RÉUSSIR PAR L ALTERNANCE

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1 4 e ET 3 e DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE APPRENDRE AUTREMENT JEAN-MARIE FARDEAU L ENGAGEMENT DES JEUNES DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE PRIVÉ RÉUSSIR PAR L ALTERNANCE avec l APPRENTISSAGE l PRENTISS N Bimestriel Mars/Avril ,50

2 Rendez-vous au Congrès du CNEAP 9 et 10 avril 2014 au PACI Issy-Les-Moulineaux 30 ans après la loi Rocard Table Ronde Contractualiser avec les régions : risque ou opportunité? Ouverture et prospectives Ouvrir les champs et bouger les territoires Des futurs à bâtir dans la loi d avenir et au sein de notre fédération. Renseignements : congres2014@cneap.fr SOMMAIRE Shutterstock DANS LES ÉTABLISSEMENTS Expo-photo Anciens élèves à Blain-Derval LA FORCE D UN RÉSEAU FILIÈRE 4 e et 3 e de l enseignement agricole Apprendre autrement pour réussir ENQUÊTE L apprentissage Ses exigences et ses atouts personnels administratifs, techniques et vie scolaire élèves, étudiants, ingénieurs apprentis

3 Édito Deux moments FORTS Revue éditée par le Conseil National de l Enseignement Agricole Privé. Le CNEAP fédère 218 sites et établissements catholiques d enseignement agricole. De la 4 e à Bac +5 en formation initiale scolaire, apprentissage et formation continue pour adultes. Rédaction et Administration : 277, rue Saint-Jacques PARIS cedex 05 Tél. : Fax : Directeur de publication : Philippe Poussin Rédacteur en chef : Véronique Tête Rédacteur : Laurence Estival Pigistes : Emmanuelle Chaudieu Maud Bainvel Pu blication : au journal, 277, rue Saint-Jacques PARIS cedex 05 Maquette et exécution : STUDIO 201 Illustrations des chapitres : Fotolia.com Crédit photo couverture : DR-Fotolia-Getty Images Impression : Blue Press 20, rue Maryse Bastié - Parc d activité de Maignon Anglet Abonnement : 12,20 Ce numéro a été tiré à exemplaires. Dépôt légal sept 2002/N Commission paritaire : N 410 G ISSN 0339/0055 François Paliard Président du CNEAP Passé le Salon de l Agriculture, se profile le congrès du CNEAP les 9 et 10 avril prochains. Deux événements marquants de l année. Le Salon de l Agriculture est toujours un temps fort de rencontre entre les partenaires institutionnels du CNEAP et un temps de découverte d autres acteurs de notre environnement professionnel. Sur le stand de notre réseau, nous avons accueilli beaucoup de familles à la recherche d informations sur les projets éducatifs de nos établissements et les formations dispensées. Et des adultes en quête de formations professionnelles, souvent en vue d une reconversion. De nombreuses personnalités nous ont rendu visite et ont rencontré nos jeunes. Preuve, s il en est, de l intérêt que notre fédération représente à leurs yeux. Même si parfois, nous pouvons avoir le sentiment que le monde politique ne connaît pas l enseignement agricole, il apparaît qu une fois le contact pris, il mesure mieux notre rôle et notre engagement dans les territoires. Les jeunes ont été pour une fois à l honneur : cette année a été marquée par la rencontre avec le Président de la République et un temps consacré spécifiquement à l enseignement agricole, temps pendant lequel nous avons marqué notre présence auprès des médias. Le Congrès 2014, «Parlons d Avenir», sera un moment de travail et d échanges avec tous les acteurs de notre fédération à l occasion du 30 e anniversaire de la loi Rocard. On évoquera le chemin parcouru depuis cette loi fondatrice et on mettra le projecteur en prospective sur tout ce que nous mettons en œuvre pour répondre aux défis de l avenir. En attendant ce rendez-vous, ce numéro de Présence fait la part belle à l apprentissage et aux classes de 4 e et de 3 e de l enseignement agricole. Nous pouvons être satisfaits du remarquable travail accompli par les équipes éducatives de nos établissements pour promouvoir une réelle réussite scolaire et personnelle des jeunes. Je vous attends nombreux au Congrès, je suis certain que vous trouverez un intérêt à participer à ce qui est notre grand rassemblement. Conférences et table ronde donneront matière à nourrir notre réflexion et notre action commune. 18 LA PAROLE À... Jean-Marie Fardeau Directeur du bureau français de Human Rights Watch Patrice Bourdier Parent d élève 04 - VIE FÉDÉRATIVE Album photos du Salon de l Agriculture AU CŒUR D UN LYCÉE Dol de Bretagne (35) Visite de l exploitation du lycée 20 - PÉDAGOGIE La rénovation du BTS ACSE 21 - ÉDUCATION La Fondation de France au chevet des collégiens 22 - À DÉCOUVRIR Lire Écouter Regarder Agenda stagiaires adultes enseignants et formateurs familles administrateurs bénévoles

4 VIE FÉDÉRATIVE SPÉCIAL - SIA Événement national aux couleurs de nos campagnes et des acteurs du monde agricole, le Salon de l Agriculture a été l occasion pour les membres de notre réseau de vivre des moments intenses, entre trophées et concours, visites et contacts en tous genres. Retour en images sur ce moment fort pour notre fédération. FAIRE CONNAÎTRE nos atouts Lycée Fénelon de Vaujours (93) animation Aménagement paysager Sainte-Colette de Corbie (80) animation Agroalimentaire LaSalle Reims-Thillois (51) animation Laboratoires et biotechnologies ISNAB de Villenave d Ornon (33) animation Dégustation mets et vins 04 Présence n 222

5 Retrouvez les meilleurs moments du salon sur Trophée National de Lycées Agricoles : Sainte-Maure (51), Dol de Bretagne (35), Giel-Courteilles (61) et LaSalle Beauvais (60) en lice parmi les 46 lycées engagés. Finale nationale des Ovinpiades des Jeunes bergers : Laurine Demeure de Nandax (42) Alexandre Astruc de Marvejols (48) Clément Condomines de Sainte-Affrique (12) «Jeunes et Agriculture : la place à la relève agricole» Présentation du livre blanc au Ministère de l Agriculture avec Jonathan Rerat de l ISNAB (33) Concours vidéo Demain je serai paysan «Promouvoir le métier d agriculteur en musique» remporté par La Touche de Ploërmel (56) Trophée du meilleur pointeur de race : Champion de France Nicolas Lancelot de LaSalle Beauvais (60) en Prim holstein. Fabien Aguerre et Xemein Echamendy de Saint-Palais (64) Champion de France et Top 4 en Blonde d Aquitaine Présents chaque jour sur le stand les chefs d établissements, administrateurs et délégués régionaux venus des quatre coins de la fédération pour accueillir le public, faire connaître les formations et les établissements du réseau. Merci et bravo à tous pour leur disponibilité! Photos SIA Présence n

6 DANS LES ÉTABLISSEMENTS RUGBY > Essai FÉMININ transformé DES PORTRAITS TÉMOINS >>> Exposition Photos Dans le cadre d un PIC, Projet d Initiative et de Communication, Charlène Lesaint, Coline Pellerin et Adeline Rousseau, en 2 e année de BTSA ACSE du Lycée Saint-Clair, ont organisé une scénographie de portraits photographiques et des interviews d anciens élèves. Cette réalisation baptisée «Réussite» a été présentée au public lors d une journée portes ouvertes. Rubrique animée par Véronique Tête C réée en septembre 2013, l AS Rugby du LAP Sully permet aux jeunes sportifs de participer à divers championnats (lycées agricoles, UNSS ). Les rugbymen en herbe du lycée ont ainsi participé au Championnat de France de rugby des lycées agricoles. Les équipes s étaient déjà démarquées la saison passée, en se classant premières des Yvelines et deuxièmes d Ile-de-France catégorie «lycées agricoles». Fortes de leurs premières victoires, les deux équipes Cadettes et Juniors se sont rendues à la fi nale de la zone Nord à Auxerre. Les matchs se sont enchaînés tout au long d une journée à la fois éprouvante et riche en émotions, non seulement pour les fi lles mais aussi pour les entraîneurs! Si les juniors se sont trouvées en diffi - culté, les cadettes ont gagné tous leurs matchs après une lutte sans merci avec les autres équipes. Elles ont été sacrées championnes de la région Nord, se qualifiant pour le championnat de France UNSS qui se tiendra à Tours en avril prochain. Magnanville (78) des portraits répondait à leur souhait commun d un projet artistique L idée intégrant la photographie. N étant pas issues du lycée Saint-Clair, elles souhaitaient connaître et faire connaître les différentes formations présentes au lycée ainsi que les métiers envisageables. Les étudiantes ont voulu montrer cette exposition au public lors des portes ouvertes du lycée afin que les futurs élèves puissent se projeter dans l une des formations proposées selon le métier qu ils envisagent. Soutenues par l équipe pédagogique qui les a aidées en leur donnant des noms d anciens élèves, elles ont ainsi pu contacter ces derniers. Tous ont accepté de les rencontrer, de répondre à leurs questions et de se faire photographier sur leur lieu de travail. Ces rencontres ont été très enrichissantes pour les étudiantes qui ont pu discuter du passé des anciens élèves et de leur métier. Elles ont également pu rencontrer des personnes «ressources» vers lesquelles elles pourront se tourner pour leur avenir professionnel. Différents portraits ont été exposés dont ceux d un agriculteur, d un conseiller en assurances, d un technicien laitier, d un chef 06 Présence n 222 de produits pièces détachées et d un chef d entreprise. Afin de mettre en valeur leur exposition, les étudiantes avaient créé une scénographie esthétique et originale en habillant l escalier d un tapis rouge et de ruban pourpre. Esthétique et communication L ambiance était complétée par une musique accueillante. Cette mise en scène a été très appréciée du public. «C est le premier projet véritablement artistique et esthétique réalisé depuis 2008, date à laquelle j ai commencé à enseigner le module de communication en BTS au Lycée Saint-Clair. Les trois étudiantes, d un naturel très discret, ont pu exprimer leur sensibilité et leur créativité tout en développant des compétences professionnelles de contact et de relations humaines tout à fait remarquables. Ce groupe très féminin a fonctionné de manière autonome et complémentaire pour un résultat très pertinent. Deux interviewées sont même venues voir le résultat et ont apprécié la qualité du travail réalisé,» se félicite Françoise Pacoux, enseignante en technique de communication. Blain-Derval (44) BRÈVES SÉCURITÉ ROUTIÈRE 10 de conduite rurale À l Institut d Anchin, les élèves de la filière Bac STAV ont participé à l opération «10 de conduite rurale» qui associe information, prévention, épreuves théorique et pratique. Organisée par Groupama, la Police Nationale, CLAAS et Total, «10 de conduite rurale» permet aux élèves de mieux appréhender les machines sur lesquelles ils évoluent, mais aussi d apprendre à appliquer une technique, à résoudre un problème, à gérer leurs émotions au volant d engins encombrants. Pécquencourt (59)

7 ENVIRONNEMENT CONCOURS RECID EAU Des élèves de 4 e du LEAP Sainte-Maure remportent le 7 e concours Recid eau, une manifestation ouverte au grand public et aux scolaires, dont la vocation est d informer et de sensibiliser sur le sujet de l eau. Cette année le parrain était Patrick Deixonne, l explorateur menant la mission «7 e continent», un véritable continent de déchets qui dérive à la surface de l océan sur six fois la surface de la France. C est pour illustrer ce phénomène que les élèves ont planché sur le sujet d arts plastiques «Menez vos déchets en bateau». Trente-huit œuvres ont été présentées et ce sont les élèves de Sainte-Maure qui ont remporté le concours, grâce à leur création composée de déchets trouvés dans la nature. Ce prix vient couronner le programme du premier trimestre initié par un voyage d études sur la gestion de l eau en Basse Normandie. Était également présentée, lors de ce salon, une maquette du bassin versant réalisée par des élèves de 4 e et fort appréciée des visiteurs. Sainte-Maure (10) HORTICULTUREURE Meilleurs apprentis de France Trois élèves du Campus de Pouillé, élèves en CAPA Productions horticoles et Travaux paysagers, ont été récompensés à l occasion du concours Meilleurs apprentis de France 2013 : Émilie Jobard, médaille d argent en Horticulture, Fantin Thibaudeau, médaille d argent en Paysage et Roméo Courbet, médaille d or en Horticulture. Les premières étapes du concours 2014 ont commencé : sept élèves, représentant le Campus de Pouillé, seront présents pour la filière Horticulture. Les Ponts de Cé (49) SPORTS D HIVER Biathlon Le Grand Bornand en Haute-Savoie a accueilli une épreuve de coupe du monde de biathlon. Les apprentis de Bac Pro Aménagements Paysagers de l ISETA qui ont assisté au relais homme de biathlon, ravis d avoir revêtu la tenue du parfait supporter (drapeau, corne de brume, cloche), ont encouragé les biathlètes tout au long du parcours. L occasion aussi pour eux de tourner des spots publicitaires et de rencontrer Jean-Jacques Queyranne, président de la région Rhône-Alpes. Cette sortie mêlant sport et culture s inscrit dans une démarche volontariste et a été suivie de plusieurs séances de ski de fond. Au printemps, est prévue une initiation au tir à la carabine dans le cadre d un challenge interclasses. L occasion pour les apprentis de se rendre compte également de la forme physique qu impose le biathlon. Poisy (74) Présence n

8 AU CŒUR D UN LYCÉE L exploitation de 130 hectares avec bâtiment et équipements modernes est un véritable outil de professionnalisation pour les jeunes en formation. LA FERME, cœur décentré DU LYCÉE Dol de Bretagne (35) Dol de Bretagne Dossier réalisé par Véronique Tête Jusqu en 1983, l exploitation était située au sein du lycée. Puis l établissement a acquis la ferme du Petit Gué et lancé un programme complet de construction neuve à partir de Aujourd hui, elle s étend sur 130 hectares dont une bonne partie sur le marais de Dol. Visite guidée du centre opérationnel des formations agricoles du lycée Les Vergers. 08 Présence n 222 UNE EXPLOITATION ORIGINALE Deux approches de l agriculture sont proposées aux jeunes : l une raisonnée (conventionnelle) sur cent hectares ; prairies, blé et maïs. Le colza fait également son entrée pour diversifier la rotation des cultures. Et trente hectares consacrés au bio : seigle, triticale et féverole, revendus à une coopérative bio. Un cheptel de 60 vaches laitières (9 000 litres/an) et 70 génisses. L élevage de porc label Bio produit 700 porcs à l année. Tout ce petit monde reçoit les soins du chef d exploitation Mickael Bernard, des salariés de la ferme et des jeunes présents au quotidien tout au long de l année scolaire. En effet, des élèves, il y en a tous les jours au Petit Gué. Les 4 e et 3 e en module découverte professionnelle, les STAV pour les EIL Productions (élevage et productions végétales ou aménagement), les Bac Pro CGEA et les BTS PA. Des salles de classes sur place permettent aux élèves de suivre les cours des matières techniques. EN SITUATION PROFESSIONNELLE Ce matin, dans la stabulation, c est la pesée des génisses menée par un groupe de BTS PA 1 ère année. Il s agit donc de se faire obéir par des génisses de 15 mois qui n ont pas vraiment envie de rentrer dans le couloir qui mène à la bascule. Dehors, un groupe de STAV taille une haie de charmes. Plus loin, un jeune armé d une perceuse travaille sur un muret de la fumière. Dans l atelier de mécanique, assez vaste pour y entrer une moissonneuse, des jeunes en formation Agroéquipements finissent de ranger l atelier au carré, où moteurs, tracteurs et pulvérisateurs servent à leur travaux de mécanique. Plus bas, dans les salles de classe, des Bac Pro suivent leur cours de zootechnie. Dehors, une dizaine de jeunes canalisent le retour des génisses dans leur stabulation, accompagnées d un taurillon qui ne pense qu à ruer. Chaque matin et chaque soir, deux élèves participent à la traite avec Mickaël Bernard. C est ainsi que se déroule la vie quotidienne sur l exploitation du lycée où travaillent quatre personnes. Hélène Bernard, épouse de Mickaël, Dominique Drapeau (mi-temps) et Jean-Paul, ouvrier agricole et Mickaël. Recruté en 2010, il est titulaire d un BTS ACSE et d un CS Production laitière. Il a été d abord salarié pendant six ans dans une exploitation laitière en Bretagne, puis en Normandie dans une exploitation qui transforme une bonne partie de son lait. «Travailler avec les enseignants et en contact avec les jeunes, demande de la disponibilité et un esprit d ouverture.» Mais le fermier ne renonce pas à ses exigences de professionnel. «Il faut que les choses soient faites et bien faites, même quand ce sont les élèves qui les font. En élevage, on s investit à fond, le temps n est pas calculé à la minute, c est une affaire de compétence certes mais aussi de passion et d engagement.» ÉLEVAGE DE PORCS BIO Dans le chalet destiné à l élevage des porcs bio, les jeunes bêtes, nées dans un élevage bio, arrivent à l âge de six semaines pour l engraissement. Ils sont nourris 100 % bio. Au

9 Avec un élevage laitier performant, un atelier d engraissement porcin bio et des productions végétales innovantes, à la ferme du Petit Gué, les jeunes sont en situation réelle avec les professionnels. menu des petits : tourbe pour éviter les coliques et céréales bio et soja non OGM pendant trois semaines. Ensuite, ils sont en enclos paillés et consomment des aliments céréaliers bio. Et pour la toux et autres petits maux, les huiles essentielles et l homéopathie font l affaire. L indicateur du taux de mortalité est éloquent : ici il est de 3 % depuis qu un bâtiment fermé a été mis en place (chauffage, paille à volonté et beaucoup d espace). «Tout est affaire d attention, d observation et d hygiène,» explique Mickaël. À 180 jours, lorsqu ils atteignent 110 kilos, ils repartent à l abattoir et seront consommés en Label Bio. L AGRO-ÉCOLOGIE EN ACTION Sur les terres arables, trois parcelles pédagogiques expérimentales sont mises en place pour la deuxième année consécutive avec trois types de cultures comparés : agriculture raisonnée (avec labours traditionnels). Sans labour (on travaille un peu la terre en surface sur dix centimètres) et en semis direct. Là, on ne travaille pas la terre, entre la récolte et les nouveaux semis et on laisse faire la nature. Cela ne veut pas dire ne rien faire, au contraire, cela exige une certaine technicité. Quelles plantes choisir pour coloniser la parcelle pour nourrir le sol, avec quel système racinaire? Avec quelles plantes assurer le couvert de la parcelle, seront-elles gélives ou non? Le travail des lombrics sera-t-il efficace pour aérer la terre? Sont-ils assez nombreux? Autant de questions et de réponses à apporter avec l expertise d agronomes du réseau BASE (Bretagne Agriculture Sol Environnement) en collaboration avec le chef d exploitation, les enseignants en agronomie et les jeunes. Avec, en tête, les trois défis de l agriculture écologiquement intensive : passer moins de temps à travailler la terre, utiliser le moins d intrants possible tout en restant rentable. «C est un travail de pionnier mais cela vaut la peine, c est l enjeu de l agriculture de demain,» commente Philippe Pinot, chef d établissement. Dol de Bretagne Gros plan sur les formations FORMATION INITIALE 4 e et 3 e enseignement agricole CAPA Services en milieu rural Production agricole, utilisations des matériels (productions animales) Bac Professionnel Agroéquipement CGEA - Systèmes à dominante élevage Services Aux Personnes et Aux Territoires Technicien conseil vente en alimentation - Produits alimentaires Bac Techno STAV Sciences et Technologies de l Agronomie et du Vivant BTSA Analyse et conduite des systèmes d exploitation - ACSE Productions animales - PA ACCUEIL Internat, demi-pension et externat DIRECTEUR : Philippe PINOT PRÉSIDENT : Roger ROBINAULT PERSONNEL SUR SITE 692 élèves dont 280 internes 60 enseignants 35 personnels (dont 11 pour la vie scolaire) 4 personnes sur l exploitation LYCÉE AGRICOLE LES VERGERS 4, rue des Murets Dol de Bretagne Tél : dol-de-bretagne@cneap.fr Dol de Bretagne INVESTISSEMENTS «L objectif d être dans le quart supérieur des exploitations les plus rentables du département, selon les indicateurs technico économiques, est atteint,» se réjouit Philippe Pinot. Selon lui, le premier critère d une ferme pédagogique c est d abord être économiquement viable donc durable. «Sinon, comment montrer aux jeunes ce qu est une entreprise performante si on ne sait pas le faire?» Le secret? Un chef d exploitation compétent et une ET RENTABILITÉ politique d investissement (ate- lier mécanique, stabulation des génisses, panneaux solaires, chalet des porcs Bio) qui n attend pas les subsides des collectivités. Avec en bonus, en 2013, le Contrat Autonomie et Progrès (CAP) du Conseil Régional qui finance 50 % des d investissements engagés par l exploitation sur l atelier lait : logettes en stabulation, gestion fumier et lisier, silos de stockage, modernisation traite et entre autres, un projet de transformation des produits laitiers. Sur l atelier Porc Bio, agrandissement des locaux et sur l atelier culture, le projet d acquisition d un semoir pour la culture en semi-direct. Outil onéreux qui pourrait être mis à la disposition des professionnels intéressés par ces techniques culturales simplifiées. Le lycée est le premier lycée agricole privé à avoir obtenu la validation de ces financements en Bretagne. Présence n

10 FILIÈRE Les classes de Shutterstock 4 e - 3 e de l enseignement agricole privé Apprendre AUTREMENT En proposant une pédagogie à la fois diversifiée et personnalisée, les classes de 4 e et 3 e des établissements de l enseignement agricole privé permettent à des jeunes en échec scolaire de reprendre goût aux apprentissages et de trouver un parcours d orientation qui leur convient. Dossier réalisé par Emmanuelle Chaudieu Se réconcilier avec les apprentissages TÉMOIGNAGE «Jamais je ne pensais y arriver. Aujourd hui je participe en cours et n ai plus peur de rater». Lors de son arrivée en 4 e au lycée du Buat à Maule (78), Fiona avait de nombreuses difficultés notamment en orthographe et lecture, dues à des troubles dys. Aujourd hui en 3 e, la jeune fille de 16 ans a repris pied : avec 11 de moyenne, elle prépare son Brevet avec confiance et a décidé de son orientation. «Nous avons beaucoup d élèves qui arrivent dans nos classes 4/3 e parce qu ils ont de grosses difficultés dans l enseignement général. Ils viennent ici se réconcilier avec les apprentissages», confie Christian Louvet, formateur à l IFEAP en charge des 4 e /3 e. Sans cacher que cela donne des classes difficiles à gérer qui demandent une grande inventivité pédagogique. «Autour des 4 e et 3 e, c est toute l équipe enseignante et éducative qui est mobilisée», confirment Marie-Pierre Moreau, enseignante d histoire-géo et Nadia Barré, prof de bio et physique, respectivement responsables des 3 e et des 4 e au lycée du Buat. Pour Christian Louvet, il y a quatre incontournables pour ces classes de 4/3 e : cellesci nécessitent de poser un cadre clair et très réactif en matière d exercice de l autorité, de mettre en œuvre un accompagnement individualisé (un référent adulte pour chaque élève), de promouvoir une démarche de pédagogique active, de savoir gérer la dynamique de classes en trouvant des moyens pour que le groupe fonctionne de manière positive. COMME À LA MAISON Émilie Girardey, éducatrice de vie scolaire, dirige l étude du soir des internes au lycée du Buat. «C est un peu comme à la maison. L étude ne doit pas être une punition mais donner envie de faire son boulot. Il faut être aidante, écouter, conseiller et aider à apprendre et faire comprendre». Émilie fait travailler des paires : un élève fort pour travailler avec un moins fort, tandis que le mercredi c est étude en chambre pour apprendre à devenir autonome. 10 Présence n 222

11 TÉMOIGNAGE Nina, 18 ans en 1 ère Professionnelle SAPAT «En fin de 5 e, j étais en plein décrochage et refusais d aller en cours. Arrivée au LEAP en 4 e, c est ma prof de français qui m a donné le déclic, en me disant «tu vas y arriver!» Résultat : j ai eu mon Brevet. Je ne pensais pas que je pourrais réussir. Et j ai continué en Seconde Pro SAPAT* pour décrocher mon Bac Pro. Je voudrais devenir infirmière auprès de personnes âgées. Avant je vais passer le concours d aide-soignante et je vais m accrocher pour entrer en IFSI**. Maintenant, je sais que je peux y arriver.» ** Services Aux Personnes et Aux Territoires ** Institut de Formation en Soins Infirmiers Des stages d immersion au collège Lors de chaque rendez-vous avec une famille pour une préinscription, Damien Mouvaux, directeur du cycle Collège de l Institut de Genech (59), convie le jeune qui s apprête à entrer en 4 e ou en 3 e à un stage au sein de l établissement. Pendant trois jours, au moment des vacances de Pâques ou à la fin du mois de juin, les futurs élèves viennent s immerger et découvrir la vie du collège, en internat. «Cela permet à chacun de goûter au fonctionnement de l école, d en avoir une image la plus réaliste possible, témoigne Damien Mouvaux. On leur propose différentes activités : cours, découverte de l exploitation, tests en informatique, français, math, anglais». Objectif : que le futur collégien ne soit pas dans l inconnu lorsqu il intégrera l établissement. Pour l équipe, c est l opportunité d observer les jeunes et leur comportement. «On constate déjà sur trois jours que certains vont avoir des difficultés dans certaines matières, ce qui nous aide par exemple à commencer à préparer les groupes de soutien», illustre Damien Mouvaux. Apprentis comédiens D ans le cadre d un partenariat proposé en 2011 par Le Théâtre de Poche, situé dans la commune voisine de Hédé, le lycée professionnel Abbé Pierre de Tinténiac (35) a mis en place un parcours découverte autour du théâtre, marqué par un temps fort chaque année : une semaine d immersion au Théâtre de Poche, durant laquelle les élèves d une classe de 4 e ou de 3 e préparent, mettent en scène et interprètent une pièce. Coordonné et animé par Bertille Chapin, professeur de Français, ce projet est l occasion pour l équipe de travailler en pluridisciplinarité : l affiche est réalisée en cours d informatique, le goûter pour le temps de restitution du travail est préparé avec l enseignant des activités de loisirs Du côté des élèves, cette semaine suscite beaucoup d appréhension : «Ils expriment clairement leur crainte de monter sur scène. Mais une fois sur place, ils s épanouissent et se surpassent, s enthousiasme Bertille Chapin. Ils sont également plus à l aise ensuite lorsqu on aborde un autre texte théâtral en cours et ont plus de facilités pour s exprimer à l oral». Cette semaine est enfi n souvent l occasion de souder la classe lorsqu il y a des tensions, comme c était le cas la première année : «Nous avons trouvé des petits exercices pour travailler la cohésion du groupe : cela a été très positif». S OUVRIR à l histoire des arts À travers le partenariat entre le Théâtre de poche, plusieurs objectifs étaient recherchés : offrir aux élèves une ouverture à l histoire des arts par le biais du spectacle vivant, assister à des représentations, s initier à la pratique du théâtre, insuffler une dynamique culturelle dans l établissement, le tout en cohérence avec les référentiels de français des différentes classes. Présence n

12 FILIÈRE La gestion mentale appliquée au collège Chaque matin, pendant quelques minutes, les élèves de 4 e du pôle de formation La Ville Davy à Quessoy (22) démarrent leur cours par des coloriages de mandalas. Un rituel très efficace pour se concentrer. Il a été instauré lorsque, sous l impulsion d Anne Sauldubois, directrice adjointe de l établissement, l organisation des emplois du temps des 4 e et 3 e a été revue à l aune des principes de gestion mentale. Depuis la rentrée 2012, les matinées des 4 e sont ainsi découpées en plages de deux fois deux heures dédiées aux enseignements généraux. Après la séance de mandalas, le professeur procède avec ses élèves à une réévocation du travail de la veille, suivie de la séquence sur le mot du jour qui consiste à prendre un terme extrait du cours et à l écrire dans un carnet d orthographe. «Ce mot va être réactivé le soir, puis une semaine après, quinze jours, six mois et enfin un an plus tard», explique Anne Sauldubois. L après-midi, les élèves de 4 e démarrent par une demi-heure au cours de laquelle il va y avoir un rappel du mot du jour, des exercices de calcul mental et enfin un temps de lecture à voix haute. Les jeunes partent ensuite en activités thématiques pendant deux heures avant de terminer par une réactivation de ce qui a été fait durant la journée et une projection dans le travail à faire le soir. Cette approche pédagogique porte ses fruits, selon la directrice adjointe : «Certains élèves ont eu des résultats étonnants, plusieurs d entre eux affichaient ainsi des moyennes de 15/16 au 3 e trimestre. Bien sûr, il ne s agit pas d une baguette magique mais ils sont plus investis. Et pour l équipe, cela a redonné un élan». UNE PRATIQUE PÉDAGOGIQUE RECONNUE La gestion mentale est une pratique pédagogique élaborée par Antoine de la Garanderie et reconnue par l Éducation nationale. Elle est basée sur les principes d exploration, de description et d étude des processus de la pensée consciente lors d une prise d information, de son traitement et de sa restitution. Elle s appuie sur le rôle fondamental de l évocation comme outil de la pensée, l évocation pouvant être une image mentale, visuelle, auditive ou encore verbale. ON SUIT MES PROGRÈS Rémy, 15 ans, élève en 4 e «En 5 e au collège je n avais plus envie d aller en cours. Je n aimais que l informatique et le sport. Ici, les professeurs prennent le temps, ils expliquent et nous aident. Je comprends les cours! Au début ça m étonnait de voir que j y arrivais. Côté comportement, j ai eu besoin d une fiche de suivi sur laquelle les profs écrivent heure par heure comment se passent les cours, je peux en parler avec la vie scolaire et mes parents la signent le week-end. Comme ça, tout le monde suit mes progrès et ça m aide.» J AIME L INTERNAT Lina, 14 ans, élève en 4 e «Au collège, ça ne marchait pas du tout! C est plus facile, les profs prennent le temps de nous expliquer. Le soir, en étude, je réussis à faire tous mes devoirs avant, je ne les faisais pas. Émilie c est mon tuteur, avec elle je peux parler et elle m explique, elle m aide. J aime l internat, car on ne perd pas de temps à venir au lycée. Ma matière préférée c est le français, j aime bien écrire des rédactions. Plus tard? Je voudrais travailler avec des enfants, et j ai déjà trouvé mon stage de fin de 4 e, ce sera dans une crèche.» 12 Présence n 222

13 Partir du concret Une pédagogie «active» : c est l un des atouts majeurs de l enseignement agricole privé, une approche particulièrement adaptée pour les élèves de 4 e /3 e. «Les apprentissages scolaires sont importants mais il y a également tous ceux pour lesquels on n est pas dans une configuration de cours magistral, explique Christian Louvet, formateur à l IFEAP en charge des 4 e /3 e. Cela passe par des actions concrètes qui peuvent toucher un certain nombre de domaines (animaux, plantes, transformation de produits alimentaires )». Illustration au lycée du Buat à Maule (78) où «les professeurs de matières professionnelles lancent des projets avec les élèves qui se sentent utiles et concernés UN LIVRE complètement toqué La 4 e étoilée vous livre ses secrets, tel est le titre du livre de recettes conçu l année dernière par une classe de 4 e de l Institut Saint-Éloi à Bapaume (62), un projet mené durant toute une semaine. «L idée a d abord été de faire travailler les élèves en amont en récoltant les recettes au sein des familles auprès des parents et des grands-parents», explique Anaëlle Désert, coordinatrice du cycle collège. Ensuite, chaque professeur a participé à sa manière au projet : en informatique pour la mise en page, en biologie sur l équilibre alimentaire, en maths sur les proportions «C est une semaine durant laquelle on voit les élèves différemment, certains étant beaucoup plus motivés et intéressés lorsque c est plus concret», constate Anaëlle Désert.», expliquent Marie-Pierre Moreau, enseignante d histoire-géo, et Nadia Barré, prof de bio et physique, respectivement responsables des 3 e et des 4 e. Par exemple, l opération «Compet à la mangeoire» en partenariat avec le Museum d histoire naturelle : il s agit pour les jeunes d identifier les oiseaux et de faire remonter les infos au Museum. D autres vont valoriser le beau parc du lycée en créant un jardin en carrés. Pour cela, ils font la reconnaissance de terrain avec de la cartographie, calculent les surfaces et préparent le budget à présenter. «On part du concret pour mieux comprendre les matières générales», résument les deux enseignantes. RENOUER avec l estime de soi Autre action menée par les collégiens du lycée du Buat : avec le Club Solidarité, les élèves récupèrent des jouets en bon état pour les enfants du Secours populaire, ou encore des livres pour alimenter une bibliothèque en Haïti. Autant d initiatives qui les mobilisent et les valorisent en leur permettant de renouer avec l estime de soi. Enseignements Pédagogie innovante Enseignement général Défini par rapport aux programmes de l Éducation Nationale Français Histoire-Géographie Éducation civique Mathématiques Langue vivante Vie sociale et culturelle Éducation physique et sportive Prévention Santé et Environnement Éducation à la santé et à la sexualité Éducation Socio-culturelle Technologies, Sciences et découverte professionnelle Technologies Information et Multimedia Physique-Chimie Biologie-Ecologie Modules découvertes professionnelles et métiers Animal Végétaux cultivés Aménagement et valorisation de l espace Énergie Matériaux Accueil et vente en milieu agricole et para-agricole Activités de loisirs Cadre de vie (milieu familial et soin à l enfant) Transformation des produits agricoles En classe de 3 e Préparation du Diplôme National du Brevet des Collèges Après la classe de 3 e Vers l enseignement professionnel CAP 1 ère année (Diplôme de CAP en 2 ans) Seconde Professionnelle (Bac Pro en 3 ans) Vers l enseignement général Seconde Générale et Technologique (Bac Technologique STAV) Retrouvez les 4 e et 3 e de nos établissements sur Présence n

14 ENQUÊTE APPRENTISSAGE La motivation, la clé pour réussir Un pied dans l entreprise, l autre dans les salles de cours. Le système séduit des jeunes qui souhaitent avoir une expérience professionnelle et percevoir un salaire tout en préparant un diplôme. Une autre voie pour réussir à condition d avoir une solide motivation ENQUÊTE MENÉE PAR LAURENCE ESTIVAL Vextok-Fotolia.com 14 Présence n 222

15 À24 ans, Axelle prépare aujourd hui un Bac Pro Productions horticoles au lycée Saint-Nicolas d Igny (91). Comme une vingtaine d élèves, regroupés ce lundi matin, elle a choisi de suivre ce cursus en apprentissage. «Il s agit d une reconversion professionnelle, pendant un certain temps j avais envisagé une carrière de danseuse. Je ne me voyais pas reprendre des études classiques après avoir travaillé. Et puis à un certain âge, on a envie d être autonome et de gagner de l argent.» Armée d une solide motivation, elle a rapidement trouvé un maître de stage à la mairie de Paris où elle apprend à produire des plantes en plein champ. N étant pas rattachée à une équipe fixe, elle a l opportunité de découvrir les multiples facettes de son futur métier. «C est passionnant!», sourit-elle. UN MODE d apprentissage exigeant Si les périodes en entreprise séduisent la majorité des apprentis quand ils ont eu la chance de décrocher un contrat (lire encadré Point de vue p.16), certains ont toutefois quelques appréhensions quand il faut revenir sur les bancs de l école À l image de Kevin, 17 ans. «Le contenu est assez scolaire. Il y a une coupure importante entre ce qu on vit sur le terrain et le retour au lycée», marmonne ce grand gaillard pressé de retrouver ses serres. Les cours sont d autant plus frustrants que certains jeunes ont du mal à faire le lien entre ce qu ils apprennent en salle de classe et ce qu ils vivent chez leurs employeurs. Et si les CFA mettent un point d honneur à multiplier les passerelles entre les deux univers, ce n est pas toujours évident. «C est un des problèmes auxquels nous sommes confrontés, reconnaît Julien Martin, un des formateurs. Il y a autant de stages que d élèves. Tous ne voient pas les mêmes choses en entreprise. C est donc très diffi cile de nous caler par rapport à leurs attentes.» «Il ne faut pas oublier non plus que les élèves préparent un diplôme. Nous devons suivre les référentiels et leur permettre par ailleurs de s entraîner à faire des gestes professionnels qu ils n auront pas forcément la possibilité de réaliser dans leur entreprise mais qui pourront leur être utiles dans leur carrière», ajoute sa collègue Aude Costans. Mener de front expérience professionnelle et vie scolaire n est pas de tout repos. «Il faut avoir de l endurance car nous n avons pas beaucoup de vacances pour nous reposer. De plus, il faut apprendre à dégager du temps pour relire les cours, préparer les examens. Au début, j avais l impression que je ne pourrais jamais faire les deux en même temps. Mais aujourd hui, je commence à mieux gérer mon emploi du temps», observe Gérald, 17 ans, apprenti dans une entreprise privée. Alchimie réussie La vie d apprenti n a donc rien d un long fl euve tranquille. «C est une voie exigeante qui nécessite une solide motivation. Ceux qui la choisissent seulement parce qu ils n ont plus envie d aller à l école font fausse route», met en garde François Loison, responsable du CFA d Igny. Dans ce cas de fi gure, l échec est en effet garanti. Le nombre de ruptures de contrats d apprentissage augmente. «Autant j apprécie de former des jeunes qui en ont envie, autant je ne Chiffres clés jeunes étaient en contrat d apprentissage en 2012 (1) 63 % des nouveaux entrants avaient un niveau inférieur ou égal au Bac, 37 % un niveau supérieur au Bac (1) 41 % des nouveaux employeurs étaient des entreprises de moins de 4 salariés (1) apprentis sont formés dans les établissements du CNEAP (2) 64 % des chefs d entreprise estiment que l apprentissage est «un outil au service de leur compétitivité» (3) (1) Source DARES (2) Sources CNEAP (3) sondage Ifop pour l AGEFA-Pme Présence n

16 ENQUÊTE POINT DE VUE3 COMMENT DÉCROCHER UN CONTRAT D APPRENTISSAGE? CE N EST PAS UNE SIMPLE FORMALITÉ... Si la frilosité des entreprises est parfois montrée du doigt celles échaudées par des apprentis diffi ciles n ont pas envie de renouveler l expérience, d autres raisons expliquent également ce problème. Les élèves s y prennent souvent trop tard. Partie à la recherche d un maître de stage en septembre dernier, Jessica, en Bac Pro à Igny, l a appris à ses dépens. La jeune fi lle, par ailleurs handicapée, souffrant de problèmes auditifs, n a pas trouvé de point de chute dans les temps. Plus les candidats s y prennent de bonne heure, plus ils ont la possibilité de choisir leur entreprise. À Igny, par exemple, la mairie de Paris propose chaque année quelques contrats d apprentissage et certains employeurs font régulièrement appel au CFA. AUTRE SOLUTION : RETOURNER VOIR LES ENTREPRISES OÙ L ON A DÉJÀ FAIT DES STAGES. À condition de bien s assurer qu elles ont réellement des postes correspondant au niveau du diplôme préparé. L utilisation d une main-d œuvre à bas prix pour de multiples tâches existe en effet même si cela reste quand même une exception. Baptiste a pour sa part prospecté autour de son domicile. C est ainsi qu il a trouvé son maître d apprentissage à la ferme de Gally où il s initie au maraîchage. Kyllien a quant à lui privilégié l envoi de CV. Plus anonyme, cette démarche a toutefois des chances de déboucher sur un contrat si la lettre d accompagnement est bien ciblée et donne envie à l entreprise de convoquer le futur apprenti. peux pas m occuper de ceux qui ne s intéressent pas à ce qu ils font», indique Didier Mullié, directeur d une entreprise de travaux paysagers familiale de quatre salariés, rappelant que les jeunes doivent aussi comprendre que travailler en entreprise nécessite un certain comportement : arriver à l heure, être poli, disponible «Mais quand l alchimie prend, tout le monde y trouve son compte», lance François Loison. Si le développement de l apprentissage ne permet pas toujours aux recruteurs de garder les diplômés le taux de transformation d un contrat d apprentissage en CDI oscille entre 20 et 25 %, il donne cependant aux autres, forts de cette expérience, une avance indéniable pour partir à la conquête du monde du travail. Selon un sondage Ifop réalisé en juin dernier, 90 % des chefs d entreprise estiment que les apprentis sont plus rapidement opérationnels Trois questions à Jean-Marie L Haridon, Responsable Apprentissage et Formation Continue au CNEAP «L APPRENTISSAGE N EST PAS UNE VOIE D ÉCHEC» Depuis plusieurs années les différents gouvernements présentent l apprentissage comme un moyen de lutter contre le fait que chaque année jeunes sortent du système scolaire sans diplôme. Est-ce donc la solution? Il y a un décalage entre le discours sur l apprentissage et la réalité. Il faut avoir en tête que les jeunes vont être en entreprise. Nous sommes dans le secteur économique, avec ses exigences. Ce n est pas un mode de traitement social du chômage des jeunes. C est certes une alternative pour tous ceux qui ne Fotolia supportent plus de rester sur les bancs de l école, à condition toutefois qu ils soient très motivés et en acceptent les contraintes. Quelles sont les contraintes? Il y a des avantages comme par exemple la possibilité d être sur le terrain, d acquérir une expérience professionnelle. Mais il faut aussi savoir que préparer un diplôme par apprentissage, ce n est pas préparer un diplôme au rabais. Les exigences sont les mêmes qu en formation initiale, notamment dans le domaine des matières générales. 16 Présence n 222

17 PATRICIA, femme de viticulteur, ingénieur femme de viticulteur, ingénieur en agriculture et diplômée d œnologie, gère avec le maître de chai la vinification de leur côtes-de-castillon. Depuis six ans, je prends des apprentis sur mon exploitation viticole. C est pour moi la possibilité de transmettre mon savoir-faire et ma passion à des jeunes qui, visiblement, aiment ça. Leur curiosité et leur envie d apprendre est vraiment un moteur pour nous. Il y a deux ans, notre apprentie qui préparait un BTS Technico-commercial nous a ainsi donné l idée de créer une cyberboutique, pour la vente en ligne. Elle a chapeauté tout le projet avec une agence de webmarketing et aujourd hui, ça marche bien. Parfois, c est vrai, il faut prendre du temps pour expliquer ou montrer aux apprentis telle manipulation mais j ai à cœur de suivre leur progression. Nous parlons des notes qu ils ont eues au CFA. L évaluation de leurs compétences est un exercice peu fastidieux, en réalité. Il demande d être attentif à ce qu ils font. C est pour nous, professionnels, un exercice pour vérifier nos capacités de pédagogues. Et là, on en apprend tous les jours! DIDIER MULLIÉ, fondateur fondateur et directeur d une entreprise familiale de travaux paysagers Les jeunes ont parfois du mal à accepter cette réalité C est justement parce que ce sont les mêmes diplômes que l apprentissage a du sens. L évolution des enseignements correspond d ailleurs à une évolution des métiers : on demande de moins en moins des compétences physiques et de plus en plus une capacité à traiter des informations. L apprentissage n est donc pas une voie d échec. Les étudiants l ont bien compris. On assiste aujourd hui à un boom de l apprentissage dans l enseignement supérieur. Je prends des apprentis tous les ans. Je passe du temps avec eux pour leur montrer les gestes professionnels. C est un plaisir pour moi qui suis autodidacte de leur transmettre mon savoir. Mais j attends d eux qu ils soient rapidement autonomes car je ne peux pas me permettre d être toujours derrière eux ou d avoir des problèmes avec des clients. Ils doivent également mettre la main à la pâte, y compris pour des tâches comme par exemple le ramassage des feuilles. Généralement, cela se passe plutôt bien, même si j ai dû me séparer de trois ou quatre jeunes qui visiblement n étaient pas à leur place. L apprentissage est une voie difficile et je teste les candidats pendant un ou deux jours pour être sûr de ne pas me tromper. Présence n

18 LA PAROLE À... De la lutte contre la faim et pour le développement à la défense des droits de l homme, Jean-Marie Fardeau est sur tous les fronts. Près de trente ans d engagement aux quatre coins de la planète au cours desquels cet ingénieur agronome de formation a croisé le chemin de nombreux jeunes militants dont l implication est importante pour faire bouger les lignes. Jean-Marie Fardeau «Opportunités d engagement pour LES JEUNES Propos recueillis par Laurence Estival On présente les jeunes comme étant généreux, prêts à se mobiliser pour faire avancer des causes qui leur sont chères. Partagez-vous ce point de vue? Je reçois chaque année de nombreux CV de jeunes qui souhaitent travailler dans les ONG. La professionnalisation de ce secteur a ouvert des possibilités même si le nombre de candidatures est plus important que le nombre de postes à pouvoir. A Human Rights Watch, je prends chaque année des stagiaires. Avoir suivi une formation en lien avec les dossiers portés par les ONG est un avantage mais d autres éléments entrent aussi en ligne de compte : je regarde si les postulants ont eu des engagements quand ils étaient étudiants ou lycéens. Ont-ils créé des associations? Défendu des causes? Il faut aussi une bonne connaissance des langues. De l anglais, bien sûr, qui est indispensable, mais de plus en plus d une autre langue. Connaître des langues rares est devenu un avantage. Que ceux qui sont intéressés et qui ont le profil ne se désespèrent pas trop. C est toute une génération de salariés des ONG qui va partir à la retraite dans les prochaines années. Il va y avoir des places à prendre! En dehors de ceux qui souhaitent travailler dans les ONG, voyez-vous de plus en plus de jeunes parmi les militants? A Human Rights Watch, nous ne sommes pas directement en contact avec les militants. Mais quand on voit la vitalité des associations d étudiants, par exemple, il y a de quoi être optimistes! Un peu partout les microinitiatives fleurissent. Celles-ci sont parfois liées à l actualité, mais nous sommes dans une période où il n y a plus de grandes causes. Plus généralement, il s agit souvent d une rencontre pour faire passer les jeunes à l action. A ce titre les formateurs comme les ONG ont un rôle important à jouer pour sensibiliser les élèves à la lutte contre les injustices. L enseignement catholique, par l importance accordée à l ouverture à l universel et à la solidarité, est particulièrement attentif. Il faut notamment faire témoigner des personnes qui ont des histoires fortes à raconter. Je crois en la force de ces trajectoires personnelles, beaucoup plus parlantes pour les jeunes. Pour beaucoup d entre nous tous ceux qui comme moi évoluent dans le monde des ONG cela a été le début de notre engagement et de notre parcours dans ces associations. Toutefois les responsables associatifs ont souvent l impression qu il est difficile de mobiliser les jeunes dans la durée, ils zappent d une cause à l autre. Comment les fidéliser? Ce phénomène n est pas nouveau. Il a commencé dans les années 80 et cela ne sert à rien de se lamenter. La faute n est pas à 18 Présence n 222

19 QUESTIONS À mettre seulement sur le dos des jeunes. Les associations ont elles aussi une part de responsabilité. Elles ne s ouvrent pas assez aux jeunes. Certaines, comme le CCFD-Terre solidaire (Comité catholique contre la faim et pour le développement) ont sur ce point fait de gros efforts. Avec des voyages sur le terrain pour les élèves et les étudiants, il a considérablement rajeuni son réseau. Amnesty International, l ACAT (Association des chrétiens pour l abolition de la torture) ont elles aussi ouvert davantage leurs réseaux aux jeunes militants. Mais d autres en sont encore loin. Les réunions de militants à heure fixe ne correspondent plus à ce qu attendent les jeunes aujourd hui. Grâce à Internet d ailleurs, les formes d engagement évoluent. Pouvez-vous préciser ce qu apporte internet? Depuis quelques années, se sont créés des sites de pétition en ligne, particulièrement appréciés des jeunes générations. Avaaz, pour ne citer que lui, donne également la possibilité à ses membres de lancer leur propre pétition. Plus besoin de réunion, il suffit d inscrire son nom pour participer au mouvement. Et puis, il y a aussi les réseaux sociaux qui offrent une multitude de nouvelles opportunités : relayer des informations sur les forums, sur Twitter est un moyen aussi de participer à la défense des droits de l homme ou des plus démunis. C est plus en phase avec les habitudes des jeunes mais aussi avec leur emploi du temps dans la mesure où il est possible de se mobiliser à n importe quelle heure. Les ONG, et Human Rights Watch la première, ne savent pas encore suffisamment tirer profit de ces nouveaux comportements! BIO EXPRESS : directeur d Agir ici pour un monde solidaire (devenu depuis Oxfam France) : responsable du plaidoyer à la CIDSE (organisation regroupant 17 ONG catholiques de solidarité internationale d Europe et d Amérique du Nord) : secrétaire général du CCFD-Terre solidaire Depuis 2007 : directeur France de Human Rights Watch PATRICE BOURDIER Parent d élève Propos recueillis par Véronique Tête S engager en tant que parent Sa fi lle est scolarisée au LEAP Val de Sarthe (72). Patrice Bourdier est un parent d élève engagé dans l enseignement général. Et aujourd hui dans un établissement agricole privé. >>> Comment êtes-vous entré dans le réseau CNEAP? Administrateur et trésorier de l OGEC des écoles privées voisines du LEAP Val de Sarthe, j ai été amené à collaborer plus étroitement avec le lycée agricole lors de la création d une cuisine centrale autogérée. En effet, l association de gestion de la restauration scolaire, dont j assure la présidence, est domiciliée dans les locaux du lycée agricole Val de Sarthe. J ai donc tout naturellement fréquenté assidûment cet établissement et j ai pu apprécier les valeurs humaines et professionnelles et tout particulièrement la convivialité bienveillante et respectueuse des relations entre les étudiants, la vie scolaire et les enseignants. Ma fille a également été conquise par cette ambiance et a choisi d y être scolarisée et, en tant qu interne. >>> Quelques mots sur votre engagement en tant que parent d élève Titulaire d un diplôme d ingénieur en agriculture, et travaillant dans l agroalimentaire, le caractère «agricole» de l établissement ne me pose aucun problème. La qualité de l enseignement qui y est dispensé me semble tout à fait satisfaisante, et plus encore du fait de la proximité entre les étudiants et leurs enseignants. En participant aux conseils d administration et aux assemblées générales, je contribue, modestement, à l évolution de cette structure. >>> Pourquoi est-ce important de s engager? L engagement dans la vie sociale, et en particulier dans les établissements scolaires dans lesquels évoluent nos enfants me semble faire partie des valeurs fondamentales à leur transmettre. Mon message aux parents moins «présents» dans l établissement : Rejoignez-nous! Outre la richesse de l aventure humaine que cela représente, qu y a-t-il de plus important, pour des parents, que d être acteurs dans l éducation, et donc l avenir, de leurs enfants? Présence n

20 PÉDAGOGIE RÉNOVATION Un nouveau BTS ACSE À LA RENTRÉE PROCHAINE Depuis 1998, date de création du BTSA Analyse et conduite de systèmes d exploitation (ACSE), le référentiel de cette formation n a pas connu de changement. Ce sera chose faite à la rentrée prochaine, la parution du nouvel arrêté fixant les conditions de délivrance du BTSA ACSE étant attendue avant l été. L ancien référentiel n était en effet plus adapté au contexte actuel, comme l explique Manon Larrère, chargé de l enseignement supérieur au LEAP de Val de Sarthe à Sablé-sur-Sarthe (72) : «Il y a des notions importantes qui manquaient, notamment tout ce qui a trait à l agro-écologie, au produire autrement. Ce sont des connaissances qui sont vues dans les établissements mais qui seront désormais intégrées au référentiel qui va également comporter une plus grande dimension de stratégie d entreprise». Le BTSA ACSE sera par ailleurs moins spécialisé production de masse-ruminants. «On n aura plus la nécessité d étudier de manière très spécifique un type d exploitation bovine, explique Hervé de Lansalut, directeur de Val de Sarthe. On pourra étudier différentes productions, y compris certaines plus confidentielles. La réforme va également conduire à s orienter plus vers un métier de dirigeant, de chef d exploitation agricole à l issue de la formation.» Mais pour l essentiel, «l esprit reste le même, à savoir, comprendre une exploitation agricole, l environnement dans lequel elle se développe et pouvoir porter un diagnostic», confie Manon Larrère. S appuyant sur des enseignements d analyse technico-économique, comptables, juridiques, de techniques agricoles, mais également de communication et d animation, «il s agit d apprendre aux jeunes à faire un audit d entreprise et à envisager une stratégie de développement pour l exploitation», résume Hervé de Lansalut. Goodluz-Fotolia ADMISSION POST-BAC Bientôt la limite de validation des dossiers La première étape de la procédure APB (admission post-bac) s achève le 20 mars : à cette date, les candidats devront avoir ouvert leur dossier d inscription et saisi leurs vœux. Chacun peut formuler au maximum 36 candidatures dont 12 maximum par grande famille de formations (BTS, première année de licence, écoles d ingénieurs ). L échéance suivante est fixée au mercredi 2 avril, date limite de validation des vœux et d envoi des dossiers papier. Troisième étape : les futurs bacheliers doivent vérifier entre le 6 et le 9 mai au plus tard que leurs dossiers papier ont été reçus en consultant la rubrique Candidatures du site APB car les établissements formateurs n envoient pas d accusé de réception. Suite des opérations en juin : on vous en reparle dans le prochain numéro de Présence! 20 Présence n 222

21 ÉDUCATION DÉCROCHAGE SCOLAIRE Prévention et traitement Alors que la prévention du décrochage scolaire fait aujourd hui l objet de programmes nationaux, depuis quatre ans la Fondation de France (FdF) s est emparé de cette problématique cruciale à travers son appel à projets Aidons tous les collégiens à réussir! Explorer les voies possibles, renouveler les pratiques Lancé en partenariat avec le ministère de l Éducation nationale en lien avec les réseaux de l enseignement agricole, cet appel à projets permet de soutenir des actions portées par des équipes éducatives de classes de collège (4 e et 3 e pour les établissements du réseau CNEAP) qui explorent de nouvelles voies pour prévenir le décrochage et redonner du sens aux apprentissages. Initié en 2010, «ce programme est intervenu à un moment où les médias relayaient fortement ce sujet et où les pouvoirs publics s en emparaient», témoigne Anne Bouvier, responsable des programmes Culture et Éducation à la Fondation de France. «À la Fondation, nous connaissons bien le public adolescent, mais surtout par le volet santé, moins sur le volet éducatif, ce qui était une raison supplémentaire de s engager. Ce qui nous intéressait c était d agir à la fois en prévention et sur le traitement». En quatre ans, la Fondation de France a ainsi reçu projets, parmi lesquels 209 ont bénéficié d un soutien financier. C est le cas par exemple du LEAP Tricastin Baronnies de Saint-Paul-Trois-Châteaux (26) soutenu depuis deux ans maintenant. «Un travail a été mené à partir du constat que les jeunes qui arrivent dans les classes 4 e /3 e ont souvent un gros déficit de confiance en eux et une image dévalorisée d eux-mêmes», témoigne Anne Bouvier. Engagement du réseau CNEAP Le CNEAP est membre du Comité de pilotage de l appel à projets depuis trois ans. «Nous accompagnons collectivement les établissements pour répondre aux appels à projets et valoriser leurs compétences,» souligne Anne-Marie Hamayon du pôle Formation et Éducation du CNEAP. «Deux points nous semblent importants dans ce projet, tout d abord la philosophie axée sur la bienveillance à l égard du jeune qui est au cœur de la question : comment sa projection vers les apprentissages prend du sens? Autre point positif : l appel à projets prévoit de financer la démarche d accompagnement des équipes autour des élèves. On nous donne les moyens de réussir notre mobilisation autour des jeunes.» Pour l avenir, la Fondation de France va donner une plus grande place aux TUICE dans ces expériences novatrices et les projets seront pilotés par toute une équipe au sein de l établissement et notamment l équipe de direction. «L idée est d essaimer ces pratiques à tous les jeunes du réseau et de multiplier le nombre d établissements engagés,» conclut Anne- Marie Hamayon. Flash Info CRITÈRES DE SÉLECTION des projets Les projets adressés à la Fondation de France sont analysés en fonction d une dizaine de critères, comme la prise en compte du contexte local, les modalités de participation des élèves dans le projet, le caractère innovant de l action, sa potentialité à transformer les pratiques au sein de l établissement ou du réseau, l ouverture sur le territoire, l implication des familles Divers types d actions peuvent être financés. Les projets pour le soutien d actions particulières conduites dans le cadre de projets d établissement ou de réseaux ou projets d accueil et d accompagnement portés par des associations en lien avec les établissements. L appui méthodologique aux équipes éducatives et enseignantes ainsi qu à leurs partenaires pour améliorer leurs pratiques. Le programme Aidons tous les collégiens à réussir! de la Fondation de France bénéficie d une enveloppe globale de par an. Les dossiers de l appel à projets 2014 doivent être déposés avant le 3 avril prochain. RENCONTRES ÉDUCATION DE LA FONDATION DE FRANCE Aidons tous les collégiens à réussir! Grenoble 4 Avril 2014 «Remobiliser des collégiens en rupture» Nantes, au printemps «Pratiques innovantes» Les établissements du CNEAP qui ont déjà répondu à l appel à projets seront invités. En savoir plus : pedagogie@cneap.fr Présence n

22 À DÉCOUVRIR & Rubrique animée par Emmanuelle Chaudieu & Respect Mag Printemps pour 4 numéros Pour son n 40, un magazine exceptionnel réalisé en partenariat avec le ministère de l Éducation nationale : la rédaction a ouvert ses portes à 30 lycéens qui ont participé à toutes les rubriques du magazine et en particulier au dossier spécial consacré au «respect au lycée». & Cheval Pratique Mars ,90 Un dossier complet consacré aux métiers du cheval. Ou comment se repérer dans la multitude de formations et de diplômes existant et choisir de manière très pratique, en fonction de son âge et de son niveau, le cursus le plus adapté. & CÔTE LECTURE Sciences Humaines Mars ,50 Face au succès grandissant des cours en ligne accessibles à tous (les MOOCs ), des universités populaires et des cafés à thème, le numéro de mars de Sciences Humaines revient sur ce phénomène : Apprendre par soi-même. GUIDE, CD, DVD... COUP DE CŒUR Écrire sur le château Regards croisés Marie-Claire Forestière Saby Éditions - 23,60 Dans ce livre consacré à un lieu qui est aussi un établissement du CNEAP, le lycée Horticole et Forestier Saint-Joseph de Mesnières-en-Bray (76), l auteur a donné la parole à tous ceux qui avaient un lien avec le château ou le lycée agricole : visiteurs du château, habitants, salariés à la retraite ou en activité, prof, cuisinier ou éducateur, élèves scolarisés depuis 1939 jusqu à nos jours, enfants du personnel racontant leur enfance au château. Au total, plus de 66 personnes ont écrit, âgées de 10 ans pour la plus jeune à 90 ans! L auteur a conservé les textes dans leur intégralité. Avec les photos noir et blanc et le cahier couleurs de 32 pages. GUIDE Prières de la Famille Éditions Pierre Téqui - 7 Un livret indispensable à toutes les familles qui souhaitent prier ensemble, les uns pour les autres, pour le monde, pour une naissance, avant l école, après un repas Des prières courtes, faciles à lire et à réciter, pour accompagner chaque membre de la famille au fi l des jours et de la vie. DVD Des trains pas comme les autres Éditions Montparnasse/France 5-13 Cinq nouvelles destinations de la très belle série documentaire française Des trains pas comme les autres sont disponibles en DVD depuis le 4 février 2014 : qui valide son ticket pour partir à la découverte de Cuba, du Vietnam, de l Inde du Nord ou du Sud, ou encore du Pérou? Dépaysement garanti. BD Come Prima Alfred, Delcourt productions - 25 Début des années 60, suite à la mort de leur père, deux frères, Fabio et Giovanni, sillonnent les routes. Leur voyage, émaillé de disputes et de silences, de souvenirs et de rencontres, les conduira jusqu à leur Italie natale. Cette BD signée Alfred a reçu le prix du meilleur album lors du dernier festival d Angoulême. AGENDA PARIS 21 au 24 mars 2014 Salon du livre À l honneur de cette 34 e édition, l Argentine, pays marqué par une histoire chahutée et riche d une littérature particulièrement inventive. L occasion de fêter le centenaire de la naissance de Julio Cortázar, figure emblématique de la littérature argentine de la seconde moitié du XX e siècle. FRANCE 4 au 6 avril 2014 Journées européennes des métiers d art Céramistes, marqueteurs, luthiers, souffleurs de verre, dentelliers... : tous ces artisans, détenteurs d un précieux savoirfaire, sont prêts à partager leurs secrets durant ces trois journées. Au programme : démonstrations, portes ouvertes, initiations FRANCE 1 er au 7 avril 2014 Semaine du développement durable Sensibiliser aux enjeux du développement durable, apporter des solutions concrètes pour agir, inciter chacun à des comportements plus responsables, tels sont les objectifs de cette opération organisée cette année sur le thème consommer autrement. gouv.fr PARIS À partir du 12 avril 2014 Réouverture du Zoo de Vincennes Après trois ans de travaux, le Zoo de Vincennes rouvre ses portes. Si le grand rocher, emblème du parc zoologique depuis 1934, est toujours là, le lieu a été radicalement transformé tant au niveau paysager que de l approche zoologique. Découpé en cinq zones géographiques, il accueillera près de 180 espèces et plus d un millier d animaux. NORD-PAS-DE-CALAIS 26 au 27 avril 2014 Le Nord-Pas-de-Calais de ferme en ferme Le CIVAM (Centre d initiatives pour valoriser l agriculture et le milieu rural) Nord-Pas-de-Calais organise la 14 e édition de l événement lors d un weekend de portes-ouvertes de 10h à 18h. Le thème sera : «Mon exploitation agricole : hier, aujourd hui et demain» Présence n 222

23 Congrès du CNEAP 9 et 10 avril 2014 Palais des Congrès Issy-les-Moulineaux parlons d Avenir Chefs d établissement, enseignants, personnels, élèves, parents, administrateurs, bénévoles, partenaires... MOBILISEZ-VOUS VENEZ NOMBREUX! Renseignements auprès de la Direction. Présence n

24 ABONNEZ-VOUS À PRÉSENCE z e d n a m m o c u o s e n i z a g a m s le x i o h c e r t o v e d Votre MAGAZINE pour réussir votre ORIENTATION, CHOISIR votre métier-passion et DÉCOUVRIR l enseignement agricole privé MAULE (78) VISITE MINISTÉRIELLE 2013 SP P ÉC CIA A L O RIEN N TATT IO O N 2014 CHEMILLÉ (49) PASSERELLES ENTRE LES FORMATIONS MADAGASCAR 10 ANS DES COLLÈGES AGRICOLES LIMONEST ENTRE VILLE ET CHAMPS CONVENTION ENT DE L ENSEIGNEM CATHOLIQUE BAVAY (59) ÉCHANGER LES SAVOIR-FAIRE D E L E N S E I G N E M E N T AG R I C O L E P R I V É QUALITÉ et PRÉCISION LABORATOIRES ET BIOTECHNOLOGIES ivé ricole pr ment ag Enseigne e au Ba c 4 la De r l ingénieu Du BTS à IVÉ T AG R I C O L E P R FILIÈRE AQUACULTURE DES DÉBOUCHÉS VARIÉS 06/11/13 15:38 d honorer qui permettent de moments forts présidents et chefs est ponctuée enseignants ou L année scolaire ges rendus administrateurs, on à les personnels, Flash-back sur quelques homma sa vraie dimensi. d établissements donnent par leur engagement qui que il a œuvré pour aux personnes catholique. ur du CNEAP, agricole. agricole privé Alpes, administrate avec la profession l enseignement maire de droit à une remise soit en cohérence ont député le lycée les élèves qui le départ par Martial Saddier, re, auteur d un Il n y a pas que à Pontivy (56), Il est remplacé d année. Ainsi de l arboricultu l apiculdes prix en fin Revéville, secrétaire Bonneville, spécialiste l agriculture sur Micheline de enseignant du ministre de à la retraite de e d Annecy. rapport auprès et de Jean Lorho, de Chambre d agricultur Kerplouz à Auray du LEAP Kerlebost BTS Technico-commercial ture, cadre à la au LAHP du Pousde Bretagne, et responsable pour Philippe et le Frère Yves Sous le soleil à a été l occasion ancienne salariée sa vie, de leur remettre l établissement, (56) Yvette Fablet, sa mission tout au long de général du CNEAP à du CNEAP. sin, secrétaire Malgorn, dévoué d argent du CNEAP. la médaille d argent des chacun la médaille se sont vus remettre Thomas, quant à lui, a reçu s, vous avez tous du Mérite Agricole Le directeur Christian personnels administratifétablissements et médaille ou la Camenen, Enseignants établissement. le au service des mains de Pierre des à la tête de cet un rôle indispensab jeunes. Vous êtes des piliers, pour son engagement de la Franche-Comté, Jacques nos entière. de la réussite é éducative toute LEAP Jeanne Est, au cœur du Plein ent communaut la d établissem pour repères pour ses fonctions Adriansen, chef (25) a quitté de Bernard Paliard, ce fut au tour par François d Arc de Pontarlier Haute-Savoie, méritée, salué dans bien Déjà élève à Poisy Au coeur de la ent. retraite l occasion une pour salué solennellem il est decneap, venu Morand d être anciens élèves, président du président des tion du LAP de en 1954 puis l établissement. du conseil d administra Rhône CREAP président venu ent du Vice-présid Poisy (74) en I pour commen Créée en Agricole a d établissement. l Enseignement à des projets soutien actions de eroy@cneap.fr ements : alexis.l renseign Contact et 7052 N 213 CS4.indd TURE RAISONN facile Navigation comme public NET du CNEAP SITE INTER beau, le site internetet l information du granddevient l outil, tout tion Ce site ances. Tout nouveau les, pour l orienta du CNEAP. membres plus de perform et infos accessib s et le travail des fini d évoluer pour Et il n a pas pour les échange essentiel. d information : Plus d infos de L associatio décidé d organiser Respectueuse ciations ont culture Raisonnée algues vertes les thèmes des organise à l Assemblée une débat sur l Environnement) d une média27 septembre pesticides suivi Nationale le jeudi représentants du et des doit amener les les tion. Cette démarche à chercher médiation entre à s écouter et et ceux de l environde deux parties solutions pour sortir de monde agricole les défenseurs fort ensemble des nement. «Entre «C est une première et le monde agricole, l environnement difficiles l impasse. et prometteuse. Avec des sont souvent Erik n intéressante les relations témoins comme mois. L associatio débats et grands Griffon. depuis plusieurs recréer du lien ou encore Michel FARRE a souhaité En s adressant Orsenna et soutenons présents parties. y serons de entre les deux elle a Nous innovante.», assure Environnement, cette initiative à France Nature Poussin, secrétaire volonté de sortir son côté Philippe rencontré la même agriculet d engager du CNEAP. de général de la crispation de la nature et teurs et défenseurs exion dans une réfl ent l environnem débat. S es de réfl dans s National sur l entrée NATIONALE des Journée et portera NEES tous JOURorganise les deux ans les 11 et 12 octobre à Troyes La MSA 2012 se tiendra La version des jeunes. la vie active À l heure où les gies nouvelles technolo habitudes, bouleversent les du CNEAP les établissements le train en ont eux aussi pris espaces marche, adoptant riquess de travail, numérique l e-portfolio ou travai ce. collaboratif à distan lante Une véritable défer LE CHIFFRE >>> te aux examens % de réussi pour les élèves CNEA du et étudiants Présence n ENQUÊTE MENÉE PAR LAURENCE ESTIVAL -Skynesher - / istock Quessoy ITER ants INC les enseign > FARRE -CNEAP EE.À tion» explique l association tion à la média de l Agri- commune, de FARRE, les deux assode la crispa n FARRE (Forum un l initiative exion et de est en ligne. n Saint Matthieu s FONDATION la Fondatio cé ses première juin 2011, 04 AGRICUL mère e dites pas à ma que je travaille depuis croit ma chambre, elle numérique» Cette «Adopter une stratégieable», que je suis au lycée. devenir bien est devenu indispens boutade pourrait du dévelopcrayssac, tenu observe Claude réalité, compte à Beaumont numériques chef d établissement pement des outils le l éducation. (82), résumant qui révolutionnent écrans virtuels de Lomagne de ses les que sentiment de nombre Mais avant fond les tableaux noirs, collègues. Et cette vague de aient remplacé les lycées, quelle aura coulé sous tous d eau concerne beaucoup ou les formations de quelques que soit leur taille les ponts, en dépit. Saint Joseph à dispensées : de expériences novatrices pour (35), question Limoux (11) à Redon (56) en Pour autant, pas du CNEAP Pins Saint-Jacut les les établissements cette une de par Verdalle (81), de rester à côté ements jouent de repenser passant révolution qui nécessite les interac- quinzaine d établissquand d autres ie que les poissons pilotes à l eau. tant la pédagog nts, les jeter s apprêtent à se tions entre les enseigna et les familles. élèves et étudiants, N LA RÉVOLUTIO NUMÉRIQUE les en relation avec Farre OBJECTIF La forc 04/11/13 11:55 «N mon prof.com URE partepour cela, les 27 En mai d organiser le chartes de partenariat naires ont décidé pour mettre de suivi des avec l enseigne2012 un colloque originales et signées par l APCA et privé. L objectif septembre public lumière les initiatives chartes de ment agricole l appli- en ces les effets de d accompagner expériences du comité est en 2009 mesurer à l aulne des chartes signées plus partenariats cation de ces les lycées. de donner encore la de terrain menées dans dont le but était dans res-agriculture.fr professionnels de de place aux jeunes. Ce comité ation formation des CNEAP, fait partie le Plateforme de méthanis pilotage dont en place mettre contribue souhaite non seulement communication Géotexia à laquelle ion de un outil commun valeur la CUMA de l exploitat(22). sur la mise en les mais aussi insister déjà menées par du lycée de Quessoy des expériences Presence 219.indd 01 Les chiffres Clés t ,50 G R I C U LT S D A ariat s de parten établissements Colloque Charte le premier comité professionnels s est tenu CHAMBRE LS à l honneur PERSe deonl enne gagement et aussi 31/10/13 09:04 ENQUÊTE des foyers 75% un accès Internet ont dynaouvrière de cette que ce Barra, cheville il faut procéder mique. Elle reconnaît toutefois mouve«pour bien réussir, d un grand Gachiconseille Alain n est que le débutprofesseurs sont dépar étapes», à l IFEAP qui accom«quelques et souhaitent dé- ment. gnard, formateur ents dans leur d aller plus loin aux élèves et une sireux pagne les établissem espaces certains préconise d abordensei- ouvrir certains et marche. Il» Sans attendre, des personnels ou- étudiants. sont déjà entrés dans cette sensibilisation des nouveaux d entre eux t leur propre gnants à l utilisation à un public plus en développan ouvrir les jeunes. à Beau- démarche tils avant de les partagé avec suivi à la lettre espace privé, large. Un conseil se tenir au pour : s, mont-de-lomagne dernières information élèves courant des 2011, l ensemble Accompagner depuis septembre lycée de Beaumont s du et étudiant s emballe, pludes personnels invité à rejoindre un l heure où la machineont choisi d acest figurent À ents de Lomagne numérique où de se sieurs établissem espace de travail utiles. mouvement avant t le compagner le notammen toutes les données déborder. C est (28). s ont laisser lycée Gabriel Bridet à Anet les enseignant du à l espace dédié cas Dans la foulée, a été ajouté aux s à créer un espace Un e-portfolio, permettant été encouragé cours ou à entreposer dédié aux personnels de plus près les aux projets en et, plus novateur ensuivre de s d un, professeur des documents au travail collaboratif disposent chacun des élèves. Ceux-ci stocker core, à s initier impliqués eux compte où ils vont pouvoir réalisations leurs enseiavec leurs collègues Les montrer «, actions. en foncdocuments aussi dans ces ainsi travailler depuis t, qui les évalue dans à l enseignan es acquises. gnants peuvent attendre de revenir tion des compétenc sans eux Delphine chez», raconte l établissement Les ans striel Juillet/Aoû Couv SPO 2013.indd 01 rme son iper à la production P va partic la FNSEA, qui réaffi le secteur de la s aborderont la Le CNEA de octobre par compétences vers Trois tables ronde ématique Paris le 25 n d emplois. formation, la probl ole. À ne pas nnes et des la des perso gisement d un millio agric nels dans ignement qui offre un rôle des profession t pour l ense le tion du proje place et e et la quesa.fr l alternanc! > CNEAP - APCA manquer 98% ont un ordinateuesr 99% sont internaut ur : Utilisation de l ordinate réseaux sociaux - blogs 78% 70% jeux vidéos 56% recherche informations 45% films ou musique Présence n 213 ENQUÊTE OUVERTS LES LYCÉES N Bime à S organisée ARIATS ignement tion PARTEN nale sur l ensehement à la forma ole attac agric journée natio E VIE FÉDÉRATIV Auremar - Fotolia.com Presence 220.indd 01 MEN D E L E N S E I G N E N Bimestriel Septembre/Octobre ,50 - P. Bincteux-Nausicaa Spécial orientation Gratuit Fotolia D E L E N S E I G N E M E N T AG R I C O L E P R I V É 15 27/08/12 16:41 27/08/12 16:38 14 Présence n N 213 CS4.indd Présence n 213 N Bimestriel Novembre/Décembre , D E L L E N S E I G N E M E N T AG R I C O L E P R I V É Je commande les numéros de Présence suivants : (cochez les cases correspondant à votre choix) Vigne et vin Productions végétales Cheval Lycées agricoles privés catholiques Élevage Horticulture Insertion professionnelle Agroalimentaire Services aux personnes et aux territoires Productions agricoles Paysage et aménagement Vente et distribution Coopération internationale Forêt Machinisme et agroéquipement Aquaculture Laboratoires et Biotechnologies Environnement Apprentissage = Je m abonne à Présence pour l année scolaire : 12,20 = Nombre de numéros commandés :... x 3,50 (6 numéros du 219 au 224) Je joins à cette commande un chèque libellé à l ordre du CNEAP-PRÉSENCE =... 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