Atelier 6 Policiers et réduction des méfaits au regard du phénomène de l usage de drogues par injection
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- Laure Agnès Turgeon
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1 Ministère de la Santé et des Services sociaux Direction générale de santé publique Atelier 6 Policiers et réduction des méfaits au regard du phénomène de l usage de drogues par injection Séminaire Intersection/MSP 2015 Laval, 21 mai 2015
2 Indiquez en un mot votre perception de : Usager de drogues par injection 2
3 L usage de drogues par injection : une problématique complexe Gouvernement du Québec (2014). Vers une meilleure cohérence des interventions en matière de santé et de sécurité publiques auprès des personnes utilisatrices de drogues par injection Guide de prévention des infections transmissibles sexuellement et par le sang à l intention des services policiers, des groupes communautaires et des établissements de santé et de services sociaux. MSSS, MSP. 3
4 SERVICE DE POLICE DE LAVAL Travaux interministériels sur la cohérence des interventions en matière de santé et de sécurité publiques auprès des personnes utilisatrices de drogues par injection
5 La première rencontre
6 Ce qui n a pas marché Nous avons commenté nos perceptions du travail de l autre et l impact que ceux-ci avaient sur notre mandat = La confrontation Ce qui a fonctionné Nous avons expliqué notre mandat et la mission de notre service, ainsi que la raison des actions posées = La compréhension et la collaboration.
7 Objectifs de l atelier Mieux connaître les interventions du secteur de la santé et des services sociaux pour atteindre une meilleure cohérence des interventions en matière de santé et de sécurité publique auprès des personnes utilisatrices de drogues par injection
8 Déroulement 1ère partie Kaven Dion, Association québécoise pour la promotion de la santé des personnes utilisatrices de drogues Richard Cloutier, ministère de la Santé et des Services sociaux l usage de drogues par injection vue par une personne qui consomme ; l approche de réduction des méfaits l accès au matériel d injection
9 Déroulement 2ème partie Yanik Tétreault, Service de police de Laval Carole Morissette, Direction de santé publique de Montréal les défis de cohérence entre les actions de sécurité publique et les actions de santé publique auprès des personnes qui font usage de drogues par injection ; les services d injection supervisée.
10 Les motifs de la consommation de drogues de la recherche du plaisir au soulagement
11
12 Selon Stanton Peele : «La dépendance (à un psychotrope) est rattachée à l effet qu il produit sur une personne donnée, dans des circonstances données ; un effet qui supprime l angoisse et qui diminue la capacité de l individu à faire face à la vie de sorte que toutes les situations anxiogènes de sa vie s aggravent.»
13 Selon Stanton Peele, la dépendance : est un continuum; détourne la personne de tous ses autres centres d intérêt ; n est pas une expérience agréable ; est l incapacité de choisir de ne pas faire quelque chose
14 Les stratégies de lutte à la toxicomanie : la prévention de l usage des drogues (réduction de la demande) la diminution de l offre par le contrôle des stupéfiants la réadaptation des personnes aux prises avec une dépendance
15 L approche de réduction des méfaits Au lieu de viser uniquement à réduire la consommation en soi, elle tente de réduire les conséquences néfastes associées à la consommation de drogues Pragmatisme et humanisme 15
16 L approche de réduction des méfaits Le pragmatisme permet de ne pas viser essentiellement l absence de consommation de substances pour intervenir auprès de personnes qui en font l usage, ce qui est souvent peu réaliste Rupture avec l IDÉALISME (société sans drogue, pression à l abstinence) 16
17 L approche de réduction des méfaits L humanisme quant à lui, permet de tenir compte de la qualité de vie des personnes plutôt qu uniquement de leur consommation de substances Rupture avec le PATERNALISME (protéger les gens malgré eux) 17
18 L approche de réduction des méfaits ne donne pas le feu vert à la consommation de drogues, elle aide à mieux gérer celle-ci lorsque la personne n envisage pas ou ne peut envisager l arrêt de la consommation prône une série d objectifs hiérarchisés visant à régler les problèmes les plus urgents d abord respect de la dignité des personnes qui utilisent des drogues pas de jugement à l égard de l utilisation de psychotropes 18
19 19 ASSOCIATION GENEVOISE DE REDUCTION DES RISQUES LIÉS AUX DROGUES
20 Plan d action interministériel en toxicomanie du gouvernement du Québec «Les personnes qui ne sont pas dépendantes mais dont la consommation de psychotropes génère des effets néfastes pour elles ou leur entourage, doivent bénéficier d une intervention précoce» 20
21 1. Répression 2. Thérapie 3. Prévention 4. Réduction des risques (méfaits) Stratégie des quatre piliers ASSOCIATION GENEVOISE DE REDUCTION DES RISQUES LIÉS AUX DROGUES 21
22 L approche de réduction des méfaits Quel est le programme de réduction des méfaits liés à l alcool qui origine du Québec et qui est très répandu? 22
23 L approche de réduction des méfaits Les programmes qui aident les personnes dépendantes à l alcool à mieux gérer leur consommation 23
24 Pouvez-vous nommer d autres approches de réduction des méfaits? pour le tabac? pour la conduite automobile? pour les relations sexuelles? 24
25 Les facteurs qui amènent à consommer des drogues par injection le rituel notion de partage recherche d un effet plus direct, plus fort et, par conséquent, plus satisfaisant moins visible en cas d interpellation par la police
26 Les conséquences de l usage de drogues par injection elle met en danger la santé, la sécurité ou la vie de la personne et l empêchent de remplir ses engagements ou d accomplir ses tâches correctement peut rendre une personne plus vulnérable socialement et engendrer des comportements illicites ou dangereux qui donneront éventuellement lieu à la stigmatisation de cette personne, à la judiciarisation de son cas ou à son incarcération
27 Les conséquences de l usage de drogues par injection Au Québec, 15 % des personnes UDI sont infectées par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) ; 63 % des personnes UDI sont infectées par le virus de l'hépatite C (VHC) ; chaque année, 2 personnes UDI sur 100 deviennent infectées par le VIH et 27 sur 100 par le VHC.
28 L'illégalité qui entoure la possession de drogues affecte les comportements des personnes UDI de multiples manières ; par exemple, elles sont souvent réticentes à : transporter sur elles du matériel d'injection ; utiliser les boîtes de récupération de seringues mises à leur disposition ; s'injecter la drogue avec précaution ; s'adresser à la police pour obtenir de l'aide ou des services d'urgence ; rester dans leur milieu pour bénéficier des services de santé et des services sociaux qui y sont offerts ; garder sur elles les drogues qu'elles transportent.
29 29 Les programmes d échange de seringues
30 Nombre de centres d accès au matériel d injection au Québec selon le type d établissements et la région, 2014 Région CSSS CLSC CSSS CH Clinique ou GMF CRD Pharmacie Organisme communautaire Bas-Saint-Laurent Saguenay Lac-Saint-Jean Capitale-Nationale Mauricie et Centre-du- Québec Estrie Montréal Outaouais Abitibi-Témiscamingue Côte-Nord Nord-du-Québec Gaspésie Îles-de-la- Madeleine Chaudière-Appalaches Laval Lanaudière Laurentides Montérégie Total Total
31 Les programmes d échange de seringues Trousses composées de : 4 Stéricups 4 ampoules d eau 4 tampons d alcool 4 seringues neuves condoms 31
32 Matériel d injection distribué au Québec en millions de seringues 1.5 million de Stéricups 1.9 million d ampoules d eau
33 Proportion des participants (%) Utilisation de seringues et de matériels déjà utilisés par quelqu un d autre Seringues Autres matériels (emprunt d'au moins un item) p<0, à 2013, p<0,001 25,8 % 16,9 % 33 SURVUDI, INSPQ Années
34 Efficacité de la réduction des méfaits SOURCE : GOUVERNEMENT DU QUÉBEC, 2014: 23
35 35 ASSOCIATION GENEVOISE DE REDUCTION DES RISQUES LIÉS AUX DROGUES
36 Traitement de substitution aux opiacés : la méthadone et la buprénorphine Opioïdes synthétiques permettant d éliminer les symptômes de sevrage aux opiacés, sans provoquer d euphorie et sur la base d une administration orale quotidienne.
37 Distribution de kit de prévention des surdoses par opioïdes : Naloxone 37 Voir aussi :
38 Risques de transmission Les policiers sont à très faible risque de devenir infectés par le VIH ou le VHC dans le cadre de leurs fonctions. Il n y a pas de cas documenté au Québec de transmission professionnelle du VIH, du VHB ou du VHC chez les policiers. 38
39 39 ASSOCIATION GENEVOISE DE REDUCTION DES RISQUES LIÉS AUX DROGUES
40 40 manchettes/on-n-est-pas-juste-destoxicomanes.html
41 Consommer des drogues et vivre dans la rue entre les services de santé et les services de police 41
42
43 Bulletin d'information et de liaison sur la police de type communautaire, numéro 32, 2011 Cloutier, R. Vers une meilleure collaboration entre les services de police et les programmes de réduction des méfaits liés à l usage des drogues 43
44 Indiquez en un mot votre perception de : Usager de drogues par injection 44
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