Plan du cours. C. Delerue - ISEN
|
|
- Chantal Normandin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Plan du cours Semiconducteurs : Rappels N3 Semi-conducteur intrinsèque Semi-conducteur extrinsèque Courants de conduction et de diffusion Semi-conducteur inhomogène Semi-conducteur hors équilibre Nanosciences : Introduction aux nanosciences Confinement dans les hétérostructures Nanostructures - atomes artificiels Propriétés optiques et électroniques des nanostructures Optique Lasers : Perturbations dépendantes du temps Transitions optiques mission stimulée Lasers 1
2 Rappel de cours N3 quation de Schrödinger Problème à N corps Fonctions d'onde Niveaux d'énergie Théorie de champ moyen Quantification q. à un électron Atome d'hydrogène Atome complexe Modèle en couches
3 Modèle en couches Carbone 1s s p -5-0 nergie (ev) p s 1s 3
4 Modèle en couches Orbitales s Orbitales p 4
5 Cristal Périodicité à 3 dimensions a 1 a quation de Schrödinger + périodicité r r ik. e u r r r Ψ = ( ) = f (k ) k r k Théorème de Bloch Relation de dispersion 5
6 Bandes d'énergies Cristal macroscopique L x a a 1 Conditions aux limites périodiques k x = n x π L x (idem en y et z) < < π L x Quasi-continuum 6
7 nergie p s Bandes d'énergies Bande Bande 1 Bande interdite 8 états 4x8 états 8xN états 1 atome 4 atomes N atomes (N >> 1) cristal 7
8 Métal - isolant - semiconducteur nergie Conduction Valence Métal Semiconducteur Isolant 8 Remplissage en électrons Niveau de Fermi
9 Semiconducteurs Silicium Bandes de conduction Bandes de valence vecteur d'onde (k) 9
10 Semiconducteur intrinsèque Objectifs du cours Structure de bandes des semiconducteurs usuels Propriétés optiques Notion de masse effective Nouvelles «particules»: trous Concentration en porteurs libres 10
11 Semiconducteur intrinsèque n=1 H He n= Li Be B C N O F Ne n=3 Na Mg Al Si P S Cl Ar n=4 K Ca 1 ère série de transition Cu Zn Ga Ge As Se Br Kr n=5 Rb Sr nde série de transition Ag Cd In Sn Sb Te I Xe n=6 Cs Ba La Au Hg Tl Pb Bi Po At Ru léments simples: Si, Ge III-V: GaAs, InAs, InSb, GaP, GaN II-VI: ZnSe, CdTe, ZnS, CdS. 11
12 Semiconducteur intrinsèque Structure cristalline Si, Ge: diamant GaAs, GaP, InAs, InP: zinc-blende GaN, CdSe: wurtzite ou zinc-blende (diamant) 1
13 Semiconducteur intrinsèque Propriétés optiques: absorption ε '( ω ) = n ε ''( ω ) = nk K 13 '( ω ) 0 ε ' = : matériau transparent
14 Propriétés optiques: absorption nergie Semiconducteur intrinsèque h ν > g : absorption g 14
15 Semiconducteur intrinsèque Structure de bandes Structure diamant ou zinc-blende: réseau CFC Réseau réciproque: CC Zone de Brillouin: 15
16 Structure de bandes InAs Semiconducteur intrinsèque TB = liaisons fortes LDA = densité locale vecteur d'onde (k) 16
17 Semiconducteur intrinsèque Structure de bandes InAs Bandes de conduction Bandes de valence vecteur d'onde (k) Sommet de BV fixé à 0 V 17
18 Structure de bandes InAs Sommet de BV, bas de BC: k=0 Bande interdite directe Semiconducteur intrinsèque GaAs, InP: structure de bande semblable 18
19 Structure de bandes CdSe (wurtzite) Semiconducteur intrinsèque 19
20 Semiconducteur intrinsèque Structure de bandes Silicium: bande interdite indirecte Bandes de conduction Bandes de valence vecteur d'onde (k) 0
21 Semiconducteur intrinsèque Structure de bandes Germanium: minimum au point L Bandes de conduction Bandes de valence vecteur d'onde (k) 1
22 Semiconducteur intrinsèque Structure de bandes Sommet de bandes de valence: k = 0 Minima de bandes de conduction: Si: <100> (6 minima équivalents) <010>, <001>, <-100>, <0-10>, <00-1> Ge: <111> (x8) GaAs, InAs: <000> (1x)
23 Semiconducteur intrinsèque vecteur d'onde (k) Au voisinage des extrema: r ( K) = r r K = k (0) + r k 0 h i K m i * i 3
24 4 Semiconducteur intrinsèque ( ) ( ) ( )( ) + = j i j j i i k j i k k k k k k k k, r r r Le terme du 1er ordre est nul car extremum * m ij h
25 5 Semiconducteur intrinsèque Repère local: l = longitudinal, t = transverse = * * 1 * (0) ) ( t t t t l l m K m K m K K h r k 0 k K r r r =
26 Semiconducteur intrinsèque Masses effectives Masse longitudinale: * m l Masse transverse: * m t Cas isotrope (k = 0): * * t m l m = Sommet de BV: bandes isotropes: * *, lh m hh m 6
27 Semiconducteur intrinsèque Semiconducteur k Deg. g Masses Masses (ev) BC BV C Si <100> (l) 0.19 (t) Ge <111> (l) 0.08 (t) GaAs (masses en unités atomiques) 7
28 Semiconducteur intrinsèque Statistique du semiconducteur intrinsèque nergie T=0K: BV pleine, BC vide T>0K: quelques électrons excités dans la BC Notion de trous dans la BV Concentrations en électrons dans la BC: n en trous dans la BV: p f 8
29 Semiconducteur intrinsèque Statistique du semiconducteur intrinsèque f ( ) = 1+ 1 exp( kt F ) f () kt F 9
30 Semiconducteur intrinsèque Statistique du semiconducteur intrinsèque c f v f () 30
31 Semiconducteur intrinsèque Statistique du semiconducteur intrinsèque Densités d états + fonction de Fermi + 1 n = nbc ( ) f ( ) d V c v 1 p = nbv ( ) 1 f ( ) V [ ] d 31
32 Semiconducteur intrinsèque Statistique du semiconducteur intrinsèque Approximation isotrope BC: BV: v c = = h m h K K m * n * p 3
33 Semiconducteur intrinsèque Statistique du semiconducteur intrinsèque Gaz d électrons libres: V m n( ) = 4π h 3/ 33
34 34 Semiconducteur intrinsèque Statistique du semiconducteur intrinsèque m V n m V n v p BV c n BC = = 3/ * 3/ * 4 ) ( 4 ) ( h h π π
35 Semiconducteur intrinsèque Statistique du semiconducteur intrinsèque n = p = N c N exp( v exp( v c kt kt F F ) ) N N c v = = 1 1 * n m kt πh * m pkt πh 3/ 3/ c N c g v N v 35
36 36 Semiconducteur intrinsèque Niveau de Fermi Log ) exp( ) exp( v c F c v v c F F v v F c c N N kt kt N kt N p n = = =
37 37 Semiconducteur intrinsèque Concentration en porteurs libres = = = = = kt N N n p n kt N N n np g v c i v c v c i exp exp
38 Concentration en porteurs libres Semiconducteur intrinsèque 38
Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détailViandes, poissons et crustacés
4C la Tannerie BP 30 055 St Julien-lès-Metz F - 57072 METZ Cedex 3 url : www.techlab.fr e-mail : techlab@techlab.fr Tél. 03 87 75 54 29 Fax 03 87 36 23 90 Viandes, poissons et crustacés Caractéristiques
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailMicroscopies Électroniques
Microscopies Électroniques M2 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailRépublique Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Université M Hamed Bougara- BOUMERDES Faculté des sciences de l Ingénieur Ecole Doctorale
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailCommission juridique et technique
Autorité internationale des fonds marins ISBA/9/LTC/3 Commission juridique et technique Distr. limitée 29 avril 2003 Français Original: anglais Neuvième session Kingston, Jamaïque 28 juillet-8 août 2003
Plus en détailREPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE ABOU BEKR BELKAID-TLEMCEN FACULTE DES SCIENCES UNITE DE RECHERCHE MATERIAUX
Plus en détailStructures de semiconducteurs II-VI à alignement de bandes de type II pour le photovoltaïque
Structures de semiconducteurs II-VI à alignement de bandes de type II pour le photovoltaïque Lionel Gérard To cite this version: Lionel Gérard. Structures de semiconducteurs II-VI à alignement de bandes
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailTransmission des données de la surveillance de l exposition interne au système SISERI Description du format de fichier
Transmission des données de la surveillance de l exposition interne au système SISERI Description du format de fichier Méthodologie Le format CSV est un format texte, les données sont séparées par des
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailLaboratoire de Physique de la Matière Condensée et des Nanostructures de Lyon
Rapport sur le stage effectué du 1 er juin 2010 au 31 juillet 2010 au Laboratoire de Physique de la Matière Condensée et des Nanostructures de Lyon Génération de pseudo-potentiel atomique pour des matériaux
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailLycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC
SVOIR Lycée français La Pérouse TS CH P6 L énergie nucléaire Exos BC - Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. - Définir et calculer l'énergie de liaison par nucléon. - Savoir
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailMODELE DE PRESENTATION DU PROJET
MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du
Plus en détailM1 - MP057. Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie
M1 - MP057 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission : - colonne,
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailT H È S E COUPLAGE CALPHAD AB-INITIO POUR LE CALCUL DES DIAGRAMMES DE PHASES
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche scientifique Université El-Hadj Lakhder - BATNA - T H È S E Présentée au Département des Sciences
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailStructures algébriques
Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe
Plus en détailLES ELEMENTS CHIMIQUES
LES ELEMENTS CHIMIQUES.LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DE MENDELEÏEV En 869, le chimisme russe Dimitri Ivanovitch Mendeleïev rangea les 63 éléments chimiques connus à son époque dans un tableau. Il les disposa
Plus en détailDurée de L épreuve : 2 heures. Barème : Exercice n 4 : 1 ) 1 point 2 ) 2 points 3 ) 1 point
03 Mai 2013 Collège Oasis Durée de L épreuve : 2 heures. apple Le sujet comporte 4 pages et est présenté en livret ; apple La calculatrice est autorisée ; apple 4 points sont attribués à la qualité de
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailLes batteries électriques pour les camions et bus électriques Etat de l'art, perspectives et interrogations
Les batteries électriques pour les camions et bus électriques Etat de l'art, perspectives et interrogations L Ion Rallye 2012 : Camions et Bus électriques - Le transport branché Lyon 30/11/2012 Serge PELISSIER
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailDétermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon
Centre d'expertise en analyse environnementale du Québec MA. 200 Mét. 1.2 Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon 2014-05-09 (révision 5) Comment
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailTHÈSE. En vue de l'obtention du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE
THÈSE En vue de l'obtention du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délivré par l'université Toulouse III Paul Sabatier Spécialité: Physique de la Matière Présentée et soutenue par: Pierre-Marie CHASSAING
Plus en détailCaractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques
Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Partie 1 - Le microscope électronique en transmission (M.E.T.)
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailBULLETIN L ACADÉMIE DES SCIENCES ET LETTRES MONTPELLIER
BULLETIN DE L ACADÉMIE DES SCIENCES ET LETTRES DE MONTPELLIER NOUVELLE SÉRIE TOME 39 ISSN 1146-7282 ANNÉE 2008 Académie des Sciences et Lettres de Montpellier 183 Séance du 26 mai 2008 Deux aspects des
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailLe concept cellulaire
Le concept cellulaire X. Lagrange Télécom Bretagne 21 Mars 2014 X. Lagrange (Télécom Bretagne) Le concept cellulaire 21/03/14 1 / 57 Introduction : Objectif du cours Soit un opérateur qui dispose d une
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailProcédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier
Procédés plasmas à faisceau d ions P.Y. Tessier Institut des Matériaux Jean Rouxel, CNRS Groupe des plasmas et des couches minces Université de Nantes Plan Introduction Gravure par faisceau d ions Dépôt
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailIntroduction à l absorption X
Introduction à l absorption X Yves Joly Institut Néel, CNRS et UJF FAME+, Mai 2012 1 Définition 2 Section efficace Coefficient d absorption linéaire Faisceau monochromatique I 0 Matériau isotrope et homogène,
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLe théorème de Thalès et sa réciproque
Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détailFigure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C
ANALYSE XPS (ESCA) I - Principe La spectroscopie XPS (X-Ray Photoelectron Spectroscopy) ou ESCA (Electron Spectroscopy for Chemical Analysis) est basée sur la photo émission. Lors de l'irradiation par
Plus en détailSupraconducteurs à haute température critique et applications
Supraconducteurs à haute température critique et applications par Brigitte LERIDON et Jean-Pierre CONTOUR Unité mixte de physique CNRS/Thomson-CSF 1. Propriétés des matériaux supraconducteurs... E 1 110-4
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailGroupe Nanostructures et Systèmes Quantiques http://www.insp.jussieu.fr/-nanostructures-et-systemes-.html
Axe principal: EDS Axes secondaires : Groupe Nanostructures et Systèmes Quantiques http://www.insp.jussieu.fr/-nanostructures-et-systemes-.html Institut des NanoSciences deparis http://www.insp.jussieu.fr/
Plus en détailLes II-VI photoréfractifs dans la bande 0,6 1,5 µm pour l enregistrement holographique dynamique.
UNIVERSITES DE LIEGE ET DE BORDEAUX - Thèse en cotutelle - FACULTES DES SCIENCES Les II-VI photoréfractifs dans la bande 0,6 1,5 µm pour l enregistrement holographique dynamique. Thèse soutenue le 19 décembre
Plus en détailThéorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X!
Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X! Marie-Anne Arrio, Amélie Juhin! Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés, Paris! 1! Rappel : défini-on des seuils
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Pondichéry 12 avril 2007
Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 1 avril 7 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 4 points 1 a Les vecteurs AB et AC ont pour coordonnées AB ; ; ) et AC 1 ; 4 ; 1) Ils ne sont manifestement pas colinéaires
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailIntroduction générale aux nanomatériaux
Introduction générale aux nanomatériaux J.Lecomte, M.Gasparini 16/10/2014 le centre collectif de l industrie technologique belge Notre centre Federation for the technology industry Collective centre of
Plus en détailInstitut Supérieur des Etudes Technologiques de Nabeul
Ministère de l enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de la technologie Institut Supérieur des tudes Technologiques de Nabeul Département : Génie lectrique Support de cours : LCTRONIQU
Plus en détailBougez, protégez votre liberté!
> F a Bgz, pégz v bé! www.a-. CAT.ELB.a240215 - Cé ph : Fa Daz à v p aé N az p a v gâh a v! Aj h, p g évq v ; Pa, p 4 aça q, v, éq qaé v. Ca ax é ç, b pa évé ax p âgé a h a p j. E pè v, h pa épagé. Pa
Plus en détailTexte Agrégation limitée par diffusion interne
Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse
Plus en détailde suprises en surprises
Les supraconducteurs s de suprises en surprises titute, Japan hnical Research Inst Railway Tech Julien Bobroff Laboratoire de Physique des Solides, Université Paris-Sud 11 & CNRS Bobroff 2011 Supra2011
Plus en détailLe modèle de Black et Scholes
Le modèle de Black et Scholes Alexandre Popier février 21 1 Introduction : exemple très simple de modèle financier On considère un marché avec une seule action cotée, sur une période donnée T. Dans un
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailChap 2 : Noyaux, masse, énergie.
Physique. Partie 2 : Transformations nucléaires. Dans le chapitre précédent, nous avons étudié les réactions nucléaires spontanées (radioactivité). Dans ce nouveau chapitre, après avoir abordé le problème
Plus en détailChapitre 4 : Le transistor Bipolaire
LEEA 3 ème A, C. TELLIER, 28.08.04 1 Chapitre 4 : Le transistor Bipolaire 1. Structure et description du fonctionnement 1.1. Les transistors bipolaires 1.2 Le transistor NPN Structure intégrée d'un transistor
Plus en détailTransmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission
Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement
Plus en détailIntroduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires
Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Nassiba Tabti A.E.S.S. Physique (A.E.S.S. Physique) 5 mai 2010 1 / 47 Plan de l exposé 1 La Radioactivité Découverte de la radioactivité
Plus en détailhydrogène au service des énergies renouvelables
Le stockage solide de l hydrogl hydrogène au service des énergies renouvelables P. de Rango, D. Fruchart, S. Miraglia, Ph. Marty*, M. Jehan** J. Chabonnier, A. Chaise, S. Garrier, B. Delhomme, S. Nachev,
Plus en détailDécouvrir les électrons par le pliage, à partir de 6 ans. supraconductivité. une histoire d électrøns
Découvrir les électrons par le pliage, à partir de 6 ans. supraconductivité une histoire d électrøns Vous trouverez au milieu du livret les pliages et les instructions à détacher pour les fabriquer. Il
Plus en détailUE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd
UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le
Plus en détailINFORMATIONS DIVERSES
Nom de l'adhérent : N d'adhérent :.. INFORMATIONS DIVERSES Rubrique Nom de la personne à contacter AD Date de début exercice N BA Date de fin exercice N BB Date d'arrêté provisoire BC DECLARATION RECTIFICATIVE
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailLES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie
EPREUVE COMMUNE DE TIPE 2006 partie D 5 TITRE : LES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie 10 Temps de préparation : 2 h 15 Temps de présentation devant le jury : 10 minutes Entretien
Plus en détailEnergie photovoltaïque
Energie photovoltaïque Les énergies renouvelables sont des énergies dont la source est illimitée et non polluante et dont l'exploitation cause le moins de dégâts écologiques, c'est à dire: l'ensoleillement,
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailPhotons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique
Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailCours d analyse numérique SMI-S4
ours d analyse numérique SMI-S4 Introduction L objet de l analyse numérique est de concevoir et d étudier des méthodes de résolution de certains problèmes mathématiques, en général issus de problèmes réels,
Plus en détailMEMOIRE Présenté pour l obtention du diplôme de MAGISTER EN : PHYSIQUE Spécialité : Matériaux & Composants
N d ordre : 41/2010-M/PH République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique UNIVERSITE DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE HOUARI BOUMEDIENE
Plus en détailJeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur
PROJET JANUS Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur Contact : alain.gaboriaud@cnes.fr OBJECTIFS Satellites Etudiants
Plus en détailnucléaire 11 > L astrophysique w Science des étoiles et du cosmos
LA COLLECTION w 1 w L atome 2 w La radioactivité 3 w L homme et les rayonnements 4 w L énergie 5 w L énergie nucléaire : fusion et fission 6 w Le fonctionnement d un réacteur nucléaire 7 w Le cycle du
Plus en détailMaster Photovoltaïque
1- Semestre 1 : Master Photovoltaïque Unité d Enseignement UE fondamentales UEF11(O/P) VHS 15 Semaines V.H hebdomadaire Mode d'évaluation Coeff Crédits C TD TP Autres Continu Examen Physique du Solide
Plus en détailVie et mort des étoiles. Céline Reylé Observatoire de Besançon
Vie et mort des étoiles Céline Reylé Observatoire de Besançon Qu est-ce qu une étoile? Sphère de gaz hydrogène (¾) hélium (¼) pèse sur le centre qui est alors chauffé E. Beaudoin Sphère de gaz hydrogène
Plus en détailDes molécules hydrophobes dans l eau
Des molécules hydrophobes dans l eau B. Cabane PMMH, ESPCI, Paris bcabane@pmmh.espci.fr Je remercie pour leurs contributions: D. Durand, B. Guillot, H. Lannibois-Drean, C. Pascal, C. Poncet-Legrand, A.
Plus en détailAucune frontière entre. Jean-Louis Aimar
Jean-Louis Aimar Aucune frontière entre la Vie et la Mort 2 2 «Deux systèmes qui se retrouvent dans un état quantique ne forment plus qu un seul système.» 2 3 42 Le chat de Schrödinger L expérience du
Plus en détailentourer les catégories E q u i p e m e n t c o n c e r n é Lieu d'implantation : Charge initiale : Kg
FICHE D'INTERVENTION sur CIRCUIT de FROID, CLIMATISATION, POMPE A CHALEUR (fixe) CONTENANT des CFC HCFC ou HFC à conserver 5 ans par l'opérateur et le détenteur suivant le Code de l'environnement articles
Plus en détailAccélération du vent solaire: revue des modèles exosphériques
Accélération du vent solaire: revue des modèles exosphériques Yannis Zouganelis 1 & M. Maksimovic 1, N. Meyer-Vernet 1, S. Landi 2, F. Pantellini 1, K. Issautier 1, H. Lamy 3 (1) LESIA - Observatoire de
Plus en détail