PRISE EN CHARGE DES CAS HUMAINS D INFECTION PAR VIRUS INFLUENZA A(H7N9) Version du
|
|
- Marc-Antoine Briand
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Introduction: Champ d application Version du Cette procédure est destinée à faire face à l arrivée d un patient potentiellement infecté par le virus Influenza A/H7N9. La survenue d un tel cas en Suisse est très improbable à l heure actuelle, mais il faut l'envisager chez tout patient qui se présente avec un syndrome grippal après une exposition possible au virus. Rappel de la situation PRISE EN CHARGE DES CAS HUMAINS D INFECTION PAR VIRUS INFLUENZA A(H7N9) Une épizootie causée par un virus Influenza A (H7N9) est en cours dans l est de la Chine. Le virus a été identifié chez des oiseaux. L extension des infections animales est mal connue car le virus est peu pathogène chez les oiseaux. A la date de la rédaction de ce document, une centaine de cas d infections humaines ont été dénombrés, la majorité sévères, voire mortelles pour environ 20% d entre eux. Cependant, il n est pas possible de déterminer un taux de létalité dans la mesure où aucune étude sérologique n est encore disponible pour établir l incidence d éventuelles infections de sévérité trop faible pour avoir été détectées. Les cas d infections humaines sont sporadiques, et il n y a pas d évidence de transmission interhumaine. Le virus est susceptible aux inhibiteurs de la neuraminidase. Il possède également des mutations classiquement associées à l adaptation aux mammifères. On a donc affaire à une épizootie de taille inconnue et de pathogénicité faible chez les oiseaux, avec un potentiel pathogène appréciable chez l être humain, mais vraisemblablement surestimé par le biais habituel qui fait découvrir le virus chez les cas les plus sévères. Formellement, il s agit d un évènement prépandémique de niveau OMS 3, dont les suites éventuelles seront conditionnées par l évolution du virus en cause. Implications pour le personnel soignant A l'heure actuelle, la prise en charge d'un cas d infection humaine par le virus Influenza A(H7N9) ne représente pas un risque pour le personnel soignant car ce virus ne se transmet pas entre personnes. Les mesures de précautions décrites ci-dessous ont cependant été décidées en raison de la sévérité de la maladie dans le cas - pour l'heure peu vraisemblable d'une transmission limitée. 1
2 Flux des patients en phase d'alerte grippe aviaire H7N9 URGENCE COUCHEE URGENCE DEBOUT Suspicion H7N9 annoncée - - Le patient s'annonce (cf annexe 2) + + Triage habituel Accueil du patient avec matériel de protection individuel (cf. annexe 5) Prise en charge habituelle PMU / CIU Suspicion H7N9 en cours de prise en charge Masque immédiat patient + personnel 1 Critères H7N9 - + (cf. annexe 1) - Critères H7N9 (cf. annexe 1) + Transfert degré II vers box d'isolement CIU Hospitalisation d'office avec précautions ad hoc Annonce: annexe 3 Lieu d'hospitalisation: annexe 4 Mesures de protection individuelle: annexe 5 Procédures d'isolement: annexe 6 Examens de laboratoire: annexes 7 Prise en charge des contacts : annexe 8 Traitement antiviral : annexe 9 1 : 3M P2 si disponible, sinon masque de protection bleu à élastiques 2
3 Annexe 1 : Définition d un cas suspect d infection par le virus Influenza A(H7N9) Cas confirmé: un patient avec une infection par le virus Influenza A(H7N9) confirmée par le laboratoire. Cas probable: un patient avec des symptômes compatibles avec Influenza dont le test de diagnostic est positif pour Influenza A, négatif pour H1, négatif pour H1pdm09 et négatif pour H3 par la RT-PCR. Cas sous investigation: un patient avec des symptômes compatibles avec Influenza pour lequel la confirmation du laboratoire n est pas connue ou en cours et avec un des critères d exposition suivants: - un patient ayant eu des contacts récents ( 10 jours après l apparition des symptômes) avec un cas humain probable ou confirmé d infection au virus Influenza A(H7N9) OU - un patient ayant séjourné récemment ( 10 jours après l apparition des symptômes) dans une région où des cas humains d infection au virus Influenza A(H7N9) ont été détectés dernièrement (voir Figure 1). Provinces de Chine concernées par les cas humains du virus Influenza A(H7N9) ( état au ). 3
4 Annexe 2 : Accueil des urgences «patients debout» par l entrée de la PMU (cas annoncés ou non) 1. Si un patient annonce au desk une possible infection par Influenza A (H7N9) : 1.1. l'employé e du desk d'accueil met un masque ultrafiltrant FFP Il elle remet un masque ultrafiltrant FFP2 au patient 1.3. Il elle libère le secteur d'attente situé près du tourniquet et y installe le patient seul Il elle informe l'infirmier ère d'accueil et d'orientation (IAO) des urgences 1.5. Il elle retire son masque en le saisissant par les élastiques, le dépose dans le container jaune à déchets spéciaux dans la zone de tri, puis procède à une désinfection alcoolique des mains 1.6. L'IAO procède en priorité à un premier triage du patient dans la zone d attente de la manière suivante : - Met un masque ultra-filtrant FFP2, une blouse à usage unique, des lunettes de protection et des gants à usage unique non stériles - Prend un thermomètre tympanique, un flacon pour désinfection alcoolique des mains, et le container jaune à déchets spéciaux - Se rend auprès du patient (dans le secteur d'attente près du tourniquet) - Prend la température tympanique et questionne le patient sur les autres critères de suspicion selon annexe 1 - En cas de doute sur la suspicion d une infection par Influenza A (H7N9), l'iao en réfère, selon la voie usuelle: o de 8h à 18h au CDC de garde de la PMU o de 18h à 23h30 à l'assistant de garde PMU o de 23h30 à 8h au CDC des URG 1.7. Si les critères de suspicion sont remplis: - L'IAO laisse le patient dans le secteur d'attente du tourniquet et s'éloigne à plus de 2 mètres jette le capuchon du thermomètre dans le container jaune ôte ses gants et la surblouse et les jette dans le container jaune se désinfecte les mains ôte les lunettes, puis le masque en le saisissant par les élastiques, et les jette se désinfecte à nouveau les mains - Il elle prévient les URG de se préparer à un transfert de degré 2 dans un boxe d'isolement de la zone "patients couchés" - Le transfert du patient aux URG se fait muni du matériel de protection individuelle (masque ultra-filtrant FFP2, lunettes de protection, blouse à usage unique, gants non stériles) 4
5 2. Si une infection par Influenza A (H7N9) est suspectée au cours de l entretien avec l IAO : Les points 1.6 et 1.7 ci-dessus sont effectués au poste de travail de l IAO. 3. Si une infection par Influenza A (H7N9) est suspectée après le triage, dans un box au 6 ème étage de la PMU : 3.1. La personne en charge du patient met un masque ultra-filtrant FFP2, une blouse à usage unique, des lunettes de protection et des gants à usage unique non stériles 3.2. Il elle remet un masque ultrafiltrant FFP2 au patient 3.3. Il elle prévient les URG de se préparer à un transfert de degré 2 dans un boxe d'isolement de la zone "patients couchés 3.4. Il elle contacte l infirmière PCI de la PMU, Mme Rochat (65 037) ou le bip de fonction du SMPH (66 278) 3.5. Le transfert du patient aux URG se fait muni du matériel de protection individuelle (masque ultra-filtrant FFP2, lunettes de protection, blouse à usage unique, gants non stériles) 3.6. Le local de la PMU est nettoyé selon les procédures usuelles lors de levée de mesures additionnelles aérosol 5
6 Annexe 3 : Annonce de tout cas hospitalisé avec suspicion de grippe aviaire H7N9 Le CDC en charge du patient aux URG est responsable, après vérification, d annoncer les patients répondant à la définition de cas aux personnes suivantes : - Médecin cadre SMPH : o Prof. G. Zanetti : en l absence de réponse : o Dr L. Senn : - Institut de microbiologie : o Superviseur : durant les heures ouvrables via la centrale du CHUV hors de ces heures durant les heures ouvrables via la centrale du CHUV hors de ces heures durant les heures ouvrables via la centrale du CHUV hors de ces heures Rem: la responsabilité d'avertir le piquet de Direction et le Service de la santé publique incombe au médecin cadre SMPH 6
7 Annexe 4 : Lieux d hospitalisation Chambres ou boxes d isolement REVERSIBLES avec sas, entrées et sorties d airs équipées d un filtre absolu, au moins 6 renouvellement d air / heure Service Bâtiment Etage Chambre n Commande pression +/- UNITE D OBSERVATION BH et 591 locale SOINS INTENSIFS ADULTES 1 et 2 BH et 685 locale CENTRE GRANDS BRULES SIA 3 BH locale SOINS INTENSIFS DE PEDIATRIE BH et 816 locale SERVICE PEDIATRIQUE BH et 218 CDC 1 MEDECINE ISOLEMENT BEAUMONT à 731 locale Chambres ou boxes de sécurité REVERSIBLES sans sas, entrées et sorties d air non équipées d un filtre absolu Service Bâtiment Etage Chambre n URGENCES C (Boxes) BH , 634, 635, 636, 637, 638, 643, 644, 645, 646, 647, 648 et 649 Commande pression +/- locale UNITE D OBSERVATION BH , 581 et 582 locale SERVICE PEDIATRIQUE BH et 228 locale Les salles d opération des différents blocs opératoires, de même que les différentes salles d interventions, ne sont pas comprises dans cette liste. 1 CDC: Centre de contrôle, n téléphone
8 Annexe 5 : Mesures de protection pour le personnel Le risque de transmission de personne à personne est à l'heure actuelle nul ou extrêmement faible. Cependant, étant donnés la sévérité de l'infection et le risque de transformation du virus en une souche à potentiel pandémique, les précautions standard sont renforcées par des mesures correspondant à un risque de transmission par contact et gouttelettes (en tenant compte d'une possible contamination par les conjonctives), ainsi que par aérosols. Ces mesures concernent TOUS les corps de métiers potentiellement en contact avec le patient ou avec son environnement immédiat, lors de toute présence dans la chambre, ou tout contact en dehors de la chambre. Ces mesures doivent être maintenues: - jusqu'à exclusion du diagnostic d'infection par H7N9 - si le diagnostic d'infection par H7N9 est retenu: jusqu'à 7 jours après résolution de la fièvre (21 jours après résolution de la fièvre pour les enfants de moins de 12 ans) Patient: Si l'état respiratoire le permet, port d'un masque avant l entrée de et jusqu à la sortie de toute personne dans la chambre. Par ordre de préférence, utiliser un masque ultra-filtrant FFP2 ou un masque de type chirurgical selon la tolérance. Personnel: Gestion du personnel: - limiter autant que possible le nombre de professionnels en contact avec le patient. Ce principe concerne toutes les catégories professionnelles, et son application est de la responsabilité de l'icus. Matériel de protection Doit être disponible à proximité du bureau du personnel d accueil de la PMU au 05: - Masques ultra-filtrant FFP2 (RAFA ) - Container jaune de 30 litres (RAFA ) Doivent être disponibles à proximité du bureau de l IAO ou devant la porte des lieux d hospitalisation: - Masques ultra-filtrant FFP2 (RAFA ): Peuvent être utilisés au maximum durant 8 heures, mais doivent être changés entre chaque utilisation si humides en cas de souillure en cas de déchirure visible Après avoir mis le masque, il est impératif d en vérifier l adaptation. - Lunettes de protection à usage unique. Pour les porteurs de lunettes médicales: lunettes de protection à usage unique par dessus si possible. - Blouses à usage unique. - Gants non stériles - Container jaune de 30 litres (RAFA ) pour déchets spéciaux (dans le sas, ou à défaut devant la porte du local. 8
9 Annexe 6 : Directives détaillées de mesures additionnelles (isolement) Type d activité Mesures Additionnelles CONTACT ET AEROSOL Mesures indispensables Précautions standard Arrivée/ déplacement/ transfert du patient Avertir le service et/ou l institution destinataire avant le transport/transfert du patient Programmer si possible l examen ou le rendez-vous en fin de consultation Limiter aux besoins essentiels (motifs thérapeutiques et/ou psychologiques sur OM) Masque ultrafiltrant FFP2 à porter par le patient ou chirurgical avec élastique selon tolérance Séparer géographiquement dans les lieux d attente (local séparé) + masque Transporteurs : masque ultrafiltrant FFP2, gants, blouse à usage unique Chambre à pression négative (si existant) et avec renouvellement d air de 6x/ heure au min. Placement du patient Chambre individuelle avec SAS (si existant) Cohorter si pas de chambre individuelle disponible aérer la chambre par l ouverture fréquente de la fenêtre, porte fermée Fermer systématiquement les portes (éviter les appels d air) Information au patient Masques ultra-filtrants de type FFP2 à porter par le personnel Par le personnel en charge du patient Mettre le masque avant d entrer dans la chambre ou le local Enlever le masque à l extérieur de la chambre ou du local après avoir refermé la porte Port de surblouse (bl) ou tablier (t) Lors de tout contact avec le patient en chambre et/ou autres lieux de traitement Lors de contact avec l environnement direct en chambre et/ou autres lieux de traitement 9
10 Type d activité Mesures Additionnelles CONTACT ET AEROSOL Mesures indispensables Précautions standard Port de gants non stériles à usage unique Entretien des Dispositifs Médicaux (DM) et autre matériel Entretien de l environnement direct Lors de tout contact pour des soins directs au patient en chambre et/ou dans d autres lieux de traitement Lors de contact avec l environnement direct en chambre et/ou autres lieux de traitement Privilégier les DM à usage unique Désinfecter le matériel à usage multiple après chaque utilisation Limiter au strict minimum le stock de matériel en chambre ou à domicile Nettoyer et désinfecter la chambre et/ou les autres lieux de traitement quotidiennement Nettoyer et désinfecter la chambre et les autres lieux de traitement au départ du patient Gestion des déchets Container jaune de 30 litres (RAFA ) Evacuation du linge Information aux visiteurs Placer le linge dans le sac imperméable habituel, attribué au patient et gardé dans la chambre, fermer le sac hermétiquement avant de le sortir de la chambre Utiliser des protections en papier à usage unique pour les salles de traitement Limiter le nombre de visiteurs Informer sur les mesures à prendre (équipement comme pour les soignants) Nettoyer/désinfecter le lit et changer la literie Levée des Mesures Additionnelles Éliminer et/ou nettoyer/désinfecter le matériel stocké en chambre ou à domicile Nettoyer et désinfecter la chambre (sols, mobilier, sanitaire) NB : salle PMU sans ventilation ad hoc : cf. 10
11 Annexe 7 : Examens de laboratoires 1. Confirmation de l indication à rechercher le virus Influenza A(N7N9) : - La décision d'effectuer un prélèvement doit être confirmée par le CDC en charge du patient à la PMU ou aux URG 2. Prélèvements pour recherche du virus Influenza A(N7N9) : - Matériel : o 1er choix, en présence de sécrétions nasales: aspiration des sécrétions rhinopharyngées par la narine (Tube d aspiration stérile, RAFA et sonde fine, e.g. sonde Nelaton CH 8, RAFA ou CH ) o 2ème choix : frottis nasal (milieu de transport UTM RT avec écouvillon inclus: N commande ) - Méthode : o o o Procéder au prélèvement selon le schéma ci-dessous Retirer l écouvillon, le plier et l introduire directement dans le tube. NB : stérilité stricte non-requise lors du prélèvement car recherche de virus Répéter le prélèvement avec un second écouvillon, à mettre dans le même tube o Coller l étiquette du patient sur le tube o S assurer que le tube soit bien fermé o Désinfecter l extérieur du tube avec une lingette imbibée d alcool à 70. o Placer le tube dans la pochette plastique du kit. o Remplir le bon de microbiologie (cf. annexe 10), et les glisser dans la poche externe de la pochette plastique. o Réapprovisionner les kits de prélèvement si nécessaire 11
12 3. Acheminement des prélèvements pour recherche du virus Influenza A(N7N9) : - Stocker le prélèvement au frigo à 4C jusqu à son acheminement au desk des laboratoires au BH18. - Le prélèvement est acheminé au desk des laboratoires (BH 18) avec les autres prélèvements microbiologiques effectués aux urgences par un transporteur. Heures d ouverture : jours ouvrables de 7h30 à 18h, le week-end de 7h30 à 14h. - Ne pas utiliser le poste pneumatique 4. Autres analyses de laboratoire - Seuls les prélèvements respiratoires sont considérés comme infectieux. Leur indication et leurs modalités doivent être discutées au préalable avec le laboratoire de microbiologie ( durant les heures ouvrables; microbiologiste de piquet, via le Central téléphonique, en dehors de ces heures). - Les autres analyses peuvent être effectuées selon les procédures habituelles. 12
13 Annexe 8 : Prise en charge des sujets contacts (dans la communauté et à l hôpital) Contacts non protégés: - Liste: o o o A l'admission, établir la liste des personnes qui ont eu un contact étroit (< 1 mètre) avec le patient depuis 48 heures avant l'apparition de ses symptômes. Ne pas y inclure les brefs contacts accidentels (p.ex. voyager dans le même bus ou le même ascenseur). Il convient de s'assurer au cas par cas des conditions dans lesquelles s'est déroulée la prise en charge initiale à l'hôpital, afin de n'inclure dans la liste que des membres du personnel qui auraient eu un contact à moins de 1 mètre et sans masque. Transmettre cette liste au SMPH (fax ). Une copie suit le patient au cours de son hospitalisation. - Prise en charge: o Informer les personnes qui figurent sur la liste qu'elles doivent surveiller quotidiennement leur température durant les 7 jours qui suivent leur dernier contact avec le patient. A la survenue de fièvre, de toux, de dyspnée ou de maux de gorge, ces personnes doivent se présenter à l'entrée de la PMU. Contacts protégés: - L'ICUS de l'unité hébergeante tient un registre des personnes impliquées dans la prise en charge du patient depuis la mise en œuvre des mesures de protection. - Informer ces personnes qu'elles doivent surveiller quotidiennement leur température durant les 7 jours qui suivent leur dernier contact avec le patient. A la survenue de fièvre, de toux, de dyspnée ou de maux de gorge, ces personnes doivent téléphoner: de 8h à 17h à la Médecine du Personnel (021/ ) de 17h à 8h au médecin de piquet pour l'infectiologie (par la Centrale du CHUV, 021/ ) Le SMPH vérifie que cette information est donnée. 13
14 Annexe 9 : Traitement antiviral Traitement d'un cas suspect (à instaurer immédiatement après les prélèvements) Adulte Enfant entre 1 et 12 ans Enfant < 1 an Remarque Substance Doses Durée Oseltamivir 75 mg (Tamiflu ) Oseltamivir suspension orale 12mg/ml (Tamiflu ) 1 cp 2x / j 5 jours < 15kg : 30 mg 2x/j 16-23kg : 45 mg 2x/j 24-40kg : 60 mg 2x/j > 40kg : 75 mg 2x/j 5 jours Sécurité et efficacité de l'oseltamivir pas encore assurées. L'utilisation doit être discutée de cas en cas avec un spécialiste Une réplication continue du virus Influenza aviaire étant possible au-delà de 48 heures après l'apparition des symptômes, il convient d'envisager de traiter les individus qui se présentent à n'importe quel moment dans le cours de leur maladie 14
15 Annexe 10 : Bon de microbiologie pour la documentation virale 15
16 Hôpital Cantonal Service de médecine de laboratoire Département de médecine génétique et de laboratoire Laboratoire de Virologie Centre National de Référence de l Influenza OFFICE FEDERAL DE LA SANTE PUBLIQUE RECHERCHE DU VIRUS DE L INFLUENZA AVIAIRE CHEZ L HOMME Réservé au laboratoire Veuillez remplir ce formulaire dans son intégralité MÉDECIN PATIENT Nom : Date de naissance : Prénom : Nom : Adresse : Prénom : NP : Ville : Sexe Localité féminin : masculin : Contact aviaire direct : oui non Fax : RENSEIGNEMENTS CLINIQUES Date de début de la maladie : / / Frotti naso-pharyngé Lavage broncho-alvéolaire Traitement avec médicament Nom : depuis le : / / depuis le : / / Date du prélèvement : / / Fièvre Fieber >38 C : oui non Syndrome grippal : oui non Syndrome respiratoire supérieur : oui non Syndrome respiratoire inférieur : oui non Pneumonie : oui non ANAMNESE DE VOYAGE Pays/Lieu : du : / / au / / Pays/Lieu : du : / / au / / Pays/Lieu : du : / / au / / Prélèvements : Il est recommandé de faire un frottis nasal profond et un frottis de gorge. Utilisez 2 écouvillons que vous introduisez ensemble dans un seul tube de milieu de transport, et dont vous cassez ensuite les tiges avant de refermer. Renseignement : veuillez vous adresser au Dr Y. Thomas 022/ / 079/ ou au Dr L. Kaiser 022/ Hôpital Cantonal - Dr L. Kaiser - Rue Gabrielle Perret-Gentil, 4 CH-1211 Genève 14 - Tel. 022/ Fax 022/
Gestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailLes Mesures Additionnelles aux Précautions Standard
Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Guide Romand pour la prévention des infections liées aux soins 1 Préambule Ce document est destiné à tous les professionnels travaillant dans les structures
Plus en détailEBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect
Virus Ebola Transmission : de personne à personne lors de contact avec liquides biologiques du malade (sang, excréments, vomissures, urine, salive, sperme). Incubation : de quatre à dix jours, au max 21
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailPandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009
Erziehungsdirektion des Kantons Bern Direction de l'instruction publique du canton de Berne Amt für Kindergarten, Volksschule und Beratung Office de l'enseignement préscolaire et obligatoire, du conseil
Plus en détailOSIRIS GRIPPE A H1N1
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE État-major opérationnel OSIRIS OSIRIS INFORMATION ÉTAT-MAJOR OPÉRATIONNEL POLICE Genève, le 13 mai 2009 Rapport mensuel Avis de précaution Message urgent GRIPPE A H1N1 Recommandations
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailCe que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)
Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que
Plus en détailPROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31
Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailPandémie & Entreprises
Pandémie & Entreprises Dr. Elisabeth Conne-Perréard 29.09.09 28.10.2009 - Page 1 Département Office Qu'est-ce que la grippe et comment se transmet-elle? Comment se protéger contre la grippe? Que faire
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailRecommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation
Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailBOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes
1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailProcédure de tri et traitement des déchets Pro 032
Service de Sécurité Ferme de la Mouline Tél. 021 692 2570 / Fax 021 692 2575 Procédure Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Contenu 1. Objet... 1 2. Domaine d application... 1 3. Abréviations...
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailEnsemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola
Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente
Plus en détailFICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL
LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations
Plus en détailSECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR
SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises
Plus en détailMODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :
1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...
Plus en détailENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES
1 ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES A. NETTOYAGE COURANT Il est effectué: en dernier lieu, Idéalement ½ heure minimum après la réfection du lit. en
Plus en détailORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE > FICHES DE RECOMMANDATIONS 1 re édition
Plus en détailRapport d hygiène pour le département du service d ambulance
Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Dans le cadre des exigences de qualité posées, l on aimerait savoir dans quelle mesure le nettoyage et la désinfection des ambulances suffisent
Plus en détailAUDIT BLOC OPERATOIRE
AUDIT BLOC OPERATOIRE Forum Octobre 2006 G.Bossuat, inf, HPCI, CHUV 1 Rappel théorique Audit vient du mot latin «audire», écouter. L audit, est un processus méthodique, indépendant et documenté permettant
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailJORF n 0060 du 12 mars 2009. Texte n 18
Le 16 mars 2009 JORF n 0060 du 12 mars 2009 Texte n 18 ARRETE Arrêté du 10 février 2009 fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailL opération de la cataracte. Des réponses à vos questions
L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailCOLLABORATEURS CLINIQUES
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE QUÉBEC CONCEPTION Véronique Roberge, Infirmière clinicienne COLLABORATEURS CLINIQUES Céline Bergeron, Infirmière clinicienne spécialisée Sylvie Côté, Assistante infirmière
Plus en détailLES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015
LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant
Plus en détailListe de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs
Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9
Plus en détailLIVRET DE FORMATION C. A. P. SERVICES HÔTELIERS
M i n i s t è r e d e l ' E d u c a t i o n N a t i o n a l e Certificat d'aptitude Professionnelle LIVRET DE FORMATION C. A. P. SERVICES HÔTELIERS Nom et prénom Années Scolaires Apprenant Etablissement
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détail1.2.1 Enlever et disposer, en tant que déchets de fientes de pigeon, tous les matériaux et les débris des surfaces situées dans la zone des travaux.
TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON TABLE DES MATIÈRES PAGE TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON... 1 1 GÉNÉRALITÉS... 1 1.1 CONDITIONS GÉNÉRALES ET TRAVAUX CONNEXES... 1 1.2 DESCRIPTION DES
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailProtection du personnel
PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects
Plus en détailTableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe
1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour
Plus en détailSTAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE
FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012
Plus en détailLA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012
LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 SOMMAIRE La norme RABC, qu est-ce que c est? Les grandes lignes La blanchisserie et la Fonction linge - incidences sur l application de la méthode Les
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailBonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire
1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,
Plus en détailLa gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais
14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais
Plus en détailAssurance complémentaire santé OMS
Notice d information Edition 2014 Assurance complémentaire santé OMS BÉNÉFICIAIRES Le Groupement de Prévoyance et d Assurance des Fonctionnaires Internationaux (GPAFI) est une association à but non lucratif
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailMarquage laser des métaux
62 Colorer Marquage laser des métaux TherMark Produit à base aqueuse pour un nettoyage rapide. Appliquer une fine couche de produit sur le métal, laisser sécher moins de 2 minutes et graver au laser. L
Plus en détailProtéger vos employés et votre entreprise de la pandémie de grippe humaine
Protéger vos employés et votre entreprise de la pandémie de grippe humaine Manuel d actions pour les petites et moyennes entreprises Tsuyoshi Kawakami Projet en rapport avec la grippe aviaire et la grippe
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailOFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS
OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS Filière : APS et Bachelor en soins infirmier Nom de l institution : CHUV Nom de l
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailVotre bébé a besoin de soins spéciaux
Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il
Plus en détailProcédures Utilisation des laboratoires L2
N PROCEDURES Personnes page concernées I PROCEDURES D UTILISATION I-1 Entrée/sortie du personnel Utilisateurs 2 I-2 Utilisation d un PSM de type II Utilisateurs 3 I-3 Elimination des déchets solides Biologiques
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailCONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX
CONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX Exécution de prestations de nettoyage de locaux administratifs situés : - site n 1 : 24 rue des Ingrains 36022 CHATEAUROUX - site n 2 : 10 rue d Olmor 36400 LA CHATRE Critères
Plus en détailLA VACCINATION PROFESSIONNELLE
F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège
Plus en détailSemaine Sécurité des patients
Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailSERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 -
SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES Livret d Accueil - 1 - Sommaire Contrat de soins p 3 Contrat de séjour d occupation de l appartement Règlement intérieur d occupation de l appartement p 6 Fiche sociale
Plus en détailMesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement
MESURES DE PRÉVENTION POUR LES ÉTABLISSEMENTS OFFRANT DE L HÉBERGEMENT Les travailleurs œuvrant dans les établissements de santé ou communautaire offrant de l hébergement sont susceptibles d être confrontés
Plus en détailSecteur Protégé d Hématologie
INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailUne pandémie d influenza...
Une pandémie d influenza... Que feriez-vous avec seulement le 2/3 de vos effectifs? Ordre du jour Pandémie influenza Dr. Lucie-Andrée Roy, Santé publique Annick Bouchard, M.Sc.Env., Centre de sécurité
Plus en détailIBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire
IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire Table des matières I -Liste des laboratoires de culture cellulaire de l IBCP :... 2 II -Conditions requises pour l
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela
Plus en détaillevenok.com Identification du lot sur le document four ni par le demandeur
levenok.com Architectes D.P.L.G. RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE des matériaux et produits contenant de l'amiante pour l'établissement du constat établi à l'occasion de la vente d'un immeuble bâti REFERENCES
Plus en détailGestion des incidents dans l UCPC
Pharmacie Réseau Oncolor Gestion des incidents dans l UCPC Version 0-7 32.03.01 / Proc_gestion_incidents_v0.7 Réseau Oncolor 2013 1/14 Historique des modifications Date Version Description Auteurs 17/03/2010
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailBRICOLAGE. Les précautions à prendre
BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention
Plus en détailContexte de la chimiothérapie à domicile
Marie LAFFETAS / Stéphanie COUDERT Toulouse Le 05 octobre 2012 Contexte de la chimiothérapie à domicile Problématique et objectifs Méthode et résultats de l étude Discussion et conclusion 2 1 Développement
Plus en détailA LIRE IMPERATIVEMENT AVANT TOUTE UTILISATION A REMETTRE A L UTILISATEUR ET A CONSERVER
4 Le Pas du Château 85670 SAINT PAUL MONT PENIT TEL : 02-51-98-55-64 FAX : 02-51-98-59-07 EMAIL : info@medicatlantic.fr Site Internet : http//: www.winncare.fr MANUEL D UTILISATION Des Systèmes d Aide
Plus en détailA. Protocole de recherche (ainsi que l abrégé en langue française)
Commission d'éthique cantonale (VD) de la recherche sur l'être humain Av. de Chailly, 23, 1012 Lausanne Courriel : secretariat.cer@vd.ch 5.12.2013/mz Recommandations pour la soumission d un dossier Tous
Plus en détail