Protection contre les érosions du du lit lit
|
|
- Ariane Nicole Baril
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Diverses possibilités Protection contre les érosions du du lit lit Augmentation de la résistance du lit lit artificiel (canal bétonné) pavage du lit par des blocs en pierre (couche de pavage artificiel) renforcer le lit par de gros blocs (rocher ou éléments en béton) Réduction de la pente du lit fixation du lit par des traversées (seuils en bois, pierres de taille, béton) fixation du lit par des rampes de blocs changement du tracé du cours d'eau (prolongement du talweg par des méandres, etc.)
2 Protection contre les érosions du du lit lit Diverses possibilités (suite) Elargissement du lit élargissement sur longues distances élargissement local dérivation partielle du cours d'eau dans un lit secondaire Intervention sur le transport solide renversement du gravier dans le cours d'eau (localement à l'amont du tronçon érodé)
3 Stabilisation des lits lits contre l'érosion Fixation du lit par des ouvrages transversaux: a) seuil; b) coursier bétonné; c) rampe de blocs; d) rampe de blocs à grande rugosité e) coursier avec pavage artificiel; f) seuils en bois
4 Stabilisation des lits lits contre l'érosion Fixation du lit par des ouvrages transversaux: g) seuil de fixation en blocs, h) seuil de fixation en bois; i) traversée; k) seuil en bois avec refuge pour poissons
5 Rampes en en blocs Types et et concept Type et matériaux rampes fixes en béton (revêtues de pierres en taille) rampes fixes en blocs de rocher placés dans une couche de béton rampes mobiles en gros blocs posées en espaces réguliers rampes mobiles en gros blocs posées en espaces irréguliers (en remblai) Rugosité de surface très lisse assez rugueux rugueux très rugueux
6
7
8
9 Fonctionnement hydraulique des des rampes en en blocs h cr Rampe dénoyée construite en blocs Lit normal Ligne d'énergie Lit pendant la crue Rampe noyée construite en blocs Conditions d'écoulement sur une rampe lisse et une rampe rugueuse. Influence de la rugosité sur l'affouillement au pied.
10 Dimensionnement des rampes en en blocs Processus lors de la destruction l'érosion directe des blocs, c'est-à-dire l'instabilité des blocs particuliers due aux forces d'écoulement (renversement, glissement et transport par l'écoulement) l'érosion indirecte de la rampe par lavage des matériaux du lit situé au-dessous se fait à travers les joints entre les blocs l'affouillement du pied stabilisant de la rampe
11 Erosion directe de de la la rampe par l'instabilité des blocs particuliers Critère empirique selon Whittaker, Jäggi (1986): q g ( s 1) D 3 65 = /6 J avec q : débit par mètre de largeur sur la rampe [m 3 /s] s : densité des blocs par rapport à l'eau D : diamètre des blocs [m] J : pente de la ligne d'énergie sur la rampe (en cas d'un enrochement uniforme égal à la pente du lit)
12 Erosion indirecte de de la la rampe par lavage de de la la fondation Modes de rupture possibles D/d m > 17: affaissement des blocs dans le lit mobile de la fondation D/d m < 6 : gros blocs glissent sur la fondation à cause de leur exposition importante Equation empirique pour D/d m > 10 selon Whittaker, Jäggi (1986) s 1 β d65 q = g ρ s D J D avec q : débit unitaire sur la rampe [m 3 /sm] J : pente de la ligne d'énergie sur la rampe D : diamètre équivalent d'une sphère ayant le poids des blocs moyens [m] d 65 : diamètre caractéristique des matériaux du lit de la fondation de la rampe [m] β : densité de pose des blocs en t/m 2 ρ s : densité des matériaux solides (blocs, lit) [t/m 3 ]
13 Affouillement du du pied de de la la rampe Empêcher l'affouillement du pied de la rampe par l'aménagement d'une surface rugueuse sur la rampe Estimation de l'affouillement au pied avec l'équation Tschopp- Bisaz (1972) S = 0.85 q v d90 avec S : q : v : d 90 : profondeur de l'affouillement au-dessous du niveau d'eau [m] débit unitaire sur la rampe [m 3 /sm] vitesse d'écoulement au pied de la rampe [m/s] diamètre caractéristique des matériaux du lit [m]
14 Lit construit Affouillement Tapis en blocs Mesures constructives contre l'affouillement du du pied des rampes en en blocs Niveau d'étiage NW Prolongation de la rampe jusqu'à la profondeur maximale de l'affouillement Stabilisation du pied avec des rails de chemin de fer ou des pieux (selon Jäggi 1999/2000).
15 Disposition d'une rampe incurvée en en plan Afouillement
16 Aménagements Stabilisation de cours d eau des lits lits par un un lit lit artificiel
17
18 Couche de de pavage artificiel
19
20 Théorie du du charriage --début du du mouvement 1 Sous-couche du lit (charriage permanent) Hauteur d'eau h cr pour laquelle le début du mouvement se produit: hcr = θcr (s -1) J d mus J : pente de frottement. θ cr : contrainte de cisaillement critique adimensionnelle θ cr > charriage bien développé. θ cr = pas de charriage régulier. θ cr < 0.03 aucun mouvement. d mus : diamètre moyen des grains de la sous-couche. s : densité spécifique s = ρ s / ρ Pavage du lit Hauteur d'eau h cr pour laquelle le pavage du lit est détruit. a) avec d mds = d 90 US h cr = θ cr b) selon Günter θcr (s 1)d h cr = J (0.4% < J < 2%) (s 1) J mds d d d mds mus 90 US 0.67 (granulométrie du pavage connue)
21 Contrainte de cisaillement adimensionnelle Le Le début du du charriage Diagramme de Shields (par définition) θ = ρ g τ ( s 1)d h<<b θ = h J ( s 1 )d θ θ = θ cr h : hauteur d eau J : pente de frottement d : diamètre des grains ρ s : s = ρ Diamètre adimensionel d * = d 50 ρ s ρ ρ g υ 2 1 / 3
22 Stabilisation des lits lits par des gros blocs
23
24 Aménagements Renforcement de cours d eau du du lit lit avec des gros blocs
25
26 Renforcement du du lit lit avec des gros blocs
27 Calcul hydraulique en en considérant de de gros blocs résistance hydraulique des matériaux de base du lit (sans gros blocs) c s = Vm 12R = 2. 5In ' V ks * s R s : rayon hydraulique de l'écoulement sur le lit k s : élément de rugosité déterminant des matériaux de base du lit k s = 1.5 d md d md : diamètre moyen de la couche de pavage des matériaux de base (d md d 90 )
28 Calcul hydraulique en en considérant de de gros blocs résistance hydraulique des blocs résiduels c b k b : V = m 12R = 2. 5In s ' V* kb élément de rugosité déterminant des blocs résiduels k b h = a D D D: diamètre équivalent du bloc résiduel a: concentration adimensionnelle de surface des blocs résiduels n D 2 n = concentration de surface des blocs résiduels [m 2 ]
29 Calcul hydraulique en en considérant de de gros blocs résistance totale du lit = c c s c b vitesse moyenne d'écoulement (loi de Chézy) V m = c calcul de la pente réduite du lit J' ' et ainsi V c = m ' V g R s V* = g Rs J' s = * c J' = J c s c 2 g R g R s J s J J'
30 Calcul hydraulique en en considérant de de gros blocs Contrainte adimensionnelle agissant sur les matériaux de base du lit d m : θ = Rs J' (s 1)d m diamètre moyen de la sous-couche des matériaux de base du lit (sans blocs résiduels)
31 Calcul hydraulique en en considérant de de gros blocs Résistance des matériaux de base selon Günter (1971) θ cd d = θc d md m 2 / 3 θ c : d md : coefficient de Shields pour un lit comparable composé de grains unitaires (θ c = 0.05) diamètre moyen de la couche de pavage des matériaux de base (d md d 90 ) Condition limite pour l'érosion de la couche de pavage θ > θ cd
32
33
34
35
36
37
38
39
40 Stabilisation des lits lits des des rives par des blocs artificiel q * = q g(s 1)V q * = 0.4 J -1/3 selon Bezzola, 2005 V nˇ c = 6.25q 2 J 2/3 g(s 1)
41 Renforcement des lits lits par des seuils
42
43 Buts Buts et et inconvénients des seuils Stabiliser le lit des rivières à forte pente Diminuer la pente du lit pour obtenir la pente d'équilibre Fonctionnement Comme déversoirs dénoyés pour les débits égaux ou inférieurs au débit de dimensionnement Inconvénients Obstacle à la libre migration de poissons; Fondation profonde pour garantir la stabilité des affouillements au pied; Réalisation difficile en présence de l'eau (dérivation coûteuse du cours d'eau pendant la construction).
44 Dimensionnement et et emplacement des seuils J Z S J L h J 0 3/2 Ecoulement sur les seuils Q = Cd b 2g H avec le coefficient de débit C d = pour un seuil large Alluvionnement du lit par les seuils: Hauteur nécessaire du seuil: avec d'environ 0.5 à 1.0 m z Distance maximale entre les seuils: h = ( J J) L 0 s h+ z ( J J ) L+ z L max 0 cr s z h = J J J J 0 cr 0 cr
45 Estimation de de l'affouillement au au pied des seuils granulométrie grossière du lit (Kotoulas, 1973) S granulométrie fine du lit (Tschopp/Bisaz, 1972) S = 2.76 q H 7.22 d 90 = 0.78 H q 0.4 d avec S : profondeur de l'affouillement au-dessous du niveau d'eau à l'aval du seuil q : débit spécifique sur le seuil (= Q/b) H : différence entre les charges amont et aval du seuil d 90 : diamètre caractéristique des grains du lit
46 Traversées Utilisation et et fonctionnement ouvrages transversaux ou seuils à faible hauteur, espacés étroitement, pour la stabilisation du lit conditions d'écoulement sur les traversées a) petits débits avec écoulement critique sur les traversées (déversoir dénoyé), comportement similaire aux seuils b) écoulement avec surface ondulée, l'affouillement que se produit est analogique aux dunes ou anti-dunes c) écoulement fortement torrentiel avec une forte érosion à l'amont des traversées
47 Dimensionnement des traversées calcul non explicite avec l'hypothèse sur la pente réduite J', le rayon hydraulique Rb, le niveau du lit pour h m il en résulte: ymax Rb = Rb, red + 2 y max est inconnu et doit donc être estimé au début du calcul. Puis, avec une loi de vitesse connue (Strickler ou Keulegan) on obtient Le calcul des pertes de forme selon Bordat-Carnot donne: avec L comme distance entre les traversées. avec la condition J = J' + J'' la valeur y max peut donc être trouvée par itération v = f( R, J') m b 2 2 V m ymax 1 J '' = 2g + Rbred, ymax L
48 Dimensionnement des traversées Affouillement maximal sans apport de charriage avec y 1.25 q J L = ( s 1) g d max L : distance entre les traversées q : débit spécifique 10 < L/ d < Cette équation est valable pour et q 1.39 (q B : débit solide spécifique) B q* = < ρ q s
49 Dimensionnement des traversées Affouillement avec apport de charriage L ymax = y0 max J q* d90 qb avec q* = ρ q s 0.12 Sécurité contre le changement du régime ymax < 0.2 L Profondeur maximale d'eau z 0.88 q 1 = 0.9 ( s 1) g d L J max
50 Types de de traversées
51 Types de de traversées
52 Traversée en en bois avec refuge pour poissons refuge pour poissons
53 Kl. Kl. Schliere, Alpnach
54 Aménagements de cours Unwetter d eau August 2005 Kl. Kl. Schliere, Alpnach QuickTime et un décompresseur Animation JPEG OpenDML sont requis pour visionner cette image.
55 Diverses possibilités Protection contre les érosions Augmentation de la résistance du lit lit artificiel (canal bétonné) pavage du lit par des blocs en pierre (couche de pavage artificiel) renforcer le lit par de gros blocs (rocher ou éléments en béton) Réduction de la pente du lit fixation du lit par des traversées (seuils en bois, pierres de taille, béton) fixation du lit par des rampes de blocs changement du tracé du cours d'eau (prolongement du talweg par des méandres, etc.)
56 Protection contre les érosions Diverses possibilités (suite) Elargissement du lit élargissement sur longues distances élargissement local dérivation partielle du cours d'eau dans un lit secondaire Intervention sur le transport solide renversement du gravier dans le cours d'eau (localement à l'amont du tronçon érodé)
Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014
Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailmesure des débits et des volumes dérivés par les canaux gravitaires
mesures limnimétriques 2009 Depuis la loi sur l Eau de 1992, précisée par celle de 2006, tous les volumes d eau prélevés dans le milieu naturel doivent être mesurés, et ce, pour permettre une meilleure
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détailLe Haut Ellé. Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët. Département 56
Le Haut Ellé Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët Département 56 Présentation L'Ellé regroupe tous les niveaux techniques, ainsi l'ellé peut être divisée en trois tronçons
Plus en détailCOMMUNE DE GORGIER. Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs, 1. Préambule
COMMUNE DE GORGIER RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GENERAL CONCERNANT LA DEMANDE DE CREDIT DE Fr. 32'700.- POUR LE REMPLACEMENT D'UN COLLECTEUR D'EAUX USEES AU CHEMIN DE LA PAYAZ Madame la Présidente,
Plus en détailChapitre 1 AIDE MÉMOIRE D HYDRAULIQUE À SURFACE LIBRE
Chapitre AIDE MÉMOIRE D YDRAULIQUE À SURFACE LIBRE - DÉFINITIONS ESSENTIELLES : LES PARAMÈTRES GÉOMÉTRIQUES... 8 - DÉFINITIONS ESSENTIELLES : LES PARAMÈTRES YDRAULIQUES... 9. - Masse volumique... 9. -
Plus en détailCOMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?
COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche
Plus en détailDIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR
COMMUNE DE LA VALLA EN GIER Le Bourg 42131 La Valla-en-Gier DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR Rapport de Phase III Juin 2012 ICA ENVIRONNEMENT 6 Rue Emile Noirot - 42300
Plus en détailCommune de la Tène Viabilisation de la zone du casino
Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailLes Cheminements piétons
Les Cheminements piétons 2 Les cheminements Le cheminement usuel doit être le plus court possible. Il lie entre eux tous les maillons de la vie sociale. Domicile Services publics Écoles Transports Travail
Plus en détailCULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases
CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h Conf 1 : WIFI, les bases 1) Principes de fonctionnement (antennes, fréquences, emetteurs/recepteurs, point d'accés) a) Les grandes classes de fréquences HF, 300 Khz
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE
1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détailMunicipalité de la Commune d'arzier - Le Muids. Préavis No 15/2013 Au Conseil communal
Municipalité de la Commune d'arzier - Le Muids Préavis No 15/2013 Au Conseil communal Demande de crédit de CHF 371'500. concernant la mise en séparatif de la partie inférieure du chemin Prés-du-Marguiller
Plus en détailPrincipe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds
Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds CAPENA GmbH - PISCINES - Gruber Strasse 6-85551 KIRCHHEIM Allemagne
Plus en détailGamme des produits. www.boecker-group.com
Gamme des produits www.boecker-group.com Viser haut en toute sécurité Treuil de chantier Baby Le petit assistant de chantier. Indispensable dans toute caisse à outils. Pour le levage de charges de tous
Plus en détailLe maçon à son poste de travail
Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailRAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES. Ecole de MIRANGO I
RAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES Ecole de MIRANGO I Vincent DAVID Le 21 décembre 2010 Table des matières 1- Les outils d accessibilité principalement utilisés 1-1 Les rampes d accès
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailRègles et prescriptions à respecter pour les permis de construire
Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones
Plus en détailOutil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux -
Outil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux - 17 septembre 2014 (mis à jour le 31 octobre 2014) Afin d avoir une idée du niveau d accessibilité de son cabinet et des principales
Plus en détailCommune X. Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007
Commune X Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007 Centre d'études Techniques de l'équipement Méditerranée Les cheminements
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailCalcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation
Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et
Plus en détailP. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009
à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution
Plus en détailPDS (Plaque de Distance de Sécurité)
PDS (Plaque de Distance de Sécurité) La plaque de distance de sécurité est prévue pour respecter la distance règlementaire entre le conduit et son environnement direct. Elle peut être utilisée pour toutes
Plus en détailR A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique
Commune de Peseux Conseil communal R A P P O R T du Conseil communal au Conseil général relatif à une demande de crédit de CHF 1'910'000.- pour la rénovation des conduites d'eau, de gaz, d'électricité,
Plus en détailETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES
ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES P.E. LOISEL, J. SCHAGUENE, O. BERTRAND, C. GUILBAUD ARTELIA EAU ET ENVIRONNEMENT Symposium du CFBR
Plus en détailAPPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.
APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins
Plus en détailSystème de gaine DICTATOR
Système de gaine DICTATOR Le système de gaine modulaire pour le rattrapage Approuvé selon EN 1090 Un ascenseur devient de plus en plus important pour la vie quotidienne, non seulement dans les bâtiments
Plus en détailSECURITE INCENDIE. prévention des incendies et de la panique
prévention des incendies et de la panique E n tant qu établissement recevant du public, un musée est soumis dès sa conception aux obligations réglementaires en matière de prévention des incendies et de
Plus en détailDirection des Services Techniques. Phase I : DIAGNOSTIC. de type «R, X, L» : Ile Fanac
Direction des Services Techniques Phase I : DIAGNOSTIC de type «R, X, L» : Ile Fanac Commission Communale d Accessibilité pour les Personnes Handicapées (CCAPH) Réunion n 4 du 13 février 2008 1 ère partie
Plus en détailFORMULAIRE FORMULAIRE
Ce fascicule constitue un extrait du formulaire PONT-A-MOUSSON dont la version complète est éditée aux Editions Lavoisier-TEC & DOC, 11, rue Lavoisier - F-75381 PARIS CEDEX 08 1989 Ce fascicule constitue
Plus en détailLa méthanisation des matières organiques
Direction Départementale des Territoires de l Orne Service Aménagement et Environnement Bureau Aménagement du Territoire La méthanisation des matières organiques Fiche n 2 bis Informations sur l injection
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailVILLE DE FEYZIN ( Rhône ) Réfection d'un réseau d'évacuation d'eau usée. Place René LESCOT
VILLE DE FEYZIN ( Rhône ) MAITRE D'OUVRAGE VILLE DE FEYZIN Réfection d'un réseau d'évacuation d'eau usée Place René LESCOT CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUE PARTICULIERES (C.C.T.P) SOMMAIRE 1 OBJET DU MARCHE...3
Plus en détailNOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP
Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP 1 1 Quel classement pour les ERP? Le classement
Plus en détailAccessibilité des personnes handicapées dans les ERP
Accessibilité des personnes handicapées dans les ERP 09-2011 http://www.ville-libourne.fr La loi du 11 février 2005 dite "Loi Handicap" vise à susciter un nouvel élan dans la prise en compte de l'insertion
Plus en détailPrescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs
Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE
Plus en détailSéparateurs d huile/eau
Les Systèmes Customeng, Conception, R&D et manufacturier d équipements spécialisés 10717 Rue Waverly, Montréal, Québec, H3L 2W7, T : 514331-5121, F : 514-331-5292 Séparateurs d huile/eau Préparé par: Gilles
Plus en détailAide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007
Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière
Plus en détailBLUBOX Système de récupération des eaux de pluie
BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.
Plus en détailLE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE
LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation
Plus en détailEau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER
Plus en détailFABRICATION FRANÇAISE ET NORMES PMR
Limiance Dimensions extérieures : 2206 X 1667 mm (habillage extérieur compris, hors prestation hva-concept) Largeur porte : 830 mm Surface utile : 2,95 m² Poids : 920 kg (+/- 5 %) Présentation avec finition
Plus en détailRéglementation ERP et IGH
PENSE Bête : Réglementation ERP et IGH Réalisé par Alexandre MOREAU 01.69.45.73.06 06.99.44.60.36 Mail : securiteincendie.idf@gmail.com Site : securiteincendie-idf.com A) DEFINITION : (R 123.2) 1 ) Définition
Plus en détailLogiciel pavages drainants mode d emploi
Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors
Plus en détailSystème de sécurité de périmètre INTREPID
TM Système de sécurité de périmètre INTREPID La nouvelle génération de systèmes de sécurité de périmètre MicroPoint Cable combine la technologie brevetée de Southwest Microwave, la puissance d un micro
Plus en détailLa Chapelle de la Ferme d Ithe
La Chapelle de la Ferme d Ithe Le Tremblay-sur-Mauldre / Jouars-Pontchartrain (78 Yvelines) Une dizaine de jeunes, âgés de 17 à 20 ans, ont inauguré, durant les deux dernières semaines de juillet, une
Plus en détailNOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES
NOUVELLES RÈGLES SOMMAIRES POUR LE STOCKAGE DES PRODUITS PÉTROLIERS Depuis septembre 2006, suivant le décret de Juillet 2004 STOCKAGE AU REZ-DE-CHAUSSEE OU EN SOUS-SOL D'UN BATIMENT Les réservoirs et équipements
Plus en détailInstallations de plomberie
Service de l urbanisme, des biens et de l aménagement Installations de plomberie Guide à l intention des propriétaires pour l interprétation des règlements municipaux de la ville de Winnipeg concernant
Plus en détailInstallations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)
Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie
Plus en détailRÈGLEMENT #2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L'ÉGOUT ET À L AQUEDUC
RÈGLEMENT #2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L'ÉGOUT ET À L AQUEDUC RÈGLEMENT NUMÉRO 2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L ÉGOUT ET À L AQUEDUC Type Règlement # Résolution # Date adoption Date d entrée
Plus en détailData loggers SOFREL LT/LT-US Solutions réseaux d eaux usées
Data loggers SOFREL LT/LT-US Solutions réseaux d eaux usées Les data loggers SOFREL LT et LT-US ont été conçus pour la surveillance des réseaux d eaux usées et pluviales (collecteurs, déversoirs d orage,
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailMISAPOR verre cellulaire
MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch
Plus en détailINSTRUCTIONS DE POSE ET D UTILISATION: Caniveaux à fente
INSTRUCTIONS DE POSE ET D UTILISATION: Caniveaux à fente 1. RÉSUMÉ DES CONSIGNES DE SÉCURITÉ a. TRANSPORT/ARRIMAGE DE LA CARGAISON Tous les transports de nos produits doivent se faire conformément à la
Plus en détailSCHEMATHEQUE 2004 Juin 2005
SCHEMATHEQUE 2004 Juin 2005 1 / 13 SOMMAIRE CLASSIFICATION DES APPAREILS 3 TUYAUTERIE 4 ACCESSOIRES ET ROBINETTERIE 5 APPAREILS DE SEPARATION 6 COLONNES ET REACTEURS 7 ECHANGEURS DE CHALEUR 8 MANUTENTION
Plus en détailRenaturation de l embouchure de la Broye
AquaVision Engineering Sàrl Constructions Hydrauliques pour un Développement Durable Chemin des Champs-Courbes 1 CH-1024 ECUBLENS Tel. +41 21 691 45 13 / Natel: +41 79 775 17 61 www.aquavision-eng.ch,
Plus en détailLa réglementation et les obligations qui en découlent
Accessibilité en milieu urbain La réglementation et les obligations qui en découlent Actualités : les BEV La norme Afnor NF P 98-351 relative aux caractéristiques et essais des dispositifs podotactiles
Plus en détailGénéralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS
Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................
Plus en détailnos solutions ouvrages
Défense de berges, défense côtière rivières, lacs, étangs l teracro p.63 l teranat p.77 Végétalisation Structure géo-alvéolaire : teracro Toiles naturelles teranat rétention végétalisation l rétention
Plus en détailVis à béton FBS et FSS
Vis à béton FBS et FSS Un montage rapide et de hautes performances. ETA-11/0093 ETAG 001-6 Usage multiple pour application non structurelle dans le béton Z-21.8-2015 ETA-11/0095 ETAG 001-3 Option 1 pour
Plus en détailParking. Les places accessibles devront être les plus proches de l entrée.
Parking Si vous avez un parking privé, 2% des places devront être accessibles : largeur minimum 3,30 m, place et devers de pente maxi 2%, signalétique horizontale et verticale. Les places accessibles devront
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détailLe K5 Premium Eco!ogic Home offre un fonctionnement eco-responsable et une palette d accessoires complète, incluant un kit d aspiration par exemple.
Produits K 5 Premium eco!ogic Home Le K5 Premium Eco!ogic Home offre un fonctionnement eco-responsable et une palette d accessoires complète, incluant un kit d aspiration par exemple. Equipement: Filtre
Plus en détailManuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques
Titre : TTLV100 - Choc thermique dans un tuyau avec condit[...] Date : 02/03/2010 Page : 1/10 Manuel de Validation Fascicule V4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Document : V4.25.100
Plus en détailNEOTECHA. Robinets à tournant sphérique - Modèles SNB et SNC
NEOTECHA Robinet à tournant sphérique en acier inoxydable revêtu de PFA avec dimension face à face courte et conception sphère / tige avec tourillon arbrée éprouvée pour une utilisation dans les industries
Plus en détailHEC-RAS River Analysis System
Université du Québec École de technologie supérieure Département de Génie de la construction HEC-RAS River Analysis System Guide de laboratoire : Exemple pour la rivière du Loup HEC-RAS Version 3.1.3 CTN-762
Plus en détailSystèmes d utilisation de l eau de pluie dans le bâtiment Règles et bonnes pratiques à l attention des installateurs
Systèmes d utilisation de l eau de pluie dans le bâtiment Règles et bonnes pratiques à l attention des installateurs Sommaire PARTIE 1 ASPECTS RÉGLEMENTAIRES ET FINANCIERS 4 1. 1. Aspects réglementaires
Plus en détailGuide de l Accessibilité des ERP
Guide de l Accessibilité des ERP Comment rendre votre établissement accessible aux handicapés et assurer la continuité de votre accueil du public pendant les travaux de mise aux normes. Sommaire 1. Introduction
Plus en détailDriving Down Costs* - Stockage grande densité
* Réduire les coûts Driving Down Costs* - Stockage grande densité www.toyota-forklifts.fr stronger together* Réduire les coûts de stockage grande densité La gestion optimale de l'espace de stockage constitue
Plus en détailErreur statique. Chapitre 6. 6.1 Définition
Chapitre 6 Erreur statique On considère ici le troisième paramètre de design, soit l erreur statique. L erreur statique est la différence entre l entrée et la sortie d un système lorsque t pour une entrée
Plus en détailProjet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer
ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...
Plus en détailMISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE
Les informations techniques PROMOTELEC MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE La sécurité des personnes contre un défaut d isolement survenant dans un matériel doit être assurée. En effet, un défaut
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailNouveau règlement Accessibilité Handicapés
Nouveau règlement Accessibilité Handicapés 1 Les principaux points à retenir en synthèse Prise en compte de tous les handicaps notamment physique, cognitif, mental ou psychique Exigences de performance
Plus en détailPROJET D INVERSION DE LA CANALISATION 9B ET D ACCROISSEMENT DE LA CAPACITÉ DE LA CANALISATION 9
Page 1 of 7 PROJET D INVERSION DE LA CANALISATION 9B ET D ACCROISSEMENT DE LA CAPACITÉ DE LA CANALISATION 9 RAPPORT SOMMAIRE DE L ANALYSE DES TRANSITOIRES SUR LE RÉSEAU PRINCIPAL Préparé par : Enbridge
Plus en détailFigure 3.1- Lancement du Gambit
3.1. Introduction Le logiciel Gambit est un mailleur 2D/3D; pré-processeur qui permet de mailler des domaines de géométrie d un problème de CFD (Computational Fluid Dynamics).Il génère des fichiers*.msh
Plus en détailOrganisme certificateur : 10 rue Galilée 77420 Champs sur Marne Tél : +33 (0)1 72.84.97.84 Fax : +33 (0)1 43 30 85 65 www.fcba.fr. www.marque-nf.
N d identification AFNOR Certification : NF 061 MQDQ-CERT 15-306 du 18/01/2015 N de Révision : 16 Date de mise en application : 04/03/2015 Annule et remplace le MQDQ-CERT /14-324 du 15/05/2014 REGLES GENERALES
Plus en détailLe câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV)
Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Évidemment, l emploi le plus fréquent de la fibre optique se trouve dans le domaine des télécommunications. Mais d autre part,
Plus en détailNOM équipement. Notice accessibilité pour les établissements recevant du public
NOM équipement Notice accessibilité pour les établissements recevant du public Textes de référence : Loi n 2005-102 du 11 février 2005 Décret n 2006-555 du 17 mai 2006 Arrêté du 1er Règles en vigueur considérées
Plus en détailMoyen acceptable de de conformité. Performances des freins d immobilisation SAM F 007
Document technique Matériel Moyen acceptable de de conformité SAM F 007 Applicable sur : RFN Edition du 04/07/2012 Version n 1 du 04/07/2012 Applicable à partir du : 04/07/2012 Remplace : IN 2851 (version
Plus en détailSérie M Echangeurs thermiques à plaques
. kypour le chauffage et le refroidissement de votre installation Série M Echangeurs thermiques à plaques Applications Les échangeurs thermiques à plaques d Alfa Laval peuvent être utilisés pour le chauffage
Plus en détailCe guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :
INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points
Plus en détailRecommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire
Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau
Plus en détailLes Produits MURPHCO Ltée
DESCRIPTION Les Produits MURPHCO Ltée Le drain de toit Murphco est constitué d'un tablier de cuivre plein et d'un manchon en cuivre rigide sans joint ni soudure verticale. Il se distingue par sa conception
Plus en détailFiche technique sur la stabilisation des rives
Fiche technique sur la stabilisation des rives L érosion est un phénomène naturel, qui participe à l équilibre dynamique des cours d eau. Il est par ailleurs souvent amplifié par les interventions humaines.
Plus en détailLes outils de la gestion patrimoniale Le logiciel «Casses»
Les outils de la gestion patrimoniale des réseaux r d eau. d Le logiciel «Casses» Eddy RENAUD Périgueux le 3 septembre 2008 L équipe «Réseaux» du Cemagref CEMAGREF Groupement de Bordeaux Unité «Réseaux,
Plus en détail