GUIDE PRATIQUE. Les séniors, une opportunité pour votre entreprise. LES + DE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "GUIDE PRATIQUE. Les séniors, une opportunité pour votre entreprise. LES + DE"

Transcription

1 GUIDE PRATIQUE Vous ne pensez pas être concernés par la gestion des âges? Dans le contexte économique actuel, vos priorités se situent ailleurs. Pourtant, l expérience, les compétences et les savoir-faire des séniors peuvent représenter des atouts pour le développement et la compétitivité de votre entreprise. plus d un ou deux paragraphes. LES + DE 50 ANS LE FUTUR DE VOTRE ENTREPRISE Les séniors, une opportunité pour votre entreprise. Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises Les Maurigoux Bergerac

2 SOMMAIRE Les séniors, une opportunité pour votre entreprise. Une problématique préoccupante pour l entreprise. Page 3 Pourquoi êtes-vous concernés? Page 4 Les dispositifs favorisant l emploi des séniors. Page 5 Elaborer une gestion des séniors. Page 6 2

3 UNE PROBLEMATIQUE PREOCCUPANTE POUR L ENTREPRISE Le vieillissement de la population active va donc in luencer l environnement des entreprises aussi bien concernant leur performance globale que le cou t du travail. Il faut par conséquent réussir à optimiser leur présence dans l entreprise en les intégrant aux mieux dans les projets et objectifs de celle-ci. 3

4 POURQUOI E TES VOUS CONCERNES? Parce que vous avez peut-être une demande de la part de vos clients. 4

5 Les dispositifs favorisant l emploi des se niors A quel a ge est-on conside re comme se nior? 50 ans pour l'embauche. 55 ans et plus pour le maintien en poste. 45 ans, pour penser la deuxie me partie de carrie re. Pour vous accompagner dans vos démarches, la CGPME peut vous aider : - à élaborer un diagnostic et/ou un plan d action. - à mieux connaître les dispositifs incitatifs. CONTACTEZ-NOUS Une demande, une question, n'hésitez pas! Tél :

6 ETAPE 1 : Faire le bilan de votre situation Les questions suivantes doivent vous aider a faire le point sur vos pratiques en termes de gestion des ressources humaines ou de de buter une simple approche du sujet. Elles vous permettront de de inir les actions vers lesquelles vous devrez vous engager. Quelle est la taille de votre entreprise? 1 a 9 salarie s 10 a 49 salarie s 50 salarie s et plus Des ré lexions ont-elles été engagées sur la question du vieillissement? Oui Non Vous e tes une entreprise de moins de 10 salarie s : Vous devez inte grer vos salarie s a la re lexion sur la gestion des a ges. L e tape 1 vous aidera a entamer une discussion. Reportez-vous ensuite a l e tape 2 et 3. Vous e tes une entreprise de 10 a 49 salarie s : Si vous avez des repre sentants du personnel. N oubliez pas de les inte grer a votre de marche. L e tape 1 vous aidera a mener une discussion. Reportez-vous ensuite a l e tape 2 et 3. Vous e tes une entreprise de plus de 50 salarie s : Vous devez mobiliser la direction, les instances repre sentatives du personnel, et les salarie s. Toutes les e tapes vous concernent. N he sitez pas a nous contacter si vous avez besoin d aide I. L entreprise Situation économique et stratégique SITUATION ACTUELLE PERSPECTIVES D AVENIR Quelle est votre situation concernant le contexte économique et votre secteur d activité? Quel est votre positionnement sur le marché? Quelles sont les principales évolutions auxquelles vous faites et allez devoir faire face? Forces: Faiblesses: Technologique Du marche Nouveaux produits Restructurations De veloppement Re organisation des activite s Forces: Faiblesses: Technologique Du marche Nouveaux produits Restructurations De veloppement Réorganisation des activités 6

7 II. Les séniors Situation des Ressources Humaines SITUATION ACTUELLE PERSPECTIVE D AVENIR Quelles sont ou seront les conséquences sur les emplois et le travail? Quels vont être les impacts sur les salariés âgés? Quelles sont/seront les évolutions nécessaires des compétences de vos salariés au regard des variations de votre stratégie, de votre activité? Evolutions des me tiers et des compe tences Re duction des effectifs Augmentation des effectifs Evolutions des me tiers et des compe tences Re duction des effectifs Augmentation des effectifs Quelle est votre situation démographique au regard de la population des seniors? / Quels sont les âges de vos salariés? Effectif au - de 45 ans 45 à 55 ans 55 ans et plus TOTAL.. /.. /.. Hommes Femmes TOTAL Quelle est la proportion des séniors par rapport à l esemble?... Où se trouvent les seniors? Dans quel métier, dans quel service ou atelier? Dans quel secteur? Pour vous aider, remplissez le tableau de la page suivante. 7

8 - de 45 ans 45 à 55 ans 55 ans et plus TOTAL Administration Comptabilité/ Finances Technique Commercial Etc. TOTAL Pourquoi avez-vous une telle proportion de séniors dans ce métier ou dans ce service?. D une façon générale considérez-vous que votre entreprise va être confrontée à un vieillissement des salariés dans les années à venir? Oui Non Quels avantages ou inconvénients cette perspective représente-t-elle? Avantages : Inconve nients : Constatez-vous des différences de performances entre salariés vieillissants et salariés jeunes? Oui Non Postes concernés Nature des performances Jeunes plus performants Vieillissants plus performants 8

9 Quelle analyse faites-vous des différences si elles existent? Santé Etes- vous confrontés à des accidents du travail? Quotidiennement Souvent Rarement Jamais Des maladies professionnelles? Quotidiennement Souvent Rarement Jamais Des salariés absents? Quotidiennement Souvent Rarement Jamais Quel est le nombre de cas d inaptitudes que vous avez pu constater? Des plaintes en termes d usure, de lassitude sont-elles présentes et recueillies, par l encadrement, le médecin du travail, ou autres? Oui Non Nombre de licenciement pour inaptitude - 55 ans + 55 ans TOTAL TOTAL Compétences L ancienneté au poste est-elle importante? Oui Non Quels types de postes ou fonctions occupent les seniors? Me tiers en de clin. Me tiers en transformation. Me tiers en e volution. Quelles compétences sont détenues par les seniors? Compe tences cle s. Compe tences en de clin. Compe tences en e volution. Existe-t-il des compétences clés détenues par les + de 45 ans? Oui Non 9

10 Lesquelles? La formation concerne-t-elle tous les salariés, tous les métiers, et les seniors? SECTEURS SITUATION ACTUELLE PERSPECTIVES D AVENIR Production Maintenance Achat approvisionnement Management/ animation d e quipe Commercial Informatique Ressources Humaines R & D Accès à la formation à tous les salariés - 45 ans De 45 à 55 ans 55 ans et plus Population totale Hommes Femmes TOTAL Motivation L état d engagement des salariés est-il appréhendé? Par des entretiens avec l encadrement. Par des questionnaires. Autres. L état d engagement des seniors est-il une préoccupation? Oui Non Comment sont-ils perçus au sein de l entreprise? Pluto t bien. Pluto t mal. 10

11 AUTO - EVALUATION Vous avez besoin d agir pour ame liorer des situations qui rele vent de la sante. Fiche n 2 Fiche n 3 Fiche n 5 Vous avez besoin d agir pour ame liorer des situations qui rele vent des compe tences. Fiche n 1 Fiche n 2 Fiche n 4 Fiche n 6 Vous avez besoin de d ame liorer les motivations de vos salarie s. Fiche n 2 Fiche n 5 Fiche n 6 ETAPE 2 : Mobiliser les acteurs concerne s A ce stade, vos objectifs sont : - de sensibiliser les acteurs sur le sujet, - de partager les diffe rents points de vue, - et d envisager des actions a mener. Si vous avez de ja commence cette re lexion, c est l occasion de faire le bilan des actions re alise es, de poursuivre celles qui sont sources de satisfaction et d ame liorer celles qui ne re pondent pas a vos attentes. Dans les deux cas, vous devez donc faire le bilan de votre situation a in de de terminer vos points forts et ceux a ame liorer. 11

12 ETAPE 3 : ACTIONS A METTRE EN OEUVRE LE RECRUTEMENT Fiche 1 Vous n avez pas de se niors ou vous envisagez de recourir au recrutement pour combler un manque de personnel. Voici la de marche a suivre : Dé inir le besoin - Recenser vos besoins - Elaborer un pro il de poste qui de termine : les missions qui seront con ie es, les objectifs a atteindre, les moyens mis en œuvre, l identi ication du poste. Soit vous allez recruter en interne ou re organiser le travail entre les collaborateurs de tenant les compe tences souhaite es, soit vous allez faire appel a quelqu un de l exte rieure. - Si le recrutement est inalement envisage, de inissez les conditions de celui-ci : vous pouvez solliciter la CGPME pour vous informer sur les aides au recrutement, pour choisir le contrat de travail (CDD ou CDI, temps plein ou temps partiel etc.) Rédiger et diffuser l offre d emploi - L annonce et la pre se lection des CV Votre annonce doit e tre la plus pre cise possible. Vous pourrez travailler avec : L ANPE et l APEC, la presse ge ne raliste, les revues spe cialise es, Les agences d inte rim, les sites Internet spe cialise s, les cabinets de recrutement. Faites appel a la CGPME qui, gra ce a ses partenariats (AGEFOS PME, AGEFIPH, Conseils Ge ne raux, ), peut faciliter la transmission de votre offre aupre s d acteurs spe cialise s. - Tri et se lection des CV reçus Préparation de l entretien - De terminer qui me nera l entretien et pre ciser e galement qui prendra la de cision inale ainsi que les de lais. Pre voyez au minimum une heure pour l entretien. Le pro il de poste et la de inition de fonction vous serviront de guide. 12

13 L entretien de recrutement - Accueil du candidat - Parcours et pro il du candidat - L entreprise et le poste a pourvoir - Conclusion Respecter les obligations liées à l embauche Le recrutement d un salarie entraı ne pour l employeur certaines formalite s et obligations. - Formalite s obligatoires Les formalite s obligatoires doivent e tre effectue es sur un support unique : la de claration unique d embauche (DUE) sauf si vous utilisez les dispositifs simpli iant les formalite s d embauche des petites entreprises. Elle doit e tre remplie par l employeur et adresse e dans les 8 jours pre ce dents l embauche, a l URSSAF ou a la Mutualite Sociale Agricole dont rele ve l entreprise. - Autres formalite s a effectuer S immatriculer aupre s d une caisse de retraite comple mentaire. Informer l inspection du travail. Etablir un contrat de travail ou une lettre d embauche. Inscrire le salarie dans un registre unique du personnel. Accueil et accompagnement à la prise de poste EN PRATIQUE : Anticiper le renouvellement des effectifs. Vous devez penser les mouvements qui vont affecter les effectifs. En re alite, les personnes a ge es ne sont jamais remplace es par des «jeunes» ; dans la majorite des cas, les de parts des salarie s plus a ge s provoquent une vague de mobilite qui affecte l ensemble des effectifs. 13

14 Fiche 2 L ANTICIPATION DE L E VOLUTION DES CARRIE RES PROFESSIONNELLES Vous devez faire le point des parcours professionnels dans l entreprise. - Entretien de deuxième partie de carrière : re aliser a l a ge de 45 ans, il vous permet de faire le point avec votre salarie (ses compe tences, ses besoins en formation, ses e volutions) - Le bilan de compétences : des actions de bilan et d orientation peuvent e tre inance s par l interme diaire de l employeur (qui contacte son OPCA) ou par une de marche du salarie. EN PRATIQUE : Entretien de seconde partie de carrière Objectif : 1h pour faire le point sur les parcours professionnels et l expe rience des salarie s, e tudier les possibilite s de mobilite et d ame lioration des conditions de travail, e ventuellement, envisager les conditions de passage a la retraite. Me thode : - Communication aux salarie s - Formation des encadrants, pour garantir une conduite d entretien en con iance, menant a des de cisions concerte es pour faciliter la mise en place de plans d action. - Compte rendus au salarie et suivi des de cisions Bilan de mi- carrière Objectif : remotiver le salarie en le responsabilisant sur son avenir professionnel et en lui ouvrant le champ des possibles. Me thode : Parcours d accompagnement : lister les aspirations et contraintes personnelles et professionnelles, organiser une mise en mouvement aboutissant a un plan d action de re- motivation. 14

15 Fiche 3 L AME LIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL ET DE PRE VENTION DES SITUATIONS DE PE NIBILITE A in d ame liorer les conditions de travail et la pre vention des situations de pe nibilite, vous devez envisager une politique de maintien collectif et de pre vention en vous appuyant sur le diagnostic effectue pre ce demment et en re alisant e ventuellement un autre diagnostic plus pousse sur les proble mes de sante rencontre s. Plusieurs actions peuvent e tre entreprises : Renforcer l information du personnel - Participer a des formations de pre vention de se curite - Sensibiliser les salarie s a la pre vention des risques et s engager dans des de marches d autodiagnostic et d ame lioration des conditions de travail. Agir sur les situations de travail - Ame liorer les conditions physiques de travail : e viter de cre er des postes pour un salarie type et d un a ge donne, conception de poste «doux», organisation spatiale, etc. - Ame nager l organisation et la re partition du travail : composition d e quipes, polyvalence, rythme de travail etc. - Ame nager le temps de travail : organisation d horaires au regard de la population, temps partiel, te le travail. EN PRATIQUE : Mettre en place une politique de prévention des risques et d amélioration des conditions de travail : - Procéder à un diagnostic des postes de travail, - Organiser des actions de prévention auprès des salariés, - Travailler avec le Comité d Hygiène et de Sécurité des Conditions de Travail, - Effectuer une étude ergonomique, - Aménager les postes de travail en associant les salariés autant que possible, - Faire participer des ouvriers au choix de matériels. Aménagement du temps de travail : - identification des aspirations et des capacités. - définition des objectifs individuels. - mise en œuvre des contrats aménagés 15

16 Fiche 4 LE DE VELOPPEMENT DES COMPE TENCES ET DES QUALIFICATIONS ET L ACCE S A LA FORMATION Les compe tences sont un facteur cle du maintien dans l emploi puisqu on sait que les salarie s, reste s longtemps au me me poste, sans be ne icier de formations re gulie res, sont les plus dif iciles a re orienter en cas de fortes e volutions de me tiers ou de dif iculte s e conomiques. Identi ier les besoins en formation des seniors Pro iter des entretiens professionnels ou de seconde partie de carrie re pour de tailler les e volutions attendues et prendre en compte les enjeux pour les salarie s. Mieux utiliser les dispositifs existants - Acce s prioritaire a la pe riode de professionnalisation a partir de 45 ans, - Information sur l acce s a la VAE pour e tayer la seconde partie de carrie re, - Modalite s d application du CIF et DIF aux salarie s de 50 ans et plus. EN PRATIQUE : Favoriser des occasions régulières d apprentissage dans le travail Par exemple en proposant une certaine mobilite interne, ou en suscitant des situations «apprenantes» dans le travail quotidien : participation a un groupe de re solution de proble mes, a des groupes d e changes de pratiques, a une re lexion sur l installation d une nouvelle machine Rassurer sur la capacité à acquérir des compétences nouvelles Il arrive souvent que les salarie s a ge s aient e te moins forme s que les ge ne rations suivantes. Il faut tenir compte de cette spe ci icite en reconnaissant l expe rience et des compe tences d ores et de ja acquises, et par un temps de formation plus long. Identi ier les besoins de formation des seniors grâce aux entretiens annuels ou à de la Gestion Prévisionnelle des Emplois et Compétences. - Recueillir les souhaits d e volution. - Anticiper les de parts a la retraite. - Ge rer l e volution des me tiers et des compe tences. - De velopper les mobilite s internes. - Etablir ou mettre a jour les iches de poste. 16

17 Fiche 5 L AME NAGEMENT DES FINS DE CARRIE RE ET DE LA TRANSITION ENTRE ACTIVITE ET RETRAITE La in de carrie re ne reve t pas le me me sens pour les individus en fonction, de leur espe rance de vie, e tat de sante, situation personnelle ou de leur niveau de quali ication. Les actions a engager devront donc e tre adapte es. Apre s avoir fait l e tat des lieux, vous devez e tre en mesure d e voquer les proble mes rencontre s dans votre entreprise selon la possibilite de vieillir au travail, l e tat de sante des se niors, leurs compe tences et leur engagement. Vous allez pouvoir : - Examiner les possibilite s d ame nagement d horaire pour ceux qui le souhaitent. - Informer et recourir aux mesures permettant de conserver une activite a la retraite. - Ame nager les horaires de travail. - Proposer aux salarie s des missions ponctuelles. EN PRATIQUE : Entretenir la motivation - proposer des missions exceptionnelles, inscrites dans un projet, dans un temps donne, Informer et recourir aux mesures permettant de conserver une activité à la retraite - retraite progressive - la surcote - le cumul emploi retraite - proposer des mises a disposition dans d autres services ou d autres entreprises. Organiser un départ progressif - ame nager le rythme et la dure e de travail (ex : temps partiel, te le travail), - ame nager le poste pour alle ger la pe nibilite. 17

18 Fiche 6 LA TRANSMISSION DES SAVOIRS ET DES COMPE TENCES ET LE DE VELOPPEMENT DU TUTORAT Pour re ussir la transmission de savoirs, il ne suf it pas de mettre en contact un «se niors» et un «jeune». Avant de vous lancer dans la mise en place de tutorat (compagnonnage, travail en e quipe, formation continue, formalisation des savoir-faire et des modes ope ratoires, mobilite interne, visites d entreprises, salons, polyvalence, et autres) par exemple, vous devez : - Identi ier les compe tences a transmettre. - Mobiliser les tuteurs et apprenant en identi iant lors d un entretien les freins possibles ainsi que des solutions adapte es. - Travailler avec les transfe rants pour leur faire comprendre que transfe rer son expe rience, ce n est ni la perdre ni un moyen pour leur faire quitter l entreprise plus vite. EN PRATIQUE : Mettre un œuvre une démarche de tutorat Le tuteur est de signe par l employeur, sur la base du volontariat. Il doit : - pouvoir transmettre son savoir-faire et e valuer la progression de l apprenant. - lui consacrer un minimum de temps, le prendre en charge et le guider dans l entreprise a in qu il soit par la suite ope rationnel, - connaitre l entreprise et y e tre bien inte gre, - avoir un sens pe dagogique, ou une volonte de transmettre ses connaissances. Organiser la mission De inir l objectif et les crite res de re ussite. De inir les moyens ne cessaires au de roulement de la transmission (temps, ame nagement etc.). Préparer le tuteur à sa mission Aider le tuteur a organiser et plani ier son intervention. Reconnaitre et valoriser la fonction de tuteur Reconnaissance symbolique, par des diplo mes par exemple. Reconnaissance professionnelle. Reconnaissance salariale, primes ou majorations des heures consacre es au tutorat par 18

19 ETAPE 4 : REDIGER UN ACCORD OU UN PLAN D ACTION RAPPEL DES OBLIGATIONS LEGALES Entreprises ayant un effectif de 50 à 300 salariés : doivent e tre couvertes par un accord ou un plan d action relatif a l emploi des salarie s a ge s, sous peine d e tre soumises a une pe nalite, ixe e a 1% de leur masse salariale. (Art. L du Code de la Se curite Sociale) Les employeurs doivent choisir, objectifs chiffre s a l'appui, trois domaines d'action parmi six : le recrutement, la formation, l'ame nagement de in de carrie re, la transmission des savoirs, l'e volution des carrie res professionnelles ou les ame nagements de poste. Si vous e tes concerne s par l obligation d e laboration d un plan d action et que vous adhe rez a une branche professionnelle ou que vous appartenez a un groupe, renseignezvous aupre s de votre branche ou de votre groupe : Pour savoir si une ne gociation sur l emploi des seniors est en cours ou si un accord a de ja e te signe. Si un accord existe, pre voit il des modalite s d accompagnement ou des recommandations pour l e laboration de plan d action pour les entreprises du groupe ou couvertes par la branche. Si aucun accord n a e te signe, et si une ne gociation vient de de buter, compte tenu des de lais, vous avez inte re t a e laborer un plan d action a in de pouvoir vous exone rer de la pe nalite. 19

20 LE PLAN D ACTION Objectif : satisfaire les dispositions légales sur l emploi des séniors. N hésitez pas à nous contacter, si vous rencontrez des dif icultés pour dé inir vos objectifs. PREAMBULE Bien que confronte e a une situation e conomique dif icile, l entreprise.emploie aujourd hui.salarie s, dont. salarie (s) a ge s de plus de 45 ans. Convaincue de l inte re t que repre sente la pre sence de seniors dans ses e quipes, l entreprise de cide de mettre en place le pre sent plan d action en faveur de l emploi des seniors. Le plan d action a fait l objet d une consultation des de le gue s du personnel avant sa mise en œuvre. Il s inscrit dans le cadre des mesures pre vues par les dispositions le gales concernant l emploi des se niors issues de la loi n du 17 de cembre 2008 et de ses textes d application. Article 1 : Dé inition de vos collaborateurs séniors Le pre sent plan d action entend par SENIOR les collaborateurs en contrat (leur type de contrat de travail ou poste etc.) a ge s de (Quelle tranche d âge?) ans. Article 2 : Votre objectif chiffré de maintien dans l emploi ou de recrutement des séniors. «L objectif chiffre est qu au 31 de cembre 2012, la proportion des se niors dans l effectif total soit de». Pour le recrutement, il peut s agir d un nombre de personnes de plus de 50 ans (me me modeste), ou d un pourcentage. Quant au maintien, la de termination de l objectif chiffre est plus de licat, a titre d exemple on peut citer l accroissement de l a ge moyen de cessation d activite. Les modalite s des de parts des salarie s de plus de 55 ans, les modalite s de transition emploi retraite 20

21 Article 3 : Mesures en faveur du maintien ou du recrutement des séniors La Direction et les Repre sentants du Personnel s accordent sur le choix des trois domaines d action suivants : Le recrutement : La formation : L ame nagement de in de carrie re : La transmission des savoirs : L e volution des carrie res professionnelles : Les ame nagements de poste : Article 4 : Suivi de l accord Les indicateurs associe s a chaque domaine d action ainsi que leur e volution feront l objet d une communication chaque anne e aupre s des de le gue s du personnel dans le cadre du rapport annuel sur la situation e conomique et l e volution de l emploi pre vu a l article L du code du travail. Article 5 : Durée de l accord L accord est conclu pour une dure e de (3 ans maximum) ans. Avant cette date, les parties se re uniront a in de de terminer la conclusion d un nouvel accord. Article 6 : Publicité de l accord Le plan d action sera noti ie a l ensemble des organisations syndicales repre sentatives. Il sera de pose en deux exemplaires a la DDTEFFP et au Conseil des Prud hommes de. Fait en exemplaires a. Le.. /.. /.. Signatures des parties 21

un Plan d Action Séniors un accord ou d entreprise Construire TRANSPORT & LOGISTIQUE Avec la participation de

un Plan d Action Séniors un accord ou d entreprise Construire TRANSPORT & LOGISTIQUE Avec la participation de Construire un accord ou d entreprise un Plan d Action Séniors TRANSPORT & LOGISTIQUE Direction régionale du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle Avec la participation de La loi, les

Plus en détail

NOTICE D INFORMATION

NOTICE D INFORMATION 2015 NOTICE D INFORMATION Chirurgien dentiste Rachat d années d études supérieures et d années civiles validées Informations pratiques Depuis la loi Fillon du 21 aou t 2003, deux nouvelles possibilite

Plus en détail

Ucanss. Protocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières

Ucanss. Protocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières Ucanss Protocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières Potocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières

Plus en détail

PLAQ OUVRIERS modif tel17052011:layout 4 17/05/11 11:35 Page 1. www.fo-sante.com

PLAQ OUVRIERS modif tel17052011:layout 4 17/05/11 11:35 Page 1. www.fo-sante.com PLAQ OUVRIERS modif tel17052011:layout 4 17/05/11 11:35 Page 1 www.fo-sante.com Personnels ouvriers et ambulanciers es métiers indispensables aux établissements et aux usagers PLAQ OUVRIERS modif tel17052011:layout

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions?

La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions? La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions? Mireille HUGUET Chargée de Mission RH Seniors Présentation Mireille HUGUET Consultante RH et Bilan de compétences Chargée de Mission

Plus en détail

RAPPORT QUINQUENNAL D APPLICATION DE LA LOI SUR LE COURTAGE IMMOBILIER

RAPPORT QUINQUENNAL D APPLICATION DE LA LOI SUR LE COURTAGE IMMOBILIER RAPPORT QUINQUENNAL D APPLICATION DE LA LOI SUR LE COURTAGE IMMOBILIER Mémoire présenté au Ministre des Finances du Québec Mai 2015 Conseil québécois de l ACCHA L Association Canadienne des Conseillers

Plus en détail

Les autres obligations :

Les autres obligations : COMITE D ENTREPRISE OBLIGATIONS liées à la CONSULTATION du COMITE D ENTREPRISE 2012 Les autres obligations : E g a l i t é p r o f e s s i o n n e l l e H a n d i c a p S é n i o r P é n i b i l i t é

Plus en détail

Dossier de Candidature Sélection des Agents

Dossier de Candidature Sélection des Agents Dossier de Candidature Sélection des Agents Conditions Générales Conditions Générales Vous de sirez adhe rer a un important re seau de distribution expe rimente et vous avez un esprit d e quipe, le sens

Plus en détail

Rapport de stage, SARL Alligator Communication

Rapport de stage, SARL Alligator Communication , SARL Alligator Communication Benjamin DESCAMPS IUT Gestion des Entreprises et Administrations Université des Sciences et Technologies de Lille DESCAMPS Benjamin le 23 mars 2003 3 1 sur 24 , SARL Alligator

Plus en détail

FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME

FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME ENTREPRISES, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA FORMATION PROFESSIONNELLE. FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME 1 SOMMAIRE INTRODUCTION

Plus en détail

CONVENTION COLLECTIVE MUTUALITÉ

CONVENTION COLLECTIVE MUTUALITÉ CONVENTION COLLECTIVE MUTUALITÉ Brochure n o 3300 Co de IDCC : 2128 Étendue par arrêté du 17 aouˆt 2001. ENTRE : D une part : L Union des Groupements des Employeurs Mutualistes, association re gie par

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE. Les obligations des entreprises en faveur de l emploi vis-à-vis des salariés âgés : plan senior/contrat de génération

FICHE TECHNIQUE. Les obligations des entreprises en faveur de l emploi vis-à-vis des salariés âgés : plan senior/contrat de génération FICHE TECHNIQUE Les obligations des entreprises en faveur de l emploi vis-à-vis des salariés âgés : plan senior/contrat de génération SOMMAIRE : I) LES ACCORDS ET PLANS D ACTION EN FAVEUR DES SALARIES

Plus en détail

QUESTIONS. décembre 2014

QUESTIONS. décembre 2014 QUESTIONS RéPONSES RELATIF à l agrément, aux missions et au fonctionnemement des organismes paritaires collecteurs agréés au titre de la formation professionnelle continue décembre 2014 questions-réponses

Plus en détail

NOTE EXPLICATIVE ACCORD D ENTREPRISE ET PLAN D ACTION POUR L EMPLOI DES SENIORS

NOTE EXPLICATIVE ACCORD D ENTREPRISE ET PLAN D ACTION POUR L EMPLOI DES SENIORS Fédération Nationale des Organismes de Gestion des Etablissements de l Enseignement Catholique 277 rue Saint-Jacques 75240 PARIS Cedex 05 Tél. : 01.53.73.74.40 - Fax : 01.53.73.74.44 - mail : contact@fnogec.org

Plus en détail

Réforme de la formation professionnelle

Réforme de la formation professionnelle MEDEF Social mars 2015 Réforme de la formation professionnelle Compétitivité Mobilité Employabilité Edito En 2030, près de 30 % de nos métiers auront évolué. Pour relever ce défi, la formation des femmes

Plus en détail

LE CONTRAT DE GENERATION

LE CONTRAT DE GENERATION LE CONTRAT DE GENERATION Sommaire I - Le contrat de génération : contexte, enjeux et objectifs II - Le contrat de génération : un dispositif adapté à la taille des entreprises III- Le contrat de génération

Plus en détail

Journal officiel des Communaut s europ ennes

Journal officiel des Communaut s europ ennes C 246/12 FR 6.8.98 Recommandation de la Banque centrale europ enne pour un r glement (CE) du Conseil concernant la collecte d informations statistiques par la banque centrale europ enne (98/C 246/08) (Pr

Plus en détail

Salarié. Sécurisez votre parcours professionnel

Salarié. Sécurisez votre parcours professionnel ! Salarié Senior (ou pas) Sécurisez votre parcours professionnel SOMMAIRE Introduction... p 3 Vous souhaitez faire le point sur votre carrière... p 4 Entretien de 2nde partie de carrière... p 5 Bilan de

Plus en détail

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES La Direction de Distribution Casino France, représentée par M. Gérard MASSUS, Directeur des Ressources

Plus en détail

Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation

Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation Attention : Ce document a été établit en juin 2015. Les informations qu il contient peuvent avoir évoluées en fonction des lois

Plus en détail

STATUT CATHOLIQUE D'ÉTABLISSEMENT DU CHEF DU PREMIER DEGRÉ DE L ENSEIGNEMENT. Hors-série - Juillet 2006-5

STATUT CATHOLIQUE D'ÉTABLISSEMENT DU CHEF DU PREMIER DEGRÉ DE L ENSEIGNEMENT. Hors-série - Juillet 2006-5 STATUT DU CHEF D'ÉTABLISSEMENT DU PREMIER DEGRÉ DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE Texte adopté par le Comité national de l enseignement catholique du 1 er avril 2006 Hors-série - Juillet 2006-5 PRÉAMBULE 0.1.

Plus en détail

La gestion du personnel

La gestion du personnel Auto-diagnostic de votre fonction Ressources Humaines Le questionnaire ci-après vous permet de préparer vos réponses avant de les saisir en ligne sur www.fact.aract.fr Evaluez la gestion des compétences

Plus en détail

REGLEMENT COMPLET «JEU BONS PLANS ETUDIANTS EN PARTENARIAT AVEC NRJ Mobile»

REGLEMENT COMPLET «JEU BONS PLANS ETUDIANTS EN PARTENARIAT AVEC NRJ Mobile» REGLEMENT COMPLET «JEU BONS PLANS ETUDIANTS EN PARTENARIAT AVEC NRJ Mobile» ARTICLE 1 : SOCIÉTÉ ORGANISATRICE La société France QUICK SAS, société par actions simplifiée, au capital de 92 225 000, immatriculée

Plus en détail

TRAIT D AMSTERDAM MODIFIANT LE TRAIT SUR L UNION EUROP ENNE, LES TRAIT S INSTITUANT LES COMMUNAUT S EUROP ENNES ET CERTAINS ACTES CONNEXES

TRAIT D AMSTERDAM MODIFIANT LE TRAIT SUR L UNION EUROP ENNE, LES TRAIT S INSTITUANT LES COMMUNAUT S EUROP ENNES ET CERTAINS ACTES CONNEXES TRAIT D AMSTERDAM MODIFIANT LE TRAIT SUR L UNION EUROP ENNE, LES TRAIT S INSTITUANT LES COMMUNAUT S EUROP ENNES ET CERTAINS ACTES CONNEXES AVIS AU LECTEUR La pr sente publication reproduit le texte du

Plus en détail

Guide utilisation Manuel 1 Dernière mise à jour: 2015/04/20 Trendoo

Guide utilisation Manuel 1 Dernière mise à jour: 2015/04/20 Trendoo Guide utilisation Manuel 1 Dernière mise à jour: 2015/04/20 Trendoo Table des matières DÉCOUVREZ TRENDOO... 2 SECTION SMS... 4 ENVOI SMS... 5 Sélectionner les destinataires... 7 Envoi de SMS paramétriques

Plus en détail

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION

Plus en détail

La GPEC au regard de la formation

La GPEC au regard de la formation La GPEC au regard de la formation note aux étudiants : ce support ne constitue qu un complément au cours assuré, pour aller plus loin cf. bibliographie Support construit sur base de l ouvrage «GPEC», éd.

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3034 Convention collective nationale IDCC : 1090. SERVICES DE L AUTOMOBILE

Plus en détail

INTRODUCTION ET DIAGNOSTIC

INTRODUCTION ET DIAGNOSTIC MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Accord professionnel INDUSTRIES DE LA MAROQUINERIE ACCORD DU 8 DÉCEMBRE 2014 RELATIF AU

Plus en détail

MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale

MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3170 Convention collective nationale IDCC : 538. MANUTENTION FERROVIAIRE ET TRAVAUX CONNEXES (6 e édition.

Plus en détail

Client : AGEFOS PME AQUITAINE Mission : Actions management Année : 2010. Droit et obligation de l entreprise au regard du code du travail

Client : AGEFOS PME AQUITAINE Mission : Actions management Année : 2010. Droit et obligation de l entreprise au regard du code du travail Drroiitt ett oblliigattiions de ll enttrreprriise au rregarrd du code du ttrravaiill Action Objectifs Droit et obligation de l entreprise au regard du code du travail Appréhender les dernières évolutions

Plus en détail

ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007

ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007 ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007 Préambule Dans le prolongement de la loi du 9 mai 2001 relative

Plus en détail

Livre I. Le droit patrimonial luxembourgeois (civil et fiscal)... 7

Livre I. Le droit patrimonial luxembourgeois (civil et fiscal)... 7 TABLE DES MATIE` RES Pre sentation des auteurs.... Pre faces... V IX Introduction générale et avertissement.... 1 Livre I. Le droit patrimonial luxembourgeois (civil et fiscal).... 7 Partie I. Le droit

Plus en détail

Obligations des entreprises en matière d emploi des seniors

Obligations des entreprises en matière d emploi des seniors Obligations des entreprises en matière d emploi des seniors Le contexte juridique du nouveau dispositif seniors L articulation de la nouvelle obligation avec les obligations préexistantes : La loi Fillon

Plus en détail

CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015

CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015 CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015 1 2 Période de professionnalisation 3 Tutorat 4 Compte Personnel de Formation ATTENTION : CES CRITÈRES SONT SUSCEPTIBLES D'ETRE MODIFIÉS

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Accord professionnel

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Accord professionnel MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Accord professionnel SOCIÉTÉS D ASSURANCES ACCORD DU 13 MAI 2013 RELATIF À LA MIXITÉ ET

Plus en détail

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience «Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés

Plus en détail

Crise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations

Crise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations 11ème Université Interprofessionnelle Mercredi 25 septembre 2013 Espace Tête d Or - Villeurbanne Crise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations Atelier n 1 Audit social et diagnostic

Plus en détail

AUTO-DIAGNOSTIC Pour les entreprises de 50 à 299 salariés couvertes par un accord de branche étendu

AUTO-DIAGNOSTIC Pour les entreprises de 50 à 299 salariés couvertes par un accord de branche étendu AUTO-DIAGNOSTIC Vous avez un projet de recrutement? Vous souhaitez identifier vos compétences clés? Vous voulez anticiper un départ en retraite? Votre entreprise est couverte par un accord de branche étendu

Plus en détail

Marketing Efficiency Cloud : All-in-One, End-to-End

Marketing Efficiency Cloud : All-in-One, End-to-End Marketing Resource Management avec Marketing Efficiency Cloud de BrandMaker Davantage de transparence Le marketing repose sur des process. BrandMaker Marketing Efficiency Cloud contrôle ces process et

Plus en détail

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796. Personnel de direction Brochure

Plus en détail

Le contrat de professionnalisation à l Université Paul Sabatier GUIDE DES STAGIAIRES DE LA FORMATION CONTINUE MISSION FORMATION «POLE ALTERNANCE»

Le contrat de professionnalisation à l Université Paul Sabatier GUIDE DES STAGIAIRES DE LA FORMATION CONTINUE MISSION FORMATION «POLE ALTERNANCE» GUIDE DES STAGIAIRES DE LA FORMATION CONTINUE Le contrat de professionnalisation à l Université Paul Sabatier MISSION FORMATION CONTINUE ET APPRENTISSAGE «POLE ALTERNANCE» LE CONTRAT DE PROFESSIONNALISATION

Plus en détail

Le Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI)

Le Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI) Le Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI) 1 Définition du CDDI un contrat de travail à durée déterminée dont le motif de recours est spécifique : favoriser le recrutement de certaines catégories

Plus en détail

Mobilisation en faveur de l emploi des seniors

Mobilisation en faveur de l emploi des seniors Mobilisation en faveur de l emploi des seniors Mesures retenues par le Gouvernement à l issue de la concertation avec les partenaires sociaux dans le cadre du rendez-vous 2008 sur les retraites Dès la

Plus en détail

SE FORMER. une passerelle vers l emploi. Personnes Handicapées AIDES ET SERVICES DE L AGEFIPH NOVEMBRE 2014. l Les bonnes questions à se poser

SE FORMER. une passerelle vers l emploi. Personnes Handicapées AIDES ET SERVICES DE L AGEFIPH NOVEMBRE 2014. l Les bonnes questions à se poser Personnes Handicapées AIDES ET SERVICES DE L AGEFIPH NOVEMBRE 2014 SE FORMER une passerelle vers l emploi l Les bonnes questions à se poser l Quelles démarches? l Les aides de l Agefiph dont vous pouvez

Plus en détail

Une version Word, modifiable, de ce document peut vous être envoyée sur simple demande par mail à l adresse : observatoire-metallurgie@uimm.

Une version Word, modifiable, de ce document peut vous être envoyée sur simple demande par mail à l adresse : observatoire-metallurgie@uimm. Une version Word, modifiable, de ce document peut vous être envoyée sur simple demande par mail à l adresse : observatoire-metallurgie@uimm.com Accord national du 13 novembre 2014 relatif à la formation

Plus en détail

Directives sur les relations avec les gouvernements de fait

Directives sur les relations avec les gouvernements de fait Directives sur les relations avec les gouvernements de fait Lors de sa 100ième session (septembre 2010), le Conseil d'administration, conformément à l'article 52 des Principes et critères en matière de

Plus en détail

La réforme : une opportunité pour la fonction formation

La réforme : une opportunité pour la fonction formation Nombreux sont les articles concernant la réforme de la formation professionnelle. Grâce à ses experts qui récoltent l information législative et réglementaire à sa source, Demos fait un tour d horizon

Plus en détail

Maintien et retour en activité professionnelle des seniors. Guide pour l action

Maintien et retour en activité professionnelle des seniors. Guide pour l action Maintien et retour en activité professionnelle des seniors Guide pour l action Introduction Ce guide a été élaboré par l ANACT (Agence nationale pour l amélioration des conditions de travail), dans le

Plus en détail

Mobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion

Mobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion Mobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion Léopold GILLES Directeur du Département «Evaluation des politiques sociales» - CREDOC SOMMAIRE RAPPEL : entreprises solidaires

Plus en détail

Responsable d agence

Responsable d agence Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser

Plus en détail

L emploi des seniors

L emploi des seniors L emploi des seniors dans la branche des laboratoires de biologie médicale Observatoire des métiers des Professions Libérales 52 56 rue Kléber 92309 LEVALLOIS PERRET Cedex Tél. 01 46 39 38 64 Fax 01 46

Plus en détail

MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale

MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3257 Convention collective nationale IDCC : 1601. BOURSE (3 e édition. Juin 2004) ACCORD DU 8 JUILLET 2005

Plus en détail

Comment SE PRÉPARER. à la validation des acquis de son expérience

Comment SE PRÉPARER. à la validation des acquis de son expérience GUIDE POUR AGIR Comment SE PRÉPARER à la validation des acquis de son expérience JE BÂTIS MON PROJET PROFESSIONNEL Avec le soutien du Fonds social européen Pourquoi se préparer à la validation des acquis

Plus en détail

AVENANT DU 3 NOVEMBRE 2011

AVENANT DU 3 NOVEMBRE 2011 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3161 Convention collective nationale IDCC : 2120. BANQUE AVENANT DU 3 NOVEMBRE 2011 À L ACCORD DU 10 JUIN 2011 RELATIF

Plus en détail

Accord Cohésion Sociale

Accord Cohésion Sociale Accord Cohésion Sociale Entre l Unité Economique et Sociale MACIF, représentée par Monsieur Roger ISELI, Directeur Général de la MUTUELLE ASSURANCE DES COMMERCANTS ET INDUSTRIELS DE FRANCE, Société d'assurance

Plus en détail

Réunion d informations du 12 novembre 2014. La réforme de la formation professionnelle : analyse des changements apportés par la loi du 5 mars 2014

Réunion d informations du 12 novembre 2014. La réforme de la formation professionnelle : analyse des changements apportés par la loi du 5 mars 2014 Réunion d informations du 12 novembre 2014 La réforme de la formation professionnelle : analyse des changements apportés par la loi du 5 mars 2014 Rappel Les différents taux de cotisation : - Taux légal

Plus en détail

CONSERVER SON EMPLOI. c est normal et c est possibie. Personnes Handicapées AIDES ET SERVICES DE L AGEFIPH NOVEMBRE 2014

CONSERVER SON EMPLOI. c est normal et c est possibie. Personnes Handicapées AIDES ET SERVICES DE L AGEFIPH NOVEMBRE 2014 Personnes Handicapées AIDES ET SERVICES DE L AGEFIPH NOVEMBRE 2014 CONSERVER SON EMPLOI c est normal et c est possibie Les bonnes questions à se poser Quelles démarches? Les aides de l Agefiph dont vous

Plus en détail

L intergénérationnel, un enjeu pour tous

L intergénérationnel, un enjeu pour tous www.limousin.gouv.fr 1 2 L intergénérationnel, un enjeu pour tous 3 SOMMAIRE COMMUNIQUE DE SYNTHESE page 4 CONTEXTE page 6 Le contrat de génération en Limousin L appui-conseil au contrat de génération

Plus en détail

APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES. Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective

APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES. Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective APPEL A PROPOSITION ET CAHIER DES CHARGES Mise en œuvre de la Préparation Opérationnelle à l'emploi Collective POEC CONSULTANT D ENTREPRISE EN PORTAGE SALARIAL Une opération cofinancée par le FPSPP Date

Plus en détail

Bien CHOISIR un CONTRAT de travail

Bien CHOISIR un CONTRAT de travail Juin 2012 GUIDE PRATIQUE Bien CHOISIR un CONTRAT de travail 2 Introduction Vous devez développer de nouveaux marchés, faire face à une commande exceptionnelle, trouver le remplaçant de votre directeur

Plus en détail

Entre les soussignés :

Entre les soussignés : PROTOCOLE D ACCORD RELATIF A L EMPLOI DES SENIORS A L UGECAM NORD-PAS-DE-CALAIS-PICARDIE Entre les soussignés : L'Ugecam Nord Pas-de-Calais Picardie représentée par son Directeur général... Monsieur Jacques

Plus en détail

Le point de vue de l UNSA

Le point de vue de l UNSA Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise

Plus en détail

Chapitre 8 La gestion des compétences permet-elle de garantir l employabilité de l individu

Chapitre 8 La gestion des compétences permet-elle de garantir l employabilité de l individu RESSOURCES HUMAINES ET COMMUNICATION Thème 2 COMPTENCE / POTENTIEL Chapitre 8 La gestion des compétences permet-elle de garantir l employabilité de l individu Les emplois offerts par les organisations

Plus en détail

Solutions Évolution Anticipation

Solutions Évolution Anticipation Solutions Évolution Anticipation INCLUS Nouvelle LOI n 2014-873 du 4 août 2014 pour l égalité réelle entre les femmes et les hommes 2014 Vos obligations liées à la consultation du Comité d Entreprise Source

Plus en détail

Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente

Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente 1 Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE 2 TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE SOMMAIRE Qui peut embaucher un apprenti et quelles

Plus en détail

LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015

LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015 LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015 OBJET Le dispositif ENVOL est destiné aux personnes résidant en Champagne-Ardenne, désireuses de créer leur propre emploi par la

Plus en détail

FORMATION PROFESSIONNELLE LES CLEFS DE LA RÉFORME

FORMATION PROFESSIONNELLE LES CLEFS DE LA RÉFORME FORMATION PROFESSIONNELLE LES CLEFS DE LA RÉFORME ENTREPRISES DE 300 SALARIÉS ET PLUS, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA RÉFORME DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE. LES ENJEUX MAJEURS POUR LES ENTREPRISES

Plus en détail

Recruter et intégrer des seniors

Recruter et intégrer des seniors Recruter et intégrer des seniors Fiche 5 Enjeux Le recrutement de seniors correspond à des enjeux spécifiques pour les entreprises, que cette action relève d une politique affichée de lutte contre les

Plus en détail

ACCORD DU 15 DÉCEMBRE 2011

ACCORD DU 15 DÉCEMBRE 2011 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796.

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3255 Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES ACCORD DU 28 FÉVRIER 2014 RELATIF AU TEMPS

Plus en détail

Cours de Droit Commercial. Anné e 2000-2001 DROIT DES SOCIETES

Cours de Droit Commercial. Anné e 2000-2001 DROIT DES SOCIETES Cours de Anné e 2000-2001 2 nde PARTIE : 4 Titre 1 : Thé orie Gé né rale des Socié té s 4 Chapitre 1 : Le contrat de socié té 4 Section 1 : Les règles gé né rales de validité du contrat 4 I- Le consentement

Plus en détail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,

Plus en détail

Suggestion d ordre du jour de Janvier

Suggestion d ordre du jour de Janvier Suggestion d ordre du jour de Janvier Entreprise de moins de 300 salariés * Commandes, situation financière et exécution des programmes de production Information trimestrielle portant sur : - l évolution

Plus en détail

Accord relatif à l activité de portage salarial

Accord relatif à l activité de portage salarial Accord relatif à l activité de portage salarial Préambule Le présent accord a pour finalité d organiser l activité de portage salarial. Les personnes portées sont titulaires d un contrat de travail conclu

Plus en détail

I/ La réalisation de la fiche de poste II/ Un cadrage accru en hygiène et sécurité : un complément à la fiche de poste III/ Modèles

I/ La réalisation de la fiche de poste II/ Un cadrage accru en hygiène et sécurité : un complément à la fiche de poste III/ Modèles Aout 6 LA FICHE DE POSTE I/ La réalisation de la fiche de poste II/ Un cadrage accru en hygiène et sécurité : un complément à la fiche de poste III/ Modèles CDGFPT de la Corse-Du-Sud 18, Cours Napoléon

Plus en détail

Le contrat de professionnalisation

Le contrat de professionnalisation Le contrat de professionnalisation Objectif Le contrat de professionnalisation est un contrat de travail conclu entre un employeur et un salarié. Son objectif est l insertion ou le retour à l emploi des

Plus en détail

KoopL. Le portage salarial à portée de main. Une autre approche de votre travail, Rester indépendant en toute tranquillité

KoopL. Le portage salarial à portée de main. Une autre approche de votre travail, Rester indépendant en toute tranquillité KoopL Le portage salarial à portée de main Une autre approche de votre travail, Rester indépendant en toute tranquillité Simplifiez-vous le portage Les activités de services recrutent. Nombreuses sont

Plus en détail

seniors Atouts et opportunités

seniors Atouts et opportunités LES GUIDES CONSEIL DE L UIMM Employer des seniors Atouts et opportunités UNION DES INDUSTRIES ET MÉTIERS DE LA MÉTALLURGIE Employer des seniors, pourquoi? 02 Un enjeu économique et social 03 Un atout pour

Plus en détail

www.cma13.fr b[i iebkj_edi 9C7 ')

www.cma13.fr b[i iebkj_edi 9C7 ') www.cma13.fr b[i iebkj_edi 9C7 ') Permettre à des jeunes de devenir apprentis, c est leur offrir une vraie chance de réussite professionnelle et c est apporter de la richesse à votre entreprise. La Chambre

Plus en détail

CIF CDI GUIDE PRATIQUE. Congé individuel de formation CDI Suivre une formation pour évoluer ou se reconvertir

CIF CDI GUIDE PRATIQUE. Congé individuel de formation CDI Suivre une formation pour évoluer ou se reconvertir CIF CDI Congé individuel de formation CDI Suivre une formation pour évoluer ou se reconvertir LE CONGÉ INDIVIDUEL DE FORMATION CDI EN BREF Qu est-ce que le congé individuel de formation CDI? Le congé individuel

Plus en détail

MOT DU directeur général

MOT DU directeur général MOT DU directeur général Building Logistics services est la concrétisation d une vision, celle d une société proposant une logistique de qualité, intelligente et abordable. Destinée aux opérateurs privés

Plus en détail

GUIDE D ACCOMPAGNEMENT A LA GPEC (Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) PARTIE 2 : CAHIERS THEMATIQUES

GUIDE D ACCOMPAGNEMENT A LA GPEC (Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) PARTIE 2 : CAHIERS THEMATIQUES GUIDE D ACCOMPAGNEMENT A LA GPEC (Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) PARTIE 2 : CAHIERS THEMATIQUES Ces CAHIERS THEMATIQUES vous apportent des éclairages et conseils particuliers sur

Plus en détail

ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008

ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 Construire un avenir brillant ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 www.avenirbrillant.ca Financé par le gouvernement du Canada par l entremise du Programme des conseils

Plus en détail

Resp employeur 30.11.09 CDOS 57 LA FORMATION PROFESSIONNELLE. Chapitre 8 de la CCNS

Resp employeur 30.11.09 CDOS 57 LA FORMATION PROFESSIONNELLE. Chapitre 8 de la CCNS LA FORMATION PROFESSIONNELLE Chapitre 8 de la CCNS PART DES COTISATIONS «FORMATION» DANS LES CHARGES PATRONALES ( STRUCTURE DE MOINS DE 10 SALARIÉS) TYPE POURCENTAGE DE LA MASSE SALARIALE Organisme Paritaire

Plus en détail

Alternance et Handicap L APPRENTISSAGE

Alternance et Handicap L APPRENTISSAGE Alternance et Handicap L APPRENTISSAGE Voie professionnelle : Lycée versus Cfa Le Lycée Pro Le CFA (Centre Formation Apprentis) UN diplôme IDENTIQUE : CAP, Bac Pro, BTS, Licence pro, etc.. En cours ou

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 6 juin 2014 AGEN 5 années de croissance perdues 1 850 Volume de la production nationale en milliard d'euros constants (valeur 2005) 1 800 1 750 1 700

Plus en détail

Projet EQUAL «Vers des entreprises pour tous les âges»

Projet EQUAL «Vers des entreprises pour tous les âges» Projet EQUAL «Vers des entreprises pour tous les âges» Fiches repères pour une gestion plus efficace des âges en PME Mars 2005 COMMISSION EUROPEENNE Fonds Social Européen 1/80 132 rue de Rivoli 75001 PARIS

Plus en détail

Chambre de métiers et de l artisanat de la Haute-Garonne LIVRET DU MAITRE D APPRENTISSAGE. Les clés pour réussir votre mission

Chambre de métiers et de l artisanat de la Haute-Garonne LIVRET DU MAITRE D APPRENTISSAGE. Les clés pour réussir votre mission Chambre de métiers et de l artisanat de la Haute-Garonne LIVRET DU MAITRE D APPRENTISSAGE Les clés pour réussir votre mission 2 L APPRENTISSAGE, UN PARCOURS «GAGNANT - GAGNANT» Côté entreprise : C est

Plus en détail

La Préparation Opérationnelle à l Emploi Collective

La Préparation Opérationnelle à l Emploi Collective Un appui au recrutement de vos futurs salariés intérimaires La Préparation L essentiel de la POEC A la différence de la POE Individuelle, la POE n est pas conditionnée au dépôt préalable d une offre d

Plus en détail

Règlement : Compétition du Film d Entreprise du Festival des Étoiles & des Ailes.

Règlement : Compétition du Film d Entreprise du Festival des Étoiles & des Ailes. Des Étoiles et des Ailes 2015 1 Table des matières Article 1 Nature du Festival 2 Article 2 Catégories de film en compétition 2 Article 3 Qui peut participer? 3 Article 4 Modalite s d inscription a la

Plus en détail

Intégrer le handicap à la gestion des ressources humaines

Intégrer le handicap à la gestion des ressources humaines LES CAHIERS DE L AGEFIPH SEPTEMBRE 2011 Intégrer le handicap à la gestion des ressources humaines plus d infos sur www.agefiph.fr Qu est-ce que l Agefiph? L Agefiph (Association de gestion du fonds pour

Plus en détail

AGEFOS PME Ile-de-France. Appel d offres PLATE-FORME FORMATION INFORMATION. La GPEC au cœur des entreprises du Parc de Courtaboeuf.

AGEFOS PME Ile-de-France. Appel d offres PLATE-FORME FORMATION INFORMATION. La GPEC au cœur des entreprises du Parc de Courtaboeuf. AGEFOS PME Ile-de-France Appel d offres PLATE-FORME FORMATION INFORMATION La GPEC au cœur des entreprises du Parc de Courtaboeuf 17 décembre 2009 Contact : Christelle Soury AGEFOS PME IDF Délégation Sud

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3073 Convention collective nationale IDCC : 86. ENTREPRISES DE LA PUBLICITÉ ET

Plus en détail

PRÉPARATION OPÉRATIONNELLE A L'EMPLOI. Action collective au profit des demandeurs d'emploi

PRÉPARATION OPÉRATIONNELLE A L'EMPLOI. Action collective au profit des demandeurs d'emploi Cahier des charges à l'attention des Organismes de Formation PRÉPARATION OPÉRATIONNELLE A L'EMPLOI Action collective au profit des demandeurs d'emploi Formations organisées avec le concours financier du

Plus en détail

Le contrat d apprentissage

Le contrat d apprentissage Mai 2009 contrats et mesures Le contrat d apprentissage Vous recrutez un jeune tout en bénéficiant d avantages financiers. Vous le préparez à un métier de votre entreprise et à une qualification professionnelle

Plus en détail

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi?

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? Emploi 3 Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? François Brunet* Inévitablement les générations nombreuses du baby-boom nées entre 1946 et 1973 s approchent de l âge légal

Plus en détail

LMD. Expertise comptable COLLECTION. Le meilleur. du DCG 3. Droit social. 2 e ÉDITION. Marie-Paule Schneider Maryse Ravat.

LMD. Expertise comptable COLLECTION. Le meilleur. du DCG 3. Droit social. 2 e ÉDITION. Marie-Paule Schneider Maryse Ravat. LMD COLLECTION Expertise comptable Le meilleur du DCG 3 Droit social 2 e ÉDITION Marie-Paule Schneider Maryse Ravat Sup FOUCHER «Le photocopillage, c est l usage abusif et collectif de la photocopie sans

Plus en détail

Questions-réponses Réforme de la formation professionnelle Loi du 5 mars 2014

Questions-réponses Réforme de la formation professionnelle Loi du 5 mars 2014 Questions-réponses Réforme de la formation professionnelle Loi du 5 mars 2014 Table des matières LE CPF... 2 1/ CPF et DIF... 2 2/ Alimentation du compte CPF... 4 3/ Gestion du compte CPF... 6 4/ Actions

Plus en détail