DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DE LA METALLURGIE
|
|
- Danièle Tassé
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 RECO DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DE LA METALLURGIE Dynamique d amélioration des conditions d intervention en sécurité sur les machines Pour améliorer les conditions d interventions sur les machines, cette recommandation propose de : créer une dynamique de prévention permettant de prendre en compte les situations réelles de travail, mettre en place une organisation adaptée aux conditions d interventions. Vincent CISMA Grémillet pour l'inrs 1
2 Dynamique d amélioration des conditions d intervention en sécurité sur les machines Cette recommandation a été préparée par le Comité Technique Régional (CTR 1) de la Caisse d Assurance Retraite et de la Santé au Travail (CARSAT) Nord-Est et adoptée par le Comité Technique National des industries de la métallurgie (CTN A) le 5 avril Sommaire 1 Préambule Champ d application Objet de la recommandation Définitions Principes de prévention Mesures de prévention...6 Annexes...9 Bibliographie Préambule Plusieurs accidents graves et mortels ont été constatés, liés à des interventions à l intérieur d enceintes de protection de machines. Ces interventions étaient apparues nécessaires suite à une modification de la destination initiale de l installation, à un dysfonctionnement (bourrage de matière, arrêt de cycle intempestif ), à l impossibilité (souvent due à un problème de visibilité) de réaliser un diagnostic depuis l extérieur de l enceinte de protection, à l absence d un mode de marche spécifique et sécurisé pour l intervention Une extraction des analyses d accidents recueillies dans la base EPICEA en lien avec les machines montre que : de nombreuses interventions ont lieu en dehors du fonctionnement dit «normal» (figure 1), ces interventions ont été réalisées en maintenant tout ou partie des énergies (figure 2). Dans certains cas, cet état est reconnu comme nécessaire, ces besoins d intervention n étaient pas systématiquement identifiés. 2
3 R.477 Figure 1: répartition des AT mortels en fonction des phases de travail hors production (source EPICEA / INRS) Figure 2 : répartition des AT en fonction des facteurs de risques hors production (source EPICEA / INRS) Pour rappel, les principaux risques rencontrés sur les équipements et les machines sont les suivants : risques de sectionnement de membres ou d écrasement d une personne liés aux parties mobiles, risques d exposition à des Agents Chimiques Dangereux, risques électriques, risques d exposition aux nuisances physiques : bruit, vibrations, champs électromagnétiques, rayonnements optiques artificiels, rayonnements ionisants, risques liés aux contraintes thermiques, risques liés aux contraintes posturales. Cette recommandation attire l attention sur la gravité des conséquences des accidents survenant dans ces circonstances, tant sur le point de l atteinte à l intégrité des personnes, pouvant entrainer des séquelles importantes, voire mortelles, que des enjeux économiques et sociaux (maintien dans l emploi ). La prévention d apparition de Maladies Professionnelles liées à des conditions d intervention (contraintes posturales, exposition à des nuisances ) est prise en compte dans les présentes recommandations. 3
4 Dynamique d amélioration des conditions d intervention en sécurité sur les machines 2 Champ d application En complément des textes réglementaires en vigueur, il est recommandé aux chefs d entreprises relevant du comité technique national des industries de la métallurgie (CTN A), dont tout ou partie du personnel relève du régime général de la Sécurité Sociale et utilise, même à titre secondaire ou occasionnel, des machines de mettre en œuvre les mesures de prévention énoncées dans ce document. Les phases de vie d un équipement de travail sont : la conception et la construction, le transport, l assemblage et l installation, la mise en service, l utilisation (exploitation et maintenance), la mise hors service et le démantèlement. La présente recommandation traite uniquement de l utilisation des machines (au sens de la Directive Machine 2006/42). 3 Objet de la recommandation Les présentes recommandations ont pour objectifs : de créer une dynamique de prévention dans l entreprise permettant de prendre en compte les situations de travail réelles et de progresser de manière continue vers la maîtrise des risques au niveau le plus haut atteignable. de mettre en place une organisation adaptée aux conditions d intervention sur les machines automatiques ou semi automatiques. Ces recommandations doivent permettre d orienter le chef d entreprise et lui permettre de faire des choix pertinents en matière de prévention. L adaptation (modifications par rapport à l état initial, adaptations à l évolution des productions, mauvais usage raisonnablement prévisible ) des machines dans leur phase d utilisation est à prendre en compte. Selon les types d utilisation spécifiques à certaines installations, des spécifications techniques, opérationnelles (règles de l art) et organisationnelles complémentaires à cette présente recommandation pourront être conçues et mises en œuvre. 4 Définitions Dans ce texte, plusieurs types de conditions d intervention sont distingués : Conditions d intervention nominales (CIN) L intervention se déroule sur une machine soit : fonctionnant avec les performances attendues en terme de productivité, qualité (Ce type de fonctionnement est parfois appelé «marche normale»), en maintenance, - sur machine à l arrêt et condamnée (éventuellement sans énergie, sans possibilité de redémarrage en condition d exploitation), - sur machine consignée, sans énergie sans source active, sans émissions de polluants. 4
5 Conditions d intervention dégradées maitrisées (CIDM) Il s agit de situations qui s imposent et ne rentrent pas dans le cadre précédent à savoir des interventions réalisées sous énergie (y compris énergie résiduelle), en ambiances dangereuses, sous contraintes posturales, pour lesquelles : des risques pour le salarié sont présents et maîtrisés, les protecteurs et dispositifs de protections principaux (prévus pour la production) sont partiellement neutralisés et remplacées par des mesures techniques et organisationnelles adaptées au travail à réaliser. Ces situations sont notamment rencontrées lors des interventions suivantes : prise de mesures, prise d échantillons, nettoyages, réglages, observations, diagnostic, remplacement d une ou plusieurs fonctions d une machine par un ou plusieurs opérateurs, récupération de dysfonctionnements. Ces interventions se déroulent notamment avec les protections principales partiellement ou totalement neutralisées, mais selon des modes de marche adaptés satisfaisants. Ces interventions auront fait préalablement l objet d une évaluation des Risques Professionnels où pour réduire les risques résiduels à leur niveau le plus bas, des mesures compensatoires de prévention auront été mises en œuvre. Conditions d intervention dégradées non maîtrisées (CIDNM) Il s agit typiquement des interventions présentant des risques identifiés, notamment des interventions avec les Protections Principales Neutralisées, pour lesquelles l analyse des risques n a pas permis de définir de mesures compensatoires suffisantes pour intervenir en sécurité. Conditions d intervention inconnues (CII) Ce sont toutes les situations d intervention non encore connues par le chef d entreprise, l encadrement ou les personnes en charge de la prévention des risques professionnels dans l entreprise, ou les opérateurs. De même les personnels pouvant intervenir dans les différentes situations décrites ci-dessus sont distinguées de la manière suivante : Opérateur Conducteur de la machine formé au poste de travail (voir encadré), et à certaines opérations de maintenance et d entretien (CIN ou CIDM), selon l organisation de l entreprise et son niveau de compétence. Référent (ou Expert technique) Salarié de l entreprise ou intervenant extérieur : - identifié par le responsable de l entreprise, - formé aux interventions en situation dégradée (CIDM, CIDNM ou CII), - apte à mener une analyse de risque et à définir/mettre en place les mesures de prévention nécessaires. 5
6 Dynamique d amélioration des conditions d intervention en sécurité sur les machines 5 Principes de prévention Pour les machines soumises à la directive machine, la notice d instruction doit comporter les éléments pour réaliser les opérations (installation, fonctionnement, maintenance ) en sécurité. L évaluation des risques doit porter sur toutes les situations de travail prévisibles. L ensemble des acteurs (chef d entreprise, encadrement, opérateurs, médecin du travail, CHSCT.) doivent être associés à la démarche. Un retour d information sur de nouvelles situations rencontrées doit être organisé pour anticiper une intervention ultérieure. La priorité est de mettre en œuvre tout ce qui est possible pour supprimer les interventions dans les zones dangereuses des machines en fonctionnement, sous énergie. L analyse des risques doit prendre en compte la réalité des situations de travail pour déterminer les mesures de prévention appropriées, par exemple en admettant que certaines interventions puissent nécessiter le maintien des énergies. Pour être efficaces, les mesures de prévention doivent porter sur les aspects techniques, organisationnels et humains : sécurisation des énergies, conception de la machine maîtrise de l adéquation de la machine et ses outillages avec la production souhaitée, signalement et traitement des dysfonctionnements, consignation formation, aptitude, compétences, autorisation/habilitation 6 Mesures de prévention Il est recommandé la mise en place d une méthodologie d action pour l entreprise, comportant un diagnostic initial (voir annexe), qui induit une dynamique de prévention visant à transformer les conditions dégradées (CIDM) en conditions nominales (CIN) ou à renforcer leurs maîtrises. L entreprise doit être en mesure d agir en sécurité afin de ne pas être contrainte d intervenir dans des conditions non maitrisées (CIDNM) ou quand des situations inconnues surviennent (CII). Cette démarche nécessite une observation permanente des conditions de fonctionnement réel des équipements de travail et des conditions d intervention. L objectif à atteindre est de rendre largement majoritaire les CIN dans le fonctionnement de l entreprise et d éradiquer les conditions d intervention non maîtrisées (CIDNM). En cas de recours à un intervenant extérieur, il est obligatoire de réaliser une visite préalable et il est recommandé de rédiger un plan de prévention Connaître les machines avant de les utiliser : Toute personne qui intervient sur un équipement de travail ou l utilise doit recevoir une formation spécifique et adaptée, pour connaître les risques liés à l utilisation de ces équipements. La formation porte non seulement sur l utilisation des équipements, mais aussi sur les conditions d exécution des travaux. Le contenu de la notice d instructions du fabricant permet de rédiger des fiches de poste pour informer les salariés. En outre, lors de la mise en service d un matériel neuf, il est souhaitable qu un accompagnement et une démonstration soient effectués par le personnel technique du fabricant. 6
7 R.477 Pour faire face aux différentes situations d intervention auxquelles les salariés pourraient être exposés, il est recommandé que le responsable d entreprise mette en place au moins 2 niveaux d autorisation : 1. intervention sur les machines en CIN, pour l opérateur. 2. intervention dans les autres cas CIDM, CIDNM et CII, pour l expert ou référent technique. Autorisation d intervention Mettre en place un dispositif d autorisation d intervention basée sur : Une aptitude médicale Des compétences techniques La formation ayant permis d acquérir des connaissances sur le fonctionnement des machines présentes dans l entreprise. La vérification de l adéquation de la formation aux situations rencontrées dans l entreprise). Renforcé de : compétences en analyse des situations et en évaluation des Risques Professionnels. Dans le cas de la modification d une machine 1 : Ne pas oublier d évaluer, avant l utilisation, l incidence sur les interventions (vigilance sur les augmentations de performances, les changements de produits, évolution des outillages, ). Prévoir une phase de «validation» sous surveillance du référent avec rédaction d une fiche de poste. 1 Les modifications sont réalisées conformément au Guide technique du Ministère chargé du travail du 18 novembre 2014 relatif aux opérations de modification des machines en service. 7
8 Dynamique d amélioration des conditions d intervention en sécurité sur les machines Dynamique de prévention A partir des éléments identifiés dans le diagnostic initial, traiter les étapes suivantes de manière périodique, ainsi qu à l occasion de chaque transformation dans l entreprise et en particulier à chaque fois qu une situation inconnue émerge. Désignation Conditions d intervention Modalités d intervention Evolution attendue CIN Conditions d intervention nominales Dans ce cas il est recommandé de prévoir la disposition suivante : Intervention par l opérateur formé, avec la notice d instruction constructeur et les procédures établies dans l entreprise (fiche de poste ) Organiser le maintien en état des machines par des vérifications périodiques, la gestion des pièces de rechanges identiques à l origine, le suivi des réparations, la remontée des anomalies sur les dispositifs de sécurité CIDM Conditions d intervention dégradées maitrisées Des mesures compensatoires techniques, organisationnelles et humaines permettent d atteindre un niveau de risque acceptable Dans ce cas il est recommandé de prévoir les dispositions suivantes : Mettre en place des dispositions techniques telles que : mode de marche adapté, marche par à coup, vitesse lente, commandes à action maintenue Matérialiser une zone «refuge» Intervention sur la machine après consignation de toutes les énergies, soit par : - le référent - le référent assisté par un opérateur formé (niveau minimum), - un opérateur formé (niveau minimum). en fonction du niveau de maîtrise de la situation. Transformer les CIDM en CIN, par la mise en œuvre de tous les moyens permettant à l opérateur de rester en dehors de la zone dangereuse, notamment : Mise en place d un système de remontée et d analyse des dysfonctionnements en vue de fiabilisation. Contrôle préalable des matières premières. Ressortir les éléments de réglages /d interventions permettant de réaliser les tâches depuis l extérieur. Dispositifs de consignation d énergie localisés permettant de réduire le temps de consignation donc de diminuer le ratio temps de consignation/temps d intervention. Dispositifs de vision indirecte permettant l observation hors zone dangereuse. CIDNM CII Conditions d intervention dégradées non maitrisées Conditions d Intervention Inconnues Les mesures compensatoires en place sont inexistantes ou insuffisantes (déséquilibre entre mesures techniques / opérationnelles et organisationnelles. Situation nouvelle d intervention (non présente dans le tableau de diagnostic, non rencontrée et non évaluée ou analysée) Les CII et les CIDNM nécessitent les mêmes traitements et analyse. Il est recommandé de prévoir les dispositions suivantes : Organiser la réaction face à une situation inconnue ou non maîtrisée. - Identifier un référent pour intervenir en cas de situation inconnue, le faire connaître des autres salariés. - Face à une situation inconnue ou non maîtrisée, l opérateur doit savoir faire appel à un référent et ne pas prendre une initiative de suppression du dysfonctionnement pouvant lui faire prendre des risques, ou de tenter le rétablissement de la marche normale. Procéder à une analyse des risques pour définir et aboutir à la mise en place de mesures de prévention permettant la meilleure maîtrise possible des risques constatés. Organiser une intervention avec du personnel formé : - Intervention sur une machine totalement ou partiellement consignée par le référent après mise en place des mesures de prévention définies suite à l analyse de risque précédente. A l issue de l intervention du référent : - Formaliser de manière simple l intervention par le référent puis organiser un débriefing avec l opérateur, le référent et la personne en charge des risques professionnels dans l entreprise. Le but est de décrire l intervention réalisée, identifier les risques présents, d enrichir le tableau de diagnostic en vue d un plan d action. - Prendre contact avec le constructeur de la machine pour la prise en compte des nouvelles situations d intervention constatées. Transformer les CIDNM en CIDM, voire en CIN Transformer les CII en CIDM, voire en CIN 8
9 R.477 Annexe - Diagnostic initial Identifier toutes les tâches à réaliser sur les machines (quoi et comment) en coopération avec les salariés concernés de l entreprise et des entreprises extérieures (organisme de contrôle, nettoyage, changement d outils, maintenance ) Identifier les dangers liés à chacune des tâches Lister les mesures de prévention existantes et utilisées en relation avec les dangers identifiés S appuyer sur le Document Unique existant pour mener la réflexion Qualifier les conditions d intervention pour chaque tâche : CIN, CIDM, CIDNM Taches Qui Dangers / Situations dangereuses Mesures de prévention mises en oeuvre Classement (CIN, CIDM, CIDNM) Exemple de tableau de synthèse du diagnostic initial Cas particulier des conditions d intervention inconnues : La phase de diagnostic initial a notamment comme objectif de porter à la connaissance de l entreprise le maximum d interventions et leurs conditions souvent connues exclusivement des opérateurs concernés. A l issue du diagnostic, seules les situations qui ne se sont jamais produites dans l entreprise restent inconnues. 9
10 Dynamique d amélioration des conditions d intervention en sécurité sur les machines Bibliographie (non exhaustive) Textes réglementaires ou parus au JO : Guide technique du Ministère chargé du travail du 18 novembre 2014 relatif aux opérations de modification des machines en service. Documentation : Sécurité des équipements de travail. Prévention des risques mécaniques, ED 6122, INRS, 2012 (INRS). Dossiers web : Dossier Web INRS Formation et Information. 10
11 R
12 Chargement, Travaux neufs, travaux d entretien et de maintenance dans les établissements relevant du CTN E Recommandation - octobre ex. - ISBN
Annexe I b. Référentiel de certification
Annexe I b Référentiel de certification Page 15 sur 45 CORRESPONDANCE ENTRE ACTIVITÉS ET COMPÉTENCES ACTIVITÉS ET TÂCHES A1. S ORGANISER, S INTEGRER à une EQUIPE A1-T1 Préparer son intervention et/ou la
Plus en détailRecours aux entreprises extérieures
RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailREFERENTIEL DU CQPM. TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM
COMMISION PARITAIRE NATIONALE DE L EMPLOI DE LE METALLURGIE Qualification : Catégorie : B Dernière modification : 10/04/2008 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 I OBJECTIF
Plus en détailRECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470
RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES ACTIVITES DE SERVICES 1 Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques Yves Cousson - INRS Pour vous aider à : réduire le bruit
Plus en détailSécurité des machines CE neuves è Grille de détection d anomalies
Sécurité des machines CE neuves Grille de détection d anomalies ED 4450 Document uniquement téléchargeable sur www.inrs.fr Afin de ne pas exposer les opérateurs à des risques d accident ou de maladie professionnelle,
Plus en détailCQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle. Préparation de l évaluation des compétences par le candidat
CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle Préparation de l évaluation des compétences par le candidat Vous souhaitez obtenir le Certificat de Qualification Professionnelle Inter-branches
Plus en détailL HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel
Prévention et Gestion des Risques Professionnels Sécurité Sociale Caisse régionale d assurance maladie Alsace-Moselle L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel Note Technique
Plus en détailBaccalauréat professionnel. Maintenance des Équipements Industriels
Baccalauréat professionnel Maintenance des Équipements Industriels 2005 SOMMAIRE DES ANNEXES DE L ARRÊTÉ DE CRÉATION DU DIPLÔME ANNEXE I : RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME I a. Référentiel des activités professionnelles...7
Plus en détailNotice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical)
IND/RN/001/NT03 Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) Renouvellement, modification ou annulation de l autorisation I DEMANDE DE RENOUVELLEMENT D UNE AUTORISATION...3 I.1 Rappels...3
Plus en détailDémarche de prévention de la pénibilité : Aide à la mise en œuvre
Démarche de prévention de la pénibilité : Aide à la mise en œuvre dans les TPE-PME T e m p é r a t u r e Produits chimiques Horaires décalés Manutention de la pénibilité dans les TPE-PME 1 Préambule Suite
Plus en détailSécurité des machines Modes de fonctionnement protections neutralisées
Sécurité des machines Modes de fonctionnement protections neutralisées L Institut national de recherche et de sécurité (INRS) Dans le domaine de la prévention des risques professionnels, l INRS est un
Plus en détailFORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL
FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Prévention et Sécurité au Travail Fiche Santé et Travail n 111 Date : 01/09/2014 "Un homme averti en vaut deux" Ce proverbe souligne que l on est plus
Plus en détailEtude des possibilités de passerelles entre les CQP des Entreprises de l industrie pharmaceutique et les CQP des industries chimiques
Etude des possibilités de passerelles entre les CQP des Entreprises de l industrie et les CQP des industries chimiques @ COPYRIGHT LEEM - Page 1 sur 51 Sommaire 1 - Finalités des passerelles... 3 2 - Principes
Plus en détailEVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE
EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif
Plus en détailPROGRAMMES D ENTRETIEN
Page 1 sur 10 1 OBJET La présente fiche a pour objet de réunir les directives nécessaires à l élaboration du programme d entretien d un aéronef des catégories de ceux utilisés dans le vol à voile (remorqueurs,
Plus en détailService Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09
CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE
Plus en détailDU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ELECTRICITE, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION
RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ELECTRICITE, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION Mise en œuvre du dispositif CATEC : Certificat d aptitude à travailler
Plus en détailEpargne, Retraite, Prévoyance et Santé
L offre FOBA Des outils d aide à la vente Budget Retraite Augmenter la vente des différentes solutions retraite ANI Générer des rendez-vous qualifiés et réduire le délai de décision pour la souscription
Plus en détailDU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS
RECO R.464 DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS Prévention des risques dus à l utilisation des plates-formes de travail en encorbellement CRAMIF Pour vous aider
Plus en détail- le cas échéant, représenté par le mandataire [nom ou raison sociale et adresse du mandataire ainsi que l activité exercée] :
CONTRAT DE LOCATION (Soumis au titre Ier bis de la loi du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n 86-1290 du 23 décembre 1986) LOCAUX MEUBLES A USAGE
Plus en détailSIMPL'VOX. Notice d'utilisation. Transmetteur téléphonique vocal. Version 1.1
Transmetteur téléphonique vocal Version 1.1 SIMPL'VOX Photo non contractuelle Notice d'utilisation Les produits de la gamme ALTEC sont conçus et fabriqués en France par la société ATLS SIMPL VOX et ALTEC
Plus en détailENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Cette étude a été réalisée auprès de six entreprises de transport urbain de voyageurs, sur le territoire de la CINOR, sur la base des déclarations des
Plus en détailL obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
1 er juin 2011 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 152 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT
Plus en détailLa cartographie des risques outil fédérateur de pilotage: exemple d'application dans un groupement d'établissements. Marc MOULAIRE
La cartographie des risques outil fédérateur de pilotage: exemple d'application dans un groupement d'établissements. Marc MOULAIRE Définitions Successivement la cartographie a été: L'Art de dresser les
Plus en détailPréambule. Obligations des employeurs. La Fiche d Entreprise (revisitée) Missions des SSTi*
Dr CROUZET 12/10/2012 SMTMP / RESACT Préambule Le chainon manquant Missions des SSTi* La Fiche d Entreprise (revisitée) Obligations des employeurs? Page 6 de la circulaire du Document Unique, du 18 avril
Plus en détailGUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Plus en détailANNEXE I RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME. Mention complémentaire Maintenance des systèmes embarqués de l automobile 5
ANNEE I RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME Mention complémentaire Maintenance des systèmes embarqués de l automobile 5 RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES 1. Définition La mention complémentaire Maintenance
Plus en détail7.2 - Le traitement administratif des accidents de service, de travail et des maladies professionnelles
CHAPITRE 7 Les accidents et les maladies professionnelles 7.2 - Le traitement administratif des accidents de service, de travail et des maladies professionnelles 7.2.1 Méthodologie Définitions L accident
Plus en détailErgonomie et Prévention des risques professionnels
Ergonomie et Prévention des risques professionnels Catalogue des formations AVISErgonomique Laurent AVISSE Laurent AVISSE Ergonome Consultant 29, Rue de Montbazon 37 300 JOUE-LES-TOURS Tél : 06 09 44 30
Plus en détailSOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement
SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement Rubrique : Fonctionnels de la prévention du ministère... 2... 4 Rubrique : Risques psychosociaux...12 1 SOMMAIRE Rubrique : Fonctionnels
Plus en détailLes projets d investissement en PME
Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser
Plus en détailA LA UNE. L indemnisation due en cas de licenciement nul pour violation du statut protecteur est plafonnée à trente mois
NEWSLETTER SOCIALE M A I 2 0 1 5 A LA UNE L indemnisation due en cas de licenciement nul pour violation du statut protecteur est plafonnée à trente mois La loi du 2 août 2005 a porté la durée des mandats
Plus en détailSystème de management H.A.C.C.P.
NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février
Plus en détailPage 1. Le Plan de Prévention
Page 1 Le Plan de Prévention 01 LA REGLEMENTATION Rappel : Le document Unique d Evaluation des Risques Dans toute entreprise, le chef d entreprise a pour obligation d assurer la sécurité et la santé de
Plus en détailLES TRANSPALETTES ET TRANSPALETTES GERBEURS A CONDUCTEUR ACCOMPAGNANT
N ewsletter N 24 mai 2010 Tous les éléments cités sur cette lettre d informations sont donnés à titre indicatif. Ils ne constituent en aucune façon une reproduction exhaustive ou littérale des prescriptions
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détailREFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312
REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE
Plus en détailFonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com
Fonctionnalités HSE PILOT Groupe QFI www.hse-pilot.com Module produit chimique RECENSEMENT DES PRODUITS Les produits chimiques sont omniprésents dans les entreprises. La gestion qui leur est associée peut
Plus en détailRéaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!
Réaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!) 1. Réaliser la note sur l auteur (bien lire le document, utiliser Internet)
Plus en détailMise en sécurité des ascenseurs. Guide d aide à la décision
Mise en sécurité des ascenseurs Solutions techniques pour répondre à l obligation réglementaire de précision d arrêt et maintien à niveau des ascenseurs Utilisation des variateurs électriques de vitesse
Plus en détailSurveillance de la santé. Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail"
Surveillance de la santé Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail" Sommaire Sommaire 1 1. Introduction 2 2. Analyse des risques 3 2.1. Etablissement de la liste des risques 3 2.2.
Plus en détailL humain au cœur de l entreprise. De l identification à la gestion des Risques Professionnels
L humain au cœur de l entreprise De l identification à la gestion des Risques Professionnels Petit déjeuner Conférence du 17 Mars 2009 Sommaire 1. IDER : Identification des Dangers et Évaluation des Risques
Plus en détailBEP Maintenance des produits et équipements industriels. Annexe I a. Référentiel des activités professionnelles. Page 4 sur 45
Annexe I a Référentiel des activités professionnelles Page 4 sur 45 Présentation Le diplôme du brevet d études professionnelles «Maintenance des produits et équipements industriels» (MPEI) valide un ensemble
Plus en détailService Interentreprises de Santé au Travail Drôme Provençale Ardèche Sud - 26200 MONTELIMAR
Retour d expérience d une entreprise La coopération de l hypermarché Carrefour Montélimar et du SIST 26/07 sur le thème de la santé mentale Matinée d information sur les risques psychosociaux du 3 juillet
Plus en détailProtocole de sécurité chargement déchargement
Protocole de sécurité chargement déchargement Note pratique de prévention N.P.P.-01/2007 CRAM Centre Ouest Caisse Régionale d Assurance Maladie Centre Ouest 37 avenue du Président René Coty - 87048 LIMOGES
Plus en détailI. L élu employeur, qui est il?
Colmar, le 14 octobre 2014 Kingersheim, le 23 octobre 2014 I. L élu employeur, qui est il? L autorité territoriale, le représentant légal de la collectivité M. Emmanuel BERNT, Directeur du CDG 68 La directive
Plus en détailPermanences secrétariat : Sans rendez-vous : Du lundi au jeudi de 17h00 à 21h30. Sur rendez-vous : Les mercredi et vendredi après-midi.
Objectifs : Se former au métier de technicien apte à intervenir sur des installations automatisées industrielles. Etre capable de monter, modifier, régler ou entretenir des équipements automatisés à partir
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailCahier des charges relatif à la certification et re-certification des diagnostiqueurs
Région Martinique Cahier des charges relatif à la certification et re-certification des diagnostiqueurs Version définitive - septembre 2013 1 Sommaire 1 OBJET DU DOCUMENT... 3 2 RAPPEL DES TEXTES APPLICABLES...
Plus en détailCQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle
CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle Guide de repérage des compétences du candidat Candidat Nom :... Prénom :........ Entreprise :... Le document original est conservé par l entreprise
Plus en détailComment rédiger r une bibliographie? BULCO-Méthodologie documentaire-bibliographie-2010
Comment rédiger r une bibliographie? 1 Qu est ce qu une bibliographie? C est une méthode de classement et de présentation des documents. Il ne faut pas confondre bibliographie, référence bibliographique,
Plus en détailL'habilitation en électricité Démarche en vue de l'habilitation du personnel
L'habilitation en électricité Démarche en vue de l'habilitation du personnel Sommaire Introduction 2 1. Définition de l'habilitation 3 2. Conditions nécessaires à l'habilitation 3 2.1 Qualification technique
Plus en détailEntreprise Utilisatrice et Entreprises Extérieures
Entreprise Utilisatrice et Entreprises Extérieures Guide d aide à destination des entreprises pour une mise en œuvre opérationnelle de la démarche de prévention liée à l intervention des entreprises extérieures
Plus en détailANALYSE DES RISQUES PROJET IN2P3. Les deux infinis. G.CLAVERIE: Ecole Projet IN2P3 Fréjus 22 au 24 novembre 2012
ANALYSE DES RISQUES PROJET IN2P3 Les deux infinis G.CLAVERIE: Ecole Projet IN2P3 Fréjus 22 au 24 novembre 2012 IN2P3 Les deux infinis 1 I Titre SOMMAIRE de chapitre : Xo 1 I L intérêt d une démarche d
Plus en détailAméliorer l efficacité de votre fonction RH
Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailL évaluation des risques professionnels
LE POINT DES CONNAISSANCES SUR ED 5018 L employeur a l obligation d assurer la sécurité et de protéger la santé de ses salariés. Il dispose pour ce faire d un des principes de prévention énoncé dans le
Plus en détailProgramme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation
G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL
SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de
Plus en détailREGLES APSAD R81 DETECTION INTRUSION
REGLES APSAD R81 DETECTION INTRUSION La règle s applique à tous types de sites ou bâtiments quels qu en soit la surface totale et l usage. L avantage d un unique document est d harmoniser les méthodes
Plus en détailCAP Serrurier-métallier REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES PRESENTATION DES ACTIVITES ET TACHES
REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES PRESENTATION DES ACTIVITES ET TACHES ACTIVITES : TACHES 1 - Prendre connaissance des documents, des consignes écrites et orales. 2 - Relever des cotes pour l'exécution
Plus en détailAccord N 34 La complémentaire santé au GIE AtlantiCA En date du 05 mars 2008
Accord N 34 La complémentaire santé au GIE AtlantiCA En date du 05 mars 2008 Les organisations syndicales signataires : CFDT, CGT, SNECA-CGC, SUD AtlantiCA TABLE DES MATIERES L ACCORD INDEX TABLE DES MATIERES
Plus en détailPlan de modernisation des installations industrielles
Plan de modernisation des installations industrielles 1 Sommaire 1 - Contexte - Introduction 2 - Réglementation 3 - Périmètre 4 - Guides techniques 5 - Synthèse : périmètre-actions 2 1 Contexte - Introduction
Plus en détailLA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE
LA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE La question posée s inscrit dans une démarche d amélioration de la circulation de l information. questionnaire d
Plus en détailLes documents primaires / Les documents secondaires
Les documents primaires / Les documents secondaires L information est la «matière première». Il existe plusieurs catégories pour décrire les canaux d information (les documents) : - Les documents primaires
Plus en détailSERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS
SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques
Plus en détailLa pratique de la gestion des services. Lier les composants techniques avec les services d opérations dans la CMDB
La pratique de la gestion des services Lier les composants techniques avec les services d opérations dans la CMDB Création : octobre 2013 Mise à jour : octobre 2013 A propos A propos du document Ce document
Plus en détailRISQUES CHIMIQUES Niveau 2 Agrément UIC n 01/95
RISQUES CHIMIQUES Niveau 2 Agrément UIC n 01/95 PUBLIC CONCERNE Responsables, cadres technico-commerciaux, chefs de chantier «preneurs de permis» et chefs d équipe des entreprises ayant à intervenir dans
Plus en détailConditions Particulières
Le 18 février 2015 Modèle de Convention d exploitation pour un Site de consommation raccordé au Réseau Public de Distribution HTA ou HTB Conditions Particulières Résumé La Convention de Conduite et d Exploitation
Plus en détailSEIRICH : Système d évaluation et d information sur les
SEIRICH : Système d évaluation et d information sur les risques chimiques en milieu professionnel R. Vincent, N.Bertrand, L. Capitaine, F. Clerc, F. Marc, S. Malard, F. Lekhchine, N. Schmitt, N.Toulemonde,
Plus en détailConditions Générales de Vente
Conditions Générales de Vente PREAMBULE Le client souhaite se doter d un site internet Il a lancé une consultation préalable, qui a été communiquée à Nexus Création et a permis d élaborer une proposition
Plus en détailMASTER PREVENTION DES RISQUES ET NUISANCES TECHNOLOGIQUES
MASTER PREVENTION DES RISQUES ET NUISANCES TECHNOLOGIQUES 1 I. Les textes applicables Décret du 8 janvier 1965 modifié qui concerne les mesures de protection applicables aux établissements dont le personnel
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailexcellence environnementale fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts
excellence environnementale Des pratiques pour l'excellence environnementale en région Poitou-Charentes fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts A partir de l
Plus en détailLes obligations de l'exploitant
Guide technique : Sécurité > Les obligations de l'exploitant > Les obligations de l'exploitant Les obligations de l'exploitant L exploitant assiste aux visites de la commission de sécurité, ou s y fait
Plus en détailORGANISER LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
Collection PRÉVENTION SANTÉ SÉCURITÉ DRTEFP PACA ORGANISER LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Guide pratique du management de la santé et de la sécurité au travail dans les petites et moyennes entreprises
Plus en détailLES DÉPLACEMENTS EN VÉHICULES un risque pour l entreprise
LES DÉPLACEMENTS EN VÉHICULES un risque pour l entreprise Guide de sensibilisation ACCIDENTS DE CIRCULATION AU TRAVAIL Mission - Trajet LES ENJEUX DE LA PREVENTION DU RISQUE ROUTIER ENCOURU PAR LES SALARIES
Plus en détailRéférentiel de compétences de l intervenant en prévention des risques professionnels 01/26
Référentiel de compétences de l intervenant en prévention des risques professionnels 01/26 Référentiel de compétences de l intervenant en prévention des risques professionnels 02/26 LE CADRE D EXERCICE
Plus en détailMise en œuvre de la radioprotection dans les entreprises: Certification d'entreprise et formation du personnel.
Mise en œuvre de la radioprotection dans les entreprises: Certification d'entreprise et formation du personnel. Alain BONTEMPS, Directeur du CEFRI -NOMBRE DE TRAVAILLEURS EXPOSES (Nucléaire): Total: 60
Plus en détailDISPOSITIF D APPEL POUR TRAVAILLEUR ISOLE ENSEMBLE SECURISONS VOTRE AVENIR
DISPOSITIF D APPEL POUR TRAVAILLEUR ISOLE ENSEMBLE SECURISONS VOTRE AVENIR 2 TEXTES RELATIFS AUX TRAVAILLEURS ISOLES Code du travail Art R237-10 du décret du 20/02/92 : le chef de l entreprise intervenante
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR MAINTENANCE DES SYSTÈMES
BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR MAINTENANCE DES SYSTÈMES Option : systèmes de production Option : systèmes énergétiques et fluidiques Option : systèmes éoliens Septembre 2014 BTS Maintenance des systèmes
Plus en détailGERER SA MAINTENANCE INFORMATIQUE
L AFNOR définit la maintenance comme l «ensemble des actions permettant de maintenir et de rétablir un bien dans un état spécifié ou en mesure d assurer un service déterminé.» De nos jours, les systèmes
Plus en détailOrganisation de la Maintenance et des Travaux
Organisation de la Maintenance et des Travaux Politique de Maintenance et Fiabilisation des Installations...p. 191...p. 192 à 199 Politique de Maintenance et Fiabilisation des Installations OMT / GEMA
Plus en détailUcanss. Protocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières
Ucanss Protocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières Potocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières
Plus en détailGuide Méthodologique. Eco-conception & Ergo-conception : méthodes croisées
Guide Méthodologique Eco-conception & Ergo-conception : méthodes croisées La méthodologie qui vous est proposée a été développée par l Aract des Pays de la Loire, structure paritaire pour l Amélioration
Plus en détailDEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement
DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES
Plus en détailEfficacité des Modules Maintenance dans les ERP.
Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Les progiciels ERP (Entreprise Ressource Planning) proposent l ensemble des modules permettant de gérer une entreprise. Mais le module Maintenance est souvent
Plus en détailwww.sofis.fr catalogue 2015 formations de formateurs
www.sofis.fr catalogue 2015 formations de formateurs Version 5.6 Sofis 2015 www.sofis.fr N Azur 0 811 09 27 37 Sommaire Thèmes de formation 3 Secourisme 3 Incendie 7 Ergonomie 9 Management santé et sécurité
Plus en détailS3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles
S3CP Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles Référentiel Le présent socle décrit un ensemble de connaissances et compétences devant être apprécié dans un contexte professionnel.
Plus en détailPLAN SANTE SECURITE AU TRAVAIL DES EXPLOITANTS AGRICOLES DE LA REGION GUADELOUPE PERIODE : 2011-2015
PLAN SANTE SECURITE AU TRAVAIL DES EXPLOITANTS AGRICOLES DE LA REGION GUADELOUPE PERIODE : 2011-2015 PREAMBULE Le Plan Santé Sécurité au Travail (PSST) de la Mutualité Sociale Agricole (MSA) de la Guadeloupe
Plus en détailConseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail
Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Document réalisé avec l aide de Philippe BIELEC, Ingénieur Conseil à la Direction des risques professionnels de la
Plus en détailRéglementation nuisances physiques Une approche commune
Réglementation nuisances physiques Une approche commune L Institut national de recherche et de sécurité (INRS) Dans le domaine de la prévention des risques professionnels, l INRS est un organisme scientifique
Plus en détailTransmetteur téléphonique autonome vocal et digital avec Chargeur 13,7VDC-1A / logement pour batterie 12V-2Ah
NOTUTI0FR000028- V4.01 NOTICE D UTILISATION Transmetteur téléphonique autonome vocal et digital avec Chargeur 13,7VDC-1A / logement pour batterie 12V-2Ah Version 4.0 FABRICATION FRANCAISE CESA 200 &CONTACT
Plus en détailLES RISQUES ROUTIERS EN MISSION
LES RISQUES ROUTIERS EN MISSION DEPUIS 10 ANS LES ACCIDENTS DE LA CIRCULATION LIÉS AU TRAVAIL REPRÉSENTENT : 54 à 59% des accidents mortels du travail 23 à 25% des accidents avec incapacité permanente
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailFormations à la prévention des risques liés à l amiante (sous-section 4)
Formations à la prévention des risques liés à l amiante (sous-section 4) DOCUMENT DE REFERENCE Ce document présente le contexte relatif à l organisation des formations «amiante sous-section 4» : Les compétences
Plus en détailL'HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ. Démarche en vue. de l'habilitation. du personnel ED 1456
ED 1456 L'HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l'habilitation du personnel INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE SÉCURITÉ 30 rue Olivier-Noyer 75680 Paris cedex 14 Tél. : 01 40 44 30 00 Fax :
Plus en détailEtude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine
Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Contexte de la mission Connaissance, compréhension et anticipation des phénomènes d érosion et de submersion
Plus en détail