Charte d intervention en milieu scolaire

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1 PREVENTION DES RISQUES ADDICTIFS Charte d intervention en milieu scolaire Les préalables Le comité d éducation à la santé et à la citoyenneté est le cadre privilégié de toute action de prévention. Le chef d établissement en est le maître d œuvre (cf. BOEN n 28 du 9/07/1998). La présente charte élaborée en lien avec les partenaires spécialistes de la question des addictions et validée par les instances autorisées a pour objet d aider les équipes éducatives à soutenir une démarche de projet et à repérer les étapes et références documentaires et partenariales conseillées. I. Etapes de la démarche Le cadre de références - Circulaire n du 01/12/2003 relative au programme quinquénal de prévention et d éducation prévoit que la prévention des conduites à risques et la lutte contre la consommation des produits illicites ou dangereux doit être intégrée dans l école primaire et tout au long du cursus scolaire te particulièrement au collège - Loi de santé publique du 09/08/ article L code de l Education relatif à l information délivrée en milieu scolaire. Références documentaires : - Plan gouvernemental de lutte contre les drogues et toxicomanies et sa déclinaison départementale - Site EduSCOL : le CESC : prévention des conduites addictives - Prévention des conduites addictives en milieu scolaire Guide repère (novembre 2010) - Décret du 15/11/2006 interdiction de fumer dans les enceintes des établissements d enseignement - Circulaire n du 30/11/2006 CESC - Articles R et du code de l Education - Décret du 09/12/05 relatif aux EPLE Il importe avant tout engagement dans la démarche de s interroger sur ce que l on vise à prévenir et donc d analyser les besoins : Il s agira de développer : - une culture coopérative 1

2 - une vision partagée - un programme transversal évitant le schéma vertical, cloisonné, hiérarchique Les objectifs de la démarche Il conviendra de s interroger collectivement sur les objectifs recherchés à partir d un état des lieux afin d opérer les choix opportuns. s agit-il de répondre à :. des constats d usage ou/et de trafic?. une demande des parents ou des élèves. une commande institutionnelle. un «effet du moment». une démarche de prévention primaire. une situation de crise (événement amenant un «émoi» de la collectivité scolaire) visera-t-on à prévenir l usage? l abus? à réduire les risques? En fonction de l objet de la prévention il s agira de choisir un partenariat utile avec lequel s engagera chaque étape de la démarche dans une approche pluridisciplinaire. 2

3 La démarche elle-même : I - Les pistes d organisation : a) préparer les rencontres : réfléchir au sein de l établissement aux questions que se posent les jeunes ou les adultes concernés, b) ménager un lien avec une personne ressource de l établissement (préparation, coanimation et/ou évaluation avec un représentant du service d action sociale et de promotion de la santé en faveur des élèves. (Ce point permettant en aval de répondre aux jeunes à leurs questions ou difficultés particulières qui pourraient faire jour ultérieurement). c) impliquer la communauté des adultes de sorte qu ils soient davantage à l écoute des jeunes, d associer les adultes relais identifiés de l établissement, notamment les personnels sociaux et de santé, à chaque étape de la conduite du projet, d) répondre aux préoccupations du groupe, e) inscrire une action dans un programme global de promotion de la santé, f) éviter les «journées marathon», les programmes clé en main, maîtriser les interventions d urgence (si?) g) rechercher la qualité relationnelle plutôt que la quantité d informations, (la capacité d analyse et de réflexion). II Certaines recommandations d ordre éthique doivent s imposer à tous et être évoquées lors du choix des partenaires, ainsi s agira-t-il pour eux : a) d apporter une information claire, objective et non partisane b) de permettre une distanciation et une relativisation des problèmes c) d éviter tout discours moralisateur, ne jouant que sur les ressorts de l émotion d) de défendre la conception selon laquelle les problèmes liés aux abus de drogues, aux toxicomanies ou à d autres comportements portant sur d autres objets. e) de ne pas chercher à conforter les préjugés et autres stéréotypes, f) de participer à la construction d une société de citoyens responsables, libres et autonomes dans un espace interculturel et non discriminatoire. g) d avoir le souci de garantir la confidentialité des échanges, le secret professionnel ainsi que l obligation de réserve dans la limite de ce qu impose la loi. 3

4 III - Le choix des acteurs de prévention Le choix des intervenants s opèrera par les promoteurs du projet sous la responsabilité du chef d établissement dans le cadre de la présente charte et en fonction des objectifs poursuivis. La nécessité de personnels formés compétents et adaptés au public sera exigée. Les supports d intervention font l objet d une présentation et d une discussion avec les promoteurs de l action. Voir en annexe fiches techniques : - partenariat - méthodologie - outils : - Voir le site de l Inspection académique : prévention des conduites addictives (réalisations locales «démarches pédagogiques à destination des élèves de CM2» - DVD : partenariat Inspection académique de Saône-et-Loire, le CLEMI, la Gendarmerie nationale (en cours de réalisation sur l utilisation des nouvelles technologies) - Plaquette alcool tabac et produits illicites : «Quelle législation et quelle prévention pour les jeunes» - Voir le site de la MILDT : supports validés d animation - Voir EduSCOL : fiches thématiques 4

5 ANNEXE I. Partenariat : champ d intervention attendu 5

6 La Loi : Police gendarmerie Contact : Prendre contact avec le commissariat de Police ou la Brigade de Gendarmerie du secteur de l établissement (voir liste des correspondants jeunes qui a fait l objet d un envoi antérieur) Personnels intervenant? : Gendarmerie : formateur Relais anti-drogue (FRAD) Police : formateur anti-drogue (PFAD) Contenu attendu de l intervention : - Généralités et définitions (drogues, produits psycho-actifs, usage, dépendance, tolérance, etc ) - Les produits stupéfiants :. classification. données statistiques - Connaissance des produits : (diapos ou film ou présentation des produits réels selon le public concerné),. origine et historique. description et données chimiques. conditionnement et mode de prise. coût. effets recherchés et effets néfastes. contexte d usage et données chiffrées - La loi :. produits licites et illicites. réglementation concernant l alcool. les textes réprimant l usage, le trafic et les diverses infractions liées aux produits stupéfiants - La procédure judiciaire : rôle de la police et de la gendarmerie (interpellation, garde à vue, flagrant délit, explicitation de ces actes professionnels et pouvoirs de police en la matière). Données sur la trafic local. - Les structures en place relatives à l application de la loi et les modalités d intervention des services de Police et de Gendarmerie face à une situation donnée (trafic en milieu scolaire, soirée rave, débits de boissons, etc ) Modalités pratiques : Selon les objectifs de départ, l intervention sera complétée par d autres professionnels dans l approche psychosociale, éducative ou médicale. Ces interventions peuvent être réalisées en partenariat avec le corps médical (ex. Montceau-les-Mines Docteur Guillemin), notamment pour l approche des effets de la consommation des produits sur la santé. N.B : les interventions réalisées sont gratuites. 6

7 Adresses Direction secrétariat Equipe médico-psycho-sociale 15, rue Philibert Guide CHALON-SUR-SAÔNE : : SDIT - Sauvegarde 71 Prévention et soins des conduites addictives Equipe Prévention des conduites addictives 23, rue de Chalon MONTCEAU-LES-MINES : : Consultations Cann AGIR : (coût d un appel local) Antennes et permanences Mâcon : 350, quai Jean Jaurès Le Creusot : 4, rue du 4 septembre Autun : Centre social St Jean rue Naudin Personnels intervenants Equipe médico-psycho-sociale Médecins, psychiatres, psychologue, infirmier(ère)s, assistant(e)s de service social et éducateurs (trices) spécialisé(e)s Equipe Prévention des conduites addictives : Travailleurs sociaux, psychologue Objectifs du service Prise en charge médicale, psychologique et socio-éducative des personnes - accueil de toute personne en difficulté avec les substances psychoactives - prise en charge psychologique et socio-éducative - prise en charge médicale et/ou psychiatrique : prescription et délivrance de traitements de substitution, sevrage, suivi médical - accueil et prise en charge des familles et de l entourage - prise en charge socio-éducative en milieu carcéral - animation et coordination de REMED Addictions, réseau médical de praticiens de santé pour la prise en charge des patients toxicomanes - prise en charge est encadrée par les dispositions de gratuité, de confidentialité et d anonymat s il est demandé. Prévention des conduites addictives - consultations Cann AGIR : accueil, évaluation, orientation et/ou prise en charge brève des jeunes consommateurs de cannabis, d autres substances psycho actives, ou 7

8 présentant d autres comportements addictifs. Accueil de l entourage : parents et professionnels - animation et coordination de réseaux d intervenants sociaux destinés à sensibiliser les professionnels pour favoriser le développement d actions et d orientation - information et sensibilisation auprès de tous publics - actions de prévention en milieu scolaire - soutien technique et méthodologique auprès des intervenants en éducation pour la santé Réduction des risques (service «le 16 Kay») - accueil des toxicomanes et délivrance de matériel de RDR et de recommandations adaptés à leurs pratiques, coordination du PES avec les officines de villes et autres partenaires, interventions en milieu festif - ces missions sont également exercées à titre gratuit pour les bénéficiaires, encadrées par la confidentialité et l anonymat s il est demandé Formation des professionnels - de la santé : médecins, personnels hospitaliers, étudiants infirmiers - de l enseignement - des services de justice - travailleurs sociaux - groupes constitués de bénévoles Contenu de l intervention en milieu scolaire Le SDIT propose systématiquement d impliquer un ou deux adultes dans les actions de prévention : préparation, formation, réflexion, bilan. Une fois le cadre légal posé, l intervention est plus axée sur les comportements que sur le descriptif des produits. Les thèmes suivants sont abordés et discutés : - les conduites à risques - notions de groupe (appartenance, statut, leadership) - notions de plaisir, malaise, mal-être, souffrance - notions d usage, d abus, de dépendance - définition et discussion sur les notions de consommation, consommateur, toxicomanie, produits licites ou illicites, substances psychoactives - discussion sur l écoute, l aide et le soutien, la prise en charge. Selon les situations, le SDIT utilise des supports pédagogiques adaptés (vidéos, kit de prévention «De toi à moi», autres documents ) validés par la MILDT. L intervention est basée sur une dynamique de groupe où la parole des jeunes et le dialogue sont valorisés. L équipe de prévention participe aux CESC. Adresse de l équipe de prévention : prevention.sdit@sauvegarde71.fr Coût Sur les territoires où les Collectivités locales participent au financement du SDIT - Sauvegarde 71, aucune participation financière n est demandée : Agglomération de Chalonsur-Saône, Mâcon, Charnay les Mâcon, Communauté Creusot-Montceau, Autun. 8

9 ANPAA 71 Contact : ANPAA 71 ( Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie) 88, rue Rambuteau MACON comite71@anpa.asso.fr Antennes départementales : 7 CSAPA genéralistes (Centre de Soins, d Accompagnement et de Prévention en Addictogie) ( Mâcon, Chalon-sur-Saône, Le Creusot, Montceau, Paray-le Monial, Autun10 permanences en addictologie ( Louhans, Charolles, La Clayette, Marcigny, Chauffailles, Digoin, Bourbon-Lancy, Gueugnon, Tournus (centre social et hôpital de Belnay), centre pénitentiaire de Varenne le Grand) Personnels intervenants : Animateurs de prévention et formateurs éducateurs spécialisés, assistantes sociales, animateurs/visiteurs sociaux de centres d addictologie Personnel soignant : relaxologue, infirmières, psychologues, médecins Objectifs du service : La vocation de l ANPAA 71 est la prévention, l accompagnement et la prise en charge des personnes en souffrance vis-à-vis de leur consommation avec ou sans produit (alcool, tabac, drogues, médicaments, jeux, alimentation.) Son action s articule autour de trois axes : prévention, formation, soin et intervention sociale. Prévention : éduquer à la santé et la promouvoir - Agir sur les comportements, à toutes les étapes de la vie, en tous lieux, dans les moments les plus critiques ( adolescence, femmes enceintes, troisième âge) - Intervenir directement auprès des publics et par la formation de professionnels relais (enseignants, professionnels de santé, du social, de la justice, de l insertion ) Depuis 2007 : protocole d intervention pour une réponse individualisée et collective aux épisodes d alcoolisation en milieu scolaire. Ces interventions s adressent aux collégiens et aux lycéens sous la forme d une ou plusieurs entretiens afin de favoriser la prise de conscience des risques encourus ; un accompagnement individuel peut être mis en place pour une éventuelle orientation vers le soin si cela s avère nécessaire. Formation : - Accroître les compétences des professionnels par le renforcement de la formation continue. - Conforter les protocoles et référentiels de bonnes pratiques en clinique et en sciences sociales. 9

10 - Diffuser les outils relatifs au dépistage précoce et à l intervention brève à tous les acteurs de santé et médico-sociaux. Soin et intervention sociale : - Accueil, soins et accompagnement des personnes ayant une difficulté addictive. Prise en compte de l ensemble des pratiques addictives des consultants. - Accueil et accompagnement des membres de l entourage et des professionnels Ces dispositifs sont gratuits et anonymes. - Mise en place de projets, dans le cadre de partenariats formalisés, favorisant le suivi des patients et leur prise en charge globale par l ensemble des acteurs et services locaux. Contenu attendu de l intervention : L ANPAA 71 propose plusieurs axes d intervention aux établissements scolaires souhaitant s engager dans une démarche de prévention : Conseil méthodologique pour le montage de projets : Soutien méthodologique pour la mise en place d établissement sans tabac, conseil pour le montage de projet, suivi de CESC et participation à des groupes de prévention. Interventions en direction des élèves : Celles-ci sont mises en œuvre à partir d une demande des établissements et font l objet d une concertation avec les équipes éducatives, afin de déterminer les objectifs et les modalités d intervention. De fait, chaque action prend en compte la spécificité de l établissement et des publics rencontrés. Ces actions s inscrivent dans un projet de promotion de la santé. L approche collective ( de préférence avec une demi-classe) se déroule selon les règles de la confidentialité. L animateur applique des stratégies de démarche participative. Les domaines d intervention en matière de prévention des conduites à risque : Alcool Tabac Cannabis Sécurité routière Contenu des séances (selon les objectifs définis en concertation avec l établissement) : - Analyse des représentations sociales portant sur le produit et/ou sa consommation - Identification des différents comportements de consommation (abstinence, usage, usage à risque ) - Informations sur le produit et sur les dispositifs législatifs en vigueur - Analyse des motivations de consommation (identification au groupe, recherche des effets ) - Elaboration de stratégies de réduction des risques et renforcement des compétences sociales - Evaluation Conférences-débats en direction des parents : 10

11 Le thème de ces rencontres est défini avec l équipe éducative : adolescence, conduites à risques, consommation de substances psychoactives Formation et sensibilisation en direction des équipes éducatives : - Autour des concepts et pratiques de prévention du risque alcool, tabac - Autour de notions de base en alcoologie et addictologie Coût : selon les modalités du projet mis en place 11

12 IREPS / CODES 71 Contact: CODES 71 (Comité Départemental d'education pour la Santé de Saône et Loire) 17 place des tulipiers MACON Tél: Fax: codes71@orange.fr Professionnels intervenants : Corinne L HORSET, responsable des projets, conseillère méthodologique Stéphanie LIMBACH, chargée de projets, nutritionniste Annie BERRY, chargée d information- documentation Objectifs et missions du réseau IREPS/ CODES 71: Objectifs : Promouvoir la santé en Bourgogne dans le respect de la Charte régionale en éducation pour la santé Favoriser la réduction des inégalités de santé au sein du territoire bourguignon, et pour le CODES 71 particulièrement au sein du département de Saône et Loire Développer des projets locaux et régionaux en éducation et promotion de la santé Missions : Former les acteurs au développement, à la gestion et à l'évaluation de projets Produire des données contribuant à l'analyse locale des besoins en éducation pour la santé et le repérage des leviers d'action Développer la recherche-action et favoriser les actions de subsidiarité sur les territoires ou des thématiques non couvertes en fonction des besoins Contribuer à la mise en œuvre des politiques régionales de santé publique Soutenir méthodologiquement les acteurs locaux au développement, à la gestion et à l'évaluation de projets Documenter et communiquer sur des données probantes Interventions possibles au sein des établissements Le CODES 71 propose plusieurs axes d intervention, qui font partie de ses missions financées : 12

13 Conseil méthodologique aux porteurs de projets, et notamment dans le cadre des CESC Soutien et accompagnement des établissements scolaires dans la mise en œuvre de programmes d éducation et de promotion de la santé Facilitation de la coordination des projets d actions en milieu scolaire Par ailleurs, le CODES 71 propose d autres axes d intervention possibles, dont le financement est variable (prendre contact avec la responsable des projets pour une étude personnalisée) : Formation continue individuelle et/ou collective des professionnels par thématiques (sexualité, addictions, nutrition, santé mentale, ) par population (personnes en situation de handicap, de précarité,...), par concepts théoriques (la démarche participative, l éducation et la promotion de la santé, la méthodologie de projets ), etc. Journées d échanges de pratiques pour les professionnels Interventions participatives auprès des élèves Colloques tout public Le centre de ressources documentaires: Du lundi au jeudi matin : 9h-11h30/14h-16h30 codes71.doc@laposte.net Le réseau IREPS/CODES dispose de centres de ressources spécialisées offrant aux acteurs des prestations documentaires, l'accès à des outils scientifiques, des outils d'intervention et des outils de diffusion. Il propose : un fonds documentaire dans chaque département et un fonds régional fusionné avec celui de l'observatoire Régional de la Santé un portail en santé publique une lettre d'information électronique mensuelle : CanalSanté Les services proposés à Mâcon et Chalon: Diffusion de supports de prévention (brochures, affiches, dépliants, etc.) Relais des campagnes nationales de prévention Consultation sur place d'ouvrages et de revues spécialisées Conseil pour le choix d'outils d'intervention pertinents au regard du public et des objectifs de votre action Accompagnement à la recherche documentaire Emprunt d'outils d'intervention et d'ouvrages via un système d'adhésion annuelle 13

14 ALCOOL ASSISTANCE LA CROIX D OR Contact ALCOOL ASSISTANCE DE SAÔNE-ET-LOIRE Centre Médico Social, rue du Docteur Calmette MONTCHANIN Tél. : (M. Loïc KARCZEWSKI) loic.karczewski@wanadoo.fr Antennes départementales - 15 sections à : Autun, Bourbon-Lancy, Chalon-sur-Saône, Cluny, Ciry-le-Noble / Sanvignes, Le Creusot, Digoin, Gueugnon, Louhans, Mâcon, Marcigny, Montceau-les-Mines, Montchanin, Paray-le-Monial, Tournus. - 3 permanences à : Blanzy, Epinac, Saint-Vallier. Personnels intervenants - Animateurs de prévention Objectifs du service - Buts : - Moyens : L association régie par la loi de 1901, reconnue d utilité publique en1966, a pour but de réunir toutes les personnes, désirant par leur engagement personnel, agir efficacement pour assurer l accueil et l information de toutes les personnes en difficulté avec l alcool. Elle apporte soutien, écoute et information sur la conduite à observer pour faciliter les soins, consolider l abstinence et favoriser le retour à une vie sociale équilibrée, aussi bien aux malades alcoolo-dépendants eux-mêmes, qu à leur(s) entourage(s) familial ou professionnel. Création au plan local, de permanences, de lieux d accueil et d écoute pour les personnes en difficulté avec l alcool et leurs proches. Formation des responsables et animateurs et des bénévoles qui souhaitent acquérir ou consolider leurs compétences pour perfectionner leur action militante. (Les formations sont données par des formateurs nationaux, notre association nationale étant reconnue comme organisme de formation). La constitution, la pérennisation et l animation de groupes de paroles spécifiques, «hommes», «femmes», «jeunes», «entourage». L organisation de toutes les activités festives, ludiques, récréatives, culturelles, sportives ou autre, contribuant à la réinsertion sociale et à la reprise d une vie familiale équilibrée. La création, la diffusion de programmes de prévention adaptés aussi bien auprès des adolescents, des jeunes, que des personnels des entreprises publiques ou privées. 14

15 Bien entendu la plus stricte confidentialité est de mise dans notre association et tous ces dispositifs sont gratuits. Intervention en direction des élèves Coût Nos interventions sont organisées à la demande des établissements et leur contenu est établi au préalable en concertation avec les chefs d établissements, ou leur représentant, et les équipes éducatives. Le domaine de prévention de nos animateurs est évidemment l information et la sensibilisation aux risques liés à la consommation d alcool, aux conduites à risque qui en découlent pouvant engendrer des dommages physiques, psychologiques et comportementaux. Nos intervenants ayant vécu la maladie alcoolique peuvent apporter leur témoignage et retracer le parcours de vie qui mène d une consommation modérée à la dépendance, puis à la prise de conscience et aux soins. Nos animateurs de prévention étant bénévoles, seuls les frais de déplacement et éventuellement la possibilité de prendre sont demandés. Si les chefs d établissements le souhaitent, nous pouvons également proposer de la documentation en rapport avec notre intervention. 15

16 Associations et intervenants indépendants Présentation du rôle des associations : accompagnement vers les dispositifs spécialisés aide à la mise en place du projet en appui d autres services. soutien logistique : outils 16

17 Education Nationale Inspection académique de Saône-et-Loire Service d action sociale et de promotion de la santé en faveur des élèves Contact : équipe médico-sociale de l établissement scolaire Personnel intervenant : Médecin assistant(e) social(e) infirmier(ère) de l Education nationale Objectifs du service : 1) Prévenir les conduites à risques 2) Promouvoir la santé des jeunes 3) Protéger 4) Faciliter l accès aux soins Contenu de l intervention attendu En initiant ou accompagnant des actions collectives ou des interventions individuelles : 1) En apportant un conseil technique en amont, quant à l opportunité de l action analyse des besoins en complément d autres intervenants 2) En appui quant à l organisation La mise en place et le suivi des actions : - aide au choix des intervenants - participation en tant que de besoin aux animations Coût : mise à disposition des personnels sociaux et de santé Modalités pratiques Associer les personnels à chaque étape de la démarche et à l élaboration du calendrier, s assurer du respect de la charte en lien avec les groupes de pilotage du CESC. selon les objectifs de départ, l intervention sera complétée par l intervention d autres professionnels. 17

18 ANNEXE II. Méthodologie 18

19 Fiche pratique pour rédiger un projet L intitulé du projet Donne les grandes lignes à travers le titre Les constats C est le pourquoi d un projet Ce sont les observations ou les faits qui nous ont amené à ce projet C est l environnement socioculturel du public concerné, ses principales caractéristiques Les objectifs C est ce que l on veut obtenir : en général, concrètement. Augmenter les connaissances?. Sensibiliser au problème?. Amener à un changement de comportement?. Prévenir et traiter le collectif Le public concerné Qui est concerné? Un petit groupe d une ou deux classes? Un niveau de classe? L ensemble de l établissement, un individu? Des adultes? Lesquels? Préciser le nombre d élèves concernés. L âge moyen ou l amplitude d âge le nombre d adultes Descriptif du projet Ce que l on veut faire précisément Dans quel cadre? Les partenaires opérationnels Qui participe? Quels sont les moyens humains? à l intérieur de l établissement, à l extérieur de l établissement (intervenants, parents), Qui fait quoi? Les partenaires financiers L établissement doit toujours figurer 19

20 Lister les partenaires : ceux qui ont été contactés les demandes présentées les participations acquises Le budget prévisionnel La règle d un cofinancement est impérative et suppose une participation d l EPLE au titre du BOP vie de l élève ou FSE (privilégier l approche territoriale du projet global au titre de l atelier santé-ville, inter CESC, intercommunalité, ) Dépenses/recettes le plus précisément possible Faire figurer les prêts gratuits de salle (par la ville par exemple), de transport ou de matériel La participation des personnels Lors de l appel à projet annuel au titre des CESC par l Inspection académique, des subventions complémentaires peuvent être accordées à vos projets au regard des actions envisagées, soit au titre de l ARS (Agence régionale de santé, la MILDT, le Conseil régional (pour les lycées) Penser au financement spécifique au titre du comité d éducation à la santé et à la citoyenneté (crédits MILDT délégués par année civile au chef de projet départemental). Le planning Les dates de début et de fin prévues pour le projet (il peut se dérouler sur une ou deux années scolaires) l organisation dans le temps à l intérieur de l année scolaire Suivi de l action Deux pôles sont à prendre en compte et peuvent être assurés par deux personnes différentes : Responsabilité de l action (impulsion, décisions) Gestion de l action au quotidien Il est souhaitable que ces personnes soient nommées pour être repérées par les différents partenaires et jouer leur rôle de référent. Evaluation Elle est à prévoir en même temps que le projet Veut-on mesurer les objectifs et définir les moyens de l évaluation : questionnaire, taux de satisfaction, taux de participation, pérennisation de l action? Evaluer la pertinence de l action : observation de l évolution de l action, de ce qui se passe, Comment ça se passe? (la participation du public, l implication des responsables, les effets induits). 20

21 PREVENTION DES TOXICOMANIES LICITES ET ILLICITES Engagement partenarial Dans un souci de qualité, de garantie d une éthique partagée et de complémentarité, les institutions concernées et représentées s engagent à respecter les termes de la charte d intervention. Le chef d établissement : Les partenaires impliqués De Président du CESC Institutions concernées Nom et qualité des représentants Fait à, le Signature de chacun des partenaires communs à une même action 21

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