ASSOCIATION DES COURTIERS ET AGENTS IMMOBILIERS DU QUÉBEC SONDAGE AUPRÈS DU PUBLIC. Automne 2001 SYNTHÈSE DES RÉSULTATS EXTRAITS
|
|
- Émilien Beaudin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ASSOCIATION DES COURTIERS ET AGENTS IMMOBILIERS DU QUÉBEC SONDAGE AUPRÈS DU PUBLIC Automne 2001 SYNTHÈSE DES RÉSULTATS EXTRAITS
2 MÉTHODOLOGIE POPULATION ÉTUDIÉE : 500 Québécoises et Québécois âgés de 18 ans ou plus, qui ont réalisé au moins une transaction immobilière pour l achat ou la vente d une résidence privée au cours des trois dernières années et pouvant s exprimer en français ou en anglais. TAUX D INCIDENCE : 18% ENTREVUES : Entrevues téléphoniques réalisées du 30 novembre au 17 décembre Durée moyenne de 11 minutes. TAUX DE RÉPONSE : 57,3% MARGE D ERREUR : ± 4,4% dans un intervalle de confiance de 95%. RÉPARTITION DES ENTREVUES : Montréal RMR : 200 répondants (40 %) Québec RMR : 82 répondants (16 %) Autres régions : 218 répondants (44 %) RÉALISATION : le sondage et les tableaux croisés ont été réalisés par la firme Léger Marketing, à partir de son central téléphonique de Montréal. ACAIQ 1
3 LA DERNIÈRE TRANSACTION IMMOBILIÈRE Première transaction Type de transaction Oui Non Un achat seulement 55 % 35 % 20 % Une vente seulement 23 % 7 % 16 % Un achat - vente 22 % 4 % 18 % Sous-total 46 % 54 % Total 100 % 100 % 46 % des transactions «analysées» sont des premières transactions. 35 % des transactions sont des premiers achats. Ont utilisé un agent Type de transaction Oui Non Un achat seulement 55 % 20 % 35 % Une vente seulement 23 % 16 % 7 % Un achat - vente 22 % 17 % 5 % Sous-total 53 % 47 % Total 100 % 100 % 47 % des transactions ont été effectuées sans agent. 35 % des transactions étaient des achats sans agents. ACAIQ 2
4 Ont utilisé un agent Une première transaction Oui Non Oui 46 % 22 % 24 % Non 54 % 31 % 23 % Sous-total 53 % 47 % Total 100 % 100 % 24 % des transactions étaient des premières transactions effectuées sans agent. 52 % des premières transactions ont été effectuées sans agent. ACAIQ 3
5 LE RECOURS À UN AGENT IMMOBILIER POUR UN ACHAT (recours à un agent autre que celui du vendeur, achats incluant le marché du neuf et de la revente) : OUI NON 40 % 60 % (Base : toutes transactions d achat) Le recours à un agent immobilier pour l achat d une résidence est plus important à Montréal (48 %) et à Québec (53 %) qu en région (28 %), ainsi que chez ceux qui ont une formation universitaire (47 %). POUR UNE VENTE : OUI NON 72 % 28 % (Base : toutes transactions de vente) Le recours à un agent immobilier pour la vente d une résidence est plus important à Montréal (82 %) qu en région (60 %). GLOBALEMENT : OUI NON 53 % 47 % Globalement, le recours à un agent est plus marqué à Montréal et Québec (environ 63 %) qu en région ( 42 %), de même que chez les consommateurs qui n en sont pas à leur première transaction (58 %). ACAIQ 4
6 Commentaires La proportion des consommateurs ayant eu recours à un agent immobilier est un indicateur de la part de marché de la profession dans le domaine des transactions sur résidences privées. En ce qui concerne le marché de la revente, environ 30 % des ventes se réalisent sans agent immobilier. Cela constitue à la fois une source de questionnement et une opportunité de croissance (là aussi, l interprétation est limitée par l absence de référence historique). Le recours à un agent pour un achat (40 %) paraît plutôt élevé, vu l existence d un agent inscripteur pour une partie des transactions (les transactions sur maisons neuves sont incluses dans le total des transactions d achat). Ce comportement est plus affirmé dans les régions urbaines et chez les universitaires : cela peut présager d une tendance favorable. L absence de référence historique ne permet cependant pas d être affirmatif. Toutes transactions confondues, le recours à l agent immobilier est légèrement plus élevé chez ceux qui ont déjà effectué une transaction (1 er transaction 48 %, les autre 58 %). ACAIQ 5
7 LE PREMIER PROFESSIONNEL CONSULTÉ Qui est le premier professionnel consulté? Agent immobilier 54 % Notaire 18 % Gérant de banque ou de caisse 7 % Courtier hypothécaire 3 % Inspecteur en bâtiment 2 % Comptable 1 % Avocat 0 % Autre 9 % NSP refus 6 % Total 100 % Base : n=500; population étudiée L agent immobilier est le premier professionnel consulté dans 54 % des transactions. Parmi ceux qui ont d abord consulté un agent immobilier, 80 % ont finalement conclu une transaction avec ce dernier. Lorsque le premier professionnel consulté n est pas un agent immobilier, il s agit principalement du notaire ou du gérant de banque ou de caisse. Dans ce cas, 23 % des transactions sont quand même réalisées avec un agent immobilier. ACAIQ 6
8 Le recours au notaire en premier lieu est plus marqué en région (27 %) qu à Montréal (10 %), chez ceux pour qui il ne s agit pas d une première transaction (22 %) et chez ceux qui n ont pas eu recours à un agent (31 %) dans le cadre de la transaction immobilière. Le recours au banquier en premier lieu est plus affirmé en cas d achat (10 %), en cas de première transaction (10 %) et chez ceux qui n ont pas eu recours à un agent (12 %) dans le cadre de la transaction immobilière. Commentaires Le premier professionnel associé à la transaction immobilière est clairement l agent immobilier. Son champ d intervention est en effet exclusivement immobilier, comparativement aux autres professionnels. Cependant, il ne capte que 54 % des demandes d assistance. Le fait qu il réalise ensuite 80 % des transactions (lui ou un collègue) laisse penser que les clients qui ne s adressent pas d abord à un agent ont en fait déjà décidé de ne pas faire affaire avec un agent. Parallèlement, le recours au notaire est particulièrement marqué en région, où il capte 27 % des «premiers appels», contre 10 % à Montréal. Il y a donc deux enjeux : - le premier appel à l agent immobilier, - la «concurrence» des notaires en région. ACAIQ 7
9 LA RAISON DU CHOIX DE L AGENT IMMOBILIER Recommandation d un parent, ami, 41 % connaissance Visibilité de l agent dans le quartier 20 % Connaissance personnelle de l agent 15 % Nom de la bannière 7 % Contacté par l agent 6 % L agent de l acheteur 3 % Par hasard 2 % Sur le prix 2 % Sur son site web 1 % Autres 3 % Total 100 % Base : ceux qui ont vendu avec l aide d un agent, question ouverte. La connaissance de l agent ou sa recommandation comptent pour environ 60 % des motifs invoqués. La réputation de l agent constitue son meilleur moyen de vente. Les efforts promotionnels de l agent expliquent environ le tiers des raisons de choix. ACAIQ 8
10 VENDRE AVEC UN AGENT OU PAR SOI-MÊME? Pourquoi j ai recours à un agent : Manque de temps 16 % Pour avoir plus de visibilité 15 % Pour éviter des problèmes 14 % Pour aller plus vite 14 % Pour s assurer d une vente bien faite 10 % Je n ai pas réussi seul 8 % Pour son expertise / expérience 8 % Suite à un avis ou à mon expérience 4 % A été sollicité 2 % Pour obtenir de meilleures offres 2 % Autres, NSP, refus 7 % Total 100 % Les personnes ayant une scolarité primaire ou secondaire sont proportionnellement moins nombreuses à invoquer la visibilité auprès des acheteurs. Celles ayant une scolarité universitaire sont, en proportion, les moins sensibles à l expertise de l agent. Les personnes de 55 ans et plus sont, en proportion, les moins sensibles aux complications, mais le souci de la vente bien faite est présent chez un plus grand nombre d entre elles. Les personnes à faible revenu (revenu annuel brut du ménage entre $ et $) sont les moins nombreuses à invoquer les complications, alors qu elles sont significativement plus nombreuses à mentionner la rapidité de vente qui en découle. ACAIQ 9
11 Les raisons invoquées pour ne pas tenter la vente soi-même sont multiples. Un regroupement fait apparaître les quatre raisons majeures suivantes : Pourquoi j ai recours à un agent : Pour me faciliter la vie 30 % Pour aller plus vite 22 % Pour faire une meilleure vente 17 % Par sécurité 10 % Autres et non classifié 21 % Total 100 % Base : Ceux qui ont eu recours à un agent pour une vente Le consommateur attend de l agent qu il prenne en charge une démarche considérée comme consommatrice de temps et d énergie et aussi risquée. 17 % seulement déclarent faire appel à un agent pour réaliser une meilleure vente. Ces constat ne diminuent en rien l importance pour le consommateur d obtenir le meilleur prix, mais fait ressortir l importance du service dans la décision de faire affaire avec un courtier plutôt que de procéder par soi-même. ACAIQ 10
12 Pourquoi je vends par moi-même : Pour économiser la commission 31 % Je peux le faire 16 % Je connais l immobilier 11 % Je dois vendre rapidement 9 % L agent n a pas réussi 7 % Vente à un membre de la famille 7 % Réception d une offre 6 % Je connais l acheteur 5 % Autres, NSP 8 % Total 100 % Base : Ceux qui ont vendu par eux-mêmes Les raisons invoquées pour réaliser la vente soi-même sont moins diversifiées. En fait, la principale motivation mentionnée est la possibilité d épargner la commission, à l exception peut-être de ceux qui n ont pas pu vendre avec leur agent (7 %). -45 % indiquent que des facteurs internes ou externes ont rendu la vente particulièrement aisée; -31 % affirment directement que leur objectif était d épargner la commission; -9 % donnent pour raison qu ils devaient vendre rapidement. La préoccupation d économiser la commission est légitime. Le consommateur questionne en fait le rapport qualité / prix du service offert par l agent. ACAIQ 11
13 LA RÉFÉRENCE À UN AUTRE PROFESSIONNEL Avez-vous demandé à votre agent de vous conseiller d autres professionnels? OUI 30 % NON 70 % Base : ceux qui ont utilisé les services d un agent La demande de référence est plus marquée dans le cas de la première transaction (38 %), chez les ans (43%), chez les personnes de formation universitaire (42 %) et chez les personnes à revenu élevé (42 %). Elle est moins affirmée chez les plus de 45 ans (de 12 à 18 %) et chez les faibles revenus (16 %). Les conflits d intérêt Chez ceux qui ont demandé une référence : J ai craint qu il soit en conflit d intérêt 15 % Je n ai pas craint qu il soit en conflit d intérêt 85 % Chez ceux qui n ont pas demandé une référence : C est parce que j ai craint un conflit d intérêt Oui 7 % Non 93 % Une large majorité de consommateur ne perçoit pas de conflit d intérêt dans le référencement d un professionnel par un agent immobilier. ACAIQ 12
14 LES AVANTAGES DE FAIRE AFFAIRE AVEC UN AGENT IMMOBILIER Le principal avantage : Achat Vente Accélérer la vente 19 % 10 % 26 % L expertise et l expérience 17 % 24 % 16 % Moins de responsabilités 14 % 8 % 17 % La recherche de maisons 10 % 21 % 1 % Les visites 7 % 7 % 9 % Les documents 6 % 3 % 6 % Le réseau de l agent 6 % 8 % 2 % La publicité 3 % 0 % 4 % La négociation 3 % 2 % 5 % Un meilleur prix 2 % 2 % 3 % Autres 4 % 5 % 4 % Aucun avantage 6 % 8 % 5 % NSP 3 % 2 % 2 % Total 100 % 100 % 100 % Base : Ceux qui ont eu affaire avec un agent immobilier Les avantages les plus mentionnés sont de l ordre du gain de temps, des soucis et tracas épargnés, ainsi que des risques évités. 10 % des raisons mentionnées sont relatives au montant de la transaction lui-même. ACAIQ 13
15 L UTILISATION D INTERNET Dans le cadre de cette transaction immobilière, avez-vous utilisé Internet ne serait-ce qu une fois? OUI 32 % NON 68 % Base : population totale L utilisation d Internet semble plutôt faible. À titre de référence, 51 % des adultes québécois ont utilisé l Internet au moins une fois au cours des sept derniers jours, en novembre dernier 1. L utilisation est plus élevée chez ceux qui ont eu recours à un agent (41 %), dans la région de Montréal (38 %), chez les ans (40 %), chez ceux qui ont une scolarité universitaire (47 %) et chez les revenus élevés (46 %). Même dans ces catégories, elle paraît relativement faible. L information recherchée sur l Internet : La propriété 71 % Les prix de vente 58 % Le quartier, la région 46 % Les hypothèques 31 % Les taxes 26 % Les agents immobiliers 21 % Base : ceux qui ont utilisé l Internet 1 Références : CEFRIO/ Léger Marketing ACAIQ 14
16 LA SATISFACTION À L ÉGARD DE L AGENT IMMOBILIER Le degré de satisfaction NSP / refus 0 à 6 7 8, 9, 10 Connaissance du marché immobilier 1 % 12 % 11 % 76 % Professionnalisme 1 % 17 % 8 % 74 % Compétences financières et légales 7 % 17 % 15 % 61 % Habileté à défendre mes intérêts 1 % 25 % 15 % 59 % Habileté à négocier 3 % 27 % 11 % 59 % Habileté à trouver rapidement un vendeur 15 % 19 % 12 % 54 % Habileté à trouver rapidement un acheteur 2 % 35 % 9 % 54 % Suivi de la transaction 7 % 36 % 7 % 50 % Compétences en bâtiment 4 % 30 % 17 % 49 % Base : ceux qui ont eu affaire avec un agent immobilier, avec segmentation pour les questions acheteurs et vendeurs. Échelle croissante de satisfaction allant de 0 à 10. Dans un environnement de forte concurrence et de consommateurs exigeants, les entreprises ne visent plus seulement à satisfaire le client mais à le ravir. Pour un service du type de celui offert par les agents, on peut estimer qu une bonne performance pour l industrie correspondrait à environ 75 % de consommateurs accordant une note de 8 à 10, 10 % accordant une note égale ou inférieure à 6. Il y a donc place à progrès. ACAIQ 15
17 Le degré de satisfaction Les moins satisfaits Les plus satisfaits Habileté à négocier En région Habileté à défendre mes intérêts En région Vente ans À Québec À Montréal Achat ans Habileté à trouver rapidement un acheteur ans Habileté à trouver rapidement un vendeur Professionnalisme Compétences financières et légales Connaissance du marché immobilier Compétences en bâtiment Suivi de la transaction Transactions suivantes ans Vente En région Vente En région ans Vente En région ans Hommes Fortement scolarisés Hommes Fortement scolarisés Achat 1 ère transaction ans Achat ans Achat À Québec ans À Montréal ans Faibles revenus À Québec Femmes Faiblement scol. Femmes 55 ans et plus Faiblement scol. ACAIQ 16
18 Le degré de satisfaction moyen 0 à 6 6,1 à 7,9 8, 9, 10 En moyenne 16 % 33 % 51 % Achat 11 % 30 % 59 % Vente 27 % 32 % 41 % Montréal 11 % 40 % 49 % Région 26 % 26 % 48 % Hommes 19 % 36 % 45 % Femmes 14 % 28 % 58 % ans 26 % 36 % 38 % Base : ceux qui ont eu affaire avec un agent immobilier. Compilation du score moyen donné par chaque répondant, à partir des scores donnés par item. Les consommateurs les plus critiques à l égard des agents immobiliers sont : - Les vendeurs; - Les consommateurs qui habitent en région; - Les ans. ACAIQ 17
19 LES ATTENTES DU CONSOMMATEUR Les attentes, par ordre d importance (3 mentions) % Habileté à négocier 60 % Professionnalisme 48 % Connaissances du marché 39 % Habileté à défendre mes intérêts 39 % Habileté à trouver rapidement un acheteur ou un vendeur 37 % Compétences financières et légales 21 % Compétences en bâtiment 19 % Suivi de la transaction 17 % Base : population totale. Question : parmi ces huit attentes, laquelle jugez-vous la plus importante, la seconde plus importante, la troisième? Score calculé à partir des trois mentions regroupées. ACAIQ 18
20 L attente la plus importante (une mention) % Habileté à négocier 22 % Professionnalisme 19 % Connaissances du marché 15 % Habileté à trouver rapidement un acheteur ou un vendeur 14 % Habileté à défendre mes intérêts 12 % Compétences financières et légales 5 % Compétences en bâtiment 6 % Suivi de la transaction 3 % NSP, refus 4 % Total 100 % Base : population totale. Question : parmi ces huit attentes, laquelle jugez-vous la plus importante? Le consommateur a deux niveaux d attentes : - l habileté à négocier et le professionnalisme, - la connaissance du marché, la capacité à réaliser la transaction rapidement et la défense des intérêts du client. ACAIQ 19
21 Les priorités peuvent légèrement varier selon les sous-groupes : - À la vente, les priorités sont plutôt l habilité à la négociation, la capacité à trouver un acheteur, le professionnalisme, - Ceux qui n en sont pas à leur première transaction placent en troisième position la capacité à trouver rapidement un acheteur ou un vendeur, de même que les personnes âgées, Par contre, il n y a pas différence dans les priorités entre ceux qui ont utilisé un agent et ceux qui ont procédé par eux-mêmes, ni entre les régions. ACAIQ 20
22 Attentes et satisfaction à l égard de l agent immobilier ÉLEVÉE 80% CORRECTION CAPITALISATION 70% 60% Habileté dans la négociation 50% Professionnalisme IMPORT. 40% 35,2% 30% Habileté dans la défense des intérêts Connaissance du marché Capacité à trouver un acheteur rapidement Capacité à trouver un vendeur rapidement 20% Compétence en matière de bâtiment Compétence en matière financière et légale FAIBLE 10% 0% VALIDATION Qualité du suivi après la transaction SURINVESTISSEMENT POSITIONNEMENT , FAIBLE SATISFACTION ÉLEVÉE ACAIQ 21
23 COURTIER ET AGENT IMMOBILIER Faites-vous une différence entre courtier et agent immobilier? OUI 42 % NON 58 % Base : population totale 42 % de la population pense qu il y a une différence entre courtier et agent. Si l on soustrait de ce pourcentage ceux qui pensent qu il doit y en a avoir une sans pour autant la connaître et ceux qui ne font pas la bonne différence, on peut conclure qu une majorité de la population utilise les deux termes indifféremment. ACAIQ 22
24 AGENT AFFILIÉ OU AGENT INDÉPENDANT? Quel type d agent préférez-vous? L agent affilié à une bannière 58 % L agent indépendant 15 % Pas d importance 18 % Ni l un ni l autre 5 % NSP, refus 4 % Total 100 % Base : population totale 83 % de la population exprime un choix. La préférence va nettement à l agent affilié à une bannière. La préférence pour la bannière est encore plus marquée chez ceux qui ont utilisé un agent pour la vente de leur résidence (65 %). La préférence pour l agent indépendant est plus marquée chez ceux qui ont effectué leur première transaction. ACAIQ 23
25 COURTAGE À TEMPS PLEIN OU À TEMPS PARTIEL? J ai davantage confiance en : Un agent à temps plein 66 % Un agent à temps partiel 1 % Les deux 30 % NSP, refus 3 % Total 100 % Base : population totale Les deux-tiers de la population a un avis sur la question, le reste est indifférent. Parmi ceux qui expriment un avis, personne n a plus confiance en un agent à temps partiel qu en un agent à temps plein. ACAIQ 24
26 LA SCOLARITÉ DE L AGENT IMMOBILIER Quel est le degré de scolarité moyen d un agent immobilier? La scolarité % Secondaire 5 32 % Professionnel post-secondaire 8 % Collégial 44 % Universitaire 5 % Autre 2 % Aucune 2 % NSP, refus 7 % Total 100 % Base : population étudiée Les opinions sont partagées entre le secondaire 5 et le collégial. Après une première transaction, le secondaire 5 recueille 38 % des opinions et le collégial 38 % également. Les ans et les personnes à plus faible scolarité sont, en proportion, plus nombreux à pencher davantage vers la formation secondaire ( 42 % et 40 % respectivement). Au contraire, les ans et les personnes formées à l université sont significativement plus nombreux à pencher davantage vers la formation collégiale (56 % et 52 % respectivement). ACAIQ 25
27 LES INTÉRÊTS DE L AGENT ET CEUX DU CLIENT Un agent immobilier, c est % Un vendeur qui est d abord préoccupé par ses ventes 30 % Un vendeur qui veille aussi aux intérêts de ses clients 30 % Un conseiller qui agit dans l intérêt de ses clients, 40 % même si cela peut lui faire perdre une vente Total 100 % Base : population totale. 30 % de la population estime que l agent ne prend pas prioritairement en compte les intérêts de son client. Ce pourcentage monte à 35 % - 36 % dans le cas des consommateurs plus expérimentés et chez les hommes et à 39 % chez les formations universitaires. 30 % estime que l agent prend en compte également son intérêt et celui de son client. 40 % pense que l agent agit prioritairement dans l intérêt de son client. Ce pourcentage monte à 44 % dans le cas des acheteurs et chez les premières transactions et à 48 % chez les ans. ACAIQ 26
28 LA CONFIANCE % pop. tot. Ont utilisé un agent N ont pas utilisé d agent Très confiance 14 % 20 % 8 % Assez confiance 62 % 61 % 64 % Peu confiance 19 % 15 % 22 % Pas du tout confiance 5 % 4 % 6 % Total 100 % 100 % 100 % La confiance est là mais elle est plutôt fragile, puisque 14 % seulement font très confiance aux agents immobiliers. La confiance monte chez ceux qui ont déjà eu recours à un agent immobilier. % pop. tot. Homme Femme Très confiance 14 % 14 % 13 % Assez confiance 62 % 57 % 69 % Peu confiance 19 % 22 % 14 % Pas du tout confiance 5 % 7 % 4 % Total 100 % 100 % 100 % La confiance est plus forte chez les femmes. ACAIQ 27
29 LE «RÉACHAT» Utiliseriez-vous les services d un agent, en cas de vente? % Pop. tot. Ont utilisé un agent N ont pas utilisé un agent Oui certainement 35 % 47 % 20 % Oui probablement 38 % 35 % 42 % Non probablement pas 15 % 11 % 21 % Non certainement pas 11 % 6 % 16 % NSP, refus 1 % 1 % 1 % Total 100 % 100 % 100 % Le «réachat» est lui aussi fragile : 35 % des consommateurs ayant eu recours à un agent affirment qu ils utiliseraient PROBABLEMENT les services d un agent immobilier, alors que 47% le feraient CERTAINEMENT. Il est encourageant de noter que 62 % des répondants n ayant pas utilisé d agent envisage de le faire à la prochaine transaction. ACAIQ 28
30 Utiliseriez-vous les services % Achat Vente d un agent, en cas de vente? Pop. tot. Oui certainement 35 % 33 % 39 % Oui probablement 38 % 44 % 30 % Non probablement pas 15 % 14 % 15 % Non certainement pas 11 % 8 % 15 % NSP, refus 1 % 1 % 1 % Total 100 % 100 % 100 % Le réachat est significativement plus fort chez les acheteurs. Utiliseriez-vous les services % Montréal Région d un agent, en cas de vente? Pop. tot. Oui certainement 35 % 41 % 30 % Oui probablement 38 % 45 % 30 % Non probablement pas 15 % 9 % 23 % Non certainement pas 11 % 4 % 16 % NSP, refus 1 % 1 % 1 % Total 100 % 100 % 100 % Le réachat est significativement plus fort à Montréal et plus faible en région. ACAIQ 29
31 ACAIQ 30
Institut économique de Montréal. Rapport d un sondage omnibus. Juin 2005
Institut économique de Montréal Rapport d un sondage omnibus Juin 2005 Opinion des Québécois à l égard du jugement de la Cour suprême du Canada relatif à l interdiction aux citoyens de payer pour des soins
Plus en détailUN AVOCAT PEUT-IL AGIR À TITRE DE COURTIER IMMOBILIER?
UN AVOCAT PEUT-IL AGIR À TITRE DE COURTIER IMMOBILIER? Par : Paul Mayer, du cabinet d avocats Fasken Martineau Les décisions récentes des tribunaux ont clairement démontré qu un avocat ne peut légalement
Plus en détailFlash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011
Septembre 2011 Faits saillants Selon les données émises par la Chambre immobilière du Grand Montréal, la revente de résidences dans l agglomération de Montréal a atteint les 16 609 transactions en 2010,
Plus en détailSondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014
Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Table des matières Contexte et objectifs... 6 Méthodologie... 8 Résultats détaillés 1. Perception
Plus en détailAussi dans ce numéro Les ventes de copropriétés perdent de leur élan Depuis un certain temps, la copropriété nous avait habitués à des hausses relativement soutenues des transactions MLS au Québec. Mais
Plus en détailLes groupes de médecine familiale (GMF) Sondage Omniweb. Dossier 70902-019 21 septembre 2012
Les groupes de médecine familiale (GMF) Sondage Omniweb Dossier 70902-019 21 septembre 2012 La méthodologie 6 Le profil des répondants 9 L analyse détaillée des résultats 10 Conclusions stratégiques
Plus en détailAvoir accès à la justice ou s exposer à l endettement
Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement Comprendre qu il s agit d un choix difficile pour les Canadiens Aider les courtiers d assurance et les sociétés d assurance à mieux comprendre les
Plus en détailRAPPORT FINAL. Étude sur la littératie financière chez les jeunes POR # 441-07
POR # 441-07 RAPPORT FINAL Étude sur la littératie financière chez les jeunes Préparé pour : L Agence de la consommation en matière financière du Canada Date du rapport : Août 2008 This report is also
Plus en détailLe Baromètre MLS du marché résidentiel. Faits saillants. Province de Québec. 2 e trimestre 2010
Province de Québec Le Baromètre MLS du marché résidentiel Faits saillants Premier ralentissement des ventes en cinq trimestres Seuls quelques centres urbains sont parvenus à être dynamiques Remontée dans
Plus en détailUNE FISCALITE MAROCAINE ATTRACTIVE
UNE FISCALITE MAROCAINE ATTRACTIVE Le Maroc a mis en place un plan d action ambitieux dans le but de se convertir en une destination touristique attractive. Dans ce cadre, il s est doté d une législation
Plus en détailQUI PEUT SE LIVRER, CONTRE RÉMUNÉRATION, À UNE OPÉRATION DE COURTAGE IMMOBILIER?
QUI PEUT SE LIVRER, CONTRE RÉMUNÉRATION, À UNE OPÉRATION DE COURTAGE IMMOBILIER? Par : Paul Mayer du cabinet d avocats Fasken Martineau La Loi sur le courtage immobilier (la «Loi») confère aux courtiers
Plus en détailL expérience des services financiers et la connaissance de l ACFC - le point de vue du public
L expérience des services financiers et la connaissance de l ACFC - le point de vue du public 5R000-040048/001/CY Présenté à : L Agence de la consommation en matière financière du Canada 24 mars 2005 Table
Plus en détailHomosexualité et milieu de travail
Sondage d opinion auprès des Canadiens GAI ÉCOUTE ÉTUDE OMNIBUS PAN CANADIENNE Homosexualité et milieu de travail Mai 2006 Dossier : 12717-008 507, place d Armes, bureau 700, Montréal, Québec H2Y 2W8 Téléphone
Plus en détailSommaire. Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos»)
Sommaire Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos») Novembre 2013 Table des matières 1. CONTEXTE ET OBJECTIFS... 3 2. MÉTHODES DE RECHERCHE...
Plus en détailLES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN VOLUME 4 NUMÉRO 9 AVEC LA COLLABORATION DE
LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN VOLUME 4 NUMÉRO 9 AVEC LA COLLABORATION DE 2 2014, CEFRIO NETendances LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN TABLE
Plus en détailRE/MAX Du Cartier A.S. - Division Commerciale
RE/MAX Du Cartier A.S. - Division Commerciale Un chef de file dans les immeubles à revenus au Québec! RE/MAX Du Cartier A.S. Division Commerciale 1290 Avenue Bernard Montréal (QC) H2V 1V9 Albert Sayegh
Plus en détailSondage web sur la démocratie et la participation citoyenne
Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Rapport d analyse des résultats Présenté à l'institut du Nouveau Monde 22 mai 2012
Plus en détailÉtude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles
Étude auprès de la génération X Le paiement virtuel et la gestion des finances Rapport Présenté à Madame Martine Robergeau Agente de Développement et des Communications 11 octobre 2011 Réf. : 1855_201109/EL/cp
Plus en détailBaromètre des professions 2015. Février 2015
Baromètre des professions 2015 Février 2015 Approche méthodologique 3 Résultats détaillés 5 1. Confiance 6 2. Encouragement à devenir 9 2 Méthodologie Collecte des données La présente étude a été réalisée
Plus en détailPour diffusion immédiate. Nouveau sondage CROP : LES AIRES PROTÉGÉES, UNE PRIORITÉ SELON LES QUÉBÉCOIS
COMMUNIQUÉ Pour diffusion immédiate Nouveau sondage CROP : LES AIRES PROTÉGÉES, UNE PRIORITÉ SELON LES QUÉBÉCOIS Montréal, le 6 mars 2007 Un sondage réalisé du 28 février au 4 mars 2007 par la maison CROP
Plus en détailLa fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008
La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 Ce document se veut une analyse succincte des indicateurs se rapportant à
Plus en détailUn climat des affaires incertain
AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.
Plus en détail«Je vais chez le dentiste»
Rapport d étude du livret : «Je vais chez le dentiste» Service Marketing Communication SOMMAIRE I - Objectifs et méthodologie de l étude II - Résultats détaillés de l étude III - Synthèse Service Marketing
Plus en détailINDICE CPQ-LÉGER MARKETING DE CONFIANCE DANS L ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE
INDICE CPQ-LÉGER MARKETING DE CONFIANCE DANS L ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE Juin 2003 Constats L indice CPQ-Léger Marketing de confiance des consommateurs et des entreprises dans l économie québécoise enregistre
Plus en détailL ACCÈS AU CRÉDIT ET LES ATTITUDES DES QUÉBÉCOIS QUANT À L ENDETTEMENT UN SONDAGE RÉALISÉ POUR JECOMPRENDS.CA. de la vie aux idées
L ACCÈS AU CRÉDIT ET LES ATTITUDES DES QUÉBÉCOIS QUANT À L ENDETTEMENT UN SONDAGE RÉALISÉ POUR JECOMPRENDS.CA de la vie aux idées L accès au crédit et les attitudes des Québécois quant à l endettement
Plus en détailCOURTIER IMMOBILIER. Mauricie. Me choisir vous assure le résultat souhaité
Steve Beaulieu COURTIER IMMOBILIER Mauricie Me choisir vous assure le résultat souhaité Rencontrons Steve Beaulieu POURQUOI J Al CHOISI LA PROFESSION DE COURTIER IMMOBILIER? L immobilier réunit plusieurs
Plus en détailLes Canadiens continuent de négliger des moyens simples de régler leurs dettes personnelles plus rapidement
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Le 6 décembre 2011 #dettes #hypothèque Les Canadiens continuent de négliger des moyens simples de régler leurs dettes personnelles plus rapidement Waterloo Les résultats du plus
Plus en détailSondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire. Rapport présenté à la
Sondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire Rapport présenté à la Mars 2008 Tables des matières Contexte et objectifs.... 2 Page Méthodologie.3 Profil des répondants...6 Faits saillants..10
Plus en détailDU RAPATRIEMENT DE LA CONSTITUTION PRÉSENTÉE PAR CROP. de la vie aux idées
ÉTUDE À e ANNIVERSAIRE DU RAPATRIEMENT DE LA CONSTITUTION PRÉSENTÉE PAR CROP de la vie aux idées TABLE DES MATIÈRES CONTEXTE ET OBJECTIFS 3 NOTORIÉTÉ DU RAPATRIEMENT DE LA CONSTITUTION CANADIENNE 4 DE
Plus en détailPanorama sur les femmes entrepreneures et l assurance
Panorama sur les femmes entrepreneures et l assurance 2013 Objectifs et méthodologie L'objectif de ce panorama est de mettre en évidence les différences de postures, de comportements et d'image entre hommes
Plus en détailSondage sur l endettement chez les jeunes
chez les jeunes Rapport préliminaire Présenté à Madame Caroline Toupin Agente de développement et des communications 13 octobre 2009 Réf. : 1666_200910/MO/jc (514) 282-0333 1-800-474-9493 www.observateur.qc.ca
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION...1 NATURE JURIDIQUE ET CONDITIONS DE FORMATION DU CONTRAT DE COURTAGE IMMOBILIER... 5
TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION.......................................1 PARTIE I- NATURE JURIDIQUE ET CONDITIONS DE FORMATION DU CONTRAT DE COURTAGE IMMOBILIER................. 5 CHAPITRE I- NATURE JURIDIQUE
Plus en détailIntérêt des membres de la GMMQ, l APASQ, l ARRQ et la SPACQ à adhérer aux projets de régime de retraite et d assurance collective
Intérêt des membres de la GMMQ, l, l et la à adhérer aux projets de régime de retraite et d assurance collective Dossier 77122-013 Février 2007 580, Grande-Allée Est, bureau 580, Québec, Québec G1R 2K2
Plus en détailVoici la plus récente édition de notre bulletin fiscal. Nous vous proposerons des idées de planification et un suivi de l actualité fiscale.
Voici la plus récente édition de notre bulletin fiscal. Nous vous proposerons des idées de planification et un suivi de l actualité fiscale. 1) Régime d imposition du gain en capital Régime d imposition
Plus en détailPour une stratégie de produits dérivés : compte rendu de la recherche effectuée par la SMQ
Pour une stratégie de produits dérivés : compte rendu de la recherche effectuée par la SMQ Katy Tari, Orange Kiwi Chargée de projet 1. Mise en contexte La Société des musées québécois (SMQ) s intéresse
Plus en détailRENOUVELER ET RENÉGOCIER VOTRE PRÊT HYPOTHÉCAIRE
SÉRIE L ABC DES PRÊTS HYPOTHÉCAIRES RENOUVELER ET RENÉGOCIER VOTRE PRÊT HYPOTHÉCAIRE Comment prendre de bonnes décisions en matière d hypothèques TABLE DES MATIÈRES Aperçu 1 Le processus de renouvellement
Plus en détailEndettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise
Endettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise Le maintien de très faibles taux d intérêt depuis la dernière récession incite les ménages canadiens à s endetter
Plus en détailOFFRE. Feuille de route en vue de l achat d une maison
OFFRE Feuille de route en vue de l achat d une maison Faire affaire avec un courtier ou agent immobilier Votre courtier ou agent peut vous aider à : Les courtiers et agents ont l expérience nécessaire
Plus en détailCOMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES
Cette traduction non officielle de la version anglaise du document original est fournie à titre d information seulement et n a pas de valeur juridique. ORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE
Plus en détail1. Les comptes de dépôt et d épargne
1. Les comptes de dépôt et d épargne 1.1 Les comptes de dépôt 1.1.1 Le taux de possession d un compte de dépôt Le premier constat est celui d un accès important aux comptes de dépôt, quelle que soit la
Plus en détailSONDAGE COMPARATIF SUR LA PERCEPTION DES QUÉBÉCOIS SUR LES HYDROCARBURES
www.som.ca MONTRÉAL 1180, rue Drummond Bureau 620 Montréal (Québec) H3G 2S1 T 514 878-9825 QUÉBEC 3340, rue de La Pérade 3 e étage Québec (Québec) G1X 2L7 T 418 687-8025 SONDAGE COMPARATIF SUR LA PERCEPTION
Plus en détailLes préoccupations des enseignants en 2014
Les préoccupations des enseignants en 204 Une profession en quête de valorisation Date Rapport rédigé par : Jean-Daniel Lévy, Directeur du Département Politique Opinion Magalie Gérard, Directrice de clientèle
Plus en détailenvironics research group
environics research group Sommaire Sondage en ligne sur les perceptions du public concernant le développement de carrière et le milieu de travail Janvier 2011 Préparé pour : Parrainé en partie par : 33,
Plus en détailRapport sur l application de la Loi sur le courtage immobilier MAI 2015
Rapport sur l application de la Loi sur le courtage immobilier MAI 2015 Rapport sur l application de la Loi sur le courtage immobilier mai 2015 Ce document est imprimé sur du papier entièrement recyclé,
Plus en détailMédicaments génériques : un choix gagnant-gagnant pour le Québec
Médicaments génériques : un choix gagnant-gagnant pour le Québec Présentation de : Pierre Fréchette, Président du Conseil, ACMG Daniel Charron, Ph. D, Vice-président, Recherche et planification, Octane
Plus en détailBaromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay
Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay Edition 2012 Toute publication, même partielle de cette étude, est soumise à autorisation de la part d APRIL Courtage Contactez Nathalie RAVET nravet@april.fr
Plus en détailSondage 2010 des ACVM sur la retraite et les placements
Sondage 2010 des ACVM sur la retraite et les placements Réalisé pour les Autorités canadiennes en valeurs mobilières Résumé le 28 septembre 2010 www.ipsos.ca TABLE DES MATIÈRES RÉSUMÉ... 1 Principales
Plus en détailModule 5 - L épargne Document 5-7
Document 5-7 Outils d épargne (notions détaillées) Compte d épargne à intérêt élevé Il s agit d un type de compte de dépôt, sur lequel la banque vous verse un intérêt. Ce taux d intérêt, qui est variable,
Plus en détailBilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE
Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Le Sommaire constitue un abrégé du document intitulé Bilan de l an I de Solidarité jeunesse : Rapport du Comité aviseur de Solidarité
Plus en détailFinancement Hypothécaire. Financementhypothecaire.ch. Votre propre logement. Le prix du rêve. Constituer vos fonds propres.
Edition 2010 Financementhypothecaire.ch Votre propre logement Vous avez trouvé le logement de vos rêves? Ou peut- être ne songez- vous que depuis peu à devenir propriétaire? Cette brochure vous aidera
Plus en détailGuides de Tangerine sur les finances personnelles. Prise de possession. Points à considérer lors de l achat d une première propriété
Guides de Tangerine sur les finances personnelles Prise de possession Points à considérer lors de l achat d une première propriété «Les acheteurs sont souvent surpris d apprendre que les maisons neuves
Plus en détailGenworth Financial Canada Résultats des indices de l état financier
Genworth Financial Canada Résultats des indices de l état financier UNE PRÉSENTATION DES RÉSULTATS DE LA RECHERCHE QUANTITATIVE Juillet 2010 Contexte et méthodologiem Méthodologie Un total de 2 001 entrevues
Plus en détailInfoMaison No. 45 LES 12 SITUATIONS VULNÉRABLES DE TOUS LES VENDEURS
InfoMaison No. 45 Est un dossier préparé pour Info-Immobilier-Rive-Nord (IIRN) à l intention de toutes les personnes intéressées par l immobilier et l immobilier résidentiel de la Rive-Nord du Grand Montréal
Plus en détailLes médias en quelques statistiques
Les médias en quelques statistiques Daniel Giroux Secrétaire général, Centre d études sur les médias, Université Laval Avec la collaboration de Sébastien Charlton Le fait que les Québécois passent de plus
Plus en détailÉtude nationale sur les besoins des clients
Étude nationale sur les besoins des clients Rapport sommaire Canadian Legal Information Institute Institut canadien d information juridique Octobre 2012 CorbinPartners Inc. 2012 Contexte et méthodologie
Plus en détailLes Américains, les Britanniques et les Canadiens ont une position sévère envers la criminalité
Page 1 de 6 CRIME ET CHÂTIMENT Les Américains, les Britanniques et les Canadiens ont une position sévère envers la criminalité Les répondants du Québec sont plus enclins que tous les autres répondants
Plus en détailLe processus d achat résidentiel
Ce guide a été produit grâce à la généreuse contribution de l Alberta Real Estate Foundation Le processus d achat résidentiel Cette brochure vous aidera à comprendre le processus d achat immobilier résidentiel.
Plus en détailOBSERVATOIRE DU REGROUPEMENT DE CREDITS - Sondage PollingVox pour Bourse des Crédits -
OBSERVATOIRE DU REGROUPEMENT DE CREDITS - Sondage PollingVox pour Bourse des Crédits - PollingVox 67, rue Saint-Jacques 75005 Paris pollingvox.com SOMMAIRE Note technique... 3 Synthèse des résultats...
Plus en détailENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.
Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale
Plus en détailC11 : Principes et pratique de l assurance
Spécimen de questionnaire d examen C11 : Principes et pratique de l assurance IMPORTANT : Vous disposez de 3 heures pour passer cet examen. Total : 200 points Lorsque vous quittez la salle d examen, vous
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION...1 NATURE JURIDIQUE ET CONDITIONS DE FORMATION DU CONTRAT DE COURTAGE IMMOBILIER... 5
TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION.......................................1 PARTIE I- NATURE JURIDIQUE ET CONDITIONS DE FORMATION DU CONTRAT DE COURTAGE IMMOBILIER................. 5 CHAPITRE I- NATURE JURIDIQUE
Plus en détailChapitre trois : Etude Empirique CHAPITRE TROIS ETUDE EMPIRIQUE Section I : Méthodologie de l étude 100 Section II : Analyse des résultats de recherche.. 106 99 Chapitre trois : Etude Empirique 100 Après
Plus en détailPOINTS DE VUE DES CANADIENS SUR LA COUVERTURE DES MÉDICAMENTS D ORDONNANCE
www.ekos.com POINTS DE VUE DES CANADIENS SUR LA COUVERTURE DES MÉDICAMENTS D ORDONNANCE [Ottawa 22 mai 2013] Selon un nouveau sondage commandé par la Coalition canadienne de la santé (CCS) et la Fédération
Plus en détailLa migration des jeunes au Québec. Résultats d un sondage auprès des anglophones de 20-34 ans. Marie-Odile MAGNAN, Madeleine GAUTHIER et Serge CÔTÉ
La migration des jeunes au Québec. Résultats d un sondage auprès des anglophones de 20-34 ans Marie-Odile MAGNAN, Madeleine GAUTHIER et Serge CÔTÉ La migration des jeunes au Québec. Résultats d un sondage
Plus en détailRenouveler et renégocier votre prêt hypothécaire
Série L ABC des prêts hypothécaires Renouveler et renégocier votre prêt hypothécaire Comment prendre de bonnes décisions en matière d hypothèques Table des matières Aperçu 1 Le processus de renouvellement
Plus en détailCoût des opérations bancaires
Bureau de la consommation Coût des opérations bancaires Coût des opérations bancaires On peut obtenir cette publication sur demande en médias substituts. Communiquer avec le Centre de diffusion de l information
Plus en détailComité spécial sur les cotisations professionnelles. Étude
Comité spécial sur les cotisations professionnelles Étude La cotisation professionnelle exigée par le Barreau du Québec à l endroit de ses membres qui suspendent l exercice de leur profession pour compléter
Plus en détailDate de diffusion publique : 4 septembre, 2012
En règle générale, les Canadiens sont confiants de pouvoir reconnaître les signes d une urgence médicale, mais ils sont moins certains d avoir les compétences nécessaires pour intervenir. Quatre Canadiens
Plus en détailTableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES
Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres
Plus en détailGraphique 3 Le marché des copropriétés existantes est nettement excédentaire
9 janvier 1 Cycle de l immobilier résidentiel au Québec : bien différent de celui du Canada L an dernier, le marché de l habitation au pays a continué de défier à la hausse les pronostics tant au niveau
Plus en détailÉtude sur les dépenses des étudiants universitaires
Rapport final Étude sur les dépenses des étudiants universitaires Projet 13574-010 Décembre 2010 507, place d Armes, bureau 700 Montréal (Québec) H2Y 2W8 Téléphone : 514-982-2464 Télécopieur : 514-987-1960
Plus en détailDocuments requis et instructions pour l inscription
Documents requis et instructions pour l inscription Dans un premier temps, le Collège d enseignement en immobilier inscrit tous les étudiants au Programme et, par la suite, au(x) cours Compléter et signer
Plus en détailL Enseignement religieux au Luxembourg. Sondage TNS-ILRES Juillet 08 N 11
L Enseignement religieux au Luxembourg Sondage TNS-ILRES Juillet 08 11 5 av. Marie Thérèse L-2132 Luxembourg tél.: 44743-501 sesopi-ci@sesopi-ci.lu www.sesopi-ci.lu 978-2-9599806-3-3 Documentation Etude
Plus en détailFORMULAIRE DE DÉCLARATION DE PATRIMOINE
FORMULAIRE DE DÉCLARATION DE PATRIMOINE TYPE DE DÉCLARATION: Entrée en Fonction Référence : Loi du 20 Février 2008 et Moniteur No. 17 Sortie de Fonction Titre de la Fonction Date de la déclaration../ /.
Plus en détailS informer sur. Les obligations
S informer sur Les obligations Octobre 2012 Autorité des marchés financiers Les obligations Sommaire Qu est-ce qu une obligation? 03 Quel est le rendement? 04 Quels sont les risques? 05 Quels sont les
Plus en détailPlan de la présentation
Évaluation de la Grille d identification des risques psychosociaux en entreprise : l importance des déterminants individuels et organisationnelles. Michel Vézina Carole Chénard JASP 27 novembre 2013 Plan
Plus en détailOBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE
OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE Edition 2013 Perception du risque et comportement d investissement (point 5) 16 octobre 2013 Pourquoi un Observatoire UFF/IFOP de la clientèle patrimoniale?
Plus en détailLEVET COMMUNE DE LEVET
LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte
Plus en détailSondage Politique provinciale Campagne électorale 2014. Rapport étude quantitative. 15 mars 2014
Sondage Politique provinciale Campagne électorale 2014 Rapport étude quantitative 15 mars 2014 Méthodologie MÉTHODOLOGIE SONDAGE INTERNET Un sondage Internet réalisé auprès du grand public dans l ensemble
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique. Les Français, leur épargne et leur retraite
CECOP Centre d études et de connaissances sur l opinion publique Les Français, leur épargne et leur retraite FD/EP N 113015 Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Esteban Pratviel Département Opinion et Stratégies
Plus en détailCourtage immobilier résidentiel - EEC.1Y
Attestation d études collégiales Courtage immobilier résidentiel - EEC.1Y Le programme d attestation d études collégiales (AEC) Courtage immobilier résidentiel est d une durée de 570 heures L'objectif
Plus en détailLES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE
Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»
Plus en détailSONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ
SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ RÉSULTATS DE L ÉTÉ 2008 JUMELÉS À CEUX DE L HIVER 2008 RAPPORT VERSION FINALE Daniel
Plus en détailSondage d opinion sur les livres, les longs métrages, les périodiques canadiens et les œuvres musicales
Sondage d opinion sur les livres, les longs métrages, les périodiques canadiens et les œuvres musicales Sommaire exécutif Préparé pour le ministère du Patrimoine canadien 4 septembre 2012 Date d attribution
Plus en détailENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002
GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60
Plus en détailSondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise
Sondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise Un sondage exclusif mené par l Ins6tut Think pour 29/01/13 - Sondage «Les Français & l esprit d entreprise» mené par l Institut Think pour l APCE
Plus en détailCMC MARKETS UK PLC CMC MARKETS CANADA INC. Document d information sur la relation. Decembre 2014
CMC MARKETS UK PLC et CMC MARKETS CANADA INC. Document d information sur la relation Decembre 2014 Société immatriculée en Angleterre sous le numéro 02448409 Société autorisée et réglementée par la Financial
Plus en détailComment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel???
Comment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel??? GENERALI : Un acteur engagé et responsable FFSA 26/01/2010 " Le secteur de l assurance est concerné par tous les sujets
Plus en détailInformation et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires
Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires Le Conseil canadien des autorités de réglementation des courtiers hypothécaires (CCARCH)
Plus en détailSONDAGE OMNIBUS TÉLÉPHONIQUE - OPINION AU SUJET DU PROJET ÉNERGIE EST -
MONTRÉAL 1180, rue Drummond Bureau 620 Montréal (Québec) H3G 2S1 T 514 878-9825 QUÉBEC 3340, rue de La Pérade 3 e étage Québec (Québec) G1X 2L7 T 418 687-8025 SONDAGE OMNIBUS TÉLÉPHONIQUE - OPINION AU
Plus en détailLes principaux crédits et les pièges à éviter
Chapitre 1 Les principaux crédits et les pièges à éviter 1. Le crédit revolving Le crédit revolving (ou crédit permanent) est souvent vendu comme une réserve d argent permettant de financer des envies
Plus en détailBilan de référencement
www.hotel-gran-carlina.com 355, avenue Georges-Claude Pôle d Activités d Aix-en-Provence CS 70383 13799 Aix-en-Provence Cedex 3 www.eliophot.com 1 TABLE DES MATIERES TABLE DES MATIERES... 1 RESUME... 2
Plus en détailRenforcez votre entreprise grâce à l expertise d Applied
: : A P P L I E D S U P P O R T : : Renforcez votre entreprise grâce à l expertise d Applied Maximisez votre investissement technologique LE SUCCÈS DE VOTRE ENTREPRISE DÉPEND DE LA PERFORMANCE DE VOS CAPACITÉS
Plus en détail1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?
Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence
Plus en détailOSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE
OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011 BERTRAND ROZE COMMUNITY MANAGER OSEO EXCELLENCE Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE Antoine COULOMBEAUX
Plus en détailComprendre les frais sur remboursement anticipé
Comprendre les frais sur remboursement anticipé Pour choisir un type d hypothèque, vous devez tenir compte de nombreux facteurs. Voulez-vous une hypothèque à court ou à long terme? À taux fixe ou variable?
Plus en détailLes critères de segmentation Critères Variables retenues Description Exemple Pays, région, ville, Chauffage,
SYNTHÈSE DU CHAPITRE 11 : LA SEGMENTATION DE LA DEMANDE. La segmentation. La segmentation de la demande consiste à définir des groupes de clients (des segments de clientèle) ayant des comportements homogènes
Plus en détailL A P U B L I C I T E L O B L I G A T I O N D U B A I L E C R I T
I. L A P U B L I C I T E A partir du 18 mai 2007, toute communication (affichettes, annonces dans les journaux ou sur internet, ) relative à la mise en location de tout logement (résidence principale,
Plus en détailTable des matières. Remerciements... 25 Avant-propos... 27 Introduction... 31 La vie en copropriété, est-ce pour moi?... 31. Achat d un condo...
Table des matières Remerciements... 25 Avant-propos... 27 Introduction... 31 La vie en copropriété, est-ce pour moi?... 31 partie I Achat d un condo... 35 1. J amorce ma réflexion sur l achat d un condo,
Plus en détailRÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ
RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée
Plus en détail