Réussir un sevrage tabagique. Docteur PLASSART Les traitements

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Réussir un sevrage tabagique. Docteur PLASSART Les traitements"

Transcription

1 Réussir un sevrage tabagique Docteur PLASSART Les traitements

2 Le traitement de l arrêt du tabac en le conseil minimal 2008 les substituts nicotiniques (en vente libre) : timbres / gommes / comprimés sub-linguaux / inhaleur / pastilles les médicaments de prescription (Zyban ) les thérapies comportementales et cognitives Les fumeurs de plus de 10 cig/j motivés à l arrêt doivent être encouragés à utiliser ces traitements. Une prise en charge comportementale doit leur être associée. (Martin Raw, OMS Europe, 2001)

3 Conseil minimal Est-ce que vous fumez? non oui Est-ce que vous voulez arrêter? non oui Donnez un document Source Conférence Consensus tabac Edimark 1998 p 53

4 Principe de la substitution Concentration de nicotine dans le sang patch niveau de satisfaction sensation de manque cigarettes cigarettes cigarettes heures

5 Avec les substituts nicotiniques

6 Nicotine plasmatique ng/ml Cinétique de la nicotine D'après Russel 25 Cigarette Spray Nasal Gomme 4 mg Inhaleur Timbre 21 mg 0 Gomme 2 mg minutes

7 Différentes formes orales BDN SUB-010 Gommes Microtabs Comprimés à sucer Inhaleur

8 Substitution nicotinique TIMBRE Grand Moyen Petit Nicorette Pfizer Nicotinell Novartis Nicopatch PierreFabre Santé Niquitin GSK 15 mg/16 h 21 mg/24 h 21 mg/24 h 21 mg/24 h 10 mg/16 h 14 mg/ 24 h 14 mg/ 24 h 14 mg/ 24 h 5 mg/16 h 7 mg/24 h 7 mg/24 h 7 mg/24 h

9 Substitution nicotinique Forme Dosage Goût Gommes Nicorette Nicotinell 2 et 4 mg 2 et 4 mg Normal, Menthe Orange, Menthe fraîche Menthe, fruit Nicogum 2 mg? Comprimés Inhaleur Nicorette microtab Niquitin Nicopass Nicorette 2 mg 2 et 4 mg 1,5 mg Cartouche de 10 mg (sublingual) menthe (à sucer) Menthe,mentheréglisse Mentholé

10 Les recommandations l Afssaps Les substituts nicotiniques sont recommandés chez le coronarien fumeur Les formes peuvent être associées entre elles: T +T, T+G, T+C Au cours de la grossesse : TCC et prise en charge psychologique en première intention, substituts nicotiniques si échec:formes orales ou timbres de 16heures.

11 TNS : indications chez la femme enceinte fumeuse TNS toujours moins dangereux que la cigarette - pas de CO : pas d hypoxie - nicotininémie moins élevée que si tabagisme -absence de pics -pas d autres toxiques Proposer d abord un traitement autre que le TNS TNS (AMM octobre 98) timbres 16 heures +/- gommes +/- microtabs

12 Le timbre : pour quels fumeurs? Seuil de nicotine, niveau de dépendance Fumeurs réguliers qui doivent maintenir un seuil de nicotinémie sous peine d être «en manque»

13 Timbres : pour quels fumeurs? 2 patchs Niveau de dépendance 1 patch Seuil de nicotine, niveau de dépendance Forte ou très forte dépendance : Attention au sous-dosage Dosage supérieur (Accord médical*) ou forme orale, à la demande (gommes 4 mg, ou Microtab) Afssaps 2003

14 La réduction des risques

15 Bien insister sur la nécessité d un traitement suffisamment prolongé 3 mois : le temps minimum pour un déconditionnement en profondeur Réapprentissage de nouvelles habitudes Laisser le temps au temps

16 Accompagner la personne Insister sur la nécessité de contacts répétés, important pour la réussite du sevrage Revoir la personne régulièrement, surtout au début (adaptation traitement) Proposer une Fiche de suivi, à remplir chaque jour et à commenter à chaque visite Insister sur la durée du traitement, ou «laisser le temps au temps» : 2 à 3 mois minimum, parfois plus Travailler sur la prévention des rechutes

17 L abord du fumeur à l hôpital Les traitements Le Bupropion

18 Mécanismes d'action Dopamine inhibition partielle de la recapture augmentation de la dopamine extracellulaire dans le nucleus accumbens Noradrénaline inhibition de la recapture +++ concentration, syndrome de sevrage Récepteurs nicotiniques antagonisme

19 Consommation de tabac

20 Antécédents d hypersensibilité ( bupropion ou excipients) Trouble convulsif (actuel ou ancien) Tumeur du système nerveux central Sevrage en cours : alcool ou benzodiazépine Boulimie ou anorexie mentale Insuffisance hépatique sévère IMAO Troubles bipolaires

21 La posologie de 300 mg par jour ne doit pas être dépassée Chez les patients présentant des facteurs de risque qui abaissent le seuil épileptogène, la dose maximale à utiliser durant tout le traitement est de 150 mg par jour : administration concomittante d'autres médicaments abaissant le seuil épileptogène, abus d'alcool, antécédent de traumatisme crânien, diabète traité par hypoglycémiants ou par insuline, psychostimulants ou anorexigènes.

22 3) Sécheresse de la bouche 1) Insomnie 2) Céphalées 4) Réactions allergiques

23 Autre médicament du sevrage Varenicline = CHAMPIX labo Pfizer Depuis le 12 février 2007en France Uniquement sur prescription médicale Non remboursé mais bénéficiera du forfait annuel de 50 euros de l assurance maladie

24 Varenicline: Mécanisme d action Agoniste partiel du récepteur nicotinique Se fixe de façon sélective sur le récepteur nicotinique Exerce une stimulation partielle qui entraîne une libération réduite de dopamine

25 Action de la Varenicline Réduit l intensité de l envie de fumer Atténue les symptômes du sevrage à la nicotine Réduit le plaisir associé au tabac Réduit les effets «récompense» Diminue le renforcement positif lié à la nicotine

26 Champix : Modalités du traitement J + 7 : arrêt du tabac Traitement de 12 semaines à 1mgX2 /jour J: Début du traitement Augmentation progressive des doses = 0,5mg/j de J1à J3 puis 0,5mgX2/j de J4 à J7

27 Champix : effets secondaires Nausées +/- insomnie Rêves inhabituels Céphalées Non indiqué chez les moins de 18 ans et femme enceinte

28 THERAPEUTIQUES futures? Rimonabant = Acomplia Mécanisme = inhibiteur récepteurs cannabinoïdes Indications = obésité + sevrage tabagique en question Vaccin?

29 Autres techniques: acupuncture, homéopathie, mésothérapie, hypnose L'acupuncture et l'homéopathie ont été évaluées, les résultats contradictoires ne permettent pas d'en tirer des conclusions fiables. Pour ces quatre méthodes il est particulièrement difficile de dissocier le rôle de l'empathie délivrée au patient de l'effet spécifique propre à chaque méthode. Source : Conférence de consensus sur l'arrêt du tabac Paris Octobre 98

30 Les recommandations de l Affsaps mai 2003 Les substituts nicotiniques sont recommandés chez le coronarien fumeur Thérapeutiques non recommandées : acupuncture, mésothérapie, auriculothérapie, hypnose, laser, cigarettes sans tabac Au cours de la grossesse : TCC et prise en charge psychologique en première intention, substituts nicotiniques si échec Fumer + utiliser des TNS = oui pour une réduction de consommation si pas de volonté d arrêt

31 Les thérapeutiques non recommandées 1)Clonidine, antidépresseurs tricycliques, buspirone, IMAO, IRS 2)Anorexigènes, bêta-bloquants, Nicoprive, caféine/éphédrine, cimétidine, lmobéline, médicaments homéopathiques, méprobamate, benzodiazépines, ondansétron, vaccinothérapie, acétate d argent 3) Acupuncture, mésothérapie, auriculothérapie, cigarettes sans tabac, hypnose, laser Source : recommandations AFSSAPS, mai 2003

32 L abord du fumeur à l hôpital Conseils pratiques pour le suivi du sevrage

33 Prise de poids à l arrêt du tabac Le fumeur est en sous poids (de 0 à 3 kg). A l arrêt du tabac possibilité de rattrapage de son poids, voire plus. Effet nicotine Effet baisse ou arrêt Conseils Augmentation des dépenses caloriques Diminution des dépenses caloriques Exercice physique Augmente lipolyse Effet indirect hyperglycémiant (effet coupe faim) Stockage des graisses Augmentation appétit Diminuer l apport de graisses saturées Manger «mieux» Source : JL Sylvestre

34 QUAND LA DÉCISION EST PRISE : - café - Boire beaucoup d eau - Eviter l alcool conseils utiles - Conseils pour le poids : les graisses saturées, petit déjeuner, collations («bien» manger, ou manger «mieux») - activité physique régulière Boire régulièrement de grands verres d eau - Vit C - Stratégies comportementales et cognitives

35 Réactions possibles la première semaine : à commenter avec le fumeur en cours de sevrage Fatigue de la 1ère semaine Rhinite et toux chez un fumeur ne toussant pas auparavant Constipation ou flatulences Survenue d aphtes Problèmes de sommeil

36 L abord du fumeur à l hôpital Les traitements Les thérapies cognitivo-comportementales

37 TCC et Tabagisme L approche cognitivo-comportementale, c est l analyse des pensées, des comportements et des émotions des fumeurs. Les TCC ont pour but d apprendre au sujet : 1) de nouvelles séquences de comportements non pathologiques et incompatibles avec le tabagisme 2) à gérer et à exprimer ses émotions plutôt que de fumer 3) de s interroger sur ces pensées automatiques et leur mise en place, pour, dans un second temps les remplacer par des observations plus rationnelles et conformes à la réalité.

38 Les thérapies cognitivo-comportementales Les TCC ont pour but de favoriser le maintien de l abstinence tabagique par un nouvel apprentissage Elles interviennent à un niveau comportemental, cognitif et émotionnel Elles font référence aux modèles issus des théories de l apprentissage (conditionnement classique, opérant et apprentissage social), ainsi qu aux modèles cognitifs fondés sur le traitement de l information

39 Utilité des TCC lors du sevrage tabagique 1) Sevrage proprement dit (carnet de bord sans substituts) pour les personnes très motivées et peu à moyennement dépendantes à la nicotine 2) Arrêt en 2 temps : diminution (substituts+tcc) puis arrêt définitif (patchs en plus) 3) Prévention des rechutes (prise en charge des troubles psychopathologiques qui sous-tendent et maintiennent la dépendance) Succès de cette méthode : Réussite du sevrage x 2 à 6 mois (APA Practice Guidelines 1996)

40 Interventions motivationnelles Les objectifs prise de conscience du problème exploration de l ambivalence levée des obstacles décision de changements choix des moyens pour y parvenir

41 Ambivalence : balance décisionnelle continuer bénéfice coût + - changer bénéfice coût + -

42 Hésitants : peser le pour et le contre BDN PEC-028

43 Aider à améliorer les facteurs pronostiques suivi psychothérapie thérapeutiques comportementales Diététique Exercice physique Crainte prise de poids BDN SEV-003 (Bupropion) Substitut nicotinique Motivation Confiance en soi Liberté de décision Réaménagement Dépendances Comportementale Physique Psychologique Révélation d un état anxio-dépressif Arrêt du tabac Persistance ou reprises

44 Interventions motivationnelles Les principes se centrer sur le patient manifester de l empathie mettre le doigt sur les contradictions éviter l affrontement ne pas forcer la résistance renforcer le sentiment d efficacité personnelle renforcer le sentiment de liberté de choix

45 Interventions motivationnelles Les stratégies principales questions ouvertes écoute en écho inciter les déclarations motivationnelles résumer

46 Approche comportementale du tabagisme 1) Phase d alliance et de préparation au sevrage 2) Phase d auto-observation 3) Phase de modification comportementale 4) Phase de mise en place du sevrage 5) Phase de suivi et prévention des rechutes 6) Gérer la reprise du tabagisme

47 1) Alliance thérapeutique et préparation au sevrage 1) Évaluer et renforcer la motivation à l arrêt du tabac du patient (cf QMAT) 2) Expliquer le phénomène de triple dépendance (comportementale, physique et psychologique) 3) Expliquer les principes des TCC 4) Bien choisir la date d arrêt 5) Établir d emblée le principe d un suivi 6) Remettre le carnet de bord (observation du comportement tabagique) pour la séance suivante

48 2) Phase d auto-observation Quantification du comportement tabagique sur une journée de travail et une journée de repos grâce au carnet de bord Identification des stimuli déclenchants (situations, envie, émotions, pensées) Identification des facteurs de renforcements

49 Carnet de bord Cig n Heure Envie Situation Emotion Pensée 1 7h30 10 Réveil Soulagement physique Aucune 2-3 8h00 2 Avec le café Aucune : automatisme Aucune 4-5 8h30 8 En voiture dans les embouteillages Stress Encore en retard 6 9h30 9 Après une altercation avec un collègue Colère Mauvaise pensée sur le collègue

50 3) Phase de modification comportementale Revoir le carnet de bord avec le fumeur Pour chacune des cigarettes, envisager des solutions de contrôle : du stimulus : (pourquoi avez-vous fumé?) - Internes (pensées, image mentale, émotion, sensation physiologique) - Externes (situations, occupations, tâches) de la réponse : (que pouvez-vous faire à la place de fumer?) - Dissocier la cigarette de la situation déclenchante - Adopter des comportements alternatifs (relaxation, boire, manger un fruit, faire autre chose )

51 Cig Situation Solutions possibles 1 Réveil 1) Manque : apport nicotinique. 2) Prendre sa douche. 3) Différer la 1ère cigarette (après le petit déjeuner) 2-3 Avec le café 4-5 Embouteillages 1) Dissocier le café de la cigarette qui doit être prise ¼ d heure après 2) Manger, lire 1) Dissocier la cigarette de la voiture (cig à la maison et au travail) 2) Gestion du stress : apprentissage de la relaxation 6 Altercation avec un collègue 1) Gestion des émotions par la relaxation 2) Travail cognitif sur les conséquences négatives de la colère

52 4) Mise en place du sevrage La méthode s applique aussi bien pour les fumeurs qui veulent s arrêter avec ou sans substituts nicotiniques. Déterminer les cigarettes à supprimer ou les modifications des habitudes tabagiques séance après séance. Cela peut durer un certain temps de 1 mois à quelques années selon le degré de motivation du fumeur d où l importance de fixer une date d arrêt dès le début.

53 5) Phase de suivi Renforcer tout succès Identifier et anticiper des situations-problèmes Proposer des stratégies pour gérer les difficultés Prise en compte de l effet de violation d abstinence (déculpabiliser)

54 6) Gérer la reprise du tabagisme Dédramatiser Tirer les bénéfices de l arrêt Être conscient de ses bénéfices acquis et souhaiter les conserver Analyser les facteurs de rechute Rechercher l existence d un syndrome de violation de l abstinence (culpabilité)

55 Recadrer positivement en expliquant que la rechute fait partie du processus de sevrage Proposer une nouvelle tentative d arrêt Si la rechute est due à un trouble anxieux ou à un trouble de l humeur ou à un autre trouble psychiatrique : orienter le patient vers des spécialistes (centre de tabacologie, psychiatres, psychothérapeutes).

56 Gérer les pulsions à fumer en début de sevrage (mode cognitif, comportemental) 1 Stratégies cognitives - se dire, en cas de pulsion : «ça ne va pas durer» - dédramatiser - imaginer image péjorative (odeur de tabac froid) ou image positive de la vie sans tabac - se remémorer les moyens de contrôle de soi 2 Stratégies comportementales - changer de contexte (échapper) - activité brève (distraire) - respirer profondément - boire un grand verre d eau - se brosser les dents 3 Chaque jour gagné est un pas de plus vers le succès Positiver chaque étape

57 Prévention des reprises Les reprises sont fréquentes : 75-80% des reprises surviennent dans les 6 mois qui suivent le sevrage. Les reprises doivent être présentées comme des étapes dans la démarche d arrêt (succès différé). Source : Pierce et al, 1989

58 Le cadre réglementaire de la lutte contre le tabagisme à l hôpital Y. Doually RHST- novembre 2006

59 Références juridiques CSP: Art. L et R3511 Jurisprudence Circulaire DGS/DH n 330 du 8 juin 1999 Décret n du 16 janvier 2004 Circulaire DHOS n 250 du 1er juin 2004 Décret n du 15 novembre 2006 Règlement intérieur des établissements de santé

60 Grands principes: La protection des non fumeurs Les ventes de tabac à l hôpital La sécurité La responsabilité médicale La célébration de la JMST

61 CSP Article L (loi Evin) «Il est interdit de fumer dans les lieux affectés à un usage collectif, notamment scolaire et dans les moyens de transport collectifs, sauf dans les emplacements réservés aux fumeurs»

62 Art. R Le nouveau décret précise: «L interdiction de fumer dans les lieux affectés à un usage collectif prévus à l article L s applique au 1 er février 2007: Dans tous les lieux fermés et couverts qui accueillent du public ou qui constituent des lieux de travail Dans les espaces non couverts des écoles, collèges, établissements destinés à l accueil ou à la formation ou à l hébergement des mineurs

63 Art. R «L interdiction de fumer ne s applique pas dans les emplacements qui sont mis à la disposition des fumeurs, au sein des lieux mentionnés à l article R Ces emplacements ne peuvent être aménagés au sein des établissements d enseignement, de formation, d accueil et les établissements de santé

64 Circulaire DGS/DH du 8 juin 99 «l hôpital n est pas un lieu ordinaire;( )il est un lieu d accueil des personnes malades, un lieu de travail et enfin un lieu de visite; ( ), ce lieu où des professionnels luttent chaque jour pour faire reculer la maladie doit être exemplaire.»

65 Nouvelle réglementation 2006 suite Art R Une signalisation apparente rappelle le principe de l interdiction de fumer (modèle fixé par arrêté) Une amende est prévue pour le responsable de l établissement si la signalétique n est pas mise en place

66 Quelles sanctions? Le CSP prévoit une amende de 450 euros maximum (contravention de 3ème classe) pour les fumeurs qui fument en dehors des zones fumeurs et une amende de 1500 euros max (contravention de 5ème classe) pour les responsables des locaux quand il y a une infraction relative au respect des normes pour les fumoirs, la ventilation et la signalisation.

67 Loi de santé publique août 2004 «les agents habilités et assermentés, mentionnés à l article L , les médecins inspecteurs de la santé publique et les ingénieurs du génie sanitaire, veillent au respect des dispositions de l article R ainsi qu aux règlements pris pour son application et procèdent à la recherche et à la constatation des infractions prévues par ces textes.

68 Circulaire DHOS n 250 du 1er juin 2004 Relative à l interdiction de revente de tabacs et d ouverture de débits de tabac dans les établissements de santé

69 Usage collectif? Dès lors que 2 personnes séjournent (CE 28 oct 1986) La chambre du patient domicile privé? (CA Paris, 17 mars 86) L établissement peut faire interdire de fumer dans le chambre du patient (CAA Lyon 3 juillet 97)

70 La loi autorise-t-elle de fumer dans son bureau? Au travail dès qu une deuxième personne peut rentrer dans un bureau individuel, celui-ci devient un espace collectif dans lequel la protection du non-fumeur doit être assurée. Il devient donc interdit d y fumer.

71 29 JUIN 2005: arrêt de la cour de cassation a obligé les employeurs à protéger les salariés du tabagisme. A compter du 29 juin 2005, la responsabilité des entreprises a été engagée sur la qualité de l'environnement de travail. Ainsi, l'entreprise est responsable de la protection des salariés non-fumeurs et doit aider les fumeurs à s'arrêter.

72 Accréditation des établissements Ref 3 : OPC 3h: l établissement met en œuvre une politique de prévention du tabagisme OPC 5 e: le patient bénéficie des actions d éducation pour la santé correspondant à ses besoins de prévention tabagique Ref 9: GFL 9 B l établissement est organisé pour assurer la sécurité des personnes contre l incendie, respect interdiction de fumer

UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible!

UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible! UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee Arrêter, c est possible! Pour en finir avec la cigarette Un pari difficile L Université de Genève est déclarée territoire

Plus en détail

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.

Plus en détail

Vous voulez. vous libérer. du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire.

Vous voulez. vous libérer. du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire. Vous voulez vous libérer du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire. Bénéfices de l abandon du tabac pour la santé buccodentaire Les effets néfastes du tabagisme sur la santé buccodentaire

Plus en détail

En 1949, Camel, une marque de

En 1949, Camel, une marque de L arrêt tabagique Claude Patry, M.D. En 1949, Camel, une marque de cigarettes, produisait une publicité télé montrant un médecin fort occupé à faire ses visites à domicile. De retour à son bureau, il s

Plus en détail

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie

Plus en détail

Pourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.

Pourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé. Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour

Plus en détail

Le guide pratique pour y parvenir

Le guide pratique pour y parvenir Le guide pratique pour y parvenir 1 2 3 4 Il n est pas facile d arrêter de fumer. Il s agit de renoncer à une habitude quotidienne solidement installée, de changer de comportement Cela prend du temps et

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

ENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine Lyon 1

ENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine Lyon 1 DIU de Tabacologie et d aide au sevrage tabagique SITES INTERNET ET SEVRAGE TABAGIQUE ENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

LE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011

LE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011 LE JEU EXCESSIF Dr Christine Davidson M.Philippe Maso Décembre 2011 Qu est-ce qu un Joueur Occasionnel? Joue pour le plaisir Accepte de perdre l argent misé. Ne retourne pas pour se refaire. Joue selon

Plus en détail

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! : t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43

Plus en détail

La migraine : quelle prise de tête!

La migraine : quelle prise de tête! La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également

Plus en détail

Se libérer de la drogue

Se libérer de la drogue Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

Projet Fonds Assuétudes 2007

Projet Fonds Assuétudes 2007 Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens Projet Fonds Assuétudes 2007 Phn G. Guillaume - Apr J. Saevels Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens APB = Association

Plus en détail

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux

Plus en détail

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin

Plus en détail

Ce guide peut vous aider!

Ce guide peut vous aider! Vous aidez une personne qui souhaite cesser de fumer? Ce guide peut vous aider! Guide de mieux-être Accompagnateurs de renoncement au tabac Si vous souhaitez parler à quelqu un pour vous préparer à arrêter

Plus en détail

La politique de l entreprise (esprit et incitation au challenge) implique :

La politique de l entreprise (esprit et incitation au challenge) implique : Introduction Image classique = Cadre supérieur + grande responsabilité Mais aussi le bas de l échelle Zéro défauts, l excellence a un prix = Le Stress I Définition Interaction entre un environnement et

Plus en détail

Aider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca

Aider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Aider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Documents imprimés Une étape à la fois 1 2 Pour les personnes qui ne veulent pas cesser

Plus en détail

Nouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie

Nouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement

Plus en détail

Brûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager

Brûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Définition et causes Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Vous arrive-t-il de ressentir une douleur à l estomac

Plus en détail

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les

Plus en détail

Je vais être maman. et je fume encore!? J ai décidé d arrêter de fumer. Pour ma santé et pour celle de mon enfant.

Je vais être maman. et je fume encore!? J ai décidé d arrêter de fumer. Pour ma santé et pour celle de mon enfant. Je vais être maman et je fume encore!? J ai décidé d arrêter de fumer. Pour ma santé et pour celle de mon enfant. Ligue suisse contre le cancer, Ligue pulmonaire suisse, Association suisse pour la prévention

Plus en détail

CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX

CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Douleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au

Douleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement

Plus en détail

MIGRAINE - TRAITEMENT

MIGRAINE - TRAITEMENT MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002

Plus en détail

LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent)

LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent) LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent) Colloque Européen et International THS 10, le 14 octobre 2011 Marthylle LAGADEC Marie GRALL-BRONNEC,

Plus en détail

La dépression qui ne répond pas au traitement

La dépression qui ne répond pas au traitement La dépression qui ne répond pas au traitement Mise à j our Wilfrid Boisvert, MD Présenté dans le cadre de la conférence : À la rencontre de l humain, Collège québécois des médecins de famille, novembre

Plus en détail

TABAC, TABAGISME & DESACCOUTUMANCE AU TABAC. Module 1 FORDD 2013-2014

TABAC, TABAGISME & DESACCOUTUMANCE AU TABAC. Module 1 FORDD 2013-2014 TABAC, TABAGISME & DESACCOUTUMANCE AU TABAC Module 1 FORDD 2013-2014 Dr. J-P. Humair Service de Médecine de 1 er recours Hôpitaux Universitaires de Genève Objectifs d apprentissage Connaître les risques

Plus en détail

Semer pour récolter. la santé. Favoriser la promotion des saines habitudes de vie dans la pratique clinique

Semer pour récolter. la santé. Favoriser la promotion des saines habitudes de vie dans la pratique clinique Semer pour récolter la santé Favoriser la promotion des saines habitudes de vie dans la pratique clinique Dans le but de répondre aux orientations régionales et nationales, de même qu à la responsabilité

Plus en détail

Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés

Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre

Plus en détail

STRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière

STRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière STRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière Service évaluation économique et santé publique 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» «Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture

Plus en détail

La prise en charge d un trouble bipolaire

La prise en charge d un trouble bipolaire GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

FORMATION AU PERMIS D EXPLOITATION DE LICENCES CHRD MODULE 2,5 JOURS ---------- * ---------- Arrêté d agrément du 07 Avril 2014 : NOR INTD1408248A

FORMATION AU PERMIS D EXPLOITATION DE LICENCES CHRD MODULE 2,5 JOURS ---------- * ---------- Arrêté d agrément du 07 Avril 2014 : NOR INTD1408248A CREER, ACCOMPAGNER, DEVELOPPER UN CAFE, HOTEL, RESTAURANT, DISCOTHEQUE FORMATION AU PERMIS D EXPLOITATION DE LICENCES CHRD MODULE 2,5 JOURS ---------- * ---------- Arrêté d agrément du 07 Avril 2014 :

Plus en détail

Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose

Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose Le «blues du post-partum» est FRÉQUENT chez les nouvelles mères. Quatre mères sur cinq auront le blues du post-partum. LE «BLUES DU POST-PARTUM» La

Plus en détail

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

Projet «Pharmacie vivre sans tabac»

Projet «Pharmacie vivre sans tabac» Projet «Pharmacie vivre sans tabac» Programme national d arrêt du tabagisme www.apotheken-raucherberatung.ch Présentation Programme national d arrêt du tabagisme Projet «Pharmacie vivre sans tabac» Résultats

Plus en détail

Sommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7

Sommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Sommaire L Entreprise Page 3 Qu est-ce que la PNL? Page 4 Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Préparation mentale pour sportif Page 8 Arrêter de fumer Page 11 Mincir par l hypnose Page 12 Traitement

Plus en détail

Mieux informé sur la maladie de reflux

Mieux informé sur la maladie de reflux Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de

Plus en détail

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2015"

La santé des étudiants en 2015 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes

Plus en détail

MODULE INTERPROFESSIONNEL DE SANTÉ PUBLIQUE TABAC ET HÔPITAL. Groupe n 14

MODULE INTERPROFESSIONNEL DE SANTÉ PUBLIQUE TABAC ET HÔPITAL. Groupe n 14 R E N N E S MODULE INTERPROFESSIONNEL DE SANTÉ PUBLIQUE 2003 TABAC ET HÔPITAL Groupe n 14 Ce rapport de séminaire a été réalisé par un groupe de 7 élèves en formation intiale Animatrice Zoé HERITAGE Remerciements

Plus en détail

Comportements addictifs

Comportements addictifs Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit

Plus en détail

LE Module 04 : SOMMEIL Module 04 :

LE Module 04 : SOMMEIL Module 04 : Module 04 : le sommeil Module 04 : le sommeil Ce module comprend les sections suivantes : Messages clés Problèmes de sommeil courants Les médicaments et le sommeil Conseils provenant de familles sur les

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Conseils pour le traitement des douleurs persistantes

Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Page -1- Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que les douleurs persistantes sont des "douleurs particulières", qui doivent donc être traitées en

Plus en détail

Recommandation de Bonne Pratique LES STRATEGIES THERAPEUTIQUES MEDICAMENTEUSES ET NON MEDICAMENTEUSES DE L'AIDE A L'ARRET DU TABAC ARGUMENTAIRE

Recommandation de Bonne Pratique LES STRATEGIES THERAPEUTIQUES MEDICAMENTEUSES ET NON MEDICAMENTEUSES DE L'AIDE A L'ARRET DU TABAC ARGUMENTAIRE Recommandation de Bonne Pratique LES STRATEGIES THERAPEUTIQUES MEDICAMENTEUSES ET NON-MEDICAMENTEUSES DE L'AIDE A L'ARRET DU TABAC ARGUMENTAIRE AGENCE FRANÇAISE DE SECURITE SANITAIRE DES PRODUITS DE SANTE

Plus en détail

Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique

Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique Dépendance de la victime à une illusion, un fantasme Ces critères ont été élaborés par Goodman

Plus en détail

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à :

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à : Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette

Plus en détail

La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac?

La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Dubois G, Goullé JP, Costentin J Au nom de la Commission VI (Addictions) Académie Nationale de Médecine Introduction Le tabac tue un

Plus en détail

LES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11

LES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11 LES ADDICTIONS Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France Du produit à l addiction Auparavant l accent était mis sur la substance alcool/drogue qui était diabolisée

Plus en détail

«Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école. Pour les parents et les enseignants

«Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école. Pour les parents et les enseignants «Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école Pour les parents et les enseignants C est parti! Compréhensible et compacte: par le biais de cette brochure, parents

Plus en détail

Stress des soignants et Douleur de l'enfant

Stress des soignants et Douleur de l'enfant 5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Plan de la présentation Introduction présentation La réalité virtuelle pour le jeu pathologique

Plan de la présentation Introduction présentation La réalité virtuelle pour le jeu pathologique Le monde virtuel au service de la prévention de la rechute du jeu pathologique Stéphane Bouchard, Ph.D., Lucie Laniel, Lynda Poirier Isabelle e Cyr, Josée Dostie, Geneviève e emorency oe cyet Cathy Tétreault

Plus en détail

Quand le stress nous rend malade

Quand le stress nous rend malade Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors

Plus en détail

Pour les personnes qui veulent cesser de fumer

Pour les personnes qui veulent cesser de fumer Pour les personnes qui veulent cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Documents imprimés Une étape à la fois 1 Pour les personnes qui ne veulent

Plus en détail

Les stratégies de prévention du tabagisme développées par les structures qui encadrent les jeunes

Les stratégies de prévention du tabagisme développées par les structures qui encadrent les jeunes Le réseau régional d Education Pour la Santé Membre du réseau de l'institut National de Prévention et d'education pour la Santé et l Institut Rhône-Alpes de Tabacologie Les stratégies de prévention du

Plus en détail

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer

Plus en détail

Les Arbres décisionnels

Les Arbres décisionnels Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir

Plus en détail

Réflexe Prévention Santé. Réflexe Prévention Santé

Réflexe Prévention Santé. Réflexe Prévention Santé Réflexe Prévention Santé Bien utiliser votre contrat Réflexe Prévention Santé Prenez votre santé en main Des spécialistes vous accompagnent Vous bénéficiez d un programme diététique Ce service est un programme

Plus en détail

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER

Plus en détail

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les

Plus en détail

déclarations d assurabilité en cas d accident (invalidité ou soins hospitaliers)

déclarations d assurabilité en cas d accident (invalidité ou soins hospitaliers) 1 Nom Prénom Date de naissance (AAAA/MM/JJ) N o de proposition ou de contrat 1. renseignements médicaux Renseignements Oui Non médicaux 1. Prenez-vous des médicaments? Cocher OUI ou NON. 2. Au cours des

Plus en détail

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,

Plus en détail

C est décidé, j arrête de fumer. Les astuces pour réussir

C est décidé, j arrête de fumer. Les astuces pour réussir 3 6 C est décidé, j arrête de fumer Les astuces pour réussir Table des matières 3 Les raisons d arrêter de fumer 4 Santé 4 Stratégies pour se préparer 6 Méthode progressive 7 Passez à l action! 8 Surmonter

Plus en détail

TNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS

TNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS Accompagner les changements de comportement TNS 2014 Comprendre et accompagner les changements de comportement Inciter et accompagner les changements de comportements des individus est un enjeu fondamental

Plus en détail

C est décidé, j arrête de fumer

C est décidé, j arrête de fumer C est décidé, j arrête de fumer 3 C'EST DÉCIDÉ, J'ARRÊTE DE FUMER Cette brochure est destinée aux personnes qui sont prêtes à tenter d'arrêter de fumer. Elle est destinée aussi bien aux femmes qu aux hommes,

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Flunarizine

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Flunarizine NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR SIBELIUM 10 mg, comprimé sécable Flunarizine Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez

Plus en détail

TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE

TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE DOCUMENT SUPPLÉMENTAIRE 6C TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE Points clés pour les médecins à réviser avec les adolescents et adultes atteints de TDAH: Données concernant les risques: a) Des études cliniques

Plus en détail

Certaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie?

Certaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie? P a g e 1 Comment savoir que vous présentez une hypoglycémie? La plupart des personnes diabétiques sentent rapidement lorsque leur taux de glycémie est trop bas (inférieur à 60 mg/dl). Les premiers symptômes

Plus en détail

Carnet de suivi Lithium

Carnet de suivi Lithium Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous

Plus en détail

NOTICE. DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine

NOTICE. DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine NOTICE ANSM Mis à jour le : 08/06/2010 Dénomination du médicament DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine Encadré Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament.

Plus en détail

Efficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement

Efficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement Efficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement Stéphane Bouchard*, Ph.D. Département de Psychoéducation et de Psychologie Université du Québec

Plus en détail

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail

Expertis. Étude Stress. Stress. sur le Éléments statistiques. Dr Brigitte Lanusse-Cazalé. Production : Le Laussat.

Expertis. Étude Stress. Stress. sur le Éléments statistiques. Dr Brigitte Lanusse-Cazalé. Production : Le Laussat. Expertis Étude Stress Stress sur le Éléments statistiques Dr Brigitte Lanusse-Cazalé Production : Le Laussat. Les réactions au stress Les phases de stress + le stress dure, + le capital d adaptation s

Plus en détail

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Vous êtes visé Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Prévenir les vols ou les effets d un vol sur les employés Rôle de la direction de la succursale Désigner un

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

L adhésion au traitement: les clés du succès

L adhésion au traitement: les clés du succès L adhésion au traitement: les clés du succès Dr Marie P. Schneider, pharmacienne Policlinique Médicale Universitaire Lausanne CHUV avril 005 Mme W.M. 970 Patiente d origine angolaise, en Suisse depuis

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Agence de la santé et des services sociaux de Montréal. Des professionnels actifs pour traiter le tabagisme et sa dépendance

Agence de la santé et des services sociaux de Montréal. Des professionnels actifs pour traiter le tabagisme et sa dépendance Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Des professionnels actifs pour traiter le tabagisme et sa dépendance Une réalisation du secteur Services préventifs en milieu clinique Direction de

Plus en détail

La responsabilité juridique des soignants

La responsabilité juridique des soignants La responsabilité juridique des soignants Les soignants, face à des conditions de travail parfois difficiles et aux aléas de la médecine, songent plus souvent aux risques thérapeutiques qu aux risques

Plus en détail

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,

Plus en détail

Migraine et mal de tête : des "casse-tête"

Migraine et mal de tête : des casse-tête Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,

Plus en détail

La schizophrénie est une maladie évolutive; elle comporte 5 phases, qui se succèdent souvent dans l ordre 2 :

La schizophrénie est une maladie évolutive; elle comporte 5 phases, qui se succèdent souvent dans l ordre 2 : Qui peut être atteint de schizophrénie? La schizophrénie est une maladie mentale qui touche environ 1 % de la population canadienne. Elle frappe autant les hommes que les femmes, et se déclare généralement

Plus en détail

L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté

L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté 27e Entretiens Jacques Cartier Sherbroke, le 6 octobre 2014 Le suivi intensif dans

Plus en détail

Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015

Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015 Place Vignioboul Mon Pass Loisirs Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015 Prénom : / Nom : Ma date de naissance : / / Téléphone (domicile) : / Mon portable : / Mon mail : / Cocher 1 possibilité : (OBLIGATOIRE)

Plus en détail

SITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME

SITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME I. Tabac-info-service.fr SITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME I. TABAC-INFO-SERVICE.FR http://www.tabac-info-service.fr/ Site du Ministère de la Santé et de l Inpes (Institut national de prévention et d

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

LE SOMMEIL: TRAITEMENT DE L'INSOMNIE

LE SOMMEIL: TRAITEMENT DE L'INSOMNIE LE SOMMEIL: TRAITEMENT DE L'INSOMNIE Avant d aborder le sujet de l amélioration du sommeil, permettez-moi de vous présenter quelques faits concernant le sommeil. Plusieurs études ont démontré qu on a besoin

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Gina Sanders. Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal!

Gina Sanders. Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal! Gina Sanders Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal! Tous concernés! De quoi s agit-il? encontrer ponctuellement des dif cultés pour s endormir, se réveiller en pleine nuit ou se retrouver debout

Plus en détail