UE n 8 Spé Odontologie Conférence n 2

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1 Tutorat de Révision Campus Santé de Rennes 1 2 Avenue du Professeur Léon Bernard Rennes cedex Tél : Année Universitaire 2010/2011 PAES UE n 8 Spé Odontologie Conférence n 2 Ce questionnaire comprend 7 pages comprenant Questions numérotées de 1 à 42. Pour chaque question, une ou plusieurs réponses sont exactes. Noircissez la ou les case(s) correspondant à la ou aux propositions exactes. Seules seront comptabilisées comme bonnes les réponses dont toutes les propositions exactes, et seulement celles-ci, auront été cochées. 1/7

2 1-croissance du cartilage A-le tissu mésenchymateux est richement vascularisé avec beaucoup de collagène I et de chondroblastes B-la croissance appositionnelle se fait par division des chondrocytes à l intérieur du cartilage C-la croissance interstitielle se fait par division des chondroblates du périchondre et la différenciation en chondrocytes D-la matrice cartilagineuse est constituée d eau, de collagène IV et d agregan 2-mécanisme d ossification endochondrale A-la vascularisation apporte des ostéoclastes qui vont résorber le cartilage calcifié B-comme la transition cartilage-os le périchondre sera remplacé par le périoste C-l ossification suit une direction centrifuge D-le stade de différenciation terminale des chondrocytes correspondant au stade hypertrophique 3-les os de la base du crâne ou synchondrose A-la synchondrose a un rôle important dans la croissance de la base du crâne mais pas dans la croissance de la face B-les synchondroses vont disparaitre à différentes périodes de la vie C-les chondrocytes hypertrophiques sont plus proches de la synchondrose que les chondrocytes prolifératifs D-les synchondroses sont les sutures de la base du crâne 4-ossification de la mandibule A-l ossification de la mandibule se fait en dehors du cartilage de Meckel B-dans la gouttière osseuse vont se développer les germes dentaires et à l extérieur de la gouttière va se développer le nerf mandibulaire C-la partie postérieure du cartilage de Meckel donne par ossification membraneuse 2 osselets de l oreille moyenne D-le corps et la branche de la mandibule se développe par ossification membraneuse 5-le follicule dentaire A-le follicule est un sac de tissu épithélial lâche B-le follicule est destiné à l élaboration du ligament alvéolo-dentaire, du cément et de l os C-si on retire la ½ coronaire du sac folliculaire il y a résorption osseuse D-si on retire la ½ basale du sac il y a résorption osseuse 6-les molécules de l éruption : A-une souris TGF-/- aura des dents qui feront leur éruption sur l arcade B-dans le cas d une molaire mandibulaire l injection de CSF-1 doit se faire 3 jours après la naissance pour être efficace C-quand injection de CSF-1 chez le rat normal cela n aura aucun effet D-le MCP-1 et le CSF-1 n ont pas les mêmes effets mais ont des effets complémentaires 7-éruption A-la denture temporaire constituée de 20 dents contient incisives, canines, prémolaire et molaires B-lorsque les dents percent il y a des modifications cellulaires pendant 1 à 2 mois C- après éruption l épithélium adamantin réduit devient l épithélium de jonction D-après éruption les améloblastes réduits deviennent plates et perpendiculaires à la surface de l émail 8. Quelles sont les propositions vraies : A. La neurulation participe à l élaboration des cellules permettant la formation du squelette cranio-facial. B. Seuls les CCN crâniales sont à l origine de certains éléments du squelette cranio-facial. C. Le mésoderme primitif se divise en deux bandes. D. Le 25 ème jour, le tube neural se renfle en trois vésicules 2/7

3 9.Quelles sont les propositions vraies : A. Les CCN du 2 ème arc n expriment pas le gène HOX B. Les cellules issues du rhombomère 3 meurent par apoptose. C. Les CCN participant à la formation des structures cranio-faciales correspondant à un domaine qui s étend du prosencéphale jusqu au 1 er rhombomère n exprime pas le gène HOX. D. La mise en place du squelette cranio facial est sous le contrôle génétique des gènes non HOX (dit HOX négatif). 10.Quelles sont les propositions vraies : A. L amélogénèse comprend la synthèse, la sécrétion des molécules de la matrice de l émail, la minéralisation puis la maturation de celui-ci. B. L émail est avasculaire, non innervé et contient des cellules. C. Les dimensions de la maille élémentaire de l émail sont inférieures à 1 nm. D. L émail est la structure la plus minéralisée de l organisme. 11.Quelles sont les propositions vraies : A. L améloblaste pré sécréteur est une cellule post mitotique. B. L amélogénèse est synchronisé avec la dentinogénèse. C. La différenciation des améloblastes débute à la future jonction émail/dentine où une couche de dentine a déjà été synthétisée. D. La différenciation des améloblastes pré sécréteurs s accompagne de la dégradation de la membrane basale. 12.Quelles sont les propositions vraies : A. La phase de maturation de l émail comprend 3 processus. B. La modulation correspond à l alternance de 2 aspects cellulaires plissé et lisse. C. L émail mature ne contient pas d eau mais possède du collagène. D. L épithélium réduit de l émail correspond à la couche papillaire et les améloblastes de protection. 13.La dentine : A : La dentine est un tissu minéralisé à 70%. B : Le principal cristal rencontré est de l hydroxyapatite de formule Ca10(PO4)2(OH)6. C : Sa formation comprend les stades de synthèse/sécrétion, maturation et minéralisation. D : Contient quelques tubules allant de l interface pulpe-dentine jusqu à la jonction émail-dentine. 14.Différenciation des odontoblastes : A : La première étape est la polarisation des cellules situées à la périphérie de la papille ectomésenchymateuse. B : Les cellules sont appelées pré-odontoblastes dès qu elles s accrochent par leur membrane plasmique aux fibrilles d ancrage présentes sur la face épithéliale de la membrane basale. C : Un odontoblaste est une cellule polarisée secrétant par son pôle basal. D : Le prolongement odontoblastique contient des organites de synthèse, un abondant cytosquelette et selon le stade des vésicules de sécrétion et/ou d endocytose. 15.Régulation de la différenciation odontoblastique : A : Le facteur TGFβ1 est produit par la membrane basale. B : Les récepteurs du TGFβ1 sont situés à la surface des cellules ecto-mésenchymateuses périphériques avant et au moment de leur polarisation. C : La fibronectine est située dans les fibrilles d ancrage de la membrane basale. D : C est l association dans la membrane basale du TGFβ1 et de la fibronectine qui permet la polarisation puis l activation fonctionnelle de la cellule ecto-mésenchymateuse en odontoblaste. 3/7

4 16.Composition de la matrice dentinaire : A : Les 2 sites principaux de sécrétion des constituants de la prédentine sont le corps de l odontoblaste et le prolongement de l odontoblaste. B : Le collagène composé de 2 chaines α1 et d 1 chaine α2 compose 85% de la matrice dentinaire. C : Dans la matrice dentinaire, on retrouve aussi du collagène de type V et de type VI. D : On retrouve également des protéines non-collagéniques, parmi lesquelles les plus abondantes sont celles de la famille des SIBLINGs. 17.Composition de la matrice dentinaire : A : Les SIBLINGs sont présentes dans l os et la dentine en quantité quasi identique. Elles sont très phosphorylées ce qui leur confère un caractère basique. B : La sialophosphoprotéine dentinaire ou DSPP est une protéine active. C : La DSPP est à l origine de la phosphoprotéine dentinaire, de la sialoprotéine dentinaire et de la protéine- Gla matricielle. D : La DSPP n est pas présente dans la prédentine, ni dans la dentine. 18.Minéralisation de la matrice dentinaire : A : Les ions calcium et phosphore s associent pour former tout d abord des phosphates tricalciques puis des phosphates octocalciques puis de l hydroxyapatite. B : Le calcium pénètre dans les odontoblastes par un transport actif soit par des vésicules d endocytose, soit par des canaux calciques. C : Les annexines permettent au calcium de se déplacer dans le cytoplasme de la cellule. D : Le seul rôle des vésicules matricielles est de transporter le calcium au sein de la cellule. 19.Pathologies héréditaires de la dentine : A : 5 pathologies héréditaires principales se rencontrent classées en 2 catégories : les dentinogenèses imparfaites et les dysplasies dentinaires. B : Ces pathologies affectent exclusivement la dentine. C : Les dentinogenèses imparfaites (DGI) de type II et III sont dues à une mutation du gène de la DSPP. D : Cliniquement les DGI peuvent se caractériser par une disparition progressive de l émail. 20. Concernant l épithélium odontogène : A : Il commence à se former le 28ème jour. B : Une partie de cet épithélium provient du bourgeon nasal. C : Un épithélium odontogène continu peut s observer vers le 38ème jour. D : Cet épithélium odontogène continu est formé par la fusion de 2 épithélia au maxillaire et de 2 épithélia à la mandibule. 21.Evolution de l épithélium odontogène : A : L épithélium odontogène va proliférer et se dédoubler menant à la formation de 2 lames épithéliales : la lame vestibulaire et la lame dentaire. B : La lame dentaire sera à l origine des futures arcades dentaires maxillaires et mandibulaires. C : Les placodes dentaires se développent à partir de la lame dentaire. Ces placodes sont au nombre de 10 par arcade et donneront plus tard les dents déciduales. D : Les modifications morphologiques des placodes dentaires sont décrites chronologiquement par les stades bourgeon, cloche puis cupule. 22.Concernant les stades de chaque placode : A : C est à partir du stade cloche que la masse épithéliale de chaque placode dentaire prend le nom «d organe de l émail». B : La disparition du NEP (nœud de l émail primaire) se rencontre au stade cupule jeune. C : Le stade cupule âgée est, entre autre, caractérisé par une entrée hydrique dans les cellules de remplissage, ce qui va les dissocier et leur donner une forme étoilée. 4/7

5 D : Au stade cupule jeune, apparaissent l EDE (épithélium dentaire externe) et l EDI (épithélium dentaire interne), une vascularisation, une innervation, une organisation cellulaire périphérique, le sac folliculaire. 23.Stade cloche : A : Une 4ème couche cellulaire «le stratum intermedium» s intercale entre l EDE et le réticulum étoilé. B : Les nœuds de l émail secondaires apparaissent à ce stade et les cellules de l EDI qui continuent de s allonger préfigurent les futurs odontoblastes. C : La gaine de Hertwig sera à l origine du ligament parodontal. D : C est au stade cloche que se forme la lame dentaire secondaire responsable des germes des dents permanentes. Il se forme une lame dentaire secondaire par lame dentaire primaire sauf pour la lame dentaire primaire de la première molaire temporaire. 24.Etude analytique de l odontogenèse : A : La condensation cellulaire mésenchymateuse est due à un phénomène de prolifération cellulaire, de migration cellulaire et d une diminution locale de la synthèse matricielle. B : La formation des germes dentaires est précédée par la migration des cellules des crêtes neurales. C : Les placodes dentaires proviennent d un dialogue entre un épithélium et un ecto-mésenchyme c'est-àdire un mésenchyme où des CCN ont migré. D : Chaque dent est l expression d une signalétique moléculaire site-spécifique permettant l expression d un ensemble d homéogènes non-hox spécifique à chacune des dents. 25.Etude analytique de l odontogenèse : A : La modification de la prolifération cellulaire de l épithélium odontogène est due aux plaques équatoriales qui se placent perpendiculairement à la membrane basale. B : Les CCN sont pré-spécifiées (c'est-à-dire spécifiées avant migration). C : Le développement de l organe dentaire peut se faire entre n importe quelle CCN et n importe quel épithélium. D : Le premier arc pharyngé est régionalisé à partir de E9. 26.Identité dentaire : A : Les CCN ayant migré dans le premier arc subissent une instruction moléculaire dépendante du site. Les CCN vont alors exprimer les combinatoires d homéogènes, ceci va déterminer l identité dentaire. B : Les gènes responsables du développement du premier arc pharyngé sont de type non-hox ou divergents et proviennent des rhombomères 2 et 3. C : L identité dentaire est déterminée précocement, sa traduction morphologique intervient très rapidement. D : Les gradients moléculaires de signalisation intervenant dans la détermination de l identité dentaire sont d origine ecto-mésenchymateuse. 27.Molécules de signalisation et facteurs de croissance lors de l odontogenèse : A : BMP4 ecto-mésenchymateux est responsable de la formation du nœud de l émail primaire. B : Msx1 induit BMP4 au niveau oral et au niveau de l ecto-mésenchyme. C : BMP4 ecto-mésenchymateux est le facteur responsable de l inversion de l induction instructive. D : Fgf 3, 4 et 9 stimulent la prolifération cellulaire des cellules du nœud de l émail primaire. 28.Morphologie et cinétique de formation des cuspides : A : L acquisition d une morphologie dentaire se fait au stade cloche. B : A un endroit donné de l EDE, les cellules ne prolifèrent plus alors que d autres autour continuent leur prolifération. Ceci forme un pli. C : La différence de taille des cuspides est due à un nombre de mitoses plus important dans l une que dans l autre. D : Il y a autant de nœuds de l émail secondaires que de futures cuspides. 5/7

6 29.Quelles sont les propositions vraies : A. Les préparations ophtalmiques peuvent être des préparations solides stériles. B. Le stroma est une lamelle de collagène qui est une zone très hydrophile. C. L humeur aqueuse est drainée par le canal naso-lacrymal. D. La membrane de Bowman est une zone très hydrophile. 30.Quelles sont les propositions vraies : A. Les préparations nasales sont des préparations destinées à l administration dans les cavités nasales en vue d une action locale ou systémique. B. Les principes actifs qu elles contiennent ont si possible un effet sur les fonctions de la muqueuse nasale et de ces cils. C. Elles sont isotoniques. D. Elles peuvent être une alternative à la voie orale. 31 : A propos des préparations injectables : A. Elles peuvent être obtenues par émulsion B. Le solvant peut être de l eau C. Elles peuvent contenir des conservateurs antimicrobiens D. Elles comprennent les lyophilisats 32: A propos des préparations parentérales: A. La limpidité est calculée par abaissement du point de congélation B. Les solutions hypertoniques sont interdites C. La neutralité de la préparation n est pas obligatoire car l organisme tolère les variations de ph D. La viscosité du solvant peut être responsable de douleurs lors de l injection 33: A propos des voies et formes pulmonaires : A. Dans un aérosol, les particules dispersées dans le gaz sont toujours à l état solide B. En diminuant le diamètre aérodynamique médian en masse, on permet une plus grande progression des particules dans le tractus pulmonaire C. Pour un dépôt bronchique, une inspiration rapide par la bouche suffit D. Les particules ayant un diamètre de 3,5μm diffusent dans le poumon profond 34: A propos des formes et voies pulmonaires : A. Un aérosol est une préparation destinée à être convertie en vapeur B. La coordination «main-poumon» est importante pour la bonne prise d un aérosol C. Les préparations liquides dispensées au moyen de nébuliseur sont légèrement acides D. Lors de l utilisation d un nébuliseur, la chaleur risque de dégrader le principe actif 35 :Les dispositifs médicaux : A : On les range en 4 classes selon des niveaux de risque croissants. B : La durée d utilisation du dispositif médical et son caractère invasif sont pris en compte dans la classification. C : Un dispositif ayant une durée d utilisation qualifiée de «temporaire» est destiné à être utilisé en continu pendant moins de 3 heures. D : Un bistouri est un dispositif médical stérile à usage unique. 36 :Voie d abord parentérale pour dispositifs médicaux à usage individuel : A : Comprend 3 dispositifs : aiguilles, cathéters et lignes de perfusion uniquement. B : Une aiguille de 18G à un diamètre inférieur à une aiguille de 25G. C : La pose et l utilisation de cathéters présentent des risques infectieux non-négligeables. 6/7

7 D : La ligne de perfusion relie le récipient contenant la préparation injectable au système artériel en permettant le transfert à un débit réglable. 37-le pharynx : A-c est un conduit musculo-membraneux B-il y a 2 subdivisions : le pharynx nasal et le pharynx buccal C-entre rhinopharynx et nasopharynx il y a une cloison qui est le voile du palais D-le pharynx s étend de la base du crâne à C6 38 :la déglutition A-elle se déroule en trois phases : buccale, pharyngienne, abdominale B-pendant la phase buccale la langue propulse les aliments vers l arrière C-pendant la phase pharyngienne le voile du palais s élève et ferme l accès aux fosses nasales D-la déglutition faut appel aux nerfs crâniens IX, VII, X, XI 39-les fascias du cou : A-ils vont compartimenter différentes structures présentes dans le cou B-il y a le fascia superficiel, moyen et profond C-la lame pré vertébrale du fait de sa situation donne une extension pour la loge viscérale D-la lame pré trachéale entoure les muscles infra-hyoïdiens 40-le muscle digastrique A-c est un muscle possédant deux ventres : antérieur et postérieur B-son origine : incisure mastoïdienne sur la face distale du processus mastoïde C-le tendon intermédiaire coulisse dans la boutonnière du tendon du ligament stylo-hyoïdien D-le ventre antérieur se termine sur la fosse digastrique du bord supérieur de la mandibule 41-le larynx A-c est un organe important ayant un rôle dans la respiration, la phonation et la déglutition B-il est composé de nombreux cartilages : 4 principaux et de nombreux cartilages accessoires C-la muqueuse est soulevée par les cordes vocales D-le larynx fait suite à la trachée 42-les muscles du larynx : A-les muscles ont un rôle passif dans la phonation B-les muscles constricteurs de la glotte vont fermer l orifice de la glotte C-les muscles tenseurs des cordes vocales sont le crico-thyroïdien et le thyro-arythénoïdien D-les muscles intrinsèques assurent la mobilité du larynx 7/7

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