Douleurs séquellaires après traitement du cancer du sein. CETD Institut Bergonié Bordeaux
|
|
- Mathieu Villeneuve
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Douleurs séquellaires après traitement du cancer du sein CETD Institut Bergonié Bordeaux
2 consultation Consulter terme créer en 1410 Consultation XIV éme (Bersuire) Signifient aussi «délibérer délibération» du XVI éme au XVIII éme Emprunté au latin consultare, consultatio qui ont les deux sens Dérivés: consultant 1584, consultatif 1608, consulteur XVéme Sens d abord juridiques puis médicaux
3 La chirurgie du sein peut entraîner des douleurs chroniques séquellaires «Syndrôme Douloureux Post-Mastectomie» (SDPM) ou syndrome post-dissection axillaire et les douleurs du sein fantôme. On peut y ajouter les douleurs myofasciales des ceintures scapulaires, souvent rencontrées au décours de ces interventions et les douleurs thoraciques cicatricielles et non spécifiques.
4 Prévalence Une revue systématique en 2000 retrouve après chirurgie du sein : 11 à 57% de douleurs thoraciques ou cicatricielles, 13 à 24% de douleurs de sein fantôme, 12 à 51% de douleurs du bras ou l épaule, 30 à 50% de SDPM.
5
6 Mejdahl MK et coll. : Persistent pain and sensory disturbances after treatment for breast cancer: six year nationwide follow-up study. BMJ 2013; 346: f1865doi: /bmj.f1865. Cancer du sein : après la chirurgie, persiste la douleur Chaque année plus de 1 million de nouveaux cas de cancer du sein sont diagnostiqués à travers le monde. douleurs persistantes ne sont pas rares, à distance des traitements, la fréquence allant de 25 à 60 % selon les études.
7 étude, danoise, a été réalisée en plusieurs temps et a inclus 12 modes de prise en charge, selon le type de chirurgie et les traitements associés. exclues les femmes ayant bénéficié d une chirurgie reconstructive patientes opérées d un cancer du sein en 2005 et 2006 avaient été interrogées en 2008 sur les séquelles à type de douleurs persistantes ou de troubles sensitifs sur le territoire opéré. Un deuxième questionnaire leur a été adressé en 2012 et c est l analyse de ces dernières réponses qui est publiée par le British Medical Journal.
8 étude, danoise, a été réalisée en plusieurs temps et a inclus 12 modes de prise en charge, selon le type de chirurgie et les traitements associés. Un tiers en effet d entre elles rapporte la persistance de douleurs 5 à 7 ans après le traitement, et pour 16 % de celles-ci, la douleur peut être modérée à sévère. La moitié signale des troubles sensitifs sur le territoire opéré. Parmi les patientes qui rapportaient des douleurs dans le questionnaire de 2008, 36 % déclarent qu elles ont disparu en 2012, mais 11 % estiment que l intensité des douleurs a au contraire augmenté.
9 étude, danoise, a été réalisée en plusieurs temps et a inclus 12 modes de prise en charge, selon le type de chirurgie et les traitements associés. 15 % des patientes qui ne se plaignaient d aucune douleur en 2008 disent en éprouver 4 ans après, dont 5 % l évaluent comme étant sévère.
10 étude, danoise, a été réalisée en plusieurs temps et a inclus 12 modes de prise en charge, selon le type de chirurgie et les traitements associés. deux facteurs semblant augmenter le risque de persistance de la douleur à distance de l intervention curage ganglionnaire axillaire, qui confère un risque plus important que la biopsie du ganglion satellite (Odds ratio [OR] 2,04 ; intervalle de confiance à 95 % [IC] 1,60 à 2,61) et un âge inférieur ou égal à 49 ans (OR : 1,78 ; IC : 1,25 à 2,54). pas décelé de facteurs associés à une augmentation de la douleur entre les deux questionnaires.
11 Un parcours clinique Une dame de 63 ans, institutrice en retraite, présente une tumeur de 4 cms de diamètre au niveau du sein gauche. Elle subit une mastectomie avec évidement axillaire après confirmation extemporanée de la malignité. L histologie montre un CCI de grade intermédiaire. Une adénopathie sur 13 est envahie. Récepteurs hormonaux positifs +++. Irradiation: pariétale, chaîne mammaire interne, région susclaviculaire homolatérale. Tamoxifène 20 mg pour 5 ans
12 Première consultation à 3 mois : douleurs pariéto-thoraciques antérieures intenses. Douleurs intenses sans intervalle libre, antérieures thoraciques, Brûlures, coup d aiguilles, Éclair, électrique, picotement Irradiation face interne bras gauche; région postérieure de l épaule et irradiation pointe de l omoplate. Dysesthésies face interne du bras, région axillaire.
13 Le chirurgien s interroge sur l origine de la douleur et un avis «algologique» est requis : BOBOLOGIE Docteur ALGO
14 Une femme sur 8-10 développe un cancer du sein. 60% bénéficient d'un traitement chirurgical avec ou sans reconstruction (ACS, Cancer Facts and Figures. American Cancer Society, Atlanta, GA,1992). Plus de 30% des patientes opérées d'un cancer du sein présentent des douleurs. Dans de nombreux cas celles-ci persistent des mois voire des années (Maunsell E, Brisson J, Deschesnes L. Arm problems and psychological distress after surgery for breast cancer. Can J Surg 1992 ; 36 : ).
15 Après chirurgie du sein Reconnue par l IASP: Douleurs aiguës post-opératoires Sein fantôme Syndrôme Douloureux Post Mastectomie (SDPM ou syndrôme douloureux post dissection axillaire) Scar pain International Association for the Study of Pain. Task Force on Taxonomy. Classification of chronic pain : descriptions of chronic pain syndromes and definition of pain terms, 2nd ed. Seattle : IASP Press, 1994
16 Définition SDPM (IASP) «Une douleur chronique débutant immédiatement ou précocement après une mastectomie ou une tumorectomie affectant le thorax antérieur, l aisselle et/ou le bras dans sa moitié supérieure» Décrit par Wood en 1978 Douleur complexe, invalidante Séquelle la plus fréquente de ce type de chirurgie
17 Douleurs neuropathiques chroniques après chirurgie du sein pour cancer Classification (Jung B.F Pain 2003) 1. Douleur du sein fantôme 2. Névralgie intercostobrachiale (incluant SDPM) 3. Douleur de névrome (incluant douleur cicatrice) 4. Autre douleur (autre nerf)
18 Critères diagnostiques Pas de critères standards Macdonald L. Br J Cancer 2005;92: Symptomatologie : engourdissement, aiguilles, épingles, coup de poignard, brûlure 2. Homolatérale à chirurgie : paroi thoracique, creux axillaire, membre supérieur 3. Persistante depuis 3 mois, continue ou intermittente
19 SDPM: critères diagnostiques Le SDPM a été décrit en 1989 par Watson et associe les critères diagnostiques suivants : absence de maladie récurrente locale, après élimination des autres causes de douleurs post-mastectomie, présence de douleurs à type de dyesthésies ipsilatérales à la mastectomie, localisées à la région thoracique antérieure et/ou à la région axillaire et/ou à la partie supérieure et antéro-interne du bras, douleurs persistantes depuis au moins 3 mois, avec à l'examen clinique, au niveau de la région douloureuse, la présence d'une allodynie et/ou d'une hyperesthésie et/ou de paresthésies. Watson CPN, Evans RA, Watt VR. The post-mastectomy pain syndrome and the effect of topical capsaicin. Pain 1989 ; 38 :
20 Fréquence du SDPM 30 et 50% Selon définition et critères d évaluation Etudes Critères Incidence Smith WCS Mastectomie < 50 ans 65 % Mastectomie > 70 ans 26 % Stevens PE Mastectomie 20 % Wallace MS Mastectomie 31 % Mastectomie+reconstruction 49 % Amichetti M Chirurgie pour cancer du sein 43 % 10 à cas/an en France (50000 mastectomies) Macdonald L. Br J Cancer 2005 : 43% de SDPM A long terme (7-12 ans) : 52% persistance SDPM - Réduction QOL si SDPM Etude INCa 2006 : 140 patientes - 46% SDPM
21 En pratique clinique Douleur ou paresthésies à type de brûlure, de cuisson dans le thorax ou le bras. «Coup d aiguilles, coup de poignard», «Etau, serrement, compression» «Décharges électriques». Facteur déclenchant (frottement, mouvement, efforts ) Examen clinique Zone gâchette 2ème espace intercostal homolatéral, scapulaire Névrome cicatriciel Irradiations C7-D1 Allodynie axillaire Hypo ou anesthésie face interne bras Hyperesthésie Lymphoedeme membe sup ++
22 L examen montre des troubles neurologiques des sensibilités
23 Signe clinique à l examen neurologique Anesthésie 6,4% Hypoesthésie au frottement 47,1% Hypoesthésie à la pression 40% Hyperesthésie 10% Allodynie au frottement 29,3% Lymphoedème 37% Allodynie à la pression 27,9% Zone gâchette 15,0% Localisation de la symptomatologie dans au moins une zone Creux axillaire 66,67% Sein (quadrant supéro-interne) 18,12% Bras (face antéro-interne) 10,87% Cicatrice 5,07%
24 SDPM: physiopathologie L atteinte du 2ème nerf inter-costo-brachial Hypothèse la plus admise Vecht CJ. Pain br innerve l'aisselle - 1 br innerve la partie sup-int du bras BCI Anastomose de Hyrtl NICB relié par 2 rameaux aux ganglions du sympathique thoracique Autres structures nerveuses N. thoraco-dorsaux N. pectoraux (musculature profonde et la paroi thoracique)
25 Mais des cas décrits dans Technique Ganglion Sentinelle Miguel RM et Al. The Effect of Sentinel Node Selective Axillary Lymphadenectomy on the Incidence of Postmastectomy Pain Syndrome. Cancer Control 2001; 8: Shrenk P et Al. Morbidity following Sentinel Lymph Node Biopsy versus Axillary Lymph Node Dissection for Patients with Breast Carcinoma. Cancer 2000; 88: Préservation du nerf Ischémie, Compression, Dissection, Névrome à l origine d un dysfonctionnement du nerf Salmon RJ et al. Preservation versus section of intercostal-brachial nerve (IBN) in axillary dissection for breast cancer-a prospective randomized trial. European Journal of Surgical Oncology 1998;24: Abdullah TI et al. Prospective randomized controlled trial of preservation of the intercostobrachial nerve during axillary node clearance for breast cancer. Br J Surg 1998;85:
26 SDPM: Facteurs de risques Certains auteurs proposent comme facteurs de risque : la durée du drainage postopératoire, les complications postopératoires, la dissection axillaire, le nombre de ganglions enlevés, variables psychologiques : syndrome dépressif, anxiété dispositionelle, répression des émotions, alexithymie la présence de douleurs avant la chirurgie, la DPO la radiothérapie postopératoire, l âge : un âge supérieur à 60 ans et jeune âge (sein fantôme)
27 Prise en charge Prise en charge thérapeutique Antidépresseur Amitryptiline Ou Imipramine Ou Clomipramine Ou Duloxetine Anticonvulsivant Gabapentine Ou Clonazepam Ou Pregabaline Drainage Lymphatique Manuel Support et Bilan psychologique yes Allodynie? no Lidocaine transcutanée Evaluation à un mois
28 Avis du psy
29 La patiente douloureuse Antécédents de santé: Patiente de 63 ans, mariée Douleurs apparues dès l opération Cancer récent Antécédents de périodes anxiodépressives avec hospitalisations Antécédents de vie: Fils décédé ( suicide) avant diagnostic du cancer Cancer soigné sans prise de conscience de la maladie, ni «dépression», «comme si c était pas moi!» Relation d interdépendance étroite avec enfants adultes de différents lits Histoire d enfance faite de non-dits relations de fusion /intrusion avec les parents 29
30 Prise en charge psychologique: pourquoi? L aspect psychologique du SDPM s installe souvent: sur la base de deuils difficiles à dépasser dans la vie psychique des patients le cancer est traumatisme a instauré une rupture dans la continuité sociale, psychique et somatique de la patiente a bouleversé les repères en place Travail psychique important 30
31 Prise en charge psychologique: pourquoi? Accepter le manque du sein et/ou renoncer à un sein en bonne santé à l image antérieure de soi «Deuil» d une vie antérieure sans la maladie, ni la douleur reconnaitre la maladie bilan de vie Travailler les pertes multiples décès du fils notamment Le renoncement à une vie professionnelle, sociale et parfois affective «normale» assistante sociale 31
32 Prise en charge psychologique: pourquoi? But «idéal» de la prise en charge proposée: acceptation et intégration de la maladie comme un évènement dans le fil continu de l histoire de vie «Pour le médecin, la guérison est visée dans l axe d un traitement approprié, pour le malade, elle est un événement de vie. Pour le médecin, elle est une valeur biologique, pour le malade une valeur existentielle» ( Canguilhem) 32
33 Le patient interdisciplinaire Le patient parle au médecin dans l ordre du psy Le patient parle au psy dans l ordre du médical Le patient se réunifie par capillarité dans le «secret partagé» Devient acteur dans le réseau de soins IMPORTANCE d une prise en charge à plusieurs entrées concertées Fonction d enveloppes psychosomatiques 33
34 Le patient commun Souffrance entendue par le médecin Dans le rapport au patient Dans la pensée interdisciplinaire à propos du patient Échanges créent un espace commun, une culture commune où le patient devient UN Permet une «entente» qui anime le médecin pour orienter et soutenir la prise en charge psychologique 34
35 Non à la «patate chaude» La réflexion construite: Patient n est pas une addition de parties corporelles et psychiques à manipuler et coordonner Crée un «nouveau» patient qui va répondre au nouveau corps du patient L impuissance parlée et acceptée Passer du faire au penser permet au patient de faire de même Aide le patient à penser et parler en lieu et place de la douleur 35
36 Un modèle du vivant L articulation dynamique et thérapeutique Donne un cadre, un «modèle» du vivant possible à l intérieur du patient Enveloppe psychocorporelle Relie les parties de soi fragmentées par la maladie Réduit les clivages corps/psychisme Souffrance acceptée par le psychisme libère une partie de la douleur-souffrance prise en charge par le corps Permet une meilleure réponse aux soins somatiques 36
37 somaticien Concertation avec le BOBOLOGIE Docteur ALGO
38 Prise en charge (suite) Prise en charge thérapeutique Antidépresseur Amitryptiline Ou Imipramine Ou Clomipramine Ou Duloxetine Anticonvulsivant Gabapentine Ou Clonazepam Ou Pregabaline Drainage Lymphatique Manuel Support et Bilan psychologique yes Allodynie? no Lidocaine transcutanée Evaluation à un mois
39 Drainage Lymphatique manuel
40 définition des objectifs et mise en place du traitement Faisabilité Contrat avec la patiente qui doit s engager à avoir un traitement suivi et régulier Objectifs réalisables avec nécessité d un certain nombre de séances pour obtenir un résultat (douleur et qualité de vie
41 Le drainage lymphatique manuel Conseils d hygiène de vie Surveiller son bras : consulter si vous observez une enflure, des démangeaisons, une augmentation de température du bras Protégez votre bras : Évitez les infections, les traumatismes et changements brusques de température portez des gants protecteurs pour le jardinage ou le ménage refuser toute injection,toute mesure de pression artérielle sur le bras atteint ne portez pas de charge lourde
42 Le drainage lymphatique manuel Conseils d hygiène de vie Eviter le garrot, la prise de tension, Vérifier l absence de lésion cutanée Attention aux piqûres Cuticule des ongles Crevasses de doigt Eviter les mouvements en force et répétitifs Ménager vos effort de «ménage»
43
44
45
46
47
48
49
50
51 Concertation avec le médecin
52 Diagnostic Douleur chronique après chirurgie mamaire non DN4 * > 4? oui Compression locale Lymphangite Lymphocèle Pathologie épaule oui Critères cliniques? non Névralgie ervico-brachiale Douleur sein fantôme Névrome Rechute locale Plexite brachiale Evaluation d un SDPM * DN4 score: Bouhassira D, Attal N, Fermanian J et al (2004). Development and validation of the Neuropathic Pain Symptom Inventory. Pain 108:
53 Bilan Bilan SDPM typique Clinicien Psychologue Assistante sociale Interrogatoire ouvert et semi-directif Histoire et évolution de la douleur Traitements pris Examen clinique Bilan psycho-affectif Evaluation sommeil Evaluation de la QDV Evaluation sociale Pas d examen complémentaire Score SDPM Grade de 1 à 4 Traitement D un SDPM
54 Intensité et sévérité: score SDPM Objectif: quantifier la sévérité des SDPM 7 items: EN Brûlure: 0-10 Nbre d ADP: 1:1-5, 2: 5-10, 3: >10 Surface allodynie: 1: circonscrite, 2: étendue, 3: majeure EN allodynie: 0-10 Perturbation du sommeil: 0-3 Perturbation de l humeur: 0-5 Perturbation de la QD vie: 0-5 Total sur 39 Grade 1 : Score inférieur ou égal à 15 SDPM léger Grade 2 : Score de 16 à 23 SDPM modéré Grade 3 : Score de 24 à 32 SDPM sévère Grade 4 : Score supérieur à 33 SDPM intense
55
56 Traitement Prise en charge thérapeutique Clinicien Kinésithérapeute Psychologue Antidépresseur Amitryptiline Ou Imipramine Ou Clomipramine Ou Duloxetine Anticonvulsivant Gabapentine Ou Clonazepam Ou Pregabaline Drainage Lymphatique Manuel Support et Bilan psychologique yes Allodynie? no Lidocaine transcutanée Evaluation à un mois
57 Evaluation et suivi Evaluation à 1 mois Clinicien Psychologue Kinésithérapeute Assistante sociale Anesthésiste Drainage Lymphatique Manuel Support et Bilan psychologique oui Poursuite du Traitement 3 mois Efficacité ET bonne tolérance? non Rotation AD clomipramine imipramine citalopram venlafaxine duloxetine 2 ème Anticonvulsivant ou rotation Anticonvulsivant et/ou Tramadol non Echec 3 mois plus tard, Grade 3 ou 4? oui Opioide et/ou Anesthésie Loco-régionale
58 Bloc Paravertébral Objectif: soulager durablement un ou plusieurs territoires neuropathiques après traitement usuel bien conduit: SDPM rebelle (EVA>7) après au moins 6 mois de traitement standard (recommandation SFETD) bien suivi ou Grade SDPM > 3 Qualité de vie très affectée «Épuisement personnel» Accepte le geste.
59 Protocole bpv Hospitalisation en début de semaine Pose du cathéter, naropeïne 0.3 à 0.5 ml/h Evaluation quotidienne: EN, effets indésirables, % soulagement Sortie en fin de semaine Evaluation à un mois Echelle numérique % de soulagement Durée soulagement Grade SDPM Satisfaction de la technique Satisfaction du séjour
60 Anatomie de l espace paravertébral
61 D4 multimétamérique
62 Evolution naturelle Evolution classique Réactivation temporaire Evolution rebelle BPV Total score sévère intense modéré léger Diag 1 mois 2 mois 3 mois 4 mois 6 mois contrariété BPV 1 mois 2 mois
63 Existe-t-il des attitudes thérapeutiques préventives? Faut-il informer les patientes de ce problème potentiel post mastectomie? 1. L'altération des sensations tactiles est constante même s'il n'existe pas de douleur à proprement parler et la découverte de ces troubles est génératrice d'angoisse et de moindre confiance dans les traitements ultérieurs. 2. Le syndrome post-mastectomie est fréquent (40%) et entre dans le cadre des douleurs chroniques avec leurs conséquences péjoratives psychosociales constantes. 3. La perspective systématique d'une récidive doit être minorée par l'information de survenue d'un syndrome neurogène que le praticien expliquera à la patiente dans le cadre d'une "preemptive analgesia" psychologique. 4. Des techniques d'ajustement aux situations de stress utilisées avant et très tôt après l'intervention pourraient diminuer l'incidence de ces syndromes. 5. La réactivation du syndrôme neurogène peut être expliqué par des évènements contrariants. L information préalable au patient est nécéssaire.
64 LES ORGANES FANTÔMES ET LA DOULEUR SANS MATIÈRE?
65 Douleurs fantômes Fantôme = issu du grec ionien phantagma «apparition, vision» Introduit en français sens: illusion trompeuse: Apparition surnaturelle d un mort Idée, être imaginaire et dérivés: fantasme, fantastique, fantomatique, fantomal, fantasmagorique ( de phantasma et allégorie=représentations plastiques)
66 Les douleurs du sein fantôme sensation anormale ressentie au niveau de la région corticale du sein, qui peut devenir angoissante pour certaines patientes. Cette «hallucinose» intéresse surtout l aréole, beaucoup plus souvent que le sein entier
67 Les douleurs du sein fantôme Ce syndrome survient en moyenne trois semaines après une mastectomie et se retrouve suivant les séries dans 15 à 25 % des cas, jusqu à 48 mois après entre 1 et 17 % des femmes mastectomisées sont concernées par ce type de douleur.
68 Les douleurs du sein fantôme Il existe un lien statistique entre la douleur de sein fantôme et divers facteurs : existence d une douleur préopératoire ; jeune âge (< 50 ans) ; symptomatologie dépressive. En revanche, il ne semble pas exister de lien avec certains autres facteurs : existence de séquelles postopératoires autres que douloureuses type de traitement antitumoral administré importance de la dissection axillaire La technique de préservation du nerf intercostobrachial, lors du curage axillaire, semble avoir diminué la fréquence des seins fantômes douloureux
69 Les douleurs du sein fantôme Les sensations liées aux syndromes du sein fantôme sont décrites comme des picotements, des coups d aiguilles, parfois des brûlures intéressant surtout la zone aréolaire et le téton virtuel pouvant irradier vers le reste du sein virtuel, voire le thorax. Ces dysesthésies ou hyperesthésies, typiquement neuropathiques, sont sans rythme précis, sans facteurs déclenchant ou soulageant. L intensité peut aller d un simple désagrément jusqu à des douleurs vécues comme très sévères, avec d importantes répercussions sur la qualité de vie.
70 Sunderland 1978 Les douleurs du sein fantôme Selon la sévérité de la douleur et son retentissement fonctionnel * Groupe I : Paresthésies modérées et/ou intermittentes Pas de retentissement activité, travail et sommeil * Groupe II : Paresthésies modérées fréquentes Pas de retentissement sur activité et sommeil * Groupe III : Paresthésies +++ en intensité, fréquence et/ou durée Retentissement fonctionnel intermittent * Groupe IV : Douleur sévère quasi permanente Altère le sommeil et les activités normales Groupe I and II # sensation fantôme (selon les patients)
71 Maladie de Mondor l Académie de chirurgie du 6 décembre 1939, Henri Mondor décrivait 4 cas de «Tronculite sous-cutanée subaiguë de la paroi thoracique antéro-latérale» Mondor H (1939) Tronculite sous-cutanée subaigüe de la paroi thoracique antérolatérale. Mém Acad Chir 65:
72 Maladie de Mondor la maladie de Mondor est aussi liée aux brides aponévrotiques rétractiles cicatricielles observées après curage axillaire pour cancer du sein et/ou à la section des lymphatiques au niveau du creux axillaire. R.J. Salmon, J.P. Hamelin Maladie de Mondor : vers une nouvelle explication physio-pathologique et son traitementoncologie (2004) 6:
73 Maladie de Mondor La rupture manuelle de brides au prix d une douleur brève permet une récupération fonctionnelle immédiate et la disparition tout Aussi immédiate des douleurs. R.J. Salmon, J.P. Hamelin Maladie de Mondor : vers une nouvelle explication physio-pathologique et son traitementoncologie (2004) 6:
74 Maladie de Mondor Traitements à visée physio-pathologique anti-coagulants, antiagrégants plaquettaires ou antiinflammatoires per os ou locaux = inefficaces La disparition des symptômes et en particulier des douleurs en 2-3 mois
75 Le traitement d un cancer du sein quelqu en soit la nature entraîne des anomalies au niveau des aponévroses thoracique, axillaire et brachiale associées à des modifications de la circulation lymphatique de cette région. La réalisation d un curage axillaire impose une section de l aponévrose clavi-pectoroaxillaire et la section de multiples voies lymphatiques axillaires, l irradiation entraîne une inflammation de l aponévrose thoracique antérieure ; isolés ou en association, ces traumatismes peuvent être la cause d une cicatrisation rétractile, entraînant alors soit une bride axillaire rétractant l aponévrose brachiale, soit une bride thoracique antérieure responsable d une maladie de Mondor.
76 bride du sillon sous-mammaire douloureuse à la mobilisation du sein et limitant sa mobilité R.J. Salmon, J.P. Hamelin Maladie de Mondor : vers une nouvelle explication physio-pathologique et son traitementoncologie (2004) 6:
77 bride rétractant le coude, voire le poignet avec une gêne fonctionnelle douloureuse majeure Avant, rupture manuelle des brides aponévrotiques pendant après rupture manuelle des brides aponévrotiques R.J. Salmon, J.P. Hamelin Maladie de Mondor : vers une nouvelle explication physio-pathologique et son traitementoncologie (2004) 6:
78 Aponévroses de l aisselle Maladie de Mondor =rétractions aponévrotiques cicatricielles thoracobrachiales et/ou d une pathologie lymphatique après section chirurgicale ou sténose postradiothérapique dans le cadre des traitements du cancer du sein. R.J. Salmon, J.P. Hamelin Maladie de Mondor : vers une nouvelle explication physiopathologique et son traitementoncologie (2004) 6:
79
UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN
UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous
Plus en détailLes soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques
Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailAGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON
Douleurs neuropathiques périphériques de l adulte non diabétique : De l étiologie au rôle de l infirmier AGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON La douleur neuropathique Définition [1] C est est une douleur
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailDémarche de prévention des TMS et outils pour l action
Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Ce document a pour objet de présenter de manière synthétique la démarche de prévention des TMS du membre supérieur avec des outils opérationnels permettant
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailPROJET DE RECHERCHE. FSF 91 boulevard de Sébastopol 75002 Paris
2015 PROJET DE RECHERCHE Apport de la fluorescence pour la détection des ganglions sentinelles dans les cancers du sein FLUO-BREAST Praticien Hospitalo-universitaire Chirurgie cancérologique gynécologique
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailSurveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône
Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailL aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009
L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailENDERMOTHÉRAPIE THÉRAPIE TISSULAIRE, ARTICULAIRE ET MUSCULAIRE
ENDERMOTHÉRAPIE THÉRAPIE TISSULAIRE, ARTICULAIRE ET MUSCULAIRE 1 Endermothérapie THÉRAPIE TISSULAIRE, ARTICULAIRE ET MUSCULAIRE DEPUIS PLUS DE 25 ANS, LPG SYSTEMS ACCOMPAGNE LES KINÉSITHÉRAPEUTES DANS
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailPSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE
UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailA healthy decision LA DOULEUR
A healthy decision Mieux vivre avec LA DOULEUR Tout à propos de la douleur, de ses causes et de ses possibilités de traitement. Parlez-en avec votre médecin ou pharmacien. Contenu Qu est-ce que la douleur
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailFormation obligatoire d adaptation à l emploi
Cycle de formation Praxis Conforme à l arrêté du 16 juillet 2009 Formation obligatoire d adaptation à l emploi Agent de service mortuaire Madame, Monsieur, Depuis l arrêté du 16 juillet 2009 relatif à
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailQu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)?
Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Symptômes et atteintes qui touchent principalement ces structures : nerfs muscles tendons ligaments articulations vaisseaux sanguins Cela peut se produire
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailLa fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter
La fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter Dr Patrick GINIES, Anesthésiste, Centre d'évaluation et de traitement de la douleur CHU MONTPELLIER Patient partenaire et soignant partenaire Le rôle
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailA - Nomenclature des préjudices de la victime directe
ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailLe dispositif de la maladie imputable au service
LA QUESTION DE L IMPUTABILITÉ AU SERVICE DES MALADIES RÉSULTANT DE LA FRAGILITÉ PSYCHOLOGIQUE D UN FONCTIONNAIRE EN DEHORS DE TOUTE FAUTE DE L EMPLOYEUR PUBLIC Le dispositif de la maladie imputable au
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailSOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775
SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 Hôpital Cochin - Service Médecine Interne du Pr Le Jeunne 27, rue du Faubourg Saint Jacques - 75014 PARIS
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailINDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT
INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie
Plus en détailProjet aquitain de surveillance alternée des cancers du sein localisés traités
Projet aquitain de surveillance alternée des cancers du sein localisés traités Formation des médecins généralistes et gynécologues EFFETS INDESIRABLES ET COMPLICATIONS DES TRAITEMENTS DANS LE CANCER DU
Plus en détailles DOULEURS INEXPLIQUÉES
MIEUX VIVRE avec une DOULEUR les DOULEURS INEXPLIQUÉES Dr F. LAROCHE Dr E. SOYEUX Centre d évaluation et de traitement de la douleur Hôpital Saint-Antoine, Paris, Réseau Ville-Hôpital Lutter Contre la
Plus en détailQu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)?
Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Ensemble de symptômes et d atteintes qui touchent principalement : nerfs ligaments tendons vaisseaux sanguins articulations disques intervertébraux muscles
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailSinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés. Rapport protection juridique
2012 Sinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés Rapport protection juridique NO - http://www.risque-medical.fr/protection-juridique/rapport-2012/pdfexport-10 NO - http://www.risque-medical.fr/protection-juridique/rapport-2012/pdfexport-19
Plus en détailDémarche d évaluation médicale et histoire professionnelle
révention Comment évaluer les troubles musculosquelettiques (TMS) reliés au travail? L histoire professionnelle est le meilleur outil pour dépister les TMS et les prévenir Ce questionnaire de dépistage
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailMédicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés
Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre
Plus en détailAnalyse des incidents
Analyse des incidents Formation B-Quanum 26/06/2012 N. Jacques Coordinatrice Qualité CMSE Introduction Contexte Contrat SPF Coordinateur qualité Médecine nucléaire Hôpital = Entreprise à Haut Risque Efficacité
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailSolva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale
Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Cours de la formation continue dans les thérapies manuelles Pour ceux qui veulent ajouter des techniques efficaces,
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES
LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES DE L EPAULE CHEZ DES TECHNICIENNES DE LABORATOIRE L. MERIGOT, F. MARTIN, Avec la participation des Drs G. DALIVOUST, G. GAZAZIAN 26 Janvier 2010 1 SOMMAIRE 1. Introduction
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détail