Les théories des Organisations

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les théories des Organisations"

Transcription

1 Les théories des Organisations

2 L évolution du management comme champs de recherche. L étude de management à susciter l intérêt des: ingénieurs, sociologues, psychologues, anthropologues, avocats, économistes, comptables, mathématiciens, philosophes et scientifique de la politique.. ayant tous une perspective différentes mais complémentaires.

3 Les différentes approches en management. L approche classique L approche comportementale L approche scientifique (Quantitative) L approche contemporaine Ces approches ont une séquence historique Chaque approche à inspirer la suivante Même les plus anciennes ne cessent pas de se développer

4 Théorie du Management Préclassique Classique Comportemen tale Quantitative Contemporaine Management Scientifique les premiers Comportementali ste Management Science Théorie de système Management Bureaucratique Les études de Hawthorne Management Opérationel Théorie de la contingences Management Administratif Le mouvement des ressources humaines Management Information Systems Emerging Views L approche de la science comportemental e

5 Les points de vues classiques (Trouver les moyens les plus efficaces pour gérer le travail et l organisation) Taylor Ford Les principaux auteurs Weber Fayol

6 Le management Scientifique: TAYLOR Frederick : ingénieur Américain L Organisation Scientifique du Travail. L entreprise est assimilée à une machine : Division horizontale du travail : Division et spécialisation des tâches après analyse des postes de travail pour déterminer la meilleure façon de faire (One best way). Division verticale du travail en séparant les tâches de l exécutant et du manager. Contrôle du travail réalisé par des contremaîtres. Rémunération au rendement pour améliorer la productivité.

7 FORD Henry: une application du Taylorisme : industriel Américain Le travail à la chaine et la standardisation de la production. Ford rationalise l organisation de la production en reprenant les principes de Taylor : Production en grandes séries de produits non différenciés pour réaliser des économies d échelle. Travail à la chaîne : le produit se déplace sur une chaîne de montage. Spécialisation horizontale : le processus de production est découpé en tâches élémentaires.

8 Le Management Administratif FAYOL Henri : ingénieur Français. Les fonctions dans l entreprise et l administration Le directeur des mines de Decazeville identifie 6 fonctions : Technique : production. Commerciale : achats, ventes, échanges. Financière : recherche et gestion de capitaux. Sécurité : protection des biens et des personnes. Comptable : compte de résultat, bilan, inventaire Administration : Direction.

9 FAYOL Henri : ingénieur Français. Les missions de la fonction administrative (de direction) Pour Fayol, l administration consiste à : Prévoir (planifier) : réaliser des hypothèses sur l avenir. Organiser : mobiliser des ressources pour atteindre ses objectifs. Commander : gérer les hommes en donnant des ordres. Coordonner : actions faisant converger vers le même objectif. Contrôler : vérifier que les objectifs fixés seront atteints. Il énonce 14 principes généraux d administration.

10 Le management Bureautique WEBER Max Bureacratique management is an approach that emphasises the need for organisations to operate in a rational manner rather than relying on the arbitrary whims of owners and managers : sociologue et avocat Allemand. Les propriétés de l organisation bureaucratique La structure hiérarchique et les compétences de chaque emploi sont clairement définis. Les rémunérations sont fixes et dépendent des responsabilités et du niveau hiérarchique. La discipline est stricte. Une séparation existe entre l emploi et la personne qui n est pas propriétaire de son poste. Des règles écrites anticipent toutes les situations. L avancement est déterminé par le supérieur hiérarchique.

11 WEBER Max : sociologue et avocat Allemand. Les sources du pouvoir dans trois types d organisations Le fondement de l autorité dépend du type d organisation : L organisation traditionnelle : le pouvoir est dû au statut (propriété de l entreprise). La succession est souvent familiale. L organisation charismatique : l autorité provient des qualités du dirigeant. Elle n est pas transmissible. L organisation rationnelle : la fonction exercée confère le pouvoir. Weber considère ce type d organisation comme le plus efficace.

12 Homework 4 Find out the Preclassical contributors and breifly discuss their findings?? Find out the other scientifique management contributorss and state their ideas?? Stipulez les 14 principes généraux d administration selon Fayol??

13 L école comportementaliste MAYO Elton McGREGOR Douglas MASLOW Abraham HERZBERG Frederick Les principaux auteurs ARGYRIS Chris LIKERT Rensis LEWIN Kurt

14 MAYO George Elton L étude au sein de la Western Electric Company L enquête est basée sur le postulat Taylorien que la productivité des salariés dépend des conditions matérielles de travail : Professeur et chercheur en psychologie. D autres variables psychosociologiques apparaissent : Un style de direction plus participatif améliore les rapports avec la hiérarchie. Le besoin de reconnaissance (statut social). Le sentiment d appartenance à un groupe. La satisfaction de besoins sociaux (sécurité ). La participation à la recherche d objectifs communs. L existence de leadership informel en dehors de toute structure hiérarchique.

15 MASLOW Abraham La Théorie des besoins Un besoin non satisfait reste source de motivation : Psychologue Américain.

16 McGREGOR Douglas Les Théories X et Y La nature des hommes peut être différente : Selon la théorie X, l homme n aime pas travailler, n est pas ambitieux et rejette les responsabilités. Cette vision, en général celle des dirigeants, sous entend que l homme doit être dirigé, contrôlé : Psychologue Américain. D après la théorie Y, l homme est motivé par son travail qui est source de satisfaction. Il accepte les responsabilités et sait faire preuve de créativité, d initiative. MCGREGOR considère que ce type de management est plus adapté à l homme.

17 HERZBERG Frederick La théorie des deux facteurs Les facteurs d insatisfaction peuvent susciter le mécontentement s ils ne sont pas satisfaits mais ne sont pas source de motivation (ex : conditions de travail, rémunération, sécurité de l emploi ). Les facteurs de motivation ou satisfaction influencent positivement le comportement individuel (ex : la reconnaissance de soi, l appartenance à un groupe, l intérêt du travail...) : Professeur Américain de psychologie industrielle. Ces deux facteurs ressemblent à ceux de MASLOW. Il est difficile de différencier facteurs de satisfaction et d insatisfaction car ils ne sont pas précisément listés. Pour motiver le salarié, HERZBERG préconise l enrichissement des tâches.

18 LEWIN Kurt La dynamique de groupe : Docteur en philosophie. Selon Kurt Lewin, il est plus aisé de faire évoluer un groupe qu une personne isolée. Il teste trois modes de commandement : Le leader autoritaire donne des ordres et est éloigné de ses subordonnés. Le leader démocratique dirige le groupe en acceptant les remarques, la discussion. Le leadership du laisser faire implique que les directives, les informations sont sollicitées par le groupe. Le manager ne s implique pas. LEWIN recommande la deuxième forme de gestion de groupes.

19 LIKERT Rensis : Psychologue Américain. Le principe de la relation intégrée et le leadership Selon ce principe de la relation intégrée, le travail de groupe permettrait l amélioration des relations interpersonnelles. Son travail concerne aussi les styles de directions (leadership) : Style autoritaire : Le pouvoir est centralisé. Un ensemble de règles et des modes de contrôles sont mis en place. Style consultatif : Le personnel donne son avis mais ne participe pas à la prise de décision. Les relations humaines sont améliorées. Style participatif : Chacun participe à la prise de décision.

20 ARGYRIS Chris L efficacité de l organisation par l accomplissement du personnel Tout homme doit avoir un sens à sa vie, il est donc nécessaire de lui faire confiance. L efficacité organisationnelle dépend de l aptitude à intégrer les mutations et l apprentissage organisationnel pour transformer la structure en organisation apprenante. Né en 1923 : Professeur de management Américain. Il préconise donc un style de direction basé sur l élargissement des tâches qui consiste à prendre part aux décisions et à la conception du travail.

21 Les théories du Management quantitative Homework 5. 1) Define what is the Management science 2) Define what is operation management 3) Discuss the link, if any, between the management science and the scientific management Quiz 1. Define theory X and Y. How Theory X and Y are differents from the Maslow hierarchy of needs

22 Les écoles contemporaines L école de la décision L école de la contingence L école systémique La théorie d agence

23 L école de la décision: Les modèles de rationalité absolue/limitée (H Simon: prix Nobel d économie 1978) La rationalité: lorsque l acteur rationnel en face de plusieurs branches d'alternatives va choisir celle qu'il croit aboutir au meilleur résultat global. Elle s'articule autour de cinq points : 1. Identification d'un problème nécessitant une solution. 2. Etablissement de la liste de toutes les solutions possibles. 3. Détermination de toutes les conséquences de toutes les solutions envisagées. 4. Evaluation comparative des solutions. 5. Choix de la solution la plus avantageuse qui maximise la satisfaction des objectifs. La rationalité ne peut être absolue, elle est limitée par trois séries de facteurs : 1. L'information disponible : indisponible et trop coûteuse 2. Les capacités de décideur : physiques et intellectuels des individus. 3. Les motivations du décideur : ses valeurs et ses buts personnels influencent la prise de décisions et le comportement.

24 L école de la décision: La théorie comportementale de la firme 1963 Les organisations sont des processus dynamiques et continus de prises de décisions. L entreprise est " un groupe de participants aux demandes disparates ", mais ayant, " in fine " intérêt à la bonne marche du système. Des négociations entre coalitions conduisent aux prises de décision. Les décisions non rationnels, mais représentent le meilleur compromis possible. La théorie du comportement de la firme est résumée en 4 concepts fondamentaux 1. La résolution des conflits : rationalité locale: chaque coalition traite et résous ses propres problèmes séquentiellement 2. L'élimination de l'incertitude : l environnement incertain nuit à l efficacité éviter les incertitudes privilégier les approches à court terme. 3. La recherche de la problématique : rechercher les vraies causes des problèmes. 4. L'apprentissage : Les entreprises changent leurs comportements et la perception qu'elles ont des choses avec le temps.

25 la difficulté pour l être humain à construire un modèle d'analyse et de choix optimal, fondé sur une connaissance parfaite de la situation et des valeurs stables les décisions organisationnelles ne s'appui pas sur une rationalité absolue. l'individu construit un modèle simplifié de la réalité par manque de temps, d'information et de capacités il ne va donc pas chercher la solution optimale mais simplement opter pour un niveau minimum de satisfaction sans forcément aller loin dans sa démarche. Des théories qui montrent les limites cognitives des acteurs en matière de prise de décision.

26 L école de la contingence BURNS ET STALKER WOODWARD Joan LAWRENCE ET LORCH Les principaux auteurs CHANDLER Alfred MINTZBERG Henry

27 La notion de contingence (dépendance) La notion de contingence réfute l hypothèse classique qu il existe une structure idéale (the one best way). L efficacité d une structure dépend de son environnement et des caractéristiques (ex : stratégie, culture, taille, technologie ) de l organisation. L organisation est assimilée à un système organique évoluant dans son éco système.

28 Les facteurs de contingence internes la technologie la taille L âge la stratégie

29 La technologie : WOODWARD Joan (professeur de sociologie industrielle: ) L organisation dépend du système de production. il n existe pas de structure meilleure qu une autre. la structure d'une entreprise est étroitement liée à son système technique de production Organisation de la production Technologie à production continue, automatisation Technologie de production en masse Technologie à production unitaire peu standardisé Hiérarchie longue, peu de personnel productif Contrôle mécanique et formalisé, personnel productif Structure souple, contrôle direct, organisation par projet.

30 La taille: A des tailles d'organisation différentes correspondent des types de structures différents Nombre de niveaux hiérarchiques, mode de contrôle et de coordination, degré de spécialisation des taches... Les organisations de petite taille opteront pour une structure simple et restreinte, basée sur un nombre limité de niveaux hiérarchiques. Lorsque l'entreprise commence à s agrandir, il apparait au moins un échelon intermédiaire entre le chef d'entreprise et le personnel d'exécution La structure devient plus complexe et l'étendue du contrôle beaucoup plus large.

31 L âge: la taille est liée au passage du temps L'entreprise passe par une série de phases. Un processus cumulatif où chaque phase se caractérise par une crise à surmonter pour passer à la phase suivante. Phase1. Création de l'entreprise : Les membres sont informels, les liens amicaux, on se dévoue à l'organisation. L'entreprise meurt ou décolle et connaît une croissance modérée si elle survit. La première crise est une crise de leadership. Phase2. Direction d'entreprise : L'entreprise passe par une structuration, formalisation, hiérarchisation, standardisation jusqu'à connaître une deuxième crise d'autonomie du fait de la lourdeur de la hiérarchie. Phase 3. Délégation : L'expansion va se poursuivre dans la diversification. Sont apparus des dirigeants de divisions autonomes qui poseront ensuite une crise de contrôle.

32 Phase 4. Coordination : Sont mis en place des mécanismes de planification, des centres de profit, une centralisation, un traitement de l'information... L'entreprise va alors traverser une crise liée à l'accumulation de procédures complexes qui pose une crise de pouvoir. Phase 5. Collaboration interpersonnelle : Le management par équipe est déployé, un contrôle social est réalisé, les structures matricielles sont préférées. Plus la taille est grande plus l'organisation est découpée en fonctions, plus les activités sont spécialisées et formalisées. Plus l'organisation sera âgée, plus les comportements seront formalisés et le travail répétitif.

33 La stratégie: CHANDLER Alfred (Historien professeur à Harvard) La stratégie est l ensemble des décisions et actions relatifs au choix des ressources et leur articulation en vue d atteindre un objectif. A chaque modification de la stratégie, il y a modification de la structure de l'entreprise Ex: une stratégie de diversification: l'entreprise est amenée à réaliser des changements structurels le passage d'une structure centralisée organisée en départements fonctionnels à une structure divisionnelle

34 Les facteurs de contingence externes

35 BURNS et STALKER l'environnement influençait les structures organisationnelles Structure Mécaniste Environnement stable: Technologie et marché Organique Environnement instable: moins prédictible Les décisions sont centralisées et des procédures décisionnelles sont mises en place. Les décisions sont décentralisées et le travail n est pas spécialisé, standardisé.

36 LAWRENCE et LORCH (Professeurs d organisation à Harvard) Environnement et structure «La structure est la somme totale des moyens employés pour diviser le travail entre tâches distinctes et pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces tâches». Elle dépend de l environnement. Une entreprise n est pas homogène. Elle est composée d entités différentes, soumises à des environnements variés. Chaque composante doit être capable de s adapter à son milieu naturel.

37 MINTBERG Henry Les 4 facteurs de contingence d une organisation Professeur de management à Montréal L âge et la taille : l ancienneté d une structure et sa taille influencent son degré de complexité et son formalisme. Le système technique est l ensemble des procédés utilisés pour fabriquer des biens et services. Un environnement complexe nécessite une structure de type organique. Le pouvoir est en général centralisé au niveau du sommet, formalisé. MINTZBERG identifie 7 types de structures et 5 mécanismes de coordination nécessaires à la cohérence des actions menées.

38 MINTZBERG Henry Modélisation des relations au sein d une organisation Sommet stratégique : équipe dirigeante. Technostructure : experts qui planifient et organisent le travail. Ligne hiérarchique : cadres opérationnels animant les équipes. Logistique : fournitures de services (ex : conseil juridique, restauration) Centre opérationnel : Ressources humaines qui produisent des biens et services.

39 Homework 6 Discutez la théorie d agence.

1 Les différents courants de pensée de la théorie des organisations

1 Les différents courants de pensée de la théorie des organisations 1 Les différents courants de pensée de la théorie des organisations 1 Comment définir la théorie des organisations? Avec la seconde révolution industrielle, de grandes entreprises industrielles émergent,

Plus en détail

Dossier 2 : Une approche théorique des organisations

Dossier 2 : Une approche théorique des organisations Management des organisations et stratégies Dossier 2 : Une approche théorique des organisations Ce dossier ne prétend pas exposer de manière exhaustive l ensemble des théories qui ont réfléchi les problématiques

Plus en détail

Management Chapitre 3 Diriger et décider

Management Chapitre 3 Diriger et décider I) Les décisions et les processus décisionnels A) La notion de décision Diriger une entreprise c est avant tout exercer un pouvoir décisionnel. Décider c est transformer une information en action. C est

Plus en détail

Dès qu'une action atteint un certain degré de complexité ou qu'il s'agit d'actions collectives il est nécessaire d'organiser, c'est-à-dire de diviser et coordonner. L'organisation suppose donc division

Plus en détail

SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES

SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES Manuel Murgia Page 1 19/08/2006 LES FONDEMENTS DU MANAGEMENT

Plus en détail

On doit répondre en deux mois pour un financement d un espace virtuel de travail collaboratif. Les personnes intéressées par cet appel d offre sont

On doit répondre en deux mois pour un financement d un espace virtuel de travail collaboratif. Les personnes intéressées par cet appel d offre sont On doit répondre en deux mois pour un financement d un espace virtuel de travail collaboratif. Les personnes intéressées par cet appel d offre sont nombreuses : service production, R&D, service approvisionnement,

Plus en détail

ESSENTIEL SUR LES AUTEURS DE MANAGEMENT D ENTREPRISES

ESSENTIEL SUR LES AUTEURS DE MANAGEMENT D ENTREPRISES ESSENTIEL SUR LES AUTEURS DE MANAGEMENT D ENTREPRISES JOSEPH A. SCHUMPETER (1883-1950) SCHUMPETER EST NE EN AUTRICHE A TRIECH,. IL FAIT DE BRILLANTES ETUDES OU IL COTOIE L ELITE UNIVERSITAIRE AUTRICHIENNE,

Plus en détail

LA GESTION DU CHANGEMENT DANS L ENTREPRISE

LA GESTION DU CHANGEMENT DANS L ENTREPRISE LA GESTION DU CHANGEMENT DANS L ENTREPRISE Mots clés : changement, diagnostic stratégique interne, diagnostic stratégique externe, stratégie, structure, chaîne de valeur, microenvironnement, macroenvironnement,

Plus en détail

Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles?

Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 7 mai 2015 à 13:59 Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? Introduction Regards croisés? car apports de la science économique (économie de la firme)

Plus en détail

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE COUTS QUALITE DELAIS LE RÔLE DU MANAGER ROLE DU MANAGER A ) ROLE DE GESTIONNAIRE FINALITE PRODUIRE. Ateindre les objectifs MOYENS GERER Organiser / Planifier / coordonner

Plus en détail

PROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR

PROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR UNIVERSITE MOHAMMED V -Agdal Rabat- École Doctorale de Gestion Exposé en GESTION ET ORGANISATION DES ENTREPRISES sous le thème: PROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR REALISE PAR : Meriama EDA-AIF

Plus en détail

Tableau synoptique du chapitre 5

Tableau synoptique du chapitre 5 Tableau synoptique du chapitre 5 La définition de l employé mobilisé Un employé mobilisé est celui qui fait preuve d un engagement professionnel, stratégique et collectif. Les quatre leviers de la mobilisation

Plus en détail

La division horizontale du travail traite de la question du degré de spécialisation ou de polyvalence du travail. Partie 3. L organisation du travail

La division horizontale du travail traite de la question du degré de spécialisation ou de polyvalence du travail. Partie 3. L organisation du travail Les théories des organisations portent sur la division du travail. On distingue la division du travail horizontale et la division du travail verticale. Partie 3. L organisation du travail La division horizontale

Plus en détail

FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUES, COMMERCIALES ET DE GESTION DEPARTEMENT DES SCIENCES ECONOMIQUES

FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUES, COMMERCIALES ET DE GESTION DEPARTEMENT DES SCIENCES ECONOMIQUES REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE Mouloud MAMMERI DE TIZI-OUZOU FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUES, COMMERCIALES

Plus en détail

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES DANS LES SECTIONS DE TECHNCIEN SUPERIEUR : RELEVANT DU SECTEUR TERTIAIRE

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES DANS LES SECTIONS DE TECHNCIEN SUPERIEUR : RELEVANT DU SECTEUR TERTIAIRE Direction générale de l enseignement supérieur PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES DANS LES SECTIONS DE TECHNCIEN SUPERIEUR : RELEVANT DU SECTEUR TERTIAIRE «assistant de gestion PME-PMI». «assistant

Plus en détail

Management et gestion des unités commerciales

Management et gestion des unités commerciales L I V R E D U P R O F E S S E U R Management et gestion des unités commerciales Sous la coordination de Jean-François DHÉNIN Avec les contributions de Philippe BERRY Éric BOULANGER Jean-François DHÉNIN

Plus en détail

STRATEGIE LEAN. Partie 6 : Initiation à une stratégie complétaire au supply chain management

STRATEGIE LEAN. Partie 6 : Initiation à une stratégie complétaire au supply chain management STRATEGIE LEAN Partie 6 : Initiation à une stratégie complétaire au supply chain management Concept 2 Idée simple : retranscrire partout les contraintes liées à la satisfaction du client! Et ce à la plus

Plus en détail

UE 13 Contrôle de gestion. Responsables : Henri Bouquin, Professeur Stéphanie Thiéry-Dubuisson, Maître de Conférences

UE 13 Contrôle de gestion. Responsables : Henri Bouquin, Professeur Stéphanie Thiéry-Dubuisson, Maître de Conférences UE 13 Contrôle de gestion Responsables : Henri Bouquin, Professeur Stéphanie Thiéry-Dubuisson, Maître de Conférences www.crefige.dauphine.fr polycopié de TD Ouvrage de référence : Henri BOUQUIN, Comptabilité

Plus en détail

Le Leadership. Bass en 1996 : le leadership est un phénomène pas du tout stable. Il existe 3 grandes théories autour du leadership.

Le Leadership. Bass en 1996 : le leadership est un phénomène pas du tout stable. Il existe 3 grandes théories autour du leadership. Le Leadership Un problème récurrent dit que l on a pas encore fait le tour de ce thème. Toulouse en 1986 a repereé 5000 publication sur le leadership. Les ecrits porte sur le pouvoir, l influence, la persuasion,

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013 La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés aux différents stades d élaboration et de contrôle des sujets. Pour autant, ce document

Plus en détail

Le marché du conseil : tendances et [facteurs déterminants

Le marché du conseil : tendances et [facteurs déterminants [ Le marché du conseil : tendances et [facteurs déterminants U N E É T U D E E N F R A N C E E T D A N S L E M O N D E U N E É T U D E E N F R A N C E E T D A N S L E M O N D E sommaire Page 2 3 3 3 4

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1 Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une

Plus en détail

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le

Plus en détail

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont

Plus en détail

Gestion médicalem. Novembre Décembre 2006. L. Conrad Pelletier MD, MBA 1. L. Conrad Pelletier MD, MBA

Gestion médicalem. Novembre Décembre 2006. L. Conrad Pelletier MD, MBA 1. L. Conrad Pelletier MD, MBA Gestion médicalem Habiletés à développer 2è journée e de formation pour médecins m gestionnaires L. Conrad Pelletier MD, MBA Novembre Décembre 2006 L. Conrad Pelletier MD, MBA 1 Plan de présentation 1.

Plus en détail

L'INGENIERIE DE LA FORMATION, ENJEUX ET DEMARCHES

L'INGENIERIE DE LA FORMATION, ENJEUX ET DEMARCHES L'INGENIERIE DE LA FORMATION, ENJEUX ET DEMARCHES «Il n existe pas de tâches humbles dans une entreprise car toutes concourent à sa réussite» F. Mantione Liminaire : Cette présentation à caractère introductif

Plus en détail

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS Cycle terminal de la série sciences et technologies du management et de la gestion I. INDICATIONS GÉNÉRALES L enseignement de management des organisations vise

Plus en détail

REPÈRES POUR UNE HISTOIRE DE L ERGONOMIE FRANCOPHONE

REPÈRES POUR UNE HISTOIRE DE L ERGONOMIE FRANCOPHONE Comptes rendus du congrès SELF-ACE 200 Les transformations du travail, enjeux pour l ergonomie Proceedings of the SELF-ACE 200 Conference Ergonomics for changing work REPÈRES POUR UNE HISTOIRE DE L ERGONOMIE

Plus en détail

LE CONTROLE DE GESTION CONTRIBUE-T-IL A AMELIORER LE MANAGEMENT DE L ENTREPRISE?

LE CONTROLE DE GESTION CONTRIBUE-T-IL A AMELIORER LE MANAGEMENT DE L ENTREPRISE? Sara Jouven A l attention de : Amélie Goncalves Monsieur Berland Xavier Capronnier LE CONTROLE DE GESTION CONTRIBUE-T-IL A AMELIORER LE MANAGEMENT DE L ENTREPRISE? DESS Contrôle de Gestion Sociale Année

Plus en détail

Chapitre 5 L'Ecole des Relations Humaines. 1 L'expérience de la Western Electric à Hawthorne

Chapitre 5 L'Ecole des Relations Humaines. 1 L'expérience de la Western Electric à Hawthorne Théories des Organisations IAE Université de La Réunion- - 51 Chapitre 5 L'Ecole des Relations Humaines Résumé : L'Ecole des Relations Humaines rassemble divers spécialistes des sciences humaines qui appliquent

Plus en détail

FONCTIONNEMENT DE GROUPE ET D'EQUIPE AU TRAVAIL

FONCTIONNEMENT DE GROUPE ET D'EQUIPE AU TRAVAIL FONCTIONNEMENT DE GROUPE ET D'EQUIPE AU TRAVAIL Intro... 1 I. Caractéristiques des différents types de groupe... 1 A. Définitions... 1 B. Définition selon Anzieu et Martin... 2 C. Définition de Fisher...

Plus en détail

Cohésion d Equipe - Team Building

Cohésion d Equipe - Team Building Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.

Plus en détail

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.

Plus en détail

Management par les processus Introduction et définitions. Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE

Management par les processus Introduction et définitions. Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE Management par les processus Introduction et définitions Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE 1 Le fonctionnement du cours Cours ou TD tous les vendredi après-midi Pause de 10 mn Téléphone éteint La presentation

Plus en détail

INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION

INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION Résumé CHRISTELLE CASSE Abilis ergonomie, 40 rue de la montagne Ste Geneviève, 75 005 Paris, France e-mail : ccasse@ergonome.com SYLVAIN BIQUAND,

Plus en détail

Gé nié Logiciél Livré Blanc

Gé nié Logiciél Livré Blanc Gé nié Logiciél Livré Blanc Version 0.2 26 Octobre 2011 Xavier Blanc Xavier.Blanc@labri.fr Partie I : Les Bases Sans donner des définitions trop rigoureuses, il faut bien commencer ce livre par énoncer

Plus en détail

Equal Valid est un projet mené en partenariat par Bruxelles Formation, le Forem, Cf2000 et les AID

Equal Valid est un projet mené en partenariat par Bruxelles Formation, le Forem, Cf2000 et les AID Equal Valid est un projet mené en partenariat par Bruxelles Formation, le Forem, Cf2000 et les AID GLOSSAIRE EQUAL VALID Avec le soutien du Fonds social européen C OMPETENCE ET CONCEPT S ASSOCIES CONSORTIUM

Plus en détail

Le concept de leadership

Le concept de leadership Le concept de leadership Qu est ce qu un leadership? Le leadership d'un individu est, au sein d'un groupe ou d'une collectivité, la relation de confiance qui s'établit entre lui et la majorité des membres

Plus en détail

QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION

QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION La Constitution est un ensemble de textes juridiques qui définit les différentes institutions composant l État et qui organise leurs relations. Elle peut comporter également

Plus en détail

3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE)

3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE) 3 3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE) Pour l élaboration du présent rapport, le Président a consulté le Vice-Président Exécutif, Directeur Financier

Plus en détail

Lean approach on production lines Oct 9, 2014

Lean approach on production lines Oct 9, 2014 Oct 9, 2014 Dassault Mérignac 1 Emmanuel Théret Since sept. 2013 : Falcon 5X FAL production engineer 2011-2013 : chief project of 1st lean integration in Merignac plant 2010 : Falcon 7X FAL production

Plus en détail

LA GESTION DU PERSONNEL OU DES RESSOURCES HUMAINES (extrait du cours HOSP 3510 - Prof. M. Hees - UCL)

LA GESTION DU PERSONNEL OU DES RESSOURCES HUMAINES (extrait du cours HOSP 3510 - Prof. M. Hees - UCL) LA GESTION DU PERSONNEL OU DES RESSOURCES HUMAINES (extrait du cours HOSP 3510 - Prof. M. Hees - UCL) Introduction La GRH : des méthodes au contexte Les méthodes de la GRH : un compromis entre acteurs

Plus en détail

L Entreprise Mobile Charles-Henri Besseyre des Horts

L Entreprise Mobile Charles-Henri Besseyre des Horts L Entreprise Mobile Charles-Henri Besseyre des Horts Professeur Titulaire de la Chaire «Mobilité & Organisation» HEC-Toshiba Directeur Scientifique du MS HEC part-time «Management Stratégique RH» 1 Plan

Plus en détail

La logistique. Contenu

La logistique. Contenu La logistique La logistique est définie comme la planification, l'organisation, le contrôle et la gestion du matériel et des flux de produits et des services avec le flux d'informations associées. La logistique

Plus en détail

Master Administration des Entreprises. Gestion des organisations

Master Administration des Entreprises. Gestion des organisations IAE de Poitiers Institut d Administration des Entreprises de Poitiers Université Senghor Alexandrie (Egypte) Master en Administration des Entreprises Gestion des organisations Ouvrage de référence proposé

Plus en détail

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Source : "Comptable 2000 : Les textes de base du droit comptable", Les Éditions Raouf Yaïch. Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Le nouveau système comptable consacre d'importants

Plus en détail

FRANCHISE, COOPÉRATION ET ORGANISATION EN RÉSEAU

FRANCHISE, COOPÉRATION ET ORGANISATION EN RÉSEAU FRANCHISE, COOPÉRATION ET ORGANISATION EN RÉSEAU 1. LE RÉSEAU COMME FORME D ORGANISATION L objet de cet articles est de comprendre, à l aide de concepts théoriques simples, pourquoi la forme organisationnelle

Plus en détail

European Assistant Assistant de Manager

European Assistant Assistant de Manager European Assistant Assistant de Manager REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES Ce projet a été financé avec le soutien de la Commission européenne. Cette publication n'engage que son auteur et la Commission

Plus en détail

CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES. Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes

CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES. Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes L exemple du Comité de Bâle Julien Benomar Culture d entreprise et

Plus en détail

CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES.

CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES. CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES. I. L organisation en réseau. A. Définition. Un réseau est un ensemble organisé d unités commerciales (UC) liées par des intérêts

Plus en détail

La délégation de pouvoirs

La délégation de pouvoirs La délégation de pouvoirs, est un acte juridique par lequel une personne/autorité (le délégant) se dessaisit d'une fraction des pouvoirs qui lui sont conférés et les transfère à une personne/autorité subordonnée

Plus en détail

L entraînement à la synergie d équipe «CrewResource Management» Cyrille Colin Pauline Occelli

L entraînement à la synergie d équipe «CrewResource Management» Cyrille Colin Pauline Occelli L entraînement à la synergie d équipe «CrewResource Management» Cyrille Colin Pauline Occelli Du CRM au CRM Aviation: 70 % des accidents proviennent d erreurs humaines Cockpit Crew Company Resource Management

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

1 Chapitre Chapitre. Le coaching QU EST-CE QUE C EST?

1 Chapitre Chapitre. Le coaching QU EST-CE QUE C EST? 1 Chapitre Chapitre Le coaching «Ils jouent un jeu. Ils jouent à ne pas jouer un jeu. Si je leur montre que je le vois, je briserai les règles et ils me puniront. Je dois jouer leur jeu, qui consiste à

Plus en détail

Agir en situation complexe - Note de synthèse 2 - Le management des organisations

Agir en situation complexe - Note de synthèse 2 - Le management des organisations Agir en situation complexe - Note de synthèse 2 - Agir en situation complexe - Formation APP - INAS/UMH/ESEN Le management des organisations Au sommaire A. Les organisations 1. Mais qu est-ce qu une organisation?

Plus en détail

Les 5 étapes du management des. risques routiers. pour les entreprises et les collectivités

Les 5 étapes du management des. risques routiers. pour les entreprises et les collectivités Les 5 étapes du management des risques routiers pour les entreprises et les collectivités Qu'est-ce que le C.P.A.T.S.? Le C.P.A.T.S., Centre de Psychologie Appliquée aux Transports et à leur Sécurité,

Plus en détail

«LES PRINCIPES ET OUTILS ESSENTIELS DU CONTRÔLE DE GESTION»

«LES PRINCIPES ET OUTILS ESSENTIELS DU CONTRÔLE DE GESTION» Pour une performance durable et solidaire «LES PRINCIPES ET OUTILS ESSENTIELS DU CONTRÔLE DE GESTION» Audit et contrôle de gestion, quelle complémentarité? Port Leucate Les 12-13-14 septembre 2012 1 Pour

Plus en détail

INTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE

INTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE INTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE BUSINESS INTELLIGENCE : GOALS AND RESULTS OF A PILOT EXPERIMENT INVOLVING SEVEN SMEs FROM BOURGOGNE Ludovic DENOYELLE,

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

Les démarches qualités

Les démarches qualités Les démarches qualités Sommaire : Introduction... 2 Un levier d'innovation organisationnelle et sociale... 3 Les enjeux... 5 1.1 Le marché... 5 1.2 L innovation incrémentale (amélioration continue) ou

Plus en détail

Etude Benchmarking 2010 sur les formations existantes apparentées au métier de Business Developer en Innovation

Etude Benchmarking 2010 sur les formations existantes apparentées au métier de Business Developer en Innovation Un programme animé par Systematic et copiloté par Systematic, Opticsvalley et le réseau des Chambres de Commerce et d Industrie Paris-Ile-de-France Etude Benchmarking 2010 sur les formations existantes

Plus en détail

Contradicting Beliefs and Communication. J.-M. Tallon, J.-C. Vergnaud, & S. Zamir CNRS-EUREQua

Contradicting Beliefs and Communication. J.-M. Tallon, J.-C. Vergnaud, & S. Zamir CNRS-EUREQua Contradicting Beliefs and Communication J.-M. Tallon, J.-C. Vergnaud, & S. Zamir CNRS-EUREQua Introduction Papier propose : Considère structure de Kripke (KD45 au lieu de S5) Processus de communication

Plus en détail

SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE : LE CONCEPT DE POUVOIR DANS LES ORGANISATIONS

SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE : LE CONCEPT DE POUVOIR DANS LES ORGANISATIONS CATHERINE DESSINGES SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE : LE CONCEPT DE POUVOIR DANS LES ORGANISATIONS Mrs Van Cuyck et Metzger D. E. A de sciences de l information et de la communication option 2 SOMMAIRE INTRODUCTION

Plus en détail

Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen)

Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen) 20 ème Congrès du CIRIEC International Buenos Aires, octobre 2014 Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen) 1 Hétérodoxie versus

Plus en détail

Workshop Gestion de projet- IHEID- MIA- Décembre 2008 Cas Colombie Cucuta

Workshop Gestion de projet- IHEID- MIA- Décembre 2008 Cas Colombie Cucuta PROJET FORMATION DE LEADERS POUR LA DEMOCRATISATION ET LE DEVELOPPEMENT LOCAL DANS LA MUNICIPALITE DE SAN JOSE DE CUCUTA COLOMBIE. 1. CADRE D'INSERTION DU PROJET Les conditions de vie de la population,

Plus en détail

Livre Blanc Oracle Novembre 2010. Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie

Livre Blanc Oracle Novembre 2010. Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie Livre Blanc Oracle Novembre 2010 Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie Présentation générale Les entreprises industrielles sont confrontées à un environnement

Plus en détail

1 INFORMATION - INFORMATIQUE. 11 Systèmes d'information gestion des connaissances, knowledge management

1 INFORMATION - INFORMATIQUE. 11 Systèmes d'information gestion des connaissances, knowledge management p.1 1 INFORMATION - INFORMATIQUE 10 Sciences cognitives aspects fondamentaux 11 Systèmes d'information gestion des connaissances, knowledge management 110 Intelligence économique veille économique, stratégique,

Plus en détail

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1 LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre

Plus en détail

Instaurer un dialogue entre chercheurs et CÉR: pourquoi? Me Emmanuelle Lévesque Centre de génomique et politiques Université McGill

Instaurer un dialogue entre chercheurs et CÉR: pourquoi? Me Emmanuelle Lévesque Centre de génomique et politiques Université McGill Instaurer un dialogue entre chercheurs et CÉR: pourquoi? Me Emmanuelle Lévesque Centre de génomique et politiques Université McGill Perceptions de perte de confiance dans la littérature récente: des exemples

Plus en détail

360 feedback «Benchmarks»

360 feedback «Benchmarks» 360 feedback «Benchmarks» La garantie d un coaching ciblé Pour préparer votre encadrement aux nouveaux rôles attendus des managers, Safran & Co vous propose un processus modulable, adapté aux réalités

Plus en détail

GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE

GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE La logistique représentait traditionnellement l activité allant de la mise à disposition des produits finis par l usine ou le négociant jusqu à la

Plus en détail

INTRODUCTION A L ANALYSE ORGANISATIONNELLE

INTRODUCTION A L ANALYSE ORGANISATIONNELLE INTRODUCTION A L ANALYSE ORGANISATIONNELLE Objectifs du module : Identifier et analyser les différentes configurations de l entreprise. Mettre en évidence le lien entre structure organisationnelle et formation.

Plus en détail

Urbanisation de système d'information. PLM 6 (Product Lifecycle Management) Collaboration et partage d'informations

Urbanisation de système d'information. PLM 6 (Product Lifecycle Management) Collaboration et partage d'informations Urbanisation de système d'information PLM 6 (Product Lifecycle Management) Collaboration et partage d'informations Gestion de données techniques et Gestion électronique de documents Diversité des modalités

Plus en détail

Economie de l Incertain et des Incitations

Economie de l Incertain et des Incitations Economie de l Incertain et des Incitations CHAPITRE 2 Eléments de théorie des jeux en information symétrique et asymétrique Equilibres Bayesiens - Université de Tours - M1 AGE - Arnold Chassagnon - Automne

Plus en détail

Intérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe.

Intérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe. Cours 12 Le pouvoir au sein d une organisation Les liens entre pouvoir, autorité et obéissance Le leadership et les traits personnels Les théories du leadership situationnel Pouvoir Capacité d un individu

Plus en détail

A-t-on le temps de faire les choses?

A-t-on le temps de faire les choses? A-t-on le temps de faire les choses? A-t-on le temps de faire les choses? Un parcours de 25 ans dans le domaine des Systèmes d'information de 6 grandes entreprises Consultante depuis 19 ans Mission / contrats

Plus en détail

Gestion des utilisateurs et Entreprise Etendue

Gestion des utilisateurs et Entreprise Etendue Gestion des utilisateurs et Entreprise Etendue Laurent Ruyssen 6 rue Beaubourg - 75004 PARIS T 1 44 59 93 00 F 1 44 59 93 09 yphise@yphise.com - http://yphise.fr GUEE0009-1 Agenda Entreprise Etendue Mission

Plus en détail

LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION

LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION Un texte d accompagnement au séminaire de la FORRES 2006 Guy Pelletier, Professeur Université de Sherbrooke Il n y a pas d ascension dans l exercice

Plus en détail

FICHE DE FONCTION - 04

FICHE DE FONCTION - 04 FICHE DE FONCTION - 04 ANIMATEUR/EDUCATEUR de classe 1 INTITULE DE LA FONCTION : animateur/éducateur RELATIONS HIERARCHIQUES L animateur/éducateur de classe 1 exerce ses fonctions sous la responsabilité

Plus en détail

ACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING

ACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION ACTIVITES

Plus en détail

Table des matières. Comment utiliser efficacement cet ouvrage pour en obtenir les meilleurs résultats?... 5

Table des matières. Comment utiliser efficacement cet ouvrage pour en obtenir les meilleurs résultats?... 5 Table des matières Sommaire.................................................................. v Avant-propos et remerciements............................................. 1 Note du traducteur.....................................................

Plus en détail

Almanach numérique INTRANET. Pierre-Jean Benghozi, Novembre 2002

Almanach numérique INTRANET. Pierre-Jean Benghozi, Novembre 2002 Almanach numérique INTRANET Pierre-Jean Benghozi, Novembre 2002 Les intranets sont à la mode. Ils apparaissent en effet souples d usage et particulièrement adaptés à la grande variété des formes d organisations

Plus en détail

Séminaires Système D Information. Formation Conduite du Changement. Préambule

Séminaires Système D Information. Formation Conduite du Changement. Préambule Séminaires Système D Information Formation Conduite du Changement Préambule Sommaire Préambule L entreprise : système complexe en mouvement permanent Mickael Porter Harvard Business School - L avantage

Plus en détail

Relever le challenge de la transformation numérique dans un contexte international

Relever le challenge de la transformation numérique dans un contexte international Relever le challenge de la transformation numérique dans un contexte international Dominique Gire Directeur Associé Novulys Didier Fleury Directeur Associé Novulys dominique.gire@novulys.fr didier.fleury@novulys.fr

Plus en détail

Stratégie IT : au cœur des enjeux de l entreprise

Stratégie IT : au cœur des enjeux de l entreprise Stratégie IT : au cœur des enjeux de l entreprise Business Continuity Convention Tunis 27 Novembre 2012 Sommaire Sections 1 Ernst & Young : Qui sommes-nous? 2 Stratégie IT : au cœur des enjeux de l entreprise

Plus en détail

DOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE

DOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE DOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE Critères valables pour toute affectation en tant que Volontaire des Nations Unies, pas uniquement pour les affectations en réponse à la crise du virus Ebola. Les exigences

Plus en détail

HUAWEI TECHNOLOGIES CO., LTD. channelroad. A better way. Together.

HUAWEI TECHNOLOGIES CO., LTD. channelroad. A better way. Together. HUAWEI TECHNOLOGIES CO., LTD. channelroad A better way. Together. Partenaires sur la nouvelle Route de la soie Progresser le long d une nouvelle Route de la soie et être partenaire de Huawei présentent

Plus en détail

Jean-Claude Kaufmann "L'invention de soi - Une théorie de l'identité"

Jean-Claude Kaufmann L'invention de soi - Une théorie de l'identité Séminaire de sociologie des migrations et des relations interethniques. Jean-Claude Kaufmann "L'invention de soi - Une théorie de l'identité" Introduction Le collectif comme ressource L'identité fournit

Plus en détail

Introduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?

Introduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants? Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration

Plus en détail

OpenERP, un progiciel de gestion intégré pour entreprise, distribué sous licence libre (GPL), qui répond de manière efficace à la complexité et aux

OpenERP, un progiciel de gestion intégré pour entreprise, distribué sous licence libre (GPL), qui répond de manière efficace à la complexité et aux OpenERP, un progiciel gestion intégré pour entreprise, distribué sous licence libre (GPL), qui répond manière efficace à la complexité aux besoins croissants s entreprises. Point clés Pourquoi choisir

Plus en détail

Maîtriser les mutations

Maîtriser les mutations Maîtriser les mutations Avec UNE Supply chain AGILE La réflexion porte ses fruits www.cereza.fr TALAN Group Notre savoir-faire : maîtriser les mutations et en faire une force pour l entreprise Cereza,

Plus en détail

Introduction. 1. une pratique de déclinaison de la stratégie et du management

Introduction. 1. une pratique de déclinaison de la stratégie et du management Introduction L a succession des crises économiques et financières, la possible crise écologique et climatique, ou encore les crises sociales (augmentation de la pauvreté, vieillissement de la population)

Plus en détail

Formacode 11.0 Thésaurus de l offre de formation

Formacode 11.0 Thésaurus de l offre de formation Thésaurus de l offre de formation Champs sémantiques Listes annexes Des types de certifications/diplômes/titres Des pays Des logiciels Des s Des mots-outils Correspondances Formacode Formacode Présentation

Plus en détail

IBM Workplace : Live!

IBM Workplace : Live! IBM Workplace : Live! Portail et Gestion de Contenu Logiciels présentés: - WebSphere Portal v5.1 - IBM Workplace Web Content Management v5.1 Benjamin Bollaert Agenda Le portail par l exemple : l Intranet

Plus en détail

REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES

REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES UNITES ET VARIABLES A REPERTORIER SEMINAIRE DU CEFIL SUR L AVANCEMENT DES TRAVAUX CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL

Plus en détail

GESTION PREVISIONNELLE DES EMPLOIS ET GESTION DES CARRIERES

GESTION PREVISIONNELLE DES EMPLOIS ET GESTION DES CARRIERES GESTION PREVISIONNELLE DES EMPLOIS ET GESTION DES CARRIERES CHEN Fang MSG2 FILLEY Thomas TD 4201 1 INTRODUCTION Le présent et le futur de l'organisation et de ses hommes constituent sans aucun doute les

Plus en détail

Plan. Introduction. Partie - 1 - les différents styles de management

Plan. Introduction. Partie - 1 - les différents styles de management Plan Introduction Partie - 1 - les différents styles de management I- KURT LEWIN : Dynamique du groupe et styles de Commandement II- RENSIS LIKERT : Les quatre systèmes de management III- Douglas MC Gregor:

Plus en détail

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE Un problème de recherche est l écart qui existe entre ce que nous savons et ce que nous voudrions savoir à propos d un phénomène donné. Tout problème de recherche

Plus en détail

Optimisez la gestion de vos projets IT avec PPM dans le cadre d une réorganisation. SAP Forum, May 29, 2013

Optimisez la gestion de vos projets IT avec PPM dans le cadre d une réorganisation. SAP Forum, May 29, 2013 Optimisez la gestion de vos projets IT avec PPM dans le cadre d une réorganisation SAP Forum, May 29, 2013 Optimisez la gestion de vos projets IT avec PPM dans le cadre d une réorganisation Frédérique

Plus en détail

SOCIETE FRANCAISE EXXONMOBIL CHEMICAL S.C.A. Rapport du Président du Conseil de Surveillance

SOCIETE FRANCAISE EXXONMOBIL CHEMICAL S.C.A. Rapport du Président du Conseil de Surveillance SOCIETE FRANCAISE EXXONMOBIL CHEMICAL S.C.A. Rapport du Président du Conseil de Surveillance Procédures de contrôle interne relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière

Plus en détail