Arguments médico-économiques pour le remboursement intégral du sevrage tabagique en France
|
|
- Eveline Alarie
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Arguments médico-économiques pour le remboursement intégral du sevrage tabagique en France Evaluation coût-efficacité du remboursement intégral de l aide au sevrage tabagique en France K. Chevreul, B. Cadier, I. Durand-Zaleski, E. Chan, D. Thomas Karine Chevreul URC-Eco Île-de-France APHP Votre logo
2 Sommaire I. Contexte II. Objectif, méthode et hypothèses III.Résultats IV. Discussion/Conclusion
3 Contexte : le tabac en France 12 millions de fumeurs réguliers en France è un fardeau épidémiologique à décès annuels à 2007 : forfait annuel de 50 d aide au sevrage à augmentation de la prévalence entre 2005 et 2012 è et économique important à Les pathologies associées sont à l origine de à 12 et 18 milliards/an de dépenses pour l assurance maladie
4 Sommaire I. Contexte II. Objectif, méthode et hypothèses III. Résultats IV. Discussion/Conclusion
5 Objectif Eclairer le décideur public sur le bénéfice du remboursement total du sevrage tabagique rapport coût-efficacité de la couverture totale de la prise en charge médicale du sevrage tabagique Stratégie 1 : prise en charge médicale à 100% par l AM Stratégie 2 : couverture actuelle forfaitaire
6 Méthode è Estimation de l espérance de vie et des coûts associés à chaque stratégie par modélisation (Markov) è Calcul du ratio incrémental coût/efficacité (ICER) exprimé en par année de vie gagnée
7 Population cible, cohorte, horizon d analyse è Population cible fumeurs réguliers ( 1 cigarette/jour) è Cohorte fictive fumeurs représentative sur l'âge et le genre des fumeurs français è Horizon d analyse è Perspective payeur vie entière des fumeurs assurance maladie è Année de référence pour les coûts 2009
8 Modèle de Markov à temps discret (3 états) Pff FUMEUR (F) Pfs Psf SEVRÉ (S) Pss Pfd DÉCÉDÉ (D) Psd è Probabilités de passage et matrice de transi3on Matrice de transition Fumeur Sevré Décédé Fumeur Pff Pfs Pfd (cov) Sevré définitif Psf Pss Psd (cov) Décédé NA NA 1
9 Efficacité: Taux de sevrage è Stratégie 1 : taux de sevrage définitif du programme à 7,04 % : Risque Relatif des études cliniques X taux d utilisation de chaque médicaments à Analyse de sensibilité : IC 95% [5,64% ; 9,47%] è Stratégie 2 : taux de sevrage spontané à 2,6 %
10 Coût du programme è Stratégie par fumeur à = consultations de suivi à médicaments du sevrage Traitement médicamenteux complet X taux d utilisation de chaque médicament à Analyse de sensibilité : [120, 201 ] è Stratégie 2 à = 14 à par fumeur 1 consultation Forfait médicament offert par l AM
11 Inflation et discounting è Inflation: taux annuels des biens de santé à Consultations = +0,23% (analyse de sensibilité = +1.32%) à Médicaments = +2,19% (analyse de sensibilité = -5,38%) è Discounting des coûts et des bénéfices : 3% à Analyse de sensibilité : 0% et 6% (WHO)
12 Scénarios Comportements incertains è Taux d adhésion è Nombre de tentatives couvertes par AM è Fréquence des tentatives des fumeurs (période entre deux essais)
13 Scénarios Adhésion au programme è Taux d adhésion à la stratégie n 1 72,9% de fumeurs déclarent avoir l intention d arrêter Intention acte : construction de plusieurs scénarios Adhésion parmi les fumeurs qui déclarent vouloir arrêter Scénario A : 10% = 7,3% : base case Scénario B : 33% = 24% Scénario C : 66% = 48% Scénario D : 100% = 73% è Taux d adhésion à la stratégie n 2 Nombre de forfaits (2008) Nombre de fumeurs 3,75 %
14 Scénarios Nombre et fréquence des tentatives prises en charge è Nombre : 4 tentatives maximum par fumeur à Analyse de sensibilité : 2 ou 6 è Fréquence :tous les 2 ans (scénario le + probable) à Analyse de sensibilité : tous les ans et tous les 4 ans
15 Scénarios
16 Sommaire I. Contexte II. Objectif, méthode et hypothèses III. Résultats IV. Discussion/Conclusion
17 Tableau des résultats (1)
18 Tableau des résultats (2)
19 Contextualisation des résultats Plan décisionnel coût-efficacité + cher COÛT 3 PIB/capita per capita REJETÉE? 1 PIB/capita A1 A2 C3 C2 B2 B3 C1 B1 A3 D1 D2 D3 AVG - efficace 6 mois 1 an + efficace COMBIEN EST-ON PRÊT A PERDRE EN EFFICACITÉ POUR PAYER MOINS CHER ACCEPTÉE - cher
20 Analyse de sensibilité - Simulation de Monte Carlo Tableau des paramètres
21 Analyse de sensibilité : simulation de Monte Carlo Histogramme des fréquences et fréquence cumulée de l ICER è [825, ] par année de vie gagnée è médiane = è IC95 : [4 568, ] è 95% des cas : ICER <
22 Autre approche Contexte : trois maladies principales è Plus de 50% des décès sont la conséquence de 3 maladies à Cancer des bronches (90%) à Broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) (60%) à Maladies Cardiovasculaires (MCV) ( 13%) è > 3% (5,6 milliard) des dépenses annuelles pour l assurance maladie [Rapport 2012 cours des comptes CNAMTS] à MCV : 1,7 milliard d à BPCO : 0,5 milliard d (Hors Asthme) à Cancer des bronches : 1,1 milliard d
23 Modèle plus complexe on prends en compte les 3 principales maladies issues du tabac et leur coût Taux de Sevrage FUMEUR SEVRÉ Taux d incidence Cancer des Bronches BPCO MCV Taux de mortalité MORT
24 Résultats avec coûts liés aux 3 principales maladies issues du tabac. è Base case adhésion 7,3%, sevrage 7,4%, discouting 3%, au maximum 4 tentatives tous les 2 ans à /AVG (vs /AVG sans les coûts évités)
25 Analyse de sensibilité : simulation de Monte Carlo Histogramme des fréquences et fréquence cumulée de l ICER è [-2 200, ] par année de vie gagnée è médiane = è IC95 : [2 320, ] è 95% des cas : ICER < è Cost-saving dans 15% des cas
26 Comparaison de différentes approches Modele initial è [825, ] par année de vie gagnée è médiane = è IC95 : [4 568, ] è 95% des cas : ICER < Prise en compte des 3 patho è [-2 200, ] par année de vie gagnée è médiane = è IC95 : [2 320, ] è 95% des cas : ICER < è Cost-saving dans 15% des cas
27 Comparaison des résultats pour différentes approches Base case adhésion 7,3%, sevrage 7,4%, discouting 3%, au maximum 4 tentatives tous les 2 ans Modèle initial è remboursement à 100% /AVG è remboursement habituel (consultation 70% et médicaments 65%) /AVG Modèle où la stratégie de référence est l absence de remboursement /AVG
28 Sommaire I. Contexte II. Objectif, méthode et hypothèses III. Résultats IV. Discussion/Conclusion
29 Conclusion Stratégie du remboursement total, hautement coût-efficace, voire cost-saving sur la vie entière è Approche très conservative à Taux de sevrage faible (14,6% au RU avec 40% de rechutes à 10 ans) à Surestimation du coût du traitement (négociation des prix) à Incidence supérieure à la mortalité à Coûts évités sous-estimés (50% des maladies du tabac) à
30 Conclusion Comparaison aux autres traitements préventifs CV remboursés + cher PIB/capita? 1 PIB/capita STATINE POUR PATIENT D ÂGE MOYEN A RISQUE MODÉRÉ ASPIRINE POUR PATIENT DIABÉTIQUE DE TYPE II STATINE POUR PATIENT DIABÉTIQUE DE TYPE II SEVRAGE TABAGIQUE COUVERTURE À 100% - efficace 1 an + efficace Efficacité: Espérance de vie - cher
31 Merci de votre a8en3on Chevreul K, Cadier B, Durand-Zaleski I, Chan E, Thomas D.Cost effectiveness of full coverage of the medical management of smoking cessation in France. Tob Control Nov 29. [Epub ahead of print]
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailChoix méthodologiques pour l évaluation économique à la HAS
GUIDE MÉTHODOLOGIQUE Choix méthodologiques pour l évaluation économique à la HAS Octobre 2011 1 Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France - F 93218 Saint-Denis La Plaine
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailPréambule, définitions, limites du sujet :
Télémédecine : Quel cadre, quels niveaux de preuves, quelles modalités de déploiement. XXIX èmes Rencontres Nationales de Pharmacologie et Recherche Clinique, Innovation et Evaluation des Technologies
Plus en détailENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine Lyon 1
DIU de Tabacologie et d aide au sevrage tabagique SITES INTERNET ET SEVRAGE TABAGIQUE ENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine
Plus en détailPrenons 2 minutes pour en parler!
TSO-BPCO-ASTHME Parce que vos questions ne doivent pas rester sans réponses > 3 options : Votre délégué arrow génériques répondra à vos questions. Vous pouvez nous contacter sur formation@arrow-generiques.com
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailAu service exclusif des Personnels de l Enseignement Privé depuis 1945 GAMME COLLECTIVE
1 GAMME COLLECTIVE Au service exclusif des Personnels de l Enseignement Privé depuis 1945 2 NOTRE EXPERIENCE A VOTRE SERVICE Plus de 65 ans d expérience dans la protection sociale de l enseignement privé.
Plus en détailPROGRAMME D ACTIONS SUR LES PARCOURS DE
PROGRAMME D ACTIONS SUR LES PARCOURS DE SANTE DES PERSONNES ATTEINTES DE MALADIES CHRONIQUES - LA BRONCHOPNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCTIVE (BPCO) 2012-2016 Projet Régional de Santé du Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailExo7. Probabilité conditionnelle. Exercices : Martine Quinio
Exercices : Martine Quinio Exo7 Probabilité conditionnelle Exercice 1 Dans la salle des profs 60% sont des femmes ; une femme sur trois porte des lunettes et un homme sur deux porte des lunettes : quelle
Plus en détailPistes pour une évaluation économique des politiques de prévention en santé au travail
Pistes pour une évaluation économique des politiques de prévention en santé au travail Hélène Sultan-Taïeb Laboratoire d Economie et Gestion (UMR CNRS 5118) Université de Bourgogne Travaux menés en collaboration
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailLa prise en charge des maladies chroniques à l étranger
La prise en charge des maladies chroniques à l étranger Le disease management, ou organisation coordonnée des soins, est appliqué aux maladies chroniques dans de nombreux pays (États-Unis, Allemagne, Royaume
Plus en détailGTSS GLOBAL TOBACCO SURVEILLANCE SYSTEM
GTSS GLOBAL TOBACCO SURVEILLANCE SYSTEM Questions sur le tabagisme à utiliser dans les enquêtes Sous-ensemble de questions essentielles tirées de l enquête mondiale sur le tabagisme chez les adultes (GATS)
Plus en détailLes personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques?
Janvier 2011 Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Introduction Les soins dispensés aux patients souffrant d affections chroniques
Plus en détailLa valeur présente (ou actuelle) d une annuité, si elle est constante, est donc aussi calculable par cette fonction : VA = A [(1-1/(1+k) T )/k]
Evaluation de la rentabilité d un projet d investissement La décision d investir dans un quelconque projet se base principalement sur l évaluation de son intérêt économique et par conséquent, du calcul
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailSurveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES
Surveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailL abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois
L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,
Plus en détailConstruction de bases biométriques pour l assurance dépendance. SCOR inform - Novembre 2012
Construction de bases biométriques pour l assurance dépendance SCOR inform - Novembre 2012 Construction de bases biométriques pour l assurance dépendance Auteur Laure de Montesquieu Responsable Centre
Plus en détailUn coût, des coûts, quels coûts?
Un coût, des coûts, quels coûts? Robert LAUNOIS (1-2) Journal d Economie Médicale 1999, T. 17, n 1, 77-82 (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet
Plus en détailCohorte Observatoire Musculosquelettique (COMETT) Pénibilité et Vieillissement
TITRE DU CONSORTIUM : Cohorte Observatoire Musculosquelettique (COMETT) Pénibilité et Vieillissement RESPONSABLES : Alexis Descatha, UMS 011, Villejuif ; Yves Roquelaure, LEEST, Angers ; Bradley Evanoff,
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailProgramme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO»
Programme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) 2005 2010 «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO» Ministère de la Santé et des Solidarités 1 Le programme
Plus en détailAméliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014
Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014 RAPPORT AU MINISTRE CHARGÉ DE LA SÉCURITÉ SOCIALE ET AU PARLEMENT SUR L ÉVOLUTION DES
Plus en détailProjet Fonds Assuétudes 2007
Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens Projet Fonds Assuétudes 2007 Phn G. Guillaume - Apr J. Saevels Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens APB = Association
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailValeur ajoutée relative basée sur les comparaisons indirectes Giens 2008, TR 5
Valeur ajoutée relative basée sur les comparaisons indirectes Giens 2008, TR 5 Claire Le Jeunne Bertrand Xerri Cécile Rey-Coquais Jean-Michel Joubert Jean Delonca Martine Pigeon Michel Lièvre Patricia
Plus en détailLES MALADIES CARDIOVASCULAIRES
. LES MALADIES CHRONIQUES DANS LANAUDIÈRE LES MALADIES CARDIOVASCULAIRES Source : Istockphoto Marie Eve Simoneau collaboration Christine Garand et Josée Payette Service de surveillance, recherche et évaluation
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailNote de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détailDéveloppement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire
Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire JL Marchand E Imbernon M Goldberg (Département Santé Travail) Présentation / rappels Département Santé Travail de
Plus en détailProbabilités stationnaires d une chaîne de Markov sur TI-nspire Louis Parent, ing., MBA École de technologie supérieure, Montréal, Québec 1
Introduction Probabilités stationnaires d une chaîne de Markov sur TI-nspire Louis Parent, ing., MBA École de technologie supérieure, Montréal, Québec 1 L auteur remercie Mme Sylvie Gervais, Ph.D., maître
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détail«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès»
2006-2007 Premier Prix : «La voie d abord postérieure mini-invasive modifiée de la hanche» Dr. Chbani Idrissi Badr Deuxième Prix «Éradication de l helicobacter pylori: quelle trithérapie en première intention?»
Plus en détailStructure des revenus des médecins (hors système forfait)
Structure des revenus des médecins (hors système forfait) Paiement à l acte: consultations, visites, actes techniques Paiement à la capitation (par patient): DMG, DMG+, Passeport diabète, Trajets de soins
Plus en détailUNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible!
UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee Arrêter, c est possible! Pour en finir avec la cigarette Un pari difficile L Université de Genève est déclarée territoire
Plus en détailLes paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?
Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité
Plus en détailSUIVI MÉDICAL DU DIABÈTE CHEZ LES ASSURÉS DE LA MGEN
SUIVI MÉDICAL DU DIABÈTE CHEZ LES ASSURÉS DE LA MGEN K. Cosker, C. Sevilla-Dedieu, F. Gilbert, P. Lapie-Legouis, R. Cecchi-Tenerini Fondation d entreprise MGEN pour la santé publique 1 Contexte Les différents
Plus en détailSTRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière
STRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière Service évaluation économique et santé publique 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailGarantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale
Garantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale Remboursement total R.O. + Mutuelle Visites, consultations, actes, majorations des médecins généraliste et spécialistes 150% Analyses et examens
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailAméliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance maladie pour 2014
Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance maladie pour 2014 Rapport au ministre chargé de la sécurité sociale et au Parlement sur l'évolution des
Plus en détailProjections des coûts des médicaments pour les régimes privés d assurance-médicaments de IMS Brogan Rapport commandité par Rx&D
Plus de 20 millions de Canadiens comptent sur les nouveaux médicaments et vaccins pour les aider à rester en bonne santé et productifs, tant au travail qu à la maison. Les employeurs profitent aussi de
Plus en détailM U T U E L L E D U M I N I S T E R E D E L A J U S T I C E. Etre bien protégé, c est. essentiel. Offre MMJ. Ouverture
M U T U E L L E D U M I N I S T E R E D E L A J U S T I C E Etre bien protégé, c est essentiel Offre MMJ Ouverture Choisir votre en Mutuelle protégeant les magistrats et fonctionnaires du Ministère de
Plus en détailMémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains.
Mémoire d actuariat - promotion 2010 La modélisation des avantages au personnel: complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. 14 décembre 2010 Stéphane MARQUETTY
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détaildmt Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et travail Introduction État des connaissances Paris, 21 décembre 2007 notes de congrès
dmt TD notes de congrès 160 Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et travail Paris, 21 décembre 2007 Une journée «BPCO et travail» a eu lieu le 21 décembre 2007. Elle était organisée par la
Plus en détailCentre International de Recherche et de Développement
Centre International de Recherche et de Développement Publication UNGANA 652 CIDR Tous droits de reproduction réservés Eléments de réflexion pour la contractualisation entre une mutuelle de santé et un
Plus en détailLes défibrillateurs cardiaques implantables
Les défibrillateurs cardiaques implantables Etudes d'évaluation économique Etudes d'évaluation technologique Avant-propos Cette étude a été réalisée, à la demande de la Caisse Nationale de l'assurance
Plus en détailLA SANTÉ DANS L'ÉCONOMIE NATIONALE
A. GRAND et S. KOPEL LA SANTÉ DANS L'ÉCONOMIE NATIONALE L économie de la santé est une discipline récente marquée encore très fortement par l idée de maîtriser des dépenses en constante augmentation. Il
Plus en détailassurance collective Assurance médicaments Des solutions intégrées pour une gestion efficace
assurance collective Assurance médicaments Des solutions intégrées pour une gestion efficace Notre vision Desjardins Assurances est un acteur canadien important en assurance collective, reconnu pour son
Plus en détailProjet «Pharmacie vivre sans tabac»
Projet «Pharmacie vivre sans tabac» Programme national d arrêt du tabagisme www.apotheken-raucherberatung.ch Présentation Programme national d arrêt du tabagisme Projet «Pharmacie vivre sans tabac» Résultats
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailSimuler les dépenses de médicaments remboursables en ville à. l horizon 2029 : impact du vieillissement et de la morbidité
Simuler les dépenses de médicaments remboursables en ville à l horizon 2029 : impact du vieillissement et de la morbidité Rapport final remis au L.E.E.M. Mai 2010 Thomas Barnay (ERUDITE-TEPP, Université
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailSITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME
I. Tabac-info-service.fr SITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME I. TABAC-INFO-SERVICE.FR http://www.tabac-info-service.fr/ Site du Ministère de la Santé et de l Inpes (Institut national de prévention et d
Plus en détailDr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014
Dr Marie-Pierre CRESTA Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien Juin 2014 Que savoir en tant que citoyen? Les LBE La greffe, ça marche Que savoir en tant que professionnel? Pénurie, contexte épidémiologique
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailComment bien soigner votre budget santé? 14 astuces pour soigner vos dépenses santé
Comment bien soigner votre budget santé? 14 astuces pour soigner vos dépenses santé 89% des Français pensent que se soigner devient trop cher.* Alors qu est-ce que l on fait? Sogarep a décidé de réagir
Plus en détailAPS résumé partie III
1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)
Plus en détailIncertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles
Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles M. L. Delignette-Muller Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive VetAgro Sup - Université de Lyon - CNRS UMR 5558 24 novembre
Plus en détailPARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale
Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant
Plus en détailPrésentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux. Selon Wikipédia
Évaluation actuarielle du Régime de rentes du Québec au 31 décembre 2012, une œuvre de science-fiction? Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux Georges Langis Actuaire
Plus en détailPrésentation d un projet de collaboration autour d une forme de vulnérabilité : tabac et alcool
Forum PSLA - 6 mars 2014 Présentation d un projet de collaboration autour d une forme de vulnérabilité : tabac et alcool Karin Zürcher, Claudia Véron Chargées de projet CIPRET-Vaud Ligues de la santé Un
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailCEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX
CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailMALADIES VASCULAIRES CÉRÉBRALES
LES MALADIES DU CŒUR ET LES MALADIES VASCULAIRES CÉRÉBRALES PRÉVALENCE, MORBIDITÉ ET MORTALITÉ AU QUÉBEC DIRECTION PLANIFICATION, RECHERCHE ET INNOVATION UNITÉ CONNAISSANCE-SURVEILLANCE OCTOBRE 2006 AUTEUR
Plus en détailLa baisse tendancielle des rentes réduitelle la demande d épargne retraite? Leçons tirées d une réforme des tables de mortalité
La baisse tendancielle des rentes réduitelle la demande d épargne retraite? Leçons tirées d une réforme des tables de mortalité Alexis DIRER LEO, Université d Orléans Co-écrit avec Rim Ennajar-Sayadi Journée
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailLa Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Définition La définition scientifique de la BPCO est la suivante : «maladie chronique et lentement progressive caractérisée par une diminution non complètement
Plus en détailAVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale. LIENS
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailRecommandations pour le troisième Plan Cancer
RAPPORT À LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ ET À LA MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE Recommandations pour le troisième Plan Cancer PROFESSEUR JEAN-PAUL VERNANT JUILLET
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailL ÉDUCATION THERAPEUTIQUE DANS LA PRISE EN CHARGE DES MALADIES CHRONIQUES
L ÉDUCATION THERAPEUTIQUE DANS LA PRISE EN CHARGE DES MALADIES CHRONIQUES Etudes d évaluation économique ou avec des données de recours aux soins Recommandation de santé publique Document de travail Service
Plus en détailSéminaire du Pôle Santé
1 Séminaire du Pôle Santé Les télésoins à domicile au Québec représentent-ils une solution économiquement viable? Guy Paré, Ph.D., MSRC Titulaire de la Chaire de recherche du Canada en technologies de
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailLa cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac?
La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Dubois G, Goullé JP, Costentin J Au nom de la Commission VI (Addictions) Académie Nationale de Médecine Introduction Le tabac tue un
Plus en détailMortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de juillet 2006 en France métropolitaine
Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de uillet en France métropolitaine FOUILLET A 1, REY G 1, JOUGLA E, HÉMON D 1 1 Inserm, U75, Villeuif, France. Inserm CépiDc, IFR9,
Plus en détailPayons-nous trop cher nos médicaments? Denis Rousseau, B. Pharm., D.A. Relations gouvernementales Merck Frosst Canada Ltée
Payons-nous trop cher nos médicaments? Denis Rousseau, B. Pharm., D.A. Relations gouvernementales Merck Frosst Canada Ltée Novembre 2005 1 Pourquoi prenons-nous des médicaments? Pour réduire la douleur
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailObservatoire Valaisan de la Santé
Observatoire Valaisan de la Santé 02 Sommaire Un Observatoire de la santé pour décider 03 - Un outil indispensable pour piloter le système de santé 03 Une création par étapes 04 Organisation et Mission
Plus en détail