ETUDE D IMPACT SUR LA GENEVE INTERNATIONALE
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- Véronique Lecours
- il y a 8 ans
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1 1 ETUDE D IMPACT SUR LA GENEVE INTERNATIONALE 1. Objectifs du mandat L étude présentée ci- après a été commandée par la Fondation pour Genève à quatre universités romandes : l Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, l Institut de hautes études internationales et du développement et les Universités de Genève et Lausanne. Ce projet part d un constat et d une inquiétude du mandant : la croissance économique et démographique de Genève, qui a été en grande partie liée à sa capacité à attirer des entreprises multinationales et des organisations internationales gouvernementales et non gouvernementales, ne met- elle pas le canton face à un risque de saturation et d explosion, qui se manifesterait déjà aujourd hui, notamment par les difficultés de circulation dans Genève et la pénurie de logements, plus particulièrement dans certains segments du marché, qui se traduit par une augmentation des loyers? La question qui se pose est dès lors de savoir si ces tensions, particulièrement perceptibles par la population, sont susceptibles de remettre en cause la politique locale à l égard des entreprises multinationales et des organisations internationales gouvernementales et non gouvernementales. L objectif principal du mandat est donc d évaluer l impact sur Genève et la région qui l entoure de sa composante internationale. Il s agit également d évaluer les conséquences d une attractivité persistante en termes notamment d infrastructure, d emplois, de demande de services liés à la présence du secteur international et de politiques publiques cantonales, municipales et régionales. En étudiant les éventuels clusters qui unissent, au sein de la région genevoise, les entreprises multinationales aux entreprises locales, organisations internationales gouvernementales ou non, cette analyse devrait permettre la mise en valeur des atouts sur lesquels la région devrait s appuyer pour maintenir sa position mais aussi les facteurs d engorgement qui pourraient constituer, à plus ou moins long terme, des obstacles au renforcement du secteur international. Ces questions, complexes, ont soulevé quelques difficultés auxquelles l équipe des chercheurs s est trouvée confrontée. Elles concernent notamment la notion d impact que nous nous sommes efforcés de rendre opératoire, au- delà du concept de valeur ajoutée créée par le secteur international. En soi, ce secteur n est pas aisé à délimiter ce qui constitue une autre difficulté majeure de cette étude. Finalement, dernière difficulté, il s agit de déterminer quels indicateurs employer pour évaluer l impact de la Genève internationale sur sa région. 2. Hypothèses de travail En comparaison internationale, Genève est une petite «ville mondiale» confrontée à des problèmes à la fois locaux et globaux. De plus, la mondialité de Genève ne se réduit pas à sa composante diplomatique et onusienne. Nous avons dès lors choisi d étudier conjointement les logiques productives et sociales, locales et globales, qui ne peuvent être dissociées. Forts de ces hypothèses, nous avons souhaité examiner en particulier l expansion de l agglomération genevoise, étudier le degré de mondialité de Genève et analyser finalement si l espace urbain genevois se segmente.
2 2 I. LE CONTEXTE REGIONAL : GENEVE COMME «PETITE VILLE MONDIALE» La première partie de l étude a consisté à établir une cartographie résidentielle des populations établies dans la région genevoise en examinant à l échelle communale la croissance démographique. 1. Expansion L analyse des données démographiques issues des recensements fédéraux de la population met en évidence une forte croissance démographique, soutenue par le solde migratoire, avec déversement du surplus aux périphéries (Nyon et France). La croissance généralisée de l emploi attirant des frontaliers plus nombreux et recrutés plus loin. En somme, une expansion réelle mais à une échelle limitée, avec des densités qui restent faibles. 2. Mondialité Premièrement, Genève est une métropole mondiale, connectée aux réseaux mondiaux. De fait, sa mondialité ne se résume pas à une «Genève internationale» réduite aux entreprises multinationales, aux OI, ONG et missions diplomatiques : elle est le fait de flux de personnes, d investissements et d idées, à différentes échelles, de celle des principaux réseaux financiers mondiaux à celle des pendulaires annemassiens. Derrière l expression réductrice «Genève internationale» se dresse une réalité protéiforme. Or, les chiffres et études existants ne nous disent pas ce qu est véritablement le secteur international, sa composition socio- culturelle, la longueur des séjours des personnes qui forment ce secteur, l origine nationale des employés et des investissements, ni comment ses différentes composantes (multinationales, OI, ONG et missions diplomatiques) interagissent (l'existence d'une douzaine de clusters n'a pas fait l'objet d'études fouillées) et encore moins la manière dont il s intègre dans le tissu socio- économique et l espace genevois. 3. Segmentation L analyse des données résidentielles de la population établie dans le canton de Genève et sa région environnante démontre l existence d oppositions productives liées notamment à la concentration du tertiaire supérieur (finance, services aux entreprises, diplomatie ) dans l hyper- centre. Il existe d autre part des oppositions contre- productives associées à de larges périphéries essentiellement résidentielles et une pénurie de logements dans le centre, peu combattue. L hypothèse que nous émettons à ce propos est celle de l existence d une «urbaphobie» qui freine l urbanisation du centre genevois. PRINCIPALES CONCLUSIONS 1. Cosmopolitisme hors du commun de Genève alimenté par la forte attractivité internationale de l hyper- centre.
3 3 2. Risque de déconnexion entre une mondialisation «par le haut» (élite socioculturelle) et «par le bas» (main- d œuvre subalterne). La population étrangère témoigne de la gentrification de Genève. 3. Genève croît mais n est pas au bord de l explosion et reste une petite métropole. 4. Les mondialités de Genève sont intégrées au plan productif mais génèrent une segmentation croissante de l espace urbain. 5. Plus que la mobilité, logement et gouvernance sont donc les vrais enjeux du développement genevois. II. LES MULTINATIONALES ETRANGERES 1. Domaines d'activité Les multinationales étrangères se trouvent, pour la majeure partie, dans les branches du commerce de gros (17,8%), des activités financières et assurances (21%) et des activités spécialisées, scientifiques et techniques (22,1%). Les emplois des multinationales étrangères dans le commerce de gros représentent 57,8% du nombre total des emplois genevois dans cette même branche, ce qui est notablement plus élevé que pour la part des établissements (9,7%). Les emplois des multinationales étrangères dans la branche des activités financières et assurances représentent 37% des emplois genevois dans cette branche, ce qui est également largement supérieur à la part des établissements (10,8%). Les multinationales étrangères représentent 3,1% du nombre total des établissements dans l'économie genevoise et 16,8% du nombre total des emplois. 2. Valeur ajoutée La valeur ajoutée des multinationales étrangères dans l'économie genevoise se monte à 8,6 milliards, ce qui représente 22% de la valeur ajoutée totale genevoise. 90,5% de la valeur ajoutée des multinationales étrangères sont réalisés dans le secteur tertiaire, en premier lieu par la branche des activités financières et assurances (41,5%) et par les activités de commerce (26,1%). Les multinationales étrangères contribuent pour 21,6% à la valeur ajoutée totale du canton, pour 11,6% à la valeur ajoutée du secteur secondaire et pour 23,7% à la valeur ajoutée du secteur tertiaire. La masse salariale se monte à 5,5 milliards, soit 24% de la masse totale genevoise. 3. Impôts revenant aux canton et communes Selon nos estimations, le montant des impôts sur les multinationales étrangères atteint430 millions, ce qui représente 26% du total des impôts sur les sociétés de capitaux et coopératives.
4 4 Selon nos estimations, les personnes travaillant dans les multinationales ont versé au total 928 millions au titre d'impôts cantonaux et communaux sur le revenu et d'ifd, soit environ 27% du total de l'impôt sur le revenu de l'etat. A noter que ce montant est pour le moment surestimé car il ne prend pas encore en considération le nombre de personnes résidant dans un autre canton. PRINCIPALES CONCLUSIONS 1. VALEUR AJOUTEE directe créée par les entreprises multinationales étrangères s élève à 8,6 milliards ce qui représente 22% de la valeur ajoutée totale genevoise. 2. LE NOMBRE D EMPLOIS en équivalents plein- temps s élève à 42'702 ce qui représente 18% du total genevois. 3. LES IMPOTS versés par les entreprises multinationales se montent à 430 millions ce qui représente 26% du total des impôts sur les sociétés de capitaux et coopératives. 4. LES IMPOTS payés par les personnes physiques employées par les entreprises multinationales s élèvent à 928 millions ce qui représente 27% du total de l'impôt sur le revenu prélevé par l'etat. 5. LA MASSE SALARIALE TOTALE versée par les entreprises multinationales se monte à 5,5 milliards ce qui représente 24% de la masse salariale totale genevoise. III. LE PERSONNEL EMPLOYE PAR LES MULTINATIONALES 1. Secteurs économiques Les Suisses représentent 43.6 % du nombre total d employés des multinationales (suisses et étrangères confondues) contre 42.1 % dans le reste de l économie genevoise. Cette première observation, basée sur les données de l Enquête suisse sur la structure des salaires pour l année 2010 qui ont été, pour la première fois analysée pour comparer ces deux groupes d entreprises, bat en brèche une idée reçue concernant le personnel employé par les multinationales, souvent perçues comme des employeurs engageant une forte majorité de personnes étrangères. Dans les multinationales, les Suisses sont particulièrement représentés dans les secteurs des industries manufacturières (47.4%), les activités financières et d assurance (58.6%), les activités immobilières (63.9%) et les activités de services administratifs et de soutien (50%). Parmi les secteurs
5 5 où les multinationales suisses sont prépondérantes, seules les industries manufacturières emploient davantage de Suisses que le reste de l économie genevoise. A contrario, parmi les secteurs où les multinationales étrangères sont plus représentées, les Suisses sont moins nombreux dans les secteurs du commerce de gros et de la réparation (30.7% contre 40.1% pour le reste de l économie) et dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques (32.8% contre 57%). 2. Position hiérarchique, niveau de formation et niveau d exigence du poste Dans les multinationales, une plus faible part de Suisses occupe des postes de cadres supérieurs (6.8% pour l ensemble des secteurs économiques) que dans l ensemble de l économie genevoise (11.7%), mais occupe davantage des postes de cadres moyens ou inférieurs. Une plus grande part d étrangers (détenteurs de permis C ou B) occupe des postes de cadres supérieurs (8.6% contre 4%). En termes de niveau de formations et de niveau d exigence du poste, les employés suisses travaillant dans les multinationales ou dans les autres entreprises, non- multinationales, ont un profil similaire. En revanche, les employés étrangers des multinationales sont mieux formés que les employés étrangers travaillant dans le reste de l économie. Ainsi plus de 60 % des étrangers des multinationales sont détenteurs d une formation supérieure (université ou HES) contre 20% dans le reste de l économie. De même, les étrangers occupent davantage les postes les plus exigeants dans les multinationales. Ce résultat confirme la pénurie de personnel qualifié dont souffre l économie genevoise tout comme l économie suisse qui contraint nombre d entreprises, notamment les multinationales, à recruter leur personnel à l étranger. 3. Différences salariales Un employé d une multinationale ayant un profil similaire (en termes de niveau de formation, d expérience professionnelle, position hiérarchique, domaine d activité, etc.) à celui d un employé travaillant dans une entreprise non- multinationale gagnera en moyenne 15% de plus. Une analyse plus détaillée de cette différence de traitement permet de constater que les entreprises multinationales ont tendance à rémunérer davantage les employées ayant un haut niveau de formation ou dont le niveau d exigence du poste est élevé. Cette tendance à valoriser les formations plus que ce que ne font les entreprises locales confirme une nouvelle fois la pénurie de personnel qualifié évoqué précédemment. Résultats préliminaires des questionnaires individuels 1. Personnel des entreprises multinationales et des banques Les personnes travaillant dans les entreprises multinationales et les banques sont en grande majorité des ressortissants de l Union européenne (80% dont plus de 20% de Suisses). Ils travaillent en moyenne dans le canton de Genève depuis 12.6 ans et près de 75% des ménages parlent français. Ce résultat tend à battre en brèche une autre idée reçue selon laquelle les employés des entreprises multinationales seraient pour la plupart des personnes qui séjournent très peu de temps à Genève et qui, dès lors, ne cherchent pas nécessairement à s y insérer. Ces personnes déclarent par ailleurs que
6 6 le fait de trouver un logement figure parmi les principaux problèmes qu elles ont rencontré (50% des répondants) en venant travailler à Genève. 2. Personnel des organisations internationales Bien que près de 70% des répondants sont des ressortissants des pays de l Union européenne, seuls 8% sont suisses. Ils travaillent en moyenne dans le canton depuis 11 ans, mais seuls 43% des ménages parlent français. À nouveau, la question du logement figure parmi les principaux problèmes rencontrés par les répondants. PRINCIPALES CONCLUSIONS Bien qu encore préliminaires, ces premiers résultats battent en brèche des idées reçues concernant la composition du personnel employé par les multinationales qui ne diffère guère de celle des entreprises qui ne font pas partie de ce groupe. Les données de l enquête sur la structure des salaires confirment également la pénurie de personnel qualifié dont souffre l économie genevoise tout comme l économie suisse qui contraint nombre d entreprises, notamment les multinationales, à recruter leur personnel à l étranger. Cette situation explique aussi pourquoi ces entreprises valorisent fortement le niveau de formation du personnel qui obtient, toutes choses égales par ailleurs, des rémunérations plus élevées que les employés des entreprises non multinationales. Ces résultats sont conformes aux conclusions dérivées de l analyse effectuée sur l impact des entreprises multinationales qui ont révélé que ce secteur avait une valeur ajoutée par personne significativement plus élevée que celle des autres entreprises. Les résultats préliminaires de notre étude indiquent que l image de «l expatrié» qu on se fait de la population étrangère occupée dans le secteur international est quelque peu fausse. Ces employés sont en moyenne présents à Genève depuis de nombreuses années (alors qu un turn- over plus important était attendu) et sont en grande majorité francophones, bien que cela soit moins le cas pour les employés des organisations internationales. A l instar des Genevois, le logement figure en tête des problèmes rencontrés par le personnel du secteur international. Ces résultats ne confirment en tous les cas pas l image d une population déconnectée du reste de la cité et d une segmentation entre la Genève internationale et sa région d accueil. IV. LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES GOUVENEMENTALES ET NON GOUVERNEMANTALES ET LES MISSIONS PERMANENTES Deux questionnaires ont été envoyés aux organisations internationales gouvernementales (OI) et non- gouvernementales (ONG), et aux missions permanentes (MP). Le premier était destiné aux représentants des ressources humaines et/ou Top Management. Cette enquête comportait des
7 7 questions générales sur leurs organisations respectives. La deuxième enquête était destinée aux employés de ces organisations et elle comportait des questions portant sur leur vie professionnelle et expériences à Genève. Le taux de réponse varie pour chaque groupe d acteurs mentionné ci- dessus, et est actuellement de 41% pour les OIs, 13.5% pour les ONGs et 4% pour les MPs. Le taux de réponses au questionnaire «Personnel des organisations internationales gouvernementales et non- gouvernementales et des missions permanentes» est de 6.5%. Les premiers résultats montrent que, pour les OIs, les deux facteurs les plus importants quant à l attractivité de Genève sont la présence d'organisation(s)/société(s) importante(s) pour les activités de leurs organisations et la politique d accueil de la Suisse comme État hôte (système des privilèges et immunités et facilités). Un autre facteur important est lié à la qualité de la vie pour les employés de ces organisations internationales. Les MPs évoquent les mêmes facteurs comme étant les plus importants pour eux. Les ONGs accordent également une grande importance à la présence d'organisation(s)/société(s) importante(s) pour les activités de leurs organisations (il s agit du facteur choisi par la grande majorité). Les autres facteurs les plus fréquemment cités sont la politique d accueil de la Suisse comme État hôte ainsi que la position géographique et la réputation de Genève. En ce qui concerne les relations qui existent entre toutes ces organisations, dans l optique de la formation de clusters régionaux, il est intéressant de relever que 89% des OIs, 79% des ONGs et 44% des MPs qui ont répondu au questionnaire, admettent avoir des interactions fréquentes avec des OIs basées à Genève. De surcroît, 48% des OIs, 81% des ONGs et 33% des MPs disent interagir fréquemment avec des ONGs. Ces résultats semblent démontrer l existence d un effet d agglomération qui constitue en soi un facteur d attraction pour d autres organisations internationales. En revanche, cet effet ne semble pas se manifester entre le secteur public et le secteur privé qui semble avoir beaucoup moins de contacts entre eux. Ainsi, 18% seulement des OIs et 27% des ONGs déclarent avoir des interactions fréquentes avec des entreprises multinationales. Les OIs les plus citées en termes de fréquence d interactions sont l ONUG, l OMS et l OIT. Par contre, la grande partie des organisations qui ont complété les questionnaires avaient du mal à indiquer avec quelles ONGs et surtout avec quelles entreprises multinationales (le cas échéant) elles interagissent. Il est intéressant de relever également que la grande majorité des organisations qui ont répondu aux questionnaires déclare se sentir bien acceptée par la population de Genève, de la région et de la Suisse en général. Les MPs perçoivent leur présence à Genève comme étant indispensable pour leurs Etats d origine. Les ONGs indiquent pour la plupart d entre elles qu aucune autre ville ou canton suisse n aurait pu entrer en considération pour l installation de leurs bureaux. Les ONGs ainsi que les OIs peuvent uniquement imaginer être présentes à New York si elles n avaient pas de bureaux à Genève, mais elles évoquent très rarement d autres villes (telles que Bruxelles, Vienne, Lausanne, ou autre).
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