Le froid en plongée Cours de Niveau 4. 21/08/2016 Version 1

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le froid en plongée Cours de Niveau 4. 21/08/2016 Version 1"

Transcription

1 Cours de Niveau 4 21/08/2016 Version 1

2 Historique du document Date version auteur changement/ajout 21/08/ Création 2 of 11

3 Table des matières 1 Introduction Rappel La composition de l air Loi de Henry Loi de Dalton Les mécanismes de déperdition de chaleur La conduction La convection Le rayonnement Les principes de déperdition de chaleur en plongée La thermorégulation et notre corps La vasoconstriction La production de chaleur Les conséquences de la thermorégulation sur notre corps Le froid et les différents accidents L ADD et le froid L essoufflement et le froid Lors d un réchauffement rapide Globalement Le rôle du guide de palanquée face au froid Avant la plongée Pendant la plongée Après la plongée of 11

4 1 Introduction Le froid est une agression du corps qui ne doit pas être négligée: en plongée, il n est jamais responsable d hypothermie importante, toutefois c est un facteur important dans la genèse des accidents de plongée. 4 of 11

5 2 Rappel 2.1 La composition de l air Azote (N2) --> 79.03% Oxygène (O2) --> 20.93% Gaz carbonique (CO2) --> 0.03% Plus quelques traces de gaz rares Pour la commodité des calculs, nous considérons qu'il y a 20% d'oxygène et 80% d'azote dans l'air. L'oxygène est le gaz vital, c'est le comburant nécessaire au métabolisme cellulaire. L'azote ne sert à rien, si ce n'est le diluant de l'oxygène, il est neutre. 2.2 Loi de Henry A température constante et à saturation, la quantité de gaz dissous dans un liquide est proportionnelle à la pression qu'exerce ce gaz sur le liquide. 2.3 Loi de Dalton A température donnée la pression absolue d un mélange est égale à la somme des pressions partielles des gaz constituant le mélange. La pression partielle d'un gaz = pression absolue x % du gaz présent dans le mélange La pression partielle de N2 = pression absolue x % N2 dans le mélange La pression partielle d'o2 = pression absolue x % d'o2 dans le mélange Pression PpN 2 (bar) PpO 2 (bar) Surface (1 bar) 0,8 0,2 10 m (2 bars) 1,6 0,4 20 m (3 bars) 2,4 0,6 30 m (4 bars) 3,2 0,8 35 m (4,5 bars) 3,6 0,9 Pression et tension : La tension (T) représente la quantité de gaz dissout dans un liquide. Elle est proportionnelle à la pression exercée sur ce liquide. Pour un plongeur le liquide correspond au tissu humain. 5 of 11

6 3 Les mécanismes de déperdition de chaleur Le phénomène de perte de chaleur par notre corps se nôme la thermolyse et se produit selon trois mécanismes 3.1 La conduction C est un échange de chaleur de proche en proche à travers un solide ou un fluide immobile. 3.2 La convection C est l échange de chaleur entre un corps et un fluide ambiant en mouvement. L eau en ce qui nous concerne. 3.3 Le rayonnement C est la transmission de chaleur par l émission ou la réception d une radiation, principalement des infrarouges. Ce phénomène n intervient que très peu en plongée. 3.4 Les principes de déperdition de chaleur en plongée Dans notre vie de plongeur l eau est 25 fois plus conductrice que l air donc nous nous refroidirons 25 fois plus vite dans l eau que dans l air. D où l intérêt de mettre une combinaison. Dans le cas d une combinaison humide notre corps réchauffe la fine couche d eau située entre la peau et la combinaison humide, donc moins cette eau sera renouvelée moins nous nous refroidirons. Plus la pression est importante (profondeur) plus l épaisseur du néoprène diminue et plus la déperdition de chaleur augmentera.. Dans le cas d une combinaison sèche les vêtements limiterons la déperdition. Mais là encore la profondeur diminuera leur efficacité thermique par compression. L air froid et sec respiré dans un détendeur contribue à la perte de chaleur. L air n est pas réchauffé par les fosses nasales favorisant ainsi le refroidissement de notre corps. 6 of 11

7 4 La thermorégulation et notre corps 4.1 La vasoconstriction La régulation est assurée par des capteurs externes, situés au niveau de la peau et interne au niveau des gros vaisseaux et des viscères, qui envoient des informations au niveau d une zone du cerveau, appelée hypothalamus. Celle-ci va jouer le rôle de thermostat afin de lutter contre les risques de refroidissement. Le phénomène de vasoconstriction périphérique est le principe de fermeture des vaisseaux sanguins au niveau de la peau et des extrémités (doigts, orteils, lèvres ) limitant les échanges par conduction et convection. Il n y a pas de vasoconstriction au niveau de la tête, d où une déperdition importante au niveau de celle-ci. 4.2 La production de chaleur Afin de se réchauffer le corps va produire de l énergie en brulant des calories (principe de la chair de poule, de frissons ) 4.3 Les conséquences de la thermorégulation sur notre corps La vasoconstriction ne favorise pas la désaturation périphérique lors de la remonté tout en ayant favorisé une sursaturation central lors de la plongée. L augmentation du flux sanguin au niveau central du corps engendré par la vasoconstriction va favoriser la vasodilatation de cette partie ce qui aura pour effet : - D augmenter la surface d échange (veines, artères ) de cette partie du corps dans le cadre de la saturation. - L augmentation de la diurèse afin de réduire la circulation sanguine favorisant la déshydratation - L augmentation de la viscosité sanguine d où une diminution de la rapidité de désaturation Bruler des calories nécessite un besoin important d O² entrainant une augmentation des rythmes respiratoire, circulatoire et de la production de CO² principale cause d un essoufflement. L effort inhabituel produit pour bruler des calories accentue la fatigue, et le manque d attention. 7 of 11

8 L air froid et sec du bloc ne pouvant réchauffé par les fosses nasales le sera par le corps l humidification nécessaire à celui-ci sera pris en partie dans le sang, augmentant la viscosité de ce dernier. 8 of 11

9 5 Le froid et les différents accidents 5.1 L ADD et le froid Favorise la saturation centrale du corps par la vasodilatation. Ne favorise pas la désaturation lors de la remonté dû à la viscosité sanguine et à la vasoconstriction périphérique. 5.2 L essoufflement et le froid Augmentation du CO² dû aux efforts pour bruler des calories. Augmentation des rythmes ventilatoire et circulatoire par le besoin important d O² pour brûler les calories. Si le froid est un facteur important dans le cas d un essoufflement, ce dernier est à son tour une cause importante dans les accidents de surpression pulmonaire. 5.3 Lors d un réchauffement rapide Lorsque le froid a entraîné une vasoconstriction périphérique le fait d être réchauffer trop rapidement va entraîner une vasodilatation brusque et un afflux de sang trop rapide vers la périphérie du corps, au détriment des organes centraux, avec un risque de malaise cardiaque. 5.4 Globalement Nous nous sommes rendu compte que le froid accentuait le risque de narcose. Augmentation des rythmes circulatoire et ventilatoire de manière incontrôlé. Le mal être entrainé par le froid engendre : - Une inattention - Un stress, une angoisse. - Un comportement inadapté aux situations - Un perte de nos moyens de réflexion, et d anticipation 9 of 11

10 6 Le rôle du guide de palanquée face au froid Le rôle du guide de palanquée sera de conseillé afin d éviter de prendre froid mais aussi d agir si l un des membres de la palanquée a pris froid. L action mais aussi le conseil et l anticipation face au froid se réalise aussi bien avant, pendant et après la plongée. 6.1 Avant la plongée Ne pas prendre froid en surface car cela s accentuera en plongée Ne pas être fatigué car souvent fatigue et froid vont de paire Ne pas être dans les courants d air Préparer son matériel au sec Etre assez habillé, Prévoir un vêtement coupe vend et un bonnet lors du transport bateau Prévoir une alimentation équilibrée : - Pas d alcool favorise la vasodilatation périphérique. - Prévoir des sucres lents la veille pour les calories - Ni trop, ni pas accès Evite la fatigue ou les carences - Prévoir des sucres rapides avant de plongée pour les calories - Boissons chaudes Pour l hydratation et le réchauffement - Ne pas zapper le petit déjeuner Avoir le bon type de vêtements en fonction du type de plongée et du milieu. Eau froide, tempérée Ne pas négliger, Gants, Cagoule, Bottillons Tout effort inutile nous fera consommé des calories inutilement en accentuant la circulation d eau entre la combinaison et la peau dans le cas d humide ou semi. Les conseils ou rappels comme le briefing se réalise à l abri. Si un plongeur a déjà froid avant de plonger lui conseiller de ne pas plonger voir lui interdire. 6.2 Pendant la plongée Le guide palanquée observera sa palanquée. Un plongeur qui a froid peut : 10 of 11

11 - Se désintéresser de la plongée, - Avoir une respiration rapide (chapelet de bulles sortant du détendeur), - Augmentation de la consommation, - Avoir une position recroquevillée, - Avoir des débuts de tremblement (perceptibles au niveau des lèvres et des bras) Le guide doit limiter la durée de la plongée en eau froide Le guide doit stopper la plongée au premier signe de froid d un des membres de la palanquée. 6.3 Après la plongée Ne pas prendre froid en prévision d autres plongées - Eviter les courants d air - Mettre un coupe-vent, un manteau, un bonnet - Se mettre à l abri - Si possible se changer sur la bateau Se reposer Boire, si possible chaud et sucré (notamment sur le bateau) Dans les cas d hypothermie - Sortir la victime de l eau - Mettre la personne en position allongée - Déséquiper et sécher sans frictionner - Réchauffer par des vêtements chauds et ou une couverture de survie se mettre à l abri du vent. - Donner une boisson chaude et sucrée - Administration d oxygène et évacuation si nécessaire 11 of 11

Notions physiques Niveau 2

Notions physiques Niveau 2 14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.

Plus en détail

1. Les barotraumatismes

1. Les barotraumatismes Dans le cadre de votre formation niveau 3 de plongeur subaquatique, nous allons traiter les accidents de plongée. Pourquoi commencer par ce cours? Ce n est pas pour vous faire peur, mais plutôt pour vous

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration

Plus en détail

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION

Plus en détail

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans. Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,

Plus en détail

La survie en eau froide

La survie en eau froide Page 1 sur 6 Société Internationale de Sauvetage du Léman Les dossiers techniques de la SISL La survie en eau froide Introduction Chaque année, l'actualité des faits divers nous rappelle tragiquement que

Plus en détail

Psychologie de la Survie. Capt. Martin Rousseau CD

Psychologie de la Survie. Capt. Martin Rousseau CD Psychologie de la Survie 1 Capt. Martin Rousseau CD Objectifs: Fournir les outils essentiels pour réagir de façon optimiste lors de situation inattendue et surtout développer notre capacité à garder notre

Plus en détail

L utilisation des tables de décompression MN90 et ordinateurs

L utilisation des tables de décompression MN90 et ordinateurs L utilisation des tables de décompression MN90 et ordinateurs cours N2 2006-2007 Jérôme Farinas jerome.farinas@irit.fr Amis de la Mer FFESSM 08 31 0184 6 décembre 2006 Jérôme Farinas (ADLM) MN90 et ordinateur

Plus en détail

Qu est ce qu un gaz comprimé?

Qu est ce qu un gaz comprimé? Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz

Plus en détail

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances

Plus en détail

Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2

Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2 Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2 Le dioxyde de carbone Le dioxyde de carbone est un gaz incolore, quasiment inodore et insipide. Il est donc pratiquement indétectable par les

Plus en détail

Capteur optique à dioxygène

Capteur optique à dioxygène Capteur optique à dioxygène Référence PS- 2196 Connectique de la sonde mini DIN Tête de la sonde Embout de protection et stockage Port mini DIN du capteur Eléments inclus 1. Capteur à dioxygène optique

Plus en détail

Cours théorique Plongée Niveau 1

Cours théorique Plongée Niveau 1 Cours théorique Plongée Niveau 1 Les parties encadrées en gras sont à bien connaître, ainsi que le paragraphe "déroulement d'une plongée et consignes de sécurité" Introduction La plongée est un sport technique

Plus en détail

Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»

Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait

Plus en détail

la climatisation automobile

la climatisation automobile Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous

Plus en détail

Théorie niveau 3. OCEANAV Cours Niveau 3

Théorie niveau 3. OCEANAV Cours Niveau 3 Théorie niveau 3 OCEANAV Cours Niveau 3 1 Sommaire Objectif général...3 Les accidents de plongée...4 Généralités...4 Les accidents biophysiques...4 Les accidents biochimiques...7 Les autres accidents...11

Plus en détail

1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin

1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique

Plus en détail

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement.

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble

Plus en détail

LA PERTE DE CONSCIENCE

LA PERTE DE CONSCIENCE CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment

Plus en détail

BREVET 2 * Principes physiques régissant la plongée. Première partie

BREVET 2 * Principes physiques régissant la plongée. Première partie BREVET 2 * Principes physiques régissant la plongée Première partie Objectifs de ce cours: 1. Introduction à la formation du 2* 2. Comprendre les lois fondamentales régissant : la flottabilité (Archimède)

Plus en détail

II. REVOD Plongée à l ordinateur. Septembre 2010. Plan de l exposé

II. REVOD Plongée à l ordinateur. Septembre 2010. Plan de l exposé 1 Décompression II. REVOD Plongée à l ordinateur Septembre 2010 Plan de l exposé Introduction Typologie de la décompression: No déco Déco légère Déco Lourde La planification Les profils de plongée Le palier

Plus en détail

APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX

APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY

Plus en détail

Diabète de type 1 et haute montagne. Revue de la littérature

Diabète de type 1 et haute montagne. Revue de la littérature Diabète de type 1 et haute montagne Revue de la littérature Contre-indications absolues Diabète mal équilibré : hypoglycémies sévères mal ressenties, acido-cétose. Présence de complications du diabète

Plus en détail

Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants

Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants Le diabète chez les jeunes Le diabète de type 1 est une maladie très difficile à affronter, surtout quand on est jeune. Malheureusement, si quelque

Plus en détail

Courir plus vite en améliorant sa VMA

Courir plus vite en améliorant sa VMA Courir plus vite en améliorant sa VMA OBJECTIF DE CET ENTRANEMENT Pour courir plus vite, l'objectif sera d'améliorer votre VMA, ceci afin de gagner en confort dans les autres allures. En effet, en augmentant

Plus en détail

L organisation de chantier

L organisation de chantier L organisation de chantier POSOW is a project co-financed by EU under the Civil Protection Financial Instrument developed in cooperation with ISPRA, Cedre, Sea Alarm and CPMR and coordinated By REMPEC

Plus en détail

Le triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique

Le triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique LES RELAIS STATIQUES (SOLID STATE RELAY : SSR) Princ ipe électronique Les relais statiques sont des contacteurs qui se ferment électroniquement, par une simple commande en appliquant une tension continue

Plus en détail

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques

Plus en détail

RÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP)

RÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP) F I C H E DIRECTION DE PLONGÉE, ORGANISATION ET RÉGLEMENTATION FICHE N RÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP) POUR PLUS DE DÉTAILS, voir la fiche n 116 sur l organisation des plongées. 46. Rôle et

Plus en détail

Conférence Enjeux énergétiques et Développement durable (3.12.14)

Conférence Enjeux énergétiques et Développement durable (3.12.14) Conférence Enjeux énergétiques et Développement durable (3.12.14) La conférence Enjeux énergétiques et Développement durable est organisée et réalisée par Junium Diffusion. Elle s articule en 3 parties

Plus en détail

La fonction respiratoire

La fonction respiratoire La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur

Plus en détail

LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport

LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES

Plus en détail

HUMI-BLOCK - TOUPRET

HUMI-BLOCK - TOUPRET FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET

Plus en détail

Examen de Guide de palanquée ANMP

Examen de Guide de palanquée ANMP Examen de Guide de palanquée ANMP (Brevet de plongeur niveau 4) Epreuves et Critères techniques L organisation générale du niveau 4 ANMP est définie dans la fiche info N A07 «Organisation d une formation

Plus en détail

Eléments de théorie du niveau 1. Emmanuel BERNIER

Eléments de théorie du niveau 1. Emmanuel BERNIER Eléments de théorie du niveau 1 Emmanuel BERNIER Mars 2001 Table des matières 1 Présentation du niveau 1... 3 2 La flottabilité... 4 3 Les effets de la pression de l'eau... 5 3.1 La pression... 5 3.2 La

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une

Plus en détail

DROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire

DROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

Séquence : La circulation sanguine

Séquence : La circulation sanguine Séquence : La circulation sanguine Objectifs généraux : Amener l élève à Comprendre le rôle du cœur dans la circulation sanguine. Connaître le rôle du sang et ses composants. Connaître l anatomie du cœur.

Plus en détail

PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES

PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES Destinés essentiellement à protéger contre les salissures, les vêtements de travail permettent également de valoriser l image des entreprises (personnalisation

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques

Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

AUTOUR DE LA MISE BAS

AUTOUR DE LA MISE BAS AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Sport et alpha ANNEXES

Sport et alpha ANNEXES Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant

Plus en détail

VS2000V+CAPNO. Moniteur de paramètres vitaux À usage vétérinaire. Manuel d utilisation

VS2000V+CAPNO. Moniteur de paramètres vitaux À usage vétérinaire. Manuel d utilisation VS2000V+CAPNO Moniteur de paramètres vitaux À usage vétérinaire Manuel d utilisation Sommaire Information et garantie... Propriété de la notice... Limite de garantie... Rejet des garanties... Conditions

Plus en détail

LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS

LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur

Plus en détail

Une chaudière mixte est facilement identifiable : elle se déclenche chaque fois que vous ouvrez un robinet d eau chaude.

Une chaudière mixte est facilement identifiable : elle se déclenche chaque fois que vous ouvrez un robinet d eau chaude. Comment choisir votre douche Le système en place chez vous Lorsque vous choisissez le type de douche dont vous voulez vous équiper, vous devez au préalable vérifier le système de production d eau chaude

Plus en détail

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée

Plus en détail

La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle

La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

F.M.A.S. COMITE TECHNIQUE NATIONAL MANUEL du MONITEUR PLONGEUR 1 ETOILE

F.M.A.S. COMITE TECHNIQUE NATIONAL MANUEL du MONITEUR PLONGEUR 1 ETOILE PLONGEUR 1 ETOILE ORGANISATION GENERALE - Les sessions de plongeur 1 étoile sont organisées à l échelon du club, en formation continue ou sous forme d un examen ponctuel. - L acquisition de chacune des

Plus en détail

Certaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie?

Certaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie? P a g e 1 Comment savoir que vous présentez une hypoglycémie? La plupart des personnes diabétiques sentent rapidement lorsque leur taux de glycémie est trop bas (inférieur à 60 mg/dl). Les premiers symptômes

Plus en détail

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie

Plus en détail

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?

Plus en détail

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax Du Thermostat à l ordinateur climatique Vincent Aubret Hortimax 1 Introduction 2 Régulateurs de type thermostat Applications : Idéal pour la régulation simplifiée de type Tunnels, Hall Alarme haute et

Plus en détail

Attention vague. de très grand froid

Attention vague. de très grand froid Attention vague VAGUE DE TRÈS GRAND FROID COMPRENDRE & AGIR de très grand froid Les conseils du Ministère de la Santé et de l Inpes Comprendre ce qui se passe dans mon corps en cas de vague de très grand

Plus en détail

Utilisation des gaz/ Conseils de sécurité

Utilisation des gaz/ Conseils de sécurité Utilisation des gaz/ Conseils de sécurité Quelle que soit l'activité, la sécurité doit être primordiale. L'utilisation de gaz comprimés et de récipients de gaz sous pression est de ce fait soumise à une

Plus en détail

BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année...

BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année... BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. *Bronchopneumopathie chronique obstructive. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année... Fondation

Plus en détail

COLLABORATEURS CLINIQUES

COLLABORATEURS CLINIQUES CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE QUÉBEC CONCEPTION Véronique Roberge, Infirmière clinicienne COLLABORATEURS CLINIQUES Céline Bergeron, Infirmière clinicienne spécialisée Sylvie Côté, Assistante infirmière

Plus en détail

Eau chaude Eau glacée

Eau chaude Eau glacée Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur

Plus en détail

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance

Plus en détail

Thermorégulateurs Series 5 et Series 4. Exciting technology!

Thermorégulateurs Series 5 et Series 4. Exciting technology! Thermorégulateurs Series 5 et Series 4 Exciting technology! surveillance entièrement automatique du process menu interactif multilingue circuit fermé à l'abri du contact avec l'oxygène de l'air refroidissement

Plus en détail

Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire

Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau

Plus en détail

LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43

LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43 LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE Comité pédagogique SAP SDIS 43 DEFINITIONS Electrisation: manifestations physiopathologiques liées au passage du courant dans l organisme Electrocution: décès par électrisation

Plus en détail

Fiche de données de Sécurité

Fiche de données de Sécurité Page: 1/6 ETIQUETTE DU PRODUIT ETIQUETAGE (d'usage ou CE): Concerné Phrases de risque : Conseils de prudence : F+ Extrêmement inflammable R-12 Extrêmement inflammable. S-2 Conserver hors de la portée des

Plus en détail

Décharge électrostatique

Décharge électrostatique Décharge électrostatique F. Rachidi École Polytechnique Fédérale de Lausanne Groupe Compatibilité Électromagnétique Farhad.Rachidi@epfl.ch http://emcwww.epfl.ch 1 Contenu Génération des charges statiques

Plus en détail

Questions avant intervention pour dépannage Enomatic

Questions avant intervention pour dépannage Enomatic Questions avant intervention pour dépannage Enomatic 1 La machine de fonctionne pas - absence de voyant lumineux? Contrôler que la fiche de la machine soit en place dans une prise 220V Fusible de la prise

Plus en détail

L univers vivant De la cellule à l être humain

L univers vivant De la cellule à l être humain L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres

Plus en détail

URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor

URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il

Plus en détail

ATTENTION! Après quelques mois d utilisation, un ordinateur s encrasse et surtout son ennemi mortel est la poussière.

ATTENTION! Après quelques mois d utilisation, un ordinateur s encrasse et surtout son ennemi mortel est la poussière. Après quelques mois d utilisation, un ordinateur s encrasse et surtout son ennemi mortel est la poussière. En effet, l ordinateur est un appareil qui consomme de l électricité dont une partie importante

Plus en détail

ET LA DOMOTIQUE VOUS SIMPLIFIE LA VIE

ET LA DOMOTIQUE VOUS SIMPLIFIE LA VIE ET LA DOMOTIQUE VOUS SIMPLIFIE LA VIE PILOTAGE À DISTANCE Je commande mes volets, mes éclairages, mon alarme et mon chauffage à distance PILOTAGE CHAUFFAGE Je fais des économies sur le poste chauffage

Plus en détail

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage

Plus en détail

L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes

L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance

Plus en détail

Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)

Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

GANACHE AU CHOCOLAT BLANC. Lait Selection 33,5% Lait Caramel 34,5% Crème fraîche à 35% 250 250 250 250 250 250 250 250

GANACHE AU CHOCOLAT BLANC. Lait Selection 33,5% Lait Caramel 34,5% Crème fraîche à 35% 250 250 250 250 250 250 250 250 Ganac h e pour enrobage Préparation : Chauffer la crème et le sucre inverti à 80 C. Verser ensuite la crème chauffée directement sur le chocolat (+ beurre de cacao si nécessaire), et bien mélanger. Ajouter

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

Plan d'études pour l enseignement en entreprise

Plan d'études pour l enseignement en entreprise Plan d'études pour l enseignement en entreprise Monteur frigoriste CFC Monteuse frigoriste CFC Utilisation du plan d'étude pour l enseignement en entreprise Le présent plan d'étude pour l enseignement

Plus en détail

PETIT GUIDE D ÉCO-CONDUITE

PETIT GUIDE D ÉCO-CONDUITE PETIT GUIDE D ÉCO-CONDUITE L éco-conduite : notre collectivité s engage Rouler dans «le bon sens» aujourd hui, c est utiliser sa voiture de manière écologique, économique et sûre. Ce guide vous permettra

Plus en détail

TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN

TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN QU EST-CE QUE LE CHAUFFAGE URBAIN? Tout simplement un chauffage central, mais à l échelle d un quartier! La chaufferie urbaine de Nemours assure la production et la

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

Livret de Certification. Plongeur Niveau 2 ISO 24801-2

Livret de Certification. Plongeur Niveau 2 ISO 24801-2 Livret de Certification Plongeur Niveau 2 ISO 24801-2 Nom du stagiaire : Nom de la structure :.. Tampon PLONGEUR NIVEAU 2 CMAS** / NF-EN 14153-2 / ISO 24801-2 I DÉFINITION DU NIVEAU Plongeur confirmé qui

Plus en détail

Mode d Emploi : RCB : 327 572 970 Page 1 de 9

Mode d Emploi : RCB : 327 572 970 Page 1 de 9 Mode d Emploi : A lire entièrement et à respecter avant toute utilisation de cet appareil. Ne jamais rajouter de produit d allumage si le foyer est en fonctionnement, attendez le refroidissement du foyer

Plus en détail

Herrebout-Vermander N.V. S.A.

Herrebout-Vermander N.V. S.A. Pag. 1/5 Herrebout-Vermander N.V. S.A. Kuurne, mai 2002 rev. Janvier 2005 Le parquetteur est parti, et qu'est-ce qu'on fait maintenant Félicitations avec votre nouveau Le parquet est un revêtement de sol

Plus en détail

Chapitre 7: Dynamique des fluides

Chapitre 7: Dynamique des fluides Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.

Plus en détail

Séquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI

Séquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

1. Utilisation conforme à l usage prévu. 2. Propriétés. 3. Montage. Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101

1. Utilisation conforme à l usage prévu. 2. Propriétés. 3. Montage. Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101 310 164 01 Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101 1. Utilisation conforme à l usage prévu Le capteur sert à la détection de dioxyde de carbone (CO 2 ) et de la température dans l espace d habitation. La teneur

Plus en détail

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air

Plus en détail

LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015

LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant

Plus en détail

Quand il fait CHAUD POUR. Prudence!

Quand il fait CHAUD POUR. Prudence! Quand il fait CHAUD POUR MOURIR Prudence! Comment la chaleur affecte-t-elle la santé? L été, le soleil et le beau temps sont sources de nombreux plaisirs Par contre, lorsque la chaleur est trop intense,

Plus en détail

ne définition de l arbre.

ne définition de l arbre. LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement

Plus en détail

Le cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack,

Le cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack, Le cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack, 2003), et c est la seule sorte de muscle qui peut se contracter régulièrement sans fatigue; tandis que les autres

Plus en détail

Dossier de presse STRATOCLAIR 2012 COMMENT UTILISER VOTRE BALLON D EAU CHAUDE ELECTRIQUE EN BALLON SOLAIRE?

Dossier de presse STRATOCLAIR 2012 COMMENT UTILISER VOTRE BALLON D EAU CHAUDE ELECTRIQUE EN BALLON SOLAIRE? CP - STRATOCLAIR-2-2012 R SYSTEME BREVETE Dossier de presse STRATOCLAIR 2012 Y S Y S T S E T E M E COMMENT UTILISER VOTRE BALLON D EAU CHAUDE ELECTRIQUE EN BALLON SOLAIRE? Solar Keymark N 011-7S695 R CONCEPTION

Plus en détail