SIMULATION DU MODELE DE SOLOW-SWAN SUR MATLAB/DYNARE
|
|
- Quentin Latour
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SIMULATION DU MODELE DE SOLOW-SWAN SUR MATLAB/DYNARE Jean-Paul K. Tsasa Laboratoire d analyse-recherche en économie quantitative Juin 15, 2015 Résumé Dans cette note, je montre comment le modèle de Solow-Swan peut être simulé sur le logiciel MatLab/Dynare. Mots-clés : Modèle de Solow-Swan, simulations stochastiques, MatLab/Dynare Abstract This note shows how the Solow-Swan model can be simulated on the MatLab/Dynare software. Keywords: Solow-Swan model, stochastic simulations, MatLab/Dynare JEL classification: E13, E17, O41 I. Introduction Cette note résout le modèle de croissance néo-classique, et montre comment il peut être simulé sur le logiciel MatLab/Dynare. Ce modèle a été proposé par Solow (1956, février) et Swan (1956, novembre), d où le nom de modèle de Solow-Swan. Plus précisément, nous présenterons ici une version d équilibre général du modèle de Solow-Swan. Dans ce modèle, l économie est composée de : (i) deux types d agents économiques. D une part, les ménages ou consommateurs et d autre part, les firmes ou producteurs ; (ii) trois biens, à noter le travail, L ", le capital, K ", et l output, Y " ; (iii) trois marchés : le marché du travail, le marché du capital et le marché des produits. Donc, il y a un marché pour chaque bien ; et (iv) un secteur, i.e. le modèle de Solow-Swan ne fait pas de distinction entre le secteur de production des biens de consommation (produits) et le secteur de production des biens d équipement (capital).
2 De plus, sans perte de généralité, nous supposons par ailleurs que : Le prix de l output est normalisé à l unité, et les prix des autres biens sont exprimés en unité de l output. Le prix du capital est le taux d intérêt, r ", et le prix du travail est le taux salarial, w ". Les ménages sont propriétaires du capital et du travail. Par conséquent, les ménages sont offreurs des services du capital et du travail respectivement sur le marché du travail et sur le marché du capital, alors que les firmes sont demandeurs. Le capital se déprécie au taux 0 < δ < 1. Les trois marchés, à noter le marché du travail, le marché du capital et le marché des produits, sont en concurrence parfaite, et donc les agents économiques considèrent chaque prix comme une donnée du marché. Les firmes et les ménages peuvent être caractérisés par une firme représentative et un ménage représentatif respectivement. Dans le reste du papier, tout d abord, nous présentons brièvement le modèle de Solow- Swan et dérivons le système d équilibre non-linéaire déterministique (section 2). Ensuite, nous considérons une version stochastique du modèle de Solow-Swan et procédons à la log-linéarisation (section 3). Enfin, dans la section quatrième, nous présentons le code MatLab/Dynare utilisé pour simule notre modèle. In fine, il sied de noter que ce papier ne discute pas des résultats des simulations, il se limite à présenter les résultats numériques. II. Dérivation du modèle de Solow-Swan Le modèle de Solow-Swan suppose qu à chaque instant du temps t, le nombre de consommateurs est donné par L ", lequel est prédéterminé par l évolution de la population. Le comportement des consommateurs est décrit par quatre faits principaux : (i) Chaque consommateur est assumé offrir inélastiquement une unité de travail, par conséquent l offre total du travail correspond exactement à L ". (ii) Le consommateur possède le stock du capital K ", lequel est prédéterminé par l accumulation du capital à la période précédente. L offre du capital est inélastique et est égale à la taille du stock de capital K ". 2
3 (iii) Le secteur de ménage peut être décrit comme un consommateur représentatif qui gagne tout le revenu brut généré dans cette économie : Y " = r " K " + w " L " 0. (1) Le consommateur décide de l affectation de son revenu entre consommer et épargner, suivant sa contrainte budgétaire intertemporelle : Y " = C " + S ". (2) Par ailleurs, le stock de capital détenu par le ménage à la date t + 1 doit être égal à son épargne à la date t nette de la dépréciation du capital alloué aux firmes durant la période t. Par conséquent, la contrainte budgétaire intertemporelle est telle que : K "45 K " = S " δk ". (3) Sans perte de généralité, nous supposons que le ménage épargne une fraction exogène et constante de son revenu : S " = 1 γ Y ". (4) où 0 < 1 γ < 1. (iv) La croissance des ménages est décrite par un taux de croissance exogène, n, de la population active L " : L "45 = 1 + n L ", (5) où n > 1. En parallèle, pour produire l output Y ", la firme représentative utilise les facteurs capital et travail, et les combine suivant une technologie F. La fonction de production est telle que : Y " = F K " 0, L " 0 ; A ", (6) où K " 0 et L " 0 dénotent respectivement la demande du capital et la demande du travail. 3
4 L objectif de la firme consiste à maximiser le profit : max A B C,D B C π " = Y " r " K " 0 w " L " 0. (7) Les conditions du premier ordre impliquent que : Pour le capital : π " K " 0 = F A K " 0, L " 0 ; A " r " = 0, (8) Pour le travail : π " L " 0 = F D K " 0, L " 0 ; A " w " = 0. (9) Le marché étant concurrentiel : Le prix r H égalise la demande et l offre dans le marché du capital : K " 0 = K " I, (10) Le prix w H égalise la demande et l offre dans le marché du travail : L " 0 = L " I. (11) Le profit est nul : π " = Y " F K " 0, L " 0 ; A " = 0, (12) où par identité d Euler : F K " 0, L " 0 ; A " = F A K " 0, L " 0 ; A " K " 0 F D K " 0, L " 0 ; A " L " 0. (13) Dès lors, nous pouvons procéder à la caractérisation complète du modèle de Solow. Pour ce faire, nous considérons une forme fonctionnelle spécifique de la production. Plus précisément, nous considérons une fonction de production Cobb-Douglas. 4
5 Caractérisation du modèle de Solow-Swan Fonction de production : Y " = A " K " K L " 5LK Prix du capital : r " = αa " K " L " KL5 Prix du travail : w " = 1 α A " K " L " K Équation de l épargne : S " = 1 γ Y " Dynamique du capital : K "45 = S " + 1 δ K " Dynamique du travail : L "45 = 1 + n L " III. Modèle de Solow-Swan stochastique Le modèle de Solow-Swan peut également s écrire sous forme stochastique. Il suffit, pour ce faire, de considérer A " comme un processus aléatoire de type autorégressif d ordre 1. ln A " = ρ Q ln A "L5 + ε Q,", (14) Pour simuler notre modèle, il faudra assigner à l ensemble de paramètres du modèle des valeurs appropriées (calibration), selon le type d économies considéré. Pour la suite, nous travaillerons en notations per capita. Caractérisation du modèle de Solow-Swan en notation per capita Fonction de production : y " = A " k " K Prix du capital : r " = αa " k " KL5 Prix du travail : w " = 1 α A " k " K Équation de l épargne : s " = 1 γ y " Dynamique du capital : 1 + n k "45 = s " + 1 δ k " 5
6 Ci-après, nous dérivons le système d équilibre à l état stationnaire. Caractérisation du modèle de Solow-Swan à l état stationnaire Fonction de production : y = Ak K Prix du capital : r = αak KL5 Prix du travail : w = 1 α Ak K Équation de l épargne : s = 1 γ y Dynamique du capital : s = δ + n k Dynamique du travail : n = 0 Processus technologique : A = 1 Choc technologique : ε Q = 0 Des équations de l épargne et de la dynamique du capital, il vient que : D où : y = δ + n 1 γ k. (15) k = 1 γ δ + n 5 5LK (16) y = k K (17) r = αk KL5 (18) w = 1 α k K (19) s = δk (20) 6
7 Connaissant le système d équilibre non-linéaire et le système d équilibre, il est dès lors possible de dériver le système d équilibre log-linéarisé. Version log-linéarisée du modèle de Solow-Swan Fonction de production : y " = A " + αk " Prix du capital : r " = A " 1 α k " Prix du travail : w " = A " + αk " Équation de l épargne : s " = y " Dynamique du capital : 1 + n kk "45 = ss " + 1 δ kk " Processus technologique : A " = ρ Q A "L5 + ε Q," Pour la suite, nous allons travailler avec la version log-linéaire du modèle de Solow. IV. Pour simuler le modèle de Solow-Swan, il faudra assigner à l ensemble de paramètres du modèle des valeurs appropriées (calibration), selon le type d économies considéré. Étant donnée qu il s agit d un modèle de long terme, chaque instant t du temps correspond à l année. Le modèle comprend quatre paramètres, à noter : (i) le taux de croissance de la population active (ii) la part du capital dans le revenu, (iii) le taux d épargne, (iii) le taux de dépréciation. Le taux de croissance n de la population active est relativement plus élevé dans les pays en développement que dans les pays à économie avancée. Ci-après, je résume le taux de croissance de la population active respectivement aux États-Unis et en RDC. Croissance de la population active aux États-Unis et en RDC entre 1990 et 2014 USA RDC Croissance de la population active 0,96 3,23 Source : Banque mondiale (WDI, 2016) 7
8 Le coefficient α pour les pays en développement est généralement estimé entre 0,34 et 0,40. Pour les pays à économie avancée, le coefficient α est généralement fixé à 1/3. Toutefois, Kydland et Prescott (1982) ou Merz (1995) considèrent une valeur de 0,36. Cooley et Prescott (1995) considèrent plutôt une valeur de 0,40. Valeur du paramètre α dans les pays en développement Valeur assignée à α Source 0,35 Mavungu, Ntagoma et Tsasa (2015) 0,34 Akitoby et Cinyabuguma (2004) 0,35 Sacerdoti, Brunschwig et Tang (1998) 0,40 Bosworth, Collins et Chen (1995) Comme indiqué ci-après, deux études sur la RDC permettent d avoir une idée sur le taux de dépréciation du capital δ. En général, la valeur assignée au paramètre δ varie entre 0,10 et 0,15 par an pour les pays en développement contre 0,05 dans les pays développés. Cooley et Prescott (1995) considèrent par exemple une valeur de 0,048 pour le cas de l économie américaine, et Merz (1995) retient également une valeur relativement proche, soit 0,05 par an. Pour le cas de la RDC, Mavungu et al. (2015) considèrent une valeur de 0,16. Plus tôt Akitoby et Cinyabuguma (2004) ont considéré une valeur de 0,15. Valeur du paramètre δ dans les pays en développement Valeur assignée à δ Source 0,16 Mavungu, Ntagoma et Tsasa (2015) 0,15 Beddies (1999) Akitoby et Cinyabuguma (2004) Enfin, le taux d épargne 1 γ est relativement plus faible dans les pays en développement que dans les pays développés. Ci-après, je résume le taux d épargne respectivement aux États-Unis et en RDC pour la période Le taux d épargne a été approximé par l épargne intérieure brute exprimée en pourcentage du PIB. 8
9 Taux d épargne aux États-Unis et en RDC entre 1990 et 2014 USA RDC Taux d épargne (en %) 18,21 8,99 Source : Banque mondiale (WDI, 2016) L ensemble des paramètres du modèle de Solow-Swan, ainsi que les valeurs leurs assignées selon qu il s agit de l économie américaine ou de l économie congolaise peut être résumé comme suit. Étalonnage du modèle de Solow-Swan α 1 γ δ n USA 0,33 0,1821 0,05 0,0096 RDC 0,35 0,0899 0,16 0,0323 Enfin, pour la programmation, nous avons assignée au paramètre autorégressif ρ Q la valeur de 0,95 et à l écart-type du choc la valeur de 0,03. Nous organisons notre programme en trois blocs principaux. BLOC 1 : LES INSTCRUCTIONS INTRODUCTIVES 9
10 BLOC 2 : LE MODELE BLOC 3 : LES INSTRUCTIONS FINALES APERCU DU PROGRAMME SUR MATLAB/DYNARE 10
11 SIMULATION DU MODELE DE SOLOW-SWAN POUR LES ETATS-UNIS 11
12 SIMULATION DU MODELE DE SOLOW-SWAN POUR LA RDC 12
13 COMPARAISON DES RESULTATS DES SIMULATIONS DU MODELE DE SOLOW-SWAN POUR LES ETATS-UNIS ET LA RDC Conclusion L'objectif de cette note était d'illustrer comment le modèle de Solow-Swan peut être simulé sur le logiciel MatLab/Dynare. Dans un papier ultérieur, je montrerai comment le logiciel MatLab/Dynare peut également être utilisé à l'effet de procéder à l'analyse de la convergence. Références Akitoby, Bernardin and Matthias Cinyabuguma, 2004, Sources of Growth in the Democratic Republic of the Congo: A Cointegration Approach, IMF Working paper, no. 04/114, 31p. 13
14 Banque mondiale, 2016, WDI, World Development Indicators, Washington D.C.: The World Bank. Beddies, Christian H., 1999, Investment, Capital Accumulation, and Growth: Some Evidence from Gambia , IMF Working Paper, no. 99/117, 32p. Bosworth, Barry, Susan M. Collins and Yu-chin Chen, 1995, Accounting for Differences in Economic Growth, Brookings Discussion Papers in International Economics, no. 115, 84p. Cooley, Thomas F. and Prescott, Edward C., 1995, Economic Growth and Business Cycles, in Thomas F. Cooley (ed.), Frontiers of Business Cycle Research, chapter 1, Kydland, Finn E. and Prescott, Edward C., 1982, Time to Build and Aggregate Fluctuations, Econometrica, vol. 50, no. 6, Mavungu, Marina, Jean-Baptiste Ntagoma et Jean-Paul K. Tsasa, Inclusivité et Marché du Travail: Approche par le Modèle DSGE Non-Ricardien, Revue congolaise de politique économie, vol. 2, no. 2, Merz, Monika, 1995, Search in the Labor Market and the Real Business Cycle, Journal of Monetary Economics, vol. 36, no. 2, Sacerdoti, Emilio, Sonia Brunschwig and Jon Tang, 1998, The Impact of Human Capital on Growth: Evidence from West Africa, IMF Working Paper, no. 98/162, 34p. Solow, Robert M., 1956, A Contribution to the Theory of Economic Growth, Quarterly Journal of Economics, vol. 70, no. 1, February, Swan, Trevor W., 1956, Economic Growth and Capital Accumulation, Economic Record, vol. 32, no. 2, November,
La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux
OCP Policy Center Seminar series La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux Pierre-Richard Agénor, Hallsworth Professor, University of Manchester and Senior Fellow, OCP
Plus en détailImpact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy
MPRA Munich Personal RePEc Archive Impact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy Jean Blaise Nlemfu Mukoko Departement d économie, Université de kinshasa, Groupe de
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailUnited Nations, World Population Prospects, CD ROM; The 2008 Revision.
SOURCES SOURCE Data Sources Population : Labour Force: Production: Social Indicators: United Nations, World Population Prospects, CD ROM; The 2008 Revision. International Labour Organisation (ILO). LaborStat
Plus en détailLES INÉGALITÉS s accroissent dans
EMPLOI Le POUVOIR et le PEUPLE Florence Jaumotte et Carolina Osorio Buitron LES INÉGALITÉS s accroissent dans de nombreux pays avancés depuis les années 80, essentiellement par suite de la concentration
Plus en détailLSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg
LSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg Szabolcs Deák 1 - Lionel Fontagné 2 - Marco Maffezzoli 3 - Massimiliano Marcellino 4 Introduction Les modèles dynamiques stochastiques d équilibre
Plus en détailESSEC Cours Wealth management
ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailPremier modèle - Version simple
Chapitre 1 Premier modèle - Version simple Les individus vivent chacun six générations successives d adultes, chacune d une durée de dix ans, sans distinction faite entre les individus d une même génération.
Plus en détailmais on suppose maintenant que ses préférences sont représentées par la fonction
Ecole Nationale de la Statistique et de l Administration Economique 2ème année, 1er semestre, 2007/2008 Examen de Macroéconomie Stéphane Gauthier 2 heures, sans document ni calculatrice 1. Questions de
Plus en détailRésumé du cours en graphiques En vue des prochains cours En vue de l examen final. Macroéconomie 1. Conclusion générale. Olivier Loisel.
Macroéconomie 1 Conclusion générale Olivier Loisel ensae Automne 2014 Olivier Loisel, Ensae Macroéconomie 1 : conclusion générale Automne 2014 1 / 14 Plan de la conclusion générale 1 Résumé du cours en
Plus en détailECO 8021: Notes de cours Chapitre 1 Introduction au cours
ECO 8021: otes de cours Chapitre 1 Introduction au cours Steve Ambler Département des sciences économiques École des sciences de la gestion Université du Québec à Montréal Automne 2001 1 Objectifs, prérequis
Plus en détailApport des petites et moyennes entreprises au produit intérieur brut : comparaison entre le Canada et les États-Unis
N o 11F0027M au catalogue N o 070 ISSN 1703-0412 ISBN 978-1-100-97530-6 Document de recherche Série de documents de recherche sur l'analyse économique (AE) Apport des petites et moyennes entreprises au
Plus en détail3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques
3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par
Plus en détailPIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.
PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailEstimation des élasticités de demande des amandes de noix d anacarde au Bénin à partir d un modèle AIDS
Résumé Estimation des élasticités de demande des amandes de noix d anacarde au Bénin à partir d un modèle AIDS Laurent OLOUKOÏ 1 et Patrice Y. ADEGBOLA 2 Cet article utilise les données issues de l enquête
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailDIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS. Semestre d hiver 2001-2002
Département d économie politique DIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS Semestre d hiver 2001-2002 Professeurs Marc Chesney et François Quittard-Pinon Séance
Plus en détailLe Baromètre Semestriel d Inclusion Bancaire et Financière en Tunisie (Evolution des Indices d Inclusion au 2ème Semestre 2013)
Le Baromètre Semestriel d Inclusion Bancaire et Financière en Tunisie (Evolution des Indices d Inclusion au 2ème Semestre 213) 1. Exposé des motifs et référentiels internationaux. La circularité des concepts
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détail- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui
Plan du cours : - Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui - I. Les théories du commerce international - les avantages comparatifs (Ricardo) - les dotations de facteurs (HOS)
Plus en détailPOL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au choix à faire en équipe)
Université du Québec à Montréal Département de science politique Session Automne 2008 POL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au
Plus en détailL importance des investissements publics pour l économie. Analyse thématique Finances locales
L importance des investissements publics pour l économie Analyse thématique Finances locales Belfius Research Mars 2015 Introduction En septembre 2014, les normes SEC 2010 1 ont été appliquées intégralement
Plus en détailUn modèle stochastique du taux d intérêt implicite en microcrédit
Un modèle stochastique du taux d intérêt implicite en microcrédit PHEAKDEI MAUK, MARC DIENER LABORATOIRE J.A. DIEUDONNÉ Dixième colloque des jeunes probabilistes et statisticiens CIRM Marseille 16-20 avril
Plus en détailCONSOMMATION INTERTEMPORELLE & MARCHE FINANCIER. Epargne et emprunt Calcul actuariel
CONSOMMATION INTERTEMPORELLE & MARCHE FINANCIER Epargne et emprunt Calcul actuariel Plan du cours Préambule : la contrainte budgétaire intertemporelle et le calcul actuariel I II III Demandes d épargne
Plus en détailFiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23. Top Rendement 1. Type d assurance-vie
Fiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23 Top Rendement 1 Type d assurance-vie Assurance-vie individuelle avec taux d intérêt garanti (branche 21). En ce qui concerne
Plus en détailFormules et Approches Utilisées dans le Calcul du Coût Réel
Formules et Approches Utilisées dans le Calcul du Coût Réel Objectifs du Taux Annuel Effectif Global (TAEG) et du Taux d Intérêt Effectif (TIE) Le coût réel d un crédit inclut non seulement l intérêt,
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailLes simulations dans l enseignement des sondages Avec le logiciel GENESIS sous SAS et la bibliothèque Sondages sous R
Les simulations dans l enseignement des sondages Avec le logiciel GENESIS sous SAS et la bibliothèque Sondages sous R Yves Aragon, David Haziza & Anne Ruiz-Gazen GREMAQ, UMR CNRS 5604, Université des Sciences
Plus en détailCorps des nombres complexes, J Paul Tsasa
Corps des nombres complexes, J Paul Tsasa One Pager Février 2013 Vol. 5 Num. 011 Copyright Laréq 2013 http://www.lareq.com Corps des Nombres Complexes Définitions, Règles de Calcul et Théorèmes «Les idiots
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailL économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions
L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes
Plus en détailUne étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailImpact d un choc budgétaire sur la consommation privée dans une économie. avec contraintes de liquidité et épargne de précaution.
Impact d un choc budgétaire sur la consommation privée dans une économie avec contraintes de liquidité et épargne de précaution sous la direction d Edouard Challe Laura BERTHET Mémoire de recherche Sciences
Plus en détailEcole Polytechnique Macroéconomie avancée-eco 553 Chapitre 2 : Epargne, accumulation du capital et croissance
Ecole Polytechnique Macroéconomie avancée-eco 553 Chapitre 2 : Epargne, accumulation du capital et croissance Pierre Cahuc Septembre 28 Table des matières 1 Le modèle de croissance néoclassique 2 1.1 Le
Plus en détail'INFORMATIONS STATISTIQUES
COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE DU CHARBON ET DE L'ACIER HAUTE AUTORIT~ SOMMAIRE des articles publiés dans les 'INFORMATIONS STATISTIQUES jusqu'à la...date du mo1s décembre 1956 -. LIBRARY COP\' Luxembourg. Mai
Plus en détailEpargne et investissement
Epargne et investissement Nature du sujet : Sujet de type «mise en relation». Mots-clés / Définitions : Tous! «Epargne» : Part du revenu qui n est pas consommée Epargne des ménages : - Concept le plus
Plus en détailNos régimes d épargne-retraite collectifs 5057-00F-AOÛT13. Des solutions simples pour vous faciliter la vie!
Nos régimes d épargne-retraite collectifs 5057-00F-AOÛT13 Des solutions simples pour vous faciliter la vie! Comment attirer et fidéliser un personnel qualifié dans un marché compétitif. Aux yeux des employés,
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailFiltrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales
Filtrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales Adriana Climescu-Haulica Laboratoire de Modélisation et Calcul Institut d Informatique et Mathématiques Appliquées de
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailFiche info financière pour assurance de vie non fiscale Valable à partir du 23/10/2013
Fiche info financière pour assurance de vie non fiscale Valable à partir du 23/10/2013 DL Strategy Type d assurance vie - Assurance vie composée de fonds à taux d intérêt garanti par la compagnie d assurance
Plus en détailBASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE
BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE CETMO-ASE Version 08.01 Année de référence 2008 Février 2013 BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE
Plus en détailTOTEM, le nouveau modèle de projection et d analyse de politiques de la Banque du Canada
TOTEM, le nouveau modèle de projection et d analyse de politiques de la Banque du Canada Paul Fenton et Stephen Murchison, département des Recherches Lorsque le Modèle trimestriel de prévision (MTP) est
Plus en détailMATHS FINANCIERES. Mireille.Bossy@sophia.inria.fr. Projet OMEGA
MATHS FINANCIERES Mireille.Bossy@sophia.inria.fr Projet OMEGA Sophia Antipolis, septembre 2004 1. Introduction : la valorisation de contrats optionnels Options d achat et de vente : Call et Put Une option
Plus en détail2.1.4. L'équilibre général des échanges
2.1.4. L'équilibre général des échanges La prise en compte des offres et des demandes de l'ensemble des pays participants au commerce mondial permet la détermination des prix mondiaux. L'existence d'un
Plus en détailDirection des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels
Etab=MK3, Timbre=G430, TimbreDansAdresse=Vrai, Version=W2000/Charte7, VersionTravail=W2000/Charte7 Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD 16 juillet 213 LES MÉNAGES CANADIENS SONT PLUS ENDETTÉS QUE LES MÉNAGES AMÉRICAINS, MAIS UNIQUEMENT PAR SUITE DU RÉCENT DÉSENDETTEMENT AUX ÉTATS-UNIS Faits saillants
Plus en détailCet article est une analyse de la question de la
Perspective de la future croissance de la productivité au Canada Thomas A. Wilson* Université de Toronto Cet article est une analyse de la question de la future croissance de la productivité du Canada
Plus en détailLA CHINE ET L AFRIQUE DE L OUEST
LA CHINE ET L AFRIQUE DE L OUEST Professeure : Yumiko Yamamoto Année universitaire 2015/2016 : Semestre d automne SÉANCES ET PROGRAMMES Séance 1. Introduction à la Chine et l Afrique de l Ouest 1ère Partie.
Plus en détailMonnaie, Banque et Marchés Financiers
Collection FlNANCE dirigée par Yves Simon, Professeur à l'université Paris-Dauphine, et Delphine Lautier, Professeur à l'université Paris-Dauphine Monnaie, Banque et Marchés Financiers Didier MARTEAU C
Plus en détailThéorie des sondages : cours 5
Théorie des sondages : cours 5 Camelia Goga IMB, Université de Bourgogne e-mail : camelia.goga@u-bourgogne.fr Master Besançon-2010 Chapitre 5 : Techniques de redressement 1. poststratification 2. l estimateur
Plus en détailExiste-t-il un taux d endettement optimal des États?
Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? Nicolas Marceau, CIRPÉE et UQÀM mai 2003 Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? 1 Plan de la présentation 1. Équivalence ricardienne 2.
Plus en détailLes nouvelles approches du change d équilibre...
Compétitivité et taux de change d équilibre de long terme Didier Borowski Chargé de Mission à la Direction de la Prévision Cécile Couharde Maître de Conférences à l Université de Paris-Nord et membre du
Plus en détailPerformances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire.
Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Patrick DUPEYRAT 1,2*, Yu BAI 3,4, Gérald KWIATKOWSKI 5, Gilles FRAISSE 3 Christophe MENEZO 2,3 et
Plus en détailDocument 1.2: Définition de l indicateur d ouverture (OPENNESS) de Sachs et Warner,1995
PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE SESSION 6 : RENNES, 1314 MARS 2008 Atelier : Ouverture et croissance Animé par Akiko SuwaEisenmann (EEP) L objectif de cet atelier est d examiner les données de plusieurs
Plus en détailun environnement économique et politique
Vision d un économiste sur le risque agricole et sa gestion un sol un climat un environnement économique et politique Jean Cordier Professeur Agrocampus Ouest Séminaire GIS GC HP2E Prise en compte du risque
Plus en détailDocuments de travail
Documents de travail du Laboratoire d Economie et de Gestion Working Papers Contrainte de crédit et convergence vers la frontière technologique: Qu'en est-il des pays de la Zone CFA? Abdou-Aziz NIANG,
Plus en détailMAÎTRISE ÈS SCIENCES EN GESTION. MICROPROGRAMMES Exploitation de données en intelligence d affaires Analytique d affaires - Énergie 2014 ANNUAIRE
MAÎTRISE ÈS SCIENCES EN GESTION MICROPROGRAMMES Exploitation de données en intelligence d affaires Analytique d affaires - Énergie 2014 2015 ANNUAIRE Dépôt légal IMPORTANT En complément de cet annuaire,
Plus en détailFaut-il encourager les ménages à épargner?
Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne
Plus en détailL accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation?
L accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation? Edouard VIDON Direction des Analyses macroéconomiques et de la Prévision Service des Études macroéconomiques et
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailModélisation de la réforme des pensions
Modèle PROST de la Banque Mondiale Modélisation de la réforme des pensions Mécanisme de simulation des options de réforme des retraites, de la Banque Mondiale L es politiques de pension d aujourd hui peuvent
Plus en détailInterpréter correctement l évolution de la part salariale.
Interpréter correctement l évolution de la part salariale. Gilles Saint-Paul Université de Toulouse I et Ministère de l Ecologie En, la part des salaires dans la valeur ajoutée (ou dans le PIB) est un
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détailLe Marketing au service des IMF
Le Marketing au service des IMF BIM n 06-20 février 2002 Pierre DAUBERT Nous parlions récemment des outils d étude de marché et de la clientèle créés par MicroSave-Africa, qui s inscrit dans la tendance
Plus en détailOPTIMISATION À UNE VARIABLE
OPTIMISATION À UNE VARIABLE Sommaire 1. Optimum locaux d'une fonction... 1 1.1. Maximum local... 1 1.2. Minimum local... 1 1.3. Points stationnaires et points critiques... 2 1.4. Recherche d'un optimum
Plus en détailLe Belge face à l épargne (1/2)
_ Focus on the Belgian economy Economic Research Le Belge face à l épargne (1/2) Philippe Ledent Economic Research, ING Belgique Bruxelles (32) 2 547 31 61 Philippe.ledent@ing.be Novembre 2009 Le citoyen
Plus en détailL offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon. Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal
L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal Plan Quelques faits stylisés caractéristiques de la France, de l
Plus en détailModèles de croissance économique Alexandre Nshue M. Mokime
Modèles de croissance économique Alexandre Nshue M. Mokime (Version préliminaire) Kinshasa, Juillet 2012 Contenu du cours Chapitre 1. Croissance et développement 1. Qu est-ce que la croissance et pourquoi
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailERRATA ET AJOUTS. ( t) 2 s2 dt (4.7) Chapitre 2, p. 64, l équation se lit comme suit : Taux effectif = 1+
ERRATA ET AJOUTS Chapitre, p. 64, l équation se lit comme suit : 008, Taux effectif = 1+ 0 0816 =, Chapitre 3, p. 84, l équation se lit comme suit : 0, 075 1 000 C = = 37, 50$ Chapitre 4, p. 108, note
Plus en détailThéorie des Jeux Et ses Applications
Théorie des Jeux Et ses Applications De la Guerre Froide au Poker Clément Sire Laboratoire de Physique Théorique CNRS & Université Paul Sabatier www.lpt.ups-tlse.fr Quelques Définitions de la Théorie des
Plus en détailLA PERFORMANCE DES POLITIQUES REGIONALES EN EUROPE:
APPEL A CONTRIBUTION REVUE D ÉCONOMIE REGIONALE ET URBAINE (CLASSEMENT CNRS SECTION 37 : CATEGORIE 3) LA PERFORMANCE DES POLITIQUES REGIONALES EN EUROPE: RETOUR SUR LES METHODES D EVALUATION OBSERVER,
Plus en détailExercice : la frontière des portefeuilles optimaux sans actif certain
Exercice : la frontière des portefeuilles optimaux sans actif certain Philippe Bernard Ingénierie Economique & Financière Université Paris-Dauphine Février 0 On considère un univers de titres constitué
Plus en détailVers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services
69 Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services M. Bakhouya, J. Gaber et A. Koukam Laboratoire Systèmes et Transports SeT Université de Technologie de Belfort-Montbéliard
Plus en détailLa France a créé en 1999 un
ISSN 1293-2868 Document de travail de la Branche Retraites de la Caisse des dépôts et consignations n 2000-29 Contact : Laurent Vernière 01 40 49 89 55 laurent.verniere@br.caisssedesdepots.fr Juin 2000
Plus en détailRAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT
RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente
Plus en détailLes salaires réels ont ils été affectés par les évolutions du chômage en France avant et pendant la crise?
Les salaires réels ont ils été affectés par les évolutions du chômage en France avant et pendant la crise? Grégory Verdugo Direction des Études microéconomiques et structurelles Service des Analyses microéconomiques
Plus en détailMémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains.
Mémoire d actuariat - promotion 2010 La modélisation des avantages au personnel: complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. 14 décembre 2010 Stéphane MARQUETTY
Plus en détailCanada. Capitalisation des logiciels dans la comptabilité nationale. Document de recherche. Comptes des revenus et dépenses série technique
N o 13-604-MIF au catalogue N o 037 ISSN: 1707-1844 ISBN: 0-662-89164-3 Document de recherche Comptes des revenus et dépenses série technique Capitalisation des logiciels dans la comptabilité nationale
Plus en détailPolitiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006
Politiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006 Ekkehard Ernst OCDE Ekkehard Ernst 1 Introduction et résumé du cours Objectifs Connaître et apprendre les concepts modernes d analyse monétaire
Plus en détailRésumé des communications des Intervenants
Enseignements de la 1ere semaine (du 01 au 07 décembre 2014) I. Titre du cours : Introduction au calcul stochastique pour la finance Intervenante : Prof. M hamed EDDAHBI Dans le calcul différentiel dit
Plus en détailAGROBASE : un système de gestion de données expérimentales
AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER To cite this version: Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER. AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales.
Plus en détailPerspectives de l industrie suisse Pierres et Terres
Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Session d hiver 2008 de l ASGB Association suisse de l industrie des Graviers et du Béton Jongny, le 20 février 2008 Christoph Koellreuter, Fondateur
Plus en détailIncertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles
Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles M. L. Delignette-Muller Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive VetAgro Sup - Université de Lyon - CNRS UMR 5558 24 novembre
Plus en détailA / BIOGRAPHY. 2005-2009 : Doctorat en Sciences Economiques et de Gestion (Ph.D.), Louvain School of Management Université catholique de Louvain
Albert B.R. LWANGO, PhD. Finance, Innovation and Entrepreneurship Groupe ESC Troyes Contact address : 217 avenue Pierre Brossolette BP 710 10002 Troyes cedex - France Phone : +33(0)3 25 71 22 79 Mail :
Plus en détailCHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ
CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailCOPYRIGHT 2014 ALCATEL-LUCENT. ALL RIGHTS RESERVED.
FONDATION ALCATEL-LUCENT: APPORT DES ENTREPRISES DES TIC DANS LES COMMUNAUTÉS TIC & RSE un duo gagnant pour le développement entrepreneurial en Afrique Mars 2015 UN MONDE ULTRA CONNECTÉ Carte des réseaux
Plus en détailCONSOMMATION FINALE. Matérialité de l usage. Productivité de l usage. Effet de l usage. Satisfaction. Usage d un bien SANS effet productif ultérieur
CONSOMMATION FINALE Matérialité de l usage Productivité de l usage Effet de l usage Usure d un bien Usage d un bien SANS effet productif ultérieur Satisfaction Gaspillage Champagne School of Management
Plus en détailAvec Gaël Callonnec (Ademe)
Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du
Plus en détailNathalie REY DIPLOMES UNIVERSITAIRES
Nathalie REY Fonction (depuis septembre 1999) : Maître de Conférences en Sciences Economiques Université Paris 13, Sorbonne Paris Cité CEPN, UMR 7234 U.F.R. Sciences Économiques et de Gestion, Bureau J308
Plus en détailTRAITEMENT DES DONNEES MANQUANTES AU MOYEN DE L ALGORITHME DE KOHONEN
TRAITEMENT DES DONNEES MANQUANTES AU MOYEN DE L ALGORITHME DE KOHONEN Marie Cottrell, Smaïl Ibbou, Patrick Letrémy SAMOS-MATISSE UMR 8595 90, rue de Tolbiac 75634 Paris Cedex 13 Résumé : Nous montrons
Plus en détailMicro crédit-bail et l'expérience de la Grameen Bank
Micro crédit-bail et l'expérience de la Grameen Bank BIM n 114-3 avril 2001 Karin BARLET Le crédit-bail ou leasing est une opération simple, pratiquée depuis longtemps dans de nombreux pays. Aujourd hui
Plus en détailGestion réactive des opérations de maintien et d actualisation réglementaire et technologique des systèmes complexes.
Gestion réactive des opérations de maintien et d actualisation réglementaire et technologique des systèmes complexes. LE QUERE Yann, SEVAUX Marc, TRENTESAUX Damien, TAHON Christian Equipe Systèmes de Production
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détail