PRÉSENTATION D UNE INNOVATION EN TRAITEMENT DES EAUX ÉTUDE DE CAS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PRÉSENTATION D UNE INNOVATION EN TRAITEMENT DES EAUX ÉTUDE DE CAS"

Transcription

1 PRÉSENTATION D UNE INNOVATION EN TRAITEMENT DES EAUX ÉTUDE DE CAS Réacteur séquentiel discontinu avec micro organismes Anammox TRAITEMENT DE DÉ-AMMONIFICATION DES EAUX SECONDAIRES À LA STATION DE TRAITEMENT DES EAUX USÉES DE GUELPH DANS LE CADRE D UN PROJET D ÉLIMINATION DE L AMMONIUM À FAIBLE CONSOMMATION D ÉNERGIE Aperçu général Objectif: Réduire la charge en ammonium dans les filtres à l aide de la technologie de la dé ammonification par Anammox pour finalement réduire la charge d ammonium au niveau des ouvrages de prise d eau de la station de traitement des eaux usées de Guelph. Contexte du projet La station de traitement des eaux usées de Guelph a actuellement une capacité nominale de 64 mégalitres/jour. Elle assure le dégrillage et le dessablage préliminaires, le traitement primaire par sédimentation, le traitement secondaire par aération conventionnelle et prolongée des boues activées, ainsi que le traitement tertiaire à l aide de contacteurs biologiques rotatifs, suivi d une filtration sur sable. L effluent est désinfecté chimiquement avant la vidange dans le cours d eau récepteur. Les boues des clarificateurs primaires et les boues activées épaissies des clarificateurs secondaires sont stabilisées dans des digesteurs anaérobies primaires qui se déversent dans un digesteur anaérobie secondaire. Les boues digérées sont ensuite égouttées à l aide de filtres presses, puis le filtrat est recyclé à l entrée de la station.

2 Au cours d une révision visant à optimiser son système, la ville de Guelph (la Ville) a indiqué que la charge d ammonium dans le filtrat recyclé à l entrée de la station engendrait d importantes contraintes pour la station de traitement des eaux usées de Guelph, en raison des objectifs réglementaires rigoureux en matière d ammonium dans les effluents. En implantant un système de traitement des eaux secondaires et en éliminant l ammonium des boues du liquide d égouttage, les contraintes en matière d ammonium dans les boues principales seraient réduites. Cela permettrait ainsi à la station de traitement des eaux usées d accroître sa capacité et de reporter sa mise à niveau. Objectif du projet L objectif de ce projet est de mettre en œuvre un procédé de traitement des eaux secondaires à grande échelle, en ayant recours aux microorganismes Anammox pour réduire la concentration d ammonium dans le filtrat des digesteurs anaérobies en vue de permettre à la station de traitement des eaux usées de Guelph d atteindre ses objectifs en matière d ammonium dans les effluents, de manière plus constante tout en réduisant les coûts d exploitation inhérents à l élimination de l ammonium. L objectif du procédé de traitement des eaux secondaires est d éliminer plus de 90 pour cent de la charge d ammonium dans le filtrat entrant. La Ville prévoit également d utiliser le système de traitement des eaux secondaires par Anammox pour étudier, à l échelle d un projet pilote, l efficacité d une implantation de micro organismes Anammox développés dans le cadre d un procédé appliqué aux eaux secondaires dans un procédé conventionnel. Le processus appliqué aux eaux secondaires pourrait, une fois déployé à grande échelle, servir de source de micro organismes Anammox pour d autres stations de traitement des eaux usées en Ontario, qui sont train de mettre cette technologie en place. Technologie du projet Plusieurs procédés peuvent être utilisés pour atténuer les effets de l ammonium dans les boues des liquides d égouttage, incluant l égalisation des débits, les procédés physiques et chimiques, les procédés biologiques fondés sur la nitrification et la dénitrification conventionnelles, la nitrification et la dénitrification ou la déammonification par Anammox. Défis et solution L acclimatation des micro organismes Anammox a représenté un défi, attendu que leur rendement est fortement tributaire des conditions environnementales, à savoir le stockage avant l implantation, la température, l aération, la qualité du filtrat, etc. L automatisation du système de déammonification par Anammox peut être bénéfique, permettant une adaptation rapide du système sur la base de conditions existantes (incluant la variabilité du filtrat) durant la phase de mise en service et la phase d utilisation normale. L aération excessive dans les réacteurs séquentiels discontinus (RSD) réduit le rendement des microorganismes Anommox; elle peut être atténuée en mettant les RSD en mode «mixte», assurant ainsi une alternance entre l arrêt de l aération et le fonctionnement des agitateurs. Résultats La mise en service à la station de traitement des eaux usées de Gelph se poursuit. Les résultats du système se sont avérés encourageants et des projets pilotes pourront être lancés dès que les micro organismes Anammox se seront pleinement acclimatés. Le principe de la dé ammonification par Anammox est de convertir la moitié de l ammonium en nitrite à l aide de bactéries oxydantes d ammonium (BOA), puis de convertir le nitrite et l ammonium restant directement en azote au moyen de micro organismes Anammox. Le premier avantage de la dé ammonification est qu elle requiert près de 60 pour cent d oxygène de moins que la nitrification et la dénitrification conventionnelles. De plus, elle permet d éliminer tout l azote sans qu il ne soit nécessaire d utiliser d autres produits chimiques (carbone organique). Ainsi, la quantité de boues produites est inférieure à celle des boues produites par nitrification et la dénitrification. Le graphique 1 indique les similitudes et les différences entre la nitrification et la dénitrification conventionnelles et le procédé de dé ammonification par Anammox. Pour réussir, l implantation de la dé ammonification par Anammox exige une croissance synergique des microorganismes Anammox et des BOA dans des conditions environnementales qui favorisent tant l activité aérobique des BOA que l activité anoxique des micro organismes Anammox (anoxique signifiant l absence d oxygène, mais la présence de nitrite ou de nitrate). Les conditions aérobiques et anoxiques peuvent être créées par aération cyclique.

3 Illustration 1. Nitrification et dénitrification conventionnelles comparées au procédé de dé ammonification par Anammox. La ville a désigné CH2M HILL Canada Limited pour évaluer les technologies de dé ammonification exclusives offertes sur le marché. Le procédé DEMON a été recommandé en raison de la capacité de son équipement à assurer la santé des micro organismes Anammox et à retenir de manière sélective les micro organismes Anammox au dessus des autres bactéries suspendues en croissance et des solides présents dans le liquide d égouttage. Il est appliqué dans plusieurs installations à grande échelle en Europe. En outre, sa compatibilité avec un procédé d ensemencement conventionnel a été démontrée. La composante principale des installations exclusives DEMON est constituée de deux réacteurs séquentiels discontinus (RSD) équipés de panneaux d aération, d agitateurs, de bassins de décantation et de cyclones utilisés pour retenir de manière sélective les micro organismes Anammox dans les RSD. Défis et solutions Le principal défi de l implantation de la dé ammonification par Anammox est le fait que la technologie est relativement récente. La station de traitement des eaux usées de Guelph est la première installation au Canada à utiliser cette technologie; pavant ainsi la voie pour d autres municipalités. Le procédé DEMON est une installation exclusive qui comprend l équipement nécessaire et dispose de son propre automate programmable industriel (API). L intégration de cet API au système de supervision, de contrôle et d acquisition des données (SCADA) existant de la station de traitement des eaux usées de Guelph a soulevé un défi. Un deuxième API a été nécessaire pour assurer la communication entre l API DEMON, le système SCADA de la station et les appareils de contrôle auxiliaires propres au procédé Anammox. Ces retards de programmation ont affecté l échéancier de mise en service, ce qui a engendré deux défis importants. Les micro organismes d ensemencement Anammox étaient présents sur le site avant que le système ne puisse être mis en service. Une augmentation du délai pendant lequel les micro organismes Anammox sont présents dans un contenant sur le site entraîne une prolongation relativement importante de la période d acclimatation dans les RSD avant qu ils ne soient pleinement actifs. Ce fait, combiné à des températures froides inattendues en raison des retards de la mise en service a eu pour effet de prolonger l acclimatation des micro organismes Anammox au système. Un autre défi du système de la dé ammonification par Anammox est de contrôler la qualité du débit du filtrat dans les RSD, car cette qualité a une incidence significative sur le rendement du RSD. Puisque la station de traitement des eaux usées de Guelph est dotée de deux types de filtres presses à bande, la variabilité de la

4 qualité du filtrat fait partie inhérente de l utilisation de deux types de filtres presses à bande. Les procédés utilisés en amont dans les digesteurs anaérobies peuvent également toucher la qualité du débit du filtrat. Le système DEMON est doté de clapets de dérivation manuels qui peuvent être ouverts ou fermés manuellement pour diriger le filtrat vers l entrée de la station plutôt que vers les RSD pour un traitement de déammonification par Anammox. Durant la mise en service, la qualité du débit du filtrat dans les RSD a fait l objet d une surveillance particulière. Il a alors été établi que des clapets de dérivation automatisés seraient utiles pour pouvoir diriger le filtrat vers l entrée de la station s il est de piètre qualité et ainsi maintenir un environnement sain pour les microorganismes Anammox en phase d acclimatation. Il serait également bon que ces clapets soient activés en fonction de la qualité du filtrat et intégrés au système SCADA de la station lors des activités courantes en raison de la variabilité inhérente de la qualité du filtrat qui survient parfois. Résultats La mise en service d un système de dé ammonification par Anammox est toujours en cours et les travaux progressent en vue de l acclimatation des micro organismes Anammox. Le système sera pleinement opérationnel au printemps La station de traitement des eaux usées de Guelph exerce une étroite surveillance et un suivi attentif des concentrations d ammonium, de nitrite et de nitrate dans les effluents d entrée et de sortie du processus DEMON. L aération excessive peut entraîner des pointes de nitrites dans les RSD. Ce fait a été observé à l occasion par le personnel de la station durant la mise en service et a pu être atténué en mettant le RSD en mode «mixte», soit arrêter l aération tout en faisant fonctionner les agitateurs pour créer un environnement anoxique dans lequel les micro organismes Anammox peuvent œuvrer. L illustration 2 donne un exemple de cette opération en mode «mixte» durant la mise en service. Le 7 décembre 2015, le RSD n o 2 a été mis en mode «mixte» pour atténuer l aération excessive. Peu de temps après, une diminution dans les concentrations d ammonium et de nitrite, à des taux similaires, a été observée, indiquant ainsi l efficacité du système de traitement DEMON. Ensemencement des réacteurs séquentiels discontinus avec des micro organismes Anammox durant la mise en service

5 Résultats du procédé par Anammox dans le RSD n o 2 pendant la mise en service 7 décembre 2015: Le RSD n o 2 passe du mode aération au mode mixte Concentration des effluents du RSD (mg/l) Mode mixte RSD Application à d autres municipalités de l Ontario Illustration 2. Résultats du RSD n o 2 pendant la mise en service Les technologies de dé ammonification comme DEMON permettent de réduire l ammonium de manière plus rentable dans toutes les stations de traitement des eaux usées de l Ontario. D autres municipalités pourront tirer des leçons de défis et des solutions de ce projet et intégrer ces connaissances à d'autres projets de déammonification par Anammox.

6 Par ailleurs, une fois les micro organismes Anammox pleinement acclimatés à la station de traitement des eaux usées de Guelph, il est possible que cette installation serve de source d ensemencement pour d autres collectivités qui ont recours à la dé ammonification par Anammox. Le traitement des eaux secondaires par Anammox a également le potentiel de devenir une technologie généralisée. Si l étude pilote menée à la station de traitement des eaux usées de Guelph démontre qu une application généralisée des micro organismes Anammox est viable, cela pourrait changer de façon drastique la manière dont les eaux usées sont traitées en Ontario et ailleurs dans le monde. Remerciements Consultants du projet : CH2M HILL Canada Limited Partenaires du gouvernement : Ministère de l Environnement et de l Action en matière de changement climatique Ce projet a obtenu le soutien financier du gouvernement de l Ontario. Cet appui n indique nullement que le gouvernement de l Ontario approuve le contenu de ce document. Pour plus de détails Si vous avez des questions ou si vous désirez en apprendre davantage au sujet du projet Anammox, veuillez communiquer avec: Kiran Suresh, B.Eng., PMP, directrice d usine, Services des eaux usées de la ville de Guelph poste 2960 kiran.suresh@guelph.ca Jamie Jupp, M.Eng., P.Eng., Chargé de projet, CH2M HILL Canada Limited poste james.jupp@ch2m.com

Démarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée

Démarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée Démarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée L application de la circulaire Voynet-Le pensec et la mise en place des programmes

Plus en détail

5. Matériaux en contact avec l eau

5. Matériaux en contact avec l eau Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE VOYAGE DE PRESSE NANTES. Mercredi 23 juin 2010

DOSSIER DE PRESSE VOYAGE DE PRESSE NANTES. Mercredi 23 juin 2010 DOSSIER DE PRESSE VOYAGE DE PRESSE NANTES Mercredi 23 juin 2010 La régie de l eau de Nantes Métropole gère tous ses équipements techniques et son usine de Traitement d eau avec le logiciel GMAO CARL Master.

Plus en détail

de l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction

de l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction de l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction Guide de conception de projets GC-3.2.4 Fabrication et distribution de l'air comprimé et de l'eau réfrigérée (11/2007)

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

COMMISSION MIXTE INTERNATIONALE COMITÉ DE GESTION ADAPTATIVE DES GRANDS LACS ET DU FLEUVE SAINT-LAURENT DES CONSEILS DE CONTRÔLE DES GRANDS LACS

COMMISSION MIXTE INTERNATIONALE COMITÉ DE GESTION ADAPTATIVE DES GRANDS LACS ET DU FLEUVE SAINT-LAURENT DES CONSEILS DE CONTRÔLE DES GRANDS LACS COMMISSION MIXTE INTERNATIONALE COMITÉ DE GESTION ADAPTATIVE DES GRANDS LACS ET DU FLEUVE SAINT-LAURENT DES CONSEILS DE CONTRÔLE DES GRANDS LACS DIRECTIVE INTRODUCTION Au cours du siècle passé, la Commission

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

CHAPITRE 8 ORGANISATION DE LA COMMUNICATION

CHAPITRE 8 ORGANISATION DE LA COMMUNICATION ORGANISATION DE LA COMMUNICATION Pour toute communication, il est important de bien cibler l objectif à atteindre. Sans une démarche de planification et d organisation de celle-ci, les probabilités de

Plus en détail

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,

Plus en détail

Séparateurs d huile/eau

Séparateurs d huile/eau Les Systèmes Customeng, Conception, R&D et manufacturier d équipements spécialisés 10717 Rue Waverly, Montréal, Québec, H3L 2W7, T : 514331-5121, F : 514-331-5292 Séparateurs d huile/eau Préparé par: Gilles

Plus en détail

L I V R E B L A N C P r o t ég e r l e s a p p l i c a t i o n s m ét i e r s c r i t i q u e s M a i n f r a m e, un b e s o i n c r u c i a l

L I V R E B L A N C P r o t ég e r l e s a p p l i c a t i o n s m ét i e r s c r i t i q u e s M a i n f r a m e, un b e s o i n c r u c i a l Siège social : 5 Speen Street Framingham, MA 01701, É.-U. T.508.872.8200 F.508.935.4015 www.idc.com L I V R E B L A N C P r o t ég e r l e s a p p l i c a t i o n s m ét i e r s c r i t i q u e s M a i

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT

Plus en détail

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004 Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)

Plus en détail

VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ

VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ Ce document regroupe, sous forme de fiches, les informations nécessaires à la réalisation des travaux de

Plus en détail

LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION

LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION Technologies émergeantes de biométhanisation de la biomasse végétale en Inde H.N. Chanakya, Centre for Sustainable Technologies (formerly ASTRA Centre), Indian Institute

Plus en détail

Exemple du SATESE MAGE 42

Exemple du SATESE MAGE 42 LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux

Plus en détail

La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre.

La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. Contexte / Objectifs La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. A titre d exemple, pour compenser les émissions

Plus en détail

Enseignement au cycle primaire (première partie)

Enseignement au cycle primaire (première partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de

Plus en détail

Traitement de l eau par flux dynamique

Traitement de l eau par flux dynamique GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat

Plus en détail

CM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation

CM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation CM2E 2014 Colloque Martinique Energie Environnement Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation M. Torrijos, Laboratoire de Biotechnologie de l Environnement, INRA-LBE,

Plus en détail

Le bois, la première des énergies renouvelables

Le bois, la première des énergies renouvelables Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire

Plus en détail

Capture et stockage du CO2 (CCS)

Capture et stockage du CO2 (CCS) European Technology Platform for Zero Emission Fossil Fuel Power Plants (ZEP) Capture et stockage du CO2 (CCS) Une solution majeure pour combattre le changement climatique 50% de réduction des émissions

Plus en détail

Le point en recherche

Le point en recherche Le point en recherche Octobre 2005 Série technique 05-110 Télésurveillance et commande à distance des installations sur place de traitement et de recyclage des eaux usées, et de réutilisation de l eau

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

Chauffage à granulés de bois

Chauffage à granulés de bois 0 Chauffage à granulés de bois Alliance pour le Climat Luxembourg Protection du climat à la base En partenariat avec plus de 00 villes et communes européennes, plusieurs communes de l Alliance pour le

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

Développement itératif, évolutif et agile

Développement itératif, évolutif et agile Document Développement itératif, évolutif et agile Auteur Nicoleta SERGI Version 1.0 Date de sortie 23/11/2007 1. Processus Unifié Développement itératif, évolutif et agile Contrairement au cycle de vie

Plus en détail

Manuel 6330084190. SAFE-O-TRONIC access Identification électronique et système de verrouillage par NIP Item No. 6330084190

Manuel 6330084190. SAFE-O-TRONIC access Identification électronique et système de verrouillage par NIP Item No. 6330084190 SAFE-O-TRONIC access Identification électronique et système de verrouillage par NIP Item No. Manuel français SAFE-O-TRONIC access Serrure d armoire 1 Indications concernant ce manuel Document number: FR_042014

Plus en détail

Etat. factures. portail. res. dématérialiser EDI. fournisseurs. Etat EDI CO2. Dématérialisation des factures. portail. fiabilité.

Etat. factures. portail. res. dématérialiser EDI. fournisseurs. Etat EDI CO2. Dématérialisation des factures. portail. fiabilité. it fournisseurs ourn p tu fi bi r q res e Dématérialisation des Chorus une solution simple 100 % GRATUITE Gains financiers Réduction des coûts d impression, de stockage et d acheminement Gains d espace

Plus en détail

Batterie Li-ion Evolion. La solution éprouvée ultracompacte de Saft pour les applications télécoms

Batterie Li-ion Evolion. La solution éprouvée ultracompacte de Saft pour les applications télécoms Batterie Li-ion Evolion La solution éprouvée ultracompacte de Saft pour les applications télécoms Saft : fournisseur d énergie de secours des installations télécoms d aujourd hui Saft propose une gamme

Plus en détail

allianceautopropane.com

allianceautopropane.com allianceautopropane.com QUI EST ALLIANCE AUTOPROPANE? LE PLUS GRAND RÉSEAU D AUTOPROPANIERS EN AMÉRIQUE Alliance AutoPropane est un réseau de propaniers qui se consacre à la distribution et à la vente

Plus en détail

Le nuage : Pourquoi il est logique pour votre entreprise

Le nuage : Pourquoi il est logique pour votre entreprise Le nuage : Pourquoi il est logique pour votre entreprise TABLE DES MATIÈRES LE NUAGE : POURQUOI IL EST LOGIQUE POUR VOTRE ENTREPRISE INTRODUCTION CHAPITRE 1 CHAPITRE 2 CHAPITRE 3 CONCLUSION PAGE 3 PAGE

Plus en détail

La technologie écologique rend la vie plus harmonieuse

La technologie écologique rend la vie plus harmonieuse La technologie écologique rend la vie plus harmonieuse SAS RECYCL EAU au capital de 30 294,88 contact@recycleau.fr 150 avenue des Ferrailles N SIRET : 515 330 009 00017 www.recycleau.fr 84800 Isle sur

Plus en détail

eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com

eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste De plus en plus, le traitement des biodéchets

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA CHLORATION?

QU EST-CE QUE LA CHLORATION? QU EST-CE QUE LA CHLORATION? Qu est-ce que la chloration? Des micro-organismes peuvent être trouvés dans des rivières, lacs et eau souterraine. Même si ce ne sont pas tous les micro-organismes qui peuvent

Plus en détail

Module 6 Envois de matières infectieuses réfrigérés avec de la glace carbonique

Module 6 Envois de matières infectieuses réfrigérés avec de la glace carbonique Module 6 Envois de matières infectieuses réfrigérés avec de la glace Aperçu Page 2 de 28 Emballages appropriés Marquage et étiquetage Documentation exigée Exercice: emballage en présence de glace Page

Plus en détail

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres

Plus en détail

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires?

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION LISTE DES PRODUITS FICHES TECHNIQUES

TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION LISTE DES PRODUITS FICHES TECHNIQUES TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION LISTE DES PRODUITS FICHES TECHNIQUES RECOMMANDATIONS D APPLICATION INTRODUCTION HISTORIQUE, AVANTAGES TECHNOLOGIQUES, ET BÉNÉFICES DU POLYURÉTHANE HYGRORÉACTIF À UN COMPOSANT.

Plus en détail

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations

Plus en détail

"COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EXCEPTIONNELLE"

COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EXCEPTIONNELLE "COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EXCEPTIONNELLE" La loi d'épuration expérimentale TILLIÉ-TURCO Deux chercheurs niçois, spécialistes de la valorisation des Déchets Industriels Réutilisables - les "D.I.R" comme

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Food and Agriculture Organization of the United Nations. Cent trente-huitième session. Rome, 21-25 mars 2011

Food and Agriculture Organization of the United Nations. Cent trente-huitième session. Rome, 21-25 mars 2011 Mars 2011 联 合 国 粮 食 及 农 业 组 织 Food and Agriculture Organization of the United Nations Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture Organización de las Naciones Unidas para la Agricultura

Plus en détail

CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL)

CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL) CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL) M. KUPER, A. HAMMANI ET B. JAOUADI FIGURE 51 Atelier de restitution du projet

Plus en détail

Qu est-ce que l acier inoxydable? Fe Cr > 10,5% C < 1,2%

Qu est-ce que l acier inoxydable? Fe Cr > 10,5% C < 1,2% Cr > 10,5% C < 1,2% Qu est-ce que l acier inoxydable? Alliage de fer comportant 10,5 % de chrome et 1,2 % de carbone nécessaires pour garantir la formation d une couche de surface auto-régénérante (couche

Plus en détail

PETRO-CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS

PETRO-CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS PETRO-CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS LE 31 MARS, 2009 PETRO-CANADA - 2 - RÉSULTATS CONSOLIDÉS (non vérifié) Pour les périodes terminées le 31 mars (en millions de dollars canadiens, sauf les montants

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

DES PROCÉDÉS DE TRAITEMENT DE L EAU ET DES EAUX USÉES RECHERCHE, DÉVELOPPEMENT & INDUSTRIALISATION

DES PROCÉDÉS DE TRAITEMENT DE L EAU ET DES EAUX USÉES RECHERCHE, DÉVELOPPEMENT & INDUSTRIALISATION DES PROCÉDÉS DE TRAITEMENT DE L EAU ET DES EAUX USÉES RECHERCHE, DÉVELOPPEMENT & INDUSTRIALISATION IDENTITÉ Expertise Recherche Degrémont Technologies, une division de Degrémont-Suez Environnement, est

Plus en détail

PROGRAMMES ET DES PARTENARIATS EN MATIÈRE D'ÉDUCATION ET DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL INFRASTRUCTURES COMMUNAUTAIRES

PROGRAMMES ET DES PARTENARIATS EN MATIÈRE D'ÉDUCATION ET DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL INFRASTRUCTURES COMMUNAUTAIRES RAPPORT AU COMITÉ D ÉVALUATION (CVÉ), DE MESUR DU RENDEMENT ET D EXAMEN EN DATE DU 30 SEPTEMBRE 09 1) Le Ministère devrait continuer de fournir de l assistance aux Premières nations pour la construction,

Plus en détail

Profits et rendements maximum.

Profits et rendements maximum. Profits et rendements maimum. Nos services d eploitation et de maintenance pour centrales solaires Tout pour le bon fonctionnement de votre installation. Un service complet pour une eploitation sans soucis

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut?

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce document est traduit et librement adapté

Plus en détail

ETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES

ETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES ETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES Juin 2011 Étude réalisée pour le compte de l'ademe par Schwartz and Co et AJI Europe Coordination technique : Patrick

Plus en détail

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus

Plus en détail

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité

Plus en détail

Toitures vertes : bien commun ou bien privé?

Toitures vertes : bien commun ou bien privé? Toitures vertes : bien commun ou bien privé? Owen A. Rose LEED, M.Arch, B.Comm www.ecologieurbaine.net www.montroyal-avenueverte.org www.ecosensuel.net Toitures vertes à la montréalaise Un vieux concept

Plus en détail

Plan d action du personnel de la CCSN concernant les recommandations du Groupe de travail de la CCSN sur Fukushima INFO-0828

Plan d action du personnel de la CCSN concernant les recommandations du Groupe de travail de la CCSN sur Fukushima INFO-0828 Plan d action du personnel de la CCSN concernant les recommandations du Groupe de travail de la CCSN sur Fukushima INFO-0828 Décembre 2011 Plan d action du personnel de la CCSN concernant les recommandations

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010) Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des

Plus en détail

BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP

BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP Sommaire 1/ DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE CONCERNÉE 2 2/ ANNÉE DE REPORTING DE L EXERCICE ET L ANNÉE DE RÉFÉRENCE 3 Utilisation d énergie sur

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

A.3 Les méthodes : L applicabilité

A.3 Les méthodes : L applicabilité SOMMAIRE A. Première partie A.1 Ingénierie système : du besoin au système (produit/service) A.2 SDF, Maintenance et concepts sous-jacents A.3 Les méthodes : L applicabilité A.4 GMAO = GM + AO B. Deuxième

Plus en détail

LE POINT DE VUE DE FNE

LE POINT DE VUE DE FNE LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés

Plus en détail

Protection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009

Protection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009 Protection de la ressource et Métiers de l Automobile Intervention du 12 octobre 2009 Intervention 1. Le CNPA et le Défi de l Environnement 2. Environnement et Métiers de l Automobile 3. Le parcours du

Plus en détail

C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2

C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2 C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.

Plus en détail

GLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER

GLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER GLOSSAIRE THEME CREST WP1 BARRIERE PSYCHOLOGIQUE ET COMPORTEMENTALE BATIMENT INTELLIGENT CAPTEURS CHANGEMENT CLIMATIQUE CHEMINEMENT EDUCATIF COMPORTEMENT CONSEIL ECHANGES PROFESSIONNELS ECO UTILISATION

Plus en détail

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION

Plus en détail

DISTRIBUTION D EAU POTABLE

DISTRIBUTION D EAU POTABLE Département du LOT SYNDICAT D ADDUCTION D EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT DE SARRAZAC CRESSENSAC S/Préfecture de GOURDON Mairie de SARRAZAC 466OO DISTRIBUTION D EAU POTABLE RAPPORT ANNUEL PRIX QUALITE TRANSPARENCE

Plus en détail

2'223 4'257 (2'734 Équivalent temps plein ETP) 1'935 4'514 (3'210 ETP) 37'126. 1 540 Compris dans l'enseignement obligatoire Enseignement spécialisé

2'223 4'257 (2'734 Équivalent temps plein ETP) 1'935 4'514 (3'210 ETP) 37'126. 1 540 Compris dans l'enseignement obligatoire Enseignement spécialisé af DE VAUD Département de la formation et de la jeunesse DFJ Projet : «Ecole et informatique» 1 Introduction Près de deux décennies après l introduction des premiers ordinateurs dans l École obligatoire,

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

Theta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe

Theta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe heta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe Un module pour la production de l ECS et du chauffage central Echangeur à plaques avec circulateur ECS primaire, une vanne trois voies,

Plus en détail

Système de sécurité de périmètre INTREPID

Système de sécurité de périmètre INTREPID TM Système de sécurité de périmètre INTREPID La nouvelle génération de systèmes de sécurité de périmètre MicroPoint Cable combine la technologie brevetée de Southwest Microwave, la puissance d un micro

Plus en détail

Système de management H.A.C.C.P.

Système de management H.A.C.C.P. NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février

Plus en détail

Présentation PrimaConsulting du PMO :

Présentation PrimaConsulting du PMO : Présentation PrimaConsulting du PMO : Des Projets au Bureau des Projets Thierry Verlynde, PMP Chapitre PMI Ile de France - 15 Avril 2008 Thierry Verlynde 06 83 03 49 66 thierry.verlynde@primaconsulting.fr

Plus en détail

Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement :

Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement : 1 Carnet de suivi du système de refroidissement Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement : 2 Mode d emploi du carnet de suivi Le carnet de suivi du système de refroidissement

Plus en détail

PLAN D EFFICACITÉ ÉLECTRIQUE 2014/15-2016/17

PLAN D EFFICACITÉ ÉLECTRIQUE 2014/15-2016/17 PLAN D EFFICACITÉ ÉLECTRIQUE 2014/15-2016/17 APERÇU DU PLAN Préparé pour le ministère de l Énergie et des Mines du Nouveau-Brunswick avec l'aide de Dunsky expertise en énergie Juillet 2014 Cette page est

Plus en détail

LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS

LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.

Plus en détail

Compresseurs d air respirable. Intelligent Air Technology

Compresseurs d air respirable. Intelligent Air Technology Compresseurs d air respirable Intelligent Air Technology Compresseurs d air respirable Une fiabilité sans faille, offerte par le leader mondial Les compresseurs d'air respirable haute pression CompAir

Plus en détail

Puissant et écologique à la fois

Puissant et écologique à la fois Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une

Plus en détail

Filtre/Sécheurs émaillés

Filtre/Sécheurs émaillés Filtre/Sécheurs émaillés Innovation par la compétence. La nouvelle dimension de Filtre/Sécheurs pour milieu corrosif Rosenmund est une marque leader dans le domaine de la séparation liquide/solide et du

Plus en détail

Votre Réseau est-il prêt?

Votre Réseau est-il prêt? Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie

Plus en détail

Une pandémie d influenza...

Une pandémie d influenza... Une pandémie d influenza... Que feriez-vous avec seulement le 2/3 de vos effectifs? Ordre du jour Pandémie influenza Dr. Lucie-Andrée Roy, Santé publique Annick Bouchard, M.Sc.Env., Centre de sécurité

Plus en détail

Vérification du projet de développement d un système électronique commun de gestion de l information (SÉCGI)

Vérification du projet de développement d un système électronique commun de gestion de l information (SÉCGI) Vérification du projet de développement d un système électronique commun de gestion de l information (SÉCGI) Décembre 2004 Table des matières Sommaire Introduction 1 Objet, portée et moment de la vérification

Plus en détail

Compresseurs d air à vis lubrifiées. Série R 37-160 kw (50-200 hp)

Compresseurs d air à vis lubrifiées. Série R 37-160 kw (50-200 hp) Compresseurs d air à vis lubrifiées Série R 37-160 kw (50-200 hp) L expérience au service de la performance énergétique Plus de 100 ans d innovation en matière d air comprimé Ingersoll Rand a présenté

Plus en détail

RECAPITULATIF GENERAL CONCEPTION GENERALE - FIABILITE SECURITE DE FONCTIONNEMENT.

RECAPITULATIF GENERAL CONCEPTION GENERALE - FIABILITE SECURITE DE FONCTIONNEMENT. RECAPITULATIF GENERAL CONCEPTION GENERALE - FIABILITE SECURITE DE FONCTIONNEMENT. Le procédé OXYLAG, est un procédé rustique, efficace, spécialement destiné aux zones rurales. Il se distingue par les caractéristiques

Plus en détail

La principale cause du développement

La principale cause du développement LES AUTRES thèmes LA MAÎTRISE DU RISQUE LEGIONELLES Gestion de la problématique Legionella dans les réseaux d eau chaude sanitaire : conception, maintenance et surveillance biologique Jacques Naitychia,

Plus en détail

1 ROLE ET DESCRIPTION DES DIESELS D ULTIME SECOURS

1 ROLE ET DESCRIPTION DES DIESELS D ULTIME SECOURS Fontenay-aux-Roses, le 9 juillet 2014 Monsieur le président de l Autorité de sûreté nucléaire Avis/IRSN N 2014-00265 Objet : Réacteurs électronucléaires EDF - Réacteur EPR de Flamanville 3 Conception détaillée

Plus en détail

Centres de traitement des données écologiques

Centres de traitement des données écologiques Centres de traitement des données écologiques Pour des résultats rentables écologiques F orte d une expérience de plus de 35 ans en gestion de centres de traitement des données sécuritaires efficaces,

Plus en détail

Demande chimique en oxygène

Demande chimique en oxygène Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse

Plus en détail

Installations de plomberie

Installations de plomberie Service de l urbanisme, des biens et de l aménagement Installations de plomberie Guide à l intention des propriétaires pour l interprétation des règlements municipaux de la ville de Winnipeg concernant

Plus en détail

GESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck

GESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de

Plus en détail

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2 EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de

Plus en détail

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I

Plus en détail

1. REGLEMENTATION 2. INTRODUCTION

1. REGLEMENTATION 2. INTRODUCTION 1. REGLEMENTATION Installations sanitaires : Code du travail articles R. 3121-2, R. 4222-1 à 25, R. 4223-1 à 14, R. 4225-2 à 5 et 7, R. 4228-1 à 18, R. 4412-149 et 150, R. 4722-1 à 4, 13, 14 et 26 et R.

Plus en détail