Financements et garanties : savoir où et comment les obtenir

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1 Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 5 et 6 octobre Parc Expo Rennes Aéroport - Bruz Financements et garanties : savoir où et comment les obtenir Animé par : Anthony HILLION, B.D.I. & B.C.S. Philippe PAIN, Société Générale JRCE

2 «Financements et garanties» Financements bancaires et garanties intrinsèques associées : Financements bancaires de court terme (CT) Financements bancaires moyen long terme (MLT) Organismes de cautionnement Financement initial : le capital JRCE

3 Financements bancaires et garanties intrinsèques associées Que finance-t-on? Frais premier établissement Immobilisations : incorporelles corporelles Immobilisations financières Stocks Clients Liquidités Actif Passif Fonds propres Capital Exploitant Subventions Financements Moyen et LT Fournisseurs Etat Concours bancaires à Court terme JRCE

4 Financements bancaires et garanties intrinsèques associées Actif Passif Garantie IMO corporelles : Bâtiment Matériels IMO incorporelles : Fond de commerce Titres participation Crédit-bail Ou Crédit classique Crédit classique Crédit Bail=Propriété bâtiment Hypothèque IPPD Nantissement Matériels Nantissement fond de commerce Nantissement titres Stock Crédit de campagne Gage sur stock Poste client Décalages de trésorerie Escompte Affacturage Loi Dailly Facilité de caisse Découvert Crédit de trésorerie Garantie Intrinsèque Cautions JRCE

5 Financements bancaires et garanties intrinsèques associées Investisseurs Apport de capitaux SCHEMA REPRISE ENTREPRISE Holding Société rachetée Apport de capitaux Personnes physiques Prêt Apport de cautions Banque Le montage Actif Titres de participation Passif Capital Dettes MLT JRCE

6 Organismes de cautionnement Sommaire Vocation d une caution ou garantie bancaire Exemples d organismes de caution Intérêts de la caution Particularités des garanties de B.D.I. JRCE

7 Vocation de la garantie ou caution bancaire Dans le cadre d une demande de prêt bancaire, le partenaire bancaire de l entrepreneur exige généralement des «sûretés» lui permettant de couvrir partiellement son prêt. Ces sûretés prennent la forme de garanties ou cautions personnelles, de nantissement ou de gage sur biens JRCE

8 Vocation de la garantie ou caution bancaire Diverses raisons peuvent inciter l entrepreneur à limiter la portée de ses engagements au titre de caution ou garantie : Refus du conjoint(e) d apporter sa caution solidaire ; Absence de patrimoine à engager ; Engagement financier déjà important au regard de l emprunt demandé JRCE

9 Vocation de la garantie ou caution bancaire Les intérêts de la banque et du client s avérant, sur ce point, contradictoires, l engagement de l entrepreneur, au titre de garantie ou de caution, a donc un impact sur : L obtention ou non d un prêt MLT, voire de facilités de caisse (découvert, escompte ) ; Les conditions de prêt. Selon son choix, ou en cas de difficultés pour mobiliser les garanties requises, l entrepreneur peut avoir recours à des organismes de caution. JRCE

10 Organismes de cautionnement Bretagne Développement Initiatives (B.D.I.) ; Oséo Sofaris ; S.I.A.G.I. JRCE

11 L intérêt de la garantie L intérêt d une garantie obtenue auprès d un organisme spécialisé apparaît donc évident : Limiter les engagements personnels de l entrepreneur ; Palier à l absence de patrimoine ; Crédibiliser le projet de l entrepreneur ; Pour un coût généralement non prohibitif (ex : B.D.I. : 2 % du montant garanti une fois pour toute à la date de mise en place) ; Elle facilite l obtention de l emprunt bancaire qui conditionne les investissements et le démarrage de l activité. JRCE

12 Particularités des garanties proposées par B.D.I. A travers ses deux outils, la garantie B.D.I. & la garantie F.G.I.F., B.D.I. s adresse à deux publics particuliers : D une part : Aux demandeurs d emplois et allocataires des minima sociaux ; Aux porteurs de projet créateur d emplois ; Aux repreneurs d entreprises menacées de fermeture ; Aux associations d utilité sociale et structures d insertion D autre part : Aux femmes, créatrices d entreprise ou déjà installées (- 5 ans). JRCE

13 Particularités des garanties proposées par B.D.I. Statut associatif Loi 1901, par conséquent à but non lucratif ; Cautions fonctionnant avec toutes les banques ; Caution à première demande (Garantie B.D.I.) ; Coût faible (B.D.I. : 2 % ; F.G.I.F. : 2,5 %) payé une seule fois et indexé sur le montant garanti (non pas emprunté). JRCE

14 «Le financement en capital» Sommaire 1. Le Financement en capital 2. Quelques structures d investissement régionales 3. Atouts et risques pour l entrepreneur 4. Critères d intervention JRCE

15 «Le financement en capital» Depuis toujours, les entreprises en développement sont confrontées à un paradoxe : «La croissance de leur activité, et donc la création de richesses, n est réalisable qu à la condition de détenir, au préalable, une trésorerie (disponibilités, ou fonds de roulement) suffisante». JRCE

16 «Le financement en capital» Cette capacité à financer les besoins de trésorerie à court terme (BFR) repose : soit sur la capacité propre de l entreprise à générer des profits (autofinancement), soit, et ce point concerne la majorité des entreprises, sur des apports de capitaux extérieurs. Bretagne Capital Solidaire (B.C.S.) s intéresse aux petites entreprises, répondant ainsi aux besoins d un large public qui n intéresse pas les investisseurs traditionnels (SCR, FCP, FIP et autres fonds d investissement)... JRCE

17 «Quelques structures d investissement régionales» Ouest Venture ; Bretagne Participations ; Bretagne Jeunes Entreprises ; Bretagne Capital Solidaire JRCE

18 «Atouts et risques pour l entrepreneur» Atouts : 1. Apporter de la trésorerie exploitable (limiter ou supprimer le recours à du découvert, à de l escompte ou à tout autre financement de court terme, généralement onéreux et délicat à gérer) ; 2. Favoriser la négociation d un emprunt bancaire ou d une garantie bancaire (en rééquilibrant les ratios d endettement, en limitant le risque encouru par la banque prêteuse ).

19 «Atouts et risques pour l entrepreneur» Atouts (pratique de B.C.S.) : 3. Financer le BFR à moindre coût (capital : pas d exigences de distribution ; compte courant : taux indexé sur un taux de marché) ; 4. Disposer des conseils et du recul d un associé lors de la prise de décisions importantes (embauche, investissement, stratégie, etc.) ; JRCE

20 «Atouts et risques pour l entrepreneur» Gains de crédibilité (à l égard des banques, des partenaires commerciaux, etc.) ; Amélioration de la capacité de négociation de l entreprise ; Renforcement de la structure financière.. JRCE

21 «Atouts et risques pour l entrepreneur» Critiques à l égard des investisseurs : 1. Risque de perte de contrôle, voire d indépendance : Possible dans certains cas. Généralement la perte de contrôle est le fruit d une négociation et d un accord entre l entrepreneur et l investisseur Afin d annuler ce risque, la prise de participation de B.C.S. est minoritaire (5 à 25 % du capital social) Les associés fondateurs sont prioritaires pour le rachat De nombreux aménagements facilitant le rachat peuvent être envisagés. Ex: Possibilité de rachat anticipé JRCE

22 «Atouts et risques pour l entrepreneur» 2. Impossibilité de racheter les parts détenues par l Investisseur : En règle générale, l objectif de l investisseur n est pas de rester ad vitam eternam au capital de l entreprise financée (afin de valoriser l investissement) Le rachat des titres détenus est généralement programmé (Ex: B.C.S. échéance : 5 ans max.). JRCE

23 «Atouts et risques pour l entrepreneur» 3. Le coût d une intervention en capital est élevé : Il est certes plus élevé que celui d un emprunt bancaire MLT. Mais l intervention en capital est rarement assortie de garanties, cautions personnelles et gages sur bien, contrairement à un emprunt. Si un emprunt MLT a vocation à financer des investissements, le financement du besoin de trésorerie incombe généralement à l entrepreneur et ses associés, et donc à l investisseur. A ce titre, des financements bancaires de «court terme» sont mobilisables, mais au regard des taux pratiqués, des contreparties citées ci-dessus et de l endettement global de l entreprise, l intervention en capital peut s avérer indispensable et compétitive. JRCE

24 «Atouts et risques pour l entrepreneur» Le coût dépend des résultats de l entreprise, et donc de sa valorisation. L investisseur n est pas garanti d un «rendement minimum». La valorisation de l entreprise profite autant à l entrepreneur qu à l investisseur. Dans certains cas l Investisseur accorde un plafond de valorisation limitant le coût de rachat (Ex : B.C.S.). Les méthodes d évaluation de l entreprise, et donc du capital, sont définies initialement. Pour B.C.S., le recours à un expert extérieur est toujours possible. JRCE

25 «Atouts et risques pour l entrepreneur» Le coût supposé d une «intervention en capital» dépend également de la répartition entre financement en capital (% de parts sociales ou actions détenues) et financement en quasi-fonds propres (compte courant, obligation simple, convertible ou échangeable, etc.). Exemple : 1. Pour un capital et un besoin de trésorerie portant sur , B.C.S. peut apporter en capital social et en compte courant. 2. Si le compte courant est rémunéré à 5 % et que la valeur de l entreprise croît de 10 % par an, le coût global moyen du financement du besoin de trésorerie est, pour l entrepreneur, inférieur à 6 %. JRCE

26 JRCE 2006 Financements & Garanties ~ Anthony HILLION, B.D.I. & B.C.S. Philippe PAIN, Société Générale JRCE

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