FRANCE Scénario macro-économique Reprise lente et aléas nombreux

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1 N janvier 217 FRANCE Scénario macro-économique En dépit d un profil de croissance heurté en 216 et d un deuxième trimestre décevant, le rythme de croissance de l économie française s établirait finalement à 1,1% en 216, proche du rythme de 215 de 1,2%. Au-delà, la croissance continuerait d accélérer modestement (+1,3% en 217 et +1,4% en 218). Les facteurs de soutien externes (euro, pétrole et taux) continuent à jouer plutôt favorablement, même si le pétrole et les taux longs amorcent une remontée. Par ailleurs, l effet favorable de certaines mesures de politique économique (CICE, Pacte de responsabilité, mesure de suramortissement ) justifie notre prévision de croissance, dont le dynamisme est toutefois limité par des contraintes structurelles persistantes. La consommation resterait le principal soutien à la croissance, l investissement prenant progressivement le relais pour soutenir la demande interne. Toutefois, la demande interne ralentirait légèrement sur la période. La consommation décélèrerait car la hausse de l inflation limiterait la progression du pouvoir d achat. Par ailleurs, la reprise de l investissement resterait modérée dans un contexte d attentisme des agents économiques. Après avoir pesé fortement sur la croissance de l ordre de,9 point en 216, la contribution du commerce extérieur resterait négative en 217 et 218, mais plus faiblement. Ce scénario s inscrit dans un calendrier électoral chargé pour la France en 217, avec l élection présidentielle en avril-mai puis les élections législatives en juin. Notre prévision est établie à politique économique globalement inchangée. Elle sera ajustée à l issue des résultats des élections. Notre scénario est en bonne partie déterminé par l environnement mondial, économique et financier, et par le déroulement du cycle conjoncturel. Mais il sera évidemment impacté par les mesures de politique économique qui seront mises en place par le nouveau gouvernement, notamment en matière de fiscalité et de dépenses publiques. Une prévision globalement maintenue Deux trimestres assez décevants, mais des enquêtes qui s améliorent Les deux derniers trimestres publiés ont été assez décevants en termes de croissance. Le PIB en volume a légèrement reculé au deuxième trimestre (-,1%). Au troisième trimestre, il a progressé modérément (+,2%), mais la composition de cette croissance s est révélée relativement décevante, avec une consommation atone, un investissement en recul et une contribution très importante mais peu durable des stocks. 1,, - France: trimestrielle et contributions contributions à la croissance t/t, % -1, Solde extérieur Variation des stocks Demande int. hors stocks PIB Source : Insee, Crédit Agricole S.A. Études Économiques Groupe

2 France Scénario macro-économique A l inverse, on peut noter qu en dépit de nombreux événements supposés accroître l attentisme des agents économiques, le climat des affaires s est montré résilient et s améliore même sur la période récente. Le climat des affaires de l Insee reste ainsi au-dessus de sa moyenne de long terme et s est amélioré en décembre, pour atteindre son niveau le plus élevé depuis l été 211, à 15 points. 1,5 1,, - -1, -1,5 (%) France : Enquêtes et croissance du PIB -2, PIB (t/t) Indicateur PMI Indicateur enquêtes INSEE Source : Insee, Markit, Crédit Agricole S.A. Des données de marché qui restent relativement favorables L environnement global reste plutôt propice à l économie française. En effet, l évolution des données de marché (euro, taux et pétrole) demeure correctement orientée. Leur soutien serait toutefois moins fort en 217 et 218 qu auparavant. La reprise en zone euro, et en France a fortiori, reposerait donc sur une composante cyclique plus importante, la conjoncture s améliorant à la faveur d une reprise autoentretenue (emploi consommation - investissement ). Le taux de change effectif de l euro est resté assez stable en 216, à un niveau qui demeure bas. Le taux de change de l euro face au dollar s est même déprécié fin 216, à 1,5, et ne s apprécierait que modérément en 217 dans un contexte de politique monétaire divergente et à l approche d élections clés en Europe (euro/dollar à 1,8 fin 217), avant de remonter plus nettement en 218 (1,16 fin 218), la BCE modérant sa politique monétaire accommodante. Les conditions de financement des agents restent par ailleurs très favorables avec des taux courts proches de zéro et un taux long OAT dix ans qui demeure très bas,,7% début 217. Les taux 1 ans remonteraient en de manière progressive pour atteindre 1,1% fin 217 et 1,5% fin 218. Enfin, le prix du baril demeure assez bas et ne remonterait que graduellement (6 dollars fin 217 et 73 dollars fin 218). Un contexte macroéconomique porteur, mais non sans incertitudes La croissance mondiale accélérerait en 217 et 218. Après 2,9% de croissance en 216, elle atteindrait 3,3% en 217 et 3,4% en 218. Cette accélération serait liée à une amélioration à la fois dans les pays développés et dans les pays émergents. La croissance se maintiendrait sur un rythme assez stable en zone euro. Après 1,6% de croissance en 216, celle-ci atteindrait 1,5% en 217 et en 218. Alors que le ralentissement du Royaume-Uni (1,3% de croissance en 217 et 1,4% en 218, après 2,% en 216) serait compensé par une accélération de la croissance américaine (2,3% en 217 et 2,5% en 218, après +1,6% de croissance en 216). Ce scénario d accélération de la croissance américaine est toutefois tributaire de nombreuses incertitudes sur la politique économique que mettra en œuvre Donald Trump. Concernant les pays émergents, la croissance resterait stable en Chine (autour de 6,5% par an sur la période). Par ailleurs, aussi bien les pays producteurs de pétrole que certains pays ayant connu une conjoncture détériorée verraient leurs perspectives s améliorer (Russie et Brésil en particulier). Enfin, l effet favorable de certaines mesures de politique économique (CICE, Pacte de responsabilité, mesure de suramortissement ) va continuer à jouer en En sens inverse, des contraintes structurelles pèsent toujours sur la croissance (déficit de compétitivité, confiance des ménages légèrement en dessous de sa moyenne de long terme, chômage élevé, poursuite de l ajustement budgétaire). Un scénario de reprise molle, avec des aléas nombreux Pris dans leur ensemble, ces éléments suggèrent la poursuite d une reprise modérée. La consommation resterait le facteur principal de croissance, même si elle s étiolerait progressivement. La moindre dynamique du pouvoir d achat, liée à la remontée de l inflation, ne serait pas entièrement compensée par la progression de la masse salariale. L investissement prendrait également le relais pour soutenir la demande interne, mais l ampleur de ce redémarrage resterait modérée compte tenu d un climat qui demeure marqué par l attentisme. Enfin, la contribution du commerce extérieur et celle des stocks, négatives en 216, le serait encore, mais moins nettement en 217 et 218. Toutefois, les incertitudes et les aléas ne manquent pas. En particulier, le calendrier électoral de 217 peut contribuer à renforcer les incertitudes, même si pour l instant le climat des affaires est resté résilient. Par ailleurs, l évolution du comportement d épargne des ménages reste incertaine : si les ménages font le choix N 17/9 Janvier

3 2,5 2 1, ,5 Prévisions France Scénario macro-économique d augmenter encore leur épargne, cela pèsera sur les perspectives de la consommation. Sur le plan externe, les inconnues restent nombreuses, sur l évolution du prix du pétrole, de la croissance chinoise, les négociations liées au Brexit ou encore la politique mise en œuvre aux Etats-Unis. France: et composantes de 1,1%,6 1,3 1,,1, -,1 -,4 -,2 -, Evolution des stocks FBCF totale Source: Insee, Crédit Agricole S.A. de 1,3% de 1,4% Principales composantes de notre scénario Une modeste reprise de l investissement des entreprises La France se situe à un moment du cycle économique où l investissement est la variable clé. Après avoir accéléré fin 215 et début 216, en particulier grâce à l effet d aubaine suscité par l anticipation de la fin de la mesure de suramortissement, l évolution de l investissement des entreprises a été décevante au cours du deuxième et du troisième trimestre 216. Au-delà, on retient que l investissement des entreprises continuerait de progresser modérément en 217 (+3,3%), retrouvant un peu plus de tonus en 218 (+4,1%), reflétant ainsi l amélioration des marges des entreprises permises par les mesures de politique économique telles que le CICE et le Pacte de responsabilité. Le taux de marge des sociétés non financières a atteint 31,5% au troisième trimestre 216 (un niveau proche de celui de la fin d année 215), et les profits non distribués ont rebondi de 8% en 216 après une hausse de 15% en 215. En outre, les enquêtes de conjoncture témoignent d intentions d investir à des niveaux honorables. L impact attendu des politiques économiques mises en place ne saurait cependant être surestimé ; en effet, si les mesures de politique économique de baisse des charges ont un impact favorable, un risque de dilution ne peut être exclu. L usage de cette «bouffée d oxygène» par les entreprises reste incertain, car celles-ci peuvent par exemple faire le choix d orienter les gains issus de ces mesures vers les salaires ou le désendettement, dans un contexte,6,9 Dépenses de consommation Commerce extérieur où les capacités de production restent sousutilisées dans l industrie. % France : taux de marge et investissement des SNF a/a, % Taux de marge (EBE/VA) FBCF en vol (dr) Source : Insee, Crédit Agricole SA Redémarrage de l investissement des ménages L investissement des ménages a commencé à redémarrer en 216, après quatre années de baisse. Cette tendance se prolongerait au-delà, en lien avec le redressement des ventes de logements neufs et des travaux d amélioration. Après un recul de,8% en 215, l investissement des ménages progresserait en 216 de 1,4%, puis en 217 et 218 de respectivement 1,7% et 1,5%. En effet, le marché immobilier dans son ensemble (neuf et ancien) a connu un rebond en 215 et 216 (forte hausse des ventes, stabilisation des prix) et restera assez soutenu en 217, grâce aux mesures de soutien au logement neuf et au très bas niveau des taux des crédits. L effet d aubaine lié aux taux se réduirait toutefois peu à peu avec la lente remontée de ceux-ci. La consommation des ménages toujours moteur de la croissance La consommation privée resterait le principal moteur de la croissance. Elle s est accrue de 1,7% en moyenne en 216. Elle a toutefois marqué le pas aux deuxième et troisième trimestres, en raison d un repli des dépenses en biens (notamment équipement du logement et dépenses en énergie qui avaient été très dynamiques auparavant), tandis que les dépenses de services continuent de progresser. Au-delà, la consommation retrouverait une tendance plus en ligne avec ses déterminants. En , la dynamique de la consommation des ménages a bénéficié de gains en pouvoir d achat liés à la faiblesse de l inflation, proche de zéro en moyenne sur la période. En , le pouvoir d achat du revenu disponible progresserait assez modérément avec le retour d une inflation plus élevée (+1,2% d inflation en 217 et 1,4% en 218 en moyenne annuelle). Cette hausse de l inflation se justifie surtout par des effets de base liés à l évolution du prix de l énergie, tandis que la N 17/9 Janvier

4 France Scénario macro-économique progression de l inflation sous-jacente serait peu dynamique. Par ailleurs, les salaires continueraient à progresser sur un rythme quasi inchangé en (environ 1,5% l an) et le taux de chômage reculerait modérément en , pour atteindre 9,4% fin 218, contre 9,7% au troisième trimestre 216 (chiffre Insee en France métropolitaine). Cette réduction se justifie par une reprise économique molle qui permet une hausse modeste de l emploi et, à court terme, par l effet de mesures de politique économique, notamment du plan d urgence pour l emploi de janvier 216 qui permettrait d enrichir la croissance en emploi d environ 2 emplois au premier semestre 217 selon l Insee. D un point de vue sectoriel, la reprise qui se dessine dans le secteur de la construction joue également favorablement, puisqu il s agit d un secteur intensif en main-d œuvre. Au total toutefois, l amélioration de la masse salariale ne compense pas l effet de la hausse de l inflation en termes de pouvoir d achat. On retient que le revenu disponible réel progresserait de 1,% par an en 217 et en 218, après +1,8% en (solde d'opinion, cvs) Confiance des ménages Intention de réaliser des achats importants Evolution future du chômage Opportunité d'épargner Source : Insee, Crédit Agricole S.A. L évolution de la consommation reposera donc aussi sur le comportement d épargne des ménages. Depuis la crise de 28, les ménages ont eu tendance à accroître leur taux d épargne, celui-ci atteignant en moyenne 14,7% en 216. En , ils atténueraient en partie ce comportement, mais le taux d épargne resterait élevé, compte tenu d un niveau de confiance assez mitigé. Ils sont en effet partagés entre l «effet d aubaine» lié aux taux bas et un attentisme persistant. L indice de confiance des ménages de l Insee, qui demeure très légèrement en dessous de sa moyenne de long terme, signale toutefois une légère baisse de l attentisme, avec une moindre peur du chômage et des ménages qui jugent qu il est moins opportun d épargner et sont plus prompts à effectuer des achats importants. Dans ce contexte, on retient un léger recul du taux d épargne à 14,5% fin 217. Au global, la consommation ralentirait un peu. Après 1,7% de hausse en 216, elle progresserait de 1,3% en 217 et 1,4% en 218. Le commerce extérieur moins pénalisant pour l activité Après avoir été négative pour la quatrième année consécutive (-,9 point en 216), la contribution du commerce extérieur resterait légèrement négative en 217 et 218, à -,4 point en 217 et -,2 point en 218, le dynamisme des importations restant plus marqué que celui des exportations. Concernant les exportations, on peut attendre une légère amélioration en en lien avec une demande mondiale adressée à la France plus forte. Après une hausse de seulement,7% en 216, celles-ci progresserait de 2,3% en 217 puis de 2,8% en 218. En effet, l amélioration des perspectives dans certains pays émergents (producteurs de pétrole, Russie, Brésil) et une croissance américaine revue un peu à la hausse (+2,3% en 217 et +2,5% en 218) suscitent un regain de demande. D un point de vue sectoriel, on peut aussi noter que la livraison de certains grands contrats militaires et le secteur de l aéronautique soutiendraient les perspectives d exportation françaises. En sens inverse, le déficit structurel de compétitivité de l économie française (coût et hors coût) continue de constituer un frein, même si on peut noter une amélioration sur la période récente au vu de la stabilisation des parts de marché françaises à l exportation au sein de la zone euro. En particulier, la hausse récente du dollar rend les produits européens plus compétitifs et le taux de change réel effectif de l euro resterait plutôt favorable en 217. Du côté des importations, après une hausse qui serait de 3,5% en 216, elles évolueraient en cohérence avec l évolution de la demande interne, sur une tendance proche de 3% l an en 217 et 218. Un niveau élevé des stocks La contribution à la croissance attendue des stocks serait légèrement négative sur la période , après quatre années consécutives de contribution favorable. La variation des stocks des entreprises en valeur atteint un niveau historiquement élevé (21 milliards d euros en 215 et un niveau du même ordre en 216), en hausse depuis 211, et qui se corrigerait progressivement. La reprise de la croissance se poursuivrait donc en France, mais avec peu d élan. En 217 et 218, on retient une légère amélioration avec +1,3% puis +1,4%, après +1,1% en 216. L environnement reste toutefois incertain à de nombreux égards, et ces prévisions seront probablement infléchies en fonction des résultats de l élection présidentielle. N 17/9 Janvier

5 France Scénario macro-économique Une croissance résiliente, mais avec peu d élan Moyenne annuelle (a/a, %) Variation trimestrielle (t/t, %) France T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 PIB 1,2 1,1 1,3 1,4,6 -,1,2,4,3,3,3,3,3,3,3,3 Consommation privée 1,5 1,7 1,4 1,3 1,2,,1,4,4,4,4,4,3,3,3,3 Investissement,9 2,7 2,5 2,9 1,2,,2,8,8,8,8,7,7,7,7 Variation des stocks*,1,1 -, -,1 -,2 -,8,7 -, -,1 -,1 -,1 -,,,,, Exportations nettes* -,3 -,9 -,4 -,2 -,3 -,6 -,1 -,1 -,1 -,1 -,1 -, -, -, -, Taux de chômage (Eurostat) 1,4 1, 9,8 9,7 1,2 9,9 1,1 9,9 9,9 9,8 9,9 9,8 9,8 9,7 9,8 9,7 Inflation (a/a),1,3 1,2 1,4,,1,3 1,2 1,1 1,2 1,2 1,4 1,4 1,4 1,4 Solde public (% PIB) -3,5-3,3-3,2-3,3 * Contributions à la croissance du PIB Source : Crédit Agricole SA, prévisions Crédit Agricole S.A. Direction des Études Économiques 12 place des États-Unis Montrouge Cedex Directeur de la Publication : Isabelle Job-Bazille Rédacteur en chef : Armelle Sarda Documentation : Dominique Petit - Statistiques : Robin Mourier Secrétariat de rédaction : Véronique Champion Contact: publication.eco@credit-agricole-sa.fr Consultez les Études Économiques et abonnez-vous gratuitement à nos publications sur : Internet : ipad : application Etudes ECO disponible sur App store Android : application Etudes ECO disponible sur Google Play Cette publication reflète l opinion de Crédit Agricole S.A. à la date de sa publication, sauf mention contraire (contributeurs extérieurs). Cette opinion est susceptible d être modifiée à tout moment sans notification. Elle est réalisée à titre purement informatif. Ni l information contenue, ni les analyses qui y sont exprimées ne constituent en aucune façon une offre de vente ou une sollicitation commerciale et ne sauraient engager la responsabilité du Crédit Agricole S.A. ou de l une de ses filiales ou d une Caisse Régionale. Crédit Agricole S.A. ne garantit ni l exactitude, ni l exhaustivité de ces opinions comme des sources d informations à partir desquelles elles ont été obtenues, bien que ces sources d informations soient réputées fiables. Ni Crédit Agricole S.A., ni une de ses filiales ou une Caisse Régionale, ne sauraient donc engager sa responsabilité au titre de la divulgation ou de l utilisation des informations contenues dans cette publication. N 17/9 Janvier

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