FRANCE SCÉNARIO

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "FRANCE SCÉNARIO"

Transcription

1 16 mai 217 FRANCE SCÉNARIO Une reprise modeste mais des signes d amélioration Ludovic MARTIN

2 FRANCE SCÉNARIO SYNTHÈSE FOCUS : LE PROGRAMME ÉCONOMIQUE D EMMANUEL MACRON LES TENDANCES RÉCENTES DE L ACTIVITÉ SCÉNARIO : UNE LÉGÈRE ACCÉLÉRATION DE LA CROISSANCE

3 1 Ce scénario s inscrit dans un calendrier électoral chargé pour la France en 217, avec, après l élection présidentielle, les élections législatives en juin. Notre prévision est établie à politique économique globalement inchangée. Le scénario est en bonne partie déterminé par l environnement mondial, économique et financier, et par le déroulement du cycle conjoncturel. Il sera ajusté en fonction des mesures de politique économique mises en place par le nouveau gouvernement. Les facteurs de soutien externes (euro, pétrole et taux) continuent à jouer plutôt favorablement, même si le pétrole et les taux longs amorcent une remontée. Par ailleurs, l effet favorable de certaines mesures de politique économique et notamment de soutien aux entreprises (CICE, Pacte de responsabilité) justifie notre prévision de croissance, dont le dynamisme est toutefois limité par des contraintes structurelles persistantes (chômage élevé, déficit de compétitivité, assainissement budgétaire ). La reprise en France reposerait donc sur une composante cyclique un peu plus importante, la conjoncture s améliorant peu à peu à la faveur d une reprise autoentretenue (investissement-emploi-revenuconsommation). 1. La consommation des ménages reste le moteur principal de la reprise. La dynamique de la consommation s étiolerait toutefois un peu (+1,4% en 217 et 218, après +1,8% en 216), car la hausse de l inflation limiterait la progression du pouvoir d achat. Après +,2% en moyenne annuelle en 216, l inflation atteindrait +1,2% en 217 et 1,3% en 218 (chiffre Insee, inflation totale). 2. La reprise de l investissement est favorisée par les mesures en faveur des entreprises. L amélioration des marges et des profits des entreprises, combinée à une hausse du taux d utilisation des capacités de production, suggèrent une poursuite de la reprise de l investissement. Nous prévoyons une hausse de 3,7% de l investissement des entreprises en 217, puis 4,7% en 218, après 3,9% en Après avoir pesé fortement sur la croissance en 216, la contribution du commerce extérieur resterait négative en 217 et 218, mais dans une moindre mesure. Le contexte de change, une modeste amélioration de la demande adressée à la France et des perspectives plus favorables dans certains secteurs comme l aéronautique et le tourisme soutiendraient les exportations françaises. Leur reprise resterait toutefois assez poussive dans la mesure où la France souffre d un déficit persistant de compétitivité (coût et hors coût). Par ailleurs, les importations continueraient de progresser, mais sur un rythme modéré, dans le sillage de la demande interne. 4. Marché du travail : nous retenons une légère baisse du taux de chômage avec 9,5% en 217 et 9,3% en 218, après 9,7% en 216 (chiffre Insee, France métropolitaine), avec l effet favorable de la reprise économique. Mais des freins et des risques persistants : compétitivité insuffisante, déficit public, chômage élevé, incertitudes électorales en Europe. D où une reprise qui reste modeste.

4 1 1,5 1,,5, -,5-1, Variation moyenne annuelle (%) France contributions à la croissance annuelle, % 2,5 2,1 1,9 2,, 217 T2 à 218 T4 : prévisions Croissance et composantes,2 T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 PIB 1,2 1,1 1,3 1,4,6 -,1,2,5,3,4,4,4,4,4,4,4 Consommation privée 1,5 1,8 1,4 1,4 1,2,2,1,6,1,5,4,4,3,3,3,3 Investissement (FBCF totale),9 2,7 2,8 3,6 1,1,1,2,6,9,9,9,9,9,9,9,9 Variation des stocks*,1 -,,2 -,3 -,2 -,8,7 -,2,6 -,3 -,2 -,2,,,, Exportations nettes* -,3 -,8 -,7 -,2 -,2,5 -,6,2 -,7,,, -,1 -,1 -,1 -,1 Taux de chômage (Eurostat) 1,4 1, 9,8 9,7 1,1 1, 1, 1, 9,9 9,8 9,9 9,8 9,8 9,7 9,8 9,7 Inflation (trimestrielle : var. sur un an),1,2 1,2 1,3,,1,4,5 1,2 1,1 1,2 1,2 1,4 1,3 1,2 1,2 Solde public (% PIB) -3,6-3,4-3,2-3,3 * Contributions à la croissance du PIB,6,7 Variation trimestrielle (%) ,2 1,1 prévisions Evolution des stocks Dépenses de consommation FBCF totale Commerce extérieur PIB 1,3 1,4

5 FRANCE SCÉNARIO SYNTHÈSE FOCUS : LE PROGRAMME ÉCONOMIQUE D EMMANUEL MACRON LES TENDANCES RÉCENTES DE L ACTIVITÉ SCÉNARIO : UNE LÉGÈRE ACCÉLÉRATION DE LA CROISSANCE

6 2 1. avec une poursuite des efforts entrepris afin d améliorer la compétitivité-coût et la compétitivité-qualité de l économie française : - Baisse d impôts et de charges pour les entreprises, à hauteur de 15 milliards d euros sur cinq ans, taux de l impôt sur les sociétés ramené à 25%, transformation du CICE en baisse de charges pérenne de six points. - Réforme du droit du travail : plus grande flexibilité accordée au marché du travail et renforcement des négociations sociales au niveau des branches et des entreprises. - Soutien à l innovation et aux secteurs porteurs, hausse des investissements publics de 1 milliards d euros en matière de transition écologique et énergétique, numérisation, transports, santé Création d un fonds européen de défense et établissement d un budget commun de la zone euro. - Respect du seuil de 3% du PIB pour le déficit et réduction graduelle du déficit public, vers 1% du PIB en 222. D importantes économies en dépenses sont prévues, chiffrées à 6 milliards d euros sur cinq ans (économies sur l assurancemaladie, système plus incitatif au retour à l emploi, avec prestations chômage strictement conditionnées aux efforts de recherche d un travail, réductions d effectifs de la fonction publique). 3. en direction des ménages, notamment les moins favorisés. - Hausses de dépenses (15 milliards d euros) : aides publiques à l éducation et à la formation professionnelle, des chômeurs en particulier ; prime pour l embauche d une personne venant de zones prioritaires ; assurance chômage ouverte aux salariés démissionnaires et aux professions indépendantes. - Baisses d impôts (1 milliards d euros) : exonération de la taxe d habitation pour 8% des ménages ; baisse des cotisations salariales pour les salariés, financée par une hausse de la CSG.

7 2 Ce programme devrait permettre un nouveau redressement des marges et de la compétitivité-coût des entreprises et donc une reprise de l investissement et, à moyen terme, de l emploi. Par ailleurs, les mesures prévues sur le droit du travail et l assurancechômage devraient favoriser à moyen terme les créations d emplois. La hausse des investissements publics devrait contribuer d une part à soutenir l innovation et les secteurs d avenir, d autre part à améliorer les qualifications des jeunes et des demandeurs d emploi. Toutefois, il n est pas sûr que les plans de soutien aux entreprises et aux ménages, d ampleur assez mesurée, réduisent significativement les faiblesses structurelles de la France. Ce programme devrait donc au total permettre un redressement graduel de la croissance et de l emploi en A court terme, on peut noter que la priorité semble donnée à l adoption d une réforme rapide du marché du travail par le recours à des ordonnances. Le résultat des élections législatives (qui se tiendront les 11 et 18 juin) conditionne toutefois l usage de cette procédure qui requiert l approbation de l Assemblée nationale. Cette réforme viserait vraisemblablement à : 1) généraliser l inversion de la hiérarchie des normes, afin de renforcer la négociation au niveau des entreprises, notamment sur les salaires, 2) fusionner les différentes institutions représentatives du personnel, 3) plafonner les dommages et intérêts accordés par les prud hommes en cas de licenciement sans cause réelle et sérieuse. L institut Opinionway (3/5/217) a publié une projection des résultats des élections législatives. Il ne s agit pas d un sondage, mais d une projection réalisée à partir des résultats des précédentes élections. Cette étude donne «La République en marche» premier groupe parlementaire à l assemblée avec 249 à 286 sièges, suivi par le groupe LR / UDI obtenant 2 à 21 sièges. Le Front National obtiendrait entre 15 et 25 sièges. Projection de l'assemblée Nationale En Marche LR / UDI PS / EELV FN Front de Gauche Source : Institut Opinionway (3/5/217), Crédit Agricole S.A. 5%

8 FRANCE SCÉNARIO SYNTHÈSE FOCUS : LE PROGRAMME ÉCONOMIQUE D EMMANUEL MACRON LES TENDANCES RÉCENTES DE L ACTIVITÉ SCÉNARIO : UNE LÉGÈRE ACCÉLÉRATION DE LA CROISSANCE

9 3 Une croissance qui ne dissipe pas les doutes Indice de diffusion et croissance 2, contributions à la croissance trimestrielle, % 15% % 5 1,5 1,,5 1% 5% , % -,5-1, -5% ,5-2, -1% -15% Solde extérieur Demande interne hors stocks Variation des stocks PIB Indice de diffusion PIB sur un an (dr) Source : Crédit Agricole S.A. Le PIB progresse modérément au T1 217, avec une croissance conforme aux attentes (+,3% sur le trimestre). Un chiffre de croissance porté par une accélération de l investissement des entreprises et des ménages, ainsi que par les stocks, tandis que la consommation des ménages est Source : Crédit Agricole S.A. quasi atone et que le commerce extérieur pèse négativement. L indice de diffusion témoigne d une nette reprise : positif à +75%, il signifie que 75% des variables se sont améliorées sur un an.

10 3 Climat des affaires Insee Confiance des ménages indice, 1 = moyenne de LT solde d opinions, CVS Climat des affaires global Climat des affaires dans l'industrie Climat des affaires dans les services -4-6 Intention de réaliser des achats importants Evolution future du chômage Opportunité d'épargner Le climat des affaires est bien orienté depuis le début de l année. Il témoigne d une accélération de la croissance, aussi bien dans le secteur des services que dans l industrie. Le niveau de la confiance des ménages reste bien orienté après un rebond fin 216-début 217. Les craintes sur l évolution du marché de l emploi diminuent et les intentions de réaliser des achats importants progressent.

11 3 Production industrielle Consommation des ménages en biens 1 variation sur un an, % 2 %, a/a, mm Production industrielle Production manufacturière Après trois mois de recul, la production manufacturière rebondit nettement en mars. L amélioration des données d enquêtes commence à poindre dans les données dures. L acquis de croissance pour le T2 est de 1,4% sur un trimestre Consommation de biens durables Consommation automobile Consommation de biens La consommation des ménages marque le pas au premier trimestre 217, avec un repli assez net dans les biens (-,4% sur le trimestre, après +1,% au T4 216), ce qui se justifie surtout par la baisse des dépenses en énergie. Les achats en biens fabriqués ralentissent (+,4%, après +1,%), principalement en raison d un repli des achats de véhicules.

12 FRANCE SCÉNARIO SYNTHÈSE FOCUS : LE PROGRAMME ÉCONOMIQUE D EMMANUEL MACRON LES TENDANCES RÉCENTES DE L ACTIVITÉ SCÉNARIO : UNE LÉGÈRE ACCÉLÉRATION DE LA CROISSANCE

13 4 1,5 1, Contributions aux variations de l indice des prix à la consommation % variation sur un an, % Evolution des prix ,5 1 5, -,5-1, juil.-15 oct.-15 janv.-16 avr.-16 juil.-16 oct.-16 janv.-17 Alimentaire Produits manufacturés Energie Tabac Services CPI Après deux années d inflation proche du plancher ( ), l inflation a connu un net rebond fin 216. Ce rebond se justifiait surtout par des effets de base liés à l évolution du prix de l énergie. Toutefois, il s étiolerait progressivement. En , plusieurs facteurs soutiennent une hausse modérée des prix : 1) Le redressement graduel du prix des matières premières ; 2) Les prix à la production accélèrent dans certains pays émergents, dont la Chine, ce qui peut susciter un regain d inflation importée, dans un contexte où l euro demeure assez bas.. Inflation totale Prix à la production (dr) Inflation sous-jacente Prix à l'importation (dr) L inflation sous-jacente est résiliente, mais sans élan. Elle convergerait néanmoins progressivement vers le niveau de l inflation totale. Plusieurs éléments limitent les pressions inflationnistes en France : 1) Le taux de chômage reste élevé et ne se résorbe que lentement, ce qui génère peu d inflation salariale (cf. courbe de Phillips) ; 2) Les prix des produits manufacturés reculent

14 4 Pouvoir d'achat et consommation Marché du travail 4 variation sur un an, % 1,5 % variation sur un an, % 4, 3 1, 3, ,5 9, 8,5 8, 3, 2,5 2, 1,5-1 7,5 1, -2 Pouvoir d'achat du RDB Consommation des ménages en volume Prix à la consommation 7, 6,5 Salaires par tête (dr) Taux de chômage,5, La consommation privée resterait le principal moteur de la croissance. En , la dynamique de la consommation des ménages a bénéficié de gains en pouvoir d achat liés à la faiblesse de l inflation, proche de zéro en moyenne sur la période. En , le pouvoir d achat du revenu disponible progresserait assez modérément avec le retour d une inflation plus élevée. Par ailleurs, les salaires continueraient à progresser sur un rythme quasi inchangé (environ 1,5% l an) et le taux de chômage reculerait modérément (9,3% en 218, chiffre Insee, France métropolitaine, contre 9,7% début 217). Pour compenser la hausse de l inflation, l évolution de la consommation reposera donc aussi sur le comportement d épargne des ménages. Or, depuis la crise de 28, ceux-ci ont eu tendance à accroître leur taux d épargne (proche de 15% fin 216). En , ils atténueraient en partie ce comportement, ce qui est cohérent avec l amélioration récente de la confiance.

15 4 Profits et taux d utilisation des capacités de production Taux de marge et investissement 9 % variation sur un an, % % variation sur un an, % Profits des sociétés non financières (dr) Taux d'utilisation des capacités productives FBCF en vol (dr) Taux de marge (EBE/VA) -15 L investissement des entreprises continuerait de progresser modérément reflétant ainsi l amélioration des marges des entreprises permises par les mesures de politique économique telles que le CICE et le Pacte de responsabilité. Le taux de marge des sociétés non financières a atteint 31,7% fin 216 (niveau le plus élevé depuis 29), et les profits après dividendes ont rebondi de 8% en 216 après une hausse de 15% en 215. Les enquêtes de conjoncture témoignent d intentions d investir à des niveaux honorables. Enfin, on peut aussi noter que le taux d utilisation des capacités remonte. D une part, les entreprises peuvent rester en partie attentistes eu égard au calendrier électoral européen. D autre part, l impact attendu des politiques économiques mises en place (CICE et Pacte de responsabilité) ne saurait être surestimé ; en effet, si les mesures de politique économique de baisse des charges ont un impact positif, un risque de dilution de ces mesures ne peut être exclu. En outre, l usage de cette «bouffée d oxygène» pour investir par les entreprises reste incertain.

16 4 PMI : nouvelles commandes à l exportation et prix à la production Commerce extérieur 7 points 3 sur un an, % milliards d euros Nouvelles commandes à l'export Prix de production -3 Commerce exterieur net (dr) Importations en valeur Exportations en valeur -1 On peut attendre une légère amélioration en lien avec une demande mondiale adressée à la France plus forte et un euro assez bas. L amélioration des perspectives dans certains pays émergents (producteurs de pétrole, Russie, Brésil) et une croissance américaine revue un peu à la hausse suscitent un regain de demande. D un point de vue sectoriel, la livraison de certains grands contrats militaires et le secteur de l aéronautique jouent favorablement. Le secteur du tourisme connaîtrait aussi une amélioration après une année difficile. En sens inverse, le déficit structurel de compétitivité de l économie française (coût et hors coût) continue de constituer un frein, même si on peut noter une amélioration sur la période récente. Enfin, du côté des importations, elles continueraient de progresser dans le sillage de la demande interne.

17 Ludovic MARTIN Economiste - France +33() ludovic.martin@credit-agricole-sa.fr POUR CONSULTER OU VOUS ABONNER À NOS PUBLICATIONS SUR INTERNET : Crédit Agricole S.A. Études Économiques Groupe 12 place des Etats-Unis Montrouge Cedex Directeur de la Publication : Isabelle Job-Bazille - Rédacteur en chef : Armelle Sarda Documentation : Dominique Petit - Statistiques : Robin Mourier Contact: publication.eco@credit-agricole-sa.fr Nos publications économiques non confidentielles sont également accessibles sur l application «Études Eco» disponible sur l App Store et sur Google Play Cette publication reflète l opinion de Crédit Agricole S.A. à la date de sa publication, sauf mention contraire (contributeurs extérieurs). Cette opinion est susceptible d être modifiée à tout moment sans notification. Elle est réalisée à titre purement informatif. Ni l information contenue, ni les analyses qui y sont exprimées ne constituent en aucune façon une offre de vente ou une sollicitation commerciale et ne sauraient engager la responsabilité du Crédit Agricole S.A. ou de l une de ses filiales ou d une Caisse Régionale. Crédit Agricole S.A. ne garantit ni l exactitude, ni l exhaustivité de ces opinions comme des sources d informations à partir desquelles elles ont été obtenues, bien que ces sources d informations soient réputées fiables. Ni Crédit Agricole S.A., ni une de ses filiales ou une Caisse Régionale, ne sauraient donc engager sa responsabilité au titre de la divulgation ou de l utilisation des informations contenues dans cette publication.

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2015-2016

FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2015-2016 Trimestriel n /231 17 juillet 2 FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2-216 Reprise ou stabilisation? Des signaux de reprise du marché sont apparus ces derniers mois. Il ne

Plus en détail

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier Pacte de responsabilité et de solidarité Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier 1 2 INTERVENTION DE MONSIEUR MICHEL JOUVENOT DIRECTEUR DE LA BANQUE

Plus en détail

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique Trimestriel 27 Janvier 214 nº2 Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 213 Tendances > Progressif redémarrage de l activité attendue au 4 e trimestre 213, mais l évolution du PIB devrait rester

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération

Plus en détail

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement

Plus en détail

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation

Plus en détail

ECONOTE N 18. Société Générale Département des études économiques FRANCE : POURQUOI LE SOLDE DES PAIEMENTS

ECONOTE N 18. Société Générale Département des études économiques FRANCE : POURQUOI LE SOLDE DES PAIEMENTS N 18 JUIN 213 ECONOTE Société Générale Département des études économiques FRANCE : POURQUOI LE SOLDE DES PAIEMENTS COURANTS SE DÉGRADE-T-IL DEPUIS PLUS DE 1 ANS? Le solde extérieur courant de la France

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée

Plus en détail

Enquête sur les perspectives des entreprises

Enquête sur les perspectives des entreprises Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,

Plus en détail

Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux

Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux 7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour

Plus en détail

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé

Plus en détail

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre

Plus en détail

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014 Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression

Plus en détail

Table des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...

Table des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux... Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les

Plus en détail

Septembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse

Septembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Septembre 2013 Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Baromètre bancaire 2013 Executive summary 3 1 Evolution économique globale 1.1 Economie internationale 1.2 Suisse

Plus en détail

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 17/06/2014 Angoulême

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 17/06/2014 Angoulême Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 17/06/2014 Angoulême 1 Le Pacte : quel contexte? Contexte national: la reprise économique se dessine, mais le chômage frappe encore trop fort notre pays.

Plus en détail

La Banque nationale suisse surprend les marchés

La Banque nationale suisse surprend les marchés La Banque nationale suisse surprend les marchés 16 janvier 2015 Faits saillants États-Unis : baisse décevante des ventes au détail en décembre. États-Unis : les prix de l essence font diminuer l inflation,

Plus en détail

Immobilier en France : Léger mieux dans le neuf en 2015

Immobilier en France : Léger mieux dans le neuf en 2015 Trimestriel n 42 Octobre 214 Immobilier en France : Léger mieux dans le neuf en 21 Le marché résidentiel continue à se corriger lentement. La baisse reste modérée, beaucoup plus que dans la plupart des

Plus en détail

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des

Plus en détail

RAPPORT SUR LA LISIBILITE DES PRELEVEMENTS ET

RAPPORT SUR LA LISIBILITE DES PRELEVEMENTS ET Haut Conseil du financement de la protection sociale RAPPORT SUR LA LISIBILITE DES PRELEVEMENTS ET L ARCHITECTURE FINANCIERE DES REGIMES SOCIAUX Juillet 2015 Page 1 Page 2 INTRODUCTION Le Premier Ministre

Plus en détail

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE

Plus en détail

Questions générales sur le Pacte

Questions générales sur le Pacte QUESTIONS-RÉPONSES Questions/réponses sur le pacte de responsabilité et de solidarité Questions générales sur le Pacte QUAND CES MESURES SERONT-ELLES TRADUITES DANS LA LOI? Certaines mesures entrent en

Plus en détail

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai 25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de

Plus en détail

AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014

AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance

Plus en détail

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success. Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien

Plus en détail

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,

Plus en détail

Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique

Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable

Plus en détail

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident

Plus en détail

La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux

La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des

Plus en détail

Lecture commentée du rapport 2004 de la Banque Nationale

Lecture commentée du rapport 2004 de la Banque Nationale Fondation Travail-Université Chaussée de Haecht, 579 1030 - BRUXELLES PG/BL/B.1.4./04052005/05.035. Lecture commentée du rapport 2004 de la Banque Nationale François MARTOU 1. L environnement international

Plus en détail

Letko, Brosseau & Associés Inc.

Letko, Brosseau & Associés Inc. Letko, Brosseau & Associés Inc. Perspectives sur la conjoncture économique et les marchés financiers Sommaire L amélioration progressive de la conjoncture économique dans les pays développés, menée par

Plus en détail

Zone euro Indicateur d impact du QE

Zone euro Indicateur d impact du QE N 1/263 1 er septembre 21 Zone euro Indicateur d impact du Avec l annonce d un programme étendu d achats d actifs non stérilisés (quantitative easing, ), portant essentiellement sur des titres souverains,

Plus en détail

Le poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux

Le poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux AMBASSADE DE FRANCE AUX ETATS-UNIS MISSION FINANCIÈRE FRENCH TREASURY OFFICE 11 RESERVOIR ROAD, NW WASHINGTON D.C. 7 TEL : () 9-33, FAX : () 9-39 E - M A I L : afny@missioneco.org 1 SEVENTH AVENUE, 3 TH

Plus en détail

INSEE CONJONCTURE NOTE DE CONJONCTURE REPRISE POUSSIVE

INSEE CONJONCTURE NOTE DE CONJONCTURE REPRISE POUSSIVE INSEE CONJONCTURE NOTE DE CONJONCTURE REPRISE POUSSIVE DÉCEMBRE 2013 NOTE DE CONJONCTURE Décembre 2013 Insee 2013 Institut national de la statistique et des études économiques Directeur général : Jean-Luc

Plus en détail

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues

Plus en détail

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite

Plus en détail

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications

Plus en détail

Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques

Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble

Plus en détail

Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude

Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective

Plus en détail

credit crunch ou non?

credit crunch ou non? ANALYSE FEB Financement des investissements : credit crunch ou non? Octobre 2013 8,1% II recul des investissements en comparaison avec leur niveau le plus élevé avant la crise 13,9% II l augmentation de

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 6 juin 2014 AGEN 5 années de croissance perdues 1 850 Volume de la production nationale en milliard d'euros constants (valeur 2005) 1 800 1 750 1 700

Plus en détail

RAPPORT PRÉPARATOIRE AU DÉBAT D ORIENTATION DES FINANCES PUBLIQUES

RAPPORT PRÉPARATOIRE AU DÉBAT D ORIENTATION DES FINANCES PUBLIQUES R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E RAPPORT SUR L ÉVOLUTION DE L ÉCONOMIE NATIONALE ET SUR LES ORIENTATIONS DES FINANCES PUBLIQUES RAPPORT PRÉPARATOIRE AU DÉBAT D ORIENTATION DES FINANCES PUBLIQUES (TOME

Plus en détail

Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008

Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008 Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008 Les organisations syndicales signataires : CFDT, SNECA-CGC, SUD AtlantiCA TABLE DES MATIERES L ACCORD INDEX TABLE DES MATIERES

Plus en détail

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan

Plus en détail

RÉSUMÉ POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC. Par : Service de fiscalité

RÉSUMÉ POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC. Par : Service de fiscalité RÉSUMÉ POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Par : Service de fiscalité PRÉSENTATION Veuillez prendre note qu'il ne s'agit pas d'un résumé exhaustif de toutes les mesures contenues

Plus en détail

11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014

11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 11 juin 2014 Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 - 2 - Sommaire Le Pacte de responsabilité et de solidarité pour la croissance et l emploi... 5 Les dates clés du pacte de responsabilité

Plus en détail

RISK INDEX 2014 SUISSE

RISK INDEX 2014 SUISSE RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur

Plus en détail

POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE

POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.

Plus en détail

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des

Plus en détail

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février 25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre

Plus en détail

Le Pacte de responsabilité et de solidarité

Le Pacte de responsabilité et de solidarité Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage

Plus en détail

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy

Plus en détail

2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?

2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos

Plus en détail

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du date Ville

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du date Ville Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du date Ville 1 Le Pacte : quel contexte? Contexte national : début de reprise économique, mais chômage encore trop fort Dans notre région, une problématique

Plus en détail

L économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions

L économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes

Plus en détail

COMPRENDRE LA BOURSE

COMPRENDRE LA BOURSE COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.

Plus en détail

Table des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1

Table des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle

Plus en détail

Avis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014

Avis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 Paris, le 12 juin 2014 Avis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 Délibération n CONS. 13 12 juin 2014 Projet de loi de financement rectificative de la

Plus en détail

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne

Plus en détail

RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415

RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge

Plus en détail

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires

Plus en détail

Choc pétrolier et pause conjoncturelle en France

Choc pétrolier et pause conjoncturelle en France Choc pétrolier et pause conjoncturelle en France Direction des Études Économiques http://kiosque-eco.credit-agricole.fr Juillet 8 1 Sommaire 1. Environnement international 1.1. La crise financière reléguée

Plus en détail

RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT

RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente

Plus en détail

Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes

Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes N o 11 626 X au catalogue N o 26 ISSN 1927-548 ISBN 978--66-2984-5 Document analytique Aperçus économiques Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes par André Bernard Direction des

Plus en détail

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques

Plus en détail

LE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE

LE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE DE LA GESTION PRIVÉE COMPTE RENDU DAVID DESOLNEUX DIRECTEUR DE LA GESTION SCÉNARIO ÉCONOMIQUE ACTIVITÉS La croissance économique redémarre, portée par les pays développés. Aux Etats-Unis, après une croissance

Plus en détail

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget.

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Votre partenaire Budget Ce guide vous est offert Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Pourquoi? Parce que sans cette étape, il n est pas possible de bien gérer son compte bancaire

Plus en détail

MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE MEM. Avril 2014

MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE MEM. Avril 2014 MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE Avril 2014 Éditeur BAKBASEL Rédaction Florian Zainhofer Esteban Lanter Max Künnemann Adresse BAK Basel Economics AG Güterstrasse 82 CH-4053 Basel T +41 61 279 97 00 F +41

Plus en détail

3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques

3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques 3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par

Plus en détail

Commission des Affaires économiques. «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues

Commission des Affaires économiques. «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues Commission des Affaires économiques «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues La protection des épargnants «Le Gouvernement ne protège pas les petits épargnants comme

Plus en détail

L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»

L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» 193-202.qxp 09/11/2004 17:19 Page 193 L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» Département analyse et prévision de l OFCE La rentabilité des entreprises s'est nettement redressée en 2003 et 2004. Amorcée aux

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES

L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES 22ème rapport annuel de L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES présenté par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mardi 16 mars 2010 - Les faits marquants en 2009

Plus en détail

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse

Plus en détail

LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE

LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE 201 LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE Jérôme JAFFRÉ Directeur du Centre d Études et de Connaissances sur l Opinion Publique Jean-Pierre GAILLARD Président du Cercle des Epargnants Philippe CREVEL Secrétaire

Plus en détail

LES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010

LES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 Contact presse Éva Quickert-Menzel 01 44 38 22 03 Sommaire Chiffres-clés des retraites...

Plus en détail

Chapitre 3. La répartition

Chapitre 3. La répartition Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations

Plus en détail

Compétitivité française : Quelques constats

Compétitivité française : Quelques constats Compétitivité française : Quelques constats Gilbert Cette Banque de France et Université d Aix-Marseille Gilbert Cette 1 Sommaire 1.1 Dégradation alarmante 1.2 Dégradation stoppée 1.3 En particulier vis-à-vis

Plus en détail

L euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité

L euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité L euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité Université citoyenne d Attac Toulouse, 22 août 2008 Jean-Marie Harribey et Dominique Plihon Les principes néolibéraux Théories de Hayek, Friedman

Plus en détail

QUELLES PERSPECTIVES POUR LES RETRAITES EN France?

QUELLES PERSPECTIVES POUR LES RETRAITES EN France? QUELLES PERSPECTIVES POUR LES RETRAITES EN France? Janvier 2007, par Charles MBENGUE MATANGA À moyen et long terme la situation des retraites en France sera de plus en plus préoccupante, compte tenu notamment

Plus en détail

Les mesures en faveur de

Les mesures en faveur de Les mesures en faveur de l attractivité Invest in France La France est une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. Elle accueille sur son sol plus de 0 000 entreprises

Plus en détail