CHU de Nantes Les règles en hygiène alimentaire, entretien de l environnement, l élimination des déchets
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- Isaac Henry
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1 CHU de Nantes Les règles en hygiène alimentaire, entretien de l environnement, l élimination des déchets Étudiants Infirmiers 1ère année IFSI Infectiologie hygiène / S1 Session octobre 2016 Direction de la Logistique et de l Hôtellerie Conseillères en Hôtellerie Hospitalière M. GUIHOT et A.GROSJEAN
2 CONSEILLERES EN HÔTELLERIE HOSPITALIERE Améliorer le confort hôtelier des patients et les conditions d hygiène, en tenant compte de l amélioration des conditions de travail Développer jusqu aux patients la démarche qualité engagée par les différents processus du Pôle Investissement, Logistique, Nouvel Hôpital (PILNH) Harmoniser les pratiques professionnelles dans les domaines de l hôtellerie hospitalière Périmètre d action entretien Hygiène des locaux équipements approvisionnement linge Plate-forme Pôle Service de soins restauration déchets travaux
3 OBJECTIFS DE L INTERVENTION Sensibiliser aux risques infectieux environnementaux Connaître les règles élémentaires d hygiène Connaitre les bonnes pratiques
4 DÉROULEMENT DE LA FORMATION I. L élimination des déchets II. III. IV. Le circuit du linge L entretien des locaux La restauration collective hospitalière
5 I- L ELIMINATION DES DECHETS
6 SOMMAIRE Introduction 1) Le tri des déchets - Identification - DAOM/DASRI : définitions 2) Le conditionnement des déchets - Les collecteurs pour les DAOM - Les collecteurs pour les DASRI 3) La collecte et le stockage dans le service de soins - Le tri et collecte à la source - Le stockage au sein du service 4) Le regroupement et le traitement final Conclusion
7 LA CHAINE D ÉLIMINATION DES DÉCHETS PRÉSENTATION - le TRI des déchets - le CONDITIONNEMENT - la COLLECTE et le STOCKAGE - le TRANSPORT - le TRAITEMENT final
8 OBJECTIFS Assurer une hygiène et une sécurité satisfaisante : pour le personnel et les patients, dans toutes les phases d élimination. Traiter les déchets : dans des conditions réglementaires respectueuses de la santé publique et de l environnement, en tenant compte de l évolution du contexte législatif.
9 CONTEXTE REGLEMENTAIRE La réglementation (décrets, arrêtés et code de la Santé Publique) du 6 novembre 1997 : Impose de séparer : les Déchets Assimilables aux Ordures Ménagères (DAOM) les Déchets d Activités de Soins à Risques Infectieux (DASRI) Est présente dans toutes les phases d élimination des déchets : Tri, conditionnement, stockage, transport et traitement final Permet d assurer la sécurité et l hygiène du personnel : Médical et paramédical De la manutention du CHU et de l usine d incinération La responsabilité de leur élimination incombe à : L établissement producteur La personne qui exerce l activité productrice de déchets
10 LES DECHETS DANS UNE CHAMBRE PATIENT Bio déchets* Déchets issus des repas patients, self et cuisine centrale DEEE Déchets d Equipement Electrique, Electronique DASRI Uniquement les déchets issus du soin visuellement souillés par un liquide biologique * Perspective de filière Mobilier Déchet d éléments d ameublement (Mobilier hors d usage) DAOM Déchets assimilés aux ordures ménagères Papier / Carton Journaux, papiers de bureau
11 1) LE TRI DES DÉCHETS
12 1) Le tri des déchets : IDENTIFICATION DES DÉCHETS Avant de déposer un déchet dans l emballage adéquat, il convient de procéder à son IDENTIFICATION Il existe 2 filières distinctes : les DAOM = Déchets Assimilables aux Ordures Ménagères les DASRI = Déchets d Activités de Soins à Risques Infectieux
13 Le bon tri des déchets permet de réduire Les risques d accidents par exposition au sang.
14 1) Le tri des déchets : DAOM / DASRI Définitions Les Déchets Assimilés aux Ordures Ménagères : DAOM Ils sont assimilables à des ordures ménagères Ce sont les déchets issus : Des services généraux et administratifs, certains emballages des services de soins : déchets des repas, papiers, changes, déchets hôteliers des chambres de patients
15 1) Le tri des déchets : DAOM / DASRI Définitions Les Déchets Activités de Soins à Risque Infectieux : DASRI Ce sont les déchets issus d activités de diagnostic, de suivi et de traitement préventif, curatif ou palliatif dans les domaines de la médecine humaine ou vétérinaire 2 catégories de DASRI : MOUS PERFORANTS ET ASSIMILES : piquant, tranchant, coupant.
16 2) LE CONDITIONNEMENT DES DÉCHETS
17 2) Le conditionnement des déchets : Les collecteurs pour DAOM Les différents sacs déchets pour DAOM présents au CHU de Nantes Sacs gris épaisseur standard (10, 20, 30, 50 et 110 litres) Sacs gris épaisseur renforcée (110 litres) mis à disposition pour les déchets alimentaires et certains articles à usage unique (changes) Sacs bleus épaisseur renforcée (50 litres), à pré-emballer dans un carton de récupération, pour l élimination du verre domestique
18 2) Le conditionnement des déchets : Les collecteurs pour DASRI LES DASRI MOUS Les déchets mous issus d une activité de soins autre que perforants : Sacs jaunes au CHU de Nantes : 15, 30, 50 et 110L
19 2) Le conditionnement des déchets : Les collecteurs pour DASRI LES DASRI MOUS Les déchets mous avec un risque de perforation Caisse carton avec sac plastique à l intérieur. Carton double épaisseur au CHU de Nantes : 25 et 30L
20 2) Le conditionnement des déchets : Les collecteurs pour DASRI LES DASRI PERFORANTS ET ASSIMILES Les déchets issus d une activité de soins : souillés ou non mais susceptible d être un Objet Piquant, Tranchant, Coupant (OPTC) présentant un danger lié à un risque de contamination élevé (culture de laboratoire) Collecteur pour OPTC
21 3) LA COLLECTE ET LE STOCKAGE DANS LE SERVICE DE SOINS
22 3) La collecte et le stockage dans les services de soins Le tri et la collecte doivent se faire au plus près du lieu de production des déchets
23 3) La collecte et le stockage dans les services de soins : Le tri à la source En SALLE DE SOINS Carton double épaisseur 25L ou 50L SAC GRIS épaisseur standard 30L ou 50L ou 110L Collecteur d'aiguilles petit et grand modèle
24 3) La collecte et le stockage dans les services de soins : Le tri à la source Sur un CHARIOT DE SOINS TRI DAOM TRI DASRI TRI COUPANTS TRANCHANTS Collecteur à aiguilles fixé et fermeture provisoire activée
25 3) La collecte et le stockage dans les services de soins : Le tri à la source En SALLE DE DECONTAMINATION SAC GRIS épaisseur standard 30L ou 50L ou 110L Sac jaune 50 ou 110 litres Carton double épaisseur 25L ou 50L
26 3) La collecte et le stockage dans les services de soins Stockage des déchets au sein du service de soins Pour permettre un stockage correct des collecteurs déchets : 3 points essentiels à respecter : Niveau de remplissage, Fermeture du collecteur Traçabilité.
27 3) La collecte et le stockage dans les services de soins Stockage des déchets au sein du service de soins Respecter le niveau de remplissage des sacs déchets : DASRI : respecter le niveau de remplissage indiqué sur les collecteurs DAOM : remplir les sacs au 2/3 maximum
28 3) La collecte et le stockage dans les services de soins Stockage des déchets au sein du service de soins Fermeture correcte des sacs et collecteurs déchets DASRI Collecteur OPTC : activer la fermeture définitive Sacs déchets : fermer avec le lien coulissant du sac Carton double épaisseur : fermer le sac avec le lien puis fermer définitivement le carton DAOM : Epaisseur standard : fermer avec le lien plastique fixé sur le sac Epaisseur renforcée : fermer impérativement avec un lien métallique
29 3) La collecte et le stockage dans les services de soins Stockage des déchets au sein du service de soins Cette traçabilité permet : de sensibiliser les agents au respect de la législation d envisager des actions correctives lors de non conformités (information / formation dans le service, étude d emballage plus adapté, ) TRACABILITE des collecteurs Etiquette indiquant le nom du service à apposer sur toutes catégories d emballage déchets pour permettre leur traçabilité.
30 4) LE REGROUPEMENT ET LE TRAITEMENT FINAL
31 Circuit des déchets : collecte, regroupement et traitement final au CHU de Nantes
32 COÛT DAOM = 114 la tonne (2839,6 tonnes en 2014) DASRI = 380 la tonne (840 tonnes en 2014) Recommandations de l ANAP (Agence Nationale d Appui à la Performance) de réduire le taux de DASRI dans tous les hôpitaux
33 PLAQUETTE DE TRI au CHU de Nantes
34 0065-DI-001 MAJ 21 Juin 2012 PLAQUETTE DE TRI au CHU de Nantes LES VALORISABLES Le carton Cartons d emballage des colis. Cartonnettes fines : ramette de papier, intercalaire, boîte de médicaments, boîte de gants. Plaquette «Tri des déchets dans les services de soins» Cartons vides pliés Le papier Bac gris couvercle bleu Journaux, revues,magasines Enveloppes ( kraft à fenêtre ou non) Cahiers Papier avec agrafes, trombones, spirales (avec modération) Papier broyé Collecteur individuel LES Les piles PILES Le carton Les piles usagées à déposer dans des bornes d apport volontaire ( self, services techniques) Bac vert avec logo «arbre» MIEUX TRIER POUR PRESERVER Les Patients Le Personnel L Établissement L Environnement Les cartouches LES Cartouches PILES d encre usagées à emballer dans leur carton d origine avec la mention «à recycler», puis à expédier aux magasins centraux de HSJ Processus GESTION DES DECHETS contact : BP-DECHETS Intranet: Pôles et directions / PTL/ DLH/ gestion des déchets
35 CONCLUSION L élimination des déchets doit être rigoureuse et réalisée par du personnel formé Il ne s agit pas d une mission banale Il participe à la qualité des soins
36 II - LE CIRCUIT DU LINGE
37 SOMMAIRE : Introduction 1. Le circuit du linge 2. L utilisation du linge dans les services de soins 3. Les précautions 4. La gestion du linge sale dans les services de soins Conclusion
38 OBJECTIFS Assurer une prestation linge conforme aux normes de qualité dans toutes les phases du circuit : Eviter le développement microbien Eviter la dissémination des micro-organismes Assurer le lavage et la désinfection Répondre aux besoins en linge des services de soins (confort, bien-être, sécurité) : linge de qualité et en quantité suffisante
39 1. LE CIRCUIT DU LINGE Blanchisserie Service de soins Linge propre ZONE PROPRE LINGERIE du SERVICE traitement ZONE SALE Linge sale utilisation LOCAL LINGE SALE DECHETS Les flux propres et sales sont bien distincts.
40 2. UTILISATION DU LINGE DANS LES SERVICES Le chariot de nursing (distribution de linge propre et protections) est approvisionné selon les besoins immédiats (il n est pas un lieu de stockage) Il ne rentre pas dans la chambre Ne rentrer dans la chambre que le linge nécessaire Le chariot est vidé, nettoyé et désinfecté quotidiennement
41 3. PRECAUTIONS Se laver les mains avant de toucher du linge propre Eviter toute manipulation importante : ne pas secouer Ne pas déposer au sol Eviter de toucher sa tenue
42 3. PRECAUTIONS (suite) Même si le linge n a pas été utilisé, il est considéré comme sale dès lors qu il rentre dans la chambre. Le pré-tri s effectue au plus près possible de la source Retirer les articles à usage unique (alèses, charlottes, ). Evacuer le linge sale le plus rapidement possible et ne pas le stocker Se laver les mains après avoir manipuler du linge sale
43 4. LA GESTION DU LINGE SALE dans les services de soins a) La collecte et le tri du linge sale Le linge sale est collecté et trié dans les services. Au chu de Nantes, il est collecté dans des sacs de couleurs.
44 4. LA GESTION DU LINGE SALE dans les services de soins b) L évacuation du linge sale Pour permettre une évacuation correcte des sacs de linge sale : 3 points essentiels à respecter : Niveau de remplissage Fermeture correcte Traçabilité du sac
45 b) L évacuation du linge sale (suite) Niveau de remplissage : Remplir les sacs au 2/3 maximum, Fermeture du sac : Fermer correctement les sacs de linge grâce à l œillet présent sur le sac.
46 b) L évacuation du linge sale (suite) Traçabilité du sac : Identifier les sacs de linge grâce aux étiquettes du service producteur. La traçabilité permet : de sensibiliser les agents au respect de la législation d envisager des actions correctives lors de non conformités (actions de formation, )
47 b) L évacuation du linge sale (suite) - Les sacs de linge sale sont déposés dans des chariots positionnés dans les locaux dédiés à cet usage - Ces chariots sont centralisés sur des points de regroupement de site avant d être acheminés à la blanchisserie
48 EXEMPLES DE NON CONFORMITES
49 CONCLUSION La gestion du linge doit être rigoureuse et réalisée par du personnel formé Il ne s agit pas d une mission banale Il participe à la qualité des soins
50 III - L ENTRETIEN DES LOCAUX
51 SOMMAIRE Introduction 1. Définitions 2. Classement des services en fonction des zones à risque 3. Matériaux et Salissures 4. Techniques d entretien 5. Produits d entretien 6. Grands principes de nettoyage 7. Matériel Conclusion
52 OBJECTIFS Obtenir UNE PROPRETÉ VISUELLE Élimination des salissures adhérant ou non à un support Obtenir UNE PROPRETÉ MICROBIOLOGIQUE Élimination/ destruction des germes présents dans l environnement On ne désinfecte bien qu une surface propre
53 1 -DEFINITIONS SOURCES DES DEFINITIONS: (1) Lexique de la propreté NORME AFNOR NF X (2) Guide du bio-nettoyage- Direction des journaux officiels-1994 (3) Guide à l usage des formateurs- lutte contre les infections nosocomiales dans les établissements de soins- CCLIN Sud-Ouest
54 HYGIENE HOSPITALIERE Ensemble de mesures mises en œuvre pour prévenir ou lutter contre l infection
55 NETTOYAGE Opération respectant l'état des surfaces et permettant l'élimination des salissures avec un procédé faisant appel aux facteurs suivants 1. action chimique 2. action mécanique 3. température 4. temps d action Cercle de SINNER
56 DETERGENCE NF T / iso 862 Processus selon lequel des salissures sont détachées de leur substrat et mises en solution ou en dispersion. Au sens ordinaire, la détergence a pour effet le nettoyage des surfaces. Elle est la résultante de la mise en œuvre de plusieurs phénomènes physico-chimiques
57 DESINFECTION Opération au résultat momentané permettant d éliminer ou de tuer les micro-organismes et/ou d inactiver les virus indésirables portés par des milieux inertes contaminés, en fonction des objectifs fixés. Le résultat de cette opération est limité aux micro-organismes présents au moments de l opération
58 BIONETTOYAGE Procédé destiné à réduire la contamination biologique des surfaces. Il est obtenu par la combinaison en 3 temps : 1. d un nettoyage 2. d une évacuation des salissures et des produits utilisés 3. de l application d un désinfectant
59 2- CLASSEMENT DES SERVICES EN FONCTION DES ZONES À RISQUES Lieu géographiquement défini et délimité dans lequel les personnes et/ou les produits et/ou les matériels sont particulièrement vulnérables à divers contaminants : microbiens, particulaires, chimiques, toxiques ou radioactifs Il y a 4 zones à risques infectieux - ZONE 1: risque faible - ZONE 2: risque moyen - ZONE 3: haut risque - ZONE 4: haut risque (traitement d air et comptage particulaire)
60 OBJECTIF DE CE CLASSEMENT Ce classement permet d adapter : les procédures, les méthodes, les fréquences d utilisation des produits en fonction : - du risque infectieux associé aux locaux - du types d intervention qui s y font.
61 Exemple du CHU de nantes:
62 3- MATÉRIAUX et SALISSURES Afin d adapter la prestation, il est nécessaire d identifier : - la nature du support à entretenir - le type de salissures
63 LES MATÉRIAUX Avant toute opération de nettoyage : identifier le matériau connaitre ses caractéristiques connaitre les recommandations du fournisseur
64 LES SALISSURES Définition : Apport indésirable, en surface et/ou à l intérieur d un substrat, altérant certains caractères d aspects ou de toucher des surfaces propres. On distingue : Les salissures non adhérentes: déchets, poussières Les salissures adhérentes: tâches, souillures Les techniques d entretien vont dépendre du type de salissures.
65 4 - LES TECHNIQUES D ENTRETIEN LES TECHNIQUES DE DEPOUSSIERAGE (salissures non adhérentes) - Essuyage humide des surfaces - Balayage humide - Nettoyage par aspiration LES TECHNIQUES DE LAVAGE (salissures adhérentes / détergence) - Essuyage humide des surfaces - Lavage manuel des sols - Lavage mécanisé des sols LES TECHNIQUES DE LAVAGE-DESINFECTION (salissures adhérentes / détergence désinfection) - Essuyage humide des surfaces - Lavage-désinfection manuel
66 5 PRODUITS D ENTRETIEN Les 3 grandes catégories de produit : - Les détergents - Les désinfectants - Les détergents-désinfectants
67 LES DÉTERGENTS Produits qui : nettoient en éliminant les salissures visibles adhérantes à un support.
68 Exemples de DETERGENT utilisés au CHU de Nantes Détergent Neutre POLYACTIF Détergent dégraissant ECONOMIA R50 Produit vaisselle Produit à vitre
69 LES DÉSINFECTANTS Produits qui : désinfectent en détruisant ou inhibant les micro-organismes
70 Exemples de DESINFECTANT EAU de JAVEL à 2,6 Chlore actif NON utilisé au CHU* * Sauf exceptions
71 LES DÉTERGENTS DÉSINFECTANTS Produits qui : nettoient et désinfectent, en une seule opération.
72 Exemples de DÉTERGENT DÉSINFECTANT utilisés au CHU de Nantes Produit à diluer Produit prêt à l emploi SURFANIOS PREMIUM SURFA SAFE compatible contact alimentaire
73 REGLES ELEMENTAIRES D UTILISATION Identifier le produit = Lecture de l étiquette pour le classer Respecter les domaines d utilisation = type de salissures, type de matériaux Respecter les règles de sécurité = port de gants-masques et/ou lunettes, toujours reboucher le récipient après utilisation
74 REGLES ELEMENTAIRES D UTILISATION Respecter la dilution = mettre la quantité d eau nécessaire puis quantité de produit nécessaire Respecter le temps de séchage des différents produits Organiser le stockage = respecter les dates de péremption, éliminer les produits non étiquetés Ne jamais mélanger les produits = annulation de l activité des produits, émanation toxique
75 6 - GRANDS PRINCIPES DE NETTOYAGE Porter une tenue vestimentaire propre et adaptée Réaliser une hygiène des mains avec un produit hydro-alcoolique, ou si les mains sont mouillées, réaliser un lavage simple, en début des opérations de nettoyage fin des opérations de nettoyage, chaque fois que nécessaire Porter des gants est obligatoire et apparaît comme une solution à la protection du personnel
76 6 - GRANDS PRINCIPES DE NETTOYAGE Respecter un ordre logique dans le déroulement des opérations: du propre vers le sale de haut en bas, toujours nettoyer avant de désinfecter Définir le type de prestation à réaliser et respecter le mode opératoire correspondant En cas de salissures importantes, utiliser une solution détergente suivie de l application de la solution-détergente-désinfectante
77 6 - GRANDS PRINCIPES DE NETTOYAGE Nettoyer les parties qui ne paraissent pas sales, mais qui sont un maillon important au niveau de la contamination : poignées de portes, téléphones, sonnettes, interrupteurs, Tracer les interventions Nettoyer et désinfecter les matériels après utilisation
78 7 - LES MATERIELS Le chariot d entretien Les équipements mécaniques
79 Le chariot d entretien
80 Les équipements mécaniques Aspirateur poussière Aspirateur à eau Monobrosse - Haute-Vitesse - Basse-Vitesse - Bi Vitesse Mini laveuse Auto laveuse
81 CONCLUSION L hygiène des locaux fait partie intégrante du soins L entretien des locaux doit être rigoureux et réalisé par du personnel formé Il ne s agit pas d une mission banale Il participe à la qualité des soins
82 IV- LA RESTAURATION COLLECTIVE HOSPITALIÈRE
83 SOMMAIRE Introduction 1. Les exigences de la restauration collective hospitalière 2. Les enjeux de la maîtrise de la sécurité alimentaire a) Les températures clef b) Le principe de la liaison froide c) Le principe de la liaison chaude Conclusion
84 SPÉCIFICITÉS DE LA RESTAURATION COLLECTIVE HOSPITALIÈRE un moment privilégié de la journée au sein d une collectivité des personnes fragilisées par la maladie personne hospitalisée plus sensible aux infections toute charge microbienne peut se révéler redoutable chez un ou plusieurs patients
85 CONTEXTE REGLEMENTAIRE L activité de restauration collective hospitalière est soumise à la législation applicable à l ensemble du secteur alimentaire Obligation de traçabilité Respect des bonnes pratiques Mise en place de procédures fondées sur l analyse des dangers liés à l activité (HACCP) Obligation de formation du personnel Gestion de produits dangereux : retrait / rappel
86 1 - LES EXIGENCES DE LA RESTAURATION COLLECTIVE HOSPITALIÈRE Répondre aux besoins nutritionnels de la personne soignée Assurer une sécurité bactériologique et une hygiène absolue dans toutes les phases de la chaîne alimentaire Améliorer le service des repas et le confort de la personne soignée
87 2- LES ENJEUX DE LA MAÎTRISE DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE Aliments pas sûrs ou pas sains, pourquoi? non respect d un régime strict (allergie, pauvre en potassium ) = DANGER NUTRITIONNEL présence de corps étrangers = DANGER PHYSIQUE présence de substance chimiques = DANGER CHIMIQUE présence de microbes en quantité importante ou de leur toxine = DANGER MICROBIOLOGIQUE Toxi-Infection Alimentaire Collective (TIAC)
88 2- LES ENJEUX DE LA MAÎTRISE DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE D où proviennent les risques sanitaires de la prolifération des microorganismes présents dans les aliments de la contamination des denrées alimentaires
89 2- LES ENJEUX DE LA MAÎTRISE DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE +120C Risques quasi nuls +100 C +63 C Peu de risques a) Températures clef Zone à haut risques +10 C Risques non négligés +3 C -18 C Peu de risques
90 2- LES ENJEUX DE LA MAÎTRISE DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE Importance de maîtriser le couple temps/température à réception des matières premières / des produits finis lors du stockage en chambres froides, au réfrigérateur lors de la préparation : cuisson, remise en température lors de la distribution des repas
91 b) Le principe de la LIAISON FROIDE Elle est basée sur le maintien des aliments à une température inférieure à +10 C entre sa fabrication et sa consommation. Refroidissement rapide de l aliment après sa cuisson Et de +63 C à + 10 C en moins de 2 heures Remise en température homogène en portant les aliments de + 10 C à cœur à + 63 C à cœur en moins d 1 heure
92 La liaison froide permet la consommation différée des plats par rapport à la production, dans le temps et dans l espace (production sur 5 jours et consommation 7 jours / 7) Mode de production au C.H.U. = LIAISON FROIDE
93 c) Le principe de la LIAISON CHAUDE Elle est basée sur le maintien des aliments à une température supérieure à +63 C entre sa fabrication et sa consommation. Tout ce qui est destiné à être consommé frais, est soumis au principe de la liaison froide.
94 2- LES ENJEUX DE LA MAÎTRISE DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE D où proviennent les risques sanitaires de la prolifération des microorganismes présents dans les aliments de la contamination des denrées alimentaires
95 2. LES ENJEUX DE LA MAÎTRISE DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE Contamination des denrées alimentaires par Par le personnel règles d hygiène (tenue, lavage des mains ) Par le matériel nettoyage et désinfection des matériels Par le milieu/la méthode nettoyage et désinfection des locaux, marche en avant, lutte contre les nuisibles
96 Conclusion Importance de respecter les règles d hygiène de base Respect de la liaison froide / de la liaison chaude Hygiène des mains, tenue professionnelle propre Entretien des locaux et des équipements
97 Vos questions?
98 MERCI DE VOTRE ATTENTION
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