CHAPITRE 1 ANALYSE DE L ENVIRONNEMENT

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CHAPITRE 1 ANALYSE DE L ENVIRONNEMENT"

Transcription

1 CHAPITRE 1 ANALYSE DE L ENVIRONNEMENT

2 La gestion stratégique des organisations artistiques OBJECTIFS Présenter les outils pour analyser l environnement Définir les variables macroéconomiques Illustrer la concurrence au sein d une industrie Identifier les groupes stratégiques Exposer le concept des facteurs clés de succès Présenter la notion de «parties prenantes» Acceptabilité Valeurs du management Environnement Décision stratégique Faisabilité Pertinence Organisation PROBLÉMATIQUES MANAGÉRIALES La relation entre l artiste et le gestionnaire La diminution de la fréquentation Les sources de financement L intensification de la concurrence La flexibilité des organisations L évaluation de la performance ANALYSE DE L ENVIRONNEMENT COUP D ŒIL DU CHAPITRE Concepts stratégiques L analyse PEST Le modèle des cinq forces de Porter Groupes stratégiques et segments de marché Les facteurs clés de succès Les parties prenantes Résumé Illustration Zarin Mehta et le New York Philharmonic (NYP) Étude de cas Le Centre national des Arts L Orchestre Métropolitain Références Suggestions de textes de gestion stratégique Suggestions de textes de gestion d institutions culturelles Suggestion de cas Autres suggestions de cas 14

3 Analyse de l environnement CONCEPTS STRATÉGIQUES Le thème abordé dans ce chapitre permet de comprendre la dynamique de l environnement de l OCA. L approche stratégique de l analyse de l environnement n est pas de dresser une liste exhaustive des influences des facteurs environnementaux, mais d identifier les plus pertinents et de comprendre leurs impacts sur l organisation. Plusieurs outils stratégiques ont été développés afin d accompagner le gestionnaire dans sa réflexion sur la compréhension de l environnement de l OCA. La trame classique de cette analyse se décompose généralement en trois étapes : La première étape est d identifier les influences globales de l environnement sur toutes les OCA. Le modèle PEST permet de déterminer les facteurs les plus pertinents en lien avec les dimensions politiques, économiques, socioculturelles et technologiques de l environnement et leur impact sur le développement des organisations. La deuxième étape est de comprendre la dynamique compétitive du secteur des arts qui est composé d un ensemble de groupes stratégiques (musées, arts de la scène, etc.). Le modèle des cinq forces de la concurrence, proposé par Michael Porter, permet d analyser cette dynamique. En tenant compte des segments de clientèle ciblés, l OCA doit en particulier analyser les facteurs clés de succès du groupe auquel elle appartient qui lui permettent de construire un avantage concurrentiel par rapport aux autres acteurs de son groupe. La troisième étape est d identifier l ensemble des parties prenantes et de comprendre leurs pouvoirs et intérêts respectifs afin de satisfaire leurs attentes. L ANALYSE PEST 7 Le modèle PEST propose de classer les composantes environnementales d une OCA selon quatre catégories (politique, économique, socioculturelle et technologique) en répertoriant les principaux facteurs macroéconomiques qui ont une influence sur l organisation (voir schéma 1.1). Le fait de les catégoriser n implique pas qu ils soient indépendants. Bien au contraire, l environnement est dynamique, et le changement d une variable 7 Le modèle PEST est une version simplifiée du modèle PESTEL qui prend également en compte les facteurs écologiques et légaux. 15

4 La gestion stratégique des organisations artistiques répertoriée sous une catégorie peut influencer une ou plusieurs autres variables classées sous une autre catégorie. Par exemple, une nouvelle fiscalité (composante politique) aura une influence sur le pouvoir d achat (composante économique) des ménages et modifiera de facto la distribution des revenus (composante socioculturelle) d une population donnée. Le gestionnaire doit être conscient de bien identifier toutes les variables externes pertinentes qui influencent l organisation. De plus, le gestionnaire doit avoir une perspective dynamique sur ces variables ce qui implique d éclairer le présent et d appréhender le futur en ayant intégré la dynamique du passé. En utilisant le modèle PEST, le gestionnaire de l OCA, peut ainsi identifier les facteurs macro-économiques qui vont influencer l organisation dans le futur et en comprendre les conséquences. Schéma 1.1 Le modèle PEST de l OCA Source : adapté de Johnson G. et Scholes K., Stratégique 7 e édition,

5 Analyse de l environnement Ainsi le modèle PEST est un outil pour débuter l analyse de l environnement qui consiste à déterminer les facteurs exogènes à l organisation tout en permettant au gestionnaire d anticiper leurs impacts. La composante politique L environnement politique du secteur des arts est une composante importante car les actions gouvernementales ont une influence directe sur l environnement des OCA sur le plan du financement, de l encadrement et de la législation. Financement : la politique gouvernementale détermine le montant et la quantité des subventions publiques disponibles pour les OCA selon leur groupe stratégique. Le gouvernement établi également les politiques fiscales applicables au secteur, et notamment tout ce qui a trait aux crédits d impôt pour le soutien des projets artistiques ou aux incitatifs fiscaux pour encourager le mécénat. Encadrement : au travers de différents programmes, la politique gouvernementale a, entre autres, pour objectif de stimuler le dynamisme du marché de l art, de favoriser l éducation artistique, d apporter son aide à la création sous forme de commandes à des artistes, de soutien aux projets de création artistique des compagnies ou d encadrement de la protection patrimoniale de salles de spectacles (par exemple, le Théâtre national de l Opéra, dit l Opéra Garnier, est classé aux Monuments historiques par le Ministère de la Culture française en date du 16 octobre 1923 pour son architecture et décor extérieur et intérieur). Légal : la politique gouvernementale définit un cadre juridique adapté aux professions du spectacle afin de protéger la propriété intellectuelle des artistes, de légiférer sur l aliénation des œuvres des collections publiques, etc. La politique gouvernementale influence de nombreux facteurs macroéconomiques de l OCA. Le gestionnaire, dans sa réflexion sur la compréhension de l environnement, doit ainsi analyser en profondeur la composante politique et en évaluer sa portée. Son analyse doit également prendre en compte la dynamique de cette composante car les orientations, priorités et choix politiques sont inhérents aux gouvernements en poste, et donc potentiellement éphémères en cas de renouvellement de l équipe ministérielle. 17

6 La gestion stratégique des organisations artistiques La composante économique L environnement économique du secteur des arts est une composante importante car il détermine non seulement le pouvoir d achat du public potentiel mais conditionne aussi la capacité des entreprises à se convertir en mécènes du secteur. Le pouvoir d achat des ménages est un facteur très influent sur le comportement du public vis-à-vis de la consommation de produits culturels. L analyse de la composante économique de l environnement de l OCA permet au gestionnaire d appréhender la sensibilité de l organisation à cette composante. La fréquentation des OCA ne constitue pas un besoin primaire ou essentiel et la demande est étroitement liée au revenu discrétionnaire du consommateur. Le gestionnaire doit être en mesure de détecter et d analyser les facteurs économiques qui impliquent une diminution ou une hausse du pouvoir d achat des ménages. En effet, en période de récession, la consommation de produits culturels a tendance à diminuer, alors qu en période de croissance soutenue qui génère une hausse du revenu des ménages, la fréquentation des OCA est en augmentation. Il y a parfois des exceptions à la précédente observation, par exemple en France, où pendant la crise financière de 2008 bien des théâtres et spectacles ont affiché complet dans les premières semaines. Volonté d échapper à un climat déprimé en s évadant ou réaction à la peur de perdre son pouvoir d achat et donc propice à faire dépenser maintenant plutôt que demain. Les sociologues, psychologues et économistes pourront en débattre. La compréhension de la dynamique de la composante économique est essentielle pour le gestionnaire de l OCA afin d anticiper les influences des composantes économiques sur son activité et de les intégrer dans son analyse de l environnement de son organisation. La composante socioculturelle La composante socioculturelle de l environnement a une grande incidence sur le secteur des arts et de la culture. La démographie, la composition ethnique d une population, le niveau d éducation et le mode de vie représentent les éléments les plus influents de la composante socioculturelle. 18 La démographie, et plus particulièrement l évolution de la pyramide des âges, est de première importance car la fréquentation des OCA et le mode de consommation du produit culturel sont étroitement liés à l âge du consommateur. Les préférences pour un type de produits culturels étant corrélées avec l âge du public, des modifications dans la pyramide des âges ont un impact direct sur la demande et la fréquentation des OCA. Le mode de consommation est également influencé par l âge, car les attentes sont différentes d une génération à l autre. En effet, les sens comme l ouïe et la

7 Analyse de l environnement vue ou les capacités comme la mobilité et l abstraction sont affectés par l âge. Par conséquent, les personnes du troisième âge auront des attentes et besoins différents qu un public composé d adolescents. L étude des comportements et de la distribution des différentes générations (baby-boomers, génération Y, etc.) est essentielle à l analyse de l environnement pour que l OCA puisse satisfaire les attentes et les besoins de son public cible. Les communautés ethniques représentent une partie non négligeable de la population des grandes agglomérations d Amérique du Nord et d Europe. L augmentation de la population de ces dernières repose notamment sur l immigration. Ainsi, la diversité d origine culturelle a tendance à s accroître amenant de nouvelles tendances et attentes. Compte tenu de l importance croissante de ces communautés, le gestionnaire de l OCA doit également analyser et comprendre la dynamique de la composante socioculturelle afin d en déterminer l influence sur son offre actuelle et son potentiel pour le futur. Le niveau d éducation est également une variable ayant une influence sur la fréquentation des OCA. La tendance observée est que les organisations proposant de l art «savant» attirent un public fortement instruit alors qu une population moins scolarisée fréquente les organisations offrant un art dit «populaire». Il est important de nuancer, car ce dernier attire un public à l image du profil général de la population, incluant aussi une partie de la population ayant fait des études supérieures. On observe aussi un effort de démocratisation entrepris par le gestionnaire des OCA ayant une offre dite «savante». L influence du niveau d éducation du public s estompe peu à peu. La composante socioculturelle est donc moins marquée dans une perspective dynamique ce qui n entache pas son importance qui reste significative. Le mode de vie, c est-à-dire le comportement d une population par rapport aux loisirs, est une variable à analyser car elle permet au gestionnaire de l OCA de comprendre les évolutions des attentes quant à l occupation du temps libre des segments ciblés de la population. L étude et la compréhension de la dynamique de la composante socioculturelle sont de première importance, car elles permettent au gestionnaire de l OCA de mieux cibler son offre en fonction des segments visés et de leurs profils socioculturels. 19

8 La gestion stratégique des organisations artistiques La composante technologique L analyse de la composante technologique de l OCA n est pas à minimiser, car une innovation peut bouleverser un environnement dans une période extrêmement courte en modifiant les schèmes de pensée ou de comportement de l ensemble d une population. L utilisation d Internet, par exemple, a profondément facilité l accès aux œuvres artistiques, menaçant ainsi la propriété intellectuelle des artistes, mais a contribué à une démocratisation de l art et de la culture, incitant le public à fréquenter les OCA. La retransmission en haute définition a ouvert la porte de spectacles dits «savants» au grand public dans les salles de cinéma. Ainsi, le Metropolitan Opera de New York retransmet en direct dans le monde entier une douzaine d opéras par an, chaque représentation étant à un coût de 25 dollars, ce qui représente l équivalent du prix de la place assise la moins chère au Met. Cette innovation technologique peut avoir des effets sur la fréquentation de maisons d opéras locales. En effet, les moyens du Met lui permettent d avoir des distributions et des productions qui sont parmi les meilleures au monde. Une maison d opéra ayant des moyens limités ne pourra pas rivaliser avec le Met, en particulier si son tarif le moins cher dépasse 40 dollars. Les représentations retransmises au cinéma ont démocratisé l opéra et permis aux passionnés de pouvoir assister à des représentations du Met tout en continuant de donner leur soutien à leur compagnie locale. Certaines maisons d opéra ont observé que certaines personnes préféraient un spectacle du Met au cinéma plutôt qu un spectacle en salle d opéra avec leur compagnie locale. Certes, les grands noms qu affiche le Met y sont pour beaucoup. Néanmoins, plusieurs maisons d opéras ont récemment observé une augmentation de fréquentation de la part d une population plus jeune qui a découvert l opéra au cinéma et veut assister à une représentation en direct mais locale. L analyse de la composante technologique permet au gestionnaire de déceler les menaces et les opportunités que son évolution peut apporter à l environnement des OCA. 20 LE MODÈLE DES CINQ FORCES DE PORTER L analyse de l environnement de l OCA se poursuit au niveau du secteur, afin d en comprendre sa dynamique concurrentielle. Le modèle des cinq forces a été élaboré par Michael Porter en 1979 lorsqu il était professeur associé à la Harvard Business School afin d expliquer comment la rentabilité à long terme d une industrie, composée d un ensemble de groupes stratégiques (par exemple les musées ou les arts de la scène pour le secteur des arts) peut être modelée par l intensité concurrentielle. Cette intensité concurrentielle au sein d une industrie dans son ensemble ou au niveau d un groupe stratégique est fonction du pouvoir des clients, du pouvoir des

9 Analyse de l environnement fournisseurs, de la menace de substituts ou encore de la menace des entrants potentiels. Ainsi, le niveau de l intensité concurrentielle dépend du niveau des quatre éléments précédemment cités. Ces cinq forces concurrentielles, illustrées dans le schéma 1.2, et leur interaction permet de déterminer le potentiel de la profitabilité du secteur sur le long terme. Ces cinq forces concurrentielles peuvent être influencées par l environnement par exemple le rôle du gouvernement, l innovation et la technologie. Schéma 1.2 Les cinq forces concurrentielles Rivalité entre les concurrents existants Menace de nouveaux entrants Pouvoir de négociation des fournisseurs Menace des produits ou services de substituts Pouvoir de négociation des clients Porter Michael, E. (2008), «The Five Competitive Forces That Shape Strategy», Harvard Business Review 86(1): 78. La menace de nouveaux entrants La menace des nouveaux entrants est fortement liée aux barrières à l entrée du secteur des arts. Plus l accès aux ressources et compétences nécessaires pour réaliser une activité dans ce secteur est facile, plus les barrières à l entrée sont réputées faibles. Un nouvel entrant dans les arts de la scène vient augmenter l offre culturelle et probablement l intensité concurrentielle entre les compagnies des arts de la scène qui visent le même segment de marché ou la même enveloppe budgétaire pour recevoir une 21

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise

Plus en détail

Le marketing stratégique

Le marketing stratégique Chapitre2 Le marketing stratégique I. La démarche stratégique La démarche marketing comporte trois phases : analyse, planification et mise en œuvre. II. Le diagnostic stratégique Le diagnostic stratégique

Plus en détail

Les outils classiques de diagnostic stratégique

Les outils classiques de diagnostic stratégique Chapitre I Les outils classiques de diagnostic stratégique Ce chapitre présentera les principaux outils de diagnostic stratégique dans l optique d aider le lecteur à la compréhension et à la manipulation

Plus en détail

RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA. 17 novembre 2003

RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA. 17 novembre 2003 RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA 17 novembre 2003 Pascal PICHON LES ASSUREURS RC ONT-ILS PEUR DES RISQUES EMERGEANTS? INTRODUCTION LA RC EN CRISE DEPUIS PLUSIEURS ANNEES HAUSSES TARIFAIRES NOUVELLES POLITIQUES

Plus en détail

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler

Plus en détail

Chapitre 1 : La consommation et l épargne

Chapitre 1 : La consommation et l épargne Chapitre 1 : La consommation et l épargne - 7 - Dans ce chapitre vous allez : - Distinguer les différents types de consommation. - Découvrir de quels facteurs dépend la consommation. - Étudier ce qu est

Plus en détail

La démarche d intelligence économique

La démarche d intelligence économique PROGRAMME D APPUI AU COMMERCE ET À L INTÉGRATION RÉGIONALE Un programme financé par l Union européenne RENFORCEMENT DE LA COMPETITIVITE DES ENTREPRISES ET INTELLIGENCE ECONOMIQUE MARINA SAUZET CONSULTANTE

Plus en détail

LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel

LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel Sommaire PRESENTATION GENERALE DU MARKETING: Qu est-ce que le Marketing? Introduction et définition

Plus en détail

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière

Plus en détail

DEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing

DEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing 2012/2013 Démarche Marketing MODULE : BTS : DEMARCHE MARKETING Aouichaoui Moez Conseiller d apprentissage moez.aouichaoui@atfp.tn - Janvier 2014 www.logistiquetn.me.ma, Tunis Aouichaoui Moez 1 Plan N.B

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait

Plus en détail

Management Stratégique. Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1.

Management Stratégique. Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1. Management Stratégique Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1 Plan du Module 3 Chap.3- Les modèles fondés sur la structure des marchés

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret

Plus en détail

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets

Plus en détail

Le mécénat d entreprise

Le mécénat d entreprise Le mécénat d entreprise Ubiqus Paris, le 1 er octobre ] Sommaire Ouverture... 3 Georges CHABIN, Directeur de la communication... Qu est-ce que le mécénat?... 3 Maxine HEBERT, Responsable du Mécénat, société

Plus en détail

Le Marketing au service des IMF

Le Marketing au service des IMF Le Marketing au service des IMF BIM n 06-20 février 2002 Pierre DAUBERT Nous parlions récemment des outils d étude de marché et de la clientèle créés par MicroSave-Africa, qui s inscrit dans la tendance

Plus en détail

Cours de Marketing. Focaliser l attention sur les besoins du client. Consumer marketing Business to business (B2B)

Cours de Marketing. Focaliser l attention sur les besoins du client. Consumer marketing Business to business (B2B) Cours de Marketing -> L étude du marché, stratégies pour l entrée du produit sur le marché, pour balancer la demande et l offre, étude qualitative (ex : interroger un public ciblé) et quantitative (calculer

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

FiNANCE - BANQUE - ASSURANCE

FiNANCE - BANQUE - ASSURANCE FiNANCE - BANQUE - ASSURANCE DEES Chargé(e) de Clientèle de Particuliers - DEESBANQUE DEES Marché de Professionnels - DEESBANQUE DEES Finance - DEESFi DEES Gestion du Patrimoine, assurance, Banque - DEESPAB

Plus en détail

I) Le diagnostic externe

I) Le diagnostic externe Le diagnostic stratégique est la première étape de la démarche stratégique et consiste à analyser le diagnostic externe et interne de l entreprise. L analyse FFOM (SWOT) résume les conclusions de ces deux

Plus en détail

L entreprise et son environnement économique

L entreprise et son environnement économique CHAPITRE1 L entreprise et son environnement économique OBJECTIFS DU CHAPITRE Présenter les notions d entreprise et d environnement économique ; Présenter les structures fondamentales et les différentes

Plus en détail

Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)

Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE) Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE) Février 2008 SOMMAIRE Communiqué de presse de synthèse... 3 1. Le Bureau d accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)........

Plus en détail

DEVOIR N 1 économie générale

DEVOIR N 1 économie générale PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le

Plus en détail

L étudiant devra être capable d élaborer des stratégies de développement dans l entreprise, en situation réelle.

L étudiant devra être capable d élaborer des stratégies de développement dans l entreprise, en situation réelle. MASTER Européen de Management et de Stratégies touristiques Présentation : Ce master européen s adresse prioritairement à des étudiants ayant validé un diplôme de niveau II (Bac+3) dans les domaines de

Plus en détail

POLITIQUE DE COMMUNICATION

POLITIQUE DE COMMUNICATION POLITIQUE DE COMMUNICATION DU COMITÉ DE GESTION DE LA TAXE SCOLAIRE DE L ÎLE DE MONTRÉAL (Adoptée le 16 décembre 2004 par la résolution 19 par le Comité de gestion de la taxe scolaire de l île de Montréal)

Plus en détail

Les objectifs de l Autorité de Contrôle prudentiel

Les objectifs de l Autorité de Contrôle prudentiel Les objectifs de l Autorité de Contrôle prudentiel Le 8 mars 2010, la Ministre de l Economie de l Industrie et de l Emploi Christine Lagarde a installé la nouvelle Autorité de Contrôle Prudentiel (ACP).

Plus en détail

Simplifier vos projets d avenir

Simplifier vos projets d avenir Simplifier vos projets d avenir FINANCEMENT Ouvrir à nos clients l accès aux marchés de capitaux publics et privés par le biais de formules innovatrices d emprunt et de recapitalisation. S O L U T I O

Plus en détail

2 e édition. Marketing. Éva Delacroix alain DebeneDetti ouidade Sabri

2 e édition. Marketing. Éva Delacroix alain DebeneDetti ouidade Sabri Marketing 2 e édition Marketing Éva Delacroix alain DebeneDetti ouidade Sabri Conseiller éditorial : Christian Pinson Dunod, 2014 5 rue Laromiguière, 75005 Paris www.dunod.com ISBN 978-2-10-071115-4 Les

Plus en détail

Structure de l épargne et croissance Olivier Davanne

Structure de l épargne et croissance Olivier Davanne Structure de l épargne et croissance Olivier Davanne Introduction du débat organisé par l IEFP 5 décembre 2007 1 Plan de la présentation 1. Volume de l épargne et croissance en union monétaire. 2. Structure

Plus en détail

Pôle de Dakar S IMUL ATIONS. 1 Utiliser un taux d accroissement pour une simulation

Pôle de Dakar S IMUL ATIONS. 1 Utiliser un taux d accroissement pour une simulation FORMULAIRE ATELIER S IMUL ATIONS 1 Utiliser un taux d accroissement pour une simulation La projection de certaines variables se base sur une hypothèse de taux de croissance annuelle régulier et constant.

Plus en détail

MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE

MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede.org - BAC+5 Présentation

Plus en détail

La diversification des publics à l Opéra national de Paris

La diversification des publics à l Opéra national de Paris La diversification des publics à l Opéra national de Paris Françoise ROUSSEL * Au moment de son projet, l Opéra Bastille correspondait à une volonté de démocratisation de l Opéra. Dix ans après son ouverture,

Plus en détail

PROGRAMME DÉTAILLÉ DU BTS MUC

PROGRAMME DÉTAILLÉ DU BTS MUC PROGRAMME DÉTAILLÉ DU BTS MUC I - Gestion de la relation commerciale MODULE 1 : LA RELATION COMMERCIALE ET SON CONTEXTE La relation commerciale et les unités commerciales L unité commerciale physique La

Plus en détail

SUGGESTIONS THEMATIQUES ATELIER SOLUTION ET KIOSQUE MISSION POUR LES ANIMATIONS

SUGGESTIONS THEMATIQUES ATELIER SOLUTION ET KIOSQUE MISSION POUR LES ANIMATIONS SUGGESTIONS THEMATIQUES POUR LES ANIMATIONS ATELIER SOLUTION ET KIOSQUE MISSION 65 E CONGRES DE L ORDRE DES EXPERTS COMPTABLES STRASBOURG 14 AU 17 OCTOBRE 2010 Il sera apporté attention dans le choix et

Plus en détail

COURS N 1 N 1 : QU EST EST-CE QUE LE MARKETING?

COURS N 1 N 1 : QU EST EST-CE QUE LE MARKETING? COURS N 1 N 1 : QU EST EST-CE QUE LE MARKETING? COURS N 1 : QU EST-CE QUE LE MARKETING? --> PLAN --> Histoire du Marketing --> Définitions --> Les différents types de marketing --> Des 4 P --> L importance

Plus en détail

Innovation & Internationalisation (I²)

Innovation & Internationalisation (I²) Partenariats d intérêt mutuel bien compris, tout azimut Les inter-pme panafricaines et internationales réalisées massivement Innovation & Internationalisation (I²) L Afrique se tire elle-même du marécage

Plus en détail

INITIATION A LA GESTION DE PATRIMOINE

INITIATION A LA GESTION DE PATRIMOINE INITIATION A LA GESTION DE PATRIMOINE L AUREP propose des séminaires sur mesure pour les conseillers en gestion de patrimoine junior et pour les collaborateurs des conseillers. Il s agit d une sensibilisation

Plus en détail

Le plan d action marketing et commercial : De la réflexion marketing à l action commerciale

Le plan d action marketing et commercial : De la réflexion marketing à l action commerciale Le plan d action marketing et : De la réflexion marketing à l action e Un document qui oblige à réfléchir et à prendre du recul sur l activité, en mêlant l analyse marketing à l action e 1 L analyse marketing

Plus en détail

Mobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle

Mobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite

Plus en détail

Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013

Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Daniel Denis kpmg.ca L environnement externe ÉCONOMIE CONSOMMATEUR TECHNOLOGIE DÉMOGRAPHIE Secteur de l assurance

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)

Plus en détail

QUELLE REFORME DE L ASSURANCE-MALADIE AUX ETATS-UNIS? 1

QUELLE REFORME DE L ASSURANCE-MALADIE AUX ETATS-UNIS? 1 QUELLE REFORME DE L ASSURANCE-MALADIE AUX ETATS-UNIS? 1 François Vergniolle de Chantal* La crise que subissent les classes moyennes a constitué un enjeu majeur de la présidentielle de 2008 aux Etats-Unis.

Plus en détail

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités

Plus en détail

Epargner en période de crise : le dilemme

Epargner en période de crise : le dilemme Epargner en période de crise : le dilemme L épargne tient souvent l actualité en ce début d été 2013. Plusieurs chiffres laissent interrogateurs en cette période de très faible croissance (rappel : - 0.2%

Plus en détail

MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE MSE. Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede.

MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE MSE. Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede. MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE MSE Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede.org - BAC+5 Présentation Ce programme de formation interdisciplinaire

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

Première installation : comment réussir en temps de crise?

Première installation : comment réussir en temps de crise? FACULTES DE PHARMACIE DE PARIS V ET PARIS XI Première installation : comment réussir en temps de crise? Animation par Philippe BECKER (Fiducial) Joffrey BLONDEL (Astera) 1 Olivier DUPAYS (Pharmacie de

Plus en détail

Open Data et services de données à ERDF

Open Data et services de données à ERDF Open Data et services de données à ERDF F. Blanc / V. Corru (ERDF/Dir. Du Développement) B.Grossin (EDF/R&D) Printemps de la recherche 28 septembre 2012 ERDF, vers l opérateur de données du système électrique

Plus en détail

Programme d Appui au Commerce et à l Intégration Régionale. Union européenne GUIDE. de l intelligence économique pour les TPE / PME en Côte d Ivoire

Programme d Appui au Commerce et à l Intégration Régionale. Union européenne GUIDE. de l intelligence économique pour les TPE / PME en Côte d Ivoire Programme d Appui au Commerce et à l Intégration Régionale Union européenne GUIDE de l intelligence économique pour les TPE / PME en Côte d Ivoire Programme d Appui au Commerce et à l Intégration Régionale

Plus en détail

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB En juin 2012, le conseil d administration de l AFANB a décidé d entreprendre une démarche de révision du plan stratégique qui mènera au dépôt d un plan stratégique

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.2 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)

Plus en détail

Qu est-ce que la compétitivité?

Qu est-ce que la compétitivité? Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il

Plus en détail

Avec Gaël Callonnec (Ademe)

Avec Gaël Callonnec (Ademe) Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du

Plus en détail

Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé

Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Cabinet du ministre Communiqué de presse BUDGET 2013-2014 COMMUNIQUÉ N 2 BUDGET 2013-2014 Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Québec, le 20 novembre 2012 «Pour accélérer la croissance

Plus en détail

Chapitre 3. La répartition

Chapitre 3. La répartition Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations

Plus en détail

CRM & architecture centrée client - Page 1 sur 5

CRM & architecture centrée client - Page 1 sur 5 CRM & architecture centrée client - Page 1 sur 5 LES DOSSIERS MADWATCH.net CRM & SIMK CRM et architecture centrée client Novembre 2003 Nb de pages : 5 CRM & architecture centrée client - Page 2 sur 5 Le

Plus en détail

Date: 20 02 2007 Ref: 071/07/OL. Architecture et durabilité

Date: 20 02 2007 Ref: 071/07/OL. Architecture et durabilité Architecture et Société - TA 3 anglaise Architecture et durabilité Le secteur de la construction joue un rôle clé dans toute politique visant un développement durable pour le 21ème siècle. L environnement

Plus en détail

DOSSIER PREALABLE AU LANCEMENT D UNE CAMPAGNE

DOSSIER PREALABLE AU LANCEMENT D UNE CAMPAGNE DOSSIER PREALABLE AU LANCEMENT D UNE CAMPAGNE DE MOBILISATION DU MECENAT POPULAIRE Nom du délégué Fondation du Patrimoine local :.. PIECES A FOURNIR IMPERATIVEMENT POUR L INSTRUCTION DE VOTRE DOSSIER :

Plus en détail

Contrat d assurance-vie Skandia Archipel PEP

Contrat d assurance-vie Skandia Archipel PEP Contrat d assurance-vie Skandia Archipel PEP Pourquoi choisir un Conseiller en Gestion de Patrimoine Indépendant? Le Conseiller en Gestion de Patrimoine Indépendant est l interlocuteur idéal pour gérer

Plus en détail

Recueil de formules. Franck Nicolas

Recueil de formules. Franck Nicolas Recueil de formules Nous avons répertorié dans cette section, les différentes formules expliquées tout au long de cet ouvrage, afin de vous permettre de trouver rapidement l opération que vous souhaitez

Plus en détail

Mastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché»

Mastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» Mastère spécialisé «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» I- Présentation détaillée du programme d enseignement Répartition par modules et crédits ECTS : Intitulé

Plus en détail

DE LA RgPUBLIQUE FRAN^AISE. Mandature 2010-2015 - Seance du 14 avril 2015

DE LA RgPUBLIQUE FRAN^AISE. Mandature 2010-2015 - Seance du 14 avril 2015 2015-09 NOR : CESL1500009X Lundi 27 avril 2015 JOURNAL OFFICIEL DE LA RgPUBLIQUE FRAN^AISE Mandature 2010-2015 - Seance du 14 avril 2015 REVOLUTION NUMERIQUE ET ävolutions DES MOBILITES INDIVIDUELLES ET

Plus en détail

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à

Plus en détail

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience

Plus en détail

Devenez mécène du Musée du Louvre Foire aux questions

Devenez mécène du Musée du Louvre Foire aux questions Devenez mécène du Musée du Louvre Foire aux questions POURQUOI LE LOUVRE A-T-IL BESOIN DE VOTRE SOUTIEN? Le musée du Louvre est une institution publique qui reçoit une subvention de la part de l Etat pour

Plus en détail

R e l a t i o n s h i p m a n a g e r

R e l a t i o n s h i p m a n a g e r R e l a t i o n s h i p m a n a g e r r é f é r e n t i e l d e c o m p é t e n c e s j a n v i e r 2 0 0 8 F o n d a t i o n G e n è v e P l a c e F i n a n c i è r e P r é f a c e Le Relationship manager

Plus en détail

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant

Plus en détail

+ FICHE METIER. «Chef Maquilleur(euse)» Chef maquilleur Maquilleur APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER

+ FICHE METIER. «Chef Maquilleur(euse)» Chef maquilleur Maquilleur APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER Chef Maquilleur(euse) + «Chef Maquilleur(euse)» APPELLATION(S) DU METIER Chef maquilleur Maquilleur DEFINITION DU METIER Le chef maquilleur est en charge du maquillage visage et corps, ainsi que de la

Plus en détail

aides à la création spectacle vivant CIRQUE CHORÉGRAPHIE MUSIQUE DE SCÈNE

aides à la création spectacle vivant CIRQUE CHORÉGRAPHIE MUSIQUE DE SCÈNE aides à la création spectacle vivant MIMES MARIONNETTES LYRIQUE ARTS DE LA RUE THÉÂTRE CIRQUE CHORÉGRAPHIE MUSIQUE DE SCÈNE 2009 1 Votre contact : Elisa fourniret Tél : 01 40 23 46 22 elisa.fourniret@sacd.fr

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 24 janvier 2014 Français Original: anglais ECE/CES/2014/7 Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Soixante-deuxième

Plus en détail

DE MAI À OCTOBRE 2015 EN PICARDIE. Appel à partenaires. DIRCOM RÉGION PICARDIE - Photo : Ludovic Leleu / Région Picardie

DE MAI À OCTOBRE 2015 EN PICARDIE. Appel à partenaires. DIRCOM RÉGION PICARDIE - Photo : Ludovic Leleu / Région Picardie DE MAI À OCTOBRE 2015 EN PICARDIE Appel à partenaires Fiche de présentation 2/8 Présentation du projet : contexte et enjeux En 2013, le festival «Jardins en scène» est devenu «Jardins en scène, une saison

Plus en détail

Marketing social. PPA Mars 2007

Marketing social. PPA Mars 2007 Marketing social PPA Mars 2007 Objectifs Survol des principes du marketing social. VOUS en tant que spécialiste du marketing social. Qu est-ce que le marketing social? Le marketing social est «l utilisation

Plus en détail

coopératives d habitation

coopératives d habitation Répertoire des coopératives d habitation dans le quartier Rosemont à Montréal 2 Les coopératives d habitation Qui vit dans une coopérative Qu est-ce qu une coopérative C est une personne morale regroupant

Plus en détail

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations

Plus en détail

PRÉSENTATION DE L OFFRE D ENERGIES POSIT IF

PRÉSENTATION DE L OFFRE D ENERGIES POSIT IF Société d Economie Mixte Energies POSIT IF : Promouvoir, Organiser, Soutenir et Inventer la Transition énergétique en Ile-de-France PRÉSENTATION DE L OFFRE D ENERGIES POSIT IF Ensemblier technique, financier

Plus en détail

Session 4 : Quels sont les stratégies marketing à développer en assainissement?

Session 4 : Quels sont les stratégies marketing à développer en assainissement? Session 4 : Quels sont les stratégies marketing à développer en assainissement? Jeu des 4 P Séquence prévue : 3 février 2012, de 14h30 à 17h15 Format : - Jeu des 4P : jeu de plateau, inspiré du jeu de

Plus en détail

Occasions d affaires en Fédération de Russie

Occasions d affaires en Fédération de Russie Occasions d affaires en Fédération de Russie Justine Hendricks Vice-présidente, Groupe des ressources Énoncé des occasions d affaires La Russie est un marché exigeant qui offre des occasions d affaires

Plus en détail

PROGRAMME BACHELOR BANQUE / FINANCE / ASSURANCE en 3 ans

PROGRAMME BACHELOR BANQUE / FINANCE / ASSURANCE en 3 ans PROGRAMME BACHELOR BANQUE / FINANCE / ASSURANCE en 3 ans DESCRIPTION Faire le choix d un cursus en 3 ans c est opter pour une formation qui permet à l étudiant de découvrir le monde de l entreprise afin

Plus en détail

Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015

Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil

Plus en détail

La CITE DE L ARBRE PA R T E N A R I AT. La Cité de l Arbre. Entreprises & Fondations & Associations & Particuliers

La CITE DE L ARBRE PA R T E N A R I AT. La Cité de l Arbre. Entreprises & Fondations & Associations & Particuliers Unique en France et en Europe La CITE DE L ARBRE La Cité de l Arbre Association 1901,d intérêt général ; PA R T E N A R I AT Entreprises & Fondations & Associations & Particuliers Un musée consacré entièrement

Plus en détail

LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS

LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS PEKIN TOKYO SHANGHAI NEW DELHI AHMEDABAD BANGALORE SHENZHEN

Plus en détail

Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao

Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC ET POLITIQUE FINANCIERE EN CÖTE D'IVOIRE Des origines ä nos jours Preface de Joseph Y. Yao L'Harmattan TABLE DES MATIERES Avant-propos 7 Preface 9 Sigles et abreviations

Plus en détail

Livre Blanc Oracle Novembre 2010. Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie

Livre Blanc Oracle Novembre 2010. Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie Livre Blanc Oracle Novembre 2010 Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie Présentation générale Les entreprises industrielles sont confrontées à un environnement

Plus en détail

PATRIMOINE BIEN-ETRE. www.sigmagestion.com

PATRIMOINE BIEN-ETRE. www.sigmagestion.com PATRIMOINE BIEN-ETRE www.sigmagestion.com Présentation du FIP PATRIMOINE BIEN-ETRE Réduisez votre ISF de 50 % 1 ou votre IR de 18% 1, en contrepartie d une durée de blocage pouvant aller jusqu au 31 décembre

Plus en détail

APPEL A PROJET. Résidence de création des Scènes du Nord Alsace

APPEL A PROJET. Résidence de création des Scènes du Nord Alsace APPEL A PROJET Résidence de création des Scènes du Nord Alsace Espace Rohan Place du Général de Gaulle BP 40055-67701 Saverne Cedex T. +33 (0)3 88 01 80 40 M. contact@espace-rohan.org www.espace-rohan.org

Plus en détail

Convention de mécénat avec Musiques du Monde

Convention de mécénat avec Musiques du Monde Convention de mécénat avec Musiques du Monde (En application de la loi du 1 er août 2003) ENTRE LES SOUSSIGNÉS : L'Association MUSIQUES DU MONDE, ayant son siège au 30 bis rue Bizet, 94400 Vitry-sur-Seine,

Plus en détail

L égalité entre les femmes et les hommes. Un pilier de la politique du Groupe PPE

L égalité entre les femmes et les hommes. Un pilier de la politique du Groupe PPE Commission des droits de la femme et de l égalité des genres au Parlement européen L égalité entre les femmes et les hommes Un pilier de la politique du Groupe PPE FR Chères citoyennes, chers citoyens

Plus en détail

La coopération universitaire Union Européenne Maghreb dans le cadre des programmes d éducation Tempus et Erasmus Mundus

La coopération universitaire Union Européenne Maghreb dans le cadre des programmes d éducation Tempus et Erasmus Mundus La coopération universitaire Union Européenne Maghreb dans le cadre des programmes d éducation Tempus et Erasmus Mundus Séminaire inaugural AUF Bureau Maghreb, Rabat, 25 26 juin 2012 Philippe Ruffio, Agence

Plus en détail

«Challenging social reality, inspiring experiences»

«Challenging social reality, inspiring experiences» «Challenging social reality, inspiring experiences» Cornélia Federkeil-Giroux Mutualité Française représentante de l Association internationale de la mutualité (AIM) 1 L Association internationale de la

Plus en détail

ESSENTIEL SUR LES AUTEURS DE MANAGEMENT D ENTREPRISES

ESSENTIEL SUR LES AUTEURS DE MANAGEMENT D ENTREPRISES ESSENTIEL SUR LES AUTEURS DE MANAGEMENT D ENTREPRISES JOSEPH A. SCHUMPETER (1883-1950) SCHUMPETER EST NE EN AUTRICHE A TRIECH,. IL FAIT DE BRILLANTES ETUDES OU IL COTOIE L ELITE UNIVERSITAIRE AUTRICHIENNE,

Plus en détail

Financement du sport, crise économique et politique sportive

Financement du sport, crise économique et politique sportive Conférence SNEP: «Sport demain, enjeu citoyen», Créteil, 30-31 mars 2012 Financement du sport, crise économique et politique sportive Wladimir ANDREFF * * Professeur émérite à l Université de Paris 1 Panthéon

Plus en détail

Contrat d assurance-vie Skandia Archipel

Contrat d assurance-vie Skandia Archipel Contrat d assurance-vie Skandia Archipel Pourquoi choisir un Conseiller en Gestion de Patrimoine Indépendant? Le Conseiller en Gestion de Patrimoine Indépendant est l interlocuteur idéal pour gérer votre

Plus en détail

Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil

Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil Retour au sommaire Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil BIM n 05-12 février 2002 Karin BARLET ; Bonnie BRUSKY Nous vous présentions en novembre dernier les outils d étude de marché

Plus en détail

LE CURSUS ACADEMIQUE

LE CURSUS ACADEMIQUE PRESENTATION L Institut d études scéniques, audiovisuelles et cinématographiques (IESAV) est un établissement rattaché à la Faculté des lettres et des sciences humaines de l Université Saint-Joseph de

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT

Plus en détail

Agence événementielle : IMO34120012 ATOUT France

Agence événementielle : IMO34120012 ATOUT France Agence événementielle : IMO34120012 ATOUT France Qui sommes-nous? Revents, créateur d événements, offre une autre dimension à votre imagination. Agence d événementielle spécialisée dans le tourisme d affaire,

Plus en détail