Dr Pierre M BULA, Neuropédiatre Centre Relais du Langage et des Troubles des Apprentissages Pôle Santé Sarthe et Loir Centre Hospitalier
|
|
- Marthe Dufour
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dr Pierre M BULA, Neuropédiatre Centre Relais du Langage et des Troubles des Apprentissages Pôle Santé Sarthe et Loir Centre Hospitalier Universitaire - Angers
2 Définition et origine des troubles d apprentissage Démographie occidentale et congolaise Définition des troubles non spécifiques Pathologies multiples Définition des troubles spécifiques Objectif du dépistage Déroulement de la consultation neuropédiatrique CREATION D UN SERVICE SPECIALISE
3 Démographie occidentale 10 à 15% d enfants en échec scolaire Troubles non spécifiques des apprentissages : Le plus souvent socioculturel ou psychologique Environ 3% à 5% troubles spécifiques
4 Démographie congolaise Population générale: 60M pers environ (2011) Taux d alphabétisation : autour de 90% Enfants de 0 à 14 ans: 45,3% Hypothèse à minima de: 10 à 15% d enfants en échec scolaire
5 Définition des troubles d apprentissage / retard d apprentissage Les troubles d apprentissage = perturbation des acquisitions dans un ou plusieurs des domaines de réussite scolaire Retard = fragilité, décalage simple
6 De manière générale: Et plus spécifiquement: -Langage oral/écrit -Praxies -Mémoire, -Attention, - La lecture, - L orthographe, - Les mathématiques
7 Origine des troubles d apprentissage? Les troubles d apprentissage peuvent survenir dans différents contextes : A- Après une souffrance cérébrale acquise B- Dans le cadre d un trouble neurodéveloppemental B.1. non spécifique B.2. spécifique C- Dans un contexte de souffrance psychique
8 A- Après une souffrance cérébrale acquise (Survenue de lésions cérébrales à un moment du développement anté ou post-natal) Autres : inflammation, toxiques Epilepsie Prématurité Hypotrophie Infection Souffrance cérébrale acquise Traumatisme crânien Souffrance périnatale Tumeur cérébrale Maladies vasculaires (AVC)
9 B- Dans le cadre d un trouble neurodéveloppemental Perturbation du développement cérébral de l enfant, sans cause neurologique acquise identifiable
10 B.2.Les troubles non spécifiques Perturbation consécutive d une cause connue ou suspectée B.1.Les troubles spécifiques Perturbation durable et structurelle (liée à un développement anormal de certaines régions du cerveau) Ces troubles doivent survenir en l absence de trouble sensoriel, psychiatrique, de déficience intellectuelle ou de carences éducatives.
11 (Retard mental) Maladies Génétiques* Troubles non spécifiques Carences éducatives Pathologies psychiatriques (TED)
12 Apports de l imagerie? Dyslexie Dysorthographie (DLDO) Trouble déficitaire de l attention TDA/H Troubles spécifiques Dyspraxie / TAC Dyscalculie Dysphasie Apports de la génétique?
13 Une seule fonction touchée (parfois plus si comorbidité) dans un secteur important de la vie de relation De façon significative (tests déviants : plus de 2ET ou plus de 2 ans de décalage) durable Avec risque adaptatif à court ou moyen terme Sans cause évidente retrouvée
14 Dysphasie (langage oral): rare mais sévère Intérêt du centre référent pour un bilan pluridisciplinaire (diagnostic différentiel). PEC précoce et intensive (aide humaine? orientation pédagogique? Service de soins?...)
15 DL/DO (langage écrit): A évoquer si plus de deux ans de décalage de lecture sans cause retrouvée et malgré orthophonie intensive Aménagements pédagogiques, suivi orthophonique prolongé et soutien psychologique
16 Non automatisation des gestes appris (les praxies) Donner à l enfant «le bénéfice du doute» et le laisser grandir Diagnostic difficile et pluridisciplinaire Pour parler de troubles, il faut des répercussions scolaires, sociales et familiales Et un soutien psychologique
17 Impulsivité, instabilité motrice et trouble de l attention: D origine constitutionnelle Avec des répercussions scolaires et familiales Intérêt d un avis double : pédopsychiatrique et neuropédiatrique Discuter en plus de la prise en charge psychologique d un traitement par méthylphénidate Prescription hospitalière annuelle spécialisée Renouvellement mensuel par le MT avec contrôle croissance poids/taille et tension artérielle
18 Difficultés d apprentissage Récapitulatif Retard d apprentissage Trouble d apprentissage Souffrance cérébrale acquise Troubles neurodéveloppementaux Troubles spécifiques Troubles non spécifiques
19 Ecouter la plainte Eliminer une cause médicale : neurologique, sensorielle (ORL ou visuelle) Suspecter une origine psychologique Cerner le contexte socioculturel (nature de la cellule familiale, ATCD.) Lancer les premiers examens et bilans Suivi, orientation scolaire, insertion professionnelle
20 On parle de développement psycho-moteur jusqu à l âge de 2-3 ans : normal ou décalé Sur le plan moteur, après 3 ans: vérifier les jeux de coordination, âge de l autonomie pour l habillage, le graphisme et la motricité fine, l organisation Puis intellectuel uniquement : le langage oral, les différentes étapes de l apprentissage scolaire (acquisition du langage oral, des règles de la collectivité, langage écrit, mathématiques ), attention, mémoire
21 Examen sensoriel par des spécialistes ORL et ophtalmo +/- bilan orthoptique Examen neurologique de débrouillage Signe de Gowers Prise du périmètre cranien et courbe Examen morphologique Examen cutané Quelques praxies bucco-faciales et d imitation (idéomotrices) Paires crâniennes, absence de Sd cérébelleux Équilibre et coordination
22 Sommeil, alimentation Propreté Sociabilisation
23 Conduite à tenir: 1 - Évaluation cognitive de débrouillage 2- A quel spécialiste adresser l enfant? Quel(s) bilan(s) paramédical(aux)? Quel médecin spécialiste? Quelle prise en charge de première intention? Quel suivi?
24 CREATION D UN SERVICE ADAPTE HOPITAL PEDIATRIQUE DE KINSHASA
25 En France: Le parcours de soin en 3 niveaux Niveau 1 : REPERAGE et DEPISTAGE des troubles d apprentissage par école/famille/médecin traitant/paramédicaux / psychologues, etc Niveau 2 : EXPLORATION des troubles d apprentissage +/- DIAGNOSTIC par les équipes de proximité (institutionnelles ou libérales) PSSL sur le bassin Sablé- LA Flèche Niveau 3 : DIAGNOSTIC des troubles d apprentissage SEVERES et/ou COMPLEXES expertise par le CRTA (Nantes)
26 CONGO: Création d un parcours en 2 niveaux Niveau 1 (existant): REPERAGE et DEPISTAGE des troubles d apprentissage par écoles PILOTES et/ou VILLES PILOTES dans un premier temps puis voir par la suite famille/médecin / psychologues, etc Niveau 2 (création): EXPLORATION des troubles d apprentissage +/- DIAGNOSTIC par une équipe spécialisée, pluridisciplinaire du l hopital pédiatrique
27 Offrir un accès identifié aux consultations spécialisées pluridisciplinaires accès sur la pédiatrie, neuropédiatrie Offrir un service de proximité, Offrir un partenariat entre le lieu de consultation et les lieux de prise en charge et notamment l école Offrir une meilleure scolarisation des enfants avec déficit d apprentissage (d origine spécifique ou non telles que les épilepsies)
28 Neuropédiatre ou pédiatres orthophoniste Psychologue si possible formé au dépistage des troubles cognitifs orthoptiste? secrétariat
29 Récapitulatif Alerte par l environnement de l enfant Appel au centre Discussion du dossier CS avec Pédiatre Orthophoniste Orthoptiste Neuropsychologue Synthèse Diagnostic Plan de soins personnalisés
30 - Epilepsie, drépanocytose, prématurité,.. Même filière
31 MERCI DE VOTRE ATTENTION
Les troubles spécifiques des apprentissages
Les troubles spécifiques des apprentissages www.apedys78-meabilis.fr En collaboration avec L. Denariaz, psychologue cognitiviste Points clefs Définitions et repérage Quelle est l origine du trouble? Vers
Plus en détailLes difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire»
Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Par le Dr Stéphane BURLOT Plan : Les chiffres de l échec scolaire La spirale de l echec Les points d appels des difficultés scolaires Les Origines «médicales»
Plus en détailquestions/réponses sur les DYS
D Y S L E X I E, D Y S P H A S I E, D Y S P R A X I E, Les DYS, un handicap émergeant? La Dysphasie trouble du langage oral? La Dyspraxie, trouble de la coordination du geste? La Dyslexie, trouble du langage
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailQuels sont les indices observés chez les enfants présentant un trouble de traitement auditif?
Le trouble de traitement auditif _TTA Entendre n est pas comprendre. Détecter les sons représente la première étape d une série de mécanismes auditifs qui sont essentiels pour la compréhension de la parole
Plus en détailÉvaluation neuropsychologique et difficultés d apprentissage: déroulement et impact sur l enfant
Évaluation neuropsychologique et difficultés d apprentissage: déroulement et impact sur l enfant Charles Leclerc, Ph.D., C.Psych. Membre du CPO Membre de l OPQ Neuropsychologue 20 février 2013 Objectifs
Plus en détailTroubles «dys» de l enfant. Guide ressources pour les parents
Troubles «dys» de l enfant Guide ressources pour les parents Troubles «dys» de l enfant Guide ressources pour les parents Direction de la collection Thanh Le Luong Édition Jeanne Herr Institut national
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS
LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS DE QUELS MOYENS DISPOSE-T-ON? EXAMEN CLINIQUE + QUESTIONS des grandes étapes du développement de l'enfant dans les domaines de : Acquisition
Plus en détailScolarisation et adaptations pour enfants dyspraxiques au collège
Scolarisation et adaptations pour enfants dyspraxiques au collège Brigitte BRUNEL, professeur de SVT, collège Delalande (Athis Mons, 91) Bénédicte PONCHON, ergothérapeute, cabinet CABEX Essonne (Brétigny,
Plus en détailSpécial Praxies. Le nouveau TVneurones est enfin arrivé! Les métiers. NOUVEAUX JEUX de stimulation cognitive, orientés praxies.
Enfants Adolescents AdultesPersonnesÂgéesPlasticité NeuronalePathologiesMaintienCognitif MémoireAttentionLangage FonctionsExécutivesVisuoSpatial Les métiers Spécial Praxies Le nouveau est enfin arrivé!
Plus en détailGuide. pratique. Prendre en compte la réalité de l illettrisme dans les pratiques professionnelles des Cap Emploi
Guide pratique Prendre en compte la réalité de l illettrisme dans les pratiques professionnelles des Cap Emploi 8 % des Franciliens de 20 à 59 ans sont reconnus handicapés. 30 000 handicapés franciliens
Plus en détailAssociation Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité
accompagner Association Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité préface table des matières 1 / Définition P. 4 2 / Manifestations
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailBrochure d information destinée aux parents. Bienvenue à Clairival. Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant
Brochure d information destinée aux parents Bienvenue à Clairival Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant Présentation Le service de psychiatrie de l enfant et de l adolescent des Hôpitaux
Plus en détailLes DYS : quel âge pour quel diagnostic?
Les DYS : quel âge pour quel diagnostic? Dr Alain POUHET ~ Médecine Physique et Réadaptation ~ Avril 2010 En situation de difficulté scolaire, affirmer une DYS peut être largement anticipé sans attendre
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailDéficit du langage écrit et oral. Troubles associés possibles Les aides à apporter
Déficit du langage écrit et oral LES «DYS» Troubles associés possibles Les aides à apporter 1 Remerciements Ce diaporama a été réalisé grâce à l implication et au soutien des associations partenaires des
Plus en détailSCOLARISER LES ÉLÈVES À HAUT POTENTIEL
académie Dijon MINISTÈRE DE L ÉDUCATION NATIONALE MINISTÈRE DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE SCOLARISER LES ÉLÈVES À HAUT POTENTIEL AIDE AU REPÉRAGE DE L ÉLÈVE À HAUT POTENTIEL PRÉAMBULE
Plus en détailL agénésie isolée du corps calleux
L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailOrganisation du suivi dans le cadre d un réseau
Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Mandovi Rajguru Pédiatre Maternité Hôpital Bichat Claude Bernard Journée des pédiatres de maternité GENIF 04 Juin 2009 Introduction Constitution d un réseau
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailTDAH et adaptations scolaires - niveau primaire et secondaire-
Le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est un problème neurologique qui peut entraîner des difficultés à moduler les idées (inattention), les gestes (bougeotte physique),
Plus en détailComprendre les troubles spécifiques du langage écrit
Livret de suivi de l élève l élève l é ve... né(e) le..... /..... /..... C o n t a c t s L inspection académique de votre département IA 22 6 et 8 place du Champs de Mars - BP 2369-22023 St-Brieuc IA 29
Plus en détailLes cahiers de L ADAPT
Les cahiers de L ADAPT #169-1 er semestre 2012-5 Dyspraxie : du diagnostic à l emploi L ADAPT - Association pour l insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées L ADAPT en chiffres 12
Plus en détailLes dys à haut potentiel : reconnaître, comprendre, expliquer. Michel Habib, Neurologue CHU Timone, Marseille
Les dys à haut potentiel : reconnaître, comprendre, expliquer Michel Habib, Neurologue CHU Timone, Marseille We may usefully think of the language faculty, the number faculty, and others, as "mental organs,"
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailLe s t r o u b l e s d u
Le s t r o u b l e s d u spectre de l,autisme l,évaluation clinique Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des psychologues du Québec janvier 2012 L illustration de la couverture
Plus en détailAvertissement. La pagination du fichier PDF est ainsi demeurée en tous points conforme à celle de l original.
Avertissement Pour faciliter la consultation à l écran, les pages blanches du document imprimé (qui correspond à la page 4) ont été retirées de la version PDF. On ne s inquiétera donc pas de leur absence
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailPARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA
PARAMEDICAL Métiers et formations Centre d information et d orientation de NOUMEA Santé et paramédical Soins médicaux médecin, chirurgien dentaire, pharmacien, sage-femme Soins paramédicaux infirmier,
Plus en détailARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS
ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS Synthèse des questionnaires destinés aux établissements
Plus en détail«Les actions publiques en faveur de l action aux soins de proximité»
«Les actions publiques en faveur de l action aux soins de proximité» Mai 2014 La définition de territoires prioritaires : les espaces d équipes de soins fragiles et sous vigilances Enjeux des espaces d
Plus en détailL Étudiant en Psychologie
L Étudiant en Psychologie Peu de débouchés, trop de candidats : la psychologie est l une des filières universitaires les plus embouteillées! Les études se déroulent généralement à l université, mais il
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailLes différents troubles d apprentissage
Les troubles d apprentissage chez l enfant Les différents troubles d apprentissage Les troubles d apprentissage scolaire concernent les troubles de langage oral et écrit, les troubles du calcul et les
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailPACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation
PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur
Plus en détailApplication DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT
ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailLes enfants autistes ont besoin d apprendre comme les autres
LJ Corporate. Crédits photo : Fotolia - J.B. Mariou - D.R. Nos associations militent pour un accompagnement éducatif et comportemental précoce des personnes autistes, afin de les aider à progresser et
Plus en détailJ e commencerai par vous donner une définition de
Les troubles du graphisme Les troubles du graphisme et de l écriture chez l enfant dyspraxique CLAIRE LE LOSTEC* Claire Le Lostec travaille comme ergothérapeute dans un service de soins à domicile de L
Plus en détailTraumatisme crânien léger (TCL) et scolarité
Document destiné aux enseignants, aux médecins et aux infirmières scolaires H.Touré pour l'équipe du CSI (Centre de Suivi et d Insertion pour enfant et adolescent après atteinte cérébrale acquise), M.Chevignard,
Plus en détailInfirmité motrice cérébrale FICHE D INFORMATION. Cette fiche fait partie du Guide de CBM sur la prévention de l infirmité motrice cérébrale
Infirmité motrice cérébrale FICHE D INFORMATION Cette fiche fait partie du Guide de CBM sur la prévention de l infirmité motrice cérébrale April 2012 2 L infirmité motrice cérébrale: programme de prévention
Plus en détailA PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES
IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition
Plus en détailFormation obligatoire d adaptation à l emploi
Cycle de formation Praxis Conforme à l arrêté du 16 juillet 2009 Formation obligatoire d adaptation à l emploi Agent de service mortuaire Madame, Monsieur, Depuis l arrêté du 16 juillet 2009 relatif à
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailENSEIGNEMENTS - JOURNEES COLLOQUES D.U et D.I.U
ENSEIGNEMENTS - JOURNEES COLLOQUES D.U et D.I.U Pr. Philippe DUVERGER CHU ANGERS SEMINAIRE CLINIQUE - Psychanalyse avec les enfants 2 ème et 4 ème jeudi de chaque mois de septembre 2007 à juin 2008 Etudes
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailTablette numérique & troubles de l apprentissage
Tablette numérique & troubles de l apprentissage Quels intérêts pour l enfant dyspraxique? Peddy CALIARI Maître de conférences Sciences de l éducation Laboratoire CRILLASH 1 Bonjour à tous, L objet de
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailINAUGURATION Du service de Pédiatrie Dossier de presse JEUDI 14 NOVEMBRE 2013
Dossier de presse INAUGURATION Du service de Pédiatrie JEUDII 14 NOVEMBRE 2013 Le dossier Le service de Pédiatrie Introduction La Pédiatrie : Ses activités Quelques données chiffrées Son fonctionnement
Plus en détailComment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS
Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailVoyage d étude aux Pays-Bas du 31 mai au 10 juin 2010
Voyage d étude aux Pays-Bas du 31 mai au 10 juin 2010 Isabelle Lieveloo, IA-IPR Lettres, Académie de Montpellier Introduction Ce voyage d étude qui s est déroulé du 31 mai au 10 juin m a permis de rencontrer
Plus en détail«PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D HÔPITAL A SAINT LAURENT DU MARONI»
Présentation : Réunion de présentation aux élus de Guyane - 11 juin 2011 «PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D NOUVEL HÔPITAL A SAINT LAURENT DU M. F-L BERTHOU, Directeur MARONI»
Plus en détailSOINS ET ACCOMPAGNEMENTS. Professionnels de la psychiatrie. www.psycom.org
SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS Professionnels de la psychiatrie www.psycom.org Professionnels de la psychiatrie SOMMAIRE Organisation des soins psychiatriques Professionnels de la psychiatrie Psychiatre et pédopsychiatre
Plus en détailCHANTIER D INSERTION PREQUALIFIANT AUX METIERS DES SERVICES A LA PERSONNE 2011 EHPAD RONZIER-JOLY
CHANTIER D INSERTION PREQUALIFIANT AUX METIERS DES SERVICES A LA PERSONNE 2011 EHPAD RONZIER-JOLY Présentation des fiches de poste 1. Secrétaire... page 2 2. Auxiliaire de soins... page 4 3. Aide cuisine...
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailPRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT
Guide Pratique Protection de l enfance PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE L ADOLESCENT grandir parents respecter prévenir devoirs écouter mieux-être protéger PRÉVENTION EN FAVEUR DE L ENFANT ET DE
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailL école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences
L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences Animation pédagogique Mise en œuvre du LPC 87 Un principe majeur! L école maternelle n est pas un palier du socle commun de connaissances
Plus en détailDocument à destination. des personnels de l enseignement supérieur.
Document à destination des personnels de l enseignement supérieur. Vous trouverez dans ce document différentes informations vous permettant de mieux appréhender l arrivée d un(e) étudiant(e) en situation
Plus en détailFiche : lectures obligatoires
Fiche : lectures obligatoires Les lectures obligatoires pour le cours de français peuvent devenir un vrai calvaire pour les enfants qui ont des troubles d apprentissage. Et ce pour plusieurs raisons :
Plus en détailCENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE
CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d
Plus en détailEducation Thérapeutique (ETP)
Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailComment aider efficacement un enfant souffrant de troubles déficitaires d attention/hyperactivité (TDA/H) en classe? DEWARD Céline
DEWARD Céline Année scolaire: 2010-2011 Classe : 3 ème Normal Primaire B Travail de fin d études Comment aider efficacement un enfant souffrant de troubles déficitaires d attention/hyperactivité (TDA/H)
Plus en détailTROUBLE DE L ATTENTION AVEC OU SANS HYPERACTIVITE. Dr Olivier REVOL, Neuropsychiatre Hôpital neurologique - LYON Conférence APEDYS VOIRON - Mars 2006
TROUBLE DE L ATTENTION AVEC OU SANS HYPERACTIVITE Dr Olivier REVOL, Neuropsychiatre Hôpital neurologique - LYON Conférence APEDYS VOIRON - Mars 2006 Notes : M. JACQUEMET. Le Dr REVOL dirige le service
Plus en détail10 rue de Turenne 51100 REIMS 03 26 50 72 64 Fax : 03 26 49 91 21 e-mail : sessad.imc51@numericable.fr
PROJET DE SERVICE JANVIER 2011 SESSAD - IMC VAL DE MURIGNY 10 rue de Turenne 51100 REIMS 03 26 50 72 64 Fax : 03 26 49 91 21 e-mail : sessad.imc51@numericable.fr INTRODUCTION La loi du 2 janvier 2002,
Plus en détailLE SYNDROME D ASPERGER ou AUTISME DE HAUT NIVEAU TROUBLES SPÉCIFIQUES DES APPRENTISSAGES
TROUBLES PSYCHOPATHOLOGIQUES ET TROUBLES SPECIFIQUES DES APPRENTISSAGES TROUBLES SPÉCIFIQUES DES APPRENTISSAGES Dyslexie Dyscalculie Dr. David Da Fonseca Pédopsychiatre, Marseille david.dafonseca@ap-hm
Plus en détailMichel Habib, neurologue Bulletin MGEN «Valeurs mutualistes» n 253 - janvier 2008
Les DYS une présentation. D r A l a i n P O U H E T ~ M é d e c i n e P h y s i q u e e t R é a d a p t a t i o n. Dans le domaine scolaire les vocables en "DYSquelquechose" (dyslexie, dysgraphie, dysorthographie,
Plus en détailDysphasie ou retard : pas si simple!...
Muriel BUSUTTIL DESAUBLIAUX (Pédiatre-Néonatologiste- CHU Nord Marseille) Sandrine QUIBEL (Orthophoniste- CMPP Ajaccio) Dysphasie ou retard : pas si simple!... Mémoire pour le Diplôme Universitaire : Approche
Plus en détailUnité de formation professionnelle du Ceras
Unité de formation professionnelle du Ceras 15 novembre 2013 : Journée romande de la commission latine d intégration professionnelle (CLIP) Cette présentation, susceptible d être d distribuée e aux personnes
Plus en détailCONTENU DU CAHIER DE GESTION
COMMISSION SCOLAIRE DE KAMOURASKA RIVIÈRE-DU-LOUP CONTENU DU CAHIER DE GESTION SECTION I CONSEIL DES COMMISSAIRES Règlement fixant le jour, l heure et le lieu des séances ordinaires du conseil des commissaires
Plus en détailPERMETTRE OU FACILITER LA SCOLARITE DE L'ENFANT DYSPRAXIQUE
PERMETTRE OU FACILITER LA SCOLARITE DE L'ENFANT DYSPRAXIQUE DOCTEUR MICHELE MAZEAU - QU'EST-CE QU'UN ENFANT DYSPRAXIQUE? - QUELQUES PRECISIONS MEDICALES - QUESTIONS / REPONSES - LES DIFFICULTES SCOLAIRES
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailETUDE réalisée dans le cadre d un diplôme Inter Universitaire d étude et de prise en charge de la douleur :
ETUDE réalisée dans le cadre d un diplôme Inter Universitaire d étude et de prise en charge de la douleur : «Accueil d un enfant et évaluation de sa douleur «Par Nathalie VERMION masseur-kinésithérapeute
Plus en détailLe cavernome cérébral
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le cavernome cérébral.
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailMieux connaître les publics en situation de handicap
Mieux connaître les publics en situation de handicap Plus de 40 % des Français déclarent souffrir d une déficience 80 Comment définit-on le handicap? au moins une fois au cours de leur vie et 10 % indiquent
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailStratégies favorisant ma réussite au cégep
Source de l image :daphneestmagnifique.blogspot.ca Stratégies favorisant ma réussite au cégep par Services adaptés du Cégep de Sainte-Foy Table des matières UN GUIDE POUR TOI!... 2 STRATÉGIES DE GESTION
Plus en détailL organisation des services éducatifs aux élèves à risque et aux élèves handicapés ou en difficulté d adaptation ou d apprentissage (EHDAA)
L organisation des services éducatifs aux élèves à risque et aux élèves handicapés ou en difficulté d adaptation ou d apprentissage (EHDAA) TABLE DES MATIÈRES Présentation 2 1. L organisation des services
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailObjectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS
Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-
Plus en détailANAMNÈSE - 1 - Création : Dre Josée Douaire, psychologue
ANAMNÈSE - 1 - (N.B. : le carnet de santé de votre enfant peut vous être utile pour remplir ce questionnaire) Nom de la personne qui complète ce questionnaire : Informations générales Nom de l enfant :
Plus en détail