Les centres de responsabilité et les prix de cession interne THÈME 1
|
|
- Franck Gervais
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 THÈME 1 Les centres de responsabilité et les prix de cession interne EXERCICE 1 Centre de coût, centre de recettes et centre de profit La direction générale d un groupe industriel et commercial voulant être sûre que toutes les divisions/départements de l entreprise gèrent leur activité en fonction de marges et de résultats a décidé d instaurer des comptes de résultat pour chaque division ou département. Les responsables d usine se voient ainsi dotés d un compte de résultat dont ils ont la responsabilité. Ils achètent la matière 1 re auprès des fournisseurs qu ils souhaitent au prix qu ils ont toute liberté de négocier. Ils revendent ensuite en interne les produits fabriqués dans l usine à un prix fixé par la direction générale. Leurs «ventes» se font en interne et correspondent à la quantité demandée par les responsables de magasin et les filiales à l étranger. Les responsables de magasin sont également responsables de leur compte de résultat. Ils doivent acheter auprès de l usine du groupe la plus proche les quantités dont ils ont besoin. Ils vendent ensuite aux clients qu ils souhaitent et au prix qu ils veulent. Les responsables de filiale sont également évalués par rapport à leur compte de résultat. Ils ont la possibilité d acheter les quantités qu ils souhaitent auprès de l usine du groupe qu ils choisissent et peuvent négocier le prix d achat des produits en mettant en concurrence le prix des produits vendus par les usines du groupe avec le prix des mêmes produits venant d autres entreprises. Ils sont ensuite responsables de trouver les clients et de négocier avec eux le prix de vente. Dire si l usine, le magasin et la filiale peuvent être considérés comme un centre de coût, un centre de recettes ou un centre de profit.
2 G 20 ZOOM S EXERCICES CORRIGÉS DE CONTRÔLE DE GESTION CORRIGÉ Détermination de la nature des centres de responsabilité L évaluation d un centre de responsabilité en fonction d un compte de résultat ne signifie pas que cette entité est un centre de profit. Il faut vérifier que l entité a réellement une latitude par rapport au «chiffre d affaires» et par rapport aux «coûts». Au niveau du «chiffre d affaires», il faut pouvoir fixer les quantités et les prix. Au niveau des coûts, il faut pouvoir négocier les prix d achat et les quantités achetées. Il n y a que les responsables de filiale qui ont ce pouvoir ; seules les filiales sont donc des centres de profit. Les usines sont des centres de coût car le pouvoir des responsables d usine s exerce sur les coûts en décidant des quantités achetées et du prix d achat. Les magasins sont des centres de recettes car les responsables de magasin décident du prix de vente et des quantités vendues. EXERCICE 2 Prix de cession interne selon le coût unitaire et selon le prix de marché Le schéma ci-dessous montre la formation du coût d un produit vendu au consommateur final par une entreprise industrielle. Au sein de cette entreprise, 3 centres de responsabilité (CR) transforment progressivement ce produit (avec situation d intégration verticale). Les coûts induits par chaque étape du processus sont indiqués ci-dessous : Fournisseur CR 1 CR 2 CR 3 Client final Achat de matière 1 re pour 10 Coût par produit : 20 Coût par produit : 30 Coût par produit : 30 Prix de vente au client : 120 Client du produit fabriqué par CR 2 Prix de vente au client : 90 Coût de commercialisation auprès du client externe : 10
3 Thème 1 Les centres de responsabilité et les prix de cession interne G 21 Le centre de responsabilité n 2 a la possibilité de vendre le produit directement à un client externe à l entreprise, à savoir une autre entreprise, plutôt qu au centre de responsabilité n 3. Le centre de responsabilité n 3 est le centre qui en termine avec la production du bien et le vend au consommateur final. Le produit fabriqué par le centre de responsabilité n 2 est ainsi moins finalisé que celui fabriqué par le centre de responsabilité n 3 mais répond à une demande de certaines entreprises externes. À partir des données disponibles, quels sont les prix de cession interne (PCI) qu il est possible de fixer pour les 2 centres de responsabilité CR1 et CR2? Quel est le PCI qui semble le plus pertinent pour CR2 afin de mettre en évidence sa performance économique? En retenant la réponse formulée à la question précédente, quel est le problème dans la répartition des bénéfices au sein de l entreprise lorsqu on crée un compte de résultat par centre de responsabilité pour une unité de produit? CORRIGÉ 1 Détermination des prix de cession internes possibles pour CR1 et CR2 Pour le centre de responsabilité n 1, en l absence de données sur de possibles «marges», nous ne pouvons utiliser que le coût unitaire pour fixer le prix de cession interne, soit = 30. En revanche, pour le centre de responsabilité n 2, nous pouvons utiliser le coût unitaire ou le prix de vente moins les coûts de commercialisation auprès d un client externe, soit = 60 pour le coût unitaire et = 80 pour la deuxième solution. 2 Détermination du prix de cession interne le plus pertinent pour CR2 du point de vue de l évaluation de la performance économique de l entité En prenant comme prix de cession interne le prix de vente moins les coûts de commercialisation auprès d un client externe, soit 80, cela permet de rendre équivalent la vente en interne ou en externe du point de vue de son bénéfice unitaire et de prendre en compte sa capacité à vendre à un certain prix à de «vrais clients», à savoir des clients externes. 3 Détermination du problème dans la détermination de la répartition des bénéfices au sein de l entreprise Parce que le centre de responsabilité n 1 ne vend pas en externe, il a un PCI égal au coût unitaire et donc ne fait pas de bénéfice. Tout le bénéfice de l entreprise est ainsi réparti entre les
4 G 22 ZOOM S EXERCICES CORRIGÉS DE CONTRÔLE DE GESTION centres de responsabilité n 2 et n 3. On peut considérer cela injuste car tout effort en termes de coût ou de qualité du produit au niveau du centre de responsabilité n 1 ne sera pas reflété par un bénéfice croissant au niveau du centre de responsabilité n 1. Le calcul du bénéfice unitaire pour le produit vendu par CR 3 au client final est le suivant : Bénéfice unitaire de l entreprise sans passer par les PCI : 120 ( ) = 30 Bénéfice unitaire de CR 1 : = 0 Bénéfice unitaire de CR 2 : PCI de CR2 PCI de CR 1 Coût interne de CR2 soit (90 10) ( ) = = 20 Bénéfice unitaire de CR 3 : PCI de CR3 PCI de CR 2 Coût interne de CR3 soit 120 ( ) = 10 Bénéfice unitaire de l entreprise en passant par les PCI : (30 30) + (80 60) + [120 ( )] = = 30 Remarque : on retrouve bien le même montant selon les deux modes de calcul (à savoir 30 ). EXERCICE 3 Évaluation d un responsable de centre de profit Une entreprise est divisée en centres de profit régionaux. Le responsable d un centre de profit pour un pays de l Europe de l Est est évalué sur sa capacité à accroître le bénéfice de son centre de profit. Sa rémunération variable est d 1 % de l accroissement du résultat d exploitation. Voici les éléments prévisionnels pour le mois prochain : au niveau de la production, le volume fabriqué devrait être de produits pour un coût variable de et un coût fixe de ; les coûts administratifs sont fixes et devraient être d un montant de ; les coûts commerciaux devraient être d un montant variable unitaire de 100 et d un montant fixe total de ; le prix de vente unitaire devrait être de 400 ; les ventes devraient être de produits. Tous les produits sont similaires et vendus dans les mêmes conditions. Le bénéfice du mois présent devrait être de Le stock à la fin du mois actuel devrait être nul. L évaluation du stock se fait au coût complet.
5 Thème 1 Les centres de responsabilité et les prix de cession interne G 23 Le responsable désire à court terme bénéficier de la rémunération variable la plus importante possible. Il se demande si en doublant sa production avec les conditions d exploitation prévues pour le mois prochain cela ne pourrait pas augmenter son résultat d exploitation. Qu en pensez-vous? Deux solutions semblent envisageables pour éviter ce type de comportement à court terme : Nouvelle méthode d évaluation du stock de produits finis. Faire les calculs pour le mois prochain avec une production de produits puis de produits avec l évaluation du stock de produits finis au coût variable (en anglais, attention aux faux-ami, on parlerait de «direct costing method»). Nouveau poste de charge au compte de résultat. Comment peut-on modifier le compte de résultat servant à évaluer la performance du responsable de centre de profit de façon à éviter le comportement mis en évidence à la première question? CORRIGÉ 1 Influence du volume de production sur le résultat d exploitation Le volume de production va permettre de réduire le coût de production unitaire en imputant le coût fixe de production sur un plus grand nombre de produits et ainsi de faire apparaître un résultat unitaire plus élevé. Compte de résultat pour un volume de ventes de produits (et une production de produits) Chiffre d affaires : Coût de production des produits vendus (a) Marge brute : Coût administratif : Coût commercial : (b) Résultat d exploitation : (a) : soit un coût de production unitaire de 250 multiplié par le volume de ventes (b)
6 G 24 ZOOM S EXERCICES CORRIGÉS DE CONTRÔLE DE GESTION Compte de résultat pour un volume de ventes de produits (et une production de produits) Chiffre d affaires : Coût de production des produits vendus (a) Marge brute : Coût administratif : Coût commercial : Résultat d exploitation : ( ) : soit un coût de production unitaire de 150 multiplié par le volume des ventes. En effet, le (a) coût variable unitaire de production de 50 ne change pas. Le coût fixe unitaire de production est en revanche divisé par deux en doublant la production (passage de 200 à 100 ). 2 1 re solution : la valorisation du stock de produits finis au coût variable Parce qu on valorise le stock de produits finis au seul coût variable unitaire de production et non à l ensemble du coût de production unitaire, le coût fixe de production est considéré dans sa totalité comme un coût sur la période du compte de résultat. Le volume de production n a ainsi plus d incidence sur la valorisation du stock de produits finis si on suppose que le coût variable unitaire reste identique quel que soit le volume de production. Cela empêche de faire «disparaître» des coûts de production (fixes) du compte de résultat (pour les mettre dans le bilan). Qu on ait un volume de production de produits ou produits, le compte de résultat prévisionnel pour le mois prochain est donc : Compte de résultat pour un volume de ventes de produits Chiffre d affaires : Coût de production des produits vendus (a) Marge brute : Coût administratif : Coût commercial : Résultat d exploitation : (a) (avec produits on aurait eu : )
7 Thème 1 Les centres de responsabilité et les prix de cession interne G e solution : la prise en compte du coût du stock au sein du compte de résultat Une autre solution envisageable pour éviter que le responsable du centre de profit ne produise bien au-delà des besoins réels (définis par les ventes) est de lui imputer un coût financier lié à l accroissement du besoin en fonds de roulement. Dans ce cas, le responsable du centre de profit n est plus évalué sur le seul résultat d exploitation. Cette nouvelle charge serait calculée ainsi : i Stock de produits finis avec i qui pourrait être, par exemple, le coût moyen pondéré du capital (WACC ou CMPC). Indicateur définissant la rémunération variable du responsable du centre de profit : Contribution = Résultat d exploitation i Stock de produits finis EXERCICE 4 Évaluation d un responsable de centre d investissement Une entreprise est divisée en centres d investissement par zone géographique. La performance de ces centres d investissement est évaluée sur la base d un retour sur investissement (ROI) calculé de la manière suivante : Résultat net d'exploitation de l'année ROI (année N) = Actif économique net de début d'année Cette entreprise se situe dans un secteur d activité en pleine croissance où de lourds investissements sont nécessaires pour augmenter les capacités de production et de vente ; en outre, l impact de cet investissement ne se fait pleinement ressentir au niveau des ventes qu au bout d un an en moyenne. Que pensez-vous du critère d évaluation des centres d investissement de cette entreprise? CORRIGÉ Discussion du mode de calcul du ROI Dans le choix d un indicateur il faut faire attention à la période ou au temps qui est choisi. On ne doit pas ici prendre un actif économique net moyen sur l année étudiée car le calcul de la
8 G 26 ZOOM S EXERCICES CORRIGÉS DE CONTRÔLE DE GESTION moyenne implique de prendre en compte des investissements qui ont lieu durant l année mais qui n ont pas d effet sur le compte de résultat d exploitation de l année. En raison du décalage dans le temps de l investissement il pourrait en revanche être judicieux de prendre en compte l actif économique net moyen durant l année précédente. Un investissement en février N-1 aura ainsi un effet total sur le compte de résultat à partir de février N. L indicateur devient donc : ROI (année N) = Résultat net d'exploitation (année N) Actif économique net moyen (année N 1) De même si on suppose que l entreprise est en pleine croissance on n a pas à se préoccuper de désinvestissements (qui a priori seront faibles ou nuls).
Livret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire
Élaborer mon étude financière Livret 10 Calculer mon seuil de rentabilité Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection relative
Plus en détailRecueil de formules. Franck Nicolas
Recueil de formules Nous avons répertorié dans cette section, les différentes formules expliquées tout au long de cet ouvrage, afin de vous permettre de trouver rapidement l opération que vous souhaitez
Plus en détailDes caisses diversifiées et gérées professionnellement. Les Caisses privées
Des caisses diversifiées et gérées professionnellement Les Caisses privées 3 La simplicité rendue accessible 4 Qu est-ce qu une Caisse privée? 6 La diversification, ou comment réduire votre risque 8 Une
Plus en détailVENDRE EN LIGNE SUR UNE PLACE DE MARCHE
Les places de marché sur Internet (ou «marketplaces») existent depuis le début des années 1990. Le développement du e-commerce a néanmoins créé un nouveau modèle de place de marché au début des années
Plus en détailChapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA
Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Objectif du chapitre Faire la différence entre les coûts et les charges Définir les inducteurs
Plus en détailRÉGIME DE RÉINVESTISSEMENT DE DIVIDENDES ET D ACHAT D ACTIONS NOTICE D OFFRE
RÉGIME DE RÉINVESTISSEMENT DE DIVIDENDES ET D ACHAT D ACTIONS NOTICE D OFFRE Le 18 décembre 2013 Les actionnaires devraient lire attentivement la notice d offre en entier avant de prendre une décision
Plus en détailqff TD4 - Calcul du résultat par la méthode du coût variable I) Distinction entre charges variables et charges lïxes 2ème année LicenceAES TD4
2ème année LicenceAES - Calcul du résultat par la méthode du coût variable La rentabilité est un indicateur de I'effrcacité économique et financière. Elle représente l'aptitude d'une organisation productive
Plus en détailRAPPORT D EXAMEN LIMITE SUR LES ETATS FINANCIERS INTERMEDIAIRES ARRETES AU 30 JUIN 2015
TUNIS, le 28 Août 2015 MESSIEURS LES ACTIONNAIRES DE LA SOCIETE GENERALE INDUSTRIELLE DE FILTRATION «GIF FILTER» SA Route de Sousse KM 35 GROMBALIA 8030 RAPPORT D EXAMEN LIMITE SUR LES ETATS FINANCIERS
Plus en détailRégime volontaire d épargne-retraite
Solutions de retraite toujours au travail Régime volontaire d épargne-retraite Une solution simple pour vous et vos clients Vendre un régime de retraite et d épargne collectif n aura jamais été aussi facile
Plus en détail- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE
- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE Objectif(s) : o Choix des investissements et rentabilité économique : Capacité d'autofinancement prévisionnelle ; Flux nets de trésorerie ; Evaluations.
Plus en détailAudit financier & budgétaire de la Ville de Clamart
Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Ville de Clamart PARTENAIRES Finances Locales Avril 2015 Ville de Clamart 1 Présentation de PARTENAIRES Finances Locales PARTENAIRES Finances Locales
Plus en détaild ETF : Sept règles à suivre
The Les buck meilleures stops pratiques here: Vanguard en matière money de négociation market funds d ETF : Sept règles à suivre Etude de Vanguard Décembre 2014 Joel M. Dickson, PhD ; James J. Rowley Jr.,
Plus en détail20 ans d expertise dans le domaine de la Direction du Développement Marketing & Commercial d entreprises en France et à l étranger
1 Michel Amossé 20 ans d expertise dans le domaine de la Direction du Développement Marketing & Commercial d entreprises en France et à l étranger Directeur Commercial & Marketing, de sociétés implantées
Plus en détailDes investisseurs peuvent parfois vouloir planifier la réalisation des pertes en
NUMÉRO 2013-10 WWW.BDO.CA LE FACTEUR FISCAL RÈGLES FISCALES À CONSIDÉRER LORSQUE VOUS DÉCLAREZ UNE PERTE EN CAPITAL Des investisseurs peuvent parfois vouloir planifier la réalisation des pertes en capital
Plus en détailLogistique, Transports
Baccalauréat Professionnel Logistique, Transports 1. France, juin 2006 1 2. Transport, France, juin 2005 2 3. Transport, France, juin 2004 4 4. Transport eploitation, France, juin 2003 6 5. Transport,
Plus en détailPLAN DE FORMATION COMPTABLE NOVEMBRE 2013
PLAN DE FORMATION COMPTABLE NOVEMBRE 2013 I L ENTREPRISE ET LA FAMILLE La famille est une entreprise La famille dépend de l entreprise La famille et l entreprise se gèrent de la même manière mais indépendamment
Plus en détailPrésentation du Groupe IKEA
Présentation du Groupe IKEA IKEA dans le monde en quelques chiffres En 62 ans, le Groupe IKEA est devenu le leader mondial sur le marché du meuble. En tant que spécialiste de l ameublement et de la décoration
Plus en détailSOMMAIRE QU EST-CE QU UNE SITUATION DE VENTE POUR LE REFERENTIEL BTS? ------------------------------------- 2
SOMMAIRE QU EST-CE QU UNE SITUATION DE VENTE POUR LE REFERENTIEL BTS? ------------------------------------- 2 E4 : 12 SITUATIONS / COMPETENCES ------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailManuel de l utilisateur. GLN Database
Manuel de l utilisateur GLN Database Février 2011 GS1 The global language of business Contenu Introduction...2 1. Par où commencer?...3 2. Se connecter...3 3. Ecran principal: Le menu GLN Database...4
Plus en détailÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS
ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS PERIODE DU 1 ER AVRIL AU 31 DECEMBRE 2004-1 - COMPTE DE RÉSULTAT CONSOLIDÉ Période du 1 er avril au 31 décembre 2004 2003 2003 Exercice clos le Notes Pro forma 31 mars 2004
Plus en détailGénie logiciel pour le commerce électronique Hiver 2003 Prof.: Julie Vachon
Génie logiciel pour le commerce électronique Hiver 2003 Prof.: Julie Vachon Travail pratique #1 «Réalisation d'une plateforme de vente aux enchères électronique» À réaliser individuellement ou en équipe
Plus en détailCOMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC
Plus en détailPrésentation des termes et ratios financiers utilisés
[ annexe 3 Présentation des termes et ratios financiers utilisés Nous présentons et commentons brièvement, dans cette annexe, les différents termes et ratios financiers utilisés aux chapitres 5, 6 et 7.
Plus en détailLES ETAPES DE LA CREATION
LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES
Plus en détailS informer sur. Les frais liés à vos investissements financiers
S informer sur Les frais liés à vos investissements financiers Janvier 2012 Autorité des marchés financiers Les frais liés à vos investissements financiers Sommaire Les frais liés à l investissement dans
Plus en détailCIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001
CIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001 OBJET : Marché des changes et instruments de couverture des risques de change et de taux. Dans le cadre du renforcement de la libéralisation
Plus en détailETUDE DE MARCHE DEPARTEMENTALE DIAGNOSTIC IMMOBILIER - 2010
ETUDE DE MARCHE DEPARTEMENTALE DIAGNOSTIC IMMOBILIER - 2010 Analyse du marché départementale : nombre de ventes et locations et chiffre d affaires, prix de la concurrence, attente des prescripteurs et
Plus en détailCIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001
CIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001 OBJET : Marché des changes et instruments de couverture des risques de change et de taux. Dans le cadre du renforcement de la libéralisation
Plus en détailDEFINTIONS ET FORMULES
DEFINTIONS ET FORMULES Comptabilité financière (I) BILAN COMPTABLE : Photographie à un moment t de la situation financière. tableau à 2 colonnes : Actif (emploi des ressources disponibles) et Passif (ressources,
Plus en détailNorme comptable internationale 33 Résultat par action
Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer
Plus en détailCOMMENT CREER VOS BANDES GRAND FORMAT?
COMMENT CREER VOS BANDES GRAND FORMAT? Mode d emploi pour les bandes impression noire ou couleur sur papier blanc ou fluo NB : Pour les bandes grand format imprimées en couleur, merci de suivre les explications
Plus en détail1 Qu appelle-t-on «marge»? Résumé
1 Qu appelle-t-on «marge»? Résumé Il convient tout d abord de s entendre sur le vocabulaire et de s assurer que l on parle de la même chose. Le terme «marge» est ambigu. Couramment utilisé dans le langage
Plus en détailBaccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008
Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats f est une fonction définie sur ] 2 ; + [ par : 4 points f (x)=3+ 1 x+ 2. On note f sa fonction dérivée et (C ) la représentation
Plus en détailACTE DE VENTE D'UN NAVIRE DE PLAISANCE
Entre les sssignés : ACTE DE VENTE D'UN NAVIRE DE PLAISANCE et Nom :... Prénom :... Date et lieu de naissance :... Adresse de la résidence principale :...... Nationalité :... Vendeur, d'une part Nom :...
Plus en détailDEPARTEMENT DES INSTITUTIONS ET DES RELATIONS EXTERIEURES
DEPARTEMENT DES INSTITUTIONS ET DES RELATIONS EXTERIEURES Service des communes et des relations institutionnelles Autorité cantonale de surveillance des finances communales (ASFICO) RECOMMANDATIONS EN
Plus en détailAvertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels
Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels 07/10/2014 Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés
Plus en détail- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES
- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES Objectif(s) : o o Pré-requis : o Modalités : Relation Besoin en Fonds de Roulement (B.F.R.) et Chiffre d'affaires (C.A.), Eléments variables
Plus en détailQuelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente?
Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente? Approvisionnement et gestion des stocks : des quantités vendues dans un Du stock initial, final et des livraisons, des commandes
Plus en détailDELHAIZE GROUPE, UN DISTRIBUTEUR ALIMENTAIRE LEADER
DELHAIZE GROUPE, UN DISTRIBUTEUR ALIMENTAIRE LEADER Le Groupe Delhaize détient des positions de leader en distribution alimentaire dans des marchés clés. Nos sociétés opérationnelles ont atteint ces positions
Plus en détail10. L épargne, l investissement et le système financier
10. L épargne, l investissement et le système financier 1. Le système financier Un système financier = ensemble des institutions financières qui ont pour objet de mettre en relation les besoins de financement
Plus en détailINTRODUCTION GENERALE AU MARKETING
INTRODUCTION GENERALE AU MARKETING 1. La notion de marché 2. La définition du Marketing et du Marketing - Mix 3. Les fonctions de l entreprise 4. La stratégie push ( fonction de production ) 5. La stratégie
Plus en détailLE CONCEPT VADWAY et le «CONTRÔLE DE GESTION»
Le concept de VAD (Valeur Ajoutée Directe), est à la base de nos missions portant sur le «Contrôle de gestion», appliqué aux PME. 1. LE CONCEPT LA VALEUR AJOUTEE DIRECTE (VAD) Rappel : L entreprise achète,
Plus en détail672ZA Auxiliaires d'assurances
STATISTIQUES PROFESSIONNELLES 23 672ZA Auxiliaires d'assurances EVOLUTION ANNEES 23 / 22 / 21 23 22 21 CHIFFRE D'AFFAIRES 88 62 Nombre d'entreprises 53 8 Ratios Ratios Ratios CHIFFRE D'AFFAIRES 1,, 1,
Plus en détailLe besoin en fonds de roulement (BFR) et la trésorerie
Mois AAAA Mois décembre AAAA 2009 mise à jour décembre 2010 Préambule Les associations du secteur social et médico-social qui gèrent un ou plusieurs établissements ou services et proposent des prestations
Plus en détailDocument explicatif Introduction à Fairtrade
Document explicatif Introduction à Fairtrade Explication de quelques mots et expressions clés utilisés à Fairtrade. Coopérative de Café Cocla, Peru. Photo: Henrik Kastenskov Document: Document explicatif
Plus en détailFORMULES DE CALCUL. Prix = PV TTC = PV HT x (1 + taux de TVA) TVA = PV HT x taux de TVA PV HT = PV TTC 1 + taux de TVA
FORMULES DE CALCUL Le prix : Prix = PV TTC = PV HT x (1 + taux de TVA) TVA = PV HT x taux de TVA PV HT = PV TTC 1 + taux de TVA Ex : PV TTC = 250 x 1,196 = 299. TVA = 250 x 19,6 % = 49. PV HT = 299 = 250.
Plus en détailPARTIE I : PRINCIPES GENERAUX DE LA COMPTABILITE GENERALE
PARTIE I : PRINCIPES GENERAUX DE LA COMPTABILITE GENERALE CHAPITRE I - LA COMPTABILITÉ : UN ÉLÉMENT DU SYSTÈME D'INFORMATION DE L'ENTREPRISE. CHAPITRE I - LA COMPTABILITÉ : UN ÉLÉMENT DU SYSTÈME D'INFORMATION
Plus en détailStatistiques de finances publiques consolidées
Statistiques de finances publiques consolidées Introduction Le concept de la consolidation est couramment utilisé dans le domaine de la comptabilité, tant dans le secteur privé que public. Définie simplement,
Plus en détailL investissement Immobilier en nue-propriété
L investissement Immobilier en nue-propriété L investissement Immobilier en nue-propriété L acquisition d un bien immobilier comporte de nombreux risques pour un investisseur (vacance locative, loyers
Plus en détailQuestion 1: Informations sur la personne ou entité interrogée
Juin 2013 QUESTIONNAIRE REPONSE DES AUTORITES FRANCAISES CONSULTATION SUR LES RÉSULTATS DE L ÉTUDE SUR LA SITUATION ACTUELLE ET LES PERSPECTIVES DES SOCIÉTÉS MUTUELLES EN EUROPE Question 1: Informations
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailAcquisitions d entreprises : traitement des actifs incorporels en IFRS
Acquisitions d entreprises : traitement des actifs incorporels en IFRS CONFERENCE IMA DU 5 AVRIL 2006 Jean-Pierre COLLE et Raphaël JACQUEMARD Associés KPMG 1 Introduction Jusqu à une période récente et
Plus en détailMarchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène
Marchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène Partons de quelques observations : 1. La plupart des industries produisent un grand nombre de produits similaires mais non identiques; 2. Parmi
Plus en détailENQUÊTE FORUM DÉBAT 2002. Les Distributeurs du Secteur Dentaire
ENQUÊTE FORUM DÉBAT 2002 Les Distributeurs du Secteur Dentaire [EDITO]. Le marché du matériel dentaire reste un domaine relativement parcellarisé sur le territoire français. Il est couvert par plus de
Plus en détailLA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING)
LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING) Finalité de la démarche Optimiser les performances futures de profit du produit sur l ensemble de son cycle de vie. Prérequis Connaissance élémentaire de la problématique
Plus en détailBUDGET ANNEXE DE L ASSAINISSEMENT
BUDGET ANNEXE DE L ASSAINISSEMENT Le service de l assainissement est un service public à caractère industriel et commercial, soumis à la comptabilité M4 différente de la comptabilité M14 applicable au
Plus en détailACTIONS ET OBLIGATIONS Les placements financiers en quelques mots
Aperçu des actions et des obligations Qu est-ce qu une action? Une action est une participation dans une entreprise. Quiconque détient une action est copropriétaire (actionnaire) de l entreprise (plus
Plus en détailHarmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers
Harmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers Christian Hoarau, Professeur a l'institut d'administration des entreprises de Paris La
Plus en détailQUESTIONNAIRE Bijouterie et Commerces
QUESTIONNAIRE Bijouterie et Commerces EXTENSION MULTIRISQUE COMMERCE NE PEUT ETRE SOUSCRITE INDEPENDAMMENT DU CONTRAT «TOUS RISQUES BIJOUTIERS» CACHET COURTIER Affaire Nouvelle Remplacement du contrat
Plus en détailQu est-ce que le C.I.C.E.?
Qu est-ce que le C.I.C.E.? L article 66 de la loi de finances rectificative pour 2012 n 2012-1510 du 29 décembre 2012, met en place le pour la compétitivité et l emploi (C.I.C.E.). Le C.I.C.E. a pour objectif
Plus en détailUne nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits
Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Les répercussions pour le secteur des logiciels et des services infonuagiques Novembre 2014 L International Accounting Standards Board (IASB)
Plus en détailFORMULAIRE D AUTO-EVALUATION POUR PATIENTS SLA
1 FORMULAIRE D AUTO-EVALUATION POUR PATIENTS SLA Afin de donner un bon aperçu de mes possibilités et mes limitations à la DG Personnes handicapés, je coche ce que je peux faire ou ne plus faire. Ci-dessous
Plus en détailFinancement d une entreprise étrangère qui exerce des activités au Canada
Financement d une entreprise étrangère qui exerce des activités au Canada Le Canada offre des occasions d affaire à ceux qui souhaitent financer une entreprise étrangère au pays et présente tout un éventail
Plus en détailLe financement du point de vue de l entreprise
Le financement du point de vue de l entreprise Alec Vautravers Associé, Corporate Finance Genève, le 24 septembre 2010 Audit.Fiscalité.Conseil.Corporate Finance. Introduction Objectifs Cet exposé a pour
Plus en détail1 er trimestre 2014-2015 : Résultats en ligne avec les objectifs annuels
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 10 mars 2015 1 er trimestre : Résultats en ligne avec les objectifs annuels Solide croissance organique de 3,3% EBITDA en hausse de 1,5% Résultat net multiplié par 3,3 Perspectives
Plus en détailLa fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.
Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord
Plus en détailMonia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi
Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est
Plus en détailETUDE FUSACQ. La Cession de TPE-PME via Internet en France. 26 Octobre 2007
ETUDE FUSACQ La Cession de TPE-PME via Internet en France 26 Octobre 2007 Place de marché en ligne dédiée à la Reprise Transmission d entreprised PRESENTATION DE FUSACQ Fusacq est une place de marché en
Plus en détailMODE OPERATOIRE CIEL GESTION COMMERCIALE VERSION EVOLUTION BTS PME PMI
MODE OPERATOIRE CIEL GESTION COMMERCIALE VERSION EVOLUTION BTS PME PMI BTS AGPME Ciel Gestion commerciale (mai 2005) Pierre TASSION 1 Table des matières D après le référentiel BTS PME PMI Présentation
Plus en détailRAPPORT SUR LE MARCHÉ IMMOBILIER
MAJ AÔUT 2015 PM405 - ME PREMIÈRE PARTIE RAPPORT SUR LE MARCHÉ IMMOBILIER DES MAISONS À ÉTAGES (ME) ET DES MAISONS PLAIN-PIED (PP) DE LA VILLE DE REPENTIGNY AU 31 JUILLET 2015 Si dans les mois qui viennent,
Plus en détailInitiation à la Comptabilité
Bertrand LEMAIRE http://www.bertrandlemaire.com Initiation à la Comptabilité Document sous licence Creative Commons L auteur autorise l impression et l utilisation gratuites de ce document dans un cadre
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. 1 er TRIMESTRE 2015 : LA DYNAMIQUE DE CROISSANCE DES ACTIVITES COMMUNICATION & SHIPPING SOLUTIONS SE POURSUIT
CHIFFRE D AFFAIRES PREMIER TRIMESTRE 2015 1 er TRIMESTRE 2015 : LA DYNAMIQUE DE CROISSANCE DES ACTIVITES COMMUNICATION & SHIPPING SOLUTIONS SE POURSUIT Forte croissance du chiffre d affaires Communication
Plus en détailBecca Distribution Inc
Becca Distribution Inc 12-31-2008-12-31-2009 Becca Distribution Inc - Becca_2008.opt Page 3 Mesures clés du rendement de l'entreprise Seuil de rentabilité Valeur cible % Rentabilité % Rentabilité = 0 Période
Plus en détailVille de Schiltigheim. Audit financier version définitive
Ville de Schiltigheim Audit financier version définitive 10 octobre 2014 Préliminaire Le présent document vise à présenter les conclusions de l audit financier réalisé entre les mois de juillet 2014 et
Plus en détailCOMPTABILITÉ DE GESTION
COMPTABILITÉ DE GESTION Direction du développement des entreprises Préparé par Jacques Villeneuve c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications : septembre 1997 Réédité par la Direction
Plus en détailPRESENTATION BIENVENUE DANS NOTRE. Créer une société Offshore pour les acheteurs et investisseurs étrangers. Options et avantages
BIENVENUE DANS NOTRE PRESENTATION Créer une société Offshore pour les acheteurs et investisseurs étrangers Options et avantages Présenté par Paul Debastos Chasseur-Immo-Floride 8551 W Sunrise Blvd, Suite
Plus en détailANNEXE (article 10) ANNEXE (articles 38 a41) FORMULE 1 CERTIFICATION CONCERNANT UN RETRAIT FONDE SUR DES DIFFICULTES FINANCIERES
ANNEXE (article 10) ANNEXE (articles 38 a41) FORMULE 1 CERTIFICATION CONCERNANT UN RETRAIT FONDE SUR DES DIFFICULTES FINANCIERES 1. Institution financiere concernee : (inscrire Ie nom de I 'institution
Plus en détailGROUPE NSE INDUSTRIES. Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014
GROUPE NSE INDUSTRIES Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014 BILAN (en milliers d euros) ACTIF Note 30/06/14 30/06/13 Ecarts d'acquisition 1 3 872 3 972 Immobilisations
Plus en détailLES COUTS PARTIELS...
Sommaire LES COUTS PARTIELS... 2 EXERCICE 1... 2 EXERCICE 2... 2 EXERCICE 3... 2 EXERCICE 4... 3 EXERCICE 5... 3 LES COUTS COMPLETS... 5 EXERCICE 1... 5 EXERCICE 2... 6 EXERCICE 3... 7 EXERCICE 4... 10
Plus en détailChapitre 4 : les stocks
Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également
Plus en détailParis, le 8 juillet 2010 N 20/02-10
Paris, le 8 juillet 2010 N 20/02-10 Emission par Maurel & Prom d OCEANE à échéance 31 juillet 2015 pour un montant maximum d environ 70 millions d euros Fixation des modalités définitives des OCEANE 2015
Plus en détailLES PRIX DE TRANSFERT. Guide à l'usage des PME
LES PRIX DE TRANSFERT Guide à l'usage des PME Version de novembre 2006 les prix de transfert Guide à l usage des PME Novembre 2006 Madame, Monsieur, Toute entreprise qui réalise des opérations transfrontalières
Plus en détailPérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion
btsag.com 1/15 26/09/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre pédagogique
Plus en détailEvaluation de l organisation interne
Module 1 Module Evaluation de l organisation interne Table des matières SECTION 1 Mission et valeurs 34 SECTION 2 Gestion 1 40 SECTION 3 Gestion 2 46 T E A R F U N D 2 0 0 3 33 Module 1 Section 1 Mission
Plus en détailMarketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu
Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes
Plus en détailPROPOSITION D'ASSURANCE DES INSTALLATIONS PHOTOVOLTAIQUES Ordre d'étude et de placement www. groupassurenergies.com
OTTAVIANI SAS 21 rue Grignan BP 330 13177 Marseille CEDEX 20 Tel : +33 (0)4 91 33 02 55 Ligne directe : +33 (0)4 91 54 83 68 Fax +33 (0)4 91 54 71 46 contact@groupassurenergies.com PROPOSITION D'ASSURANCE
Plus en détailNOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE
IMPACT de la NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE MAI 2014 Page 1 sur 26 1. Impact global Issues de l accord signé en mars 2014 et valables pour 2 ans, les nouvelles règles d Assurance chômage ont été
Plus en détailMini guide d élaboration d un projet d entreprise (ou business plan)
Mini guide d élaboration d un projet d entreprise (ou business plan) Vous désirez vous lancer comme indépendant, créer une entreprise commerciale, un magasin, etc. Ce dossier guide va vous aider pour vos
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailCOMPTE RENDU. Atelier-débat avec les futurs clients éligibles. 25 septembre 2002
Paris, le 17 octobre 2002 COMPTE RENDU Atelier-débat avec les futurs clients éligibles 25 septembre 2002 *** I La fourniture d électricité... 2 Les clients éligibles peuvent-ils acheter leur électricité
Plus en détailRISQUE SPORTIF ET ASSURANCE
RISQUE SPORTIF ET ASSURANCE 1 SOMMAIRE I. NOTION DE RESPONSABILITES A. La responsabilité civile 1. La responsabilité civile délictuelle 2. La responsabilité civile contractuelle B. La responsabilité pénale
Plus en détailDate de diffusion publique : lundi 15 décembre 2008, 6h00 heure normale de l Est
Suite à la récente crise constitutionnelle, un nouveau sondage démontre que les Canadiens manquent de connaissances élémentaires sur le système parlementaire canadien La moitié des Canadiens (51%) croient
Plus en détailGUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX FONCTIONNEMENT DES COMPTES DIVISIONNAIRES
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX DES COMPTES DIVISIONNAIRES Directive n 03/11-UEAC-195-CM-22 relative au plan
Plus en détailAVERTISSEMENT ET INFORMATION SUR LES RISQUES LIES A LA NEGOCIATION DES CONTRATS A TERME ET DES ACTIONS
Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés par Newedge Group S.A. pour le compte d un client «le Client». Le Client est informé qu il existe
Plus en détailComment améliorer sa productivité commerciale?
STRATEGIES MANAGEMENT Comment améliorer sa productivité commerciale? KPMG ENTREPRISES Le 23 octobre 2007 Conférence Réseaudencia Intervenants : Christine Berengolc - Gérard Crepel - Marc Leroy La relation
Plus en détailSaisissez le login et le mot de passe (attention aux minuscules et majuscules) qui vous ont
I Open Boutique Sommaire : I Open Boutique... 1 Onglet «Saisie des Produits»... 3 Création d'une nouvelle fiche boutique :... 3 Création d'une nouvelle fiche lieux de retraits :... 10 Création d'une nouvelle
Plus en détailGuide pratique : Les coûts d emprunt d argent
QUESTION Guide pratique : Les coûts d emprunt Commanditaire fondateur ABC Alpha pour la vie Canada Guide pratique Question : Les coûts d emprunt Faire l épicerie coûte de l argent. Les vêtements coûtent
Plus en détailElaboration et Suivi des Budgets
Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire
Plus en détail