PROJET DE RECHERCHE. FSF 91 boulevard de Sébastopol Paris
|
|
- Julien Bertrand
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 2015 PROJET DE RECHERCHE Apport de la fluorescence pour la détection des ganglions sentinelles dans les cancers du sein FLUO-BREAST Praticien Hospitalo-universitaire Chirurgie cancérologique gynécologique et du sein Hôpital Européen Georges Pompidou FSF 91 boulevard de Sébastopol Paris 1
2 Apport de la fluorescence pour la détection des ganglions sentinelles dans les cancers du sein FLUO-BREAST 1 - RESUME DU PROJET Le cancer du sein est le premier cancer féminin en France en incidence ( nouveaux cas en 2011) et en mortalité ( décès en 2011). Aujourd'hui, grâce au dépistage, le cancer du sein est diagnostiqué à un stade précoce dans environ 60% des cas (T1-2, N0,M0) et peut être traité par chirurgie conservatrice avec technique du ganglion sentinelle dans 70% des cas. Le ganglion sentinelle est le premier relais de drainage lymphatique d'une tumeur du sein. La technique du ganglion sentinelle consiste à détecter ce ganglion, à l'enlever et le faire analyser. Le traitement dépend ensuite de la présence ou de l'absence de métastase sur ce ganglion. Aujourd'hui, la détection du ganglion sentinelle nécessite une double injection: un colorant bleu qui est potentiellement allergisant et un traceur radioactif qui impose une injection supplémentaire, une organisation spécifique, parfois douloureuse pour la patiente et qui coûte cher. Au vu de ces constats, le développement de nouveaux traceurs permettant de détecter le ganglion sentinelle paraît nécessaire. Le vert d'indocyanine est une molécule prometteuse pour la détection du ganglion sentinelle. Il permet la visualisation transcutanée du drainage lymphatique superficiel et semble avoir un bon taux de détection du ganglion sentinelle. Nous proposons une étude prospective comparative afin d'évaluer ce nouveau traceur. 1-1 JUSTIFICATION SCIENTIFIQUE Démontrer la non-infériorité du vert d'indocyanine pour la détection du ganglion sentinelle par rapport aux isotopes radioactifs afin de simplifier la technique, la douleur ressentie par les patientes et de diminuer les coûts. 1-2 INDICATION Cancer du sein opéré avec technique du ganglion sentinelle. 2
3 1-3 MÉTHODOLOGIE RETENUE Il s agit d une étude prospective monocentrique, voulant vérifier les performances diagnostiques et la tolérance de la fluorescence à celles de l'isotope chez les femmes atteintes de cancers précoces du sein. Les patientes recevront les deux techniques : fluorescence (technique expérimentale) et Isotope (technique de référence). 1-4 OBJECTIFS Objectif principal : L objectif principal est de comparer le taux de détection de la fluorescence à celui des isotopes pour la détection des ganglions sentinelles dans les cancers précoces du sein. Objectifs secondaires : Les objectifs secondaires sont d'évaluer le nombre total de ganglions sentinelles détectés, la durée opératoire de la technique, la sensibilité et douleur provoquée par la technique, les réactions allergiques, le taux de faux négatifs et le coût direct de la technique. 1-5 CRITÈRES DE JUGEMENT Critère de jugement principal : Le critère de jugement principal est le taux de détection des ganglions sentinelles en cours d intervention par la fluorescence (nouvelle technique) vs la technique de référence (isotope). Critères de jugement secondaires : Coûts directs de la technique, taux d'incidence des réactions allergiques et de la douleur provoquée, durée opératoire, nombre total de ganglions sentinelles détectés. 1-6 PRINCIPAUX CRITÈRES D INCLUSION Patientes âgées de plus de 18 ans, ayant donné leur consentement Cancer du sein éligible à une biopsie du ganglion sentinelle Traitement chirurgical premier 1-7 PRINCIPAUX CRITÈRES DE NON INCLUSION Patiente enceinte Patiente ayant eu de la chimiothérapie avant d'être opérée 1-8 COHORTE CONCERNÉE 80 patientes traitées pour un cancer du sein précoce 3
4 2 - JUSTIFICATION DE L ETUDE Le cancer du sein est le premier cancer féminin en France en incidence ( nouveaux cas en 2011) et en mortalité ( décès en 2011)[1]. Aujourd'hui, grâce au dépistage, le cancer du sein est diagnostiqué à un stade précoce dans environ 60% des cas (T1-2, N0,M0) [1]. Le traitement chirurgical du cancer du sein précoce consiste à enlever la tumeur et les ganglions de l'aisselle qui drainent le sein malade. Dans l'objectif de diminuer les complications liées à l'ablation de toute la chaîne ganglionnaire (curage axillaire), telles que le lymphoedème ("gros bras"), la méthode de prélèvement du ganglion sentinelle a été développée [2-4]. Le ganglion sentinelle est le premier relais de drainage lymphatique d'une tumeur du sein. La technique du ganglion sentinelle consiste à détecter ce ganglion, à l'enlever et le faire analyser. Si l'examen histologique du ganglion sentinelle montre qu'il est indemne, le curage axillaire n'est pas nécessaire. La technique standard de détection du ganglion sentinelle repose actuellement sur l injection dans le sein d un colorant et d un isotope (élément radioactif comme pour une scintigraphie). Cette association procure le meilleur taux de détection (de 86 à 100%) [2, 4-7]. En France, l'isotope utilisé est le 99m Technetium ( 99m Te) et le colorant le plus répandu est le bleu patenté V (colorant utilisé initialement dans l'industrie agroalimentaire). Chacun de ces deux traceurs présente des avantages et des inconvénients [8, 9]. L'inconvénient du bleu patenté est le risque de réaction allergique pouvant se manifester par une éruption cutanée et exceptionnellement un choc allergique au bloc opératoire. Les études rapportent en taux de réactions allergiques aux colorants bleus de 0.006% à 2.7%, avec un taux moyen pour le bleu patenté V de 0.34%, ce qui est plus élevé que le taux de réactions allergiques aux curares, au latex et aux antibiotiques [9-12]. L'utilisation de l'isotope nécessite une injection pré-opératoire la veille ou le matin de l intervention, potentiellement douloureuse pour la patiente. L'isotope expose aux radiations et ne permet pas un guidage visuel en temps réel. Enfin, la technique utilisant l'isotope est plus chère, la phase pré-opératoire d'injection du traceur par le technicien, la réalisation de la lymphoscintigraphie et son interprétation par le praticien de médecine nucléaire représentant un coût estimé à 373 euros par patiente [13]. Dans ce contexte, le recours à de nouveaux traceurs paraît pertinent. L'utilisation d'un traceur injecté en peropératoire et détecté facilement serait une amélioration de la technique et permettrait une injection unique sous anesthésie générale. Certaines équipes utilisent un autre colorant qui est le vert d'indocyanine (IG), en remplacement du bleu patenté V. Il est déjà utilisé depuis environ 50 ans en injection intraveineuse, pour étudier les vaisseaux de l'œil, le débit cardiaque ou les vaisseaux du foie. Il peut être injecté en début d intervention lorsque la patiente est déjà endormie et permet la visualisation du drainage lymphatique sous cutané sans nécessiter d instrument particulier en dehors 4
5 d une source lumineuse adaptée. Il expose à la survenue de réactions allergiques dans moins de 1/ cas, ce qui est nettement inférieur aux effets indésirables constatés avec le bleu patenté V [14]. Une ampoule d'icg coûte environ 45 euros. L'utilisation de l'icg dans la technique du ganglion sentinelle est très prometteuse et est actuellement utilisée en routine dans certains centres hors France, ainsi que de manière plus confidentielle en France sans qu'aucune étude française n'ait été encore publiée [14-23]. Nous proposons une étude prospective dans le but de comparer les performances de l'icg à celles de l'isotope seul. L'utilisation en routine d'un traceur ayant des performances diagnostiques comparables aux isotopes, avec une disponibilité plus grande et permettant une visualisation transcutanée en temps réel, simplifierait la technique et diminuerait les coûts en autorisant la suppression du recours systématique aux isotopes. 3 - OBJECTIFS DE L ÉTUDE 1- Objectif principal L objectif principal est de comparer le taux de détection de la fluorescence à celui des isotopes pour la détection des ganglions sentinelles dans les cancers précoces du sein. La détection peropératoire est définie par l identification d au moins un ganglion sentinelle au niveau de l aisselle. 2- Objectifs secondaires Les objectifs secondaires sont d'évaluer le nombre total de ganglions sentinelles détectés, la durée opératoire de la technique, la sensibilité, le taux de faux négatifs, le coût direct de la technique et la douleur provoquée par la technique. La survenue de réactions allergiques sera également enregistrée et gradée de 1 à 5 selon Ring et al [24]. 4 - MÉTHODOLOGIE a) Plan expérimental Il s agit d une étude prospective monocentrique voulant vérifier les performances diagnostiques et la tolérance de la fluorescence à celles de l'isotope chez les femmes atteintes de cancers précoces du sein. Les patientes recevront les deux techniques : fluorescence (technique expérimentale) et isotope (technique de référence). Compte-tenu des récentes données de la littérature sur l'apport faible du bleu patenté dans la détection du ganglion sentinelle et pour ne pas multiplier les injections et les colorants, le bleu patenté sera remplacé par le vert d'indocyanine. La recherche n'impose donc pas une injection supplémentaire à la patiente, seul le traceur change. Il a été démontré qu il n existe pas 5
6 d interaction entre le vert d'indocyanine et l isotope. Le radio-isotope (Technetium 99m Te) sera injecté la veille ou le matin même de l'intervention et une lymphoscintigraphie sera réalisée. Les données de la lympho-scintigraphie pré-opératoire ne seront pas transmises au chirurgien. La détection per-opératoire commencera par la fluorescence. Les résultats de la lympho-scintigraphie seront alors communiqués et la détection classique aux isotopes sera effectuée. b) Population Critères d inclusion : - Patientes âgées de plus de 18 ans ; - Ayant un cancer du sein diagnostiqué sur une biopsie et éligible à un prélèvement du (des) ganglion(s) sentinelle(s) (carcinome infiltrant 5 cm, carcinome in situ étendu, carcinome infiltrant bifocal de proximité) ; - Traitement chirurgical premier Critères de non inclusion : - Chimiothérapie ou hormonothérapie néo-adjuvante ; - Adénopathie(s) de l aisselle cliniquement suspecte(s) ou ayant fait l'objet d'une cytoponction positive - Grossesse en cours c) Durée de l étude Durée prévisible des inclusions Durée de participation + suivi pour une patiente Durée totale de l étude (inclusions+participation+suivi) Durée en mois 6 mois 1 mois 7 mois 6
7 d) Critères d évaluation Critère d évaluation principal Le critère de jugement principal est le taux de détection des ganglions sentinelles en cours d intervention par la fluorescence (nouvelle technique) vs la technique de référence (isotope). Le taux de détection est défini par le nombre de patientes chez qui au moins un ganglion sentinelle au niveau de l aisselle est détecté par la fluorescence ou l'isotope en per-opératoire. Critères d évaluation secondaires Les critères d évaluation secondaires sont : - Le nombre total de ganglions sentinelles détectés par les deux techniques ; - Le temps écoulé entre l'incision et le prélèvement du premier ganglion sentinelle identifié ; - La sensibilité du vert d'indocyanine par rapport à la technique de référence (pourcentage de ganglions détectés par l'isotope et qui sont également détectés par le vert d'indocyanine); - Le taux de faux négatifs (nombre de patientes chez qui au moins un ganglion sentinelle chaud est métastatique sans ganglion sentinelle fluorescent métastatique) ; - Taux d'incidence des réactions allergiques - Sévérité des réactions allergiques (grade 1 à 5 selon Ring et al) - Coûts directs de la technique 5 - GESTION DE DONNÉES 1- Modalités pratiques de recueil des données Identification des patientes : les patientes qui se prêtent à cette recherche se verront attribuer un numéro de code associé à leurs initiales. Ce code sera présent sur tous les documents nécessaires à la recherche. Toutes les informations requises par le protocole seront recueillies de manière anonyme sous la responsabilité de l investigateur qui veillera à l exactitude des données renseignées. 2- Analyse statistique L unité d analyse statistique sera la patiente et non le ganglion sentinelle. Ces analyses se feront en 7
8 "intention de diagnostiquer" (ITD) et feront appel à des statistiques usuelles. Les variables quantitatives seront présentées en moyenne ± écart-type ou médiane [Intervalle interquartile] selon la distribution gaussienne ou non. Les variables qualitatives seront présentées en nombre de patientes et pourcentage correspondant. On pourra estimer l exactitude relative des deux examens évalués : la proportion relative de vrais positifs de la fluorescence par rapport à l'isotope, et la proportion relative de faux positifs de la fluorescence par rapport à l isotope. Les intervalles de confiance à 95% des rapports de vrais et faux positifs seront calculés par la méthode décrite par Alonzo et al. [25]. 6 - RÉALISATION PRATIQUE DE L ÉTUDE Cette étude sera effectuée dans l'équipe de chirurgie cancérologique gynécologique et mammaire du Pr Lécuru à l Hôpital Européen Georges Pompidou. Cette équipe a le potentiel de recrutement (400 cancers du sein par an et environ 180 procédures du ganglion sentinelle par an) et l'entraînement à la biopsie du ganglion sentinelle dans le cancer du sein. L équipement nécessaire à la réalisation de la technique standard (isotope) est déjà disponible dans cette équipe et utilisé en routine. Le système d'imagerie nécessaire à la fluorescence sera fourni par la société Fluoptics. 7 - RÉSULTATS ATTENDUS ET RETOMBÉES SCIENTIFIQUES L'utilisation en routine d'un traceur ayant des performances diagnostiques comparables aux isotopes, avec une disponibilité plus grande et permettant une visualisation transcutanée en temps réel, simplifierait l'organisation de la technique. La suppression du recours systématique aux isotopes permettrait un meilleur confort des patientes en supprimant une injection, en évitant le circuit lié à l'utilisation d'une substance radio-active. Par ailleurs, les coûts seraient largement réduits. 8- ÉTHIQUE ET RESPONSABILITÉ Les soumissions aux différents comités sont en cours (Comité de Protection des Personnes - Ile de France 2). 8
9 9-BUDGET PREVISIONNEL Poste de dépense Coût unitaire en Coût total en Assurance Chef de projet temps 0.15 ETP par mois X 7 mois Recueil de données et analyse 0.15 ETP par mois X 7 mois CRF 15 euros par unité pour 80 unités Sous-total (en ) x Frais de fonctionnement (10%) x TOTAL (en ) x BIBLIOGRAPHIE 1. INCA, Giuliano, A.E., et al., Prospective observational study of sentinel lymphadenectomy without further axillary dissection in patients with sentinel node-negative breast cancer. J Clin Oncol, (13): p Krag, D.N., S.J. Anderson, T.B. Julian, A.M. Brown, et al., Technical outcomes of sentinel-lymphnode resection and conventional axillary-lymph-node dissection in patients with clinically node-negative breast cancer: results from the NSABP B-32 randomised phase III trial. Lancet Oncol, (10): p Krag, D.N., et al., Sentinel-lymph-node resection compared with conventional axillary-lymph- node dissection in clinically node-negative patients with breast cancer: overall survival findings from the NSABP B-32 randomised phase 3 trial. Lancet Oncol, (10): p
10 5. Lyman, G.H., et al., American Society of Clinical Oncology guideline recommendations for sentinel lymph node biopsy in early-stage breast cancer. J Clin Oncol, (30): p Krag, D.N., D.L. Weaver, J.C. Alex, and J.T. Fairbank, Surgical resection and radiolocalization of the sentinel lymph node in breast cancer using a gamma probe. Surg Oncol, (6): p ; discussion 340.Veronesi, U., et al., Sentinel-lymph-node biopsy as a staging procedure in breast cancer: update of a randomised controlled study. Lancet Oncol, (12): p Veronesi, U., G. Paganelli, G. Viale, A. Luini, et al., Sentinel-lymph-node biopsy as a staging procedure in breast cancer: update of a randomised controlled study. Lancet Oncol, (12): p McMasters, K.M., et al., Sentinel lymph node biopsy for breast cancer: a suitable alternative to routine axillary dissection in multi-institutional practice when optimal technique is used. J Clin Oncol, (13): p Tafra, L., et al., Multicenter trial of sentinel node biopsy for breast cancer using both technetium sulfur colloid and isosulfan blue dye. Ann Surg, (1): p Nos, C., et al., [Identification of sentinel lymph node in breast cancer: experience from the Institut Curie]. Bull Cancer, (6): p Salmon, R.J., et al., [Sentinel node and operable breast cancer: utilization of blue dye injection. Pilot study]. Ann Chir, (3): p Brenet, O., et al., Hypersensitivity reactions to Patent Blue V in breast cancer surgery: a prospective multicentre study. Acta Anaesthesiol Scand. 57(1): p INCA, Évaluation médico-économique de la technique du ganglion sentinelle comparée au curage axillaire dans les cancers du sein opérables d emblée. file:///c:/users/ /downloads/etusticgan09.pdf, Verbeek, F.P., et al., Near-infrared fluorescence sentinel lymph node mapping in breast cancer: a multicenter experience. Breast Cancer Res Treat, (2): p Hojo, T., et al., Evaluation of sentinel node biopsy by combined fluorescent and dye method and lymph flow for breast cancer. Breast. 19(3): p
11 16. Tagaya, N., et al., A novel approach for sentinel lymph node identification using fluorescence imaging and image overlay navigation surgery in patients with breast cancer. World J Surg, (1): p Aoyama, K., et al., Sentinel lymph node biopsy for breast cancer patients using fluorescence navigation with indocyanine green. World J Surg Oncol, : p Abe, H., et al., Indocyanine green fluorescence imaging system for sentinel lymph node biopsies in early breast cancer patients. Surg Today, (2): p Takeuchi, M., et al., Lymphatic mapping with fluorescence navigation using indocyanine green and axillary surgery in patients with primary breast cancer. Breast J, (6): p Hirano, A., et al., A comparison of indocyanine green fluorescence imaging plus blue dye and blue dye alone for sentinel node navigation surgery in breast cancer patients. Ann Surg Oncol. 19(13): p Kitai, T. and M. Kawashima, Transcutaneous detection and direct approach to the sentinel node using axillary compression technique in ICG fluorescence-navigated sentinel node biopsy for breast cancer. Breast Cancer, (4): p Wishart, G.C., et al., A feasibility study (ICG-10) of indocyanine green (ICG) fluorescence mapping for sentinel lymph node detection in early breast cancer. Eur J Surg Oncol, (8): p Sugie, T., et al., Comparison of the indocyanine green fluorescence and blue dye methods in detection of sentinel lymph nodes in early-stage breast cancer. Ann Surg Oncol, (7): p Ring, J. and K. Messmer, Incidence and severity of anaphylactoid reactions to colloid volume substitutes. Lancet, (8009): p Alonzo, T.A., M.S. Pepe, and C.S. Moskowitz, Sample size calculations for comparative studies of medical tests for detecting presence of disease. Stat Med, (6): p
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailUNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN
UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailFaut-il encore traiter les cancers prostatiques?
Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailNouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?
Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailExtrait des Mises à jour en Gynécologie Médicale
COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur J. Lansac Extrait des Mises à jour en Gynécologie Médicale Volume 2009 publié le 9.12.2009 TRENTE-TROISIÈMES JOURNÉES
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailÉtude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon
Delais-Cancer Sein Poumon:32 pages 6/06/12 12:39 Page 1 Mesure 19 SOINS ET VIE DES MALADES Étude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon DANS PLUSIEURS RÉGIONS DE FRANCE EN 2011
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détailUTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS
UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS À L ACTE DE LA RAMQ POUR IDENTIFIER LES CAS DE CANCER NON DÉCLARÉS AU FICHIER DES TUMEURS DU QUÉBEC ÉTUDE DE FAISABILITÉ VOLET : CANCER DE LA PROSTATE DIRECTION PLANIFICATION,
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailA. Protocole de recherche (ainsi que l abrégé en langue française)
Commission d'éthique cantonale (VD) de la recherche sur l'être humain Av. de Chailly, 23, 1012 Lausanne Courriel : secretariat.cer@vd.ch 5.12.2013/mz Recommandations pour la soumission d un dossier Tous
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailPascal Thomas, pour la Société Française de Chirurgie Thoracique et Cardio-Vasculaire.
e-mémoires de l'académie Nationale de Chirurgie, 2009, 8 (1) : 36-40 36 Recommandations de la Société Française de Chirurgie Thoracique et Cardio-Vasculaire de pratiques chirurgicales dans le traitement
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers du sein
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers du sein G R A N D P U B L I C Les cancers du sein Aujourd'hui, en France, comme dans de nombreux pays
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailLiège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085
Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009
RAPPORT D ORIENTATION Dépistage du cancer de la prostate Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 Juin 2010 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailPlace de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.
dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailCURRICULUM VITAE. Dr Isabelle COTHIER SAVEY
CURRICULUM VITAE Dr Isabelle COTHIER SAVEY Dr Isabelle COTHIER SAVEY CHIRURGIEN PLASTICIEN Praticien Spécialiste de l Institut Curie - Hôpital René Huguenin Lauréate de la Faculté Ancien Interne des Hôpitaux
Plus en détailInfo Sein BULLETIN. Bulletin numéro 8 Avril 2014. Contenu. Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013
BULLETIN Région de la Capitale-Nationale Bulletin numéro 8 Avril 2014 Contenu Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013 Éditorial 1 Comité de suivi régional : un travail d équipe! 3 Coordination et organisation
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailComprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches
Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailDépistage par mammographie : feuille d information
feuille d information Dépistage par mammographie : feuille d information Le dépistage par mammographie consiste à faire passer à intervalles réguliers, dès l âge de 50 ans, des radiographies des seins
Plus en détailRÉSUMÉ ABSTRACT. chirurgie thoracique
Évolution de la prise en charge chirurgicale des cancers pulmonaires en France : lobectomie mini-invasive versus lobectomie par thoracotomie d après la base de données nationale Epithor Sophie Guinard,
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailAdapter et apprivoiser sa chimiothérapie Une application smartphone au service des patients
Paul Becquart, Journaliste Santé Le petit Site Santé www.lepetitsitesante.fr A la source de l'information Santé L'actualité de la Santé et de la Recherche médicale Adapter et apprivoiser sa chimiothérapie
Plus en détailChirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?
HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailUne avancée majeure dans le domaine de l implantologie. Roxolid SLActive Moins invasif pour de nouveaux standards
Une avancée majeure dans le domaine de l implantologie. Roxolid SLActive Moins invasif pour de nouveaux standards 1 Excellentes performances scientifiquement démontrées. Roxolid est un matériau unique
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailSynthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale.
Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale. Exécution en bloc opératoire de procédures planifiées en préopératoire Réduction
Plus en détailQu est-ce que le cancer du pancréas?
Cancer du pancréas Qu est-ce que le cancer du pancréas? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailEstelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1
Estelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1 Définition du Monitoring Garantie que la conduite de l essai clinique, les enregistrements et les rapports sont réalisés conformément : Au protocole Aux Procédures
Plus en détail2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.
2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT
Plus en détailIntroduction : Essais de phase I
Schéma de recherche de dose dans les essais de phase I : comparaison par simulations dans un cadre temporel A Doussau 1,2, MC Le Deley 3, B Asselain 1, G Vassal 3, X Paoletti 1 1 - Institut Curie, 2 -
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailPartie 1. Principes. Karmela Krleža-Jerić, An-Wen Chan, Kay Dickersin, Ida Sim, Jeremy Grimshaw, Christian Gluud, for the Ottawa GroupT 1
Déclaration d Ottawa sur l enregistrement des essais d interventions de santé: Proposition pour l enregistrement international d informations relatives au protocole et de résultats des essais réalisés
Plus en détail