ANALYSE DES CAS DE MORSURES DE SERPENT DÉCLARÉS PAR LES FORMATIONS SANITAIRES PUBLIQUES AU BÉNIN DE 1993 À 1995
|
|
- Serge Fleury
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ANALYSE DES CAS DE MORSURES DE SERPENT DÉCLARÉS PAR LES FORMATIONS SANITAIRES PUBLIQUES AU BÉNIN DE 1993 À 1995 E.B. FAYOMI *, L. FOURN *, P.M. FAVI **. RÉSUMÉ Cette étude décrit les cas d envenimation survenus au Bénin de 1993 à Durant cette période les fréquences relatives sont respectivement de 2598,2963 et Les 2/3 des victimes sont des adultes et des adolescents. La majorité des cas sont survenus dans les 2 départ e - ments du nord. Ceci s explique par la situation climatique de la région septentrionale du pays. La létalité globale est de INTRODUCTION L envenimation constitue l un des plus anciens problèmes de santé auquel l homme se trouve confronté en milieu rural africain. Chaque année, dans les régions tropicales, des milliers de personnes meurent ou sont estropiés à la suite de morsure de serpent, malgré le fait qu à l heure actuelle il existe des traitements rapides à l aide d antivenins modernes et qui sont tout à fait spécifiques (2). Ainsi, aujourd hui encore, le personnel de santé en Afrique est appelé presque quotidiennement à faire face avec des moyens limités aux complications redoutables des envenimations par morsures de serpent. Le nombre de cas ne semble pas être en régression au Bénin. La présente étude se propose : - de déterminer l évolution de la prévalence des cas de morsures de serpent notifiés au Bénin de 1993 à d analyser quelques facteurs épidémiologiques liés aux cas et aux décès afin de proposer ultérieurement aux agents de santé sur le terrain une stratégie de diagnostic et de traitement dans l optique des Soins de Santé Primaires. 2 - MATÉRIELS ET MÉTHODE base des registres des formations sanitaires et sur la consultation de la base de données informatisées, mise en place par le Système National d Information et de Gestion Sanitaire (SNIGS) du Ministère de la Santé du Bénin. Les malades enregistrés par le SNIGS sont les malades vus et traités dans les formations sanitaires publiques du pays. Il s agit des cas hospitalisés ou non dans ces structures publiques de santé. 3 - RÉSULTATS 3.1. Évolution de la prévalence des cas de morsure de serpent enregistrés au Bénin de 1993 à1995 Figure 1 : Prévalence des cas de morsure de serpent de 1993 à 1995 Cas Série1 cas Série2 Série3 Total non hospitalisé hospitalise Nombre de cas Il s agit d une étude rétrospective couvrant la période de janvier 1993 à décembre Les cas sont analysés sur la * Faculté des Sciences de la Santé B.P. 188 COTONOU (BÉNIN). ** Centre Hospitalier Départemental de l Ouémé PORTO-NOVO. 0 Années
2 ANALYSE DES CAS DE MORSURES 592 On note une augmentation progressive des cas. Le nombre de victimes passe en effet de 2598 en 1993 à 2963 en En 1995 on compte 3853 cas. Cette tendance est observée aussi bien chez les sujets hospitalisés que chez les sujets non hospitalisés Répartition des cas par saison Figure 2 : Évolution des cas de morsure par mois Série Série Série Évolution des cas selon l âge et l année Tableau n 1 : Répartition des cas selon l âge et l année Nombre de cas Tranche d âge >15 Total Années Total % 0,3 3,2 28,0 68,5 100 Les adultes constituent les principales victimes des morsures de serpent. Le nombre des enfants mordus est également important : En particulier les enfants de 5 et 14 ans mordus sont au nombre de 2629 (28 %). L évolution est progressive en fonction de l âge et de chaque année Mois Jan Fev Mar Avr Mai Jui Juil Aou Sept Oct Nov Dec Les cas de morsure augmentent progressivement chaque année de Mars à Juin. Durant cette période qui correspond à la saison des pluies, 4858 cas ont été enregistrés, soit un peu plus de la moitié de l ensemble des cas déclarés Répartition géographique des cas Tableau n 2 : Répartition des cas par département et par an Département Borgou Atacora Zou Ouémé Mono Atlantique Total Année Total Moyenne/an % 39,0 35,0 17,0 4,2 2,4 2,4 100,0 Quelle que soit l année, près des 3/4 des morsures de serpent enregistrées au Bénin de 1993 à 1995 sont survenues dans les 2 départements du nord. Le Borgou est en tête des 6 départements avec 39 % des cas (voir carte de répartition).
3 593 E.B. FAYOMI, L. FOURN, P.M. FAVI Moyenne annuelle et prévalence des cas de morsures de serpent par département au Bénin Étude de la létalité par envenimation de 1993 à Létalité globale Tableau n 3 : Répartition annuelle des décès par morsure de serpent catégorie Hospitalisés Non Hospitalisés Total Année Cas Décès % Cas Décès % Cas Décès % , , , , , , , ,5 Total , , ,5
4 ANALYSE DES CAS DE MORSURES 594 Sur 3 ans, il a été enregistré 142 décès parmi les 9414 cas de morsures de serpent déclarées soit : 1,5 % ou 15 décès pour 1000 cas. La majorité de ces décès sont survenus chez les adultes hospitalisés : 112/142 (79 %). La létalité est ainsi de 12 pour mille chez les sujets hospitalisés contre 3 pour mille chez les victimes non hospitalisées Létalité comparée à celle des affections courantes Tableau n 4 : Létalité pour mille comparée à celle du paludisme Année Total Affections Cas Décès Létalité Cas Décès Létalité Cas Décès Létalité Cas Décès Létalité Paludisme , , , ,1 Morsure de serpent , , ,0 La létalité est variable d une année à l autre. Pour l ensemble des 3 années, la létalité par paludisme est de 1,1 pour mille. Elle est de 15 pour mille en ce qui concerne les morsures de serpent, soit près de quinze fois environ plus élevée (15 pour mille). COMMENTAIRES 4.1. De la fréquence des cas de morsure de serpent Le nombre de morsures notifiées par an est en moyenne de 3138 cas (tableau n 2). Il est important de noter que ce chiffre ne prend pas en compte les cas traités dans les formations sanitaires privées. Il ne tient pas compte non plus des victimes prises en charge uniquement par les tradipraticiens. Il existe donc une sous estimation de la fréquence des cas. Le recensement des cas n est pas systématique dans la plupart des pays africains. Dans ce contexte, il n est pas évident de décrire toute la réalité épidémiologique des envenimations (3,12) De la répartition des cas suivant les départements et la saison L augmentation progressive des cas est constante chaque année de Mars à Juillet voire même jusqu en août. De même, on note de façon constante que durant les 3 ans, ce sont les départements septentrionaux du pays qui sont les plus concernés par les morsures de serpent. Ces deux situations sont en fait liées au climat. En effet, le nord du Bénin a un climat tropical de type semi-aride. Celui-ci se caractérise par deux saisons distinctes : une pluvieuse et une sèche. A cela s ajoute le relief accidenté du Nord-Ouest du pays. Ces conditions font de la région septentrionale, le milieu favorable au développement des espèces de serpents venimeux que l on retrouve en Afrique à savoir : les petites vipères (E. Carinatus), les grosses vipères (E. Bitis), et les Najas (1, 7, 11). Ces espèces se multiplient plus facilement de Mars à Juillet. Durant les autres périodes de l année la recherche de fraîcheur, pousse les reptiles à s éloigner dans les endroits plus cachés : toits en chaume, tas de cailloux etc. (13). Le climat du Nord du Bénin favorise également l élevage et les cultures de rente en particulier celle du coton. Ces activités qui mettent fréquemment l homme en contact avec le milieu naturel se concentrent surtout durant la saison de pluie (3). On comprend ainsi la forte prévalence des cas observés chaque année de Mars à Juillet et particulièrement au Nord du pays De la répartition des cas selon l âge et le sexe Les adultes viennent largement en tête des victimes de morsure de serpent durant les 3 années. Cette prépondérance des cas chez l adulte s explique par les activités agricoles que mènent ceux-ci durant la saison pluvieuse de l année. Près du tiers des cas concerne également les enfants d âge inférieur ou égal à 15 ans. Pour ces cas, plusieurs explications sont possibles : leur participation aux mêmes activités agricoles que les adultes, l insalubrité des concessions qui attirent les reptiles et peut être aussi une certaine négligence des parents. Seules les informations exactes sur les circonstances de ces morsures peuvent nous permettre de
5 595 E.B. FAYOMI, L. FOURN, P.M. FAVI fournir des explications fiables. Malheureusement, la nature rétrospective de notre étude constitue une limite à ces données utiles à la prévention. En dehors de cette insuffisance, nous n avons pas pu connaître la répartition des cas selon le sexe. Ceci est dû au fait que les supports de données que nous avons consultés ne portent pas le sexe des victimes. Seuls les âges sont mentionnés. Toutes ces lacunes liées à la collecte rétrospective les données indiquent clairement la nécessité d une étude prospective sur le terrain, avec les acteurs du développement rural et le personnel de santé De la létalité par morsure de serpent Notre étude a montré une létalité globale de 15 %. En Côte d Ivoire les indicateurs que nous avons eus ont rapport à la mortalité. On note d après B.J. KACOU (6) que la mortalité est d environ de 1,5 pour habitants par an. Pour V. PIERRE (9) la mortalité varie selon les espèces en cause. Cette variation se situe entre 10 et 15 %. En réalité les morsures de serpent ont une gravité relative. Beaucoup d études ont montré que peu de morsures entraînent une réelle envenimation ; c est-à-dire l empoisonnement général de l organisme (5,8,10). Cette étude indique qu il existe une létalité importante par rapport aux affections courantes. L état des statistiques sanitaires fait que certaines données épidémiologiques manquent pour mieux apprécier les circonstances et les indicateurs relatifs aux cas et aux décès. BIBLIOGRAPHIE 1 - ANSEL d IMEUX. Envenimations par animaux terrestres. EMC. PARIS intoxication 1979, 2, A10 : K.M. CAHILL, W. O BRIEN. Morsures de serpent in Médecine Tropicale Précis clinique. Euro-Editions 1991 : E.B. FAYOMI, C. HENNEQUIN, M. MAKOUTODE, C. DJIVOH. Les accidents dus aux serpents en milieu rural OUEST africain : Quelle attitude thérapeutique adopter aujourd hui? Médecine d Afrique Noire 1987, 34 (11) : R. GARNIER. Traitement des envenimations par les vipères de FRANCE. EMC Paris Intoxication 1er ed c A10 : M. GARNIER, V. DELAMARE. Dictionnaire des termes techniques de Médecine. Ed Maloine PARIS B.J. KACOU. Morsures de vipères à corne. A propos de 6 cas observés au CNHU de Cocody. Thèse Doctorat d État en Médecine. Abidjan 1982, 350 : 29-31, 53-68, J.P. NOSAIS. Les serpents venimeux Développement et Santé , (104) : H.M. PARRISH. Poisonous snakebites resulting in lack of venom poisoning. Med Mond 1959, 86 : V. PIERRE. Morsure de serpent en soins de santé primaire. Fiches Techniques Ami Assistances SD : F.E. RUSSEL. Snake venous poisoning. Lippincott Co - édit (Philadelphia - Toranto) N. SANKALE, M. ANDRÉ. Morsure de serpent in Guide Médical de la Famille. EDICEF 1991 : Y.D. TETECHI, Y. KOUAME, D. MIGNONSIN, M. KAME, BONDURAND. Morsure de serpent : aspects épidémiologiques et protocole thérapeutique. Publications Médicales Africaines 1990, n 123 :
Annuaire(des(programmes(de(sciences(participatives( (Collectif(national(SPB(
Annuaire(des(programmes(de(sciences(participatives( (Collectif(national(SPB( FICHEDEPRESENTATIOND UNPROGRAMMEDE SCIENCESPARTICIPATIVES Afin de caractériser et présenter les programmes de sciences participatives
Plus en détailModèle de budget mensuel
Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailUNEP /UNESCO /UNCH / ECA
UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION
Plus en détailUNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE
Le réseau Société Générale UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Alain Brunet Journée Société Générale - 20 juin 2000 1 Sommaire Une utilisation massive et un impact important sur notre exploitation Une
Plus en détailSurveillance des toxi infections alimentaires collectives
Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés
Plus en détailLe centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015
Calendrier officiel des 2015-2016 Date des 2 premières Cours de jour : Mercredi 26 août 2015 Mardi 8 septembre 2015 du 1 e juin au 8 juillet ET du 3 au 5 août 2015 Cours de soir : Inscriptions les lundis
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailRésultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014
Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2014, dans le cadre du monitoring actif, 3.036 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.
Plus en détailModèle de budget mensuel
Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir
Plus en détailPRESENTATION DE L AMAB ET DE SES PRODUITS
PRESENTATION DE L ET DE SES PRODUITS PRESENTATION L Assurance Mutuelle Agricole du Bénin en abrégé est une société d assurance mutuelle (SAM) à cotisations fixes avec conseil d administration, régie par
Plus en détailEn Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures
En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme
Plus en détailGuinée - Epidémie de la Maladie à virus Ebola Rapport de la Situation Epidémiologique Maladie a Virus Ebola en Guinée 07 Juin 2015
Rapport de la Situation Epidémiologique Maladie a Virus Ebola en Guinée 7 Juin 215 I. Points saillants Deux (2) nouveaux cas confirmés ont été notifié ce jour dans les préfectures de Forécariah et de Kindia
Plus en détailÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance
ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance Définition Un accident corporel (mortel ou non mortel) de
Plus en détailFormat des Dates. 1. Composition du numéro d identification au Registre national des personnes physiques :
Format des Dates. Règles applicables au niveau de : - l attribution du numéro d identification des personnes inscrites au Registre national des personnes physiques, de l impression de ce numéro sur la
Plus en détailSITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE
SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE (Semaine n 38 du 17 au 23/09/2012) BURKINA FASO MINISTERE DE LA SANTE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE
Plus en détailRevue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16
9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur
Plus en détailRésultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013
Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2013, dans le cadre du monitoring actif, 3.181 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.
Plus en détailLE CLUB AVANTAGES GREEN FEES 2014 www.leclub-golf.com
TARIFS 2014 LE CLUB AVANTAGES GREEN FEES 2014 www.leclub-golf.com Carte Le Club Classic 29.90 offerte -20% voir conditions dans le guide Le Club 2014 pour les abonnements 1ère année toute l année Carte
Plus en détailAVIS D APPEL A CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT DES MEMBRES DU COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE BENINOISE DE SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS (ABSSA)
REPUBLIQUE DU BENIN FRATERNITE JUSTICE TRAVAIL MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE SECRETARIAT GENERAL DU MINISTERE AGENCE BENINOISE DE SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS (ABSSA) 01 BP
Plus en détailImpact de la publicité sur les professionnels
Suivi pharmaceutique, Approche critique de l information, publicité et conflits d intérêts, 2 ème année MUP Impact de la publicité sur les professionnels Prof. Pascal BONNABRY Pharmacien-chef Pharmacie
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailRay-grass anglais auto-regarnissant
Robuste COMME L ACIER Ray-grass anglais auto-regarnissant Une technologie révolutionnaire : auto-regarnissage et tolérance au jeu la plus élevée, même avec une tonte courte! RPR technology inside! RPR
Plus en détailProjet de Femmes et Familles de l Afrique pour la Préparation au Traitement et l Education en matière de Traitement
Projet de Femmes et Familles de l Afrique pour la Préparation au Traitement et l Education en matière de Traitement GUIDE DE DEMANDE DE SUBVENTION RESERVE AUX RESEAUX NATIONAUX DES FEMMES VIVANT AVEC LE
Plus en détailAQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~
SUIVI DE LA DEMANDE TOURISTIQUE AQUITAINE ANNEE 2010 Note dee conjoncture TNS SOFRES-CRTA Suivi de la Demande touristique 2010 CRTAA DIRECCTE Aquitaine TNS T SOFRES 1 ~ SOMMAIRE AVERTISSEMENT METHODOLOGIQUE...
Plus en détailSurveillance des toxi-infections alimentaires collectives
Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,
Plus en détailLA CONSTITUTION DES ÉQUIPES DE TRAVAIL
3 Démarche méthodologique La réalisation de la présente étude a connu les étapes suivantes: LA CONSTITUTION DES ÉQUIPES DE TRAVAIL L équipe de consultants ayant réalisé l étude est pluridisciplinaire :
Plus en détailUniversité d été du LASDEL
LASDEL Laboratoire d études et recherches sur les dynamiques sociales et le développement local BP 12 901, Niamey, Niger tél. (227) 20 72 37 80 BP 1 383, Parakou, Bénin tél. (229) 23 10 10 50 Université
Plus en détailCURRICULUM VITAE. 26 mai 1963 à Diourbel (Sénégal) Directeur Général de GMC www.gmcconseils.com
CURRICULUM VITAE NOM GAYE PRENOM Magaye NE LE 26 mai 1963 à Diourbel (Sénégal) NATIONALITE Sénégalaise SITUATION DE FAMILLE Marié ADRESSE Cices foire n 232 Dakar Sénégal TELEPHONE Bureau 221 77 245 07
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailContenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH
Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Note d information à l usage des professionnels En complément de cette note, des informations relatives au contenu des GBPH sont
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailProjet clinique express
d; CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE MONTMAGNY- L ISLET 4 juillet Vol 1, Numéro 1 Dans ce numéro : Un nouvel outil d information Le projet clinique 2 Les membres du comité 2 Perte d autonomie liée
Plus en détailDocument unique d évaluation des risques professionnels
Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires
Plus en détailDRC-IHP: Plans de communication, positionnement et de marquage LA PLANIFICATION FAMILIALE DANS LE PMA. Par Dr Colette LOSSO. PF Advisor PROSANI
DRC-IHP: Plans de communication, positionnement et de marquage LA PLANIFICATION FAMILIALE DANS LE PMA Par Dr Colette LOSSO PF Advisor PROSANI 1 PLAN DE LA PRESENTATION 1. LE PROJET PROSANI ET LES DOMAINES
Plus en détailSECTEUR DE LA RÉMUNÉRATION ET DES AVANTAGES SOCIAUX
Volume 16, numéro 5 Le 22 janvier 2014 SECTEUR DE LA RÉMUNÉRATION ET DES AVANTAGES SOCIAUX MODIFICATIONS AUX PRIMES D ASSURANCE TABLEAU DES PRIMES PAR 14 JOURS POUR L ANNÉE 2014 PRIMES APPLICABLES À LA
Plus en détailTrès légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février
25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre
Plus en détailAGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget.
Votre partenaire Budget Ce guide vous est offert Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Pourquoi? Parce que sans cette étape, il n est pas possible de bien gérer son compte bancaire
Plus en détailCurriculum Vitae. Dr. Adhépeau, Julien Laurent Michel
Curriculum Vitae Dr. Adhépeau, Julien Laurent Michel Doctorat en Communication Audiovisuelle et Publicité (CAP) Université Autonome de Barcelone (UAB). Espagne Né le 2 avril 1970 à Abidjan (Côte d Ivoire)
Plus en détailINDEMNISATION DES SÉQUELLES EN DROIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE
5. INDEMNISATION DES SÉQUELLES EN DROIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Dr Jacqueline Cardona L INCAPACITÉ PERMANENTE (IP) EN ACCIDENT DU TRAVAIL Principe juridique Article L 434-2 du code de la sécurité sociale
Plus en détailLa nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène»
La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» Direction Départementale des Services Vétérinaires de Meurthe-et-Moselle Plan 1. Objectifs de la réforme 2. Quels
Plus en détailMastère Spécialisé MSI-PME/PMO. aitrise des ystèmes d nformation pour les
Mastère Spécialisé MSI-PME/PMO aitrise des ystèmes d nformation pour les 1 Objectifs Former : Des collaborateurs de PME/PMO, aptes à jouer un rôle de responsable des systèmes d information Des chefs de
Plus en détailMike Manning, Directeur général, Société financière de l industrie de l électricité de l Ontario
333, rue Bay Bureau 1250 Toronto ON M5H 2R2 416 927-1641 téléphone 416 927-0541 télécopieur Note de service Destinataire : Mike Manning, Directeur général, Société financière de l industrie de l électricité
Plus en détailprofessionnels Tout savoir pour mieux protéger votre famille
particuliers professionnels Tout savoir pour mieux protéger votre famille Generali, 2 ème assureur généraliste en France (1) met à votre service son expertise reconnue en matière de protection. Au travers
Plus en détailAssurance-maladie complémentaire (LCA)
CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailProtocoles pour le suivi des pontes de tortues marines dans le cadre de Protomac. Professeur Marc Girondot
Muséum National d'histoire Naturelle de Paris Département de Systématique et Evolution Laboratoire des Reptiles et Amphibiens 25 rue Cuvier 75005 Paris & Laboratoire Ecologie, Systématique et Evolution
Plus en détailPROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE
PROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 QUESTION NIVEAU 1: FACTURE... 4
Plus en détailEmpowering small farmers and their organizations through economic intelligence
Empowering small farmers and their organizations through economic intelligence Soutenir les petits agriculteurs et leurs organisations grâce à l intelligence économique XOF / kg RONGEAD has been supporting
Plus en détailA 1 auteur. Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois en 1979
Ne pas citer sans faire r~f~rence A 1 auteur Comit~ scientifique consultatif des peches canadiennes dans l 1 Atlantique CSCPCA Document de recherche 81/66 Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois
Plus en détailCréer un Modèle Financier Africain
2015 F o r u m I n t e r n a t ion a l d e l a F ina n c e e n A f riq u e S u b s aharie n n e DU 15 AU 17 JUIN 2015 SOFITEL ABIDJAN HÔTEL IVOIRE Créer un Modèle Financier Africain L e F o r u m I n t
Plus en détailLES MUTUELLES DE SANTE AU MALI CREATION, ORGANISATION, FONCTIONNEMENT
1 REUNIONS STATUTAIRES DE L'ACI POUR L'AFRIQUE --------------------- Cotonou, du 21 au 25 Août 2000 -=-=-=-=-=-=- LES MUTUELLES DE SANTE AU MALI CREATION, ORGANISATION, FONCTIONNEMENT Dr Oumar OUATTARA
Plus en détailLa dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé
La dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé HOPITECH - Angers 10 Octobre 2014 Vladimir Vilter ASIP Santé Comment échanger par mail les données de santé des patients facilement
Plus en détailbusiness assistance un service pour saisir les meilleures opportunités du marché Nous accompagnons votre développement...
business assistance un service pour saisir les meilleures opportunités du marché Nous accompagnons votre développement... Chers adhérents, Dans la dynamique d améliorer votre compétitivité et participer
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailEOLE TRADING INTEGRALE
EOLE TRADING INTEGRALE Formation 100% en ligne Coaching Live d un an Accès à nos outils exclusifs 1- PRESENTATION Eole Trading Intégrale est une formation d une année composée en 3 phases. Elle est accessible
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailRapport d activité. Village électoral dans le cadre des élections législatives du 30 avril 2011
Front des organisations de la société civile pour des élections libres, transparentes et pacifiques. Rapport d activité Village électoral dans le cadre des élections législatives du 30 avril 2011 COTONOU,
Plus en détail[Sondage France Lyme] Votre vécu de la maladie de Lyme
[Sondage ] Votre vécu de la maladie de Lyme Bonjour, Ce sondage a été créé par l'association. Nous souhaitons analyser la situation des malades en France à large échelle. Votre réponse nous sera très utile.
Plus en détailGarder et faire garder son enfant
Garder et faire garder son enfant Nathalie Blanpain* L arrivée d un enfant au sein d un foyer est pour ses parents un événement majeur générateur de changements en termes de rythme de vie et d organisation,
Plus en détailLA BEI EN AFRIQUE DE L OUEST
LA BEI EN AFRIQUE DE L OUEST APPUI AU DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE BEI Bureau Régional Afrique de l Ouest Cotonou, 16 décembre 2014 1 1 La BEI Instruments et Conditions 2 Activité et portefeuille 3 Stratégie
Plus en détailSELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TDR : REFERENTIELS ET PROCEDURES
Plus en détailI. PRESENTATION DE LA CHAIRE
PANEL 6 LES CENTRES ET ECOLES DE FORMATION EN ADMINISTRATION ELECTORALE DANS L ESPACE FRANCOPHONE LA CHAIRE UNESCO DES DROITS DE LA PERSONNE ET DE LA DEMOCRATIE UNIVERSITE D ABOMEY-CALAVI (BENIN) PAR NOEL
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela
Plus en détailImage de la carte bancaire auprès des porteurs - France
Image de la carte bancaire auprès des porteurs - France Rapport d étude 7 novembre 2005 Contacts TNS SOFRES : Florence de MARIEN 01.40.92.45.59 Benjamine DUROUCHOUX 01.40.92.45.14 BDX R_42GV07_01 Département
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailL assistance à maîtrise des projets logistiques risqués
L assistance à maîtrise des projets logistiques risqués Congrès Eurolog 21 juin 2006 Michel Fender Professeur Ecole nationale des ponts et chaussées Président Département Management Industriel, ENPC Co-directeur
Plus en détailPar accident, on entend un événement soudain dont la cause ou l une des causes est extérieure
titre V VIVIUM TRAVEL RELAX préambule Pour autant que le véhicule désigné aux conditions particulières de la présente police auto bénéficie de la garantie Vivium car relax, le preneur d assurance peut
Plus en détailProtection sociale et responsabilité civile en France
Protection sociale et responsabilité civile en France Comment est assuré l étudiant stagiaire? Tous les stagiaires, sous couvert d une convention de stage, bénéficient d une protection contre le risque
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailCURRICULUM VITAE. Assez bien. Langues Lu Parlé Ecrit Français 1 1 1 Anglais 3 4 4
CURRICULUM VITAE 1. Nom de famille: FANAHEN 2. Prénom: Frédéric 3. Date et lieu de naissance: 27 avril 1968 à Cotonou - BENIN 4. Résidence : Cotonou 5. Formation : Etablissement : Date : de Diplôme(s)
Plus en détailLa mutuelle de santé, une alternative crédible de couverture du secteur informel?
Rencontre d échanges d expériences entre acteurs sociopolitiques sur les défis et la portée de la protection sociale dans un contexte de grande pauvreté : cas des pays en développement Bamako, 17 & 18/11/2011
Plus en détailTableau de garanties Accord National du 10 juin 2008 Socle conventionnel & Options
Tableau de garanties Accord National du 10 juin 2008 conventionnel & s Pour les salariés non cadres production agricole AGRI PREVOYANCE Introduction à la lecture du tableau de garanties Le tableau des
Plus en détailPROJET CYBER CENTER. - Un constat : - Une nécéssité : - Un projet :
Un constat : L Afrique est une terre riche mais maintenue dans le sous développement. Le sous développement des infrastructures crée du manque et de la pauvreté. Le manque d infrastructures laisse toute
Plus en détailComment Elaborer un Plan d Action
Comment Elaborer un Plan d Action Tenant compte du temps et des ressources limités des responsables de mise en œuvre de programmes, les outils de la série Straight to the Point (Droit au But) de Pathfinder
Plus en détailC est quoi le District Health Information Software 2?
Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue
Plus en détailSEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES
SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES ASSURANCE ET REASSURANCE EL AURASSI le 10 juin 2007 Alger LA REASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES EN ALGÉRIE Expérience de la CCR Présentation de la CCR Historique de la
Plus en détailCOMPTE RENDU FINAL D EXECUTION DE PROJET
COMPTE RENDU FINAL D EXECUTION DE PROJET Nom de l organisation : SOS FORETS I. INFORMATIONS DE BASE Titre du projet : Inventaire biologique et étude écologique des forets classées de Dassioko Sud et de
Plus en détail± Fiche Comment bien présenter un projet de demande d aide
± Fiche Comment bien présenter un projet de demande d aide Le projet doit être : cohérent pertinent faisable de qualité innovant et original Informations nécessaires pour présenter un projet (à compléter
Plus en détailLa protection de vos données médicales chez l assureur
La protection de vos données médicales chez l assureur Brochure 2009 2 Questions & Réponses fréquentes FAQ 2009 La communication de données est le point de passage obligé pour le bon fonctionnement de
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailWAAPP INFO Côte d Ivoire
WAAPP INFO Côte d Ivoire Bulletin d informations du PPAAO / WAAP Côte d Ivoire - Numéro 9 - Janvier 2014 Le Monitoring Tour présente l expérience du CNS-Plantain aux pays du PPAAO/WAAPP Le CNS-Plantain
Plus en détailEnsemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques sociaux.
R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES DÉFINITION : Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques
Plus en détailRÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE
S O M M A I R E Préambule Règlement Objectifs Ecole / cantine Quelques chiffres Le prestataire 1 2 Préambule RÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE A N N É E 2 0 1 2 / 2 0 1 3 La municipalité de CHAMPAGNIER
Plus en détailPLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE
PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux
Plus en détailIMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT
IMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT D ODIENNE (CECO) PRESENTATION DE MONSIEUR TOURE GAOUSSOU PRESIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE LA CAISSE D EPARGNE
Plus en détailINDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE
INDICATEUR 1 INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE Mesurer la fréquence des accidents de service survenus dans l année. Renseigner sur la sinistralité dans le domaine des accidents de service entrainant
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailS.A.E.I.F - Bureau d Études
La société Africaine d Études & d Ingénierie Financière est un bureau d Études multidisciplinaire qui travaille depuis 1997 dans le domaine de l appui au développement en Afrique. La SAEIF Bureau d Études
Plus en détailBANQUE des SERUMS ANTIVENIMEUX B.S.A.
Association n 0491014059 du 14 mars 2003 - Préfecture d'angers Maine et Loire. STATUTS de la BANQUE des SERUMS ANTIVENIMEUX B.S.A. Article 1 : Constitution et dénomination. Il est fondé entre les adhérents
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailplateforme de formation à distance
Utilisation d une d plateforme de formation à distance F. Thiessard ISPED - Institut de Santé Publique, d Épidémiologie et de Développement Université Victor Segalen Bordeaux 2 Enseignement à distance
Plus en détail