La déflation est-elle tapie dans l ombre de la désinflation? Perspectives inflationnistes sur les deux prochaines années
|
|
- Edgar Savard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 6 Perspectives
2 Update I/2014 La déflation est-elle tapie dans l ombre de la désinflation? Perspectives inflationnistes sur les deux prochaines années En Europe et aux États-Unis, l inflation recule depuis près de deux ans. Le taux annuel est resté en-deçà de 1 % au sein de la zone euro, de 2 % aux États-Unis et se situe autour de 2 % au Royaume-Uni. Dans certains pays de la périphérie de la zone euro (notamment en Grèce et à Chypre) les prix ont même baissé sur un an. Seul le Japon affiche une reprise de l inflation. AUTEUR : STEFAN HOFRICHTER Les investisseurs s inquiètent actuellement de savoir si l inflation continuera de décélérer en Europe et aux États-Unis, avec le risque que ces régions basculent dans la déflation. Dans les mois ou trimestres à venir, pourrions-nous assister à une baisse des prix non seulement dans certains pays de la zone euro, mais plus globalement à travers l Europe et les États-Unis? Une telle évolution aurait des retombées majeures sur les décisions d investissement. Le recul des prix implique une moindre flexibilité pour les entreprises, qui sont exposées au risque de pressions sur les marges et les profits. Durant des périodes de baisse des prix, les performances des marchés d actions sont généralement négatives, comme en témoigne l exemple du Japon. En outre, cela rendrait le poids réel de l endettement des entreprises, des ménages et des États plus lourd, rendant plus compliquée la problématique de la gestion de la dette. Afin d être en mesure d évaluer les perspectives inflationnistes, il convient dans un premier temps de comprendre les raisons qui expliquent le récent recul de l inflation à travers les pays développés. Selon nous, ces raisons sont de trois ordres : Les trois facteurs de l évolution des prix En premier lieu, les pays développés occidentaux sont actuellement confrontés à un environnement économique affecté par l effort de désendettement des entreprises, des ménages et des États. Il s agit d un processus de long terme qui se traduit généralement par une croissance économique durablement atone, et donc par une inflation limitée. Au sein de la zone euro, nous sommes au tout début de ce processus, qui est également loin d être terminé aux États-Unis et au Royaume-Uni. 7
3 PERSPECTIVES «Plus les pressions sur les devises émergentes sont fortes et plus les retombées sur les taux d inflation des pays développés se font sentir, tant en termes de demande agrégée que de baisse des prix des importations.» Selon nous, la croissance des pays développés devrait rester inférieure aux niveaux d avant-crise pendant encore plusieurs années. Cette tendance s explique principalement par l évolution durablement limitée des prix. La deuxième raison derrière la persistance des pressions désinflationnistes est étroitement liée à la première. En effet, les salariés du monde développé n ont que peu de marge de manœuvre en matière de négociation des salaires. Contrairement aux croyances populaires, l inflation précède généralement la hausse des salaires et non l inverse. En d autres termes, une hausse de l inflation n est pas incompatible avec un environnement de gel des salaires. Cependant, les taux d inflation ne peuvent se maintenir dans la durée que si les salaires finissent par opérer un mouvement de rattrapage, renforçant la demande, et, par voie de conséquence, la tendance inflationniste initiale. Or, un tel scénario nous semble difficile à imager dans l environnement actuel. Bien au contraire, les tendances actuelles sur le front de l évolution des salaires au sein des pays développés contribuent à renforcer les pressions désinflationnistes. La troisième raison provient du fait que les prix des biens relevant du commerce international subissent actuellement d importantes pressions. Cela est particulièrement le cas des biens exportés par les pays émergents et les matières premières. La situation n a rien d inhabituel à proprement parler et s est produite à plusieurs reprises ces dernières années. Cependant, le danger des pressions sur les prix des importations dans les pays développés ne doit surtout pas être sous-estimé dans les mois à venir, du fait des récentes dislocations observées au sein des marchés émergents et de la politique monétaire ultra-accommodante initiée par le Japon. En effet, la politique monétaire japonaise pénalise l environnement macroéconomique, en particulier pour les marchés émergents asiatiques. Le frein induit sur la croissance se traduit également par un repli de la demande de matières premières, affectant, par voie de conséquence, les pays exportateurs, notamment en Amérique latine. Plus les pressions sur les devises émergentes sont fortes et plus les retombées sur les taux d inflation des pays développés se font sentir, tant en termes de demande agrégée que de baisse des prix des importations. 8
4 Update I/2014 «Le recul des prix implique une moindre flexibilité pour les entreprises, qui sont exposées au risque de pressions sur les marges et les profits.» 9
5 PERSPECTIVES 01 ARGUMENTS CONTRE LE RISQUE DÉFLATIONNISTE : LA REPRISE ÉCONOMIQUE ET LA STABILITÉ DES ANTICIPATIONS INFLATIONNISTES Sondage des prévisionnistes à travers l UEM : les anticipations d inflation à 2 et 5 ans 2,1 % 2,0 % 1,9 % 1,8 % 1,7 % 1,6 % 1,5 % PRÉVISIONNISTES PROFESSIONNELS UEM : évolution du CPI (indice des prix à la consommation) sur les cinq prochaines années PRÉVISIONNISTES PROFESSIONNELS UEM : évolution du CPI (indice des prix à la consommation) sur les deux prochaines années États-Unis : sondages des prévisionnistes professionnels : anticipations inflationnistes à 10 ans / sondages Michigan : anticipations inflationnistes à 5 ans 4,5 % 4,0 % 3,5 % 3,0 % 2,5 % 2,0 % PRÉVISIONNISTES PROFESSIONNELS : évolution du CPI (indice des prix à la consommation) sur les 10 prochaines années Source : Datastream, AllianzGI Economics & Strategy, janvier 2014 UNIVERSITÉ DU MICHIGAN : évolution du CPI (indice des prix à la consommation) sur les 5 prochaines années 10
6 Update I/2014 «Chez Allianz Global Investors, nous estimons qu à horizon 2014, voire 2015 au plus tard, l inflation devrait non seulement se stabiliser, mais également repartir légèrement à la hausse.» Se préparer à une légère hausse des taux d inflation L environnement actuel se traduira probablement par un recul des taux d inflation au cours des prochains mois au sein des pays développés. Chez Allianz Global Investors, nous estimons qu à horizon 2014, voire 2015 au plus tard, l inflation devrait non seulement se stabiliser, mais également repartir légèrement à la hausse. Plusieurs facteurs devraient, selon nous, contribuer à compenser les pressions désinflationnistes et écarter tout scénario de déflation à la japonaise. L un des principaux arguments en faveur de ces perspectives provient de la reprise cyclique en cours au sein du monde développé. Certes, le taux de croissance attendu cette année en Europe reste anémique, tout au mieux en ligne avec sa moyenne historique (à environ 1,25 % pour la zone euro). Il s agit là d une nette amélioration par rapport à l année dernière, lorsque la région était encore en récession. Aux États-Unis, nous attendons également une forte accélération de la croissance sur un an, dans la mesure où le frein lié à la consolidation budgétaire devrait être moins présent. À l image du passé, le raffermissement de la croissance économique devrait se traduire par une hausse du taux d inflation, à mesure du resserrement de l écart entre l offre et la demande (cf. graphique n 1). En outre, la stabilité des anticipations inflationnistes à long terme, autour de 2 %, n est pas compatible avec un risque déflationniste. Il s agit là d un facteur clé. En effet, dans le cas contraire, les entreprises et les ménages reporteraient leurs dépenses à plus tard, déclenchant par conséquent, un ralentissement de la croissance économique et donc un impact négatif sur les prix. Toutefois, les niveaux actuels d inflation ne sont guère rassurants, dans la mesure où l évolution du taux d inflation change souvent de manière abrupte et les anticipations inflationnistes tardent à s ajuster. Dans ce domaine, la politique monétaire joue un rôle essentiel, en permettant de stabiliser les anticipations inflationnistes, via notamment l achat massif d obligations sur le marché (cf. graphique n 2). 11
7 PERSPECTIVES 02 LA MASSE MONÉTAIRE MONDIALE EN PHASE AVEC L ÉVOLUTION DE LA CROISSANCE DU PIB NOMINAL Évolution sur un an de la masse monétaire mondiale 8 % 7 % 6 % 5 % 4 % 3 % 2 % 1 % Source : Datastream, AllianzGI Economics & Strategy, T La masse monétaire est en phase avec le PIB nominal Nous avons analysé les agrégats monétaires, dans la mesure où les principales évolutions observées sur les taux d inflation sont généralement mondiales. Les taux de croissance de la masse monétaire mondiale, d un ordre comparable à 6 % 7 % de la croissance du PIB nominal mondial, et le phénomène d accélération visible depuis mi-2011, sont d autres facteurs qui ne militent pas, selon nous, en faveur d un scénario déflationniste en occident. L évolution de la masse monétaire précède généralement l inflation de deux ou trois ans, ce qui laisse présager d une stabilisation prochaine du taux d inflation. Enfin, il existe une différence de taille entre la situation actuelle de l Europe et des États-Unis et celle du Japon, qui a connu 25 ans de déflation suite à l éclatement de la bulle au début des années Selon nous, cette différence ne laisse pas entrevoir la possibilité d un scénario à la japonaise, et donc, d une spirale déflationniste. En effet, les banques centrales occidentales ont réagi de manière rapide et agressive dans le sillage de l éclatement de la bulle de 2007, en réduisant dans un premier temps les taux d intérêt (les rendements réels sur la partie court-terme sont négatifs depuis plusieurs années), et en faisant activement tourner leurs planches à billets. En revanche, au Japon, plusieurs années se sont écoulées avant que la banque centrale ne se décide à intervenir. En outre, les niveaux d endettement des entreprises et des ménages à travers le monde développé sont nettement inférieurs à ceux qui prévalaient au Japon il y a une vingtaine d années. Ce constat signifie que le processus de désendettement a été bien plus rapide cette fois-ci. Enfin, le secteur immobilier, qui est à l origine de la sévère récession de ces dernières années, est parvenu à se stabiliser dans la plupart des pays industrialisés, et connaît même un début de reprise. 12
8 Update I/2014 «L évolution de la masse monétaire précède généralement l inflation de deux ou trois ans, ce qui laisse présager d une stabilisation prochaine du taux d inflation.» 13
9 PERSPECTIVES 03 ARGUMENTS CONTRE LE RISQUE DÉFLATIONNISTE : LA SITUATION ACTUELLE DES PAYS DÉVELOPPÉS EST TRÈS DIFFÉRENTE DE CELLE QU A CONNUE LE JAPON IL Y A 20 ANS Réaction rapide des banques centrales : des taux d intérêt réels négatifs Rendements réels à deux ans 3 % 2 % Japon 1 % 0 % 1 % 2 % 3 % États-Unis Allemagne Reprise des prix de l immobilier un facteur positif pour les banques (2008 / 1992 = 100) Indexé Japon Prix de l immobilier ; base 2006 = 100 Japon : prix des terrains Allemagne Zone euro Royaume-Uni Espagne : prix de Irlande : prix de États-Unis l immobilier par m² l immobilier neuf La dette du secteur privé aux États-Unis et en Europe est largement inférieure 220 % Japon 200 % 180 % États-Unis UEM 160 % 140 % Source : Datastream, AllianzGI Economics & Strategy, janvier 2014 Séries de données pour les États-Unis et l Europe depuis septembre Séries de données pour le Japon depuis septembre 1992 (année de la première récession après l éclatement de la bulle), avec un décalage de 16 ans. 14
10 Update I/2014 «Tous ces arguments permettent de tirer une seule et même conclusion : bien que les pressions désinflationnistes pourraient perdurer encore quelques mois, le taux d inflation devrait se stabiliser tant en Europe qu aux États-Unis au cours des prochains trimestres.» Cette tendance est particulièrement profitable pour les banques et vient soutenir la reprise du secteur, dans la mesure où elle réduit la nécessité de procéder à des dépréciations sur les portefeuilles de prêts. En revanche, au Japon, les prix de l immobilier ont chuté durant près de 20 ans, pénalisant les volumes des prêts (cf. graphique n 3). Tous ces arguments permettent de tirer une seule et même conclusion : bien que les pressions désinflationnistes pourraient perdurer encore quelques mois, le taux d inflation devrait se stabiliser tant en Europe qu aux États-Unis au cours des prochains trimestres. Nous sommes clairement d avis qu un scénario déflationniste à la japonaise pourra être évité de part et d autre de l Atlantique. À plus long terme, (sur les trois à cinq prochaines années), l évolution de l inflation sera directement liée aux décisions des banques centrales occidentales en ce qui concerne le processus plus ou (comme nous le pensons) moins rapide de normalisation de la politique monétaire. Cela signifie également que l environnement de taux d intérêt peu élevés devrait se prolonger, mais le profil de risque des obligations devrait rester asymétrique par rapport à l évolution des perspectives d inflation. Stefan Hofrichter dirige depuis 2011 le département mondial d analyse économique et stratégique d Allianz Global Investors. L économie européenne, l allocation d actifs et les stratégies actions sont au cœur de ses activités de recherche. En 1996, il a rejoint AllianzGI en qualité de gérant d actions européennes. Depuis 1998, il participe à la recherche macroéconomique. Entre 2004 et 2010, il a également géré des fonds européens et internationaux diversifiés, des fonds multi-classes d actifs de performance absolue, ainsi que des fonds de portage d alpha multigérants. En outre, Stefan Hofrichter siège depuis 2004 au Comité Global Policy d AllianzGI, qui définit les prévisions de marchés à moyen terme de la société. Depuis 2013, il est également membre du nouveau Comité d investissement dédié à l allocation d actifs tactique, qui coordonne la stratégie d investissement des fonds diversifiés gérés en Europe. Entre 2010 et 2012, il a présidé le Comité d allocation d actifs pour les fonds gérés depuis Francfort. Stefan Hofrichter a été diplômé en 1995 d un «Diplom-Volkswirt» (en sciences économiques) de l Université de Konstanz ainsi que d un «Diplom-Betriebswirt» décerné par l académie spécialisée de la Deutsche Bundesbank, à Hachenbourg. Depuis 2000, il est également titulaire de la certification Chartered Financial Analyst. 15
Des dividendes élevés, synonymes d une forte croissance des bénéfices futurs
Des dividendes élevés, synonymes d une forte croissance des bénéfices futurs Plus le taux de versement des dividendes est élevé, plus les anticipations de croissance des bénéfices sont soutenues. Voir
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailLes questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont
CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur
Plus en détailCrises financières et de la dette
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières
Plus en détailPourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux
7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailInvestir sur les marchés de taux au sein des pays émergents
Gestion obligataire Investir sur les marchés de taux au sein des pays émergents Nous pensons que la répression financière se prolongera encore plusieurs années. Dans cet intervalle, il sera de plus en
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détail2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?
Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos
Plus en détailL accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation?
L accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation? Edouard VIDON Direction des Analyses macroéconomiques et de la Prévision Service des Études macroéconomiques et
Plus en détailQuepeut-ondiredelavolatilitédel euro?
Virginie Coudert avril 2000 Quepeut-ondiredelavolatilitédel euro? Contribution au rapport du CNCT 2000 La création de l'euro et la disparition des monnaies sous-jacentes ont profondément modifié la structure
Plus en détailLa croissance des pays développés au cours des trente dernières
Éditions La Découverte, collection Repères, Paris, 213 II / Dette et croissance Benjamin Carton* La croissance des pays développés au cours des trente dernières années s est accompagnée d une hausse de
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailBanque nationale suisse
IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailLe marché informatique en France 2011 et tendances 2012
Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012 Juin 2012 Sextant Expertise 27, Boulevard des Italiens 75002 Paris Tél. : 01 40 26 47 38 www.sextant-expertise.fr Société inscrite à l ordre des
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailCroissance à crédit. Vladimir Borgy *
Croissance à crédit Vladimir Borgy * p. 5-15 L économie mondiale a connu en 2004 une conjoncture exceptionnelle, la croissance annuelle au rythme de 5 % est la plus forte enregistrée depuis 1976 et résulte
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailLa politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux
OCP Policy Center Seminar series La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux Pierre-Richard Agénor, Hallsworth Professor, University of Manchester and Senior Fellow, OCP
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailLa révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations
La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailQuel est le "bon" système de Bretton-Woods?
aoűt 9 - N 359 Quel est le "bon" système de Bretton-Woods? Le Système Monétaire International de Bretton-Woods "normal" est un système où le pays dont la monnaie s'affaiblit doit passer à une politique
Plus en détailBest Styles ou comment capturer au mieux les primes de risque sur les marchés d actions
Stratégie Best Styles ou comment capturer au mieux les primes de risque sur les marchés d actions La recherche des primes de risque constitue une stratégie relativement courante sur les marchés obligataires
Plus en détailEconomie et marchés. Editorial. Nos évaluations en bref
Investment Strategy & Research Economie et marchés Août 21 Editorial Les tragédies financières ne manquent pas cet été: à peine le dernier acte de la crise grecque terminé, la Chine est ébranlée par un
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailLe crédit bancaire au secteur privé
Le crédit bancaire au secteur privé en Belgique M. Hradisky * Après des taux de croissance de plus de 1 p.c. en rythme annuel au cours de l année, la progression des crédits au secteur privé en Belgique
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailPrivilégier les actions et les emprunts d entreprise aux placements monétaires et aux emprunts d Etat AAA
Swisscanto Asset Management SA Waisenhausstrasse 2 8021 Zurich Téléphone +41 58 344 49 00 Fax +41 58 344 49 01 assetmanagement@swisscanto.ch www.swisscanto.ch Politique de placement de Swisscanto pour
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013
L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième
Plus en détailFONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES
FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES Octobre 2011 Gabriela TURCATTI Jordi GUILLO SOMMAIRE IMMOBILIER SUISSE 3 CATÉGORIES L immobilier résidentiel 4 L immobilier commercial 5 L immobilier de bureau 5
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailRAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE
2014 RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE Rapport adressé à Monsieur le Président de la République et au Parlement par Christian Noyer, gouverneur Sommaire La Banque de France a fait appel à des métiers
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailL INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»
193-202.qxp 09/11/2004 17:19 Page 193 L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» Département analyse et prévision de l OFCE La rentabilité des entreprises s'est nettement redressée en 2003 et 2004. Amorcée aux
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailL immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise
ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords
Plus en détailla voie bilatérale reste la meilleure option
WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire
Plus en détailL emploi permet-il toujours de s intégrer à la société française?
1) Analyse du sujet : T.E.S. Fustel de Coulanges 2013/2014 GALY marjorie.galy@wanadoo.fr http://www.toileses.org Eléments de correction du BAC BLANC de SES N 4 TESL L emploi permet-il toujours de s intégrer
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailDans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance?
Dans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance? BIEN COMPRENDRE LES DOCUMENTS Document 1 m Mots clés bandes centrales baisse des taux politique monétaire lutte contre
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailQuelle est la place de l Union Européenne dans l économie globale?
Quelle est la place de l Union Européenne dans l économie globale? 1. LES JUSTIFICATIONS DE L INTEGRATION EUROPEENNE... 1 1.1 L intégration européenne est un projet historique... 1 1.1.1 La marche vers
Plus en détailLa gestion à succès d une stratégie «market neutral» alternative
Stratégie 24 Update II/2014 La gestion à succès d une stratégie «market neutral» alternative Depuis la fin de l année 2007, le secteur des hedges funds a entamé une traversée du désert. Pourtant, le nouveau
Plus en détail1. Une petite économie ouverte dans un monde de capitaux parfaitement mobiles
Le modèle Mundell-Flemming avec parfaite mobilité des capitaux Le modèle Mundell-Flemming (Robert Mundell, Marcus Flemming, début années 1960) est l extension du modèle IS-LM en économie ouverte. Il partage
Plus en détailQuels enseignements de l expérience française (1983-1990)
Développement des marchés de capitaux Quels enseignements de l expérience française (1983-1990) Séminaire de clôture Tunis, le 23 mai 2013 Françoise Drumetz Directeur de la coopération extérieure CONTEXTE
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailLa finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012
La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise
Plus en détailmai COMMENTAIRE DE MARCHÉ
mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident
Plus en détailLe Marché du à la consommation en Europe à fin 2007
Le Marché du Crédit à la consommation en Europe à fin 7 Une étude de SOFINCO Evry, le juin 8 Nicolas Pécourt Le crédit à la consommation en Europe Synthèse (/) Cette étude porte sur le marché du crédit
Plus en détailQu est-ce que la compétitivité?
Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détail2014-2015 DS n 3 Chap 1-2h. Épreuve composée
Épreuve composée Pour la partie 3 (Raisonnement s appuyant sur un dossier documentaire), il est demandé au candidat de traiter le sujet : en développant un raisonnement ; en exploitant les documents du
Plus en détailRéduire la dette publique, une priorité?
Réduire la dette publique, une priorité? Henri STERDYNIAK La priorité est, nous dit-on, de réduire les dettes publiques, pour rétablir la confiance, faire baisser les impôts, relancer la croissance. Selon
Plus en détailDans la plupart des économies avancées, les prix immobiliers ont fortement
Les prix immobiliers en France : une évolution singulière Mickaël Clévenot Division Synthèse conjoncturelle Dans la plupart des économies avancées, les prix immobiliers ont fortement augmenté entre 2000
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailLe RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions
27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que
Plus en détailRevue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013
Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Daniel Denis kpmg.ca L environnement externe ÉCONOMIE CONSOMMATEUR TECHNOLOGIE DÉMOGRAPHIE Secteur de l assurance
Plus en détailInfo Finance. et Prévoyance. En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale attractive!
Allianz Suisse Case postale 8010 Zurich www.allianz-suisse.ch Info Finance 01 YDPPR267F et Prévoyance Édition 01, mars 2013 EXCÉDENTS LPP En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale
Plus en détailTABLE DES MATIERES. iii
RAPPORT DU COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE N 1/2014 ii TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES... iv RESUME ANALYTIQUE... v 1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE INTERNATIONAL... 1 1.1. Croissance du PIB mondial...
Plus en détailLes marchés du travail dans la crise *
ÉTUDE SPÉCIALE Les marchés du travail dans la crise * OFCE, Centre de recherche en économie de Sciences Po Département analyse et prévision * Ont contribué à cette étude spéciale : Marion Cochard, Gérard
Plus en détailChiffre d affaires au 30 juin 2015. Conférence téléphonique du 27 juillet 2015
Chiffre d affaires au 30 juin 2015 Conférence téléphonique du 27 juillet 2015 Faits marquants du 1er semestre 2015 CA hors IFRIC 12 : + 3,2 % à change constant à 220,2 M (vs. 213,4 M au 30 juin 2014) Bon
Plus en détailSeptembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse
Septembre 2013 Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Baromètre bancaire 2013 Executive summary 3 1 Evolution économique globale 1.1 Economie internationale 1.2 Suisse
Plus en détailLes actions : la nouvelle «valeur sûre» des portefeuilles?
Stratégie et investissement Les actions : la nouvelle «valeur sûre» des portefeuilles? Si les investisseurs appréhendaient la notion de sécurité en termes de protection du pouvoir d achat et non en fonction
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Sèvres, le 28 avril 2015
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Sèvres, le 28 avril 2015 Progression de la croissance Internet à +4,1%, chiffre d affaires consolidé en légère baisse et renforcement des partenariats avec les grands acteurs du web
Plus en détailRapport annuel 2014 3,5E 7,5E
Rapport annuel 2014 30 6E E 3,5E 6E E 80 E 100% 53% E 6E 7,5E Banque centrale européenne, 2015 Adresse postale : 60640 Francfort-sur-le-Main, Allemagne Téléphone : +49 69 1344 0 Internet : www.ecb.europa.eu
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailMéfiez-vous du modèle d austérité canadien
Méfiez-vous du modèle d austérité canadien Andrew Jackson Le présent essai a été rédigé à la suite d articles des médias selon lesquels l ex-ministre des Finances et ex-premier ministre canadien Paul Martin
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailFIN-INTER-01 LE CONTEXTE
FIN-INTER-01 LE CONTEXTE Public concerné : Etudiants niveau Bac + 2. Durée indicative : 2 heures Objectifs : Positionner le domaine de la finance internationale dans son contexte. Pré requis : Néant. Modalités
Plus en détailDORVAL FLEXIBLE MONDE
DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailUne étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailRAPPORT PRÉPARATOIRE AU DÉBAT D ORIENTATION DES FINANCES PUBLIQUES
R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E RAPPORT SUR L ÉVOLUTION DE L ÉCONOMIE NATIONALE ET SUR LES ORIENTATIONS DES FINANCES PUBLIQUES RAPPORT PRÉPARATOIRE AU DÉBAT D ORIENTATION DES FINANCES PUBLIQUES (TOME
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES www.oc.gov.ma 2007 La reproduction des informations contenues dans la présente publication est autorisée sous réserve d en mentionner expressément la source. 1 TABLE
Plus en détailEditorial. Chère lectrice, cher lecteur,
Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial
Plus en détailCompte rendu du 7 ème colloque organisé par Groupama Asset Management, CEPII-CIREM, le 22 octobre 2009
Compte rendu du 7 ème colloque organisé par Groupama Asset Management, CEPII-CIREM, le 22 octobre 2009 Politiques budgétaires et marchés obligataires européens : quel avenir? L ampleur des déficits publics
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailMoniteur des branches Industrie MEM
Moniteur des branches Industrie MEM Octobre 2014 Editeur BAKBASEL Rédaction Florian Zainhofer Traduction Anne Fritsch, Verbanet GmbH, www.verbanet.ch Le texte allemand fait foi Adresse BAK Basel Economics
Plus en détail