti" 1967, nos 1-2, (Slovaque) Classement : Colloïdes, préchaulage Méthode basée sur la mesure polarographique du maximum de l'oxygène, qui dépend de la présence des colloïdes. Comme fond on utilise une solution 0,001 normale de KCl, La 6

7 courbe calibrée est établie avec une solution de 0,2 g blanc d œuf % ml, dont on ajoute des quantités données à une solution sucrée à 15 %. Cette méthode peut être utilisée pour la détermination du point optimal de coagulation de colloïdes. Introduction d'un chaulage synchrone à bas ph, dans le schéma habituel d'épuration Auteurs : A.K. KARTACHOV, V.A. NAGORNAYA, M.G. KHRISriANSEN Extrait de : "Sakharn. Prom»" 10/1967, (en russe) Classement : Schémas d épuration Le chaulage synchrone à ph 8,8-9,0 existe dans plusieurs schémas d'épuration (BMA, Dorr). Il est censé d'assurer une précipitation assez complète des colloïdes, lesquels s'entourent rapidement de CaCO3, ce qui les rend facilement sédimentables et filtrables. A l'usine expérimentale de l'institut Sucrier de Kiev on a comparé à l'échelle semi-industrielle un schéma d'épuration habituel (avec recyclage de jus trouble de 1ère C02) avec un schéma semblable complété par un chaulage synchrone en tête (chaux 0,7-0,8 %, alcalinité 0,020-0,025). La première série d'essais a duré 6 jours, le jus de diffusion fut de bonne qualité (pureté 89). La deuxième série a duré 8 jours, le jus vert fut de mauvaise qualité (pureté 81 à 81+). Les résultats ont montré qu'en effet le chaulage synchrone améliore nettement les propriétés physiques du jus, et que son introduction dans le schéma type est souhaitable. Résultats moyens des deux essais : Premier essai (bonnes Bs) Deuxième essai (mauvaises Bs) Schéma Type Schéma avec ch synch Schéma type Schéma avec ch synch Chaux totale 2,2 2,0 2,1 2,1 Alcalinité 1 C02 0,071 0,077 0,090 0,090 Fk 5,1 1,6 11,0 2,7 Sk 3,8 4,9 1,8 4,5 Desucrage (S % tourteaux) 1,44 1,56 0,82 0,61 7

8 Coloration jus épuré Coloration sirop k & Coloration sucre 1,01 1,01 1,28 1,06 Procédé et équipement pour former et traiter des précipités de carbonate de calcium Auteur : OLIVER Inc. (inventeur R.H. Van NOTE) Entrait de : Brevet E.U. 3.2^5.83/4. (26, ^.66) Classement : Carbonatation : chaudière Nouvelle chaudière, avec circulation du liquide de bas (où a lieu le mélange) vers le haut. La possibilité de chaulage synchrone lest prévue. Le C0 2, stocké dans un collecteur qui entoure extérieurement la chaudière, se fait aussi par le bas, par une fente annulaire. La chaudière contient un agitateur. Chaulage avant 2ème carbonatation Auteurs : S. ZAGRODZKI et J. MAKOWSKE Extrait de : "Gaz. Cukr." 11/1966, Classement : 2ème chaulage Etude de laboratoire sur les incidences du chaulage avant 2ème C0 2. On trouve qu'une addition de 0,2 % CaO diminue la coloration de 10 à 30 %, les sels de chaux de 10 à 20 % et augmente la pureté. L'effet du 2ème chaulage est particulièrement marqué sur les jus provenant de betteraves avariées. Filtre presse Auteur : Soc. des Ets WALINE Extrait de : Brevet français ( ) Classement : Filtres-presses Dispositif permettant la régénération à HCl des toiles de filtre-presse sans les enlever. 8

9 Décoloration très poussée des solutions de sucre brut Auteur : I.F. ZELIKMAN et D.M. LEIBOVITCH Extrait de : "Izv, VUZ-PT" it/1967, (en russe) Classement : Raffinerie : décoloration Les solutions de sucre brut sont décolorées préalablement sur charbon végétal, ensuite sur E.I. anioniques. La décoloration est presque totale et le rendement des E.I. est excellent : vitesse de passage environ 4 fois plus grande et consommation très faible en réactifs de régénération. Désorption des colorants du précipité obtenu après épuration des sirops par chaulage carbonatation synchrones lors du recyclage à l'épuration de ce précipité. Auteurs : M.I. DAICÏÏEV et G.T. DOTDENKO Extrait de : "Tr. Krasnodarsk. NIIPP." 1967, 3, (en russe) Classement : Epuration du sirop D'après la proposition des auteurs on épure, dans la région de Kuban, les sirops par chaulage-carbonatation synchrones (voir Bulletin GTS précèdent). Dans le présent article les auteurs discutent de l'endroit où on doit retourner le précipité» Après avoir constaté qu'à ph> 10,5 on ne peptise plus de 10 % de matières colorantes adsorbées, on recommande de recycler ce précipité dans le tuyau entre le chaulage et la 1ère C02, ou même directement dans la chaudière de 1ère C02. Epuration de sirops de sucre Auteurs : M.I. DAICHEV et collab. Extrait de Brevet URSS ( ) Classement : Epuration sirops Le sirop est concentré, d'abord jusqu'à brix >= 50 (avant-dernier corps d'évaporation), ensuite il est soumis au chaulage-carbonatation synchrones, ensuite à la sulfitation, ensuite filtré et enfin renvoyé au dernier corps d'évaporation. L'élimination des thermophiles du sucre Auteur : "Prothermac" 9

10 Extrait de : "Sucrerie Belge" oct. 1967, p. 115 Classement : Filtration sirops - Microbiologie sucres Article publicitaire. Il existe divers granulométries de l'adjuvant de filtration "Celite", permettant des débits 2695 l/h m 2 pour "Celite 545" jusqu'à 123 1/h x m 2 pour "Celite Filter-Cel". C'est pour des "Celites 512" et plus fins, c est à-dire jusqu'à un débit de 415 l qu'on retient tous les thermophiles. Procédé de régénération de résines échangeuses d'ions utilisées pour l'épuration du sucre Auteur : Meiji Seito K.K." (inventeur S. IWASHIKA) Extrait de : Brevet japonais ^28 Classement : Déminéralisation par E.I, L'efficacité d'une déminéralisation classique est accrue en passant le jus sur des résines anioniques avant de le passer sur le système E.I. cationique -E.I, anioniques. La résine anionique utilisée pour ce traitement initial est régénérée par la solution de ph environ 12 obtenue par la décantation du mélange d'effluents de régénération des résines de la déminéralisation proprement dite. Epuration des solutions et jus sucrés Auteur : "ROHM & HAAS" (inventeurs ; A. HYAHARA, T. DOMAGARI, H, TSUCHIYA) Extrait de : Brevet anglais 1.0/ ( ) Classement : Déminéralisation L'échange cationique est fait en deux stades : d'abord sur résines fortes macroréticulées (10,5 à 50 % d'agent de réticulation, par exemple divinylbenzène), ensuite sur résines fortes faiblement réticulées (1 à 10 $), La faible réticulation s'accompagne d'une forte diffusion du sucre à travers la résine, d'où une forte inversion, mais l'utilisation d'une résine macroréticulaire seule ne permet pas une bonne sorption de la bétaïne et des acides aminés. La combinaison des deux résines dans l'ordre indiqué associe l'épuration maximale avec l'inversion minimale. La résine macroréticulée est régénérée directement par HCl ou H 2 SO 4, l'autre résine est traitée d'abord par un alcali qui déplace les cations organiques, ensuite à l'acide. 10

11 «Note du traducteur - Ce brevet est un perfectionnement du brevet "bidon cationique supplémentaire" de M.J. BONDIOU. D'autre part le brevet français "Rohm & Haas" est très semblable à ce brevet anglais» Purification du jus brut de sucrerie à l'aide d'un échangeur de cations Auteur: "N.V. Octrooien Maatschappij ACTIVIT" (inventeur : P. SMIT) Extrait de ; Déminéralisation par E.I.; brevets divers Brevet français d'un procédé déjà décrit dans ce bulletin (H 14, P 33) et expérimenté au G.T.S. par M. J. PALACI. Le jus vert est décationisé, épuré d'une manière simplifiée, filtrée et évaporée. «Note - Pour plus amples renseignements, on peut consulter le compte rendu de visite de MM. HEETZ et STAMBUL à DINTEKLOORD, Pays-Bas, te » Quelques considérations sur le procédé"quentin" Auteur : J. HUBERLANT Extrait de : "Sucrerie Belge" juillet 1967, Classement : Déminéralisation par E.I., procédé Quentin Exposé des fondements théoriques; fonctionnement d'une installation; calcul de la rentabilité. Conclusions positive : avec un gain en sucre de 0,3 % l'installation est amortie en cinq ans; en réussissant à atteindre 0,4 %, comme cela semble normalement possible par un travail soigneux, le bénéfice est de 1 million FB par an pendant les cinq premières années (pour une usine de t bs et 60 jours de campagne). Méthode d'extraction de non-sucres à partir de solutions de mélasses, égouts et vinasses et appareil pour la réaliser Auteurs : R. BRETSCHNEEDER, J, BURIAtfEK, F. KADLEC Extrait de : Brevet tchécoslovaque 117/128 (18.6.6^ ) Classement : Electrodialyse Description de deux dispositifs d*électrodialyse avec membranes E.I, : dans le premier la cathode est cylindrique, en matière poreuse; dans le deuxième les espaces cathodique et anodique sont délimités par les cloisons planes et parallèles. 11

12 Amélioration de l'épuration à l'aide de floculants Auteur : K. VUKDV Extrait de : "Cukoripar" 1/1967, (en hongrois) Classement : Epuration : généralité, adjuvants de sédimentation On améliore l'effet d'épuration en augmentant la quantité de chaux jusqu'à ce qu'elle devienne égale à la teneur du jus en KS. Une amélioration supplémentaire peut être obtenue en maintenant l'alcalinité du jus de 1ère C02 très haute (ph à 20 : 11,1 ± 0,3). Pour que le jus reste décantable et filtrable on est amené à ajouter des agents de floculation. Procédé perfectionné pour la clarification des jus sucrés et des matières du même genre Auteur : A.E. RABE Extrait de : Brevet français 1.Z^6.821 ( ) Classement : Epuration jus de cannej brevet divers Le jus brut de canne est chaulé jusqu'à ph = 9» ensuite phosphaté jusqu'à ph = 8,5. On ajoute du "Séparan AP 30". Le mélange est introduit dans un récipient cylindrique à fond conique, où on créé un vide de 38 à 68,5 mm. A cette dépression le floculat surnage le liquide, qu'on peut soutirer, D'après ce principe, l'auteur présente trois schémas d'épu- ration, discontinue et continue. EVAPORATION De l'influence des régimes thermique et hydrodynamique d'une évaporation sur la qualité du jus en cours de concentration Auteurs: N. Yu TOBILEVITCH et collaborateurs Extrait de : "Sbornik Pichtch. Prom." V1966, (en russe) Classement : Evaporation, phénomènes chimiques Etudes sur une installation pilote. On trouve que pour la coloration du jus est relativement faible, mais qu'au delà de 130 la coloration est très sensible, et d'autant plus forte qu'il y a plus de réducteurs. L'augmentation du niveau piézométrique est aussi une cause importante de l'augmentation de la coloration. 12

13 Diminution du ph à l'évaporation Auteur : F. NEUBRUM Extrait de : "Zucker" 18/1967, / (en allemand) Classement : Evaporation : phénomènes chimiques, corrosion Dans la première partie de l'article l'auteur étudie les causes de variation du ph : le déplacement de la constante de dissociation de l'eau (de 10-14,22 à 18 à 10-12,22 à 100 ), et l'interférence des différents acides-aminés et autres non sucres. Une table donne les variations du ph entre 20 et 80 pour différents produits moyens de sucrerie : jus vert ,23 jus préchaulé... 1,52 jus chaulé... 1,53 jus 1ère CO ,27 jus épuré... 1,25 sirop 1,21 mélasse... 1,17 Dans la deuxième partie l'auteur envisage la corrosion et distingue cette diminution réversible du ph de la diminution irréversible, autrement dangereuse de ce point de vue. Cette diminution irréversible est étudiée dans des solutions de divers sucres, acides ami nés et mélanges. Enfin, dans la troisième partie l'auteur étudie l'action des nitrites en général et du NaN0 2 en particulier ajouté aux jus à raison de 0,0005 % à 0,005 %. Grâce à une action de désamination (acide aminé + nitrite = acide gras + azote), ce produit protège les jus contre la chute irréversible du ph et la coloration. CRISTALLISATION Vitesses de cristallisation et dissolution du saccharose en solutions pure et impure Auteur : G. MANTOVANI Extrait de : Zucker" 8/1967, Z; (en allemand) Classement : Cristallisation : recherche, théorie 13

14 La méthode de l'auteur consiste à déterminer la vitesse de cristallisation (ou de dissolution) d'un cristal de saccharose pesant 25 à 30 g suspendu par un fil mince à un fléau de balance de précision et se trouvant dans une solution. La vitesse de cristallisation fut étudiée à 25 et sursaturation 1,1, en solution pure et en présence de bétaïne, raffinose, KC1, CaC12, sucre inverti, carboxyméthylcellulose et dextrane (tous ces NS à raison de 20 % eau). L'augmentation du poids était suivie durant 1200 mn, la surface du cristal était déterminée d'après la formule de Kukharenko. On a trouvé des influences variables suivant le NS. L analyse des cristaux a montré qu'il n'y a que le raffinose qui s intègre en quantité sensible dans le réseau cristallin. On étudie aussi l'influence des NS sur le-développement de différentes faces. Une autre série d'essai fut faite à 45 C. On a étudié aussi Iles vitesses de dissolution des monocristaux à sursaturations 0,975-0,850 Formation de germes cristallins dans la région métastable des solutions sucrées Auteur : A.V. ZUBTCHENKO Extrait de : "Izv. VUZ-P.T." V1967» (en russe) Classement : Cristallisation : théorie de la nucléation Etude thermodynamique de la nucléation. Le nombre de molecules de germes de dimension critique diminue rapidement lorsque la sursaturation augmente, de même que le rayon de ces germes (pour sursaturation = 1,20, nombre = 675, rayon = 3,86 mµ; pour sursat.;=1,50, respectivement 236 et 2,72). La limite des sursaturations métastables, au-dessus desquelles il y a nucléation spontanée, est 1,23 à 70 Influence de la température sur la cristallisation des masses-cuites pures Auteur : H. THIELE Extrait de : "Z. Zuckerind." 8/1967, (allemand) Classement : Cuisson Essais faits à Elsdorf sur le troisième jet de blanc de raffinerie. Un même sirop (dont on ne précise pas la pureté) a été cuit comme on cuit habituellement en Allemagne, c'est-à-dire à J7l.0~76,50 ; et en parallèle, sur un appareil à cuire identique à :79, Les deux cuissons ont abouti à un remplissage identique de [l'appareil et a un sucre de même granulométrle (0,^3 mm), coloration, ; rendement, avec l'avantage pour les hautes températures que la durée totale fut 86 mn au lieu de 96. L'auteur conclut qu'à condition 14

15 d'éviter îles poussières, l'habitude de cuire à basse température n'est pas rentable. Une étude des vitesses de cristallisation d'après la table de Kukharenko confirme d'ailleurs ce résultat. Influence de l'agitation à l'aide de bulles de vapeur sur la vitesse de cristallisation du saccharose Auteurs : D. SCHLIEPHAKE et F.A. ORLOWSKE Extrait de : "Zucker" 13/1967, (en allemand) Classement : Cuisson On sait que l'agitation exercée par les malaxeurs accélère la cristallisation en cuisson. L agitation créée par les bulles de vapeur accélère aussi la cristallisation et les auteurs l'ont étudiée. L'appareil consistait d'un tube fermé, avec une branche entrante et une branche de sortie. Dans ce tube circulait le sirop, dont le bris était mesuré en continu réfractométriquement, et dans lequel on introduisait une "pseudo-vapeur" qui était de l'air comprimé, à la pression qui régnait dans l'appareil et saturé de vapeur d'eau (cet air traversait un humidificateur et un réchauffeur). Les essais se faisaient dans des conditions isothermiques. On a prévu une régulation de la pression de l'air correspondant à la variation de sa i pression partielle lors du réchauffage, ainsi qu'une régulation pour I assurer la permanence du bilan de l'eau du système. (Du fait que la pression partielle de la vapeur au-dessus de l'eau pure est plus grande! qu'au-dessus d'une solution sucrée, la température dans l'humidificateur doit être plus faible que la température dans le vase de circulation. Les essais furent faits avec des solutions sursaturées contenant de l'amorce. Ils ont montré nettement que la quantité d'air soufflé (donc l'effet de mélange) a une influence marquée sur la vitesse de cristallisation. Des courbes présentées par les auteurs permettent de calculer la vitesse (industrielle) de cristallisation et d'étudier l'effet de ce paramètre indépendamment des autres facteurs (par exemple le brix de la solution). L'explication est évidente : l'agitation diminue l'épaisseur de la couche d'eau-mère adhérant au cristal, à travers laquelle a lieu la diffusion. 15

16 Procédé et dispositif de concentration cristallisation en continu des solutions liquides telles que les sirops sucrés Auteur : J.M. MALEK Extrait de : Brevet add. français ( ) Classement : Cuite continue Le brevet ? (signalé dans bulletin 13, p. 26) est amélioré par l1adjonction d'un décanteur-classificateur de cristaux. Utilisation optimale de l'eau de clairçage dans les centrifugeuses automatiques pour sucre blanc Auteurs : J.P. THOMAS, O.V. BONNEY, R.H. HALLBECK Extrait de : J. amer. Soc. Sugar Beet Techn. 3/1966, (en anglais) Classement : Centrifugation, clairçage Résumé repris d'après "Sucrerie Belge" : On étudie les effets de diverses modifications du clairçage sur le rendement, la qualité et la teneur en humidité du sucre produit. Les essais ont été faits à l'usine de Woodland de la Spreckels Sugar Company avec une centrifugeuse automatique Western States 48" x 30". Les résultats montrent que : 1/ Une variation de la température de l'eau de clairçage entre 75 C et 95 C, 90 C et 127 C ou de la pression de l'eau de clairçage entre 40 et 70 psig. a peu ou pas d'effet sur le rendement, la qualité ou la teneur en humidité du sucre. 2/ Un clairçage continu donne un sucre de moins bonne qualité qu'un clairçage intermittent. On obtient les meilleurs résultats en démarrant le premier clairçage 15 secondes après la fin du remplissage de la centrifugeuse. 3/ La quantité totale d'eau de clairçage affecte le rendement et la qualité du sucre. Lorsque la quantité d'eau de clairçage augmente, le rendement en sucre diminue de 2,5 ibs par livre additionnelle d'eau de clairçage. La qualité du sucre n'augmente pas proportionnellement à la quantité d'eau de clairçage. 4/ Du. point de vue économique il y a une quantité optimale d'eau de clairçage qui varie de jet en jet et est le mieux déterminée par des mesures de conductivité à la station de centrifugation. 16

17 Calculs relatifs au refroidissement optimal des masses-cuites de 3ème jet (2ème partie) Auteur: G. VATOINECZ Extrait de: "Z. Zuckerindustrie" 9/1967, i;70-«ltf5 Classement : Cristallisation : malaxage des B.P. Dans la première partie de l'étude, que nous avons résumée dans le bulletin précédent, l'auteur montre comment il calcule les différentes caractéristiques d'une masse-cuite B.P. en cours de malaxage. Dans cette 2ème partie, sur 15 exemples concrets, l'auteur étudie les variantes possibles du refroidissement. De ses tableaux et courbes nous extrayons : 1/ Tableau n 7 - Influence d'un refroidissement régulier (vitesse. uniforme) mais avec différentes vitesses de refroidissement sur les résultats de l'épuisement (M.C. brix = 90, Pté = 78, E,M. coulés Pté = 72,9). Vitesse de refroidissement 2% 1% Pureté de la mélasse Refroidissement à 50 Refroidissement à 40 id. avec réchauffage 65,72 64,36 63,34 64,18 62,49 62,18 Vitesse de la mélasse Refroidissement à 50 Refroidissement à 40 id. avec réchauffage Cristaux % Refroidissement à 50 Refroidissement à 40 id. avec réchauffage Durée nécessaire Refroidissement à 50 Refroidissement à 40 id. avec réchauffage 32,82 34,99 36, ,28 37,75 38, / Influence d'un maintien court (1 h) à chaud, après coulée, avant début de refroidissement (tableau n 8). Pratiquement sans effet. 3/ Influence de la grandeur des cristaux, la composition de la MC restant la même (tableau n 9) 17

18 A B C Nombre Cristaux (à la coulée) poids d 1 cristal, mg 0, , ,02770 % 17,00 13,85 13,85 surface totale, m 2 291,5 276,5 201,8 Pureté de la Refroidissement à 50 64, 70 6/^,80 65,/À mélasse Refroidissement à 40 63,17 63,26 64,02 avec réchauffage 62,51 62,58 63,29 Viscosité de Refroidissement à 50 e la mélasse Refroidissement à avec réchauffage Cristaux % Refroidissement à 50 33,89 33,72 32,66 Refroidissement à 40 36,20 36,08 34,90 avec réchauffage 37,18 37,07 36,03 On retiendra que les calculs confirment : qu'une bonne granulométrie à la coulée se répercute sur la pureté finale de la mélasse de environ 0,8; -qu'un refroidissement lent (1 /h) aboutit à des mélasses de points de pureté meilleure qu'un refroidissement rapide (2 /h) et nettement moins visqueuses; - qu'un refroidissement à 40 aboutit à des mélasses de 1,5-2 points de pureté inférieure qu'un refroidissement à 50, mais deux fois plus visqueuses; - qu'un réchauffage rapide (2 /h) avant turbinage aboutit à un gain variable, mais ramène la viscosité à des valeurs très basses, Fabrication du sucre Auteur : "FABCON Inc." Extrait de : Brevet anglais ( ) Classement : Cristallisation des B.P. 18

19 Réduction de la durée de cuisson et amélioration du rendement d'extraction du dernier jet en ajoutant 0,1-0,5 p.p.m. d'un produit breveté (connu sous le non de Pan-Aid, note du traducteur). Ce produit est un ester de l'acide sulfosuccinique de : dioctylpotassiun, ou ammonium, diisobutyl sodiun, potassium ou ammonium ; dihexyl sodium, potassium ou ammonium; ditridecyl sodium, potassium ou ammonium. Méthode et appareil pour préparer les masses-cuites au turbinage Auteurs : "American Factors Ass." (inventeurs : C.R. STEELE et F.B. PRICE) Extrait de : Brevet E.U ( ) Classement : Cristallisation : préparation MC-BP pour turbinage D'après les auteurs, en saturant les MC dans le distributeur par du C02 soufflé ou diminue leur viscosité (!!) ce qui facilite ensuite leur turbinage sur centrifugeuses continues. Etude comparative entre la teneur en saccharose réelle des mélasses de sucraterie (Steffen) et celle des mêlasses de sucrerie, par dilution isotopique Auteurs : M.J. SIBLEY, F.G. EIS, R.A. Mc GINNIS Extrait de : J. Amer. Soc. Sugar Beet Techn. 3/1966, pp (en anglais) Classement : Mélasse : composition Résumé repris d'après "Sucrerie Belge" : En utilisant la technique analytique radiochimique de dilution isotopique de Sibley, Eis et McGinnis, les auteurs ont comparé la teneur réelle en saccharose des mélasses de sucrerie et des mélasses Steffen de la Spreckels Sugar Company avec la teneur trouvée par les méthodes analytiques habituelles. L'analyse par dilution isotopique montre que les délasses de sucrerie contiennent plus de sucre que ce que l'analyse Clerget indique. Les résultats obtenus montrent que les valeurs trouvées par polarisation directe des mélasses de sucrerie donnent une meilleure estimation de la teneur en saccharose que l'analyse Clerget. En général, l'analyse par dilution isotopique des mélasses Steffen indique une teneur en saccharose supérieure à celle trouvée par analyse Clerget nais inférieure à celle trouvée par polarisation directe. 19

20 Silo à sucré horizontal pour «Michigan Sugar Co" Auteur : Extrait : "Sugar y Azucar" août 1967, (en anglais) et (en espagnol) Classement : Conservation du sucre Description du silo de l'usine Caro. Hauteur des murs 7 m, longueur = 66m, largeur = 36 m - Fondations 4,2 m. Angle du recouvrement = 35 - Hauteur du chargement du sucre environ 10 m, capacité maximale : t. Ventilation par air conditionné, de manière qu'on maintienne dans l'entrepôt H.R. = 90 à 60 % et t = 15,5 à 18,3. Chauffage électrique mural système "Chromalox". Déchargement du sucre systèiae "Sauerman Crescent" Explosivité de la poussière de sucre Auteur : K. CIZ Retrait de : "Lissty Cukrov." 9/1967, / (tchèque) Classement : Conservation du sucre, explosion La limite inférieure de l'explosivité est une concentration de 12 g/m 3 air pour des particules inférieures à 70 micromêtre. Préparation de tablettes de sucre pressé Auteur : "American Sugar Co" (inventeurs : E.J. CULP et R.M. GERSTENKORN) Exrtait de : Brevet E.U ( ) Classement :Agglomération Procédé de séchage rapide aux rayons infra-rouges, durée totale 6-8 mn, en trois étapes. DIVERS Evolution et perspectives de la consommation sucrière mondiale Auteur : * * * Extrait de : "Betteravier français" août-septembre 67, Classement : Economie sucrière 20

21 Caractéristique générale : d'énormes disparités. La consommation individuelle moyenne est de 18,7 kg. EUHOFE : 44 % de la consommation mondiale, alors que sa population est 18 %. Moyenne 36,8 kg/habitant. Irlande 62 kg, Danemark 57 Grande-Bretagne 54, Islande 52, Pays-Bas 51, Suisse 48..., URSS 42..., Roumanie 19, Grèce 17, Albanie 16, Turquie 16. AMERIQUE du Nord 47. saturation (stationnaire depuis 1938) AMERIQUE Centrale : contradictions. Moyenne 34, allant de Cuba 66 à Haïti 8 AMERIQUE du Sud. moyenne élevée 34, allant d'argentine 42 à Paraguay 17 AFRIQUE, niveau très bas, 10 kg/habitant. Afrique du Sud 42, Maroc 32, Congo, Cameroun 2, Rwanda 0,3. L'Afrique Noire francophone dans son ensemble, moins de 5 Kg ASIE : une immense pénurie : 6 kg. Inde et Indonésie sont dans la moyenne, la Chine consomme 3,2 kg! OCEANIE :48 kg. Perspectives : pour les pays évolués, où les habitants tirent déjà du sucre : 12 à 18 % de leurs calories, la consommation globale suivra l expansion démographique. La limite supérieure dépend beaucoup de facteurs climatiques (Groenland 69 kg sucre/ha!), du contexte alimentaire (par exemple buveurs de thé). Visite à l 'Institut Technologique du sucre à Berlin Auteur : * * * Extrait de : "Betteravier Français" août-septembre, 1967, 30 Classement : Enseignement, recherche L'institut possède la plus complète documentation internationale ayant trait au sucre; un musée du sucre et surtout des cours universitaires. Durée normale des études de 4 ans, au "bout desquels on passe un examen final et on obtient le diplôme d'ingénieur; on peut poursuivre les études pendant encore 2 ans jusqu'au grade d'ingénieur-docteur ou docteur en agronomie. Beaucoup d'étrangers et d'auditeurs libres. Digestion aqueuse à froid - Noircissement de la solution filtrée - Remèdes Auteur : Services Techniques du SNFSF Extrait de : C.R. Réunion de la C.T./SNFSF Classement : Réception - Contrôle de laboratoire analyse des betteraves 21

22 Le jus de digestion à froid est généralement limpide et facilement polarisable; dans quelques rares cas il noircit rapidement du fait de l'oxydation de la tyrosine (surtout en année sèche). On j peut rendre ce jus polarisable soit en oxydant la râpure avant digestion (15 à 30 mn à l'air), soit en oxydant la râpure ou le liquide avec des faibles quantités d'oxydant (par exemple le perborate de Na). On peut aussi essayer d'éviter le noircissement en ajoutant un produit réducteur au liquide (par exemple 0,025 g sulfite de sodium). Etude du ph en sucreries 1ère partie - Influence de la température / 2ème partie - Influence de la dilution et de la concentration sur le ph Auteurs : D.P. KULKABNI, M.K. PATIL et K.C. VORA Extrait de : "Internat. Sugar J." oct. 1967, et nov. 1967, (en anglais) Classement : Contrôle de laboratoire : ph Le ph varie avec la température et la dilution. Exemples (en sucrerie de canne) La mesure du ph en solution fortement concentrée est un problème complexe, et il n'est pas sur que la vraie concentration en H+ (dans les mélasses, par exemple) puisse être faite avec les méthodes actuelles. Les auteurs semblent préférer les mesures sur des produits a haute concentration. Détermination micro-colorimétrique du calcium dans les produits de sucrerie Auteur : G.V. HEYNDRICKX Extrait de : "J. Amer. Soc. Sugar Beet Technol." 1966, n 8, (en anglais) Classement : Contrôle de laboratoire : sels de chaux Le Ca est déterminé par la méthode de Trinder. On le précipite avec l'acide naphthalhydroxamique, on sépare le précipité par centrifugation et on le dissout ensuite dans 22

23 une solution alcaline de EDTA, On développe une coloration avec Fe(NO 3 ) 3, et on la mesure photométriquement. La méthode est aussi précise que le dosage à l'oxalate, très sensible et très rapide. Utilisation en sucrerie de matériaux inoxydables et résistant à l'action des acides Auteur : H. AHLERS Extrait de : "Zucker" 5/1967, (en allemand) Classement : Matériel, entretien, corrosion Dans la première partie de l'article, l'auteur passe en revue les aciers spéciaux. On ajoute Cr, Al et Si pour rendre l'acier résistant à l'oxydation; pour le rendre résistant à la déformation et à l'action de la haute température on ajoute du Ni. Le Cr (minimum 12 %) rend l'acier résistant contre la corrosion électrochimique du fait qu'il a un potentiel plus négatif que le Fe, s'oxyde plus vite et forme une couche protectrice sur la surface. Le Ni améliore les qualités de passivation, il se forme une structure austénique (cube à faces centrées) qui rend l'acier très ferme. On passe ensuite en revue les différentes marques d'acier : pour arbres, vannes, tiges (résiste aux alcalis, ne résiste pas aux acides forts) pompes (ne résiste pas à température supérieure à 300 ) id pour appareils de laboratoire résistant aux acides comme 4301, mais résiste à température supérieure à comme 4541 mais très résistant aux acides minéraux concentrés et aux ions Cl~ L auteur distingue les genres suivants de corrosion : - corrosion de surface (rouille); - corrosion de contact (conséquence de l'apparition de courants galvaniques, contact de métaux différents. Ex. : tamis de filtres à disques au contact avec le sous-tamis. C'est pour cela qu'on n'utilise pas de tubes en acier Cr-Ni pour l1évaporation, autrement on les corrode au contact avec la plaque tubulaire); - corrosion en points (piqûres) due surtout à la présence des solutions contenant des halogènes. L'acier contenant du Mo est le plus résistant a ce genre de corrosion; - corrosion intercristalline, particulièrement manifeste pour acier à haute teneur en C (0,07 % ou plus), et à hautes températures. Le C réagit avec Cr et le pourcentage de ce dernier diminue. De ce fait, l'acier 4300 par exemple, ne peut être soudé sans traitement thermique et ne résiste pas à température supérieure à

24 Un tableau indique les aciers utilisés pour différents appareils dans 10 usines de la "Süddeutsche". La deuxième partie de l'article passe en revue les matières plastiques. Un tableau donne pour huit classes de matières plastiques (polyacétal, polypropylène, polyéthylène, RCH- 1000, chlorure de poly-vinyle, Hostalit Z, PTFE et polyamide) les domaines d'utilisation, les principales propriétés, les températures limites et les traitements possibles. Un autre tableau indique, de même que pour les aciers, les utilisations dans les différentes usines. Nouveautés de l'exposition ACHEMA Auteur : * * * Extrait de : "Z. Zuckerindustrie" 8/1967, (en allemand) Classement : Matériel 1/ Evaporateur à flot tombant, firme Wiegand (voir note) 2/ Laveur à gaz par jet de liquide, firme Wiegand 3/ Turbines Hein Lehroann 0 2,6 m (au lieu de 1,56) 4/ Transporteur Eimco Cam Belt pour produits humides, hygroscopiques, pâteux, etc.. 5/ Bande transporteuse rapide sur rouleaux à auges, ce qui permet un auto-nettoyage, firme Gutehoffnungshiltte. "Note du rédacteur : En ce qui concerne le principe et l éventuelle utilisation des évaporateurs à flot tombant, on peut consulter en français un récent article de M. TURQUAND, paru dans "Génie Chimique" sept. 1967, pp , soue le titre "Les appareils de pré concentration rapide de solutions de substances fragiles utilisés dans les industries alimentaires" Lutte contre la poussière en sucrerie Auteurs: T. RODGERS, P. SWIFT, J.J. GILBERT Extrait de : "Internat. Sugar J." 817/1967, 9-1/4. 818/1967, 39-^2 et 819/1967, (en anglais) Classement : Hygiène et sécurité; magasin à sucre, séchage des pulpes I - Enumération des principaux genres de poussières : poussière de sucre, de chaux, de pulpes sèchea. Etudes des causes de formation. Avantages du dépoussiérage. Danger d'explosion. 24

25 Pour dépoussiérer on installe des systèmes de ventilation, composés de hottes d'aspiration, conduits, collecteurs type cyclone, ventilateurs. Tables donnant l'ordre de grandeur des vitesses pour différents genres de matériel et de poussière. Abaque permettant de choisir correctement le type de conduits, en fonction du débit de l'air et l'écart de pression dans le système. II - Description des dépoussiéreurs, qu'on classe conventionnellement en dépoussiéreurs par gravité, par inertie, cyclones et filtres. Les dépoussiéreurs par gravité sont les plus simples, mais ne conviennent ni pour la poussière de sucre, ni pour la poussière de pulpes. On les utilise pour désabler le lait de chaux ou le Jus, mais même dans ce cas leur efficacité est faible. Les dépoussiéreurs par inertie sont fondés sur le principe d'un brusque changement de Ia direction du flux de l'air contenant des particules. Ils sont utilisés comme désucreurs des cuites et caisses d'évaporation, ainsi que pour enlever de fortes particules de pulpes dans les fumées après sécheur à pulpes. Les cyclones sont une variété de ce dernier type. Relativement bon marché et simples, ils n'ont pas de partie en mouvement. L'arrosage des parois internes augmente leur efficacité ("irrigation"). Les filtres permettent un dépoussiérage à 100 %. Influence des huiles anti-moussantes sur la qualité du jus épuré Auteurs : F.N. DOBRONRAVDV et G.V. ATCHKASOVA Extrait de : "Sakharn. Promychlen." 9/1967, (russe) Classement : Mousses Comparaison entre deux huiles minérales, une graisse animale et deux huiles végétales. Les huiles minérales forment des savons de calcium solubles, d'où augmentation de sels de chaux; les produits d'origine biologique forment des savons insolubles, d'où diminution de sels de chaux et légère amélioration de la pureté. Les auteurs déconseillent fomellenent l'utilisation d'huiles minérales. Il est intéressant de remarquer aussi que dans tous leurs essais la coloration du jus a diminué. Produits chimiques utilisés dans la fabrication du sucre Auteur : * * * Extrait de : "Sugar y Azucar", août 1967, (en anglais) et (en espagnol) Classement : Produits divers - Décoloration - Sédimentation-Echangeurs d'ions 25

26 Quatre articles sur le nome sujet. Bans le premier on passe en revue : les charbons de décoloration ; (noir aninal, différents charbons actifs végétaux - Suchar, Norit, Darco, Carboraffin, Acti-carbon, Actibon, lonac - ou minéraux - CAL); les résines E.I. (Dow Chemical, Dianond Alkali, Rohm et Haas, lonac); les composés bactéricides utilisés en sucrerie de canne, les produits tensio-octifs utilisés en cristallisation (Hodag CB-6F Pan-Aid); des produits pour détartrer (tîodag PH-2, Hodag Rapisol, tfyandotte's Devaposal); les agents de floculation (Séparan, Nalcolyte, Primafloc); l'oxyde de Mg utilisé parfois en épuration des jus de canne (Magoz); les adjuvants de filtration (Dicalite, Celatoa, Kenite, Sil-Flo, Celite, SoBca-Floc). Le deuxième article indique les consonnations de différents produits dans 13 sucreries de canne. Le troisième est un compte rendu sur la comparaison entre différents floculants en sucrerie de canne. Enfin, le dernier article est à son tour une superposition de plusieurs petits articles sur : - le germicide "Wyandotte Steri-Chlor 4 X", utilisé en sucrerie de canne; - l'adjuvant de cristallisation (pour B.P. de canne) Pan Aid; - les avantage de l'utilisation de l'oxyde de nagnésiun en épuration; - l'utilisation du charbon activé "Pittsburg CAL" dans deux sucreries de betteraves des E.U. - l'utilisation du produit tensio-actif Hodag CB-6 en cristallisation - les essais du procédé d'épuration dit "exclusion d'ions"; - l'utilisation en sucrerie de canne du germicide "Drew Biocide 380". Produit sucré et méthode de fabrication de ce produit Auteur : "American Sugar Co" (inventeurs E.D. TIPPENS, M.A. COHEN et P. BUSH) Extrait de : Brevet E.U. 3.19U.682 (3.^ ) Classement ; Sucres (présentation commerciale) divers Un sirop à brix 97 et pureté environ 93, contenant un peu d'inverti et auquel on ajoute 0,1 à 1% ac. phosphorigue ou phosphate de soude, est pulvérisé, ce qui provoque la formation instantanée de petits cristaux. Méthode de fabrication du sucre Auteur : "The National Sugar Refining Co." (inventeurs F.W. SCHWER, O.S. BAILEY Jr) Extrait de : Brevet E.U (7.7.6Û ) Classement : Raffinerie - Cristallisation, brevets divers 26

27 Un sirop décoloré et pur (pureté environ 99) est concentré à brix 95 à et ensuite refroidi rapidement (vitesse de refroidissement environ 5,5 /mn). A cette occasion l'humidité descend à environ 1 % et on obtient des grains qu'on peut éventuellement agglomérer. Les dimensions prévues sont 0,2 à 1,2 mm. La chloration des protéines - 2ème partie : action insecticide st microbicide des protéines chlorées Auteurs : J. VASATKO et L. STANCOVIC Extrait de : "Listy Cukrovarn." 1/1967, (en slovaque) Classement : Sous-produits : écume Les écumes chlorées et séchées sont d'excellents insecticides, pas seulement de contact, mais ayant aussi une action prolongée dans les organes respiratoires des insectes. La finesse des graines de précipité contribue fortement à cette action. L'action microbicide a été expérimentée sur trois espèces de micro-organismes et les résultats furent positifs. ARTICLES IN EXTENSO PERFECTIONNEMENT ET FONCTIONNEMENT DES FOURS A CHAUX Auteur : L.D. CHEVTSOV Extrait de : "Sakharn. Promychlen." 10/1967, (en russe) Classement : Four à chaux Quelques considérations sur le fonctionnement des fours à chaux, résumées dans quelques diagrammes. 1.- la figure 1a indique en abscisses la durée (en heures), en ordonnées les dimensions moyennes de la pierre à chaux (en nm) et donne trois courbes! durée de chauffage, durée de décomposition, durée de refroidissement. Tout ceci lorsque la température de la zone de décomposition est La figure 1b donne les mêmes renseignements lorsque la température de la zone de décomposition est

28 L'abaque 2 donne la dimension linéaire optimale des pierres à chaux (en abscisse) en fonction de la hauteur utile du four (en ordonnée, en m) et de la production nécessaire en chaux, en Kg/m3 par 2/± heures (les lignes obliques). Exemple d'utilisation : Une usine traite t bs/24h (A), elle a 2 fours à chaux identiques (n); le volume utile de chaque four est 150 m 3 (V ut )f la hauteur utile 24 m (H ut ) ; les besoins de l'usine en CaO sont 3 % betteraves (q). On trouve g, a production de chaux par unité de volume : L'abaque indique ensuite pour H ut = 24 (point 1 sur l'ordonnée et l'oblique 500 (point 2), la dimension optimale 140 mm (point 3) des morceaux de pierre à chaux. Production de chaux Kg/m3 x 2l; heures 28

29 3.- L'abaque 3 indique en abscisse le CO 2 % volume gaz et en ordonnée le coke (à 6000 calories) % pierre. On remarque que toutes autres conditions égales (c'est-à-dire l'excès d'air), une augmentation de coke de 1 % correspond à une diminution du CO 2 de 2%. La figure 4 indique en abscisse la température de cuisson du four et en ordonnée la durée d'extinction de la chaux, en mn. 29

30 INFLUENCE DE LA SURCHARGE SUR LES RESULTATS D'EXPLOITATION DES DIFFUSIONS HT Auteur : J. STAMBUL Dans l'enquête technique du Syndicat pour l'année 1966, figurent 21 usines ayant des diffusions RT. Les conditions d'exploitation varient fortement d'une usine à l'autre, et par ailleurs on ne possède pas tous les renseignements, et les méthodes d'appréciation ne sont pas strictement normalisées. Nous avons essayé, malgré ces obstacles, de voir l'incidence de la "surcharge" sur les résultats d'exploitation. DEFINITIONS a) la surcharge - Aux pages 1 et 2 il y a une colonne "tonnage Journalier moyen" et une autre "puissance nominale". Nous avons défini la surcharge par le rapport de la valeur donnée dans la première colonne à la valeur lue dans la deuxième. Ainsi, par exemple pour l'usine 57, tonnage journalier moyen = 2500, puissance nominale = 2000, la surcharge est 2500 : 2000 = 1,25. b) Le résultat d exploitation - C'est la caractéristique Q de l'abaque de Siline (ce qui correspondrait seulement aux pertes et au soutirage) Pour faciliter la compréhension, nous l'avons traduite aussi en : 30

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