L analyse des causes Retour d expérience en néonatologie

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L analyse des causes Retour d expérience en néonatologie"

Transcription

1 La 1 ère Université Maghrébine d hygiène et de sécurité des soins Sousse, 2-5 septembre 2012 L analyse des causes Retour d expérience en néonatologie Nouara Baghdadi Présentation Martine Erb

2 Revue de mortalité-morbidité Histoire d une RMM adaptée au risque infectieux Etude d un cas d infection materno-fœtale (IMF) Service de Gestion du Risque Infectieux, des Vigilances et d Infectiologie

3 Revue de mortalité-morbidité Occasion donnée aux équipes d analyser le cas d un patient dans un contexte infectieux grave et d en analyser les causes Gestion positive de l erreur: Apprendre de l erreur Faire face à l erreur Ne pas rechercher de coupable Modèle de J. Reason vise à comprendre les relations entre les différents facteurs ayant conduit à la survenue d un accident

4 Contexte Clinique d obstétrique: Expertise clinique Déclaration d EI RMM existante IMF: allongement de l hospitalisation de la mère pour une bactériémie transfert en réanimation néo-natale du bébé pour septicémie contexte de plainte potentielle S U R V I S O SGRIVI: expertise infectieuse et méthodologique RMM infectieuse

5 L histoire JEUDI 5 mai 7h00 JEUDI 5 mai 14h10 VENDREDI mai 7h00 VENDREDI mai 10h00 VENDREDI mai 16h15 VENDREDI mai 21h40 VENDREDI 6 mai 23h35 SAMEDI 7 mai 01h00 SAMEDI 7 mai 02h00 SAMEDI 7 mai 03h00 SAMEDI 7 mai 03h40 SAMEDI 7 mai 04h10 SAMEDI 7 mai 04h50 SAMEDI 7 mai 05h15 SAMEDI 7 mai 05h20 SAMEDI 7 mai 05h45 DIMANCHE 8 mai VENDREDI 20 mai MARDI24 mai LUNDI 2 MAI MARDI 3 MAI Mercredi 4 mai 12h30 Mercredi 4 mai 16h15 Mercredi 4 mai 17h55 Mercredi 4 mai 19h00 Mercredi 4 mai 19h00 H0 RPM H60 RPM H0 travail H48 travail Consultation Evaluation à l entrée hospitalisation PMF Pré travail SDN Naissance Suivi du Post partum

6 Cs pour des MAF Appel de la dame Contrôle à 48h après 1 ère cs R P M Liquide méconial Déclenchement propess Tachycardie fœtale Hyperthermie maternelle Pose péridurale Dystocie cervicale Enfant : détresse respiratoire Enfant : en réa HTAP septicémie à E.coli Mère : bactériémie à E.coli JEUDI 5 mai 7h00 VENDREDI mai 7h00 VENDREDI 6 mai 23h35 SAMEDI 7 mai 04h10 DIMANCHE 8 mai LUNDI 2 MAI MARDI 3 MAI Mercredi 4 mai 12h30 Mercredi 4 mai 16h15 Mercredi 4 mai 17h55 Mercredi 4 mai 19h00 Mercredi 4 mai 19h00 L histoire C E S A R Sortie : 1)mère 2) bébé JEUDI 5 mai 14h10 VENDREDI mai 10h00 VENDREDI mai 16h15 VENDREDI mai 21h40 SAMEDI 7 mai 01h00 SAMEDI 7 mai 02h00 SAMEDI 7 mai 03h00 SAMEDI 7 mai 03h40 SAMEDI 7 mai 04h50 SAMEDI 7 mai 05h15 SAMEDI 7 mai 05h20 SAMEDI 7 mai 05h45 VENDREDI 20 mai MARDI 24 mai H0 RPM H60 RPM H0 travail H48 travail Consultation Evaluation à l entrée hospitalisation PMF Pré travail SDN Naissance Suivi du Post partum

7 Cs pour des MAF Appel de la dame Contrôle à 48h après 1 ère cs R P M Liquide méconial Déclenchement propess Tachycardie fœtale Hyperthermie maternelle Pose péridurale Dystocie cervicale Enfant : détresse respiratoire Enfant : en réa septicémie à E.coli Mère : bactériémie à E.coli JEUDI 5 mai 7h00 VENDREDI mai 7h00 VENDREDI 6 mai 23h35 SAMEDI 7 mai 04h10 DIMANCHE 8 mai LUNDI 2 MAI MARDI 3 MAI Mercredi 4 mai 12h30 Mercredi 4 mai 16h15 Mercredi 4 mai 17h55 Mercredi 4 mai 19h00 Mercredi 4 mai 19h00 L histoire : perception des soignants EI Validation des décisions par l obstétricien 1 C E S A R Sortie : 1)mère 2) bébé JEUDI 5 mai 14h10 VENDREDI mai 10h00 VENDREDI mai 16h15 VENDREDI mai 21h40 SAMEDI 7 mai 01h00 SAMEDI 7 mai 02h00 SAMEDI 7 mai 03h00 SAMEDI 7 mai 03h40 SAMEDI 7 mai 04h50 SAMEDI 7 mai 05h15 SAMEDI 7 mai 05h20 SAMEDI 7 mai 05h45 DIMANCHE 20 mai DIMANCHE 24 mai TV1 TV2 TV3 TV4 TV5 TV6 TV7 TV8 TV9 TV10 TV11 TV12 TV13 TV14 H0 RPM H60 RPM H0 travail H4 travail Consultation Evaluation à l entrée hospitalisation PMF Pré travail SDN Naissance Suivi du Post partum Cs anesthésie : allergie péni Identification des facteurs de risque Antibioprophylaxie Selon protocole en cas d allergie Protocoles respectés Explications Sur la PEC données Demande de supervision obstétricale Explications Sur la PEC données Délai de réalisation césarienne <30 min Réanimation bébé : Intervention Adaptée Personnel disponible Demande de supervision : ATB

8 Cs pour des MAF Appel de la dame Contrôle à 48h après 1 ère cs R P M Liquide méconial Déclenchement propess Tachycardie fœtale Hyperthermie maternelle Pose péridurale Dystocie cervicale Enfant : détresse respiratoire Enfant : en réa septicémie à E.coli Mère : bactériémie à E.coli JEUDI 5 mai 7h00 VENDREDI mai 7h00 VENDREDI 6 mai 23h35 SAMEDI 7 mai 04h10 DIMANCHE 8 mai LUNDI 2 MAI MARDI 3 MAI Mercredi 4 mai 12h30 Mercredi 4 mai 16h15 Mercredi 4 mai 17h55 Mercredi 4 mai 19h00 Mercredi 4 mai 19h00 L histoire EI Validation des décisions par l obstétricien 1 C E S A R Sortie : 1)mère 2) bébé JEUDI 5 mai 14h10 VENDREDI mai 10h00 VENDREDI mai 16h15 VENDREDI mai 21h40 SAMEDI 7 mai 01h00 SAMEDI 7 mai 02h00 SAMEDI 7 mai 03h00 SAMEDI 7 mai 03h40 SAMEDI 7 mai 04h50 SAMEDI 7 mai 05h15 SAMEDI 7 mai 05h20 SAMEDI 7 mai 05h45 DIMANCHE 20 mai DIMANCHE 24 mai TV1 TV2 TV3 TV4 TV5 TV6 TV7 TV8 TV9 TV10 TV11 TV12 TV13 TV14 H0 RPM H60 RPM H0 travail H4 travail Consultation Evaluation à l entrée hospitalisation PMF Pré travail SDN Naissance Suivi du Post partum Cs anesthésie : allergie péni Identification des facteurs de risque Antibioprophylaxie Selon protocole en cas d allergie Protocoles respectés Explications Sur la PEC données Demande de supervision obstétricale Explications Sur la PEC données Délai de réalisation césarienne <30 min Réanimation bébé : Intervention Adaptée Personnel disponible Demande de supervision : ATB

9 Méthode de l analyse des causes La méthode ALARM fournit un guide pour retrouver ces erreurs LATENTES de l organisation et de la gouvernance. Elle propose d analyser chaque cas clinique d évènement indésirable en s intéressant à 6 facteurs: Environnemental Travail en équipe Individuel Institutionnel Organisationnel Gestion des patients Tâches à effectuer Effectifs, charge de travail, maintenance, équipements Micro-climat de travail, communication, supervision, formation Compétences individuelles, caractères et personnalités particulières Contexte économique, contexte de gouvernance Temps de travail, constitution des équipes, organisation des gardes, style management Comportements, gravité Disponibilité du personnel, collisions de tâches dans une même unité de temps..

10 L analyse Primipare Méconnaissance sur la prise en charge Vulnérabilité et besoin d information de la patiente mal identifiés Méconnaissance de l anamnèse de l allergie par l obstétricien Absence de transmissions dans le dossier médical Méconnaissance d antibiotiques peu utilisés Protocole antibioprophylaxie incomplet Fin de nuit en week end/ Charge de travail importante Tâches Environnement Equipe Soignant Patient EI Responsabilité du diagnostic d allergie non définie Pas d anticipation du besoin d information Organisation Pression à la production Contexte institutionnel J. Reason

11 Élaboration du plan d actions Quoi Qui Délai de mise en œuvre : 1. Revoir la fiche d interrogatoire sur les allergies à la pénicilline 2. Sujet de travail de thèse sur les allergies aux antibiotiques par un interne du deuxième semestre Anesthésiste+ interne de médecine+ infectiologue Réunion de cadrage du projet septembre 2011 Echéance novembre Rappel sur la nécessité de l antibiogramme dans la prévention du strepto B si allergie à la pénicilline (noter sur les tubes de prélèvement «allergie à la pénicilline», demande d antibiogramme) 4. Information à faire : fiche d interrogatoire sur les allergies aux pénicillines lors de la 1 ère consultation obstétricale Chef de pôle 5. Modification de la feuille d information sur le terme et le suivi de terme dépassé : explication sur le protocole 6. Re-sensibilisation des sages-femmes sur l information des patientes autour de la césarienne Cadre supérieur sage femme Point à faire sur les actions lors de la prochaine RMM début décembre Noter systématiquement dans les dossiers si la préparation à la naissance est faite (pochette cartonnée bleue, rabat de gauche. 8. Revoir la posologie de Clindamycine Anesthésiste+ infectiologue 1 er semestre 2012 : validation en comité anti infectieux 9. Revoir le protocole d antibioprophylaxie en cas de césarienne : avant ou après le clampage du cordon Anesthésiste 1 er semestre 2012

12 Un plan d action Les actions correctrices: Revoir le protocole d antibioprophylaxie Antibiothérapie et allergie: Quoi Qui Délai de mise en œuvre : 1. Revoir la fiche d interrogatoire sur les allergies à la pénicilline 2. Sujet de travail de thèse sur les allergies aux antibiotiques par un interne du deuxième semestre Rappel sur la nécessité de l antibiogramme dans la prévention du strepto B si allergie à la pénicilline (noter sur les tubes de prélèvement «allergie à la pénicilline», demande d antibiogramme) 4. Information à faire : fiche d interrogatoire sur les allergies aux pénicillines lors de la 1 ère consultation obstétricale 5. Modification de la feuille d information sur le terme et le suivi de terme dépassé : explication sur le protocole 6. Re-sensibilisation des sages-femmes sur l information des patientes autour de la césarienne 7. Noter systématiquement dans les dossiers si la préparation à la naissance est faite (pochette cartonnée bleue, rabat de gauche. 8. Revoir la posologie de Clindamycine 9. Revoir le protocole d antibioprophylaxie en cas de césarienne : avant ou après le clampage du cordon Anesthésiste+ interne de médecine+ infectiologue Chef de pôle Cadre supérieur sage femme Anesthésiste+ infectiologue Réunion de cadrage du projet septembre 2011 Echéance novembre er semestre 2012 : validation en comité anti infectieux Anesthésiste 1 er semestre 2012 Elaborer une fiche d interrogatoire sur l allergie aux pénicillines Revoir les protocoles d antibiotiques en cas d allergie Systématiser la récupération de l antibiogramme en cas de portage du Streptocoque B Re sensibiliser les sages femmes sur l information autour de la césarienne Systématiser les transmissions sur la préparation à l accouchement dans le dossier médical Modifier la feuille d information sur le terme Point à faire sur les actions lors de la prochaine RMM début décembre 2011

13 En conclusion: l impact attendu Quoi Qui Délai de mise en œuvre : Anesthésiste+ 1. Revoir la fiche d interrogatoire sur les allergies à la pénicilline Réunion de cadrage du interne de 2. Sujet de travail de thèse sur les allergies aux antibiotiques par un projet septembre 2011 médecine+ interne du deuxième semestre Echéance novembre 2012 infectiologue 3. Rappel sur la nécessité de l antibiogramme dans la prévention du strepto B si allergie à la pénicilline (noter sur les tubes de prélèvement «allergie à la pénicilline», demande d antibiogramme) Chef de pôle 4. Information à faire : fiche d interrogatoire sur les allergies aux pénicillines lors de la 1 ère consultation obstétricale 5. Modification de la feuille d information sur le terme et le suivi de terme dépassé : explication sur le protocole 6. Re-sensibilisation des sages-femmes sur l information des patientes Cadre supérieur autour de la césarienne sage femme Point à faire sur les actions lors de la prochaine RMM début décembre Noter systématiquement dans les dossiers si la préparation à la naissance est faite (pochette cartonnée bleue, rabat de gauche. 8. Revoir la posologie de Clindamycine 9. Revoir le protocole d antibioprophylaxie en cas de césarienne : avant ou après le clampage du cordon Anesthésiste+ infectiologue 1 er semestre 2012 : validation en comité anti infectieux Anesthésiste 1 er semestre 2012 Sur l antibioprophylaxie: 866 césariennes soit 17% des accouchements Antibiothérapie et allergie: 8 à 10% des personnes déclarent une allergie à la pénicilline Systématiser la récupération de l antibiogramme en cas de portage du Streptocoque B: 5,2% des accouchements

14 En conclusion: l impact attendu Quoi Qui Délai de mise en œuvre : Anesthésiste+ 1. Revoir la fiche d interrogatoire sur les allergies à la pénicilline interne de Réunion de cadrage du 2. Sujet de travail de thèse sur les allergies aux antibiotiques par un médecine+ projet septembre 2011 interne du deuxième semestre infectiologue Echéance novembre Rappel sur la nécessité de l antibiogramme dans la prévention du strepto B si allergie à la pénicilline (noter sur les tubes de prélèvement «allergie à la pénicilline», demande d antibiogramme) Chef de pôle 4. Information à faire : fiche d interrogatoire sur les allergies aux pénicillines lors de la 1 ère consultation obstétricale 5. Modification de la feuille d information sur le terme et le suivi de terme dépassé : explication sur le protocole 6. Re-sensibilisation des sages-femmes sur l information des patientes Cadre supérieur autour de la césarienne sage femme Point à faire sur les actions lors de la prochaine RMM début décembre Noter systématiquement dans les dossiers si la préparation à la naissance est faite (pochette cartonnée bleue, rabat de gauche. 8. Revoir la posologie de Clindamycine 9. Revoir le protocole d antibioprophylaxie en cas de césarienne : avant ou après le clampage du cordon Re sensibiliser les sages femmes sur l information autour de la césarienne: Systématiser les transmissions sur la préparation à l accouchement dans le dossier médical: Tous les dossiers médicaux: 5200 accouchements Modifier la feuille d information sur le terme: 643 accouchements en post- terme Soit 12% des accouchements Anesthésiste+ infectiologue 1 er semestre 2012 : validation en comité anti infectieux Anesthésiste 1 er semestre 2012

15 Pourquoi le choix de la méthode RMM? Dossier sensible Démarche participative et non accusatrice Dossier multidisciplinaire Ils participent, donnent les éléments, sont proposant pour élaborer le plan d actions Permet de réunir l ensemble des acteurs Participation des membres du service EOH, infectiologue, psychologue

16 En conclusion: Intérêt des professionnels avec une appropriation de la démarche en partenariat avec d autres disciplines (hygiène, infectiologie.) Implication de tous les acteurs (multidsciplinarité) et validation collégiale Partage du diagnostic et des solutions en interne (forte participation des acteurs) et en externe (expertises transversales) Identification rapide et efficace du plan d action

17 Pour en savoir plus: Haute Autorité de Santé. Revue de Mortalité et de Morbidité (RMM). Guide méthodologique. Saint-Denis-La Plaine : HAS ; 2009.

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,

Plus en détail

PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE

PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

phase de destruction et d'élimination de débris

phase de destruction et d'élimination de débris LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale

Plus en détail

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS

Plus en détail

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux

Plus en détail

Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire

Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,

Plus en détail

Indications de la césarienne programmée à terme

Indications de la césarienne programmée à terme Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire

Plus en détail

ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux

ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL Proposition d assurance Professionnels libéraux Questionnaire de déclaration d activité professionnelle Tous les proposants, quelle

Plus en détail

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH

Plus en détail

Comment devenir référent? Comment le rester?

Comment devenir référent? Comment le rester? Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use

Plus en détail

Présentation générale du Programme

Présentation générale du Programme Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme

Plus en détail

Référent et management

Référent et management Référent et management Manager pour une efficacité de prévention Rôle, mission du référent et relais avec l encadrement Comment fédérer tous les acteurs de soins Référent et management Manager pour une

Plus en détail

Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées

Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers

Plus en détail

PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation

PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur

Plus en détail

La gestion des risques en hygiène hospitalière

La gestion des risques en hygiène hospitalière La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,

Plus en détail

LES CONSÉQUENCES. tricales. Juridiques

LES CONSÉQUENCES. tricales. Juridiques LES CONSÉQUENCES Médicales, Gynécologiques et Obstétricales tricales Juridiques Les complications Complications médicales m immédiates Hémorragie (section art clitoridienne) : cataclysmique ou secondaire

Plus en détail

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National

Plus en détail

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement

Plus en détail

LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM

LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork

Plus en détail

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS 1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION

Plus en détail

Déclenchement du travail

Déclenchement du travail N 296, septembre 2013 (remplace n 107, août 2001) Déclenchement du travail La présente directive clinique a été rédigée par le comité de pratique clinique - obstétrique, analysée par les comités consultatifs

Plus en détail

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques

Plus en détail

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium

Plus en détail

Gynécologie Obstétrique

Gynécologie Obstétrique Date de validation ACCREDITATION DES MEDECINS ET DES EQUIPES MEDICALES REFERENTIEL RISQUES SPECIALITE Gynécologie Obstétrique Période de validité : 2011 / 2013 Date de validation : 22/09/2011 Référentiel

Plus en détail

Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN)

Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN) Définition Score individuel Score global Echantillon Critère d inclusion Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN) Cet indicateur évalue la tenue du dossier anesthésique.

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

Gestion des risques et protocoles de coopération (Article 51 Loi HPST) Document d aide pour les professionnels de santé

Gestion des risques et protocoles de coopération (Article 51 Loi HPST) Document d aide pour les professionnels de santé Gestion des risques et protocoles de coopération (Article 51 Loi HPST) Document d aide pour les professionnels de santé Février 2012 Ce guide est téléchargeable gratuitement sur www.has-sante.fr Haute

Plus en détail

E8 - Faire l exercice d entraînement : Surveillance des infections nosocomiales en maternité : Produire les résultats avec des programmes

E8 - Faire l exercice d entraînement : Surveillance des infections nosocomiales en maternité : Produire les résultats avec des programmes E8 - Faire l exercice d entraînement : Surveillance des infections nosocomiales en maternité : Produire les résultats avec des programmes Temps estimé nécessaire à l entraînement 1 H 30 Objectifs à consolider

Plus en détail

Situation Agent Schéma posologique*

Situation Agent Schéma posologique* Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration

Plus en détail

Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients?

Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients? 5 ème journée des référents en antibiothérapie Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients? Philippe Berthelot, Unité d hygiène inter hospitalière, Service des Maladies

Plus en détail

BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES. Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012

BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES. Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012 BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012 Une place d auto-assureur unique en France : Rôle traditionnel de défense de l Institution

Plus en détail

Compte Qualité. Maquette V1 commentée

Compte Qualité. Maquette V1 commentée Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration

Plus en détail

Les fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive

Les fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition

Plus en détail

Présentation des intervenants et modérateurs

Présentation des intervenants et modérateurs «NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur

Plus en détail

GESTION DES RISQUES EN MILIEU HOSPITALIER : LE POINT DE VUE DE L HYGIÉNISTE Bizerte, le 3 décembre 2005 Prof. Njah Mansour Service d hygiène hospitalière CHU F. Hached Sousse. Plan Introduction Définitions

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

La sécurité des patients

La sécurité des patients Amélioration des pratiques et sécurité des soins La sécurité des patients Mettre en œuvre la gestion des risques associés aux soins en établissement de santé Des concepts à la pratique Partie 5 Des fiches

Plus en détail

Gestion des risques : Principes et méthodes d analyse d accidents thérapeutiques

Gestion des risques : Principes et méthodes d analyse d accidents thérapeutiques Gestion des risques : Principes et méthodes d analyse d accidents thérapeutiques 6ème journée "Actualités et perspectives» Réseau d Hémovigilance Aquitaine Limousin 27/11/08 Dr P.Roussel Institut National

Plus en détail

INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE

INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE INDICATEUR 1 INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE Mesurer la fréquence des accidents de service survenus dans l année. Renseigner sur la sinistralité dans le domaine des accidents de service entrainant

Plus en détail

LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!

LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles

Plus en détail

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

Simulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1

Simulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1 C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l

Plus en détail

Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques

Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)

Plus en détail

Fondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre

Fondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions

Plus en détail

PSDP et usage des pénicillines - ESAC

PSDP et usage des pénicillines - ESAC Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»

Plus en détail

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa : POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page

Plus en détail

Scénarios des activités pédagogiques en ligne. Christiane Mathy / Izida Khamidoullina

Scénarios des activités pédagogiques en ligne. Christiane Mathy / Izida Khamidoullina Scénarios des activités pédagogiques en ligne Christiane Mathy / Izida Khamidoullina Intervenants Équipe e-learning Christiane Mathy, collaboratrice mais aussi: Enseignante en informatique de gestion Maître

Plus en détail

Soins infirmiers et gestion des risques

Soins infirmiers et gestion des risques Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La

Plus en détail

o Non o Non o Oui o Non

o Non o Non o Oui o Non Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence

Plus en détail

«PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D HÔPITAL A SAINT LAURENT DU MARONI»

«PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D HÔPITAL A SAINT LAURENT DU MARONI» Présentation : Réunion de présentation aux élus de Guyane - 11 juin 2011 «PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D NOUVEL HÔPITAL A SAINT LAURENT DU M. F-L BERTHOU, Directeur MARONI»

Plus en détail

d une Dr Ei Eric Peterman

d une Dr Ei Eric Peterman d une Dr Ei Eric Peterman Implantations de MDM MALI: 1994-2010 TCHAD: 2009-2010 - 2-3 millions de fistules obstétricales dans le monde - 90% en Afrique (source OMS) MDM Yaoundé 2010 MOPTI MDM BERLIN 2010

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national

La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe Un éclairage pour un déploiement national Journée Télémédecine ASIP Santé 3 mai 2012 Pascale MARTIN - ANAP Agence Nationale d Appui à la Performance

Plus en détail

ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DU DÉPISTAGE DE L INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS CHEZ LA FEMME ENCEINTE EN FRANCE

ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DU DÉPISTAGE DE L INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS CHEZ LA FEMME ENCEINTE EN FRANCE ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DU DÉPISTAGE DE L INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS CHEZ LA FEMME ENCEINTE EN FRANCE Septembre 2004 Service évaluation technologique Service évaluation économique Septembre 2004 Évaluation

Plus en détail

Prévention et gestion des incidents médicamenteux

Prévention et gestion des incidents médicamenteux Prévention et gestion des incidents médicamenteux Anne Spinewine Pharmacien clinicien, Dr Sc Pharm Université catholique de Louvain CHU Mont-Godinne et Louvain Drug Research Institute Avec la collaboration

Plus en détail

Mise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France»

Mise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France» Mise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France» MISE AU POINT DE L ORGANISATION DU RESEAU EN FRANCE, EN 2003 : Aujourd hui, cinq établissements

Plus en détail

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014 Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA

Plus en détail

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social

Plus en détail

ACCOUCHEMENT À DOMICILE : RISQUE OU MODÈLE?

ACCOUCHEMENT À DOMICILE : RISQUE OU MODÈLE? UNIVERSITE LOUIS PASTEUR FACULTE DE MEDECINE ECOLE DE SAGES-FEMMES DE STRASBOURG ANNEE 2005 ACCOUCHEMENT À DOMICILE : RISQUE OU MODÈLE? MÉMOIRE POUR LE DIPLÔME D ETAT DE SAGE-FEMME Présenté et soutenu

Plus en détail

Guide de la future maman & de son bébé

Guide de la future maman & de son bébé Guide de la future maman & de son bébé Avec la collaboration de: P r Jacques Jani D r Leonardo Gucciardo Katia Paemelaere D r Eliane Damis D r Anne-Britt Johansson Comité de rédaction: Bérengère Guccione

Plus en détail

Demande de résumés! 71 e conférence clinique et scientifique annuelle Du 9 au 12 juin 2015 Québec (Québec) Centre des congrès de Québec

Demande de résumés! 71 e conférence clinique et scientifique annuelle Du 9 au 12 juin 2015 Québec (Québec) Centre des congrès de Québec Demande de résumés! 71 e conférence clinique et scientifique annuelle Du 9 au 12 juin 2015 Québec (Québec) Centre des congrès de Québec La Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC), l

Plus en détail

Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau

Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin

Plus en détail

La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand

La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections

Plus en détail

Caractéristiques techniques

Caractéristiques techniques Défibrillateur Philips HeartStart OnSite Caractéristiques techniques Défibrillateur Modèle Gamme de défibrillateur Éléments livrés Type d onde Énergie Intervalle entre chocs Délivrance rapide du choc Instructions

Plus en détail

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,

Plus en détail

CLINIQUE MUTUALISTE LA SAGESSE. Maternité CLINIQUE MUTUALISTE LA SAGESSE

CLINIQUE MUTUALISTE LA SAGESSE. Maternité CLINIQUE MUTUALISTE LA SAGESSE CLINIQUE MUTUALISTE LA SAGESSE Maternité CLINIQUE MUTUALISTE LA SAGESSE Consultations médicales en : Notre clinique est une structure à but non lucratif qui propose des soins sans dépassement d honoraires

Plus en détail

Surveillance - Interventions

Surveillance - Interventions MUTUALITE SOCIALE AGRICOLE DU LANGUEDOC 10, cité des Carmes, 48007 MENDE Cedex MARCHE EN PROCEDURE ADAPTEE ARTICLE 28 C.M.P MAPA N 2013-06-LOG Surveillance - Interventions Code CPV : 79714000-2 CAHIER

Plus en détail

Hémorragies du post-partum après accouchement par voie basse : pistes de réflexions

Hémorragies du post-partum après accouchement par voie basse : pistes de réflexions Hémorragies du post-partum après accouchement par voie basse : pistes de réflexions Vous n y pensez pas : et l hémorragie de la délivrance? C est la phrase clé qui ferme tout débat à l alternative à la

Plus en détail

Informatisation du dossier infirmier dans les hôpitaux : état des lieux

Informatisation du dossier infirmier dans les hôpitaux : état des lieux Informatisation du dossier infirmier dans les hôpitaux : état des lieux B. Folens, M. Lardennois, N. Besri 2 Contexte Plan pluriannuel destiné à améliorer l attractivité de la profession infirmière (28

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

BUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale

BUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..

Plus en détail

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive

Plus en détail

Le prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon

Le prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Le prélèvement d organes anticipé/prémédité Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Déclaration des conflits d intérêt Médecin de la coordination

Plus en détail

L observation des aspects non techniques d une simulation

L observation des aspects non techniques d une simulation L observation des aspects non techniques d une simulation Dr François LECOMTE Praticien Hospitalier Urgences SMUR UMJ CHU Cochin Hôtel Dieu Université Paris Descartes francois.lecomte@cch.aphp.fr Mettre

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

Secteur Protégé d Hématologie

Secteur Protégé d Hématologie INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

ÉVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES

ÉVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES ÉVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES DANS LES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE LA TENUE DU PARTOGRAMME JANVIER 2000 Service Évaluation en Établissements de Santé Dans la collection

Plus en détail

Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce

Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce RECOMMANDATIONS POUR LA PRATIQUE CLINIQUE Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce Recommandations SEPTEMBRE 2001 Service recommandations et références professionnelles SOMMAIRE

Plus en détail

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,

Plus en détail

DPC «ACTION EN SECURITE TRANSFUSIONNELLE»

DPC «ACTION EN SECURITE TRANSFUSIONNELLE» Programme de DPC «ACTION EN SECURITE TRANSFUSIONNELLE» Séance cognitive DPC Samedi 20 juin 2015 Journée Régionale d Hémovigilance ARS IDF Généralités Unprogramme de DPC est un ensemble d activités d évaluation

Plus en détail

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES

Plus en détail

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections

Plus en détail

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau

Plus en détail

Le Psoriasis Qui est touché?

Le Psoriasis Qui est touché? LE PSORIASIS 1 Le Psoriasis Qui est touché? De 2 à 5 % de la population française soit2 à 3 millionsde personnes en France Deux "pics" de survenue : à l'adolescence et vers la soixantaine Parfois sur des

Plus en détail

Valeur ajoutée relative basée sur les comparaisons indirectes Giens 2008, TR 5

Valeur ajoutée relative basée sur les comparaisons indirectes Giens 2008, TR 5 Valeur ajoutée relative basée sur les comparaisons indirectes Giens 2008, TR 5 Claire Le Jeunne Bertrand Xerri Cécile Rey-Coquais Jean-Michel Joubert Jean Delonca Martine Pigeon Michel Lièvre Patricia

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE

curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Déclarer un événement indésirable un élément majeur pour la sécurits curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Les hôpitaux plus meurtriers que la route Courrier de l escaut, janvier

Plus en détail

Recommandations concernant les relations entre anesthésistes-réanimateurs et chirurgiens, autres spécialistes ou professionnels de santé

Recommandations concernant les relations entre anesthésistes-réanimateurs et chirurgiens, autres spécialistes ou professionnels de santé Sommaire Recommandations concernant les relations entre anesthésistes-réanimateurs et chirurgiens, autres spécialistes ou professionnels de santé EDITION DECEMBRE 2001 PREFACE... 2 PREAMBULE... 3 1. LES

Plus en détail

Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR?

Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? J P Bedos, Réanimation, Hôpital Mignot Journée Antibio Résistance et Infections, 5 décembre 2013 Effets pervers des Conflits d intérêt

Plus en détail

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des

Plus en détail

ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE QUESTIONNAIRE GENERAL

ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE QUESTIONNAIRE GENERAL ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE QUESTIONNAIRE GENERAL A compléter du questionnaire spécifique correspondant à votre spécialité, joint en annexe Contrat en cours : / - date de fin du contrat :

Plus en détail

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail