La philosophie est sans valeur tant qu elle ne donne que des incertitudes.
|
|
- Constance St-Louis
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 C O R R I G É Éléments d analyse NOTIONS EN JEU La vérité; l interprétation; la liberté. THÈSE ADVERSE La philosophie est sans valeur tant qu elle ne donne que des incertitudes. PROCÉDÉ D ARGUMENTATION Russel pose un paradoxe: la valeur de la philosophie est dans son caractère incertain. La philosophie introduit le doute parce qu elle arrache aux habitudes. Mais c est dans cette possibilité de douter des choses les plus ordinaires que la philosophie tient sa valeur. DÉCOUPAGE DU TEXTE ET IDÉES PRINCIPALES m La première partie (depuis le début jusqu à «des réponses très incomplètes») montre que la philosophie remet en question des certitudes liées aux habitudes quotidiennes, sans apporter pour autant de réponses. m Dans la seconde partie (à partir de «La philosophie, bien qu elle ne soit pas en mesure de» jusqu à la fin), Russel montre que ce doute est libérateur dans la mesure où il accroît notre connaissance d une réalité possible et différente. REMARQUES ET DIFFICULTÉS m Il faut être attentif à la progression du texte: on pourrait croire que la philosophie n est pas satisfaisante parce qu elle ne donne que des réponses incomplètes, mais rapidement l auteur dépasse ce jugement pour montrer que la remise en question des habitudes a plus de valeur que les évidences quotidiennes. m Le texte contient au moins deux paradoxes: la valeur de la philosophie réside dans son caractère incertain; la philosophie se construit par l exercice de la raison et pourtant elle n apporte que des réponses incomplètes. m Il ne faut pas faire du texte un éloge du scepticisme: le doute n est pas une fin en soi mais une manière d évacuer le dogmatisme.
2 THÈME, QUESTION, THÈSE m Thème: La philosophie. m Question: Quelle est la valeur de la philosophie si elle ne donne aucune réponse? m Thèse: La valeur de la philosophie réside dans son caractère incertain car, en nous arrachant aux idées reçues, elle accroît notre connaissance de la réalité possible. PLAN Introduction 1 La philosophie éveille le doute A - Sans philosophie, on reste prisonnier du sens commun B - Vivre sans philosophie, c est vivre sans questionner le quotidien C - Comment la philosophie peut-elle nier l évidence, critère de vérité, et prétendre la rechercher? 2 La valeur de la philosophie réside dans cette possibilité de douter A - Se libérer des habitudes est la condition pour éveiller sa pensée B - La philosophie accroît la connaissance d une réalité possible C - La philosophie comme étonnement Conclusion Corrigé (corrigé complet) Introduction 1 La philosophie comme «amour de la sagesse», quête de la vérité, s applique d abord à rejeter ce qui se présente sous l apparence du vrai: le vraisemblable. Elle consiste à suspendre son jugement, à douter. Mais alors que le philosophe, notamment Socrate, commence par affirmer qu il ne sait rien, la philosophie est perçue par l opinion comme une réflexion stérile produisant l indécision et l inaction. Loin de nier ce caractère incertain de la philosophie, Russel va dans ce texte en faire la principale valeur. Comment la philosophie peut-elle élargir le champ de notre pensée alors qu avec elle s effondrent les certitudes les plus ancrées? Telle est la question à laquelle Russel répond ici. 1. Les titres en gras servent à guider la lecture et ne doivent pas figurer sur la copie.
3 1. La philosophie éveille le doute Russel commence par énoncer un paradoxe qui est la thèse même de son texte: «La valeur de la philosophie doit en réalité surtout résider dans son caractère incertain.» En effet, ce qui se présente comme une faiblesse, le manque de certitude, d assurance, et donc de stabilité, est affirmé être la valeur principale de la philosophie. Est-ce à dire que plus on est sûr de rien, plus on est philosophe? Est-ce à dire que le modèle philosophique est le scepticisme? A. Sans philosophie, on reste prisonnier du sens commun Russel lève immédiatement l ambiguïté dans la deuxième phrase: il ne s agit pas de ne croire en rien, mais de dénoncer les croyances liées aux habitudes du sens commun, c est-à-dire les croyances qui sont inscrites dans un temps et un espace (un «pays») déterminés. La philosophie entend au contraire approuver ses affirmations par la «raison», faculté de produire des jugements qui peuvent être universaux. Celui qui n a donc jamais goûté à la philosophie reste rivé à ses particularités, et donc demeure «prisonnier de préjugés», opinions imposées par l époque et le lieu. B. Vivre sans philosophie, c est vivre sans questionner le quotidien Le second paragraphe (de «Pour un tel individu» à «des réponses très incomplètes») oppose le non-philosophe (non pas celui qui n est pas philosophe mais celui qui n a jamais côtoyé la philosophie) au philosophe par la capacité à se poser des questions sur les choses les plus ordinaires. Le non-philosophe conçoit le monde sous le signe de l évidence. Le monde, ou plutôt «son» monde, est «fini» et «défini» dans la mesure où il lui donne une signification délimitée et définitive, liée à son époque et à son lieu. Tout ce qui n est «pas familier» à un «tel individu», tout ce qui lui est étranger, est «rejeté avec mépris»: rester cantonné (aux sens propre et figuré) à ses opinions serait donc source d intolérance. Au contraire, le philosophe voit dans les «choses les plus ordinaires» des problèmes auxquels il ne donne que des «réponses incomplètes». C. Comment la philosophie peut-elle nier l évidence, critère de vérité, et prétendre la rechercher? La philosophie, selon son étymologie, est «amour de la sagesse». Mais quelle est cette sagesse? Science suprême, savoir-vivre? Pour les Grecs, la seconde dérive de la première. Dans tous les cas, la philosophie se met en quête de vérité. «Que puis-je savoir?», «Que dois-je faire?» sont des questions posées par la philosophie selon Kant. Or l un des
4 principaux critères pour reconnaître la vérité est l évidence. Elle est selon Spinoza dans L Éthique «index sui», à elle-même son propre critère. Et c est justement ce que Russel entend combattre avec la philosophie. Elle s oppose aux évidences de l opinion, «doxa» en grec: elle met en place des paradoxes. Pour comprendre cela, il convient de distinguer l évidence sensible, immédiate du sens commun, de l évidence intellectuelle de celui qui découvre une vérité. L évidence sensible n est qu un sentiment subjectif parce que lié à un individu déterminé dans un espace-temps. L évidence intellectuelle, en revanche, est une perception de l intellect, de la raison qui est garante d objectivité puisqu elle donne accès à l universel et au nécessaire. Mais si la philosophie ne donne pas de réponses complètes, est-ce par un défaut de compétence, ou parce qu il est dans la nature d une réponse à un problème philosophique d être inépuisable? 2. La valeur de la philosophie réside dans cette possibilité de douter Si la philosophie a l art de poser des problèmes où le sens commun n en voit pas, elle ne donne pas pour autant de réponses plus satisfaisantes selon Russel. Or ce n est qu une apparence. En réalité, les réponses sont incomplètes dans la mesure où elles sont, par opposition à l opinion, infinies. Le sens n est jamais épuisé, il donne à penser. A. Se libérer des habitudes est la condition pour éveiller sa pensée Russel ne prétend pas que la philosophie va lever les doutes qu elle a suscités. La philosophie peut «tout de même» «suggérer des possibilités» qui vont accroître nos connaissances. La philosophie ne donne pas de réponses, mais en propose. La philosophie n est pas une instance autoritaire qui impose ses réponses de manière finie, arrêtée, et c est en cela qu elle n est pas dogmatique. Il s agit d abord pour elle de libérer de la «tyrannie des habitudes». Le doute n est pas une fin en soi mais une méthode pour élargir le champ de sa pensée. La philosophie ne peut se confondre avec le scepticisme. Pour exercer sa liberté de pensée, il faut d abord se libérer. B. La philosophie accroît la connaissance d une réalité possible «Tout en ébranlant notre certitude concernant la nature de ce qui nous entoure, elle accroît énormément notre connaissance d une réalité possible et différente.» Avec la philosophie, notre connaissance augmente parce qu elle ne porte plus seulement sur une réalité particulière (objet
5 de l opinion) mais sur une essence, quelque chose d universel. En s opposant ainsi au dogmatisme qui fige la compréhension des choses en préjugés, elle donne un regard nouveau aux choses et «garde intact notre sentiment d émerveillement». C. La philosophie comme étonnement Le texte se termine par une nouvelle difficulté: grâce à un travail de rupture avec nos certitudes, la philosophie préserve une capacité à s émerveiller, mais construit-elle ou retrouve-t-elle un sentiment déjà existant? L émerveillement est un mélange d étonnement et d admiration. S émerveiller serait donc découvrir agréablement qu une chose pourrait être différente de ce que l on pensait. En ce sens, la philosophie consiste à retrouver ce qui, selon Aristote en Métaphysique, avait poussé les premiers penseurs aux spéculations philosophiques: l étonnement. S étonner, explique-t-il, consiste d abord à s apercevoir de son ignorance, c est alors que l on cherche à comprendre véritablement. Mais ce savoir, parce qu il est né de l étonnement, est recherché pour lui-même, il est une fin en soi. La philosophie n est donc pas sujette à une fin extérieure: elle est libre. Conclusion Ainsi la philosophie est triplement l expression d une liberté: d abord elle libère de la «tyrannie» des habitudes en bousculant les certitudes qui lui sont liées; ensuite, elle suggère, sans imposer, une possibilité de penser autrement; enfin, par l étonnement qu elle suscite, elle engage la recherche d un savoir pour lui-même, libre de toute contrainte extérieure. Ouvertures LECTURES Aristote, Métaphysique, Vrin. Bertrand Russel, Problèmes de philosophie, Payot, coll. «Petite Bibliothèque».
Méthode universitaire du commentaire de texte
Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent
Plus en détailProblématique / Problématiser / Problématisation / Problème
Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont
Plus en détailDoit-on douter de tout?
1 Doit-on douter de tout? L'homme naturellement, comme le précisait Aristote au début de la Métaphysique, s'étonne et cherche à connaître. Mais il faut faire la différence entre la considération naïve
Plus en détailL érotisme des problèmes
L érotisme des problèmes Apprendre à philosopher au risque du désir «Tous les hommes ont naturellement le désir de savoir», écrit Aristote. Si seulement! L incipit de La Métaphysique ne saurait être un
Plus en détailFICHES DE REVISIONS LITTERATURE
Fiche n 1 : Les 4 types de texte Fiche n 2 : La situation d énonciation 1- Le texte narratif qui sert à raconter 2- Le texte descriptif qui sert à faire voir 3- Le texte explicatif qui sert à faire comprendre
Plus en détailFaut-il tout démontrer?
Faut-il tout démontrer? Introduction et énoncé du problème L acte de démontrer consiste à mettre en ordre logique, à disposer de façon rationnelle et déductive des propositions afin d assurer que la conclusion
Plus en détailLa relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises.
Relation client PME PMI attention danger! Résumé La relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises. Nous essaierons de montrer, dans cet article, que la relation client
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailPEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?
PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.
Plus en détailConférence des Cours constitutionnelles européennes XIIème Congrès
Conférence des Cours constitutionnelles européennes XIIème Congrès Les relations entre les Cours constitutionnelles et les autres juridictions nationales, y compris l interférence, en cette matière, de
Plus en détailQue peut nous apporter une réflexion sur nos désirs?
Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Problématique : La difficulté lorsque vous vous trouvez face à un tel sujet est de confondre le thème avec le problème du sujet. Ici le thème était
Plus en détailQu est-ce qu une problématique?
Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?
Plus en détailLes spécifications des systèmes de comptabilisation en application de l article L.5-2, 6 du code des postes et des communications électroniques
C O N S U L T AT I O N P U B L I Q U E Mai 2007 Les spécifications des systèmes de comptabilisation en application de l article L.5-2, 6 du code des postes et des communications électroniques Synthèse
Plus en détailLE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université)
LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) Après avoir fait adopter sa loi «Libertés et Responsabilités des Universités» en plein
Plus en détail2010/2011 MASTER 2 SPECIALITE 8 MEF (IUFM/UPV/INSHEA)
2010/2011 MASTER 2 SPECIALITE 8 MEF (IUFM/UPV/INSHEA) ACCOMPAGNEMENT DE PUBLICS A BESOINS EDUCATIFS PARTICULIERS PAR UNE PEDAGOGIE INSTITUTIONNELLE ADAPTEE Responsable : CANAT Sylvie MASTER 2 SPECIALITE
Plus en détailOSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL
OSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL À : &' 1$,'6 M. Richard Drouin, O.C., c.r. Président, Commission d examen sur la rémunération des juges 2CVTKEM,/QPCJCP DATE :
Plus en détailFAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)
FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailUne guerre juste est-elle possible?
Pseudonyme : Colombine Nombre de mots : 1942 mots Une guerre juste est-elle possible? 8000 traités de paix ont été dénombrés jusqu à aujourd hui 1. C est dire qu au moins 8000 guerres ont façonné l histoire.
Plus en détail3 thèses : Problématique :
LA CONSCIENCE Problématique : 3 thèses : Thèse 1 : L âme est une substance. A. L âme est une substance individuelle. B. La conscience comme substance pensante une et indivisible. Thèse 2 : La conscience
Plus en détailSuis-je toujours le même?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN Suis-je toujours le même? Introduction Avant de répondre à la question, il faut comme toujours en philosophie bien en comprendre le problème. Le " je suis " fait
Plus en détailEst-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49
Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,
Plus en détailCONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ. 1.4 - Remplacement d instruments
CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Réponse aux questions pratiques liées à l application du règlement CRC n 2002-09 relatif à la comptabilisation des instruments financiers à terme par les entreprises
Plus en détailLa pertinence du choix français de la question préjudicielle de constitutionnalité. Marie Pierre ROUSSEAU
La pertinence du choix français de la question préjudicielle de constitutionnalité Marie Pierre ROUSSEAU Avec l existence du seul contrôle a priori des lois l ordre juridique français n a jusqu à présent
Plus en détailLe concept de leadership
Le concept de leadership Qu est ce qu un leadership? Le leadership d'un individu est, au sein d'un groupe ou d'une collectivité, la relation de confiance qui s'établit entre lui et la majorité des membres
Plus en détailExtraits de la présentation `de Dan Hanganu, architecte à Rimouski, le 17 mai 2006
Extraits de la présentation `de Dan Hanganu, architecte à Rimouski, le 17 mai 2006 Adolf Portmann biologiste suisse, montre bien qu il y a dans la vie plus qu un simple désir de survie. Il y a quelque
Plus en détailDECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détailLucile Cognard. S identifier à son symptôme
Lucile Cognard S identifier à son symptôme Dans notre milieu analytique, l expression est connue : «s identifier à son symptôme». D où vient-elle, que recouvre-t-elle? C est la question que je me suis
Plus en détailTABLE DES MATIERES 521
TABLE DES MATIERES 521 Claude GAUTIER Sandra LAUGIER... Présentation...5 I - LES LIEUX DU SENS COMMUN...25 Vincent DESCOMBES... Réflexions sur la pluralité des sens communs...27 Comment définir le sens
Plus en détailKnowledgeManagement : Repartir de l individu.
KnowledgeManagement : Repartir de l individu. Olivier Le Deuff Ater. Université de Lyon 3 www.guidedesegares.info Le knowledge management (KM ) est un domaine souvent considéré comme récent et dont certains
Plus en détailQu est-ce que le philosopher?
Qu est-ce que le philosopher? François Galichet Professeur à l IUFM d Alsace La philosophie, qui se caractérise par son questionnement ontologique ( «Qu est-ce que?»), ne pouvait manquer de s interroger
Plus en détailModulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1
Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...
Plus en détailNous avons besoin de passeurs
1 Nous avons besoin de passeurs «Lier pratiques culturelles et artistiques, formation tout au long de la vie et citoyenneté» François Vercoutère Du point de vue où je parle, militant d éducation populaire
Plus en détailConclusions de Madame l'avocat général Béatrice De Beaupuis -------------------
1 DEMANDE D AVIS N G 13-70.002 (Art. L. 441-1 du code de l'organisation judiciaire) (Art. 1031-1 à 1031-7 du code de procédure civile) (Art. 706-64 et suiv. du code de procédure pénale) TRIBUNAL DES AFFAIRES
Plus en détailDONS, D HOSPITALITÉ. Lignes directrices 1. mai 2012 COMMISSAIRE À L ÉTHIQUE ET À LA DÉONTOLOGIE
DONS, AVANTAGES ET MARQUES D HOSPITALITÉ Lignes directrices 1 mai 2012 COMMISSAIRE À L ÉTHIQUE ET À LA DÉONTOLOGIE 1 En application de l article 89 du Code, le commissaire peut publier des lignes directrices
Plus en détailSOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT
SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction
Plus en détailLivret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s
Livret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s Un livret, pour qui? Ce livret est destiné aux parents et futurs parents qui souhaitent trouver un mode de garde
Plus en détailChapitre 1 Qu est-ce qu une expression régulière?
Chapitre 1 Qu est-ce qu une expression régulière? Les ordinateurs n ont pas du tout la même conception des textes que nous : pour nous, un texte est un ensemble d idées couchées sur papier. Nous nous en
Plus en détailMyfox, la maison connectée pour tous.
Dossier de presse 2013 Myfox, la maison connectée pour tous. Sommaire : Genèse de l entreprise de l idée à la réalité P3 Une entreprise à l ADN singulier faciliter le quotidien P4 L innovation comme credo
Plus en détail> Tome 1 : La raison et le réel. Cours-PH00 19. Cned Académie en ligne
> Tome 1 : La raison et le réel Cours-PH00 19 > Introduction à l examen du programme : les sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances?......................................
Plus en détailConvention sur la réduction des cas d apatridie
Convention sur la réduction des cas d apatridie 1961 Faite à New York le 30 août 1961. Entrée en vigueur le 13 décembre 1975. Nations Unies, Recueil des Traités, vol. 989, p. 175. Copyright Nations Unies
Plus en détailSur «Quelqu un peut-il connaître une même chose mieux qu un autre?» de Thomas d Aquin
Université Libre de Bruxelles Faculté de Philosophie et Lettres Lecture approfondie de textes philosophiques II : Moyen Âge Sur «Quelqu un peut-il connaître une même chose mieux qu un autre?» de Thomas
Plus en détailChacun peut-il penser ce qu il veut? - Chacun : concerne l individu, pas la collectivité - Peut-il : a) a-t-il la capacité? b) a-t-il le droit?
Chacun peut-il penser ce qu il veut? - Chacun : concerne l individu, pas la collectivité - Peut-il : a) a-t-il la capacité? b) a-t-il le droit? - Penser : a) avoir des idées, des opinions b) raisonner,
Plus en détailRawls et Habermas : le primat du Juste sur le Bien
Culture Générale Rawls et Habermas : le primat du Juste sur le Bien Christophe Cervellon Agré de philosophie, ancien élève de l École Normale Supérieure (Ulm). L américain John Rawls (né en 1921) et l
Plus en détailCarte mentale : outil pédagogique
Carte mentale : outil pédagogique Qu'est-ce qu'une carte mentale? Le terme peut surprendre, il est directement traduit de l'anglais : Mind map. L'organisation de la carte mentale rompt avec les hiérarchies
Plus en détailUNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE
UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE ÉCOLE DOCTORALE CONCEPTS ET LANGAGE T H È S E pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE Discipline : LINGUISTIQUE Présentée et soutenue par : Zeina EL HELOU
Plus en détailRèglement d INTERPOL sur le traitement des données
BUREAU DES AFFAIRES JURIDIQUES Règlement d INTERPOL sur le traitement des données [III/IRPD/GA/2011(2014)] REFERENCES 51 ème session de l Assemblée générale, résolution AGN/51/RES/1, portant adoption du
Plus en détailLes enjeux existentiels du dirigeant
La complexité, tout simplement Les rencontres Trajectives Les enjeux existentiels du dirigeant S accomplir pour mieux diriger la transformation Qui sommes-nous? Un cabinet avec 10 années d expérience et
Plus en détailProjet de recherche - Mission de Recherche Droit et Justice. Etude comparative des influences du principe de précaution sur la responsabilité
Projet de recherche - Mission de Recherche Droit et Justice Etude comparative des influences du principe de précaution sur la responsabilité Responsable scientifique : juridique Mathilde Boutonnet, maître
Plus en détail«Je pense, donc je suis» est une grande découverte
6 «Je pense, donc je suis» est une grande découverte Cette affaire-là est assez claire. On lit dans le Discours de la méthode, Quatrième Partie : «[ ] Je me résolus de feindre que toutes les choses qui
Plus en détailSTATUTS Association Cantonale d Animation de la Combe de Savoie. Titre 1 : Constitution, objet, siège social, durée
STATUTS Association Cantonale d Animation de la Combe de Savoie Titre 1 : Constitution, objet, siège social, durée Article 1 : Constitution et dénomination Il est fondé entre les adhérents aux présents
Plus en détailInterprétation de la norme ISO 9001 au regard de la philosophie de Deming
Interprétation de la norme ISO 9001 au regard de la philosophie de Deming Conférence de Jean-Marie Gogue Le terme assurance de la qualité est apparu aux Etats-Unis après la seconde guerre mondiale. Il
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailLa Faculté de Droit Virtuelle est la plate-forme pédagogique de la Faculté de Droit de Lyon www.facdedroit-lyon3.com
La Faculté de Droit Virtuelle est la plate-forme pédagogique de la Faculté de Droit de Lyon www.facdedroit-lyon3.com Fiche à jour au 12 novembre 2010 FIICHE PEDAGOGIIQUE VIIRTUELLE Matière : Droit de la
Plus en détailChapitre 2 LE CAS PRATIQUE
Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE Demande de conseil. Le cas pratique est un exercice juridique qui, à l instar d une personne se trouvant en situation de litige avec autrui, demande conseil. C est un exercice
Plus en détailCoaching et Team Building
recherché par les entreprises Ils représentent deux leviers ENTREPRISE Coaching et Team Building des outils de management au service de la personne, des entreprises et des organisations Serge LANTEAUME
Plus en détailLes principes du professionnalisme
1. Au sein de la profession actuarielle, le professionnalisme signifie : l application des connaissances et du savoir-faire spécialisés de l actuaire; un comportement éthique, plus particulièrement dans
Plus en détailComment remplir le formulaire de requête. I. Ce qu il faut savoir avant de remplir le formulaire de requête
FRA 2014/1 Comment remplir le formulaire de requête I. Ce qu il faut savoir avant de remplir le formulaire de requête Les griefs que la Cour peut examiner La Cour européenne des droits de l homme est une
Plus en détailCompétences terminales de cours. philosophiques. Enseignement secondaire 3 ème degré
Enseignant La finance islamique I Compétences terminales de cours philosophiques Enseignement secondaire 3 ème degré COMPTE D'ÉPARGNE + INTÉRÊT ALEX 230 Porte d entrée Banque Compétences Sentir, ressentir
Plus en détailRègle 63 DIVORCE ET DROIT DE LA FAMILLE
Règle 63 DIVORCE ET DROIT DE LA FAMILLE Définitions (1) Les définitions qui suivent s appliquent à la présente règle. Champ d application «demande de réparation» Sont comprises parmi les demandes de réparation
Plus en détailPascal Engel. Si l une des marques de l époque moderne a été le désenchantement. vis à vis des valeurs, et en particulier vis à vis des valeurs de la
1 EST-IL RATIONNEL D ÊTRE RATIONNEL? Pascal Engel In Grand dictionnaire de philosophie Larousse, 2003 Si l une des marques de l époque moderne a été le désenchantement vis à vis des valeurs, et en particulier
Plus en détailThème 2 : Cycle de vie des projets d innovation: ambigüité, incertitude, production de savoir et dynamisme
Thème 2 : Cycle de vie des projets d innovation: ambigüité, incertitude, production de savoir et dynamisme Serghei Floricel Dans l introduction nous avons mentionné que les projets d innovation suivent
Plus en détailCONCOURS NOUVEAU CENTRE DE SERVICES DE LA GAPPE DÉCOUVRIR NOTRE NOUVEAU CENTRE DE SERVICES DE LA GAPPE, UNE EXPÉRIENCE AGRÉABLE ET PAYANTE! À GAGNER!
Du 15 juin au 14 septembre 2015 CONCOURS NOUVEAU CENTRE DE SERVICES DE LA GAPPE DÉCOUVRIR NOTRE NOUVEAU CENTRE DE SERVICES DE LA GAPPE, UNE EXPÉRIENCE AGRÉABLE ET PAYANTE! À GAGNER! DEVENEZ MEMBRE DESJARDINS!
Plus en détailUn atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes
Débat et argumentation Un atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes à travers le partage d expériences «La question se pose de savoir si le lien social ne se constitue que dans la lutte pour la
Plus en détailCERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité?
CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité? Automne 2011 QU EST-CE QU UN CERTIFICAT DE SÉCURITÉ? Créée en 1978, la procédure actuelle trouve son fondement dans la loi sur l immigration
Plus en détailMARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs,
MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs, Je vous remercie de votre présence aujourd hui et de l attention que vous avez bien voulu porter à mon travail. Je remercie particulièrement Francis
Plus en détailOLIVIER BOBINEAU : L APPROCHE SOCIOLOGIQUE DES RELIGIONS
OLIVIERBOBINEAU:L APPROCHESOCIOLOGIQUEDESRELIGIONS Nousestimerionsquenosrecherchesneméritentpasune heuredepeinesiellesnedevaientavoirqu unintérêt spéculatif Durkheim,LaDivisionduTravailSocial,Introduction(1895).
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détail«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie. Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris
«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris OBJECTIFS 1- Niveau et insertion dans la programmation 2-
Plus en détailEntraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions?
Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions? Il est clair que la finalité principale d une démarche d investigation est de faire acquérir des connaissances aux élèves.
Plus en détailC11 : Principes et pratique de l assurance
Spécimen de questionnaire d examen C11 : Principes et pratique de l assurance IMPORTANT : Vous disposez de 3 heures pour passer cet examen. Total : 200 points Lorsque vous quittez la salle d examen, vous
Plus en détailLe menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire
Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,
Plus en détailLa société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012. Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr
La société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012 Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr Le décret n 2012-407 du 23 /03 /2012 (JO du 25 /03) relatif aux sociétés interprofessionnelles
Plus en détailInstitut économique de Montréal. Rapport d un sondage omnibus. Juin 2005
Institut économique de Montréal Rapport d un sondage omnibus Juin 2005 Opinion des Québécois à l égard du jugement de la Cour suprême du Canada relatif à l interdiction aux citoyens de payer pour des soins
Plus en détailLOI N 61-10 DU 7 MARS 1961 déterminant la nationalité sénégalaise, modifiée
LOI N 61-10 DU 7 MARS 1961 déterminant la nationalité sénégalaise, modifiée (JO n 4984 p. 13) L assemblée nationale à délibéré et adopté, Le président de la république promulgue la loi dont la teneur suit
Plus en détailConsolidation de fondamentaux
Consolidation de fondamentaux Point de vue communicationnel sur le réel Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Question 31 31. Que signifie «avoir un point de vue communicationnel sur le réel»?
Plus en détailSÉNAT PROPOSITION DE LOI
N 61 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2010-2011 Enregistré à la Présidence du Sénat le 25 octobre 2010 PROPOSITION DE LOI sur les sondages visant à mieux garantir la sincérité du débat politique et électoral,
Plus en détailRECOMMANDATIONS COMMISSION
L 120/20 Journal officiel de l Union européenne 7.5.2008 RECOMMANDATIONS COMMISSION RECOMMANDATION DE LA COMMISSION du 6 mai 2008 relative à l assurance qualité externe des contrôleurs légaux des comptes
Plus en détailCONVENTION CONCERNANT L ASSISTANCE ADMINISTRATIVE MUTUELLE EN MATIÈRE FISCALE
CONVENTION CONCERNANT L ASSISTANCE ADMINISTRATIVE MUTUELLE EN MATIÈRE FISCALE Texte amendé conformément aux dispositions du Protocole d amendement à la Convention concernant l assistance administrative
Plus en détailLa voix universelle kantienne : une voix ordinaire? Cavell lecteur de Kant.
La voix universelle kantienne : une voix ordinaire? Cavell lecteur de Kant. Stanley Cavell entreprend de «réintroduire la voix humaine dans la philosophie» 1, comme l a montré Sandra Laugier à de nombreuses
Plus en détailLE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE
Ville-École-Intégration, n 119, décembre 1999 LE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE Jean-Pierre ARCHAMBAULT (*) Les TICE favorisent le travail collectif et aident au travail individuel, ont l attrait de
Plus en détailLA CONNAISSANCE DE L INDÉTERMINÉ Le sens commun dans la théorie de l action
VALENTINA GUEORGUIEVA LA CONNAISSANCE DE L INDÉTERMINÉ Le sens commun dans la théorie de l action Thèse présentée à la Faculté des études supérieures de l'université Laval dans le cadre du programme de
Plus en détailDans quelle situation se trouve l enseignant dans sa classe, sachant que nous restons là, à un degré de généralités?
L autonomie de l enseignant dans sa classe : quelles compétences? INTRODUCTION L autonomie, finalité qui avec la socialisation, la responsabilité, sont revenues sur le devant de la scène dans les discours
Plus en détail«Contradictions entre la recherche de la Vérité et la Tolérance: La Vérité est nécessairement sans contradiction possible».
«Contradictions entre la recherche de la Vérité et la Tolérance: La Vérité est nécessairement sans contradiction possible». La recherche de la Vérité est la clé de voûte du travail dans notre atelier,
Plus en détailSuperbus : À la chaîne
Superbus : À la chaîne Paroles et musique : Jennifer Ayache, Patrice Focone Polydor Universal Thèmes Le monde virtuel, la dépendance. Objectifs Objectifs communicatifs : Interpréter des images. Faire des
Plus en détailConseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017
Conseil régional Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Dans ce tableau, la numérotation est utilisée afin de faciliter le suivi de la présentation. Légende Palier N signifie national R signifie régional
Plus en détailCARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION
CARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION Société des Coaches Gestaltistes Coordinateur projet: Marius Moutet INTRODUCTION Un coaching d individus ou d équipe inspiré de la posture humaniste
Plus en détailL objectif de cet enseignement Est de comprendre comment la créativité et l innovation sont les moteurs de l évolution technologique
L objectif de cet enseignement Est de comprendre comment la créativité et l innovation sont les moteurs de l évolution technologique Est de confronter les élèves à des démarches permettant de favoriser
Plus en détail01 02 59 X. Entreprise
01 02 59 X Demanderesse c. VISA DESJARDINS Entreprise LA DEMANDE DE RECTIFICATION La demanderesse demande à Visa Desjardins de faire corriger sa côte de crédit R-9 qui résulte, prétend-t-elle, d une mauvaise
Plus en détailPeut-on assimiler le vivant à une machine?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN Peut-on assimiler le vivant à une machine? Introduction Assimiler quelque chose à, c est traiter comme semblable à, c est regarder comme semblable. L assimilation
Plus en détailQU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN?
QU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN? Si je vous posais la question suivante: Etes-vous partisans de l Eau Bien Commun? J obtiendrais une réponse positive unanime. Mais si je vous posais ensuite la question
Plus en détailREGLEMENT FINANCIER ET CONTRAT DE PRELEVEMENT MENSUEL AUTOMATIQUE. relatif au paiement de la facture d eau et d assainissement. Entre..
DEPARTEMENT D EURE ET LOIR ARRONDISSEMENT DE NOGENT LE ROTROU CANTON DE LA LOUPE REGLEMENT FINANCIER ET CONTRAT DE PRELEVEMENT MENSUEL AUTOMATIQUE relatif au paiement de la facture d eau et d assainissement
Plus en détailQu est-ce qu un résumé?
Méthodologie d analyse et de mémoire Résumer un texte Quelques astuces et techniques Licence GSINFO Département GEII IUT d Évry N. Abchiche Mimouni 1 Qu est-ce qu un résumé? Exprime de façon brève, les
Plus en détail25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE
25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE Fidèle aux exigences de Liberté, d Égalité et de Fraternité qui le fondent, le Grand Orient de France a pour principe essentiel la liberté absolue
Plus en détailConventions d écriture et outils de mise au point
Logiciel de base Première année par alternance Responsable : Christophe Rippert Christophe.Rippert@Grenoble-INP.fr Introduction Conventions d écriture et outils de mise au point On va utiliser dans cette
Plus en détailLES DONNÉES CLIENTS APPLIQUÉES À LA MOBILITÉ : ENJEUX, ÉVOLUTIONS ET ACTIONS
LES DONNÉES CLIENTS APPLIQUÉES À LA MOBILITÉ : ENJEUX, ÉVOLUTIONS ET ACTIONS BIG DATA, DIRTY DATA, MULTI DATA : DE LA THÉORIE À LA PRATIQUE : ARTÉMIS Paris le 4 avril 2013 EFFIA Synergies 20 Bd Poniatowski
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION DES ETUDIANTS EN DROIT DE L UNIVERSITÉ DE GENÈVE
STATUTS DE L ASSOCIATION DES ETUDIANTS EN DROIT DE L UNIVERSITÉ DE GENÈVE TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Art. Fondation L association des Etudiants en Droit de l Université de Genève (ci-après AED) est
Plus en détailBénéficiaires du droit d asile dans l UE, par nationalités, 2014. Irak 5% Afghanistan
82/2015-12 mai 2015 Décisions sur les demandes d asile dans l UE Les États membres de l UE ont accordé la protection à plus de 185 000 demandeurs d asile en 2014 Les Syriens demeurent les premiers bénéficiaires
Plus en détail