Chirurgie esthétique génitale chez la femme
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- Camille Olivier
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1 N 300, décembre 2013 Chirurgie esthétique génitale chez la femme La présente déclaration de principe a été rédigée par le comité de pratique clinique - gynécologie et le comité d éthique, et approuvée par le comité exécutif et le Conseil de la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada. AUTEURES PRINCIPALES Dorothy Shaw, MBChB, Vancouver (C.-B.) Guylaine Lefebvre, MD, Toronto (Ont.) Céline Bouchard, MD, Québec (Québec) Jodi Shapiro, MD, MHSc, Toronto (Ont.) Jennifer Blake, MD, Toronto (Ont.) Lisa Allen, MD, Toronto (Ont.) Krista Cassell, MD, Charlottetown (Î.-P.-É.) COMITÉ DE PRATIQUE CLINIQUE - GYNÉCOLOGIE Nicholas Leyland, MD (coprésident), North York (Ont.) Wendy Wolfman, MD (coprésidente), Toronto (Ont.) Catherine Allaire, MD, Vancouver (C.-B.) Alaa Awadalla, MD, Winnipeg (Man.) Carolyn Best, MD, Toronto (Ont.) Sheila Dunn, MD, Toronto (Ont.) Mark Heywood, MD, Vancouver (C.-B.) Madeleine Lemyre, MD, Québec (Québec) Violaine Marcoux, MD, Montréal (Québec) Chantal Menard, inf. aut., Ottawa (Ont.) Frank Potestio, MD, Thunder Bay (Ont.) David Rittenberg, MD, Halifax (N.-É.) Sukhbir Singh, MD, FRCSC, Ottawa (Ont.) COMITÉ D ÉTHIQUE Jodi Shapiro, MD (présidente), Toronto (Ont.) Saima Akhtar, MD, London (Ont.) Mots clés : female genital cosmetic surgery, vulvo-vaginal, labioplasty, clitoral hood size reduction, perineoplasty, vaginoplasty, hymenoplasty, G-spot augmentation Bruno Camire, MD, Québec (Québec) Jan Christilaw, MD, Vancouver (C.-B.) Julie Corey, s.-f. aut., St Jacobs (Ont.) Erin Nelson, BScPT, LLB, LLM, JSD, Edmonton (Alb.) Marianne Pierce, MD, Halifax (N.-É.) Deborah Robertson, MD, Toronto (Ont.) Anne Simmonds, inf. aut., Scotsburn (N.-É.) Tous les membres de comité nous ont fait parvenir une déclaration de divulgation. Les recherches documentaires et le soutien bibliographique nécessaires aux fins de la rédaction de la présente directive clinique ont été assurés par Mme Becky Skidmore, analyste de recherche médicale, Société des obstétriciens et gynécologues du Canada. Résumé Objectif : Fournir aux gynécologues canadiens des directives factuelles en matière de chirurgie esthétique génitale chez la femme, en réponse au nombre grandissant de demandes (et d interventions) de chirurgie vaginale et vulvaire se situant bien au-delà des reconstructions traditionnellement indiquées sur le plan médical. Résultats : La littérature publiée a été récupérée par l intermédiaire de recherches menées dans PubMed ou MEDLINE, CINAHL et The Cochrane Library en 2011 et en 2012 au moyen d un vocabulaire contrôlé et de mots clés appropriés («female genital cosmetic surgery»). Les résultats ont été restreints aux analyses systématiques, aux essais comparatifs randomisés / essais cliniques comparatifs et aux études observationnelles. Aucune restriction n a été appliquée en matière de date ou de langue. Les recherches ont été mises à jour de façon régulière et intégrées à la directive clinique jusqu en mai La littérature grise (non publiée) a été identifiée par l intermédiaire de recherches menées dans les sites Web d organismes s intéressant à l évaluation des technologies dans le domaine de la santé et d organismes connexes, dans des collections de directives cliniques, dans des registres d essais cliniques et auprès de sociétés de spécialité médicale nationales et internationales. J Obstet Gynaecol Can 2013;35(12 suppl. élec. A):e1 e6 Ce document fait état des percées récentes et des progrès cliniques et scientifiques à la date de sa publication et peut faire l objet de modifications. Il ne faut pas interpréter l information qui y figure comme l imposition d un mode de traitement exclusif à suivre. Un établissement hospitalier est libre de dicter des modifications à apporter à ces opinions. En l occurrence, il faut qu il y ait documentation à l appui de cet établissement. Aucune partie de ce document ne peut être reproduite sans une permission écrite de la SOGC. DECEMBER JOGC DÉCEMBRE 2013 e1
2 Critères d évaluation des résultats et de classification des recommandations, fondés sur ceux du Groupe d étude canadien sur les soins de santé préventifs Niveaux de résultats* Catégories de recommandations I: Résultats obtenus dans le cadre d au moins un essai comparatif convenablement randomisé. II-1: Résultats obtenus dans le cadre d essais comparatifs non randomisés bien conçus. II-2: Résultats obtenus dans le cadre d études de cohortes (prospectives ou rétrospectives) ou d études analytiques cas-témoins bien conçues, réalisées de préférence dans plus d un centre ou par plus d un groupe de recherche. II-3: Résultats découlant de comparaisons entre différents moments ou différents lieux, ou selon qu on a ou non recours à une intervention. Des résultats de première importance obtenus dans le cadre d études non comparatives (par exemple, les résultats du traitement à la pénicilline, dans les années 1940) pourraient en outre figurer dans cette catégorie. III: Opinions exprimées par des sommités dans le domaine, fondées sur l expérience clinique, études descriptives ou rapports de comités d experts. A. On dispose de données suffisantes pour appuyer la mesure clinique de prévention. B. On dispose de données acceptables pour appuyer la mesure clinique de prévention. C. Les données existantes sont contradictoires et ne permettent pas de formuler une recommandation pour ou contre l usage de la mesure clinique de prévention; cependant, d autres facteurs peuvent influer sur la prise de décision. D. On dispose de données acceptables pour déconseiller la mesure clinique de prévention. E. On dispose de données suffisantes pour déconseiller la mesure clinique de prévention. L. Les données sont insuffisantes (d un point de vue qantitatif ou qualitatif) et ne permettent pas de formuler une recommandation; cependant, d autres facteurs peuvent influer sur la prise de décision. *La qualité des résultats signalés dans les présentes directives cliniques a été établie conformément aux critères d évaluation des résultats présentés dans le Rapport du Groupe d étude canadien sur les soins de santé préventifs 19. Les recommandations que comprennent les présentes directives cliniques ont été classées conformément à la méthode de classification décrite dans le Rapport du Groupe d étude canadien sur les soins de santé préventifs 19. Valeurs : La qualité des résultats est évaluée au moyen des critères décrits dans le rapport du Groupe d étude canadien sur les soins de santé préventifs (Tableau). Recommandations 1. Un des rôles importants des obstétriciens-gynécologues devrait consister à aider les femmes à comprendre leur anatomie et à en respecter les variantes qui leur sont propres. (III-A) 2. Lorsqu une femme demande la tenue d interventions esthétiques vaginales, une anamnèse médicale, sexuelle et gynécologique exhaustive devrait être obtenue et l absence de tout dysfonctionnement sexuel ou psychologique majeur devrait être établie. La présence possible de coercition ou d exploitation devrait également être écartée. (III-B) 3. Le counseling devrait constituer une priorité dans le cas des femmes qui demandent la tenue d une chirurgie esthétique génitale. Les sujets abordés dans le cadre du counseling devraient comprendre les variations normales et les modifications physiologiques qui se manifestent au cours de la vie, ainsi que la possibilité de connaître des conséquences imprévues à la suite de la tenue d une chirurgie esthétique visant les organes génitaux. Le manque de données en ce qui concerne les issues de la chirurgie et les effets des modifications subséquentes attribuables à la grossesse ou à la ménopause devrait également faire l objet de discussions et être considéré comme faisant partie du processus de consentement éclairé. (III-L) ABRÉVIATIONS ACOG American College of Obstetricians and Gynaecologists CEGF MGF Chirurgie esthétique génitale chez la femme Mutilation génitale des femmes 4. Peu de données soutiennent l amélioration de la satisfaction sexuelle ou de l image de soi qui serait attribuable aux interventions de chirurgie esthétique génitale chez la femme. Les médecins qui choisissent de procéder à de telles interventions esthétiques ne devraient pas en faire la promotion à des fins d amélioration de la fonction sexuelle; de surcroît, le recours à la publicité pour promouvoir les interventions de chirurgie esthétique génitale chez la femme devrait être évité. (III-L) 5. Les médecins qui reçoivent des demandes de chirurgie esthétique génitale de la part d adolescentes doivent chercher à obtenir des compétences additionnelles en ce qui a trait à l offre de services de counseling aux adolescentes. De telles interventions chirurgicales ne devraient pas être offertes avant l atteinte de la pleine maturité physiologique (y compris la maturité génitale); le consentement parental n est alors pas requis. (III-L) 6. Les termes non médicaux (y compris, entre autres, le rajeunissement vaginal, le resurfaçage clitoridien et l augmentation du point G) devraient être reconnus comme n étant que des termes de marketing, sans aucune origine médicale; ainsi, ils ne peuvent faire l objet d une évaluation scientifique. (III-L) Le résumé du présent document a été publié antérieurement dans : J Obstet Gynaecol Can 2013;35(12): INTRODUCTION Au cours des dernières années, le nombre d interventions de chirurgie esthétique génitale offertes aux femmes a connu une hausse. La présente déclaration de principe a pour but de fournir aux gynécologues canadiens des directives e2 DECEMBER JOGC DÉCEMBRE 2013
3 Chirurgie esthétique génitale chez la femme factuelles en ce qui concerne les chirurgies esthétiques vaginales et vulvaires se situant bien au-delà des reconstructions traditionnellement indiquées sur le plan médical. Diverses interventions ont été proposées pour améliorer l apparence ou le rendement des organes génitaux, y compris la labioplastie des petites et des grandes lèvres, la diminution de la taille du capuchon du clitoris, la périnéoplastie, la vaginoplastie, l hyménoplastie et l augmentation du point G 1 5. Ces interventions peuvent être menées seules ou en combinaison; par exemple, la combinaison vaginoplastiepérinéoplastie en est venue à être connue sous le nom de «rajeunissement vaginal» 1 5. Un ensemble déroutant de termes et d attentes est associé à ces nombreuses interventions de CEGF; ces interventions prétendent toutes pouvoir améliorer l apparence et/ou le fonctionnement des organes génitaux d une femme ou son niveau de satisfaction sexuelle. Peu de données sont actuellement disponibles en ce qui concerne l innocuité et l efficacité des interventions de CEGF, la plupart desquelles ne disposant pas de définitions clairement acceptées ou uniformes. Une analyse exhaustive menée par Braun explore avec sensibilité tous les aspects de ce sujet 6. Certains ont fait valoir que ces interventions chirurgicales pourraient s avérer inappropriées et compliquées par des questions d autonomie et d éthique. La chirurgie est de plus en plus considérée comme une intervention qui vise à améliorer la qualité de vie d une personne, et non plus simplement comme une intervention salvatrice. Nous n avons alors d autre choix que de chercher à mettre en balance les souhaits de la patiente en matière de chirurgie et l exigence hippocratique voulant que l on s abstienne de tout mal. Nous devons également nous assurer que la CEGF n enfreint pas les lois traitant de la mutilation génitale des femmes, laquelle fait l objet de controverses et de débats à l échelle internationale. Par conséquent, des sociétés professionnelles d obstétriciens-gynécologues (y compris l ACOG, le Royal College of Obstetricians and Gynaecologists, le Royal Australian and New Zealand College of Obstetricians and Gynaecologists et la Malaysian Society of Obstetricians and Gynaecologists) émettent des recommandations et des politiques en vue de guider leurs membres et les femmes qui demandent à subir des telles chirurgies 1 4. Ces sociétés s entendent toutes pour affirmer que toute intervention de CEGF ne s avérant pas indiquée sur le plan médical ne dispose pas des données requises en matière d innocuité et d efficacité, en plus de présenter de nombreux défis à surmonter. ANATOMIE ET FONCTION DE LA VULVE ET DU VAGIN Les variantes anatomiques normales des organes génitaux féminins s inscrivent dans un vaste continuum. Un des rôles importants des professionnels de la santé des femmes devrait consister à aider les femmes à comprendre leur anatomie et à en respecter les variantes qui leur sont propres. En particulier, le développement pubertaire des organes génitaux externes englobe des modifications dynamiques de l apparence et de la proéminence relative des grandes et des petites lèvres avant l atteinte de la maturité. Les lèvres continuent de se remodeler pendant les grossesses et peuvent à nouveau connaître des modifications importantes pendant la ménopause. Parmi ces modifications connues pendant la ménopause, on peut trouver la résorption partielle des petites lèvres, accompagnée de la perte d élasticité des tissus que cela implique. Un amincissement et une sténose peuvent accompagner une modification atrophique; la douleur ou la difficulté de connaître des relations sexuelles avec pénétration constitue une préoccupation courante. Nous ne disposons d aucune donnée sur le suivi des issues tout au long de ces transitions de la vie. La fonction sexuelle est complexe et associée à de nombreux facteurs autres que l anatomie. Dans le cadre de la réaction sexuelle normale de la femme, le vagin doit être en mesure de se dilater et de «se gonfler». Cette capacité peut être indésirablement affectée par des processus physiologiques (comme la ménopause) et des causes iatrogènes (comme les traitements anticancéreux, la radiothérapie et la chirurgie). L urètre, la vessie et les intestins côtoient étroitement le vagin; ainsi, la chirurgie visant le vagin s accompagne de risques inhérents de nuire à ces importantes structures. Recommandation 1. Un des rôles importants des obstétriciensgynécologues devrait consister à aider les femmes à comprendre leur anatomie et à en respecter les variantes qui leur sont propres. (III-A) INDICATIONS MÉDICALES CONCERNANT LES RÉPARATIONS VULVAIRES ET VAGINALES Une correction chirurgicale s avère indiquée sur le plan médical en présence d un prolapsus pelvien, de déchirures périnéales au moment de l accouchement, de malformations congénitales ou de tumeurs; dans de tels cas, les gynécologues sont souvent les chirurgiens les plus à même de prendre en charge le problème en question. En présence de variations anatomiques considérables, la tenue d une reconstruction chirurgicale pourrait également s avérer indiquée sur le plan médical. Ces chirurgies s accompagnent de risques qui pourraient être éclipsés par les avantages potentiels qu elles offrent; ainsi, la patiente devrait être avisée de la nature de l intervention, de ses risques et des résultats attendus. Les chirurgies génitales visant le changement de sexe ou la réparation d anomalies DECEMBER JOGC DÉCEMBRE 2013 e3
4 manifestes ne sont pas considérées comme étant des chirurgies esthétiques et ne sont pas abordées dans le cadre de la présente déclaration de principe. DEMANDES D INTERVENTIONS ESTHÉTIQUES VULVO-VAGINALES Comme pour toute autre consultation chirurgicale, les services de counseling traitant de la CEGF forment une partie essentielle du processus et les motivations de la patiente à l égard du traitement devraient y faire l objet d une exploration rigoureuse. La présence possible de coercition ou d exploitation, ou encore d une demande de chirurgie sur l ordre d un partenaire ou d un parent, devrait être écartée. Une anamnèse médicale, sexuelle et gynécologique exhaustive devrait être obtenue et l absence de tout dysfonctionnement sexuel ou psychologique majeur devrait être établie. En présence de toute préoccupation d ordre psychologique, le counseling devrait comprendre une orientation appropriée vers des services d évaluation avant même que l on envisage la tenue d une chirurgie esthétique génitale. Peu de données soutiennent l amélioration de la satisfaction sexuelle ou de l image de soi qui serait attribuable à la chirurgie esthétique de «rajeunissement» du vagin ou de la vulve. Les données issues des études menées jusqu ici au sujet de la labioplastie sont toutes de niveau III ou encore anecdotiques. Les études traitant de l «augmentation du point G» ne sont qu anecdotiques 7,8. Récemment, deux publications n ayant pas été soumises à l examen collégial se sont penchées sur l utilisation d interventions au laser pour la prise en charge du «syndrome de relâchement vaginal» (y compris l incontinence à l effort). Ni l un ni l autre de ces documents n offrent des données robustes; ils suscitent plutôt de nombreuses préoccupations à l égard des effets à plus long terme de ces interventions. Des 21 patientes ayant participé à l étude pilote menée par Gaviria et Lanz, huit étaient nullipares et 19 étaient préménopausées; le suivi était limité à trois mois 9. L étude de faible envergure menée par Fistonic et coll. n a pu affirmer avoir constaté une hausse de la contraction musculaire que chez six des 39 patientes suivies à six mois 10. Une étude publiée, qui s est penchée sur la colpo-périnéorraphie et qui a inclus des résultats de niveau II-3 issus de femmes ayant décidé de subir une chirurgie après avoir obtenu des services de counseling appropriés, a signalé un taux de satisfaction très élevé à six mois à la suite de l opération 11. Les médecins qui choisissent de procéder à de telles interventions esthétiques ne devraient pas en faire la promotion à des fins d amélioration de la fonction sexuelle. Les femmes qui envisagent d avoir recours à ces chirurgies devraient être avisées des risques qui leur sont associés, dont les saignements, l infection, la cicatrisation, la dyspareunie, l altération des sensations, la douleur, la déhiscence de plaie, la baisse du plaisir sexuel et l insatisfaction possible envers les résultats esthétiques ou autres 10. Nous ne disposons d aucune donnée sur l innocuité ou l efficacité à long terme de ces interventions 7 10, De surcroît, nous ne disposons à l heure actuelle d aucune donnée quant aux effets des modifications physiologiques associées à la grossesse, à l accouchement ou à la ménopause sur les issues postopératoires des chirurgies esthétiques périnéales ou vaginales. De nombreuses femmes se satisferont des renseignements et du réconfort offerts par leur fournisseur de soins et pourraient décider de ne pas subir une telle chirurgie. Les médecins qui choisissent de procéder à des interventions esthétiques visant le vagin et la vulve devraient avoir bénéficié d une formation adéquate quant aux aspects chirurgicaux gynécologiques et/ou plastiques de la chirurgie esthétique visant les voies génitales inférieures. Il ne s agit pas là d un ensemble de compétences actuellement exigé par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada aux fins de l agrément des programmes de formation de niveau supérieur en obstétrique-gynécologie. Recommandations 2. Lorsqu une femme demande la tenue d interventions esthétiques vaginales, une anamnèse médicale, sexuelle et gynécologique exhaustive devrait être obtenue et l absence de tout dysfonctionnement sexuel ou psychologique majeur devrait être établie. La présence possible de coercition ou d exploitation devrait également être écartée. (III-B) 3. Le counseling devrait constituer une priorité dans le cas des femmes qui demandent la tenue d une chirurgie esthétique génitale. Les sujets abordés dans le cadre du counseling devraient comprendre les variations normales et les modifications physiologiques qui se manifestent au cours de la vie, ainsi que la possibilité de connaître des conséquences imprévues à la suite de la tenue d une chirurgie esthétique visant les organes génitaux. Le manque de données en ce qui concerne les issues de la chirurgie et les effets des modifications subséquentes attribuables à la grossesse ou à la ménopause devrait également faire l objet de discussions et être considéré comme faisant partie du processus de consentement éclairé. (III-L) 4. Peu de données soutiennent l amélioration de la satisfaction sexuelle ou de l image de soi qui serait attribuable aux interventions de chirurgie esthétique génitale chez la femme. Les médecins qui choisissent e4 DECEMBER JOGC DÉCEMBRE 2013
5 Chirurgie esthétique génitale chez la femme de procéder à de telles interventions esthétiques ne devraient pas en faire la promotion à des fins d amélioration de la fonction sexuelle; de surcroît, le recours à la publicité pour promouvoir les interventions de chirurgie esthétique génitale chez la femme devrait être évité. (III-L) DEMANDES D INTERVENTIONS ESTHÉTIQUES VULVO-VAGINALES DE LA PART D ADOLESCENTES Les femmes cherchent à obtenir des interventions esthétiques pour des raisons cosmétiques, fonctionnelles ou psychologiques 11. Les filles et les adolescentes cherchent à obtenir une labioplastie en raison de différentes préoccupations. Les filles de 9 à 13 ans cherchent à obtenir une chirurgie afin d atténuer des symptômes tels que le frottement, l irritation et l inconfort ressenti pendant la pratique d activités sportives; au sein de ce groupe d âge, le fait que la mère considère la physionomie génitale de sa fille comme étant anormale constitue la deuxième raison en importance motivant le recours à ce type de chirurgie. Les adolescentes de 14 à 17 ans se préoccupent principalement de leur propre apparence et s inquiètent du fait que leurs partenaires sexuels pourraient les considérer comme étant anormales et peu séduisantes. Dans le cas des adolescentes, outre le counseling et les considérations préopératoires habituelles, une attention particulière doit être portée à l objectif visé de la chirurgie, au degré de la préoccupation anatomique en question et au niveau de maturité physique. Les coûts sociaux pour la patiente, la dynamique décisionnelle patiente-parent et l attitude post-chirurgie de la patiente doivent également être pris en considération. Compte tenu des modifications physiologiques et développementales qui se manifestent de façon normale (particulièrement au niveau de la vulve), la tenue d interventions chez des filles de moins de 16 ans devrait habituellement être déconseillée, et ce, en vue de s assurer que leur décision finale sera fondée sur le développement génital à maturité. Les tribunaux canadiens ont rejeté la notion d «âge de la majorité» pour définir l âge auquel une personne est en mesure d accorder son consentement. La Common Law reconnaît le mineur mature comme étant une personne en mesure de comprendre la nature et les conséquences du traitement proposé. Lorsqu une mineure est considérée comme étant «mature», le consentement parental n est pas requis pour la tenue d interventions de CEGF 10,15. Recommandation 5. Les médecins qui reçoivent des demandes de chirurgie esthétique génitale de la part d adolescentes doivent chercher à obtenir des compétences additionnelles en ce qui a trait à l offre de services de counseling aux adolescentes. De telles interventions chirurgicales ne devraient pas être offertes avant l atteinte de la pleine maturité physiologique (y compris la maturité génitale); le consentement parental n est alors pas requis. (III-L) PUBLICITÉ Même si un médecin publicise le fait qu il offre des interventions de CEGF, cela ne veut pas nécessairement dire qu il dispose des connaissances et des compétences chirurgicales requises à cette fin. L absence de données sur l efficacité et l innocuité, conjointement avec les revenus que génère l offre de telles interventions, créé inévitablement un certain degré de conflit d intérêts. Le recours, par des gynécologues, à la publicité (dans les journaux, sur Internet ou par l intermédiaire de tout autre médium) ou à l affichage d images représentant des organes génitaux externes pour annoncer le fait qu ils offrent des interventions esthétiques (telles que la labioplastie et le «rajeunissement» vaginal) est susceptible de mener à de fausses interprétations, peut créer un besoin factice à l égard de telles interventions chirurgicales, peut être extrêmement trompeur et devrait donc être considéré comme étant contraire à l éthique. Recommandation 6. Les termes non médicaux (y compris, entre autres, le rajeunissement vaginal, le resurfaçage clitoridien et l augmentation du point G) devraient être reconnus comme n étant que des termes de marketing, sans aucune origine médicale; ainsi, ils ne peuvent faire l objet d une évaluation scientifique. (III-L) MUTILATION GÉNITALE DES FEMMES La présente déclaration de principe ne traite pas particulièrement de la mutilation traditionnelle des organes génitaux féminins. Selon le groupe interinstitutions de l ONU, «les mutilations sexuelles féminines désignent toutes les interventions aboutissant à une ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme ou toute autre mutilation des organes génitaux féminins pratiquée à des fins non thérapeutiques» 16,17. L ablation des petites lèvres est particulièrement classée comme étant une MGF de Type IIa par l OMS 16,17. Une déclaration de principe distincte de la SOGC traite de la MGF 18. DECEMBER JOGC DÉCEMBRE 2013 e5
6 RÉSUMÉ La qualité des données dont nous disposons à l heure actuelle ne soutient pas les interventions de chirurgie esthétique génitale chez la femme; la prolifération des interventions chirurgicales qui visent les organes génitaux tout en n étant pas indiquées sur le plan médical constitue une importante source de préoccupations. L éducation et le counseling devraient être une priorité, et ce, afin de nous assurer que les femmes disposent de renseignements fiables au sujet des variations normales et des changements physiologiques que connaissent le vagin et la vulve au cours de la vie, ainsi qu au sujet des possibles conséquences imprévues des interventions chirurgicales visant les organes génitaux. Le counseling devrait constituer une priorité avant la tenue de tout processus de consentement éclairé auprès de femmes demandant à subir une CEGF. Les chirurgiens qui procèdent à des interventions de CEGF devraient chercher à obtenir les connaissances et les compétences requises dans le cadre d une formation adéquate, car celles-ci ne font pas partie des programmes de formation de niveau supérieur du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. Compte tenu des données disponibles en ce qui concerne leur efficacité et leur innocuité, la SOGC ne peut soutenir la tenue des interventions de chirurgie esthétique génitale chez la femme qui ne sont pas indiquées sur le plan médical. RÉFÉRENCES 1. Committee on Gynecologic Practice, American College of Obstetricians and Gynecologists. ACOG Committee Opinion No.378. Vaginal rejuvenation and cosmetic vaginal procedures. Obstet Gynecol 2007;110: Royal Australian and New Zealand College of Obstetricians and Gynaecologists. C-Gyn 24. Vaginal rejuvenation and cosmetic vaginal procedures. Obstet Gynaecol 2007;110: American College of Obstetricians and Gynecologists. The role of the obstetrician gynecologist in cosmetic procedures. procedures [ACOG policy statement]. Washington: American College of Obstetricians and Gynecologists; Royal College of Obstetricians and Gynaecologists. Hymenoplasty and labial surgery. RCOG Statement No. 6. July London: RCOG; Goodman MP. Female genital cosmetic and plastic surgery: a review. J Sex Med 2011;8: doi: /j x 6. Braun V. Female genital cosmetic surgery: a critical review of current knowledge and contemporary debates. J Womens Health (Larchmt) 2010;19: Liao L-M, Michala L, Creighton S. Labial surgery for well women: a review of the literature. BJOG 2010;117: Ostrzeski A. Cosmetic gynecology in the view of evidence-based medicine and ACOG recommendations: a review. Arch Gynecol Obstet 2011;284: doi /s Gaviria P JE, Lanz L JA. Laser vaginal tightening (LVT) evaluation of a novel non-invasive treatment for vaginal relaxation syndrome. Journal of the Laser and Health Academy 2012;1: Disponible : Fistonic I, Findri-Gustek S, Fistonic N. Minimally invasive laser procedure for early stages of stress urinary incontinence (SUI). Journal of the Laser and Health Academy 2012;1: Pardo JS, Solà VD, Ricci PA, Guiloff EF, Freundlich OK. Colpoperineoplasty in women with a sensation of a wide vagina. Acta Obstet Gynecol Scand 2006;85: Miklos JR, Moore RD. Labiaplasty of the labia minora: patients s indications for pursuing surgery. J Sex Med 2008;5: Marchitelli CE, Sluga MC, Perrotta M, Testa R. Initial experience in a vulvovaginal aesthetic surgery unit within a general gynecology department. J Low Genit Tract Dis 2010;14: Mirzabeigi MN, Moore JH Jr, Mericli AF, Bucciarelli P, Jandali S, Valerio IL, et al. Current trends in vaginal labioplasty. a survey of plastic surgeons. Ann Plast Surg 2012;68: DOI: / SAP.0b013e31820d Evans KG, Henderson GL. Le consentement : Guide à l intention des médecins du Canada. 4 e éd. Association canadienne de protection médicale. Disponible : resource_files/ml_guides/consent_guide/pdf/com_consent-f.pdf. 16. Organisation mondiale de la santé. Classification of female genital mutilation. OMS Disponible : reproductivehealth/topics/fgm/overview/en/index.html. 17. HCDH, OMS, ONUSIDA, PNUD, UNCEA UNESCO, UNFPA, UNHCR, UNICEF, UNIFEM. Éliminer les mutilations sexuelles féminines. Déclaration interinstitutions Disponible : Senikas V, Perron L. Excision génitale féminine/mutilation. Déclaration de principe de la SOGC, février 2012, n 272. J Obstet Gynaecol Can 2012;34: Woolf SH, Battista RN, Angerson GM, Logan AG, Eel W. Canadian Task Force on Preventive Health Care. New grades for recommendations from the Canadian Task Force on Preventive Health Care, CMAJ 2003;169: e6 DECEMBER JOGC DÉCEMBRE 2013
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